Presse et revues
4 pages
! Paris, dimanche 24 novembre.
?! S. M, a tenu le 22 son conseil-d’Elat à Sf.-Cloud.
II paraît que la cour ne viendra pas à Paris au-
jourd’hui dimanche.
f La manufacture de velours peints établie rue des
fi Saints-Pères, n.° 52 , vient d’achever un meuble en
c velours peint et huit pièces de tenture, destinés pour
un salon du palais du sénat. L’architecte du sénat et
; le directeur des travaux de cette manufacture ont
I conçu l’idée, au moment de la naissance du Roi de
! Rome, de meubler un salon dont toutes les pièces
j de tenture, ainsique l’étoffe du meuble, représente-
j raient les monumens de Rome ancienne et moderne;
ce qui a été exécuté. Cet ameublement contient plus
i de 80 monumens de Rome et des environs,
i M. Martin vient de publier les détails historiques
j de la première expédition des chrétiens dans là Pa-
I lestine contre les Turcs, sous l’empereur grec Zi-
| miscès, en 972, tirés d’un manuscrit arménien de
■ la bibliothèque impériale composé dans le i2. c siècle
[ par Matthieu Erez, d’Edesse. Suivant la notice des
B manuscrits de la bibliothèque impériale, on trouve
! dans les auteurs arméniens des détails intéressans
l su r les anciens peuples orientaux, les Assyriens, les
Mèdes,'les Perses, lesParthes, les Sarrazins et les
Tartares. On peut y puiser aussi des connaissances
sur les peuples modernes de l’Asie, avec lesquels
l’Arménie entretient des relations très-étendu es. En
vironnée de nations adonnées aux plaisirs, au luxe,
à la vie honteuse des harems, l’Arménie, restée
chrétienne, a conservé ses mœurs antiques, son ac-
*ivité, son industrie, et sur-tout un grand attache
ment à sa religion. La plupart des Orientaux, deve
nus incapables de se livrer aux combinaisons, à l’é
lude, aux travaux qu’exige le commerce, les Ar
méniens n’ont presque point eu de concurrens dans
celle carrière. Ils sont les banquiers des princes ot
tomans, des Perses et des Indiens; en général ils
font la plus grande partie des affaires de l’Asie. Leurs
'monastères renferment une riche collection de ma
nuscrits précieux. L’auteur termine ces remarques
instructives, en ajoutant qu’il ne les a faites « que
pour tnie'ux faire sentir le mérite de l’institution
qu’on doit à la munificence impériale. S. M. a or
donné qu’il fût ajouté à l’école spéciale des langues
orientales une chaire de langue arménienne, dont
M. Cirbied, Arménien d’origine, est professeur.»
Il paraît depuis quelque temps de nouvelles et
belles reliures de livres, faites en vernis susceptible
de se revêtir de toutes les couleurs; elles sont de
l’invention de M. Berlin, connu par plusieurs autres
découverts utiles. Ces reliures, qui se prêtent à
toutes les richesses de la peinture et du dessin, offri
ront de très-agréables cadeaux à faire pour le jour
de l’an. Les livres reliés suivant celle nouvelle mé
thode sont mis à l’abri de toute iujure au moyen
d’un vernis conservateur qui les préservera même
de la piqûre des vers. Les ateliers de M. Berîin sont
établis au Grand-Châtelet, en face du l’ont-au-
Change.
Parmi les avantages de la culjure de la betterave
sur divers points du territoire français, il faut placer
sans contredit le bienfait de son introduction dans
le departement des Landes. Ln champ de 90 aies
environ, situé au canton de Saint-Gein, dans lequel,
par les soins de M. le préfet, on a pratiqué cette
culture, a rapporté 27 mille kilogrammes de celle
précieuse racine. Ce produit, qu’on a envoyé à
Jeudi, 28 Novembre 1811.
N.° 143.
fc&ctr$cfnff4tr Kurier*
2)onnm'tag/ ben 28. Sîouem&er 1811.
«Kanufactur »an gemaltem ©ammet — SBicbttgfeit bee armenifeben £antf*rift«n—9îeue $&cbtr*€tnMnte—Aunfelrfibtntatt
ira @reppen>;Ôeparttraent—® cfunbenet ©cbaç— Ctcabre ju foulon—€ nglaitD—Kopenhagen — ÿregburg - SDten—ißelluno.
Parts, ©onntagß ben 34* No»ember.
©e.SKaj. (jabot am «*ßen £ochßbero ©taaférafb
)u ®t. CEloub gehalten.
(£S feheint, baß ber JÇtof heute, ©onnfagé, nicht
nach $ariS fommen »erbe.
