Titre : France-soir
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Éditeur : Presse-AlliancePresse-Alliance (Paris)
Éditeur : Presse Alliance (Groupe Poligrafici Editoriale)Presse Alliance (Groupe Poligrafici Editoriale) (Aubervilliers)
Éditeur : FranceSoirFranceSoir (Paris)
Date d'édition : 1954-11-13
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32778160c
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 13 novembre 1954 13 novembre 1954
Description : 1954/11/13 (N3201). 1954/11/13 (N3201).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t51284817
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-259
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 12/01/2025
DEUX C — Samedi 13 Novembre 1954
FRANCE-SOIR
UN DOCUMENT EXCLUSIF
qui révèle les dessousde
paraîtra
à partir de lundi prochain
dans
France-soir
Geoffrey HOARE
ami intime de la famille Mac Lean
dévoilera les circonstances de la plus troublante énigme
de l'après-guerre :
• Pourquoi Mac Lean s'enfuit le soir de son 38 e anniversaire,
après s'être disputé avec sa femme.
• On perd la trace des fugitifs en France
• Melinda reçoit un étrange télégramme.
• Deux chèques d'un million.
• Ce que fut la vie du couple Mac Lean.
• Un mystérieux émissaire rencontre Melinda en Suisse.
• Melinda dépiste les limiers helvétiques et disparaît avec ses
trois enfants.
• Comment et où vivent actuellement les Mac Lean.
• Pourquoi Melinda a rejoint son mari.
Etc., etc.
(SUITE DE LA PAGE I)
Sur le boulevard
à ragots
militaire. • Au ministère de
l’Agriculture, M. Parmentier est
spécialement charge des opéra
tions concernant les pommes
de terre. • M. Alabafouille est
employé de bureau à la direc
tion des Anciens Combattants.
LES SOUVENIRS DE GEORGES CARPENTIER
LE PLUS PRESTIGIEUX DES CHAMPIONS FRANÇAIS
. ■ -111--? . • • ■ ■ ' - • ' t ■ .1 — . .
«Cest un peu tard, grand-père,
pour te mettre à la boxe ! » m a crié
un petit gars, lautre jour, au Bois...
«Grand-père, je le suis en effet; mais à soixante
ans, je suis resté jeune au physique et au moral »
S i j’avais pu envisager d'abandonner la boxe après Dempsey, il ne pouvait évidem
ment plus en être question après Siki, après une défaite aussi humiliante. Et je
tenais à reboxer devant les Parisiens. C'est pourquoi fut conclu un match avec
Marcel Nilles, excellent champion de France poids lourds, à disputer, à Paris, en mai 1923.
Je battis Nilles par k. o. au
8e round, après un combat com
mencé très prudemment et ren
du difficile par la tactique toute
défensive de mon adversaire. Le
match s'était disputé au stade
Buffalo, et ce n'est pas sans ap
préhension que j'avais abordé
de nouveau cette arène, théâtre
de ma triste aventure avec Siki.
L'accueil du public fut toutefois
beaucoup plus sympathique que
je ne l'attendais. J'étais anxieux
de me réhabiliter. Mon entraîne
ment avait été très poussé et je
craignais seulement pour mes
mains, encore très fragiles mal
gré un repos de six mois.
C’était une rentrée convenable,
mais je ne me faisais pas d’illu
sions, pas plus que je ne devais
m’en faire, quelques mois plus tard,
après mon second match contre
Beckett, à Londres. J’aurais bientôt
trente ans, âge terrible pour un
boxeur.
« Mes derniers matches »
A SON ENTOURAGE, qui, sur
le perron de l’Elysée, lui de
mandait s’il était assez couvert
pour se rendre aux cérémonies
S du 11 novembre, le -president
René Coty, ancien combattant
de Verdun, a fièrement répon-
du : « Mais ne suis-je pas un
poilu ? »
• AU MINISTERE DES FI
NANCES, dans le bureau du
ministre et des différents
directeurs, le portrait de
M. Vincent Auriol n’a pas
encore été remplacé par ce
lui de M. Coty.
A TOUTE VITESSE (au congres
S F. I. O. de Suresnes). Pour
obtenir le maximum de pré
sences, M. Guy Mollet, secré
taire général du parti, a fait
fermer le bar pendant son inter
vention. • M. Charles Lussy,
président du groupe parlemen
taire socialiste (qui a 70 ans),
s’est fait vivement applaudir en
disant : « Je suis un homme
déjà avancé dans la vie... du
moins dans la vie politique. »
• M. P.-O. Lapie, ex-ministre de
l’Education nationale, a dit, à
propos des projets antialcooli
ques de M. Mendès-France : « Le
nouveau slogan du gouverne
ment est : Le lait dans les ca
sernes et l’eau dans les bis
trots. »
• MATISSE, qui vient de
mourir, avait naguère dit à
un marchand de tableaux,
qui vendait des toiles mé
diocres : « Ce que vous vou
lez, c’est faire fortune
croûte que croûte. »
M ALBERT SARRAUT, prési
dent de l’Assemblée de l’Union
française, a dit : « Si M. Men
dès-France remanie son gouver
nement, je veillerai à ce qu’il
rétablisse un ministère des Arts
et des Lettres ! »
• GEORGES DUHAMEL a
dit à l'Université des Anna
les : « C’est malheureux
à constater : alors qu’il faut
avoir été ordonné prêtre
pour administrer des sacre-
ments ou avoir fait des étu
des pour devenir ingénieur,
le seul métier n’exigeant au
cun diplôme est le métier
de gouvernant ! »
| LES NOMS PREDESTINES.
M. Joseph Conscience est no amé
_ brigadier-chef des gardiens de
- la paix. • M. Guerre est ma
réchal des logis à la 3' région
L'œil en coulisse
• DEPUIS QUE LUIS MA-
RIANO a signé le livre d’or
installé sur la plate-forme
de la cathédrale de Stras
bourg (quel drôle d’en
droit !), les bobby-soxers de
la ville y montent en rangs
serrés et la page 243 du li
vre est sévèrement surveillée
par les gardiens.
• EN CHAHUTANT dans
les coulisses de Medrano, le
boxeur Robert Cohen s’est
fait mettre k.-o. par l’équi-
libriste allemande Rogger’s.
• JEAN-MARC THIBAULT,
qui fêtait avec Roger Pierre
la sortie de leur disque :
« Vingt - cinq centimètres
d’humour » (c’est le diamè
tre du microsillon), m’a dit :
« Pour incarner un bambino
en culotte courte tous les
soirs à l'Olympia, je dois
maquiller mon genou avec
des petits traits de crayon
noir. » Motif : à la suite
d'une blessure, son genou,
totalement rasé, paraissait
étrangement blanc à côté de
l’autre, velu.
• LE MUSIC-HALL SE
CONCENTRE. Georges Fran
ce a cédé ses parts de pro
priétaire du bal du Moulin-
Rouge à MM. Joseph et
Louis Clérico, actuels pro
priétaires du Lido et en
partie patrons de l’Empire
et du cabaret des Ambassa
deurs.
• ANDRE CLAVEAU m’a
dit : « Je viens de découvrir
une jeune compositrice qui
écrit des chansons (noires)
merveilleuses. Elle n’est pas
encore connue, mais elle a
déjà un grand nom. Il s’agit
de Colette Mansard, descen
dante de l’architecte.
• MARCEL ACHARD fait
une cure (sérieuse) à En-
ghien-les-Bains.
M ON match contre Beckett eut
lieu, le 1" octobre, dans
Olympia • Hall archibondé.
A mon arrivée dans le ring,
le fus accueilli par une ovation
monstre, comme à mes plus beaux
jours. Le sentimental public anglais
tenait à me montrer qu'il avait
compati à mes malheurs et qu’il me
gardait son estime. J’en fus profon
dément remué. Le combat commen
ça à 10 heures. A 11 heures, j'étais
en habit et dansais à l'hôtel Savoy.
Je restai l'hiver sans boxer, par
tageant mon temps entre Paris,
Londres et Saint-Moritz. J'attendais
des propositions américaines qui, je
le savais, ne manqueraient pas de
m'être faites pour la saison pro
chaine. Elles vinrent sous forme
d'une offre de près de deux mil
lions pour rencontrer Tom Gibbons
et Gene Tunney à un mois d’inter
valle. Programme sérieux, Tom
Gibbons et Tunney étant les deux
meilleurs poids lourds américains
après Dempsey. Tom Gibbons avait
tenu quinze rounds devant le cham
pion du monde Quant à Tunney,
il progressait de mois en mois, et
c’est lui, on le sait, qui, un peu
plus tard, devait ravir son titre à
Dempsey — un Dempsey, il est vrai,
nettement en déclin.
Je matchai Tom Gibbons, le 31
mai, à Michigan City. Notre com
bat, un quinze rounds « sans déci
sion », alla à la limite Nous avons
fait à peu près jeu égal, sans knock-
down de part ni d'autre, ni inci-
dent marquant.
foulure de
la cheville droite, survenue au
3> round, me fit souffrir surtout
après le match.
Contre Gene Tunney, le 30 juin,
à New-York, je fus déclaré battu
par abandon au 14e round, sur un
coup bas non reconnu par l'arbitre.
Le coup ne m’avait pas projeté à
terre, mais, me voyant boiter, l’ar
bitre avait arrêté le combat, don
nant ta victoire à Tunney. Je dois
d'ailleurs reconnaître que je nau-
rais pas eu l’avantage aux points
si le combat avait été à la limite.
