Titre : France-soir
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Éditeur : Presse-AlliancePresse-Alliance (Paris)
Éditeur : Presse Alliance (Groupe Poligrafici Editoriale)Presse Alliance (Groupe Poligrafici Editoriale) (Aubervilliers)
Éditeur : FranceSoirFranceSoir (Paris)
Date d'édition : 1950-08-02
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32778160c
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 02 août 1950 02 août 1950
Description : 1950/08/02 (A9,N1868). 1950/08/02 (A9,N1868).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t5121685f
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-259
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/12/2021
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AOLES
Dans le col de la Cayolle, Bobet
tente sa chance
ELLO LAUREDI EN DIFFICULTE
L f attaque des Alpes est commencée...
(DE NOS ENVOYES SPECIAUX PAR TELEPHONE)
NICE, 1 er août.
[Tour, ce matin, a quitté Nice dans une certaine nostalgie. Il en est toujours ainsi après le jour de repos sur la
Côte. Mais rassurez-vous : ce ne sont pas les coureurs qui sont tristes. Ils sont reposés, frais et presque dispos.
Les suiveurs, d’une manière générale, sont fatigués, et on assiste à des scènes d’adieux particulière-
[touchantes. On entend des promesses :
— Oui, dans quelques jours, après le Tour, je reviendrai...
ouison Bobet est complètement transformé. Ses camarades ne le reconnaissent pas. Baldassari ne cache pas son
étonnement.
|| JT (CCI
VRAI
. “IM PP . S .
pere missionnaire encourage tous
$ jours, par lettre, Serge Blusson
■ UH le moment, Serge Blusson,
■ un des plus jeunes et des
■ plus gais lurons du Tour, n'y
I crut pas. Tous les jours, il
nterait. une lettre du Père Charles,
des missions camiliennes de Chine
a Paris. Comme l'équipe de Paris
Ben est pas à une blague près,
Serge, d'abord, tint ses missives
serretes. Puis, après avoir répondu,
itoit maintenant à l'existence du
ier Charles, qui lui avait écrit :
«Bien cher ami Serge,
I < C’est la lettre-surprise de la.
Mil d'un curé sportif, prédicateur
I Paris,
■Ayant été aumônier du sport,
B prie dans l'âme cette sporti-
pel chaque année, j'encouragé
"coureur jeune, « sympa » et, ma
■ dans la liste, j'ai déniché le
M Serge, qui se défend comme
39 veux briscard. Continue, tu
feras du chemin. Ci-joint ma photo.
J'ai découpé la tienne dans un
journal. Bon courage, et bien du
succès pour le sprint final au Parc
des Princes. »
Blusson, au bout de quelques
jours, envoya une carte à son cor
respondant qui lui répondit :
« Ce matin, j'ai reçu du cour
rier de Rome, de Chine, de Vichy
et la carte du petit Serge. Cette
pièce authentique fera bisquer mes
meilleurs copains. J'admire votre
courage à tous, votre héroïsme et
la fraîcheur de votre jeunesse. Pas
trop de baratin, car vous n'avez
guère le temps de me lire. Donc,
courage, n'ayez pas peur de la
montagne. »
Et, en post-scriptum, le Père
Charles a ajouté :
« Ecrivez au curé, ça porte
bonheur. »
Le maire de Nice et les coureurs
absents au rendez-vous
B ville de Nice organisait, pen-
dont le jour de repos, une ré-
■ «pilon à la villa Masséna.
1“ petite sauterie a eu du
B dans l'aile car, • la veille,
■ parade assez violente avait
B’w prises, sur la ligne d'ar-
"MCorby, directeur de la
B” (d'active) et le colonel
Rtis (de réserve).
interdirai à tout le monde
"d votre réception, avait dit
“ de compte l'ancien militaire.
B* 1 Pourquoi, seul de tous les
le maillot jaune Kubler
""" j maire, sans doute pré:
T du demi-four, s'était fait re ¬
présenter par son adjoint aux
sports qui lut un inoubliable dis
cours :
— Vous êtes un magnifique
champion, dit-il à Kubler, debout
entre Jacques Goddet et Jean Bi-
dot. Vous représentez, ajouta-t-il,
les qualités de votre pays : un
pays neutre. Messieurs les cou
reurs, d'autres difficultés vous at
tendent. Ayez du courage.
Et, s'adressant à M. Jacques God-
dét qui avait désobéi au colonel.
M. Vérola, adjoint, dit :
— Vous avez comblé les vœux
du précurseur Henri Desgrange.
