Titre : Musée Condé : bulletin
Auteur : Musée Condé (Chantilly, Oise). Auteur du texte
Éditeur : Musée Condé ; 60500 (Chantilly)
Date d'édition : 2000-11-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb343963953
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 01 novembre 2000 01 novembre 2000
Description : 2000/11/01 (N57). 2000/11/01 (N57).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t53340852
Source : Bibliothèque du musée Condé, château de Chantilly, 2022-39242
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 25/07/2022
Etudes [17]
36 - Paris, Musée du Louvre, Inv. M.R. 553.
Henri III dota la chapelle de l’Ordre du
Saint-Esprit, qu’il avait fondé en 1578, d’un
service d’objets liturgiques. Douze de ceux-
ci provenaient des collections royales, dont
le baiser de paix, mentionné pour la première
fois dans l’inventaire du cabinet de
Charles IX à Fontainebleau (1561). Cette
pièce est considérée comme étant l’un des
témoins de la fortune de l’orfèvrerie
milanaise en dehors de la région, cf.
F. Malaguzzi Valeri, op. cit. (cf. note 28),
p. 324-325, p. 4 ; G. Romano, op. cit. (cf.
note 23), p. 248. Nous pensons que le
commanditaire du baiser de paix était
italien : la poignée se termine par un écusson
qui à l’origine devait abriter les armoiries du
commanditaire, et qui a la forme, propre à
l’héraldique italienne, de tête de cheval,
comme le soulignait déjà A. Darcel, Musée
du Louvre. Notice des émaux et de
l’orfèvrerie, Paris, 1883, p. 574-575. En
1580-1581, on superposa à l’écu-poignée
une plaque d’argent gravée aux armes
d’Henri III. Il se peut donc que le baiser de
paix ait intégré les collections des rois
français comme butin de guerre. Sur la
formation du trésor de l’Ordre du Saint-
Esprit, voir D. Alcouffe, « L’ordre du Saint-
Esprit : la chapelle », Revue du Louvre, 44,
1994, 1, p. 29-42.
37 - Museo Poldi Pezzoli..., op. cit. (cf. note
23), cat. 211-213, p. 293-294 ; G. Romano,
op. cit. (cf. note 22), cat. 20-22, p. 72-80.
Pour l’identification de la staurothèque, cf.
A. Zanni, in : L’Oro e la Porpora..., op. cit.
(cf. note 24), cat. 2.6, p. 205-209.
38 - Cette solution fut adoptée également par
Giovanni Pietro Birago dans les Heures
Sforza, cf. The Sforza Hours, op. cit. (cf.
note 15), fig. 33.
39 - G. Bora, in : Pinacoteca di Brera.
Scuola lombarda e piemontese 1300-1535,
éd. par F. Zeri, Milano, 1988, p. 118-120.
40 - M. Collareta, « Le “arti sorelle". Teoria
e pratica del paragone », La pittura in Italia.
Il Cinquecento, éd. par G. Briganti, II,
Milano, 19882, p. 570. Pour d’autres
exemples, O. Morisi, « La ristrutturazione
sforzesca della basilica di Santa Maria del
Monte di Varese », Sac ri Monti. Devozione,
arte e cultura della Controriforma, éd. par
L. Vaccaro et F. Ricardi, Milano, 1992,
p. 368 n. 229, et R. Ganna, « Giacomo del
Maino, Giovanni Pietro De Donati e altri
artisti a Santa Maria del Monte sopra
Varese », Arte lombarda, 117/2, 1996, p. 69,
71 n. 63.
41 - Ces deux personnages avaient déjà été
employés par Cristoforo de Prédis, cf.
G. Gentile, op. cit. (cf. note 20), p. 76.
42 - Cf. note 17.
43 - Oxford, Bodleian Library, Douce 14
(103 x 73 mm). O. Pacht - J.J.G. Alexander,
Illuminated Manuscripts in the Bodleian
Library, Oxford. 2. Italian School, Oxford,
1970, n° 991, p. 97. Parmi les décorations
marginales du f. 120v figure une couronne
ornée de deux branches, autre emblème des
ducs de Milan.
44 - G. Romano, op. cit. (cf. note 22), p. 57,
75 ; G. Romano, op. cit. (cf. note 23), p. 248.
45 - G. Biscaro, « Note di storia dell'arte e
della coltura a Milano dai libri mastri
Borromeo (1427-1478) »,Archivio storico
lombardo, XLI, 1914, p. 71-108, in part,
p. 93-95. R. Weiss, « Giovanni Ambrogio
Preda in Rome », Journal ofWarburg and
Courtauld Institutes, 21, 1958, p. 297.
46 - G. Agosti, Bambaia e il classicismo
lombardo, Torino, 1990, p. 96 n. 116.