Tunney me gêna beaucoup par son
allonge, et sa boxe défensive était
très efficace, mais il ne me fit pas
grande impression. A mon avis, il
y avait deux classes d'écart entre
le cas d’éprouver ce sentimënt-là.
Il me restait pourtant deux enga
gements à remplir. Je rencontrai
encore Burke et Stramaglia. Et,
cette fois, ce fut bien fini. Je ne
devais plus jamais reparaîre dans
un ring de combat.
Ma décision prise, je ressentis
d’abord un immense soulagement.
Enfin, j’en avais terminé avec ces
contraintes physiques et morales
que vous impose quotidiennement le
dur métier de boxeur — oui, quoti
diennement, même dans les pério
des de détente, et peut-être, par
souci de ne pas ennuyer le lecteur,
n'ai-je pas suffisamment insisté sur
ce point au cours de ce récit. Puis,
songeant aux beaux jours passés,
j'éprouvai le serrement de cœur qui
vous prend devant cette certitude
que ce qui a été ne sera jamais
plus...
« Et maintenant mon bar »
EN 1921,
PENTIER
GEORGES CAR-
S’INITIAIT A
L’ART D’ETRE PERE. ON
LE VOIT CI-DESSUS AVEC
SA FILLE JACQUELINE.
ment. Je pensais à
pu faire contre un
celui là au temps
forme. Maintenant,
ce que j’aurais
homme comme
de ma grande
c'était fini. Je
PHILATÉLIE
PRAGUE — Les postes tchèques
viennent d'émettre coup sur coup
deux nouvelles séries de timbres-
poste. La première de ces séries,
composée d’un 30 et d'un 45 haleru,
est dédiée à Tchékhov, le célèbre au
teur russe (1860-1904). Les deux va
leurs nous présentent le même por
trait de l’écrivain La deuxième série
constitue la troisième tranche de la
nouvelle sérié des timbres-poste
d'usage courant connue sous le nom
de « Les Tchèques au travail ». Le
15 haleru vert nous montre un ma
çon, le 40 haleru brun-gris, une fem
me-facteur des postes, et le 75 haleru
bleu, un ouvrier d’usine. Tous les
nouveaux timbres ci-dessus ont été
gravés en taille-douce, soit en feuil
les de 50, soit en feuilles de 100, par
l'Imprimerie des Postes à Prague ou
à Bratislava (pour les timbrés d'usa
ge courant)
PARIS. — Les trois dernières va
leurs de la série courante dite des
Blasons est en vente depuis le 11 no
vembre au bureau postal temporaire
installé au Salon Philatélique d’Au-
tomne, 8, rue Jean-Goujon, à Paris,
ainsi qu’à la Recette Principale de la
• HORRIBLE DETAIL. Un
cocher de fiacre parisien a
dit : « Pendant la morte-sai-
son, je confie mon cheval à
l'institut Pasteur. Il est logé
et nourri gratuitement et H
sert aux essais de sérum.
Quant à moi, je m’occupe
du fonds de commerce que
j’ai acheté : une boucherie
chevaline. »
DE QUI EST-CE : « Silence aux
pauvres »? (Publié sous la si
gnature de Lamennais dans le
dernier numéro, encadré de
noir, du « Peuple constituant »
le 11 juillet 1848.)
• M. ROBERT JOFFET.
conservateur en chef des /
jardins de Paris, règne sur
un million de pieds, pour
l’ensemble de la capitale. Il
s’agit de pieds de fleurs.
A NANCY, un G.I. du dépôt
voisin de la ville, qui avait
très sommeil, a brisé la vitrine
d’un marchand de meubles, dans
laquelle il y avait un magnifi
que divan-lit. Comme il s’était
dévêtu avant de s’y endormir,
il sera également poursuivi
pour attentat à la pudeur.
• QU’EN PENSEZ-VOUS,
MESDAMES ? Dans ses « Let
tres à Roger Nimier », Jac
ques Chardonne écrit :
«Dans un couple, la femme
se dévoue et l’homme se sa
crifie. »
L’HISTOIRE QU’A RACONTEE
BOB HOPE A PARIS : « A son
psychanalyste, qui l’avait gué- :
rie en quatre semaines d’une
maladie nerveuse, une jeune ?
femme dit : « Docteur, puis-
je vous embrasser pour vous :
remercier ? — Oh ! non, chère
madame, répond le docteur,
c’èst déjà bièn suffisant que
nous ayons dû passer un mois :
dans le même lit. »
Carmen TESSIER.
ce Tunney-là et le
j’avais connu.
Durant ce combat,
pas physiquement,
Dempsey que
le ne souffris
mais morale-
connaissais trop bien mon métier
pour ne pas être capable de faire
encore bonne figure contre n’im
porte qui dans un ring, mais mes
perspectives d’avenir se réduisaient
à un mot dont la résonance, quelle
que soit la profession qu’on exerce,
est toujours assez sinistre : la re
traite.
L'heure de la retraite a sonné
UI, l'heure de la retraite avait
sonné pour moi,
l’en
‘G étais le premier convaincu.
Mais on peut entendre la
sonnerie sans obtempérer. Je ne
boxai pas de toute l’année 1925.
Pourtant, je n'avais pris aucune dé
cision, ni officiellement ni dans mon
for intérieur. A 31 ans, voire à 32,
peut-être est-il encore un peu tôt
pour s’arrêter ? Il y a des jours
où I on se sent réellement bien,
comme si montait en vous une nou
velle poussée de jeunesse Et puis,
et jusqu’à ce que j'en aie pris un
autre, la boxe restait mon métier.
Cela avait été une passion, et ce
n’était plus une passion, mais c'était
toujours mon métier.
Je boxai de nouveau en 1926,
mais cette année-là fut bien la der
nière. Cela se fit d'ailleurs sans
blissement m'avait proposé un con
trat pour rencontrer Eddie Huff
man, un mi-lourd dont je connais
sais la réputation de « dur ».
Je rencontrai aussi Loughran.
Cette fois, je perdis de peu aux
points, en dix rounds. Ce Loughran
boxait adroitement, il était très mo
bile et difficile à toucher. Et, moi,
je n'avais vraiment plus la foi. De
plus, ce jour-là, je ne sais pour
quoi, je me sentais aussi peu en
train que possible. Je faisais pour
tant de mon mieux pour ne pas
décevoir des organisateurs qui con
tinuaient à me payer très cher.
. T voilà. Maintenant, de onze
t heures du matin à une heure
™ et demie de l'après-midi, de
six heures à neuf heures du
soir, je suis à mon bar. Depuis
bientôt vingt ans. Le premier
« Georges-Carpentier » a été inau
guré en 1935. Il se situait rué Ar-
sène-Houssaye. Deux ans plus tard,
l’émigrais, à cent mètres de là —
juste les Champs-Elysées à traver
ser _ rue de Presbourg. J'y suis
encore aujourd'hui, après l’éclipse
des quatre années de guerre.
Le bar, ce n'est pas pour moi un
travail. C'est, mieux qu'une distrac
tion, un besoin. J'ai besoin de ce
mouvement, de cette chaleur au
tour de moi Des amis de toujours
surgissent, qui évoquent des sou
venirs du « bon vieux temps ». Ce
n'est pas que j'en aie la nostalgie,
de ce bon vieux temps, mais ça
fait quand même plaisir. Les jeu
nes, eux, ceux qui sont nés quand
j'appartenais déjà au passé, me
font le plus beau des hommages :
celui de m’accepter tel que je suis
maintenant. J'a’ toujours été un
amoureux de la jeunesse et ce
n'est pas un sentiment qui semble
devoir passer avec l'âge.
Il y a de tout parmi mes fidè
les, mais guère de sportifs. C'est
sans doute que les sportifs ne fré
quentent pas les bars. Décemment,
je ne peux pas, moi, le leur repro
cher. Il y a des industriels, des ar
tistes des écrivains, des gens du
monde - sans parler des jolies
femmes qui fleurissent quotidien
nement mon parterre.
Je ne regrette rien. Si c'était à
recommencer, il est probable que
je referais exactement la même
chose, les mêmes choses. D'abord,
parce que je ne pourrais pas faire
autrement. L’expérience, c'est de
la blague. Celle des autres, n'en
parlons pas, mais également la
sienne.
Evidemment, il m'est arrivé et il
m’arrive encore parfois de me dire
qu'avec tous les atouts que j'ai eus
en main j'aurais pu faire mieux.
Encore faut il savoir ce que ça
veut dire : « mieux ». L'étiquette
peut être trompeuse. De toute fa
çon, ce qui m'a arrêté, i ai déjà
eu l'occasion de le signaler au
cours de ce récit, c'est une cer-
faine timidité et un sens critique
peut-être excessif. Aussi, soyons
franc, la flemme. Entendons-nous :
je suis tout le contraire d’un pa
resseux et je crois l'avoir prouvé.
Aucun boulot ne me fait peur et
‘ je m'efforcerai toujours de le faire
de mon mieux. Seulement, je ne
suis pas l'homme des Intrigues, des
spéculations à plus ou moins loin
taine échéance.
J'ai toujours eu tendance à pren
dre la vie comme elle se présentait.
Je n'ai jamais souhaité être un au
tre homme que celui que j'étais.
C’est peut-être pour ces raisons que
je suis resté
au moral.