Sie OJîanufactur beS gemabiten ©ammtS, in bet
©traße ber ©aint&îPereé No. 52, hat eben eht Nîeuble
in gemahttem ©ammt, unb 8 Xapejerepßücfe »ollen#
bet, bte für einen großen ©aal beS ©enatS#EPaUafie$
bejiimmt ßnb. Der Saumeißer beé ©enatS unb ber
Dtrector ber Arbeiten biefer STOanufactur haben int
Augenbticfe ber ©eburt bcS jfônigè »on Siam ben
©ebanfen gehabt, einen ©alott fo |u mcuMircn,
baß affe Sapeserepen fo »ie ber Ueberjug ber SOiobi#
lien, Denfmäier be$ alten tutb neuen Skonti »orßeß#
ten; unb bieé ift au$gefül)rt worben. _ DiefcS gan&e
Ameublement fiedt mepr até 80 Denfmäier ber ©fabt
Siom unb ihrer Umgebungen »or..
J&r. Martin bat eben eine umßänblidje 3kfcbrei#
tung ber er(ien Eypebition ber Kljrißen nach Ißaläßina,
gegen bie Surfen, unter bem griecbifchcn jfaifer 3«*
ntiäceä, im 3afjr 972, auö ber armenifeben #anb;
fchrift in ber faiferlicijen 95tbiiotbef »on SKatbäuß
©res, »on Ebeffa, ber im i3ten Sabrbunbert lebte,
ftcrauägcgeben. 3n ber »orangefebieften 3îof*5 »on
ben armenifeben J&anbfdjriften ber faiferiicbenStblio#
thef »irb gefagt, man ftnbe in ben armenifeben
©chriftßedern intereffante Nachrichten »on ben alten
orientalifcben Söifern, ben Afipriern, SRebern, d)er;
fern, fParthern, ©arajenen unb Sartaren. SÖiatt
fann attä ihnen auch Nachrichten »on ben neuern
33olfern in Aßen feßöpfen, mit »eichen biefeä banb
beßänbig fcf>r anëgebebnîe SSerhältniflTe unterhalt,
sffïtt »odüßigen Nationen umgeben, bte nur nach
fBcrgnügen trachteten , unb in ihren ^>arcmö ein
fchânblicbeê beben führten, behielt Armenien, baë
ber chrißlidjen Religion treu blieb, feine alte ©itten.
feine Arbeltfamfeit unb SSetriebfamfeit, unb infbn*
berbeit eine fehr große Anhänglicbfcit an feine Stell;
gion bcp. Die meiden Niorgenlänber ftnb furch ihr
roeiehlichtä beben unfähig {um ©tubierrn, jum Stach#
btnfen unb tu ben Kombinationen, »eiche bcr£anbel
erforbert, fo baß bie Armenier auf biefer baufbaftn
faß feine Koncurrenten hatten, ©ie ftnb bie $an#
quierë ber oëntanifeben §urßcn, ber Werfer, ber^n;
biancr, unb in ihren J^änben iß ber größte 2(jell ber
©eßhäffte in Aßen. 3h« Älofrer betlßen einen noch
ttnbenußten ©chafc »on alten £anbfcbriften. Der
aSerfaffer fchiießt feine lehrreichen 53eraerfungen, in#
bem er fagt, er habe ße nur gemacht, bamit man
befro beiTer baö SSebienß ber Anßalt einfehe, »eiche
man ber fatferlidjcn grepgebigfeit »erbanft. ©e.3R.
haben nämlich »erorbnet, baß in ber @pectal;€chu(e
ber orientalifchen ©prachen ein ifehrßuhl für bie ar*
menifche ©prache errichtet »erben fode, beren hehrer
Jf>r. Kirbieb iß, ein geborner Armenier.
©eit einiger 3eit ßefff man neue unb fchone Sucher;
Kinbänbe, mit §irnig unb in aden Farben. Jfpr.
Sertin iß ber Krßnber berfelben; man fennt ihn
fchon auö mehreren nußlichcn Sntbecfungcn. 5Ran
fann biefe ©inbänbe mit ben fchonßen ©emäiben unb
3cicbnungcn gieren ; ße ßnb baher befonbere geeignet.
Su angenehmen SîeujahrégcfchenfetT Su bienen. Sucher,
nach biefer neuen QRethobe etngebunben, »erben burch
einen guten haef gegen ade UnfäUe »er»ahrt, unb
fogar gegen bie 33ùcber»ùrme gefehlt. Die 2Berf;
frotte beß ^)rn. Serfin iß im großen Kh<»f«l«t/ gegen
ber SSBechfelbrurfe über.