Sur le boulevard du Tour
JES SUIVEURS ONT TROUVE
"NE DELICATE INVITATION
r de Mâcon qui voudrait
"r dune pierre trois coups :
. « Tour, déguster les vins
orgogne et visiter le centre
-de,
8, QUATRE BOULANGERS
L; BOBET, GOLDSCHMIDT,
.et Impanis, avaient été
L . r leurs collègues niçois
I lson de la Boulangerie de
l ‘ a coûté 26 millions,
coureurs-mitrons n'ont pas
mis n0 re d l'invitation. Ils ont
de revenir.
4 NOËL SINIBALDI, AVANT-CEN
TRE DE CANNES, ETAIT AU
départ de l'étape, avant de partir
lui-même pour Reims, où il va re ¬
Joindre
Pierre.
4 A
ETAIT
ses deux
L'ARRIVEE
EN TRAIN
frères, Paul et
A NICE, KUBLER
DE FAIRE UN
tour d'honneur quand an le de
manda de Suisse au téléphone. Un
compatriote, ignorant sa victoire,
voulait lui demander s'il avait
conservé son.maillot jaune dans le
Turini !
R. D
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loura@“ Cl
utons s ^'
monde, pë
len al' *
Mais c’esi Gap - Briançon
qui doit tenir le grand rôle
Enfin, le départ réel est donné
à 7 h, 32 aux 59 hommes restant
en course, car la petite étape Men
ton-Nice a fait deux victimes : le
Belge Blomme, qui a abandonné, et
Frankowski, arrivé après les délais.
Le jeune poulain de Francis Pélis
sier n‘a pas réussi à fléchir les
commissaires.
Redolfi inaugure les crevaisons.
De Muer et Queugnet l’attendent
Plus loin, Bonnaventure et Demul
der s’arrêtent pour régler des dé
tails mécaniques.
Queugnet crève à son tour, sans
dommage évidemment, car l’heure de
la bataille n’a pas encore sonné. Le
peloton flâne en admirant, avec une
certaine appréhension, les sommets
ensoleillés où il souffrira tout à
l’heure.
Les routes sont escarpées et très
étroites. Deux voitures passent dif
ficilement de front. Nous surplom
bons le Var, où ,plutôt son lit, car
le fleuve provençal est presque à
sec.
Le décor est sauvage et délicat à
la fois. Nous roulons dans des gor
ges extrêmement étroites que le so
leil perce à peine. Plot s’inquiète
du chemin parcouru.
— 30 kilomètres, lui répond-on.
— Voilà une bonne chose de fai
te ! constate-t-il.
José Beyaert, philosophe :
—• Je ferais beaucoup mieux de
vendre des fraises ! Je ne suis pas
un coureur !...
Kubler, souffrant au départ, a
l’air d’aller mieux. Il prend des
forces avant la montagne. Il man
ge les bananes que lui épluche Cro-
ci-Torti.
Nous sortons des gorges et nous
suivons, pendant quelques minutes
seulement, avant d’arriver à Touet-
sur-Var, une route large bordée par
la voie 'ferrée. Le petit train des
chemins de fer de Provence essaie
de suivre le peloton, qui marche
pourtant à une allure modérée. Mais
il s'essoufle rapidement et les voya
geurs font leurs adieux aux cou
reurs.
A Touet-sur-Var, charmante sta
tion, gaie, propre, ensoleillée (350
mètres d’altitude), les porteurs d’eau
commencent leur office ; Molineris
pour Bobet, Zbinden pour Kubler,
font le plein d'eau minérale. Il y a
deux heures que nous sommes par
tis et, comme vous le voyez, il ne
s’est encore rien passé. Le soleil
brille toujours. La montagne paraît
accueillante ; il en ira différem
ment tout à l’heure.
KUBLER CONTROLE LA COURSE
Nous voici dans les gorges du Clans.
Depuis ce matin, des centaines de
cars sont montés vers Beuil et Val
berg. Cinq cent s mètres après Touet,
nous tournons brusquement et le pay
sage nous arrache un cri d’admira-
tion. Des cimes dé 1.500 mètres nous
dominent. Leur découpage harmonieux
semble être l’œuvre d’un architecte ■
de goût. Décidément, la France est
belle !
Nous étion s encore au bord de la
« grande bleue » tout à l’heure ;
nous sommes maintenant perdus dans
la montagne majestueuse, étalant ses
flancs rougis par le soleil. La végé
tation, pourtant, est verte, rafraîchis
sante.