47 - G. Romano, op. cit. (cf. note 23),
p. 248. Les deux documents furent cités par
L. Beltrami, « Nuovi documenti relativi ad
Ambrogio Preda », Miscellanea vinciana,
Milano, 1923, p. 21-24 et Polifilo
[L. Beltrami], Leonardo e i disfattisti suoi,
Milano, 1919, p. 44.
48 - G. Romano, op. cit. (cf. note 22), p. 75.
49 - Vienne, Kunsthistorisches Muséum.
Reprod. en coul. : J. Shell, Pittori in bottega.
Milano nel Rinascimento, Torino, 1995,
fig. 30. Pour Ambrogio de Prédis, voir aussi
J. Shell, in : I leonardeschi. L’eredità di
Leonardo in Lombardia, Milano, 1998,
pp. 123-130.
50 - Milan, Biblioteca Trivulziana, cod.
2167, ff. 2v, 54. C. Quattrini, in : Biblioteca
Trivulziana, Milano, éd. par A. Dillon Bussi
et G.M. Piazza, Firenze, 1995, p. 202-203.
51 - C. Quattrini, op. cit. (cf. note 50),
p. 174. L’attribution des Heures Kraus fut
proposée par W. Suida, « Giovanni
Ambrogio De Prédis miniatore », Arte
lombarda, IV, 1959, 1, p. 67-73, celle de
l’ Epithalamium (Volterra, Biblioteca
Guarnacci, ms. 49.3.7), par L. Cogliati
Arano, « Due codici corvini. Il Filarete
marciano e l'epitalamio di Volterra », Arte
lombarda, 52, 1979, p. 53-62, d’après une
suggestion de M. Salmi, La miniatura
italiana, Milano, 1955, p. 47-48. Nous
avions accepté cette dernière attribution,
PL. Mulas, op. cit. (cf. note 17), que nous
croyons aujourd’hui erronée.
52 - P.L. Mulas, op. cit. (cf. note 17), avec
proposition (p. 47) d’une chronologie vers
1485-90, qui aujourd’hui nous paraît trop
précoce.
53 - Milan, Biblioteca del Capitolo
metropolitano, ms. D.1.13. Le
rapprochement fut proposé par O. Pacht,
Italian illuminated manuscripts from 1400
to 1500, Oxford, Bodleian Library, 1948,
cat. 75, p. 24-25.
54 - Pour l’œuvre milanaise de Matteo da
Milano, cf. J.J.G. Alexander, « Italian
illuminated Manuscripts in British
Collection », La miniatura italiana tra gotico
e rinascimento, éd. par E. Sesti, Firenze,
1985, p. 113 ; Id., « Illuminations by Matteo
da Milano in the Fitzwilliam Muséum », The
Burlington Magazine, CXXXIII, 1063, 1991,
p. 689 ; M.P. Lodigiani, « Per Matteo da
Milano », Arte Cristiana, LXXIX, 745,
1991, p. 287-300 ; J.J.G. Alexander, in : La
miniatura a Ferrara dal tempo di Cosmé
Tura alTcrédita di Ercole de’Roberti,
Modena, 1998, p. 295-297. Lejeune Matteo
da Milano décora aussi, à notre avis,
l’exemplaire d’hommage à Ludovic Sforza
de F. Philelphus, Orationes et Opuscula,
Milano, L. Pachel et U. Scinzenzeler, 1483-
4, reproduit par le catalogue Sotheby’s,
London, 19 juin 1989, cat. 3026, p. 100-103.
55 - G. Romano, op. cit. (cf. note 23),
p. 246. Le poinçon de la boucle inv. 573,
conservée au Musée Poldi Pezzoli de Milan,
est différent de celui des boucles de Novare.
Museo Poldi Pezzoli..., op. cit. (cf. note 23),
cat. 82, p. 276. Nous remercions Mme
A. Zanni de nous avoir fourni des
macrophotographies de l’objet.
56 - Le matricole degli orefici di Milano. Per
la storia della Scuola di S. Eligio dal 1311
al 1773, éd. par D. Romagnoli, Milano,
1977, ad indicem.
57 - A. Venturi, « Le arti minori a Ferrara
nella fine del secolo XV. L’Oreficeria »,
L’Arte, XII, 1909, p. 450.
58 - P. Morigia, La Nobiltà di Milano,
Milano, 1595,1. V, chap. XII, p. 294.
59 - Paris, Bibliothèque nationale de France,
it. 372, f. 4v. The Painted Page. Italian
Renaissance Book Illumination 1450-1550,
éd. par J.J.G. Alexander, Munich-New York,
1994, cat. 15, p. 72.
