Titre : Les Pyrénées thermales : organe de l'Union syndicale des stations thermales des Pyrénées et des bains de mer du Sud-Ouest
Éditeur : [s.n.] (Pau)
Date d'édition : 1876-06-29
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb41105231t
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 29 juin 1876 29 juin 1876
Description : 1876/06/29 (A1,N9). 1876/06/29 (A1,N9).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG64 Collection numérique : BIPFPIG64
Description : Collection numérique : BIPFPIG65 Collection numérique : BIPFPIG65
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t538312737
Source : Archives et bibliothèques Pau Béarn Pyrénées, Ee 1634
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 11/06/2023
LES PYRÉNÉES THERMALES
IMMENSE ÉCONOMIE!"
par l’acquisition des formules, coûtant cent fois
moins que l’achatdu remède
l>-e partie. Eau de Méiny infaillible contre les
écoulements contagieux et prëservative. Faci-
lité de sa préparation : faire peser chez un phar-
macien, dans le même papier 4g., 5g., Ig., 1g.,
Ig., verser dans un litre d’êau de fontaine,
agiter pour dissoudre. Se conserve indéfini-
ment. Ne coûte pas 50 centimes le litre.
2me. Guérison des dartres les plus rebelles au
moyen d’une plante qu’on trouve partout.
3me. La meilleure des poudres dentifrices
connues, coûtant 50 centimes le kilogramme.
Et 9 autres recettes non moins utiles, d’une exé-
cution aussi simple, intercalées dans les trois
parties. .
Adresser 5 fr. à M. EYMIN, dépositaire a
Vienne (Isère), pour recevoir franco la brochure.
Il expédie une des trois parties pour 2 fr.
P (10)
PLAIES, ULCÈRES,
blessures de toutes sortes, maux de gorge, an-
gines couenneuses. pityriasis du cuir chevelu,
suppurations fétides, pertes blanches, inflam-
mation des gencives, etc., etc., guérison par le
COALTAR saponiné LE BEU F
désinfectant antimiasmatique, cicatrisant les
plaies, admis dans les hôpitaux de la ville de
Paris et de la marine militaire française. Preu-
ves irrécusables des qualités de ce
produit. Cette excellente préparation est
indispensable dans les familles, soit pour la
guérison des maux indiqués plus haut, soit
pour les petits accidents de chaque jour et cer-
tains soins hygiéniques. Employé comme une
Eau dentifrice “^TpSTî;
bouche.
Bayonne, chez M. L. Le Beuf, pharmacien de
lre classe, ex-interne des hôpitaux de Paris.
Dépôt dans les principales pharmacies de
France et de l’étranger. (1^ fer)
BAGNÈRES-DE-LUCHOfT
AUTORISATION DE^ L’ETAT
Eau minérale, arsenicale, ferrugi-
neuse, iodurée. — M. Eéon Barès,
propriétaire. — Cette source n’est qu à dix
minutes de l’allée des Soupirs. Elle est située
au pied d’une cascade et entourée de sites
magnifiques. L’expérience prouve tous les
jours l’efficacité de cette eau dans la dispep-
sie, les affections chlorotiques (pâles
couleurs) scrofuleuses (humeurs froides) la
leucorrhée (pertes blanches) et dans les
affections où les toniques ferrugineux sont indi-
qués. C’est donc un excellent fortifiant pour les
tempéraments débiles, faibles et lympathiques.
GRAND ÉTABLISSEMENT
THERMAL DES ESCALDES.
Carbonell frères, propriétaires, direc-
teurs. (Canton de SAILLAGOUSE), Pyrénées-Orien-
tales. — Cet établissement est nu des plus
importants, des plus complets et des mieux
situés de ' la région pyrénéenne ; panorama
splendide de la pittoresque plaine de la Cerda-
gne; climat des plus salubres. — L’établisse-
ment possède cinq sources principales très
abondantes, variant de 18° à 54°. Ces eaux
sont sulfureuses, sulfo-acalines et alcalines. Dou-
ches horizontales, verticales, circulaires et uté-
rines à forte pression : systèmes nouveaux. Bai-
gnoires de marbre. — Buvette dans le Parc.
— Des pulvérisateurs perfectionnés viennent
d’être installés avec le plus grand soin.