Car je suis
che du bois,
le dira et ne
jeune, au physique et
resté jeune — je tou-
Tout le monde vous
comptez pas sur moi
pour faire de la fausse modestie.
préméditation de ma part
presque. George Bourne m’avait in
vité à passer quelques semaines
chez lui, à New-York. Nous avions
projeté des parties de pêche et de
chasse. Pour la première fois, je
m'embarquai pour les Etats-Unis
sans mon fidèle Descamps. Pas, tou
tefois, sans mon équipement de
boxe. Je n’aurais pas osé : j'au-
rais eu l’impression de partir
passeport.
Je m’étais embarqué dans la
nière semaine d’avril. Le 21
sans
der-
mai,
Ma-
je combattais dans le ring de
dison Square Garden. J’étais à
New-York depuis trois jours à pei
ne, quand la direction de cet éta-
Cela
cela
me navrait d'ailleurs assez,
me
dégoûtait de constater
que j'en étais arrivé là, que j'étais
devenu le vrai « pro » qui ne boxe
plus que pour défendre son cachet.
Et, tandis que l’arbitre rendait son
verdict, je pris la ferme résolution
de ne plus jamais me mettre dans
Un gentil deux-pièces
pour une
« Je n'ai jamais suivi
de régime »
A CE PROPOS, on me demande
souvent si j’ai un régime,
une recettè, etc... Rien du
tout. Je ne bois presque pas
d'alcool — je n'en ai jamais bu :
coûteuse confidence pour un pro
priétaire de bar — et je ne fume
plus. Je me suis arrêté voilà quel
ques années ; à ce moment-là, je
fumais allègrement mes quarante
cigarettes par jour. A part ça, je
pense surtout que je dois une fière
chandelle à mes parents.
Afin d'éliminer de nos rubriques de
femme coquette
En velours finement côtelé, la
casaque serre bien la taille, la
jupe en forme est ravissante. Ce
deux pièces
Bougival
à
que nous
tous à /
rue du Louvre. Cette série com
prend les 2 francs Angoumois,
3 francs Aunis et 5 francs Saintonge.
Cés trois timbres seront vendus dans
tous les bureaux de posté métropoli
tains à partir du 15 novembre. C’est
ainsi que la totalité des timbres
français d’usage courant auront été
remplacés par des figurines enfin di
gnes de notre pays. Le 5 francs
Saintonge remplace le 5 francs Ma
rianne de Gandon dont nous n’au
rons plus à utiliser qu’un triste spé
cimen : le 15 francs auquel il faut
espérer que M. Bardon trouvera un
remplaçant quel qu'il soit.
TAUPES - ZIBELINES
SATINS-LAINE, etc...
COROT
2 As Amo *s -
65, CHAMPS-ÉLYSEES
I UNE TARTE POUR 10 PERSONNES EN 5 MINUTES !
“y Rien n’est plus facile et elle sera croustillante,
délicieuse et parfaitement réussie avec : *
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vous passez Çhaussée d'Antin, au
58 bis, voyez Catherine Gérard.
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(Communiqué.)
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1 1 nov. (Fête de la Victoire):
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EN VENTE : GRANDS MAGASINS, DROGUERIES ET PHARMACIES.
• Et Voici l’heure de la
retraite arrivée : après son
match contre Siki, Carpen
tier boxera encore trois ans,
mais, en 1926, il quittera ses
gants pour toujours. • L’ex
traordinaire pugiliste a précé
demment évoqué ses princi
paux combats, les personna
ges célèbres qu’il a ren
contrés, de Chevalier au
roi d’Angleterre, la Belle
Epoque, etc. • Ses Mémoires
paraîtront aux Editions Flam
marion sous le titre « Mon
match avec la vie ». (Voir
« France-soir » depuis le
26 octobre.)
Il y a longtemps que le ne fais
plus de sport, ni même de culture
physique (sauf quelques petits
mouvements, comme ça, le matin,
au réveil, histoire de me dégour
dir les membres). Jusqu'en 1939, |e
jouais encore un peu au rugby avec
les « ex » du Stade Français —
bien qu'étant moi-même un ancien
du S.C.U.F. — où m’avaient en
traîné mes amis les internationaux
Jauréguy, dit le grand Adolphe, et
Verger. Plus question, vous pensez
bien, vu mon âge avancé, de me
livrer à ce passe-temps. Je ne joue
même plus au golf depuis des an
nées. Le seul sport que je pratique
encore, mais, alors, avec passion,
c'est la pêche, la pêche au lancer.
Si : je marche. J'adore marcher,
vite et en respirant à pleins pou
mons. Ce sont mes deux caniches
qui me servent d'entraîneurs. Nous
faisons des randonnées, le matin,
au bois de Boulogne. Cela me rap
pelle mes footings d’antan et m'in
cite parfois à diverses excentricités
telles que piquer un sprint, sauter
une clôture de fil de fer (pas trop
haute) ou un banc (non occupé).
Parfois aussi, après m'êtré assuré
que ma folie n'aura pas de té
moins, |e me laisse aller à exécu
ter des gestes de shadow boxing.
L'autre jour, dans une allée pour
tant des plus retirées, j'ai été pris
sur le fait par un petit gars qui
m'a lancé d'une voix pleine de
commisération :
— Dis-donc, grand-père, si c’est
maintenant que tu te mets à la
boxe, il est peut-être un peu tard !
Grand-père, le le suis en effet.
J'ai un petit-fils.
DEMAIN
Les boxeurs
d'aujourd'hui
(Copyright by « France-soir »,
Scoop, Georges Carpentier, la Page
internationale and les éditions
GRAINDE,
I VALS i
RÉGULARISE LES FONCTIONS
DIGESTIVES ET INTESTINALES
LES ENFANTS NES CE JOUR seront très susceptibles, parfois ombra
geux et coléreux, vindicatifs même, mais auront de nombreuses
et solides qualités d’intelligence, des inclinations vers l’art.
Si VOUS ETES NES UN 14 NOVEMBRE : Cette année solaire semble
devoir vous apporter des satisfactions sentimentales susceptibles
de faire date dans votre existence et même de lui donner une
heureuse orientation. Gamme de GRIS et BLEUS la meilleure
) BELIER (21 mars au 20
4 avril). — AFFAIRES : Am-
biance un peu irritante, où
vous devez faire en sorte de ne
pas perdre votre sang-froid. —
SENTIMENTS : Ecartez les ba
vards, les trépidants, les impul
sifs. Recherchez une ambiance
calme et détendue et des com
pagnies sincères et agréables.
— SANTE : Prenez garde aux pe
tits accidents par maladresse.
TAUREAU (21 avril au 20
mai). — AFFAIRES : De
bonnes influences lunaires
peuvent favoriser certaines con
versations et discussions utiles. —
SENTIMENTS : Une détente, per
mettant une meilleure compréhen
sion réciproque. Le 2* décan doit
se montrer plus gentiment con-
vaincant. — SANTE : Un mieux
chez les malades et les déprimés.
GEMEAUX (21 mai au 22
juin). — AFFAIRES : Des
circonstances fortuites peu
vent vous permettre de vous
mettre en valeur. — SENTI
MENTS : Heures agréables en
compagnie choisie. De petites
surprises heureuses peuvent échoir
au 3e décan. — SANTE : Bonne
résistance nerveuse.
c CANCER (23 juin au 22 juil-
<9 let). — AFFAIRES : Votre
modération peut vous faire
l’arbitre écouté d’une difficulté
professionnelle. Excellente am
biance pour les artistes, les com
merçants de l’alimentation. —
SENTIMENTS : Réunions de fa
mille destinées à renouer des
contacts, à resserrer les liens
affectifs ; amours des jeunes et
des plus de 40 ans favorisées. —
SANTE : Estomac plus complai
sant.
C) LION (23 juillet au 22 août).
“L — AFFAIRES : Vous de
vriez consacrer cette jour
née au repos ou à • des distrac
tions destinées à vous changer de
votre coutumière ambiance, à
vous évader de vos soucis. —
SENTIMENTS : De la jalousie au
tour de vous et peut-être même
en vous. — SANTE : Accordez une
large place à la détente.
TO» VIERGE (23 août au 22
“‘f septembre), _ AFFAIRES :
Grande habileté réalisatrice.
Voyages professionnels fructueux.
Chance dans les travaux artisti
ques, les transactions et les rela-
lions s’y rapportant. — SENTI
MENTS : Vous savez rallier les
sympathies, vous faire estimer et
aimer, grâce à ’ vos heureuses
qualités de cœur et d’esprit.
Bonne journée. — SANTE : Or
ganisme résistant.
n BALANCE (23 septembre
—5 au 23 octobre). — AFFAI
RES : Précipitations, étour
deries, excès d’imagination peu-
LES VINS « PICARDY »
De bouche à oreille tout le monde
dit : « A Paris, le meilleur vin de
table, c’est « PICARDY », le fidèle
reflet de la Vigne.
(Dans toutes les bonnes maisons.)
vent être synonymes de déséqui
libre financier ou de complica
tions professionnelles. Soyez très
pondérés. — SENTIMENTS
N’accordez qu’une importance
toute relative aux « mots » un
peu acerbes, au qu’en dira-t-on.
