Titre : Le Télégramme : journal de la démocratie du Midi
Éditeur : [s.n.] (Toulouse)
Date d'édition : 1910-12-31
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32876489m
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 31 décembre 1910 31 décembre 1910
Description : 1910/12/31 (A16,N3833). 1910/12/31 (A16,N3833).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG09 Collection numérique : BIPFPIG09
Description : Collection numérique : BIPFPIG12 Collection numérique : BIPFPIG12
Description : Collection numérique : BIPFPIG31 Collection numérique : BIPFPIG31
Description : Collection numérique : Bibliothèque Rosalis... Collection numérique : Bibliothèque Rosalis (Toulouse)
Description : Collection numérique : Presse locale Collection numérique : Presse locale
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t53864306x
Source : Bibliothèque municipale de Toulouse, P 015
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 04/02/2024
[texte manquant]
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La Semaine Littéraire
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M. Bicbormeau', honnête maroharad de
nouveautés du
vait ta-ana-uiiffiément sans anuc
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'.Bichooneau, le sourire aux lèvres, se
__ Veainflez m’envoyer le tout chez mo,
dît-elle en remettant sa carte au commer-
çant, une carte arrnooee sur laquelle M.
picbonnean lut ;
COMTESSE DE SANTA-CRUZ
AVENUE O’ANTIN
Quelques ftÀtis après, La noMe cliente re-
-vint; elle demanda à voir dés échantillons
Tout en choisissant :
— C’est étonnant, diit-ele néghgemment
en regardant là boutonnière de M. Bichon-
ineau vous n’avez aucune décoration. ^ _
Bichoaneau roug-it; pour la première fcns,
g èprûàpva une softe die hoïïte de ne pas e ^
tfJüOore-» *. i
— Vous n’êtes ipas ambitieux, reprat: la
©omisse.
,— j’ai de l’ambition cMrtme un autre,
dit Richonnoau, mais je ne suis pas mtn-
^ — Qui vous empêche die le devenir ? de
manda 1®. comtesse.
— Te n’ai pas d'e relations.
SI 06 ntest qué Cela, on peut_voué^etl
trouver; je m’intéresse à vous, je serais
heureuse de vous être agréable.
— Vous êtes trop bonne, madame la
comtesse. . .. J.
— On décsoiie chaque jour un tas de iras-
tnqr.ouères .
Cela, c’est bien vrai, approuva Br*
chonneau. . . ■ , •
Mon mari a dé belles relations ?îe ’'u' 1
parlerai de vous; je veux vous faire déco-
rer, moi.
— Oh ! madame la comtesse, dit Bi-
dionnmxiy cbM l’oe/l s’alluma.
Que jpeasierite^-vous des (palmes^ aicaoie-
miqufâs ?
— Heu, heu I _ .
Le fuibtao violet, voilà qui- ferait bon
effet à votre boutonnière.
— Certes,, je ne dis pas.
— Et cela vous distinguerait de vos con-
frères. Ecotitez-moi, je parle sérieusement.
mon mari ’est l'ami intime d’un chef de bu-
reau au it lin i Stère de l’instruction publique;
$es déotV‘ations .ressortissent à son seivice,
îe oonrûb ira le trouver.
— ÿ/laiis... je n’ai au,oun titre .
— Que vous êtes jeune, on vous en for-
gera. A bientôt, ajouta la comtesse en se
retw-atit, je vous dotincx.ai uns nspomss.
Fille rëvint trois jours, après. _
j»nâ jjarié.tte vous à mon mari, dit-
| tés reGommandé, je me fais fort de la faire
prendre en lôonsidératibn.
Te consêns à verser les six mille francs
dit Biehonneau, sj je suis Sûr d’être décoré.
f«- Vous te serea, j’en prends l’engage*
menit devant mon ami, dit te chef dte bü-
rêati.
Bidionnèaü iremit te soir même Ta som-
me fixée au comte et dès lors il ne rêva
plius asc ruban Violet.
Qiv'iize jours passèrent,, la comtesse re-
vint.
Bidimneau l'introduisit dans l’arrière-
bôUtiq^
lui
. . .on cher mônsieur Biehooneaui, «u»
dit-elilieje viens vous dbnner des nouvel-
les de otre décoration; il faut encore que
vous ceseiitiez à faire un petit sacrifice :
vu le gmd nombre dte concurrents, on est
très em\rrassé au ministère pour faire un
choix; An mari m’envoie vous dire ceci
confidentllement : si vous voulez verser
mille frais seulement, vous serez mainte-
nu..
.elfe, il a sondé son ami, cela peut se faire;
venez à la maison demain, le comte vous
présentera.
Bictonoeau, enchanté, remercia chateu-
ireusement fa -comtesse. . '
Le lenidemaini, il se rendit au rendez-
vous.
Le comte de Samta-Cruz le reçut avec
cordialité; correctement sanglé dans une re-
ding'Ote noire, décoré de la rosette d offi-
câ«r de la. Légion d’honneur, il avait l’air
d’un gentleman accompli.
Il le présenta à son anfl, te chef de W-
iPeau. un monsieur respectable, egalement
officier de la Légion d’honneur.
-— Monsieur BicbonnesiU:, dit le fonction-
naire, mon excellent ams, le comte de San-
fa-G-ruz, m’a parlé de votre désir d’être dé-
coré des palmes académiques; toujours dé-
sireux -de lui être agréable, je lui ai pro-
mis mon concours.
— Merci, mon cher ami, interrompit lie
Comte.
— En ce mamaat, reprit le fonctionnaire,
nous avons de nombreuses demandes; je
vais vous faire une confidence, je suis sÛl
que je peux compter sür votre discrétion.
Bichomnoau. affirma qu’il serait muet
comme une sole.
— C’est un secret que je vais vous con-
fier : Té 'ministre a .besoin d’argent, il a.
l’intention de créer des chaires de Chinois
dans les lycées de province; certain d’é-
prouver un refus, il ne veut pas demander
die nouveaux crédits aux Chambres, il a
décidé die conférer quelques décorations à
un petit nombre dte personnes, honorables,
cela va sans dire, moyennant un versement
dte six mille francs.
— Six mile francs, répéta Bichonneau.
— Je vous ferai remarquer que oet ar-
gent n’esit pas pour le ministre, qu’il sera
affecté aou traitement des nouveaux profes-
seurs et que vous contribuerez ainsi à la
grandeur et au développement de TUniver-
sité française; nous avons beaucoup de de-
mandes, faites là vôtre; comme vous m’ê-
Bichonfiiu sortit un billet.de mille francs
; son cote-fort et le remit à la comtes-
se.
— C’estjujours pour la langue chimoi-
sej dît-elle.'j
— Je le rai bientôt, dit Bichonneau, à
sa femme, «Ml fa comtesse fut partie.
—• Cela neema pas trop tôt, répondit sa
femme; v-oiilàéjà sept mille francs que tu
donnes.
.— Les hopura, cela se paie.
Huit jours urès, Bichonneau reçut une
lettre du comTinvitant à passer chez lui
pour une oomimeation des plus impartan-
tes.
Bichonneaiu'ccouTut, le comte l’atten-
dait.
— Mnn cher.onsieur Bichonneau, lui
dit-il, j’ai une une nouvelle à vous an-
noncer, vous, êtmaintenu.
— Alors, je berai, dit Biahonneaiu en
se frottant les ms.
— Vous le sea c’est ' certain; seule-
ment vous avez numéro cent soixante-
trois, cela va votetarder beaucoup.
— Combien dtenps ?
— On fait vingà vingt-cinq nomina-
tions au plus chai fois.
— Cela sera bifong.
•— Oui, mais, dt. comte en baissant la
voix, il y a un mpjde vouis faire décorer
plus vite.
— L equel ?
— C’est un seortue mon ami m’a con-
fié : te concurrent a le .numéro six est
décédé, mon ami a l’employé chargé de
dresser les listes, hnsentifrait à placer
j votre nom à la plaie celui du mort; du
■ coup vous gagneriezis dte cent cinquante
places.
— Il ferait cela ! !
— Je vous dis cA-tre nous, reprit le
comte : oet employé pas de fortune, il
se compromet un vaut une petite
récompenise; si vous\z lui donner cinq
cents francs, l'affaire faite.
Bichonneau fit la gee ; il voulait bien
passer sur le -dos de Concurrents, mais
sans que cela lui coutisou.
— Réfléchissez, M q comte, ce sera
comme vous voudaous passe
quatorze juillet.
Bichonneau se gra| cervelet.
'— Ce sera le dterniersement, dit le
comte, je vous le pron
— C’est entendu, dtîionneau.