Ou a recours aux eaux des Escaldes pour
combattre diverses maladies des voies respira-
toires ; les affections orbito-oculaires ; et des
voies urinaires; les rhumatismes; les maladies
nerveuses ; les engorgements des viscères abdo-
minaux, les affections chroniques de l’utérus;
les scrofules, les plaies fistuleuses ; les maladies
cutanées : dartres de toute espèce; les accidents
consécutifs des affections vénériennes y sont
aussi traités avec grand succès. — Un docteur
en médecine est attaché au service de l’établis-
sement.
Table d’hôte confortable ; restaurant à la
carte ; salle de café avec billard ; consommations
de premier choix.
Chambres et appartements complets : service
ne laissant rien à désirer, grand salon nouvelle-
ment décoré dans le style Louis NV. Excellent
piano d’une de nos meilleures fabriques. Salle
de spectacle avec beaux décors. —- Voitures
pour promenades. Service régulier d’omnibus
pour Puycerda (Espagne) et Bourg-Madame^^
IM n M IT [T 11 D des fonc*s puUUcs est en-
I Vl U111 I L U 11 voyé gratis pendant deux
mois, sur demande au Directeur, 16, rue du
Quatre-Septembre.
GORGES DU FIER c£:
restaurant à l’entrée des Gorges
propriété du grand-hôtel d’Angleterre d’Annecy.
Bureau télégraphique. — Avis important : ne
pas confondre cet établissement, situé à l’entrée
de la gorge, et où les billets d’entrée de la gale-
rie doivent être pris, avec le restaurant près de
la gare.
Pour tous les renseignements sur les gorges,
s’adresser au grand hôtel d’Angleterre.
L’action combinée des mouvements actifs et
passifs que détermine le skating s’affirme dans
ses effets par une suractivité imprimée à l’en-
semble fonctionnel de l’organisme. Ainsi j’ai vu,
après quelques semaines de skating, l’appétit
renaître et les digestions se régulariser chez des
dyspeptiques. Des névropathes à peau sèche et
contractée, atteints de névralgies et d’insomnies,
ont dû à cet exercice une détente nerveuse et le
retour du sommeil ; l’abondance des transpira-
tions provoquées rend facilement compte de ce
dernier résultat. Puissamment secondée par la
contractilité musculaire dépensée, la combus-
tion resphatoire augmente avec la chaleur
animale. Rapidement brûlés, les éléments car-
burés ne s’emmagasinent plus au sein de l’or-
ganisme, et le patineur voit ses chairs, anté-
rieurement empâtées et flasques, gagner en élas-
ticité et en fermeté. Le fait dont je certifie l’au-
thenticité est à lui seul une indication précieuse,
particulièrement pour les lymphatiques et les
individus atteints d’obésité.
—
FAITS DIAEBS
A Tarbes, a eu lieu un concours hippique fort
intéressant : on y a vu le cheval des Pyrénées
dans toute sa valeur.
Qu’il vienne de la plaine de Tarbes ou des
environs de Pau, le cheval des Pyrénées est le
type du cheval de cavalerie légère. Les fameux
hussards de Chambotau et Borching se remon-
taient en Béarn et en Navarre.
En 1806, on songea à relever la production
chevaline du midi. L’étalon oriental y fût
ramené à l’état de pureté.
Les réquisitions de guerre de 1808, 1814 et
1815 vinrent de nouveau appauvrir la popula-
tion chevaline du pays.
Sous la Restauration, on s’occupa encore delà
race navarràise ou des Pyrénées; mais à partir
de 1850, ou eut le tort de vouloir la grandir en
employant des pères plus élevés que les ara-
bes et que l’on emprunta à l’Angleterre. Ce fut
à cette époque une faute d’autant plus grave,
que la culture fourragère n’était pas assez déve-
loppée. Le concours hippique de Tarbes a prouvé
qu’on était revenu de cette erreur. Sur 84 pou-
liches de 2 ou 3 ans et 74 juments poulinières
de pur-sang arabe, ou anglo-arabe de demi-
sang, il n’y avait que 6 juments poulinières de
pur-sang anglais. Les éleveurs trouvent, parait-
il, des débouchés plus avantageux et des prix
plus rénumérateurs qui les encouragent dans la
nouvelle voie où ils sont entrés.