Evitez le flirt, les légèretés. —
SANTE : Digestions assez labo
rieuses. Nerfs sensibles.
|||F 22 novembre). — AFFAI ¬
RES : Votre patience peut
trouver ce jour sa récompense I
dans une bonne nouvelle, la pro
messe d’accords facilités. Une ins- |
piration heureuse est possible. — |
SENTIMENTS : Le 2” décan
saura se montrer beaucoup plus |
conciliant, et à tous, la journée ‘ I
réserve des moments heureux. — i l
SANTE : Réflexes plus sûrs. I
Amélioration.
Z SAGITTAIRE (23 novembre
au 20 décembre). — AF
FAIRES : Atmosphère eu
phorique avec possibilité de ren
trée d’argent ou de promesses de
protection qui seront tenues. Plai
sirs et distractions à votre goût.
— SENTIMENTS : Humeur facile,
tolérante, créant une atmosphère
favorable à un bon dimanche de
repos. — SANTE : Bonne endu
rance.
.O CAPRICORNE (21 décembre
• Y au 20 janvier). — AFFAI
RES : Secteur lé plus favo
risé. Le repos dominical n’empê
chera pas à votre activité men
tale de s’exercer utilement. Ne
mêlez pas affaires et sentiments
— SENTIMENTS : Vous serez as.
sez exigeants, mais saurez tenir
compte des dévouements, des sen
timents qu’on vous manifeste
Susceptibilité féminine. — SAN
TE : Surveillez votre alimenta
tion.
_ — VERSEAU (21 janvier au
—e 19 février). — AFFAIRES :
Tendances à vous exagérer
certaines difficultés. Ne comptez
pas trop sur les aides extérieu
res, mais ne refusez pas systéma
tiquement celles qui peuvent
vous être offertes. — SENTI
MENTS : Vous pouvez n’en faire
qu’à votre tête, mais n’imposez
pas pour cela votre point dé vue
à un entourage asse z rétif. —
SANTE : Calme et détente néces
saires.
r POISSONS (20 février au
JL 20 mars). — AFFAIRES :
Excellente journée, où la
chance peut se manifester inopi
nément. Relations nouvelles très ®
intéressantes. — SENTIMENTS : È
Tous pouvez espérer voir-vos pro. S
jets se réaliser, et l'audace vous
sert. — SANTE : Maintien d'un
bon équilibre.
DANY-ROY.
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MANTEAU, à part. de 11.900
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FACILITES DE PAIEMENT
Flammarion).
(Communiqué.)
Mick
Mick
cette fois
Micheyl retrouve, à la « Kermesse
aux Chansons », Marie Dubas
et Georges Guétary
Micheyl, vedette « France-soir » de la Kermesse, y rencontre
deux autres grandes vedettes : Marie Dubas et Georges Guétary.
« Le doux Caboulot », qui est l’indicatif du stand de René Lefèvre, est
précisément la seule chanson simple du répertoire de Marie Dubas, (font
la destinée a été de jouer sur scène et de minier des chansons compli
quées.
L’invité de Robert Beauvais est Georges Guétary, dont les nombreux
souvenirs musicaux vont de l’opérette au film, mais remontent à... un air
de Mozart que jouait son oncle Tasso Janopoulo, qui fut l’accompagnateur
de Jacques Thibaud Mick propose à Georges Guétary « En toi l’amour
sommeille », un nouvel air de style boléro qu’ils fredonnent ensemble.
La découverte de Mick est un jeune chanteur suisse, Vico Torriani, qui
chante « Malaguena », et son compositeur favori Jean Constantin, que
nous entendons au stand d’Henri Spade interpréter « Dans l’île », une
nouvelle chanson.
André Hornez nous ménage une surprise dans son opérette : Mick
Micheyl la joue avec Michel Roux et se retrouve ensuite dans la loge de
Guétary, lui-même vedette d’une opérette à succès. (Samedi, 15, LUX.)
1 O INT Vous entendrez demain. —
1 19.15 PP Gazette du Théâtre-
Français. — 19.33 PP Je vous prends
par la main. — 19.40 PN Paris vous
parle.
20 PN Musique légère ; INT Paris
“ à l’heure des étoiles ; PP Inf. ;
LUX MC Emportez-le avec vous. —
20.15 LUX MC Toute la ville chante.
— 20.30 PN < Tableaux de l’héroï-
ne fidèle », de M. Ohana ; INT Orch.
Radio-Turin. — 20.45 LUX MC Sou-
coupes volantes.
21 30 PN La classe intemporelle du
— lycée du Havre. — 21.35 PF
Avant-Premières.
SAMEDI
18 INT Les grands musiciens :
Beethoven.
18 INT Orchestre de
PP, LUX, MC Inf -
zine de l’Université.
PP Félix Leclerc,
de Strasbourg. •
12.30
Toulouse.
PN Maga-
— 12.10
PN Orch.
PP Actualités de
Paris. - INT Le jazz en liberté.
12.33 LUX Ceux de chez nous.
12.35 LUX Course aux chansons.
13 PN, LUX, MC Inf. - PP Grande
12 parade des disques. — 13 10
PR
PN
INT
Microsillon music-hall.
La vie chez Molière.
Orchestre de Nice.
13.20
13.30
13.50
LUX Gilbert Bécaud.
145 Inf. — 14.15 LUX Mon cousin
- d’Aveyron : Fernand Reynaud.
Paris.
14.17 PN Orch.
14.20 PP
Radio-Symph. de
INT Evolution des
musique.
14.45
Maurice Bourdét.
Disques.
14.33
formés dans la
PP Hommage à
• 1 e LUX La Kermesse aux
- chansons : Mick Micheyl.
PP Finale de la Coupe du monde
de rugby à XIII.
1c 10 PP Aux quatre vents. - PN
-° Orchestré de Lyon. — 16.55 PN
Le souvenir de Guillaume Lekeu.
1 7 PP Les donneurs de sérénades. -
- • INT Rendez-vous à cinq heures.
— 17.30 LUX. MC Magazines fémi-
ni ns.
17.35 PP Jazz panorama.
1 Q INT Fleuve profond. — 18.5 PP
- Récréations scientifiques. —
18.18 INT Ondes Martenot.
PP Télé-Paris,
du XX" siècle.
18.25
18.55 INT Sonates
1 Q PP, MC Inf. - MF Du jazz à la
1 danse. — 19.1 PN Pour ou con
tre la musique moderne. — 19.15 PP
Sports de Paris. — 19.25 INT « C’est
Dupont mon empereur ! », feuilleton
d’après Jean Burnat, avec Jean Ri-
chard.
19.25 PP Tribunaux comi-
ques, de J. Grunebaum. — 19.30 PN
Paris vous parle. — 19.44 LUX La
famille Dur a ton.
o0 PN Musique légère - PP Jour-
— nal et allocution de M. Men
dès-France. - INT La terre est ronde:
Léna Home - LUX Les risque-tout -
MC De fil en aiguille.
20.30 PP
« Partir », de Dorgelès (S. Pizella) •
PN « Don Quichotte », de Cervan-
tès (A Vidalie) - MF Chansons pour
danser • LUX La radio était là : Pa-
ganini - MC La dame de Monsoreau
• INT Tribune de Paris. — 20.45 SOT
Six chansons en quête d’éditeur. —
20.50 INT Inf.
naud.
20.53 Michèle Ar-
91 PN « La Femme d’un autre »,
— d’après Dostoiewsky - INT La
bride sur le cou - MC Les risque-
tout. — 21.2 LUX Course à Témé-
raude. — 21.15 PP C’est toute une
histoire d’opérette — 21.17 LUX Les
vainqueurs de la saison.
99 PP, LUX Inf. - INT Bonsoir
— l’Europe, ici Paris. — 22,15 PP
6 B
Les ascenseurs dé Paris. —
Orch. Wal-Berg.
23 INT, LUX, MC Inf. -
—Y idées et des hommes.
PN Inf.
Télévision
12 45 Télé-Paris.
13.15
22.30 PP
PN Des
- 23.45
Journal.
— 14.50 Rugby XIII : Finale de la
Coupe du Monde,
sans passeport.
18.15 Voyage
20.15 Journal, météo. — 20.35 Film.
— 22.5 Musique pour vous.
Principales émissions
de dimanche
10 18 INT La ronde des chansons.
• — PP Histoire et géographie
de la chanson.
i -| PN Plaisir de la musique. —
11.10 PP Echec au public. —
11.15 LUX Grand prix du disque.
12 PN Le musée du disque. — 12.15
“ PP Béatrice Dussane. — 12.30
LUX Robert Lamoureux. — 12.50 PP
Le Grenier de Montmartre.
1 2.20 PN « L’Heure de la vérité »,
de Max Servais. — 13.30 PP
La route du soleil. — 13.45 INT
Gala. La nuit du piano.
I A PP Concert Beethoven. — 14.15
—f Lux L’Heure exquise. — 14.45
INT Critiques de disques : Un con
certo de Mozart.
15 PP LUX Reportages sportifs. —
1 ° 15.36 PN « Fanfan la Tulipe ».
17 .45 PN MF Concert Lamoureux.
1" MARQUE FRANÇAISE
DE QUALITÉ —
LA KERMESSE
AUX CHANSONS
la grande émission patronnée
par
D7a30t
et réalisée par Janine GUYON
sur RADIO-LUXEMBOURG
présentera
DEMAIN 13 NOVEMBRE
de 15 h. à 16 h
la vedette « France-soir •
Mick MICHEYL
entourée de
Marie DUBAS
Jean CONSTANT!?