— Mon cher ami, rep comte, je cours
au ministère prévenin ami pour que
l’on ne .donne pas ie,éro à un autre
des offres ont déjà été» à l’employé.
— Je suis confus ponte la peine que
vous prenez, dit B:di
— Remerciez ma rè je ne sais pas
ce que vous lui avez jpe veut à toute
force que vous soyez |é.
Quinze jours après, amte annonçait
officieusement 4 Bicho), qu’il était pal-
mé et qu’il viendrait bine lui remettre
le brevet et les insigne
Bichonneau commatu grand! dîner
auquel il invita tous parents et ses
amis.
Au jour dit, le comtcmpagné de la
comtesse, fut -exact. :
En présence dé tofiSwités, il prit fa
parole.
— Mon cher ami, < permettaz-moi
de vous féliciter sineè.t pour la flat-
teuse distinction qui vit conférée par
le gouvernement qui, crains pas de
l’affirmer, s’honore en honorant. Cet-
te distinction, vousiéritez à tous
égards; jamais décoratie fut mieux
placée. Vous la portenement car elle
est la récompense de labeur. Si l'a-
griculture est une des îles de la Fran-
ce, le commerce en e: autre. Je suis
heureux'd’avoir été tt-ier à vous ap-
porter la bonne neuve c’est avec une
profonde émotion, faitie et d’orgueil,
que je vous remets' Imes académi-
ques !
Tous les assistant^ [dirent.
Le comte épingla lm.es à la bou-
tonnière de Bichonné
— Et maintenant je vais vous
donner l’accolade 1
Il se jeta au cou detmeau qui pieu
nait oommse un veau jue tous les pe-
tits Bichonneau présents, cousins, cousines,
arrièrè-petite-cou-ain-S:.
Mme Bichonneau, inondait la corsage de
la comtesse.
Tout à coup, là bonne, effarée,, vint pré-
venir son maître que le commissaire de po-
lice, accompagné de deux agents, deman-
dait à lui narler.
- Qu’il entre, dit Rkhonnteaù, surpris.
Le commissaire^ ceint de son écharpe,
s’avança vers î® teomfe et sa .compagne.
->• jâcqu-és Fajqpot et vous, Sophie Pru-
'au, veuillez me. suivre, comman-daet-il.
—. Vous VOMS trompez, dit le comte avec
hauteur.
— Il y a erreur, dit Bichonneau; mon-
sieur est le comte de Santa-Cruz.
— Allons donc ! reprit le commissaire,
c’est un escroc qui fait le commerce des dé-
corations et que nous recherchons depuis
longtemps.
Bichonneau s’affaissa dans un fauteuil»
— Et mon brevet ! s’écria-t-il.
— Faux, dît le commissaire en emmenant
te noble Couplé qui h-'opposa aucune résis-
tance.
EUGÈNE FOURRIER
.BolkÜQ iifiiiegfapliqisê
LE NOËL DE JEANNE D’ARC, — La livrai-
son que la revue national© « Jeanne d’Anc » a
publiée pour Noël est adressée gratuitement,
comme spécimen, à toute personne qui en
fait la demande à l’administration ; 41, ave-
nue d’Orléans, 41, Paris (XIV0).
La revue natiotmaîe « Jeanne d’Arc », diri-
gée par M. Jean Sarftl, est rédigée.,par un
groupe d’historiens, parmi lesquels te génê-
ral Frédéric C-aiiionge, te R. P. Ayroles, Albert
Sarrazin, J.-E. Choussy.
Ghamie Livraison contient deux contes iné-
dits, les légendes signées Henry de Lé-fins
présentent un attrâd tout spécial.
Tous les articles sont splendidement illus-
trés par l'éminent Auguste Cordiér.
La revue nationale « Jeanne d’Arc » est in-
dispensable à tous les patriotes. Le plus beau
cadeau du jour de l’an est un atoommemient à
là revu© : 3 fr. 50 pour six jadis.
EU NORMAMDSÉ, par J. HâyaüX, 1 Vol. 1 50.
Bureaux de la Ligue Nationale contre l’alcoo-
lisme, 50, rue die-s Ecoles, Paris.
Sous ce titre très court, M. Hayaux publie
le ôoanpte-rendîu de la mission qu’il avait été
Chargé dia faire en Normaudiiie pour le compte
de la ligue aintffljoûolique.
La plupairt de ceux que Sîéoccnipêîit les ra-
vages dé ralcoolisme en France savent dans
quelle situation inquiétante se débat la Nor-
mandie. Les familles s’étiolent, les enfants
dépérissent et cependant tous oontinuaierut à
boire avec régularité dès cidres distillés et
dl’dutres boissons à l’avenant.
Depuis une dizain© d’années surtout, on es-
saya. diè réagir et d’enrayer la consommation
de l’akioioà D’autres régions françaises -en
sont cauivertes. Le livre de M. Hayaux inté-
ressera les propagandistes et leur fournira
des armés éxcalientee.
CEUVRÊS CH SI S.SES de BRIZËÜX. — Sfièniés,
récits, paysages. Extraits et préface par
Léo BOUT,go, docteur ès Lettres, professeur au
Lycée de Lorient, Un votane illustré die pho-
togravures, br. 3 fr. 50 ; Librairie .Ch. Dela-
graive, 15, rue Soufflot, Paris.
De l’oeuvre de Brizeux, U n’existe aucune
édition aocessible à tous. L’auteur de ce re-
cueil a voulu rendre à la mémoire du poète,
le plus bel hommage qui sa puisse désirer : '
faire aimer son oeuvre en la faisant connaî-
tre.
Unie double pensée à guidée ce choix :
« Brizeux fut vraiment le (poète national de
la Bretagne » : elle vit tout entière dans les
poèmes die « Marie », des « Bretons », de
K Primel ©t Nota » : —- la terre, avec sas lan-
des sauvages, ses genêts verts, ses chênes
agrippés au soü de granit et le bruit des ma-
rées qui battent sas côtes ; — rhiomme avec
son âme tour à tour mdis et tendre, sa brus-
que violence qu’apaise ‘iiin sourire sous la
M’ancfueur cTiurrrè ' ■cairHc; son- V li vtweûir' tuiTcycnr dia
passé et dte la. tradition. — Le chantre d’Ar-
zannû fut le plus profond et le plus pur die-s
poètes dm Terroir.
Il sut d’ailleurs adoucir T âpreté bretonne
par la douceur latine : c’est au pays du so-
leil, dans les plaines fertiles de Manitou© qu’il
aWa icueiiHiir la fledr d’or dü livre des « Teir-
nairqs » Par cette affianicie du- génie d’Airanor
et du génie latin, il (mérite vraiment le nom
de Virgile Breton.
Ce sera à ce titre également que le présent
recueil plaira aux régioruaJ-istes les plus fer-
-vents comme aux husnanostes les -plus déli-
cats : en synthétisant l’oeuvra de Brizeux, ü
syïttbôâlse l’union de la pensée qeltiquie et de
là Corme Jatine. De nombreuses vues, em-
pruntées aux -sites qu’a .chantées îe poète il-
lustrent oe votome.
CONSEILS AUX PARENTS ET AUX MAI-
TRES. — Notions de pédagogie familiale pu-
bliées par le comité de rédaction de la « Be-
vue die Ji’Education Familiale ». — Bruxelles,
secrétariat de la « Revue de l’Education Fa-
miliale », 44, rue Rubens, 1 vol, iin-80,1910»
C’est un véritable traité de pédagogie que
publie sons ce titre le comité die rédaction de
1 « Education Familiale ». Toutes tes ques-
tions essentielles de Té-ducation physique .in-
tellectuelle, .m-orale. et religieuse sont traitées
dans ce volume sous une forme simple, pré:
cise ©t prati-n-ue d'après les travaux des édu-
cateurs les plus -compétents et les recherches
les plus récentes,.
On ya résumé les principales idées déve-
loppées dans la revue T « Education Fami-
liale », au cours des dix premières années de
son esÈstanice. A la fin die chaque dua.pitre
sont indiqués les principaux articles de la
Revue qui s’y rapportent et quelques ouvra-
ges traitent le même sujet. C’est une mine très
riche pour les éducateurs, professeurs, pères
et mères de famille soucieux de se mettre au
contrant dles méthodes d’inistRuetiani et d’édu-
cation les plus éprouvées. Nous ne saurions
trop leur recommander le volume et la Re-
vue (6 fr. par an) qui Ta publié. —• D. S.