(Réforme Économique).
On nous prie de signaler à l’administration
une lacune des plus regrettables, dans le service
des trains entre Bayonne et les villes-frontières
de l’Espagne.
La compagnie des chemins de fer du midi ne
délivre pas de billets de troisième classe aux
voyageurs partant de Bayonne pour Irun et
Saint-Sébastien» Cette mesure est très préju-
diciable pour les concessionnaires et les voya-
geurs que leurs affaires appellent souvent dans
ces localités si voisines de notre ville.
Un arrêté de M. le préfet des Basses-Pyré-
nées, autorise MM. les ingénieurs des ponts et
chaussées, et les agents sous leur ordre, à péné-
trer, pour le tracé du chemin de fer de Puyooà
Saint-Palais, dans les propriétés communales
ou privées, situées sur le territoire des commu-
nes de Puyoo, Ramous, Bellocq, Carresse,
Salies-de-Béarn, Auterrive, Saint-Dos, Labas-
tide-Villefranche, Castagnède, Escos, Arbitain,
Autevielle, Saint-Martin, Arbouet, Gabat, Ca-
mou-Mixte Subats, Amendeuix-Oneix, Aïciritz-
Garris, Saint-Palais.
Le fameux guide Orteig, des Pyrénées, vient
d’accepter le défi suivant : prendre un izard
vivant et, dans l’espace de huit jours, l’amener
à Paris ; Orteig tient ce pari contre trois espa-
gnols et un quatrième concurrent redoutable :
Delbourne, d’Arithéon, si connu par ses succès
à la chasse à l’izard.
Orteig a invité tous les chasseurs d’izard à
venir se mesurer avec lui et ses quatre con-
currents.
Mardi dernier, a eu lieu la fête d’inaugura-
tion du chemin de fer de la Teste à Gazaux.
L’ouverture de cette nouvelle voie ferrée est
encore un élément de prospérité pour cette
contrée.
Du Ier juillet au 50 septembre, un nouveau
frain express circulera de Bordeaux à Bayonne.
Le départ de Bordeaux aura lieu à 7 heures 10
du soir, et l’arrivée à Bayonne à 10 heures 45 ;
durée du trajet, 5 heures 45 pour d98 kilomè-
tres; vitesse commerciale, 55 kilomètres à l’heure
(trois arrêts : à Lamothe, Morcenx et Daxj. Ce
train fera suite, comme celui de la ligne de
Cette, au rapide arrivant de Paris, et on aura
un correspondant sur Arcachon où 1 on descen-
dra à 8 heures d7 du soir. Le retour s’effectuera
de Biarritz ; départ à midi 45, arrivée à Bor-
deaux à 5 heures 05.
Les trains rapides dont il vient d’être ques-
tion ne donnent pas seuls la mesure des chan-
gements notables apportés à la situation anté-
rieure : il est encore créé sur la ligne de Tou-
louse à‘Bayonne, à partir du juillet prochain,
un train express permanent dans chaque sens
en sus des trains déjà existants; sa vitesse ne
sera pas considérable (T>8 kilomètres en moyen-
ne, arrêts compris) ; mais il faut considérer que
cette ligne est assez accidentée, surtout entre
Montréjeau et Pau. Du reste, ce train prendra
des voyageurs de lre et 2e classe à toutes les
stations d’arrêt, et des voyageurs de 5e à cer-
tains points.
PUISSANCE DE L’ANNONCE
Un vieux cheval était gardé depuis assez
longtemps dans l’écurie de son maître, quoiqu il
ne fût plus apte à aucun service. Il était là,
comme aux invalides : Mais enfin M. X....
voyant que le pauvre animal lui était toujours
à charge, sans aucune utilité, se décida à le
sacrifier en manifestant toutefois hautement de
vifs regrets à cet égard.
—Ne l’envoyez pas à l’équarisseur, s’écrie un
courtier d’annonces qui avait entendu la mani-
festation de ces regrets.
— Que voulez-vous pourtant que j’en fasse ?
s’écria le maître.
— Il faut le vendre.
— Le vendre ! et qui en voudra ?