Michel ROUX
Vico TORRIANI
et
Georges GUETARY
avec, comme d'habitude :
Henri SPADE, au stand « Flan
dria » des chansons nouvelles,
Robert BEAUVAIS, au stand
« Menier » des chansons sou
venirs ;
André HORNEZ, au stand
« Weill » des chansons d'opé
rette ;
R. LEFEVRE, au stand « Rosy »
des chansons simples.
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FRANCE-SOIR
UN DOCUMENT EXCLUSIF
qui révèle les dessousde
paraîtra
à partir de lundi prochain
dans
France-soir
Geoffrey HOARE
ami intime de la famille Mac Lean
dévoilera les circonstances de la plus troublante énigme
de l'après-guerre :
• Pourquoi Mac Lean s'enfuit le soir de son 38 e anniversaire,
après s'être disputé avec sa femme.
• On perd la trace des fugitifs en France
• Melinda reçoit un étrange télégramme.
• Deux chèques d'un million.
• Ce que fut la vie du couple Mac Lean.
• Un mystérieux émissaire rencontre Melinda en Suisse.
• Melinda dépiste les limiers helvétiques et disparaît avec ses
trois enfants.
• Comment et où vivent actuellement les Mac Lean.
• Pourquoi Melinda a rejoint son mari.
Etc., etc.
(SUITE DE LA PAGE I)
Sur le boulevard
à ragots
militaire. • Au ministère de
l’Agriculture, M. Parmentier est
spécialement charge des opéra
tions concernant les pommes
de terre. • M. Alabafouille est
employé de bureau à la direc
tion des Anciens Combattants.
LES SOUVENIRS DE GEORGES CARPENTIER
LE PLUS PRESTIGIEUX DES CHAMPIONS FRANÇAIS
. ■ -111--? . • • ■ ■ ' - • ' t ■ .1 — . .
«Cest un peu tard, grand-père,
pour te mettre à la boxe ! » m a crié
un petit gars, lautre jour, au Bois...
«Grand-père, je le suis en effet; mais à soixante
ans, je suis resté jeune au physique et au moral »
S i j’avais pu envisager d'abandonner la boxe après Dempsey, il ne pouvait évidem
ment plus en être question après Siki, après une défaite aussi humiliante. Et je
tenais à reboxer devant les Parisiens. C'est pourquoi fut conclu un match avec
Marcel Nilles, excellent champion de France poids lourds, à disputer, à Paris, en mai 1923.
Je battis Nilles par k. o. au
8e round, après un combat com
mencé très prudemment et ren
du difficile par la tactique toute
défensive de mon adversaire. Le
match s'était disputé au stade
Buffalo, et ce n'est pas sans ap
préhension que j'avais abordé
de nouveau cette arène, théâtre
de ma triste aventure avec Siki.
L'accueil du public fut toutefois
beaucoup plus sympathique que
je ne l'attendais. J'étais anxieux
de me réhabiliter. Mon entraîne
ment avait été très poussé et je
craignais seulement pour mes
mains, encore très fragiles mal
gré un repos de six mois.
C’était une rentrée convenable,
mais je ne me faisais pas d’illu
sions, pas plus que je ne devais
m’en faire, quelques mois plus tard,
après mon second match contre
Beckett, à Londres. J’aurais bientôt
trente ans, âge terrible pour un
boxeur.
« Mes derniers matches »
A SON ENTOURAGE, qui, sur
le perron de l’Elysée, lui de
mandait s’il était assez couvert
pour se rendre aux cérémonies
S du 11 novembre, le -president
René Coty, ancien combattant
de Verdun, a fièrement répon-
du : « Mais ne suis-je pas un
poilu ? »
• AU MINISTERE DES FI
NANCES, dans le bureau du
ministre et des différents
directeurs, le portrait de
M. Vincent Auriol n’a pas
encore été remplacé par ce
lui de M. Coty.
A TOUTE VITESSE (au congres
S F. I. O. de Suresnes). Pour
obtenir le maximum de pré
sences, M. Guy Mollet, secré
taire général du parti, a fait
fermer le bar pendant son inter
vention. • M. Charles Lussy,
président du groupe parlemen
taire socialiste (qui a 70 ans),
s’est fait vivement applaudir en
disant : « Je suis un homme
déjà avancé dans la vie... du
moins dans la vie politique. »
• M. P.-O. Lapie, ex-ministre de
l’Education nationale, a dit, à
propos des projets antialcooli
ques de M. Mendès-France : « Le
nouveau slogan du gouverne
ment est : Le lait dans les ca
sernes et l’eau dans les bis
trots. »
• MATISSE, qui vient de
mourir, avait naguère dit à
un marchand de tableaux,
qui vendait des toiles mé
diocres : « Ce que vous vou
lez, c’est faire fortune
croûte que croûte. »
M ALBERT SARRAUT, prési
dent de l’Assemblée de l’Union
française, a dit : « Si M. Men
dès-France remanie son gouver
nement, je veillerai à ce qu’il
rétablisse un ministère des Arts
et des Lettres ! »
• GEORGES DUHAMEL a
dit à l'Université des Anna
les : « C’est malheureux
à constater : alors qu’il faut
avoir été ordonné prêtre
pour administrer des sacre-
ments ou avoir fait des étu
des pour devenir ingénieur,
le seul métier n’exigeant au
cun diplôme est le métier
de gouvernant ! »
| LES NOMS PREDESTINES.
M. Joseph Conscience est no amé
_ brigadier-chef des gardiens de
- la paix. • M. Guerre est ma
réchal des logis à la 3' région
L'œil en coulisse
• DEPUIS QUE LUIS MA-
RIANO a signé le livre d’or
installé sur la plate-forme
de la cathédrale de Stras
bourg (quel drôle d’en
droit !), les bobby-soxers de
la ville y montent en rangs
serrés et la page 243 du li
vre est sévèrement surveillée
par les gardiens.
• EN CHAHUTANT dans
les coulisses de Medrano, le
boxeur Robert Cohen s’est
fait mettre k.-o. par l’équi-
libriste allemande Rogger’s.
• JEAN-MARC THIBAULT,
qui fêtait avec Roger Pierre
la sortie de leur disque :
« Vingt - cinq centimètres
d’humour » (c’est le diamè
tre du microsillon), m’a dit :
« Pour incarner un bambino
en culotte courte tous les
soirs à l'Olympia, je dois
maquiller mon genou avec
des petits traits de crayon
noir. » Motif : à la suite
d'une blessure, son genou,
totalement rasé, paraissait
étrangement blanc à côté de
l’autre, velu.
• LE MUSIC-HALL SE
CONCENTRE. Georges Fran
ce a cédé ses parts de pro
priétaire du bal du Moulin-
Rouge à MM. Joseph et
Louis Clérico, actuels pro
priétaires du Lido et en
partie patrons de l’Empire
et du cabaret des Ambassa
deurs.
• ANDRE CLAVEAU m’a
dit : « Je viens de découvrir
une jeune compositrice qui
écrit des chansons (noires)
merveilleuses. Elle n’est pas
encore connue, mais elle a
déjà un grand nom. Il s’agit
de Colette Mansard, descen
dante de l’architecte.
• MARCEL ACHARD fait
une cure (sérieuse) à En-
ghien-les-Bains.
M ON match contre Beckett eut
lieu, le 1" octobre, dans
Olympia • Hall archibondé.
A mon arrivée dans le ring,
le fus accueilli par une ovation
monstre, comme à mes plus beaux
jours. Le sentimental public anglais
tenait à me montrer qu'il avait
compati à mes malheurs et qu’il me
gardait son estime. J’en fus profon
dément remué. Le combat commen
ça à 10 heures. A 11 heures, j'étais
en habit et dansais à l'hôtel Savoy.
Je restai l'hiver sans boxer, par
tageant mon temps entre Paris,
Londres et Saint-Moritz. J'attendais
des propositions américaines qui, je
le savais, ne manqueraient pas de
m'être faites pour la saison pro
chaine. Elles vinrent sous forme
d'une offre de près de deux mil
lions pour rencontrer Tom Gibbons
et Gene Tunney à un mois d’inter
valle. Programme sérieux, Tom
Gibbons et Tunney étant les deux
meilleurs poids lourds américains
après Dempsey. Tom Gibbons avait
tenu quinze rounds devant le cham
pion du monde Quant à Tunney,
il progressait de mois en mois, et
c’est lui, on le sait, qui, un peu
plus tard, devait ravir son titre à
Dempsey — un Dempsey, il est vrai,
nettement en déclin.
Je matchai Tom Gibbons, le 31
mai, à Michigan City. Notre com
bat, un quinze rounds « sans déci
sion », alla à la limite Nous avons
fait à peu près jeu égal, sans knock-
down de part ni d'autre, ni inci-
dent marquant.
foulure de
la cheville droite, survenue au
3> round, me fit souffrir surtout
après le match.
Contre Gene Tunney, le 30 juin,
à New-York, je fus déclaré battu
par abandon au 14e round, sur un
coup bas non reconnu par l'arbitre.
Le coup ne m’avait pas projeté à
terre, mais, me voyant boiter, l’ar
bitre avait arrêté le combat, don
nant ta victoire à Tunney. Je dois
d'ailleurs reconnaître que je nau-
rais pas eu l’avantage aux points
si le combat avait été à la limite.