Le ©ORRERRONDANT donnait dans son
numéro du 10 décemlMie une très intéressante
étudie d© Maurice Sabatier sur 1© centenaire
de l’ordre des Avocats. Il rappelle comment
au lendemain de la Révolution, il fut tout
d’abordl difficile de reconstituer l’Ordre ; puis
peu à peu comment te, nécessité de cette
réorganisation devint pressante.
Malgré les réserves die «Napoléon Ie» qui
craignait -que les têtes subissent l'influence
de cet Ordre comprenant trois à quatre cants
inscrits à Paris, les jurisconsultes qui peu-
plaient le Conseil d'Etat, obtinrent le décret
psrtnetteint de vivre. Lê grând Jugé avait
bien, il est vrai, dés droits absolus. « Muse-
lez -la ïüttitnê », avait dit Napoléon I®-, mais
d'autres révolutions libérèrent l’Ordre.
Dans une très bonne page Tauftetu? montre
comment la force collective de T Ordre avec
ses règles profossicmnèlles permet -â-ux avo-
cats dô résister aüx sol'licit-atldhs diverses et
nombreuses.
L’état d'esprit, générai de la Compagnie
s’ês.t u®. peu modifié et ai. Sabatier se de-
mande ce qm dêvtéïidJsa » -la défea-se en jus-
tice.» Si Toil passe de « Tait à i’industïia »,
eh l'espèce « dé la profèsêioii quasi jaâlèiàit®
à la iBTQfêssl&n êOTad.ttffieiâîTe ».
mfà te mête Mmtb; li faut Kfe les
SdtiVèniftS d© guerre (•Mexique 1804-1867), de
V. d© MbaffOK ; lès fSPOblèaeS s&ôiânX siii'
la scène et dans lé romain, de tte&rges Fonse--
grivé ; des notes 4e. ThreamDangin Sur le
cardinal Vunghan.
Le- numéro, 2 W. 50, PàTis, §1, rue Saint-
Guiilaujne
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Jusqu’ici Ton, n’avait offert aux industriels
et commerçants que de très grandies cartes
qu’ils aipposaiènt au long Ses murs et qui
n’étai-enî pas toujouiB commodes nouir la lec-
turà. e
Ce nouveau manuel de 42 pages comprend
des tableaux et des plamclies iiudlq-uiant l’effl-
Ëie, le -poids, le titre et la valeur de toutes
is monnaies courantes d’or et d’argent.
LES FOIRES DE S0UAL L’ESTAP (Tara)
Par arrêté dé M. le préfet dü Tarn, toutes
les lanci-en-n-es folre-s de SoU-al à date fixe, sont
supprimées et -remplacées par des foires nou
veîles qui se tiendront les premier et troisiè-
me jeudi de chaque mois .
Là pfodhâifi'e aura lieu jeudi 5 janvier.
TMlïÈJÉIfêf CGMPLET oe LA VIGNE
Le -Soufre Inseotil. — El est bien supérieur
au soufre sublimé, c’est le -plus puissant ét le
plus éoôn-oimquie die tons le® inséàtàcides. H.
a davantage de détruire radiiicalemeint par la
même opération rOïdium, la Cochylis et TEu-
dèmis. Oe produit a fourmi des preuves pxo-
bamtes au 'cicurs do cette ninn^e.
Le FormoscS ci:- Uc formol,
de sulfure do ui./i.. u:.. u-e uuonol est plus
puissant que la Nicotine titrée.
Damandier les notices à M. A Savôs, 6-7-8,
port Saint-Etienne, Toulouse.
A la Maléoti DBLGRT^ ôptîicaen, 5, nie Lâ-
fayette, TouLoiuse, à l'occasion diu jour de
T An, on trouvera un grand ohalx de fac«-à.-
maiu, or, aaegeint, écaillé, jtumeBes à prismes,
théâtre, campagme, baramètnes, therm-omè-
tr&s, pdnee-nez, lunéttës. articles die 1®* choix
lufietin Csinrsial
Il Ntt M 301C1MBRË ISM
BULLETIN RMAMGIER
Paris, 30 décembre.
Ert réponse à la prime Opéré© dans le plus
grand calme, le marché s’est montré irrêg-u-
lier et un léger tassement dles cours s’est pro-
duit sur certaines valeurs. La liquidation
s’annonce comme devant s’effectuer très facl-
lemant, -t;
La -rente fléchit à 9705.
Les fondis russes restent soutenus : le 3 %
1891 S’inscrit à 83 50, 1e 1896 à 81 70, le 5 %
1906 à Ifri 80, le 4 1/2 1909 à 103 85 et le con-
solidé à 97 95.
L’Extérieure espagnole recule à 94 80,. le
Portugais à 66 75 et le- Turc à 93 40.
Nos âoe-iétés de crédit sont hésitantes. La
Banque de Paris se négocie à 1855, le Comp-
toir d’Escompte à 944, le Crédit Foncier à 825,
le Crédit Lyonnais à 1485 -et la Société Géné-
rale à 750.
La Société auxiliaire de crédit est deman-
dée â 598.
Dans le groupe des eliemius dô fer français,
l’Est cote 890, le by-oîi 1192, le Nord 1590 et
l’Orléans 1313.
Les obligations 5 % or de la Compagnie
des chemins de fer de l’Est Central Chilietn
se traitent à 478 50.
Les Obligations 5 % c-r idie TAlgoma central
and Hudscn Bay itailway sont demandées à
466.
L’action des anthraciitas d© Bobovo est à
122.
BOURSE ne LONDRES
Valeurs diverses obligaîlons. — Départe-
ment de la. Hamte-C-aromne, 459, — Société
Hydno-lecfriqoe Roü-ssiltonnaise 5 % 489 50
— Tramways Pous 4 % 19(»j 487. •— Mines
d’Alfai- 4 %, 485.
MARCHE DE LA VOLAILLE
Canards ronennais teprèee
Canards nantais 5d.
Canards vivants IdL
bindes mortes du Midi id.
Dindonneaux morts du Midi Se kilo.
Lapins du Satinais la pièce
Lapins vivants id.
Oies vivantes id.
Pigeons morts de Toülotiss. id.
Pigeons vivants dérouleuse......... id.
Poulets morts de Bresse id,
Poulets morts du Midi id.
Poulets morts des Charentes ...... ïd.
Poulets vivants de Bresse id.
poulets vivants du Midi îd.
Arrivages npnib
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MàRSHE AUX VEÀÜX
Veaux amenés
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Circulation (q)
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Janvier-Février.
4 premiers
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Circulation (q) ....
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19 40
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37 40
Prochain
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Janvier-Février....
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Janvier-Févrie»....
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ferme
Tendance
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Circulation (q.)....
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Prochain
4 premiers
4 de Mars
4 de Mai,.... ,
Tendance.. ..
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Sucres raffinés...
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30 75
31 ..
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ferme
10.100
63 ;0
26 75
Consolidés
Extérieure
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Portugais 4 »/o....
Russe 1906
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Banque ottomane.
Rio Tinto
De Beers
East Rand
79 5/S
92 1/2
95 ./.
65 3/4
104 5,8
92 1/2
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18 1/16
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Eereira Gold
Goldfields
Modderfontein ..
Rand Mines
Jaggarsfontein...
Premier
Canadien Pacific.
Louisville
Southern, Pacific.
Union Pacific....
10 1/2
5 5/8
12 •/-6
8 9/l3
8 13/32
6 31//2
201 1/p
148 1/|
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New-Vork D....
Bombay Rp,,..
Calcutta Rp
Chèq.s. Londres.
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Amsterdam
47
73
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14 1/16
14 1/16
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518 ./.
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127 27 ./.
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MATIERES D’OR ET D’ARGEHT
Or en barre à 1000/1000 le k. 1433
Argent en barré —
Quadruple Bsphgne .
— Colomb, et Mex
Piastres mexicaines
Souverains anglais
Bank-notes •
Aigles Etats-Unis .*
34 37
92 25 ./.
,80 625 ./.
80 375 ./.
20 25 ./.
£5 245 ./.
25 233 ./.
51 55 ./.
24 61 ./.
20 60 ./.
27 50
X
Cours des différents rnétau
57 7/6
13 3/9
23 17/6
174 7/0
Zinc
BGURSiE DS TOULOUSE DU 30 -DECEMBRE
De 10 -heures à H hau-res
Fonds d’Etat français. —■ 3 % au porteur,
97 10, 3 % amiorMiSsable, 97 80.
Fonds garantis par le gouvernement fran-
çais. — Obllgatiiioinû Madagasoar 3 % 1903 1905,
92.
Oblig-ations Intfo-
iBmprunt des Colonies,
CiM-ne 3 % 1902, 406.