60 - Berlin, Staatliche Museen,
Kupferstichkabinett, ms. 78 C 27. B.F. e il
Maestro di Paolo e Daria. Un codice e un
problema di miniatura lombarda, éd. par
L. Giordano, Binasco, 1991.
36 - Paris, Musée du Louvre, Inv. M.R. 553.
Henri III dota la chapelle de l’Ordre du
Saint-Esprit, qu’il avait fondé en 1578, d’un
service d’objets liturgiques. Douze de ceux-
ci provenaient des collections royales, dont
le baiser de paix, mentionné pour la première
fois dans l’inventaire du cabinet de
Charles IX à Fontainebleau (1561). Cette
pièce est considérée comme étant l’un des
témoins de la fortune de l’orfèvrerie
milanaise en dehors de la région, cf.
F. Malaguzzi Valeri, op. cit. (cf. note 28),
p. 324-325, p. 4 ; G. Romano, op. cit. (cf.
note 23), p. 248. Nous pensons que le
commanditaire du baiser de paix était
italien : la poignée se termine par un écusson
qui à l’origine devait abriter les armoiries du
commanditaire, et qui a la forme, propre à
l’héraldique italienne, de tête de cheval,
comme le soulignait déjà A. Darcel, Musée
du Louvre. Notice des émaux et de
l’orfèvrerie, Paris, 1883, p. 574-575. En
1580-1581, on superposa à l’écu-poignée
une plaque d’argent gravée aux armes
d’Henri III. Il se peut donc que le baiser de
paix ait intégré les collections des rois
français comme butin de guerre. Sur la
formation du trésor de l’Ordre du Saint-
Esprit, voir D. Alcouffe, « L’ordre du Saint-
Esprit : la chapelle », Revue du Louvre, 44,
1994, 1, p. 29-42.
37 - Museo Poldi Pezzoli..., op. cit. (cf. note
23), cat. 211-213, p. 293-294 ; G. Romano,
op. cit. (cf. note 22), cat. 20-22, p. 72-80.
Pour l’identification de la staurothèque, cf.
A. Zanni, in : L’Oro e la Porpora..., op. cit.
(cf. note 24), cat. 2.6, p. 205-209.
38 - Cette solution fut adoptée également par
Giovanni Pietro Birago dans les Heures
Sforza, cf. The Sforza Hours, op. cit. (cf.
note 15), fig. 33.
39 - G. Bora, in : Pinacoteca di Brera.
Scuola lombarda e piemontese 1300-1535,
éd. par F. Zeri, Milano, 1988, p. 118-120.
40 - M. Collareta, « Le “arti sorelle". Teoria
e pratica del paragone », La pittura in Italia.
Il Cinquecento, éd. par G. Briganti, II,
Milano, 19882, p. 570. Pour d’autres
exemples, O. Morisi, « La ristrutturazione
sforzesca della basilica di Santa Maria del
Monte di Varese », Sac ri Monti. Devozione,
arte e cultura della Controriforma, éd. par
L. Vaccaro et F. Ricardi, Milano, 1992,
p. 368 n. 229, et R. Ganna, « Giacomo del
Maino, Giovanni Pietro De Donati e altri
artisti a Santa Maria del Monte sopra
Varese », Arte lombarda, 117/2, 1996, p. 69,
71 n. 63.
41 - Ces deux personnages avaient déjà été
employés par Cristoforo de Prédis, cf.
G. Gentile, op. cit. (cf. note 20), p. 76.
42 - Cf. note 17.
43 - Oxford, Bodleian Library, Douce 14
(103 x 73 mm). O. Pacht - J.J.G. Alexander,
Illuminated Manuscripts in the Bodleian
Library, Oxford. 2. Italian School, Oxford,
1970, n° 991, p. 97. Parmi les décorations
marginales du f. 120v figure une couronne
ornée de deux branches, autre emblème des
ducs de Milan.
44 - G. Romano, op. cit. (cf. note 22), p. 57,
75 ; G. Romano, op. cit. (cf. note 23), p. 248.
45 - G. Biscaro, « Note di storia dell'arte e
della coltura a Milano dai libri mastri
Borromeo (1427-1478) »,Archivio storico
lombardo, XLI, 1914, p. 71-108, in part,
p. 93-95. R. Weiss, « Giovanni Ambrogio
Preda in Rome », Journal ofWarburg and
Courtauld Institutes, 21, 1958, p. 297.
46 - G. Agosti, Bambaia e il classicismo
lombardo, Torino, 1990, p. 96 n. 116.
47 - G. Romano, op. cit. (cf. note 23),
p. 248. Les deux documents furent cités par
L. Beltrami, « Nuovi documenti relativi ad
Ambrogio Preda », Miscellanea vinciana,
Milano, 1923, p. 21-24 et Polifilo
[L. Beltrami], Leonardo e i disfattisti suoi,
Milano, 1919, p. 44.