— Laissez-moi faire.
Et tous les jours, à la quatrième page d’un
des journaux les plus répandus de Paris on
peut lire :
A VENDRE
« Un vieux cheval borgne, boitant légère-
ment, et ne pouvant ni se monter, ni s’atteler,
prix, 800 fr. »
— Quel est le gros imbécile, s’écria un abonné
qui s’imagine pouvoir vendre son cheval sur
une pareille annonce ?
Le lendemain il lut encore en caractères sail-
lants :
A VENDRE
« Un vieux cheval borgne, etc. »
Au bout de huit jours, l’abonné se dit à lui-
même :
« Ce n’est pas possible ; la bêtise humaine
est grande, mais elle n’irait pas jusque-là : il
faut qu’il y ait quelque chose là-dessous.
Et il acheta le cheval !
L’acheteur n’a pas encore révélé sa trouvaille.
Eniosa Syndicale de Pau
MM. les Sociétaires du Syndicat sont priés
d’adresser immédiatement au bureau du Syndi-
cat, rue des Cordeliers, n° 7, l’annonce qu’ils
ont le droit de faire insérer gratuitement, ou le
changement qu’ils désirent faire dans le Guide
de l’Étranger à Pau.
^CORRESPONDANCE^
M. H. S., à Nossa-les-Baihs, (Pyrénées-Orien-
tales).
Nous regrettons de ne pas recevoir vos com-
munications, qui auraient plus de-valeur à
l’entrée de la saison des eaux.
Salutations empressées.
Mme la baronne de Friedberg, Paris.
La saison thermale est ouverte aux Eaux-
Bonnes; de nombreux baigneurs commencent
à arriver. Rien n’existe des ravages de lan
dernier, comme vous avez pu le voir dans nos
articles sur votre station de prédilection.
Hommages respectueux.
P A TTTFPFTQ hôtel de l’Lni-
UAU 1 EILXLA 1 O Vers. M. CIER.
Rue de la Fontaine, 5. — Grands et petits
appartements. — Table d’hôte et restaurant. —
Service en ville pour familles. Maison très con-
fortable et très recommandée. (58)
ETABLISSEMENT Campagne
(Aude). — Chemin de fer du Midi. — Station
deLimoux. — Trajet deLimoux à Campagne en
une heure heure et demie.
Les eaux de Campagne se prennent en bois-
son, bains et douches.
Elles sont indiquées dans les cas de gastral-
gie, dyspepsie, anémie, névrose, gravelle, ca-
tharre vésical, fièvres paludéennes, intermittentes
et rebelles.
Affections bilieuses, syphilitiques, altération
des muqueuses intestinales. — Dyssenteries
anciennes.
On trouve à la station thermale de Campa-
gne nn hôtel avec table d’hôte. — Restaurant
à la carte et à prix fixe. — Logement pour
familles qui veulent faire leur ménage. — Mai-
sons meublées. — Chalets. — Cafés.
Une chapelle est mise à la disposition de
MM. les ecclésiastiques, pour la célébration de
l’office divin.
Enfin, de nombreuses et intéressantes excur-
sions peuvent se faire dans la même journée
à l’aide de voitures on d’omnibus de louage, en
parcourant les gorges de la Pierre Lys et de
Saint-Georges. — Forêts de Fanger et de Cal-
long. — Fontaine intermittente de Belesta,
etc. (UH)
VF VF Y £raïld-hôtel de \ evey,
¥ i-J V JQ X tenu par A. Hirschy. Ce magni-
que établissement est situé au centre d’un im-
mense parc au bord du lac. Vue splendide de
tous les points de l’hôtel. — Installation élé-
gante. — Bains chauds et froids aux étages. —
Ascenseurs (Lift). — Bureau télégraphique
dans l’hôtel. — Débarcadère des bâteaux à
vapeur. — Omnibus de l’hôtel à la gare. — Pen-
sion pendant la saison d’hiver.
ni jj[Ç de mauvaises vues. M. Mayer, de
S L U ô Paris, vient de fonder un établisse-
ment spécial d’optique, rue du Gouvernement,
n0 5, maison Lacaze à Bayonne. Avec son sys-
tème de verres gradués, cristal de roche
ainsi que ses verres fumés, il peut assurer que
les plus mauvaises vues éprouveront une nota-
ble amélioration, si même il n’y a guérison.