Emprunts ds Villes. — Ville de Paris : Obli-
gàtionô 1865, 4 %, 542 50 ; 1876, 4 %, 540 85 ;
1892., 2 1/2 %. 364 50 ; 1898, 2 %, 420; 1910 non
libéré 3 %, 372,
Valeurs françaises. — Comptoir d’Escompté
ex-coup-. 31, 822. —- -Obligations Comm-unaies
1880, 3 ' 503 25. — O-bliga-tmons Foncières 1885
2 6û %, 471 25. — Obligations Pomcières 1909,
255. — Crédit Lyoïmiaas, ex-amp. 26, 1484, —
Btmque firaniçaise poui" le oommèrcie et Tindus-
tarie, ex-coiup". 9, 32.9. —- Est, obligations 3 %
noüvêBes., 432. —, Lyon ià -lia Médiiterranée (Pa-
ris à) ajciion®, ex-coup. 101, H195. —Midi, ac-
tions ex-ooup. 106, 1135. — Midi, -obligations
3 % nouvelles, 428. — Nord, obligati-ons 3 % an-
cieimnes, 438 25. —Ouest, lacti-on-s, ex-ajup, 107
934. — Immeubles de France, obligations 400 f.
187. — Canal de Suez, parts de fondateur, ex-
coup. 61, 2,458.
Fonds d’Etat étrangers. — Chteods 4 % 1895
c. 100 et petite co-uipure, 101 50. — Extérieure,
Espagne, coupuires 80 et 8 pesetas (estamp).
98 45. — Russe Russe 3 % 1891, 83 40. — Ob.
Suède 3 60, 473. — HonàlFOdiS, ob. 20 fl-oriais,
97 90.
Valeurs étrangères— Antidatais, obliigations
3 % 2e série, 324 75. — Lombardes 4 % 411 50.
— Nord; de l’Espagne -obligations 3 % 4 série,
358 50. Obligation Thomson Houston, 500.
Valeurs diverses, actions. — Mimes d© Car-
maux ex-coup. 61, 2290. — Chemin de fer à
voie étroite dlu Tarn ex-ooup. 1t4, 155. — Che-
min de fer du Sud-Ouest ex-amp, Z! 418 —
L'Epargne ex-coup 23, 235.
COLZA
Dïspônibie ,..1 65 ..
Courant,.........J 65 ..
Prochain • i**»»«»**| 66 75
4 premiers»...»....5 65 25
4 de Mars .65 50
4 de Mai i 65 50
Tendance I ferme
Circulation (S.).... I 50
ALCOOLS
Courant
Prochain
4 premiers.........
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Tendance
Circulation (p.)....
LIN
Disponible
Courant
Prochain
4 premiers
4 de Mars
4 deMai.
Tendance
Circulation (q.)
ï»OUït li***
Le Télégramme présente
â SES LECÎEÜPtS & âBOüKÊS
Ui) ^Injapel) IIÎ(i?lFê
, intéressera Ions les membres de 1®
ia mille, grands et petits.
qui
fan
II contient uii calendrier en couleurs des-
siné par Malherbe, une revue illustre» de
l’année, de nombreux, contés et nouvelles,
des charges, bons mots et passe-temps, etc.
Il joint Tutile à i’agréable, puisqu’il COTÏ-
tient encore : Les mois de L’agriculteur et
du jardinier ; Un petit guide de médecin»
élémentaire ; un dictionnaire pratique »
l’usage de la ferme; l’empiacement des
troupes et régiments ; les foires des depar-
tements.
On le trouve chez tous les dépositaires du
V/X! xo .XVXX.OX.X.OX, déposi
ïélégrdmme, aupriîde O fr. BO.
Et on peut le recevoir franco par poste
contre O fr. 65 adressés én timbrés ou
mandat aux Bureaux de Toulouse.
49-50
50 50
50 75
51 75
99 50
99 50
97 50
97 50
85 50
84 ..
faible
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HALLES CENTRALES OE PARIS
MARCHE DES LEGUMES
Champignons de couche le kilo.
Haricots verts de serre —
Haricots verts d’Algérie —
Epinards —
Oignons en grains —
Oseille —
Pois verts -
Pommes de terre de Hollande ( —
Pommes de terre rose —
Pommes de terre d’Afrique —
Endives belges le cent.
Artichauts _
Choux nouveaux —
Choux-fleurs ‘ —
Laitues , _
Asperges la botte
Carottes nouvelles —
Naveis nouveaux —
Cresson i2bott.
POISSONS DEAU DOUCE
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1 30
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DONNEZ
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pour fêtes
cadeaux ^
souvenirs
armiverssîres
Ablettes.. •
Angnitles vivantes de Seine
Anguilles vivantes Picardes
Anguilles mortes
Anguilles poulettes
Barbillons
Brabues
Brèmes
Brochets
Carpes
Cordons
Gaujons
Perches
Tanches
Truites frigorifiées
Truites de rivière
Truites saumonées
Arrivages eau douce nombre
kilo.
20 5.
0 65
2 Sa
1 50
2 ..
0 60
5 50
7.50
,82.485
Pour éviter Ses frais de recouvrement,
les abonnés sont priés d’@nvoyer directe-
ment lé montant de leur renouvellement.
Les violettes sont expédiées en eartôns fett
més, directement aux acheteurs par les jardi-
niers unis en coopérative de production
V Carton-poste, recoin, f»... . 3.SQ
‘ ~ Carton-poste premier choix. *.75
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Midi
Orléans
Ouest...
Nord
Métropolitain li-
Nord-Sud '
Omnibus de Paris
Omnium Lyonnais
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CieGen. fr. de Tram....
Suez • ,...
Soc. cent, de Dynamite.
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99 20
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336
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154 50
315 ..
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5525 ..
710 ..
807 ..
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1398
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391
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691
279
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Romane
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uitricliiehs.
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FONDS D’ÉïajpTANT
V0-: ..
ugats
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Egypte unifiée.. I
— privilégié-
Hongrois 4 0/0
Tabacs portu.^
Roumain 4 0/0
Russe 1867-69
Russe 1880 gf-
(Russe 1SS9
Russe 1890, 2e et"
Russe 1890, 4e.. £r
Russe 1893 5c "
Russe 1894,6e ..fT
Russe 1901
Russe consolidé £
Russe consolidé 4
Russe S 1/2 0/0 18f
Russe int. 4 0/0 ÉI
Russe 3 0/0 1891
Russe 3 0/0 1396j/
Ottomane consolf
Ottomane douant
2e-
..f.
DERNIER COURS
Compt. Terme
583 ..
1153 ..
697 ..
401 ..
422 50
1747 ..
1388 ..
366 ..
39%..
p. C.
98 50
101 25
97 50
97 90
502 5.
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95 85
95 25
95 75
95 15
96 £5
95 80
96 80
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98 ..
90 33
94 80
83 40
81 50
469 75
498 50
586
,1146 -
692
280
S17
122
675
401
424
1745
13S0
363
393
D. G.
OBLIGATIONS
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Ville de Paris 1865 4 0/0.
— 1871 3 0/0.
— 1875 40/0.
— 1876 40/0.
— 1892 21/2.
— 1894-9621/2
— 1898 2 0/0.
— 1899 2 0/0.
— 1904 2 1/2.
— 1905
— 1910.'
Foncières 1879 3 0/0.::.’.
— 1883 3 0/0
— 1SS5 2,80 0/0..
— 1895 2,80 0/0..
— 1903 3 0/0....
— 1909 30/0
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— 1880
— 1891
— 1892 2 60 0/0
— 1899
— 1906
Bons à lots 1887
— 1888
Bons â lots Panama
Lots du Congo
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Est 3 0/0
P.-L.-M. 5 0/0
P.-L.-M. 3 1/2 0/0
Dauphiné 3 0/0
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Rhône-et-Loire 4 0/0. ...
- - 3 0/0
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433 50
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320 ..
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324 75
324 75
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392 50
— anc. 10e émis..
406 75
406 50
370 50
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414 ..
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475 50
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379 25
280 ..
502 ..
256 ..
- 4 0/0
295 ..
397 50
Nord-Espagne 1er.. :....
253 1.
365 ..
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360 ..
3Ô1 ..
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364 75
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352 50
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354 ..
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66 50
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339..
335 ..
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Cours
Dern.
Cours
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496 50
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Messag. marit. 31/2 0/0.
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Ciegén. Traction 4 0/0..
451 ..
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Forces mot. Rhône 5 0/0
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600 50
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456 75
Bons coupons Suez
*577.
Domaniales Autriche...
306 50
306 50
Beira Aita
310 ..
Est de l’Espagne
362 25
362 ..