48 - G. Romano, op. cit. (cf. note 22), p. 75.
49 - Vienne, Kunsthistorisches Muséum.
Reprod. en coul. : J. Shell, Pittori in bottega.
Milano nel Rinascimento, Torino, 1995,
fig. 30. Pour Ambrogio de Prédis, voir aussi
J. Shell, in : I leonardeschi. L’eredità di
Leonardo in Lombardia, Milano, 1998,
pp. 123-130.
50 - Milan, Biblioteca Trivulziana, cod.
2167, ff. 2v, 54. C. Quattrini, in : Biblioteca
Trivulziana, Milano, éd. par A. Dillon Bussi
et G.M. Piazza, Firenze, 1995, p. 202-203.
51 - C. Quattrini, op. cit. (cf. note 50),
p. 174. L’attribution des Heures Kraus fut
proposée par W. Suida, « Giovanni
Ambrogio De Prédis miniatore », Arte
lombarda, IV, 1959, 1, p. 67-73, celle de
l’ Epithalamium (Volterra, Biblioteca
Guarnacci, ms. 49.3.7), par L. Cogliati
Arano, « Due codici corvini. Il Filarete
marciano e l'epitalamio di Volterra », Arte
lombarda, 52, 1979, p. 53-62, d’après une
suggestion de M. Salmi, La miniatura
italiana, Milano, 1955, p. 47-48. Nous
avions accepté cette dernière attribution,
PL. Mulas, op. cit. (cf. note 17), que nous
croyons aujourd’hui erronée.
52 - P.L. Mulas, op. cit. (cf. note 17), avec
proposition (p. 47) d’une chronologie vers
1485-90, qui aujourd’hui nous paraît trop
précoce.
53 - Milan, Biblioteca del Capitolo
metropolitano, ms. D.1.13. Le
rapprochement fut proposé par O. Pacht,
Italian illuminated manuscripts from 1400
to 1500, Oxford, Bodleian Library, 1948,
cat. 75, p. 24-25.
54 - Pour l’œuvre milanaise de Matteo da
Milano, cf. J.J.G. Alexander, « Italian
illuminated Manuscripts in British
Collection », La miniatura italiana tra gotico
e rinascimento, éd. par E. Sesti, Firenze,
1985, p. 113 ; Id., « Illuminations by Matteo
da Milano in the Fitzwilliam Muséum », The
Burlington Magazine, CXXXIII, 1063, 1991,
p. 689 ; M.P. Lodigiani, « Per Matteo da
Milano », Arte Cristiana, LXXIX, 745,
1991, p. 287-300 ; J.J.G. Alexander, in : La
miniatura a Ferrara dal tempo di Cosmé
Tura alTcrédita di Ercole de’Roberti,
Modena, 1998, p. 295-297. Lejeune Matteo
da Milano décora aussi, à notre avis,
l’exemplaire d’hommage à Ludovic Sforza
de F. Philelphus, Orationes et Opuscula,
Milano, L. Pachel et U. Scinzenzeler, 1483-
4, reproduit par le catalogue Sotheby’s,
London, 19 juin 1989, cat. 3026, p. 100-103.
55 - G. Romano, op. cit. (cf. note 23),
p. 246. Le poinçon de la boucle inv. 573,
conservée au Musée Poldi Pezzoli de Milan,
est différent de celui des boucles de Novare.
Museo Poldi Pezzoli..., op. cit. (cf. note 23),
cat. 82, p. 276. Nous remercions Mme
A. Zanni de nous avoir fourni des
macrophotographies de l’objet.
56 - Le matricole degli orefici di Milano. Per
la storia della Scuola di S. Eligio dal 1311
al 1773, éd. par D. Romagnoli, Milano,
1977, ad indicem.
57 - A. Venturi, « Le arti minori a Ferrara
nella fine del secolo XV. L’Oreficeria »,
L’Arte, XII, 1909, p. 450.
58 - P. Morigia, La Nobiltà di Milano,
Milano, 1595,1. V, chap. XII, p. 294.
59 - Paris, Bibliothèque nationale de France,
it. 372, f. 4v. The Painted Page. Italian
Renaissance Book Illumination 1450-1550,
éd. par J.J.G. Alexander, Munich-New York,
1994, cat. 15, p. 72.
60 - Berlin, Staatliche Museen,
Kupferstichkabinett, ms. 78 C 27. B.F. e il
Maestro di Paolo e Daria. Un codice e un
problema di miniatura lombarda, éd. par
L. Giordano, Binasco, 1991.
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