Non-seulement M. Mayer peut, à la seule ins-
pection des yeux, délivrer les verres de lunettes
nécessaires aux personnes en ayant besoin ;
mais il est possesseur d’un instrument nouveau
avec lequel il peut déterminer le genre et le
degré de faiblesse de la vue, ce qui peut échap-
per quelquefois à l’ophtalmoscope. M. Mayer
engage toutes les personnes qui font usage de
lunettes à aller le consulter. Use fera un plaisir
de les renseigner.
A I I n I N A P (Arié^e) Eau purgative et
HU U I llfAU diurétique renommée pour
son efficacité dans le traitement des affections
chroniques des organes abdominaux et possé-
dant des propriétés toniques.
LAVARDENS Eaux ferruginses froi-
des, employées avec beaucoup de succès contre
la chlorose et les affections rhumatismales. Les
étrangers trouvent dans cette station tout ce qui
est nécéssaire pour soigner leur santé.
PPTVTF'UT Hôtel National sur les
U"Ju IV J_J V XJ bord du lac. Vue sur la
chaîne entière du Mont-Blanc. — Arrangement
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fortables. Magnifique panorama.
Hôtel Royal avec parc et observatoire.
Vue très étendue sur les chaînes du Mont-
Blanc et les Aiguilles-Rouges.
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Palais de Cristal. Se recommandent par
leur prix modéré et leur bonne tenue. Vue
sur les glaciers.
Bureau télégraphique. Bains chauds et froids.
Source d’eau alcaline sulfureuse. Guides et
mulets pour excursions. Salons de lecture,
billards et fumoirs. Télescopes pour suivre les
ascensions.
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lUI ! fil !« L phthisie pulmonaire, bron-
chite chronique, asthme, catarrhe, etc., trouve-
ront le traitement par la nouvelle méthode du
Dr Jules Boyer (dë Paris).
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Ig., verser dans un litre d’êau de fontaine,
agiter pour dissoudre. Se conserve indéfini-
ment. Ne coûte pas 50 centimes le litre.
2me. Guérison des dartres les plus rebelles au
moyen d’une plante qu’on trouve partout.
3me. La meilleure des poudres dentifrices
connues, coûtant 50 centimes le kilogramme.
Et 9 autres recettes non moins utiles, d’une exé-
cution aussi simple, intercalées dans les trois
parties. .
Adresser 5 fr. à M. EYMIN, dépositaire a
Vienne (Isère), pour recevoir franco la brochure.
Il expédie une des trois parties pour 2 fr.
P (10)
PLAIES, ULCÈRES,
blessures de toutes sortes, maux de gorge, an-
gines couenneuses. pityriasis du cuir chevelu,
suppurations fétides, pertes blanches, inflam-
mation des gencives, etc., etc., guérison par le
COALTAR saponiné LE BEU F
désinfectant antimiasmatique, cicatrisant les
plaies, admis dans les hôpitaux de la ville de
Paris et de la marine militaire française. Preu-
ves irrécusables des qualités de ce
produit. Cette excellente préparation est
indispensable dans les familles, soit pour la
guérison des maux indiqués plus haut, soit
pour les petits accidents de chaque jour et cer-
tains soins hygiéniques. Employé comme une
Eau dentifrice “^TpSTî;
bouche.
Bayonne, chez M. L. Le Beuf, pharmacien de
lre classe, ex-interne des hôpitaux de Paris.
Dépôt dans les principales pharmacies de
France et de l’étranger. (1^ fer)
BAGNÈRES-DE-LUCHOfT
AUTORISATION DE^ L’ETAT
Eau minérale, arsenicale, ferrugi-
neuse, iodurée. — M. Eéon Barès,
propriétaire. — Cette source n’est qu à dix
minutes de l’allée des Soupirs. Elle est située
au pied d’une cascade et entourée de sites
magnifiques. L’expérience prouve tous les
jours l’efficacité de cette eau dans la dispep-
sie, les affections chlorotiques (pâles
couleurs) scrofuleuses (humeurs froides) la
leucorrhée (pertes blanches) et dans les
affections où les toniques ferrugineux sont indi-
qués. C’est donc un excellent fortifiant pour les
tempéraments débiles, faibles et lympathiques.