Cr. tonc. Canada 3.40 0/0
447 ..
447 ..
Cr. fonc. Egyp. 31/2 0/0..
465 . -
459 50
Gaz de Madrid
366 ..
Houille Russie mérid....
435 25
Sosnowice........
508 50
503 ..
Thomson 4 0/0
5Q0 ..
500 ..
ACTIONS
Forces mot. du Rhône ..
70S ..
710 ..
— de Paris...
930 ..
92) ..
Crédit fonc. Egyptien...
782'50
' riss : :
Télegr. du Nord
£18 ..
825 ..
Foncière transports
St-Etienne Firm. R.-G...
459 50
Cie. Généraié Eaux
1964 ..
1968 ..
Eaux pour i’Etranger...
404 50
400 ..
Dombrowna •
1476 ..
1485 ..
ACTIONS
Escombrera BJey -
Krivoi-Rog
Chantiers dé la Loire..,
Construct. mécaniques-
Ac. de la Marine
Chantiers de la Médit..
Creusot
Cirages français
Banque Franco-Amer..,
Russie Méridionale
Soie de Chardon
Chemins Santa-Fc.......
Aciéries Saut-du-Tarn...
COMPTANT BANQUE
Plaques Lumière
Cercle de Monaco
Sarrebruct
Usines franco-russes...
Dnieprovienne
Aciéries de Danitz
Huta-Bankova
Dougovrala-Balk
Urikany
BANQUE TERME
I Argentin mixte
fBrésil 5 0/0
I Brésil 4 0/0
3 0/0....
jHarpener..
Préc
Cours
648
1065
1867
389
1526
1884
522 :
135 ,
351
731 .
5235
480
1699
2050
1750
187
35 40
663
Dern.
Cours
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1059 ..
1880 ..
389 ..
1525 ..
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5215
1698 ..
898 ..
2060 ..
.1770 ..
186 50
91 85
90 £0
51 60
35 42
666 ..
1395 ■.
BANQUE TERME
Chemins ottomans.
Tharsis
De Beers
Robinson-Goid
Chartered
Gobieids
Langl. Estate
Raudfont
Ferreira
East-Rand
Ivleinfonstein
Geldennuis-Esi
Cape-Copper
Transwaal
Mozambique
Rand Mines
Huanchacn
Caoutchoucs
Spies
Süansi
Explosives
Crown Mines
Prée.
Cours
2?1 75
139 ..
454 50
251 £0
43 ..
441 50
TJ
02 75
2S4
129 50
54 .
9t .
108 .74)
62 50
28 25
216 50
78 23
322 ..
36 50
48 75
205 50
Deita.
Cottri?
221 75
140 50
455 ..
257 ..
4125
142 ..
73 25
63 90
265 ..
130 .,
54 25
91 25
169 ..
64 ..
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48 50
13 ...
205 50
APRÈS BOURSE
3 0/0 français
De Beers
Goifields 413..
Chartered
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97 05
453 ..
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44 25
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8LB TELECiRA'.M!»i' tüJf -'Si ïHÈfâEîVÎBRjEl
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îgrale), fai'
in régional,
andes idées,
courant par
régénérée.:
tien du pré-
quelles sol'
A C. G. î
La Semaine Littéraire
[texte manquant]
M. Bicbormeau', honnête maroharad de
nouveautés du
vait ta-ana-uiiffiément sans anuc
« * «? £ & un
“t“ d“ns
'.Bichooneau, le sourire aux lèvres, se
__ Veainflez m’envoyer le tout chez mo,
dît-elle en remettant sa carte au commer-
çant, une carte arrnooee sur laquelle M.
picbonnean lut ;
COMTESSE DE SANTA-CRUZ
AVENUE O’ANTIN
Quelques ftÀtis après, La noMe cliente re-
-vint; elle demanda à voir dés échantillons
Tout en choisissant :
— C’est étonnant, diit-ele néghgemment
en regardant là boutonnière de M. Bichon-
ineau vous n’avez aucune décoration. ^ _
Bichoaneau roug-it; pour la première fcns,
g èprûàpva une softe die hoïïte de ne pas e ^
tfJüOore-» *. i
— Vous n’êtes ipas ambitieux, reprat: la
©omisse.
,— j’ai de l’ambition cMrtme un autre,
dit Richonnoau, mais je ne suis pas mtn-
^ — Qui vous empêche die le devenir ? de
manda 1®. comtesse.
— Te n’ai pas d'e relations.
SI 06 ntest qué Cela, on peut_voué^etl
trouver; je m’intéresse à vous, je serais
heureuse de vous être agréable.
— Vous êtes trop bonne, madame la
comtesse. . .. J.
— On décsoiie chaque jour un tas de iras-
tnqr.ouères .
Cela, c’est bien vrai, approuva Br*
chonneau. . . ■ , •
Mon mari a dé belles relations ?îe ’'u' 1
parlerai de vous; je veux vous faire déco-
rer, moi.
— Oh ! madame la comtesse, dit Bi-
dionnmxiy cbM l’oe/l s’alluma.
Que jpeasierite^-vous des (palmes^ aicaoie-
miqufâs ?
— Heu, heu I _ .
Le fuibtao violet, voilà qui- ferait bon
effet à votre boutonnière.
— Certes,, je ne dis pas.
— Et cela vous distinguerait de vos con-
frères. Ecotitez-moi, je parle sérieusement.
mon mari ’est l'ami intime d’un chef de bu-
reau au it lin i Stère de l’instruction publique;
$es déotV‘ations .ressortissent à son seivice,
îe oonrûb ira le trouver.
— ÿ/laiis... je n’ai au,oun titre .
— Que vous êtes jeune, on vous en for-
gera. A bientôt, ajouta la comtesse en se
retw-atit, je vous dotincx.ai uns nspomss.
Fille rëvint trois jours, après. _
j»nâ jjarié.tte vous à mon mari, dit-
| tés reGommandé, je me fais fort de la faire
prendre en lôonsidératibn.
Te consêns à verser les six mille francs
dit Biehonneau, sj je suis Sûr d’être décoré.
f«- Vous te serea, j’en prends l’engage*
menit devant mon ami, dit te chef dte bü-
rêati.
Bidionnèaü iremit te soir même Ta som-
me fixée au comte et dès lors il ne rêva
plius asc ruban Violet.
Qiv'iize jours passèrent,, la comtesse re-
vint.
Bidimneau l'introduisit dans l’arrière-
bôUtiq^
lui
. . .on cher mônsieur Biehooneaui, «u»
dit-elilieje viens vous dbnner des nouvel-
les de otre décoration; il faut encore que
vous ceseiitiez à faire un petit sacrifice :
vu le gmd nombre dte concurrents, on est
très em\rrassé au ministère pour faire un
choix; An mari m’envoie vous dire ceci
confidentllement : si vous voulez verser
mille frais seulement, vous serez mainte-
nu..
.elfe, il a sondé son ami, cela peut se faire;
venez à la maison demain, le comte vous
présentera.
Bictonoeau, enchanté, remercia chateu-
ireusement fa -comtesse. . '
Le lenidemaini, il se rendit au rendez-
vous.
Le comte de Samta-Cruz le reçut avec
cordialité; correctement sanglé dans une re-
ding'Ote noire, décoré de la rosette d offi-
câ«r de la. Légion d’honneur, il avait l’air
d’un gentleman accompli.
Il le présenta à son anfl, te chef de W-
iPeau. un monsieur respectable, egalement
officier de la Légion d’honneur.
-— Monsieur BicbonnesiU:, dit le fonction-
naire, mon excellent ams, le comte de San-
fa-G-ruz, m’a parlé de votre désir d’être dé-
coré des palmes académiques; toujours dé-
sireux -de lui être agréable, je lui ai pro-
mis mon concours.
— Merci, mon cher ami, interrompit lie
Comte.
— En ce mamaat, reprit le fonctionnaire,
nous avons de nombreuses demandes; je
vais vous faire une confidence, je suis sÛl
que je peux compter sür votre discrétion.
Bichomnoau. affirma qu’il serait muet
comme une sole.
— C’est un secret que je vais vous con-
fier : Té 'ministre a .besoin d’argent, il a.
l’intention de créer des chaires de Chinois
dans les lycées de province; certain d’é-
prouver un refus, il ne veut pas demander
die nouveaux crédits aux Chambres, il a
décidé die conférer quelques décorations à
un petit nombre dte personnes, honorables,
cela va sans dire, moyennant un versement
dte six mille francs.
— Six mile francs, répéta Bichonneau.