Tunney me gêna beaucoup par son
allonge, et sa boxe défensive était
très efficace, mais il ne me fit pas
grande impression. A mon avis, il
y avait deux classes d'écart entre
le cas d’éprouver ce sentimënt-là.
Il me restait pourtant deux enga
gements à remplir. Je rencontrai
encore Burke et Stramaglia. Et,
cette fois, ce fut bien fini. Je ne
devais plus jamais reparaîre dans
un ring de combat.
Ma décision prise, je ressentis
d’abord un immense soulagement.
Enfin, j’en avais terminé avec ces
contraintes physiques et morales
que vous impose quotidiennement le
dur métier de boxeur — oui, quoti
diennement, même dans les pério
des de détente, et peut-être, par
souci de ne pas ennuyer le lecteur,
n'ai-je pas suffisamment insisté sur
ce point au cours de ce récit. Puis,
songeant aux beaux jours passés,
j'éprouvai le serrement de cœur qui
vous prend devant cette certitude
que ce qui a été ne sera jamais
plus...
« Et maintenant mon bar »
EN 1921,
PENTIER
GEORGES CAR-
S’INITIAIT A
L’ART D’ETRE PERE. ON
LE VOIT CI-DESSUS AVEC
SA FILLE JACQUELINE.
ment. Je pensais à
pu faire contre un
celui là au temps
forme. Maintenant,
ce que j’aurais
homme comme
de ma grande
c'était fini. Je
PHILATÉLIE
PRAGUE — Les postes tchèques
viennent d'émettre coup sur coup
deux nouvelles séries de timbres-
poste. La première de ces séries,
composée d’un 30 et d'un 45 haleru,
est dédiée à Tchékhov, le célèbre au
teur russe (1860-1904). Les deux va
leurs nous présentent le même por
trait de l’écrivain La deuxième série
constitue la troisième tranche de la
nouvelle sérié des timbres-poste
d'usage courant connue sous le nom
de « Les Tchèques au travail ». Le
15 haleru vert nous montre un ma
çon, le 40 haleru brun-gris, une fem
me-facteur des postes, et le 75 haleru
bleu, un ouvrier d’usine. Tous les
nouveaux timbres ci-dessus ont été
gravés en taille-douce, soit en feuil
les de 50, soit en feuilles de 100, par
l'Imprimerie des Postes à Prague ou
à Bratislava (pour les timbrés d'usa
ge courant)
PARIS. — Les trois dernières va
leurs de la série courante dite des
Blasons est en vente depuis le 11 no
vembre au bureau postal temporaire
installé au Salon Philatélique d’Au-
tomne, 8, rue Jean-Goujon, à Paris,
ainsi qu’à la Recette Principale de la
• HORRIBLE DETAIL. Un
cocher de fiacre parisien a
dit : « Pendant la morte-sai-
son, je confie mon cheval à
l'institut Pasteur. Il est logé
et nourri gratuitement et H
sert aux essais de sérum.
Quant à moi, je m’occupe
du fonds de commerce que
j’ai acheté : une boucherie
chevaline. »
DE QUI EST-CE : « Silence aux
pauvres »? (Publié sous la si
gnature de Lamennais dans le
dernier numéro, encadré de
noir, du « Peuple constituant »
le 11 juillet 1848.)
• M. ROBERT JOFFET.
conservateur en chef des /
jardins de Paris, règne sur
un million de pieds, pour
l’ensemble de la capitale. Il
s’agit de pieds de fleurs.
A NANCY, un G.I. du dépôt
voisin de la ville, qui avait
très sommeil, a brisé la vitrine
d’un marchand de meubles, dans
laquelle il y avait un magnifi
que divan-lit. Comme il s’était
dévêtu avant de s’y endormir,
il sera également poursuivi
pour attentat à la pudeur.
• QU’EN PENSEZ-VOUS,
MESDAMES ? Dans ses « Let
tres à Roger Nimier », Jac
ques Chardonne écrit :
«Dans un couple, la femme
se dévoue et l’homme se sa
crifie. »
L’HISTOIRE QU’A RACONTEE
BOB HOPE A PARIS : « A son
psychanalyste, qui l’avait gué- :
rie en quatre semaines d’une
maladie nerveuse, une jeune ?
femme dit : « Docteur, puis-
je vous embrasser pour vous :
remercier ? — Oh ! non, chère
madame, répond le docteur,
c’èst déjà bièn suffisant que
nous ayons dû passer un mois :
dans le même lit. »
Carmen TESSIER.
ce Tunney-là et le
j’avais connu.
Durant ce combat,
pas physiquement,
Dempsey que
le ne souffris
mais morale-
connaissais trop bien mon métier
pour ne pas être capable de faire
encore bonne figure contre n’im
porte qui dans un ring, mais mes
perspectives d’avenir se réduisaient
à un mot dont la résonance, quelle
que soit la profession qu’on exerce,
est toujours assez sinistre : la re
traite.
L'heure de la retraite a sonné
UI, l'heure de la retraite avait
sonné pour moi,
l’en
‘G étais le premier convaincu.
Mais on peut entendre la
sonnerie sans obtempérer. Je ne
boxai pas de toute l’année 1925.
Pourtant, je n'avais pris aucune dé
cision, ni officiellement ni dans mon
for intérieur. A 31 ans, voire à 32,
peut-être est-il encore un peu tôt
pour s’arrêter ? Il y a des jours
où I on se sent réellement bien,
comme si montait en vous une nou
velle poussée de jeunesse Et puis,
et jusqu’à ce que j'en aie pris un
autre, la boxe restait mon métier.
Cela avait été une passion, et ce
n’était plus une passion, mais c'était
toujours mon métier.
Je boxai de nouveau en 1926,
mais cette année-là fut bien la der
nière. Cela se fit d'ailleurs sans
blissement m'avait proposé un con
trat pour rencontrer Eddie Huff
man, un mi-lourd dont je connais
sais la réputation de « dur ».
Je rencontrai aussi Loughran.
Cette fois, je perdis de peu aux
points, en dix rounds. Ce Loughran
boxait adroitement, il était très mo
bile et difficile à toucher. Et, moi,
je n'avais vraiment plus la foi. De
plus, ce jour-là, je ne sais pour
quoi, je me sentais aussi peu en
train que possible. Je faisais pour
tant de mon mieux pour ne pas
décevoir des organisateurs qui con
tinuaient à me payer très cher.
. T voilà. Maintenant, de onze
t heures du matin à une heure
™ et demie de l'après-midi, de
six heures à neuf heures du
soir, je suis à mon bar. Depuis
bientôt vingt ans. Le premier
« Georges-Carpentier » a été inau
guré en 1935. Il se situait rué Ar-
sène-Houssaye. Deux ans plus tard,
l’émigrais, à cent mètres de là —
juste les Champs-Elysées à traver
ser _ rue de Presbourg. J'y suis
encore aujourd'hui, après l’éclipse
des quatre années de guerre.
Le bar, ce n'est pas pour moi un
travail. C'est, mieux qu'une distrac
tion, un besoin. J'ai besoin de ce
mouvement, de cette chaleur au
tour de moi Des amis de toujours
surgissent, qui évoquent des sou
venirs du « bon vieux temps ». Ce
n'est pas que j'en aie la nostalgie,
de ce bon vieux temps, mais ça
fait quand même plaisir. Les jeu
nes, eux, ceux qui sont nés quand
j'appartenais déjà au passé, me
font le plus beau des hommages :
celui de m’accepter tel que je suis
maintenant. J'a’ toujours été un
amoureux de la jeunesse et ce
n'est pas un sentiment qui semble
devoir passer avec l'âge.
Il y a de tout parmi mes fidè
les, mais guère de sportifs. C'est
sans doute que les sportifs ne fré
quentent pas les bars. Décemment,
je ne peux pas, moi, le leur repro
cher. Il y a des industriels, des ar
tistes des écrivains, des gens du
monde - sans parler des jolies
femmes qui fleurissent quotidien
nement mon parterre.
Je ne regrette rien. Si c'était à
recommencer, il est probable que
je referais exactement la même
chose, les mêmes choses. D'abord,
parce que je ne pourrais pas faire
autrement. L’expérience, c'est de
la blague. Celle des autres, n'en
parlons pas, mais également la
sienne.
Evidemment, il m'est arrivé et il
m’arrive encore parfois de me dire
qu'avec tous les atouts que j'ai eus
en main j'aurais pu faire mieux.
Encore faut il savoir ce que ça
veut dire : « mieux ». L'étiquette
peut être trompeuse. De toute fa
çon, ce qui m'a arrêté, i ai déjà
eu l'occasion de le signaler au
cours de ce récit, c'est une cer-
faine timidité et un sens critique
peut-être excessif. Aussi, soyons
franc, la flemme. Entendons-nous :
je suis tout le contraire d’un pa
resseux et je crois l'avoir prouvé.
Aucun boulot ne me fait peur et
‘ je m'efforcerai toujours de le faire
de mon mieux. Seulement, je ne
suis pas l'homme des Intrigues, des
spéculations à plus ou moins loin
taine échéance.
J'ai toujours eu tendance à pren
dre la vie comme elle se présentait.
Je n'ai jamais souhaité être un au
tre homme que celui que j'étais.
C’est peut-être pour ces raisons que
je suis resté
au moral.