GRAND ÉTABLISSEMENT
THERMAL DES ESCALDES.
Carbonell frères, propriétaires, direc-
teurs. (Canton de SAILLAGOUSE), Pyrénées-Orien-
tales. — Cet établissement est nu des plus
importants, des plus complets et des mieux
situés de ' la région pyrénéenne ; panorama
splendide de la pittoresque plaine de la Cerda-
gne; climat des plus salubres. — L’établisse-
ment possède cinq sources principales très
abondantes, variant de 18° à 54°. Ces eaux
sont sulfureuses, sulfo-acalines et alcalines. Dou-
ches horizontales, verticales, circulaires et uté-
rines à forte pression : systèmes nouveaux. Bai-
gnoires de marbre. — Buvette dans le Parc.
— Des pulvérisateurs perfectionnés viennent
d’être installés avec le plus grand soin.
Ou a recours aux eaux des Escaldes pour
combattre diverses maladies des voies respira-
toires ; les affections orbito-oculaires ; et des
voies urinaires; les rhumatismes; les maladies
nerveuses ; les engorgements des viscères abdo-
minaux, les affections chroniques de l’utérus;
les scrofules, les plaies fistuleuses ; les maladies
cutanées : dartres de toute espèce; les accidents
consécutifs des affections vénériennes y sont
aussi traités avec grand succès. — Un docteur
en médecine est attaché au service de l’établis-
sement.
Table d’hôte confortable ; restaurant à la
carte ; salle de café avec billard ; consommations
de premier choix.
Chambres et appartements complets : service
ne laissant rien à désirer, grand salon nouvelle-
ment décoré dans le style Louis NV. Excellent
piano d’une de nos meilleures fabriques. Salle
de spectacle avec beaux décors. —- Voitures
pour promenades. Service régulier d’omnibus
pour Puycerda (Espagne) et Bourg-Madame^^
IM n M IT [T 11 D des fonc*s puUUcs est en-
I Vl U111 I L U 11 voyé gratis pendant deux
mois, sur demande au Directeur, 16, rue du
Quatre-Septembre.
GORGES DU FIER c£:
restaurant à l’entrée des Gorges
propriété du grand-hôtel d’Angleterre d’Annecy.
Bureau télégraphique. — Avis important : ne
pas confondre cet établissement, situé à l’entrée
de la gorge, et où les billets d’entrée de la gale-
rie doivent être pris, avec le restaurant près de
la gare.
Pour tous les renseignements sur les gorges,
s’adresser au grand hôtel d’Angleterre.
L’action combinée des mouvements actifs et
passifs que détermine le skating s’affirme dans
ses effets par une suractivité imprimée à l’en-
semble fonctionnel de l’organisme. Ainsi j’ai vu,
après quelques semaines de skating, l’appétit
renaître et les digestions se régulariser chez des
dyspeptiques. Des névropathes à peau sèche et
contractée, atteints de névralgies et d’insomnies,
ont dû à cet exercice une détente nerveuse et le
retour du sommeil ; l’abondance des transpira-
tions provoquées rend facilement compte de ce
dernier résultat. Puissamment secondée par la
contractilité musculaire dépensée, la combus-
tion resphatoire augmente avec la chaleur
animale. Rapidement brûlés, les éléments car-
burés ne s’emmagasinent plus au sein de l’or-
ganisme, et le patineur voit ses chairs, anté-
rieurement empâtées et flasques, gagner en élas-
ticité et en fermeté. Le fait dont je certifie l’au-
thenticité est à lui seul une indication précieuse,
particulièrement pour les lymphatiques et les
individus atteints d’obésité.
—
FAITS DIAEBS
A Tarbes, a eu lieu un concours hippique fort
intéressant : on y a vu le cheval des Pyrénées
dans toute sa valeur.
Qu’il vienne de la plaine de Tarbes ou des
environs de Pau, le cheval des Pyrénées est le
type du cheval de cavalerie légère. Les fameux
hussards de Chambotau et Borching se remon-
taient en Béarn et en Navarre.