— Je vous ferai remarquer que oet ar-
gent n’esit pas pour le ministre, qu’il sera
affecté aou traitement des nouveaux profes-
seurs et que vous contribuerez ainsi à la
grandeur et au développement de TUniver-
sité française; nous avons beaucoup de de-
mandes, faites là vôtre; comme vous m’ê-
Bichonfiiu sortit un billet.de mille francs
; son cote-fort et le remit à la comtes-
se.
— C’estjujours pour la langue chimoi-
sej dît-elle.'j
— Je le rai bientôt, dit Bichonneau, à
sa femme, «Ml fa comtesse fut partie.
—• Cela neema pas trop tôt, répondit sa
femme; v-oiilàéjà sept mille francs que tu
donnes.
.— Les hopura, cela se paie.
Huit jours urès, Bichonneau reçut une
lettre du comTinvitant à passer chez lui
pour une oomimeation des plus impartan-
tes.
Bichonneaiu'ccouTut, le comte l’atten-
dait.
— Mnn cher.onsieur Bichonneau, lui
dit-il, j’ai une une nouvelle à vous an-
noncer, vous, êtmaintenu.
— Alors, je berai, dit Biahonneaiu en
se frottant les ms.
— Vous le sea c’est ' certain; seule-
ment vous avez numéro cent soixante-
trois, cela va votetarder beaucoup.
— Combien dtenps ?
— On fait vingà vingt-cinq nomina-
tions au plus chai fois.
— Cela sera bifong.
•— Oui, mais, dt. comte en baissant la
voix, il y a un mpjde vouis faire décorer
plus vite.
— L equel ?
— C’est un seortue mon ami m’a con-
fié : te concurrent a le .numéro six est
décédé, mon ami a l’employé chargé de
dresser les listes, hnsentifrait à placer
j votre nom à la plaie celui du mort; du
■ coup vous gagneriezis dte cent cinquante
places.
— Il ferait cela ! !
— Je vous dis cA-tre nous, reprit le
comte : oet employé pas de fortune, il
se compromet un vaut une petite
récompenise; si vous\z lui donner cinq
cents francs, l'affaire faite.
Bichonneau fit la gee ; il voulait bien
passer sur le -dos de Concurrents, mais
sans que cela lui coutisou.
— Réfléchissez, M q comte, ce sera
comme vous voudaous passe
quatorze juillet.
Bichonneau se gra| cervelet.
'— Ce sera le dterniersement, dit le
comte, je vous le pron
— C’est entendu, dtîionneau.
— Mon cher ami, rep comte, je cours
au ministère prévenin ami pour que
l’on ne .donne pas ie,éro à un autre
des offres ont déjà été» à l’employé.
— Je suis confus ponte la peine que
vous prenez, dit B:di
— Remerciez ma rè je ne sais pas
ce que vous lui avez jpe veut à toute
force que vous soyez |é.
Quinze jours après, amte annonçait
officieusement 4 Bicho), qu’il était pal-
mé et qu’il viendrait bine lui remettre
le brevet et les insigne
Bichonneau commatu grand! dîner
auquel il invita tous parents et ses
amis.
Au jour dit, le comtcmpagné de la
comtesse, fut -exact. :
En présence dé tofiSwités, il prit fa
parole.
— Mon cher ami, < permettaz-moi
de vous féliciter sineè.t pour la flat-
teuse distinction qui vit conférée par
le gouvernement qui, crains pas de
l’affirmer, s’honore en honorant. Cet-
te distinction, vousiéritez à tous
égards; jamais décoratie fut mieux
placée. Vous la portenement car elle
est la récompense de labeur. Si l'a-
griculture est une des îles de la Fran-
ce, le commerce en e: autre. Je suis
heureux'd’avoir été tt-ier à vous ap-
porter la bonne neuve c’est avec une
profonde émotion, faitie et d’orgueil,
que je vous remets' Imes académi-
ques !
Tous les assistant^ [dirent.
Le comte épingla lm.es à la bou-
tonnière de Bichonné
— Et maintenant je vais vous
donner l’accolade 1
Il se jeta au cou detmeau qui pieu
nait oommse un veau jue tous les pe-
tits Bichonneau présents, cousins, cousines,
arrièrè-petite-cou-ain-S:.
Mme Bichonneau, inondait la corsage de
la comtesse.
Tout à coup, là bonne, effarée,, vint pré-
venir son maître que le commissaire de po-
lice, accompagné de deux agents, deman-
dait à lui narler.
- Qu’il entre, dit Rkhonnteaù, surpris.
Le commissaire^ ceint de son écharpe,
s’avança vers î® teomfe et sa .compagne.
->• jâcqu-és Fajqpot et vous, Sophie Pru-
'au, veuillez me. suivre, comman-daet-il.
—. Vous VOMS trompez, dit le comte avec
hauteur.
— Il y a erreur, dit Bichonneau; mon-
sieur est le comte de Santa-Cruz.
— Allons donc ! reprit le commissaire,
c’est un escroc qui fait le commerce des dé-
corations et que nous recherchons depuis
longtemps.
Bichonneau s’affaissa dans un fauteuil»
— Et mon brevet ! s’écria-t-il.
— Faux, dît le commissaire en emmenant
te noble Couplé qui h-'opposa aucune résis-
tance.
EUGÈNE FOURRIER
.BolkÜQ iifiiiegfapliqisê
LE NOËL DE JEANNE D’ARC, — La livrai-
son que la revue national© « Jeanne d’Anc » a
publiée pour Noël est adressée gratuitement,
comme spécimen, à toute personne qui en
fait la demande à l’administration ; 41, ave-
nue d’Orléans, 41, Paris (XIV0).
La revue natiotmaîe « Jeanne d’Arc », diri-
gée par M. Jean Sarftl, est rédigée.,par un
groupe d’historiens, parmi lesquels te génê-
ral Frédéric C-aiiionge, te R. P. Ayroles, Albert
Sarrazin, J.-E. Choussy.
Ghamie Livraison contient deux contes iné-
dits, les légendes signées Henry de Lé-fins
présentent un attrâd tout spécial.
Tous les articles sont splendidement illus-
trés par l'éminent Auguste Cordiér.
La revue nationale « Jeanne d’Arc » est in-
dispensable à tous les patriotes. Le plus beau
cadeau du jour de l’an est un atoommemient à
là revu© : 3 fr. 50 pour six jadis.
EU NORMAMDSÉ, par J. HâyaüX, 1 Vol. 1 50.
Bureaux de la Ligue Nationale contre l’alcoo-
lisme, 50, rue die-s Ecoles, Paris.
Sous ce titre très court, M. Hayaux publie
le ôoanpte-rendîu de la mission qu’il avait été
Chargé dia faire en Normaudiiie pour le compte
de la ligue aintffljoûolique.
La plupairt de ceux que Sîéoccnipêîit les ra-
vages dé ralcoolisme en France savent dans
quelle situation inquiétante se débat la Nor-
mandie. Les familles s’étiolent, les enfants
dépérissent et cependant tous oontinuaierut à
boire avec régularité dès cidres distillés et
dl’dutres boissons à l’avenant.
Depuis une dizain© d’années surtout, on es-
saya. diè réagir et d’enrayer la consommation
de l’akioioà D’autres régions françaises -en
sont cauivertes. Le livre de M. Hayaux inté-
ressera les propagandistes et leur fournira
des armés éxcalientee.
CEUVRÊS CH SI S.SES de BRIZËÜX. — Sfièniés,
récits, paysages. Extraits et préface par
Léo BOUT,go, docteur ès Lettres, professeur au
Lycée de Lorient, Un votane illustré die pho-
togravures, br. 3 fr. 50 ; Librairie .Ch. Dela-
graive, 15, rue Soufflot, Paris.
De l’oeuvre de Brizeux, U n’existe aucune
édition aocessible à tous. L’auteur de ce re-
cueil a voulu rendre à la mémoire du poète,
le plus bel hommage qui sa puisse désirer : '
faire aimer son oeuvre en la faisant connaî-
tre.
Unie double pensée à guidée ce choix :
« Brizeux fut vraiment le (poète national de
la Bretagne » : elle vit tout entière dans les
poèmes die « Marie », des « Bretons », de
K Primel ©t Nota » : —- la terre, avec sas lan-
des sauvages, ses genêts verts, ses chênes
agrippés au soü de granit et le bruit des ma-
rées qui battent sas côtes ; — rhiomme avec
son âme tour à tour mdis et tendre, sa brus-
que violence qu’apaise ‘iiin sourire sous la
M’ancfueur cTiurrrè ' ■cairHc; son- V li vtweûir' tuiTcycnr dia
passé et dte la. tradition. — Le chantre d’Ar-
zannû fut le plus profond et le plus pur die-s
poètes dm Terroir.