Unter bie SSortheiie/ »eiche ber Satt ber NunfeU
rflben in »erfchiebcnen îhciien be$ fran$oßfchen ©e;
bieth^gewährt, gehört unßreifigberjenige, benfeine
Einführung bera ©teppen#Departerttnt bringt. Ein
gelb »on etwa go Arrö, im Eanfon ©ainf;©efn, in
welchem man, auf baé Begehren bcé £rn. ipräfecten.
COURRIER DE STRASBOURG.
?! S. M, a tenu le 22 son conseil-d’Elat à Sf.-Cloud.
II paraît que la cour ne viendra pas à Paris au-
jourd’hui dimanche.
f La manufacture de velours peints établie rue des
fi Saints-Pères, n.° 52 , vient d’achever un meuble en
c velours peint et huit pièces de tenture, destinés pour
un salon du palais du sénat. L’architecte du sénat et
; le directeur des travaux de cette manufacture ont
I conçu l’idée, au moment de la naissance du Roi de
! Rome, de meubler un salon dont toutes les pièces
j de tenture, ainsique l’étoffe du meuble, représente-
j raient les monumens de Rome ancienne et moderne;
ce qui a été exécuté. Cet ameublement contient plus
i de 80 monumens de Rome et des environs,
i M. Martin vient de publier les détails historiques
j de la première expédition des chrétiens dans là Pa-
I lestine contre les Turcs, sous l’empereur grec Zi-
| miscès, en 972, tirés d’un manuscrit arménien de
■ la bibliothèque impériale composé dans le i2. c siècle
[ par Matthieu Erez, d’Edesse. Suivant la notice des
B manuscrits de la bibliothèque impériale, on trouve
! dans les auteurs arméniens des détails intéressans
l su r les anciens peuples orientaux, les Assyriens, les
Mèdes,'les Perses, lesParthes, les Sarrazins et les
Tartares. On peut y puiser aussi des connaissances
sur les peuples modernes de l’Asie, avec lesquels
l’Arménie entretient des relations très-étendu es. En
vironnée de nations adonnées aux plaisirs, au luxe,
à la vie honteuse des harems, l’Arménie, restée
chrétienne, a conservé ses mœurs antiques, son ac-
*ivité, son industrie, et sur-tout un grand attache
ment à sa religion. La plupart des Orientaux, deve
nus incapables de se livrer aux combinaisons, à l’é
lude, aux travaux qu’exige le commerce, les Ar
méniens n’ont presque point eu de concurrens dans
celle carrière. Ils sont les banquiers des princes ot
tomans, des Perses et des Indiens; en général ils
font la plus grande partie des affaires de l’Asie. Leurs
'monastères renferment une riche collection de ma
nuscrits précieux. L’auteur termine ces remarques
instructives, en ajoutant qu’il ne les a faites « que
pour tnie'ux faire sentir le mérite de l’institution
qu’on doit à la munificence impériale. S. M. a or
donné qu’il fût ajouté à l’école spéciale des langues
orientales une chaire de langue arménienne, dont
M. Cirbied, Arménien d’origine, est professeur.»
Il paraît depuis quelque temps de nouvelles et
belles reliures de livres, faites en vernis susceptible
de se revêtir de toutes les couleurs; elles sont de
l’invention de M. Berlin, connu par plusieurs autres
découverts utiles. Ces reliures, qui se prêtent à
toutes les richesses de la peinture et du dessin, offri
ront de très-agréables cadeaux à faire pour le jour
de l’an. Les livres reliés suivant celle nouvelle mé
thode sont mis à l’abri de toute iujure au moyen
d’un vernis conservateur qui les préservera même
de la piqûre des vers. Les ateliers de M. Berîin sont
établis au Grand-Châtelet, en face du l’ont-au-
Change.
Parmi les avantages de la culjure de la betterave
sur divers points du territoire français, il faut placer
sans contredit le bienfait de son introduction dans
le departement des Landes. Ln champ de 90 aies
environ, situé au canton de Saint-Gein, dans lequel,
par les soins de M. le préfet, on a pratiqué cette
culture, a rapporté 27 mille kilogrammes de celle
précieuse racine. Ce produit, qu’on a envoyé à
Jeudi, 28 Novembre 1811.
N.° 143.
fc&ctr$cfnff4tr Kurier*
2)onnm'tag/ ben 28. Sîouem&er 1811.
«Kanufactur »an gemaltem ©ammet — SBicbttgfeit bee armenifeben £antf*rift«n—9îeue $&cbtr*€tnMnte—Aunfelrfibtntatt
ira @reppen>;Ôeparttraent—® cfunbenet ©cbaç— Ctcabre ju foulon—€ nglaitD—Kopenhagen — ÿregburg - SDten—ißelluno.
Parts, ©onntagß ben 34* No»ember.