Car je suis
che du bois,
le dira et ne
jeune, au physique et
resté jeune — je tou-
Tout le monde vous
comptez pas sur moi
pour faire de la fausse modestie.
préméditation de ma part
presque. George Bourne m’avait in
vité à passer quelques semaines
chez lui, à New-York. Nous avions
projeté des parties de pêche et de
chasse. Pour la première fois, je
m'embarquai pour les Etats-Unis
sans mon fidèle Descamps. Pas, tou
tefois, sans mon équipement de
boxe. Je n’aurais pas osé : j'au-
rais eu l’impression de partir
passeport.
Je m’étais embarqué dans la
nière semaine d’avril. Le 21
sans
der-
mai,
Ma-
je combattais dans le ring de
dison Square Garden. J’étais à
New-York depuis trois jours à pei
ne, quand la direction de cet éta-
Cela
cela
me navrait d'ailleurs assez,
me
dégoûtait de constater
que j'en étais arrivé là, que j'étais
devenu le vrai « pro » qui ne boxe
plus que pour défendre son cachet.
Et, tandis que l’arbitre rendait son
verdict, je pris la ferme résolution
de ne plus jamais me mettre dans
Un gentil deux-pièces
pour une
« Je n'ai jamais suivi
de régime »
A CE PROPOS, on me demande
souvent si j’ai un régime,
une recettè, etc... Rien du
tout. Je ne bois presque pas
d'alcool — je n'en ai jamais bu :
coûteuse confidence pour un pro
priétaire de bar — et je ne fume
plus. Je me suis arrêté voilà quel
ques années ; à ce moment-là, je
fumais allègrement mes quarante
cigarettes par jour. A part ça, je
pense surtout que je dois une fière
chandelle à mes parents.
Afin d'éliminer de nos rubriques de
femme coquette
En velours finement côtelé, la
casaque serre bien la taille, la
jupe en forme est ravissante. Ce
deux pièces
Bougival
à
que nous
tous à /
rue du Louvre. Cette série com
prend les 2 francs Angoumois,
3 francs Aunis et 5 francs Saintonge.
Cés trois timbres seront vendus dans
tous les bureaux de posté métropoli
tains à partir du 15 novembre. C’est
ainsi que la totalité des timbres
français d’usage courant auront été
remplacés par des figurines enfin di
gnes de notre pays. Le 5 francs
Saintonge remplace le 5 francs Ma
rianne de Gandon dont nous n’au
rons plus à utiliser qu’un triste spé
cimen : le 15 francs auquel il faut
espérer que M. Bardon trouvera un
remplaçant quel qu'il soit.
TAUPES - ZIBELINES
SATINS-LAINE, etc...
COROT
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réversibles, robes, etc... Quand
vous passez Çhaussée d'Antin, au
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• Et Voici l’heure de la
retraite arrivée : après son
match contre Siki, Carpen
tier boxera encore trois ans,
mais, en 1926, il quittera ses
gants pour toujours. • L’ex
traordinaire pugiliste a précé
demment évoqué ses princi
paux combats, les personna
ges célèbres qu’il a ren
contrés, de Chevalier au
roi d’Angleterre, la Belle
Epoque, etc. • Ses Mémoires
paraîtront aux Editions Flam
marion sous le titre « Mon
match avec la vie ». (Voir
« France-soir » depuis le
26 octobre.)
Il y a longtemps que le ne fais
plus de sport, ni même de culture
physique (sauf quelques petits
mouvements, comme ça, le matin,
au réveil, histoire de me dégour
dir les membres). Jusqu'en 1939, |e
jouais encore un peu au rugby avec
les « ex » du Stade Français —
bien qu'étant moi-même un ancien
du S.C.U.F. — où m’avaient en
traîné mes amis les internationaux
Jauréguy, dit le grand Adolphe, et
Verger. Plus question, vous pensez
bien, vu mon âge avancé, de me
livrer à ce passe-temps. Je ne joue
même plus au golf depuis des an
nées. Le seul sport que je pratique
encore, mais, alors, avec passion,
c'est la pêche, la pêche au lancer.
Si : je marche. J'adore marcher,
vite et en respirant à pleins pou
mons. Ce sont mes deux caniches
qui me servent d'entraîneurs. Nous
faisons des randonnées, le matin,
au bois de Boulogne. Cela me rap
pelle mes footings d’antan et m'in
cite parfois à diverses excentricités
telles que piquer un sprint, sauter
une clôture de fil de fer (pas trop
haute) ou un banc (non occupé).
Parfois aussi, après m'êtré assuré
que ma folie n'aura pas de té
moins, |e me laisse aller à exécu
ter des gestes de shadow boxing.
L'autre jour, dans une allée pour
tant des plus retirées, j'ai été pris
sur le fait par un petit gars qui
m'a lancé d'une voix pleine de
commisération :
— Dis-donc, grand-père, si c’est
maintenant que tu te mets à la
boxe, il est peut-être un peu tard !
Grand-père, le le suis en effet.
J'ai un petit-fils.
DEMAIN
Les boxeurs
d'aujourd'hui
(Copyright by « France-soir »,
Scoop, Georges Carpentier, la Page
internationale and les éditions
GRAINDE,
I VALS i
RÉGULARISE LES FONCTIONS
DIGESTIVES ET INTESTINALES
LES ENFANTS NES CE JOUR seront très susceptibles, parfois ombra
geux et coléreux, vindicatifs même, mais auront de nombreuses
et solides qualités d’intelligence, des inclinations vers l’art.
Si VOUS ETES NES UN 14 NOVEMBRE : Cette année solaire semble
devoir vous apporter des satisfactions sentimentales susceptibles
de faire date dans votre existence et même de lui donner une
heureuse orientation. Gamme de GRIS et BLEUS la meilleure
) BELIER (21 mars au 20
4 avril). — AFFAIRES : Am-
biance un peu irritante, où
vous devez faire en sorte de ne
pas perdre votre sang-froid. —
SENTIMENTS : Ecartez les ba
vards, les trépidants, les impul
sifs. Recherchez une ambiance
calme et détendue et des com
pagnies sincères et agréables.
— SANTE : Prenez garde aux pe
tits accidents par maladresse.
TAUREAU (21 avril au 20
mai). — AFFAIRES : De
bonnes influences lunaires
peuvent favoriser certaines con
versations et discussions utiles. —
SENTIMENTS : Une détente, per
mettant une meilleure compréhen
sion réciproque. Le 2* décan doit
se montrer plus gentiment con-
vaincant. — SANTE : Un mieux
chez les malades et les déprimés.
GEMEAUX (21 mai au 22
juin). — AFFAIRES : Des
circonstances fortuites peu
vent vous permettre de vous
mettre en valeur. — SENTI
MENTS : Heures agréables en
compagnie choisie. De petites
surprises heureuses peuvent échoir
au 3e décan. — SANTE : Bonne
résistance nerveuse.
c CANCER (23 juin au 22 juil-
<9 let). — AFFAIRES : Votre
modération peut vous faire
l’arbitre écouté d’une difficulté
professionnelle. Excellente am
biance pour les artistes, les com
merçants de l’alimentation. —
SENTIMENTS : Réunions de fa
mille destinées à renouer des
contacts, à resserrer les liens
affectifs ; amours des jeunes et
des plus de 40 ans favorisées. —
SANTE : Estomac plus complai
sant.
C) LION (23 juillet au 22 août).
“L — AFFAIRES : Vous de
vriez consacrer cette jour
née au repos ou à • des distrac
tions destinées à vous changer de
votre coutumière ambiance, à
vous évader de vos soucis. —
SENTIMENTS : De la jalousie au
tour de vous et peut-être même
en vous. — SANTE : Accordez une
large place à la détente.
TO» VIERGE (23 août au 22
“‘f septembre), _ AFFAIRES :
Grande habileté réalisatrice.
Voyages professionnels fructueux.
Chance dans les travaux artisti
ques, les transactions et les rela-
lions s’y rapportant. — SENTI
MENTS : Vous savez rallier les
sympathies, vous faire estimer et
aimer, grâce à ’ vos heureuses
qualités de cœur et d’esprit.
Bonne journée. — SANTE : Or
ganisme résistant.
n BALANCE (23 septembre
—5 au 23 octobre). — AFFAI
RES : Précipitations, étour
deries, excès d’imagination peu-
LES VINS « PICARDY »
De bouche à oreille tout le monde
dit : « A Paris, le meilleur vin de
table, c’est « PICARDY », le fidèle
reflet de la Vigne.
(Dans toutes les bonnes maisons.)
vent être synonymes de déséqui
libre financier ou de complica
tions professionnelles. Soyez très
pondérés. — SENTIMENTS
N’accordez qu’une importance
toute relative aux « mots » un
peu acerbes, au qu’en dira-t-on.
Evitez le flirt, les légèretés. —
SANTE : Digestions assez labo
rieuses. Nerfs sensibles.
RES : Votre patience peut
trouver ce jour sa récompense I
dans une bonne nouvelle, la pro
messe d’accords facilités. Une ins- |
piration heureuse est possible. — |
SENTIMENTS : Le 2” décan
saura se montrer beaucoup plus |
conciliant, et à tous, la journée ‘ I
réserve des moments heureux. — i l
SANTE : Réflexes plus sûrs. I
Amélioration.
Z SAGITTAIRE (23 novembre
au 20 décembre). — AF
FAIRES : Atmosphère eu
phorique avec possibilité de ren
trée d’argent ou de promesses de
protection qui seront tenues. Plai
sirs et distractions à votre goût.