En 1806, on songea à relever la production
chevaline du midi. L’étalon oriental y fût
ramené à l’état de pureté.
Les réquisitions de guerre de 1808, 1814 et
1815 vinrent de nouveau appauvrir la popula-
tion chevaline du pays.
Sous la Restauration, on s’occupa encore delà
race navarràise ou des Pyrénées; mais à partir
de 1850, ou eut le tort de vouloir la grandir en
employant des pères plus élevés que les ara-
bes et que l’on emprunta à l’Angleterre. Ce fut
à cette époque une faute d’autant plus grave,
que la culture fourragère n’était pas assez déve-
loppée. Le concours hippique de Tarbes a prouvé
qu’on était revenu de cette erreur. Sur 84 pou-
liches de 2 ou 3 ans et 74 juments poulinières
de pur-sang arabe, ou anglo-arabe de demi-
sang, il n’y avait que 6 juments poulinières de
pur-sang anglais. Les éleveurs trouvent, parait-
il, des débouchés plus avantageux et des prix
plus rénumérateurs qui les encouragent dans la
nouvelle voie où ils sont entrés.
(Réforme Économique).
On nous prie de signaler à l’administration
une lacune des plus regrettables, dans le service
des trains entre Bayonne et les villes-frontières
de l’Espagne.
La compagnie des chemins de fer du midi ne
délivre pas de billets de troisième classe aux
voyageurs partant de Bayonne pour Irun et
Saint-Sébastien» Cette mesure est très préju-
diciable pour les concessionnaires et les voya-
geurs que leurs affaires appellent souvent dans
ces localités si voisines de notre ville.
Un arrêté de M. le préfet des Basses-Pyré-
nées, autorise MM. les ingénieurs des ponts et
chaussées, et les agents sous leur ordre, à péné-
trer, pour le tracé du chemin de fer de Puyooà
Saint-Palais, dans les propriétés communales
ou privées, situées sur le territoire des commu-
nes de Puyoo, Ramous, Bellocq, Carresse,
Salies-de-Béarn, Auterrive, Saint-Dos, Labas-
tide-Villefranche, Castagnède, Escos, Arbitain,
Autevielle, Saint-Martin, Arbouet, Gabat, Ca-
mou-Mixte Subats, Amendeuix-Oneix, Aïciritz-
Garris, Saint-Palais.
Le fameux guide Orteig, des Pyrénées, vient
d’accepter le défi suivant : prendre un izard
vivant et, dans l’espace de huit jours, l’amener
à Paris ; Orteig tient ce pari contre trois espa-
gnols et un quatrième concurrent redoutable :
Delbourne, d’Arithéon, si connu par ses succès
à la chasse à l’izard.
Orteig a invité tous les chasseurs d’izard à
venir se mesurer avec lui et ses quatre con-
currents.
Mardi dernier, a eu lieu la fête d’inaugura-
tion du chemin de fer de la Teste à Gazaux.
L’ouverture de cette nouvelle voie ferrée est
encore un élément de prospérité pour cette
contrée.
Du Ier juillet au 50 septembre, un nouveau
frain express circulera de Bordeaux à Bayonne.
Le départ de Bordeaux aura lieu à 7 heures 10
du soir, et l’arrivée à Bayonne à 10 heures 45 ;
durée du trajet, 5 heures 45 pour d98 kilomè-
tres; vitesse commerciale, 55 kilomètres à l’heure
(trois arrêts : à Lamothe, Morcenx et Daxj. Ce
train fera suite, comme celui de la ligne de
Cette, au rapide arrivant de Paris, et on aura
un correspondant sur Arcachon où 1 on descen-
dra à 8 heures d7 du soir. Le retour s’effectuera
de Biarritz ; départ à midi 45, arrivée à Bor-
deaux à 5 heures 05.
Les trains rapides dont il vient d’être ques-
tion ne donnent pas seuls la mesure des chan-
gements notables apportés à la situation anté-
rieure : il est encore créé sur la ligne de Tou-
louse à‘Bayonne, à partir du juillet prochain,
un train express permanent dans chaque sens
en sus des trains déjà existants; sa vitesse ne
sera pas considérable (T>8 kilomètres en moyen-
ne, arrêts compris) ; mais il faut considérer que
cette ligne est assez accidentée, surtout entre
Montréjeau et Pau. Du reste, ce train prendra
des voyageurs de lre et 2e classe à toutes les
stations d’arrêt, et des voyageurs de 5e à cer-
tains points.