Il sut d’ailleurs adoucir T âpreté bretonne
par la douceur latine : c’est au pays du so-
leil, dans les plaines fertiles de Manitou© qu’il
aWa icueiiHiir la fledr d’or dü livre des « Teir-
nairqs » Par cette affianicie du- génie d’Airanor
et du génie latin, il (mérite vraiment le nom
de Virgile Breton.
Ce sera à ce titre également que le présent
recueil plaira aux régioruaJ-istes les plus fer-
-vents comme aux husnanostes les -plus déli-
cats : en synthétisant l’oeuvra de Brizeux, ü
syïttbôâlse l’union de la pensée qeltiquie et de
là Corme Jatine. De nombreuses vues, em-
pruntées aux -sites qu’a .chantées îe poète il-
lustrent oe votome.
CONSEILS AUX PARENTS ET AUX MAI-
TRES. — Notions de pédagogie familiale pu-
bliées par le comité de rédaction de la « Be-
vue die Ji’Education Familiale ». — Bruxelles,
secrétariat de la « Revue de l’Education Fa-
miliale », 44, rue Rubens, 1 vol, iin-80,1910»
C’est un véritable traité de pédagogie que
publie sons ce titre le comité die rédaction de
1 « Education Familiale ». Toutes tes ques-
tions essentielles de Té-ducation physique .in-
tellectuelle, .m-orale. et religieuse sont traitées
dans ce volume sous une forme simple, pré:
cise ©t prati-n-ue d'après les travaux des édu-
cateurs les plus -compétents et les recherches
les plus récentes,.
On ya résumé les principales idées déve-
loppées dans la revue T « Education Fami-
liale », au cours des dix premières années de
son esÈstanice. A la fin die chaque dua.pitre
sont indiqués les principaux articles de la
Revue qui s’y rapportent et quelques ouvra-
ges traitent le même sujet. C’est une mine très
riche pour les éducateurs, professeurs, pères
et mères de famille soucieux de se mettre au
contrant dles méthodes d’inistRuetiani et d’édu-
cation les plus éprouvées. Nous ne saurions
trop leur recommander le volume et la Re-
vue (6 fr. par an) qui Ta publié. —• D. S.
Le ©ORRERRONDANT donnait dans son
numéro du 10 décemlMie une très intéressante
étudie d© Maurice Sabatier sur 1© centenaire
de l’ordre des Avocats. Il rappelle comment
au lendemain de la Révolution, il fut tout
d’abordl difficile de reconstituer l’Ordre ; puis
peu à peu comment te, nécessité de cette
réorganisation devint pressante.
Malgré les réserves die «Napoléon Ie» qui
craignait -que les têtes subissent l'influence
de cet Ordre comprenant trois à quatre cants
inscrits à Paris, les jurisconsultes qui peu-
plaient le Conseil d'Etat, obtinrent le décret
psrtnetteint de vivre. Lê grând Jugé avait
bien, il est vrai, dés droits absolus. « Muse-
lez -la ïüttitnê », avait dit Napoléon I®-, mais
d'autres révolutions libérèrent l’Ordre.
Dans une très bonne page Tauftetu? montre
comment la force collective de T Ordre avec
ses règles profossicmnèlles permet -â-ux avo-
cats dô résister aüx sol'licit-atldhs diverses et
nombreuses.
L’état d'esprit, générai de la Compagnie
s’ês.t u®. peu modifié et ai. Sabatier se de-
mande ce qm dêvtéïidJsa » -la défea-se en jus-
tice.» Si Toil passe de « Tait à i’industïia »,
eh l'espèce « dé la profèsêioii quasi jaâlèiàit®
à la iBTQfêssl&n êOTad.ttffieiâîTe ».
mfà te mête Mmtb; li faut Kfe les
SdtiVèniftS d© guerre (•Mexique 1804-1867), de
V. d© MbaffOK ; lès fSPOblèaeS s&ôiânX siii'
la scène et dans lé romain, de tte&rges Fonse--
grivé ; des notes 4e. ThreamDangin Sur le
cardinal Vunghan.
Le- numéro, 2 W. 50, PàTis, §1, rue Saint-
Guiilaujne
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mentaires, contes, chansons, nouivalles. Illus-
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entier, par -te professeur Hichmansn, à Paris,
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Jusqu’ici Ton, n’avait offert aux industriels
et commerçants que de très grandies cartes
qu’ils aipposaiènt au long Ses murs et qui
n’étai-enî pas toujouiB commodes nouir la lec-
turà. e
Ce nouveau manuel de 42 pages comprend
des tableaux et des plamclies iiudlq-uiant l’effl-
Ëie, le -poids, le titre et la valeur de toutes
is monnaies courantes d’or et d’argent.
LES FOIRES DE S0UAL L’ESTAP (Tara)
Par arrêté dé M. le préfet dü Tarn, toutes
les lanci-en-n-es folre-s de SoU-al à date fixe, sont
supprimées et -remplacées par des foires nou
veîles qui se tiendront les premier et troisiè-
me jeudi de chaque mois .
Là pfodhâifi'e aura lieu jeudi 5 janvier.
TMlïÈJÉIfêf CGMPLET oe LA VIGNE
Le -Soufre Inseotil. — El est bien supérieur
au soufre sublimé, c’est le -plus puissant ét le
plus éoôn-oimquie die tons le® inséàtàcides. H.
a davantage de détruire radiiicalemeint par la
même opération rOïdium, la Cochylis et TEu-
dèmis. Oe produit a fourmi des preuves pxo-
bamtes au 'cicurs do cette ninn^e.
Le FormoscS ci:- Uc formol,
de sulfure do ui./i.. u:.. u-e uuonol est plus
puissant que la Nicotine titrée.
Damandier les notices à M. A Savôs, 6-7-8,
port Saint-Etienne, Toulouse.
A la Maléoti DBLGRT^ ôptîicaen, 5, nie Lâ-
fayette, TouLoiuse, à l'occasion diu jour de
T An, on trouvera un grand ohalx de fac«-à.-
maiu, or, aaegeint, écaillé, jtumeBes à prismes,
théâtre, campagme, baramètnes, therm-omè-
tr&s, pdnee-nez, lunéttës. articles die 1®* choix
lufietin Csinrsial
Il Ntt M 301C1MBRË ISM
BULLETIN RMAMGIER
Paris, 30 décembre.
Ert réponse à la prime Opéré© dans le plus
grand calme, le marché s’est montré irrêg-u-
lier et un léger tassement dles cours s’est pro-
duit sur certaines valeurs. La liquidation
s’annonce comme devant s’effectuer très facl-
lemant, -t;
La -rente fléchit à 9705.
Les fondis russes restent soutenus : le 3 %
1891 S’inscrit à 83 50, 1e 1896 à 81 70, le 5 %
1906 à Ifri 80, le 4 1/2 1909 à 103 85 et le con-
solidé à 97 95.
L’Extérieure espagnole recule à 94 80,. le
Portugais à 66 75 et le- Turc à 93 40.
Nos âoe-iétés de crédit sont hésitantes. La
Banque de Paris se négocie à 1855, le Comp-
toir d’Escompte à 944, le Crédit Foncier à 825,
le Crédit Lyonnais à 1485 -et la Société Géné-
rale à 750.
La Société auxiliaire de crédit est deman-
dée â 598.
Dans le groupe des eliemius dô fer français,
l’Est cote 890, le by-oîi 1192, le Nord 1590 et
l’Orléans 1313.
Les obligations 5 % or de la Compagnie
des chemins de fer de l’Est Central Chilietn
se traitent à 478 50.
Les Obligations 5 % c-r idie TAlgoma central
and Hudscn Bay itailway sont demandées à
466.
L’action des anthraciitas d© Bobovo est à
122.
BOURSE ne LONDRES
Valeurs diverses obligaîlons. — Départe-
ment de la. Hamte-C-aromne, 459, — Société
Hydno-lecfriqoe Roü-ssiltonnaise 5 % 489 50
— Tramways Pous 4 % 19(»j 487. •— Mines
d’Alfai- 4 %, 485.
MARCHE DE LA VOLAILLE
Canards ronennais teprèee
Canards nantais 5d.
Canards vivants IdL
bindes mortes du Midi id.
Dindonneaux morts du Midi Se kilo.
Lapins du Satinais la pièce
Lapins vivants id.
Oies vivantes id.
Pigeons morts de Toülotiss. id.
Pigeons vivants dérouleuse......... id.
Poulets morts de Bresse id,
Poulets morts du Midi id.