— SENTIMENTS : Humeur facile,
tolérante, créant une atmosphère
favorable à un bon dimanche de
repos. — SANTE : Bonne endu
rance.
.O CAPRICORNE (21 décembre
• Y au 20 janvier). — AFFAI
RES : Secteur lé plus favo
risé. Le repos dominical n’empê
chera pas à votre activité men
tale de s’exercer utilement. Ne
mêlez pas affaires et sentiments
— SENTIMENTS : Vous serez as.
sez exigeants, mais saurez tenir
compte des dévouements, des sen
timents qu’on vous manifeste
Susceptibilité féminine. — SAN
TE : Surveillez votre alimenta
tion.
_ — VERSEAU (21 janvier au
—e 19 février). — AFFAIRES :
Tendances à vous exagérer
certaines difficultés. Ne comptez
pas trop sur les aides extérieu
res, mais ne refusez pas systéma
tiquement celles qui peuvent
vous être offertes. — SENTI
MENTS : Vous pouvez n’en faire
qu’à votre tête, mais n’imposez
pas pour cela votre point dé vue
à un entourage asse z rétif. —
SANTE : Calme et détente néces
saires.
r POISSONS (20 février au
JL 20 mars). — AFFAIRES :
Excellente journée, où la
chance peut se manifester inopi
nément. Relations nouvelles très ®
intéressantes. — SENTIMENTS : È
Tous pouvez espérer voir-vos pro. S
jets se réaliser, et l'audace vous
sert. — SANTE : Maintien d'un
bon équilibre.
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(Communiqué.)
Mick
Mick
cette fois
Micheyl retrouve, à la « Kermesse
aux Chansons », Marie Dubas
et Georges Guétary
Micheyl, vedette « France-soir » de la Kermesse, y rencontre
deux autres grandes vedettes : Marie Dubas et Georges Guétary.
« Le doux Caboulot », qui est l’indicatif du stand de René Lefèvre, est
précisément la seule chanson simple du répertoire de Marie Dubas, (font
la destinée a été de jouer sur scène et de minier des chansons compli
quées.
L’invité de Robert Beauvais est Georges Guétary, dont les nombreux
souvenirs musicaux vont de l’opérette au film, mais remontent à... un air
de Mozart que jouait son oncle Tasso Janopoulo, qui fut l’accompagnateur
de Jacques Thibaud Mick propose à Georges Guétary « En toi l’amour
sommeille », un nouvel air de style boléro qu’ils fredonnent ensemble.
La découverte de Mick est un jeune chanteur suisse, Vico Torriani, qui
chante « Malaguena », et son compositeur favori Jean Constantin, que
nous entendons au stand d’Henri Spade interpréter « Dans l’île », une
nouvelle chanson.
André Hornez nous ménage une surprise dans son opérette : Mick
Micheyl la joue avec Michel Roux et se retrouve ensuite dans la loge de
Guétary, lui-même vedette d’une opérette à succès. (Samedi, 15, LUX.)
1 O INT Vous entendrez demain. —
1 19.15 PP Gazette du Théâtre-
Français. — 19.33 PP Je vous prends
par la main. — 19.40 PN Paris vous
parle.
20 PN Musique légère ; INT Paris
“ à l’heure des étoiles ; PP Inf. ;
LUX MC Emportez-le avec vous. —
20.15 LUX MC Toute la ville chante.
— 20.30 PN < Tableaux de l’héroï-
ne fidèle », de M. Ohana ; INT Orch.
Radio-Turin. — 20.45 LUX MC Sou-
coupes volantes.
21 30 PN La classe intemporelle du
— lycée du Havre. — 21.35 PF
Avant-Premières.
SAMEDI
18 INT Les grands musiciens :
Beethoven.
18 INT Orchestre de
PP, LUX, MC Inf -
zine de l’Université.
PP Félix Leclerc,
de Strasbourg. •
12.30
Toulouse.
PN Maga-
— 12.10
PN Orch.
PP Actualités de
Paris. - INT Le jazz en liberté.
12.33 LUX Ceux de chez nous.
12.35 LUX Course aux chansons.
13 PN, LUX, MC Inf. - PP Grande
12 parade des disques. — 13 10
PR
PN
INT
Microsillon music-hall.
La vie chez Molière.
Orchestre de Nice.
13.20
13.30
13.50
LUX Gilbert Bécaud.
145 Inf. — 14.15 LUX Mon cousin
- d’Aveyron : Fernand Reynaud.
Paris.
14.17 PN Orch.
14.20 PP
Radio-Symph. de
INT Evolution des
musique.
14.45
Maurice Bourdét.
Disques.
14.33
formés dans la
PP Hommage à
• 1 e LUX La Kermesse aux
- chansons : Mick Micheyl.
PP Finale de la Coupe du monde
de rugby à XIII.
1c 10 PP Aux quatre vents. - PN
-° Orchestré de Lyon. — 16.55 PN
Le souvenir de Guillaume Lekeu.
1 7 PP Les donneurs de sérénades. -
- • INT Rendez-vous à cinq heures.
— 17.30 LUX. MC Magazines fémi-
ni ns.
17.35 PP Jazz panorama.
1 Q INT Fleuve profond. — 18.5 PP
- Récréations scientifiques. —
18.18 INT Ondes Martenot.
PP Télé-Paris,
du XX" siècle.
18.25
18.55 INT Sonates
1 Q PP, MC Inf. - MF Du jazz à la
1 danse. — 19.1 PN Pour ou con
tre la musique moderne. — 19.15 PP
Sports de Paris. — 19.25 INT « C’est
Dupont mon empereur ! », feuilleton
d’après Jean Burnat, avec Jean Ri-
chard.
19.25 PP Tribunaux comi-
ques, de J. Grunebaum. — 19.30 PN
Paris vous parle. — 19.44 LUX La
famille Dur a ton.
o0 PN Musique légère - PP Jour-
— nal et allocution de M. Men
dès-France. - INT La terre est ronde:
Léna Home - LUX Les risque-tout -
MC De fil en aiguille.
20.30 PP
« Partir », de Dorgelès (S. Pizella) •
PN « Don Quichotte », de Cervan-
tès (A Vidalie) - MF Chansons pour
danser • LUX La radio était là : Pa-
ganini - MC La dame de Monsoreau
• INT Tribune de Paris. — 20.45 SOT
Six chansons en quête d’éditeur. —
20.50 INT Inf.
naud.
20.53 Michèle Ar-
91 PN « La Femme d’un autre »,
— d’après Dostoiewsky - INT La
bride sur le cou - MC Les risque-
tout. — 21.2 LUX Course à Témé-
raude. — 21.15 PP C’est toute une
histoire d’opérette — 21.17 LUX Les
vainqueurs de la saison.
99 PP, LUX Inf. - INT Bonsoir
— l’Europe, ici Paris. — 22,15 PP
6 B
Les ascenseurs dé Paris. —
Orch. Wal-Berg.
23 INT, LUX, MC Inf. -
—Y idées et des hommes.
PN Inf.
Télévision
12 45 Télé-Paris.
13.15
22.30 PP
PN Des
- 23.45
Journal.
— 14.50 Rugby XIII : Finale de la
Coupe du Monde,
sans passeport.
18.15 Voyage
20.15 Journal, météo. — 20.35 Film.
— 22.5 Musique pour vous.
Principales émissions
de dimanche
10 18 INT La ronde des chansons.
• — PP Histoire et géographie
de la chanson.
i -| PN Plaisir de la musique. —
11.10 PP Echec au public. —
11.15 LUX Grand prix du disque.
12 PN Le musée du disque. — 12.15
“ PP Béatrice Dussane. — 12.30
LUX Robert Lamoureux. — 12.50 PP
Le Grenier de Montmartre.
1 2.20 PN « L’Heure de la vérité »,
de Max Servais. — 13.30 PP
La route du soleil. — 13.45 INT
Gala. La nuit du piano.
I A PP Concert Beethoven. — 14.15
—f Lux L’Heure exquise. — 14.45
INT Critiques de disques : Un con
certo de Mozart.
15 PP LUX Reportages sportifs. —
1 ° 15.36 PN « Fanfan la Tulipe ».
17 .45 PN MF Concert Lamoureux.
1" MARQUE FRANÇAISE
DE QUALITÉ —
LA KERMESSE
AUX CHANSONS
la grande émission patronnée
par
D7a30t
et réalisée par Janine GUYON
sur RADIO-LUXEMBOURG
présentera
DEMAIN 13 NOVEMBRE
de 15 h. à 16 h
la vedette « France-soir •
Mick MICHEYL
entourée de
Marie DUBAS
Jean CONSTANT!?
Michel ROUX
Vico TORRIANI
et
Georges GUETARY
avec, comme d'habitude :
Henri SPADE, au stand « Flan
dria » des chansons nouvelles,
Robert BEAUVAIS, au stand
« Menier » des chansons sou
venirs ;
André HORNEZ, au stand
« Weill » des chansons d'opé
rette ;
R. LEFEVRE, au stand « Rosy »
des chansons simples.
MADRID
3.990
heybaud 7
BOX COULEUR OU NOIR
DOUBLE SEMELLE CRÊPE
TRÉPOINTE BOURRELET j
EGALEMENT
double semelle cuir.
4 USINES, 40 MAISONS DE VENTE
ET MEILLEURES MAISONS M CHAUSSURES
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