PUISSANCE DE L’ANNONCE
Un vieux cheval était gardé depuis assez
longtemps dans l’écurie de son maître, quoiqu il
ne fût plus apte à aucun service. Il était là,
comme aux invalides : Mais enfin M. X....
voyant que le pauvre animal lui était toujours
à charge, sans aucune utilité, se décida à le
sacrifier en manifestant toutefois hautement de
vifs regrets à cet égard.
—Ne l’envoyez pas à l’équarisseur, s’écrie un
courtier d’annonces qui avait entendu la mani-
festation de ces regrets.
— Que voulez-vous pourtant que j’en fasse ?
s’écria le maître.
— Il faut le vendre.
— Le vendre ! et qui en voudra ?
— Laissez-moi faire.
Et tous les jours, à la quatrième page d’un
des journaux les plus répandus de Paris on
peut lire :
A VENDRE
« Un vieux cheval borgne, boitant légère-
ment, et ne pouvant ni se monter, ni s’atteler,
prix, 800 fr. »
— Quel est le gros imbécile, s’écria un abonné
qui s’imagine pouvoir vendre son cheval sur
une pareille annonce ?
Le lendemain il lut encore en caractères sail-
lants :
A VENDRE
« Un vieux cheval borgne, etc. »
Au bout de huit jours, l’abonné se dit à lui-
même :
« Ce n’est pas possible ; la bêtise humaine
est grande, mais elle n’irait pas jusque-là : il
faut qu’il y ait quelque chose là-dessous.
Et il acheta le cheval !
L’acheteur n’a pas encore révélé sa trouvaille.
Eniosa Syndicale de Pau
MM. les Sociétaires du Syndicat sont priés
d’adresser immédiatement au bureau du Syndi-
cat, rue des Cordeliers, n° 7, l’annonce qu’ils
ont le droit de faire insérer gratuitement, ou le
changement qu’ils désirent faire dans le Guide
de l’Étranger à Pau.
^CORRESPONDANCE^
M. H. S., à Nossa-les-Baihs, (Pyrénées-Orien-
tales).
Nous regrettons de ne pas recevoir vos com-
munications, qui auraient plus de-valeur à
l’entrée de la saison des eaux.
Salutations empressées.
Mme la baronne de Friedberg, Paris.
La saison thermale est ouverte aux Eaux-
Bonnes; de nombreux baigneurs commencent
à arriver. Rien n’existe des ravages de lan
dernier, comme vous avez pu le voir dans nos
articles sur votre station de prédilection.
Hommages respectueux.
P A TTTFPFTQ hôtel de l’Lni-
UAU 1 EILXLA 1 O Vers. M. CIER.
Rue de la Fontaine, 5. — Grands et petits
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fortable et très recommandée. (58)
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(Aude). — Chemin de fer du Midi. — Station
deLimoux. — Trajet deLimoux à Campagne en
une heure heure et demie.
Les eaux de Campagne se prennent en bois-
son, bains et douches.
Elles sont indiquées dans les cas de gastral-
gie, dyspepsie, anémie, névrose, gravelle, ca-
tharre vésical, fièvres paludéennes, intermittentes
et rebelles.
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des muqueuses intestinales. — Dyssenteries
anciennes.
On trouve à la station thermale de Campa-
gne nn hôtel avec table d’hôte. — Restaurant
à la carte et à prix fixe. — Logement pour
familles qui veulent faire leur ménage. — Mai-
sons meublées. — Chalets. — Cafés.
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MM. les ecclésiastiques, pour la célébration de
l’office divin.
Enfin, de nombreuses et intéressantes excur-
sions peuvent se faire dans la même journée
à l’aide de voitures on d’omnibus de louage, en
parcourant les gorges de la Pierre Lys et de
Saint-Georges. — Forêts de Fanger et de Cal-
long. — Fontaine intermittente de Belesta,
etc. (UH)
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que établissement est situé au centre d’un im-
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pection des yeux, délivrer les verres de lunettes
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