Poulets morts des Charentes ...... ïd.
Poulets vivants de Bresse id.
poulets vivants du Midi îd.
Arrivages npnib
mm
MàRSHE AUX VEÀÜX
Veaux amenés
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Janvier-Février....
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Courant
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Janvier-Février.
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ferme
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Courant
Prochain
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4 de Mars
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ferme
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Consolidés
Extérieure
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Portugais 4 »/o....
Russe 1906
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Banque ottomane.
Rio Tinto
De Beers
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Eereira Gold
Goldfields
Modderfontein ..
Rand Mines
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Canadien Pacific.
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Southern, Pacific.
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MATIERES D’OR ET D’ARGEHT
Or en barre à 1000/1000 le k. 1433
Argent en barré —
Quadruple Bsphgne .
— Colomb, et Mex
Piastres mexicaines
Souverains anglais
Bank-notes •
Aigles Etats-Unis .*
34 37
92 25 ./.
,80 625 ./.
80 375 ./.
20 25 ./.
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51 55 ./.
24 61 ./.
20 60 ./.
27 50
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Cours des différents rnétau
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13 3/9
23 17/6
174 7/0
Zinc
BGURSiE DS TOULOUSE DU 30 -DECEMBRE
De 10 -heures à H hau-res
Fonds d’Etat français. —■ 3 % au porteur,
97 10, 3 % amiorMiSsable, 97 80.
Fonds garantis par le gouvernement fran-
çais. — Obllgatiiioinû Madagasoar 3 % 1903 1905,
92.
Oblig-ations Intfo-
iBmprunt des Colonies,
CiM-ne 3 % 1902, 406.
Emprunts ds Villes. — Ville de Paris : Obli-
gàtionô 1865, 4 %, 542 50 ; 1876, 4 %, 540 85 ;
1892., 2 1/2 %. 364 50 ; 1898, 2 %, 420; 1910 non
libéré 3 %, 372,
Valeurs françaises. — Comptoir d’Escompté
ex-coup-. 31, 822. —- -Obligations Comm-unaies
1880, 3 ' 503 25. — O-bliga-tmons Foncières 1885
2 6û %, 471 25. — Obligations Pomcières 1909,
255. — Crédit Lyoïmiaas, ex-amp. 26, 1484, —
Btmque firaniçaise poui" le oommèrcie et Tindus-
tarie, ex-coiup". 9, 32.9. —- Est, obligations 3 %
noüvêBes., 432. —, Lyon ià -lia Médiiterranée (Pa-
ris à) ajciion®, ex-coup. 101, H195. —Midi, ac-
tions ex-ooup. 106, 1135. — Midi, -obligations
3 % nouvelles, 428. — Nord, obligati-ons 3 % an-
cieimnes, 438 25. —Ouest, lacti-on-s, ex-ajup, 107
934. — Immeubles de France, obligations 400 f.
187. — Canal de Suez, parts de fondateur, ex-
coup. 61, 2,458.
Fonds d’Etat étrangers. — Chteods 4 % 1895
c. 100 et petite co-uipure, 101 50. — Extérieure,
Espagne, coupuires 80 et 8 pesetas (estamp).
98 45. — Russe Russe 3 % 1891, 83 40. — Ob.
Suède 3 60, 473. — HonàlFOdiS, ob. 20 fl-oriais,
97 90.
Valeurs étrangères— Antidatais, obliigations
3 % 2e série, 324 75. — Lombardes 4 % 411 50.
— Nord; de l’Espagne -obligations 3 % 4 série,
358 50. Obligation Thomson Houston, 500.
Valeurs diverses, actions. — Mimes d© Car-
maux ex-coup. 61, 2290. — Chemin de fer à
voie étroite dlu Tarn ex-ooup. 1t4, 155. — Che-
min de fer du Sud-Ouest ex-amp, Z! 418 —
L'Epargne ex-coup 23, 235.
COLZA
Dïspônibie ,..1 65 ..
Courant,.........J 65 ..
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Tendance
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Courant
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4 premiers
4 de Mars
4 deMai.
Tendance
Circulation (q.)
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Le Télégramme présente
â SES LECÎEÜPtS & âBOüKÊS
Ui) ^Injapel) IIÎ(i?lFê
, intéressera Ions les membres de 1®
ia mille, grands et petits.
qui
fan
II contient uii calendrier en couleurs des-
siné par Malherbe, une revue illustre» de
l’année, de nombreux, contés et nouvelles,
des charges, bons mots et passe-temps, etc.
Il joint Tutile à i’agréable, puisqu’il COTÏ-
tient encore : Les mois de L’agriculteur et
du jardinier ; Un petit guide de médecin»
élémentaire ; un dictionnaire pratique »
l’usage de la ferme; l’empiacement des
troupes et régiments ; les foires des depar-
tements.
On le trouve chez tous les dépositaires du
V/X! xo .XVXX.OX.X.OX, déposi
ïélégrdmme, aupriîde O fr. BO.
Et on peut le recevoir franco par poste
contre O fr. 65 adressés én timbrés ou
mandat aux Bureaux de Toulouse.
49-50
50 50
50 75
51 75
99 50
99 50
97 50
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HALLES CENTRALES OE PARIS
MARCHE DES LEGUMES
Champignons de couche le kilo.
Haricots verts de serre —
Haricots verts d’Algérie —
Epinards —
Oignons en grains —
Oseille —
Pois verts -
Pommes de terre de Hollande ( —
Pommes de terre rose —
Pommes de terre d’Afrique —
Endives belges le cent.
Artichauts _
Choux nouveaux —
Choux-fleurs ‘ —
Laitues , _
Asperges la botte
Carottes nouvelles —
Naveis nouveaux —
Cresson i2bott.
POISSONS DEAU DOUCE
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DONNEZ
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pour fêtes
cadeaux ^
souvenirs
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Ablettes.. •
Angnitles vivantes de Seine
Anguilles vivantes Picardes
Anguilles mortes
Anguilles poulettes
Barbillons
Brabues
Brèmes
Brochets
Carpes
Cordons
Gaujons
Perches
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Truites frigorifiées
Truites de rivière
Truites saumonées
Arrivages eau douce nombre
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0 60
5 50
7.50
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Pour éviter Ses frais de recouvrement,
les abonnés sont priés d’@nvoyer directe-
ment lé montant de leur renouvellement.
Les violettes sont expédiées en eartôns fett
més, directement aux acheteurs par les jardi-
niers unis en coopérative de production
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Midi
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Nord
Métropolitain li-
Nord-Sud '
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Omnium Lyonnais
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Soc. cent, de Dynamite.
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Egypte unifiée.. I
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Hongrois 4 0/0
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Roumain 4 0/0
Russe 1867-69
Russe 1880 gf-
(Russe 1SS9
Russe 1890, 2e et"
Russe 1890, 4e.. £r
Russe 1893 5c "
Russe 1894,6e ..fT
Russe 1901
Russe consolidé £
Russe consolidé 4
Russe S 1/2 0/0 18f
Russe int. 4 0/0 ÉI
Russe 3 0/0 1891
Russe 3 0/0 1396j/
Ottomane consolf
Ottomane douant
2e-
..f.
DERNIER COURS
Compt. Terme
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1153 ..
697 ..
401 ..
422 50
1747 ..
1388 ..
366 ..
39%..
p. C.
98 50
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97 50
97 90
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98 ..
90 33
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498 50
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692
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S17
122
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401
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1745
13S0
363
393
D. G.
OBLIGATIONS
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— 1871 3 0/0.
— 1875 40/0.
— 1876 40/0.
— 1892 21/2.
— 1894-9621/2
— 1898 2 0/0.
— 1899 2 0/0.
— 1904 2 1/2.
— 1905
— 1910.'
Foncières 1879 3 0/0.::.’.
— 1883 3 0/0
— 1SS5 2,80 0/0..
— 1895 2,80 0/0..
— 1903 3 0/0....
— 1909 30/0
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— 1891
— 1892 2 60 0/0
— 1899
— 1906
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— 1888
Bons â lots Panama
Lots du Congo
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P.-L.-M. 3 1/2 0/0
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Rhône-et-Loire 4 0/0. ...
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256 ..
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397 50
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253 1.
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Cours
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Cours
Chemin de fer Santa-Fé.
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Comp. gén. Tramways'..
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Cr. tonc. Canada 3.40 0/0
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Cr. fonc. Egyp. 31/2 0/0..
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Gaz de Madrid
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Thomson 4 0/0
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Forces mot. du Rhône ..
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— de Paris...
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Crédit fonc. Egyptien...
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1395 ■.
BANQUE TERME
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