©e.SKaj. (jabot am «*ßen £ochßbero ©taaférafb
)u ®t. CEloub gehalten.
(£S feheint, baß ber JÇtof heute, ©onnfagé, nicht
nach $ariS fommen »erbe.
Sie OJîanufactur beS gemabiten ©ammtS, in bet
©traße ber ©aint&îPereé No. 52, hat eben eht Nîeuble
in gemahttem ©ammt, unb 8 Xapejerepßücfe »ollen#
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Dtrector ber Arbeiten biefer STOanufactur haben int
Augenbticfe ber ©eburt bcS jfônigè »on Siam ben
©ebanfen gehabt, einen ©alott fo |u mcuMircn,
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Ameublement fiedt mepr até 80 Denfmäier ber ©fabt
Siom unb ihrer Umgebungen »or..
J&r. Martin bat eben eine umßänblidje 3kfcbrei#
tung ber er(ien Eypebition ber Kljrißen nach Ißaläßina,
gegen bie Surfen, unter bem griecbifchcn jfaifer 3«*
ntiäceä, im 3afjr 972, auö ber armenifeben #anb;
fchrift in ber faiferlicijen 95tbiiotbef »on SKatbäuß
©res, »on Ebeffa, ber im i3ten Sabrbunbert lebte,
ftcrauägcgeben. 3n ber »orangefebieften 3îof*5 »on
ben armenifeben J&anbfdjriften ber faiferiicbenStblio#
thef »irb gefagt, man ftnbe in ben armenifeben
©chriftßedern intereffante Nachrichten »on ben alten
orientalifcben Söifern, ben Afipriern, SRebern, d)er;
fern, fParthern, ©arajenen unb Sartaren. SÖiatt
fann attä ihnen auch Nachrichten »on ben neuern
33olfern in Aßen feßöpfen, mit »eichen biefeä banb
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sffïtt »odüßigen Nationen umgeben, bte nur nach
fBcrgnügen trachteten , unb in ihren ^>arcmö ein
fchânblicbeê beben führten, behielt Armenien, baë
ber chrißlidjen Religion treu blieb, feine alte ©itten.
feine Arbeltfamfeit unb SSetriebfamfeit, unb infbn*
berbeit eine fehr große Anhänglicbfcit an feine Stell;
gion bcp. Die meiden Niorgenlänber ftnb furch ihr
roeiehlichtä beben unfähig {um ©tubierrn, jum Stach#
btnfen unb tu ben Kombinationen, »eiche bcr£anbel
erforbert, fo baß bie Armenier auf biefer baufbaftn
faß feine Koncurrenten hatten, ©ie ftnb bie $an#
quierë ber oëntanifeben §urßcn, ber Werfer, ber^n;
biancr, unb in ihren J^änben iß ber größte 2(jell ber
©eßhäffte in Aßen. 3h« Älofrer betlßen einen noch
ttnbenußten ©chafc »on alten £anbfcbriften. Der
aSerfaffer fchiießt feine lehrreichen 53eraerfungen, in#
bem er fagt, er habe ße nur gemacht, bamit man
befro beiTer baö SSebienß ber Anßalt einfehe, »eiche
man ber fatferlidjcn grepgebigfeit »erbanft. ©e.3R.
haben nämlich »erorbnet, baß in ber @pectal;€chu(e
ber orientalifchen ©prachen ein ifehrßuhl für bie ar*
menifche ©prache errichtet »erben fode, beren hehrer
Jf>r. Kirbieb iß, ein geborner Armenier.
©eit einiger 3eit ßefff man neue unb fchone Sucher;
Kinbänbe, mit §irnig unb in aden Farben. Jfpr.
Sertin iß ber Krßnber berfelben; man fennt ihn
fchon auö mehreren nußlichcn Sntbecfungcn. 5Ran
fann biefe ©inbänbe mit ben fchonßen ©emäiben unb
3cicbnungcn gieren ; ße ßnb baher befonbere geeignet.
Su angenehmen SîeujahrégcfchenfetT Su bienen. Sucher,
nach biefer neuen QRethobe etngebunben, »erben burch
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fogar gegen bie 33ùcber»ùrme gefehlt. Die 2Berf;
frotte beß ^)rn. Serfin iß im großen Kh<»f«l«t/ gegen
ber SSBechfelbrurfe über.
Unter bie SSortheiie/ »eiche ber Satt ber NunfeU
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bieth^gewährt, gehört unßreifigberjenige, benfeine
Einführung bera ©teppen#Departerttnt bringt. Ein
gelb »on etwa go Arrö, im Eanfon ©ainf;©efn, in
welchem man, auf baé Begehren bcé £rn. ipräfecten.
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