La route grimpe au-dessus de gorges
profondes. Lauredi, dont le bulletin
de santé n’est pas brillant depuis plu
sieurs jours, peine visiblement et, avec
Prouzet, il décolle le premier. Weilen-
mann, Queugnet, Hendrickx, Beyaert,
Rodolfi, De Muer, Dos Reis, Lajoie
et, ô surprise, l’ancien champion du
monde Schotte, sont lâchés. On note
encore Blusson, Dussault, Baffert,
Desbats, Sciardis. Le peloton, très
amenuisé, grimpe sous la direction de
Kubler, qui contrôle ainsi l’ascension.
C’est après Beuil que nous attaque
rons l’une des deux difficultés de la
journée : le col du Vasson.
Cette allure réduite permet cer
tains retours : Zelasco, Moineau,
Dussault. A trois kilomètres de
Bueil, Meunier essaye de partir,
mais il est immédiatement stoppé
par le maillot jaune. Par contre,
quatre hommes ' réussissent à
s’échapper : GJasmat, Dupont,
Baeyens et Piot. Ils sont suivis à
-50 secondes, à deux kilomètres de
Bueil, par Géminiani et Brambilla.
Et c'est l’ascension vers Valberg.
Les hommes de tête roulent avec
facilité. Baeyens mène le plus sou
vent. Pour la première place à
Valberg, où il y a une prime inté
ressante (huit jours aux sports
d’hiver dans la station).
Baeyens, qui semble avoir une
prédilection pour les Alpes, sur
prend Piot et passe en tête au
sommet..
U départ de l’étape Nice-Gap je suis aussi bien renseigné que n’importe quel coureur, car
personne ne connaît ce parcours que le Tour emprunte pour la première fois.
C’est le col d’Allos qui a trouvé un remplaçant.
Le nouveau juge se nomme la Cayolle, un nom qui sonne comme celui d’un général
et qui, tout à l’heure, va tenter de
son cousin le Turini.
Pourtant il ne paraît guère, d’après
jours de repos, que les hommes soient
faire, dans le
les échos des
impatients de
livrer bataille. Je ne me suis pas rendu à Nice, com.
me prévu, afin de tranquilliser ceux qui craignaient
que ma- présence ne fût une raison de manifestations
diverses. Je suis de l’avis opposé, mais je me suis
rangé à leur opinion carceTourde France a déjà assez
d’ennuis comme cela. C’est donc au téléphone que je
me suis documenté sur le moral des troupes avant
la bataille des Alpes.
Je tiens pour important l’avis que m’a donné mon
ami Fermo Camelini qui a eu des contacts directs
avec les coureurs.
— Je crois qu’ils sont très fatigués, dit-il.
Camellini connaît assez bien le Tour pour formuler
un jugement justifié.
Depuis le temps que l’on court après la montagne,
nous y sommes enfin. Trois grandes étapes sont tra
cées dans les Alpes et l’on s’aperçoit qu’après tout
il n’y en avait pas besoin de tant. Une ou deux au
raient amplement suffi.
On peut donc s’attendre à ce que les grands leaders
ne s’empoignent que sur l’une d’entre elles et vrai
semblablement sur Gap-Briançon, où l’on fera un
retour à la tradition avec les co’ls de Vars et d’Izoard.
A qui donc peut profiter l’étape d’aujourd’hui ?
Peut-être au tandem de l’équipe Mithouard : Kléber
Piot-André Brûlé, qui a fait une excellente impres
sion sur le Turini et qui a besoin de se rapprocher
encore au classement générai s’il veut disputer la
décision avec Kub er Robic, Ockers et’Bobet.
Une autre équipe peut aussi y chercher une
sion prématurée. C’est l’équipe de France.
Je sais que Jean Bidot ne se tient nullement
battu, et il a '•aison.
déci-
pour
Toute la difficulté pour lui en cette journée ....
(comme précédemment) d’obtenir une course homo
gène de la part des hommes qu’il a encore en main.
Pour réussir, il lui faudrait avoir décidé une attaque
de très grand style car l’équipe de France doit s’at
tendre à des réactions sérieuses le cas échéant et, si
elle reste en principe l'équipe la plus redoutable de
la course par le nombre de ses équipiers et les cols,
elle doit penser également à ne pas compromettre
Ce qui lui reste de chances en préparant éventuelle,
ment un plan de défense pour le cas où elle serai!
débordée par les événements.
sera
Tour de France,
Comme vous le
pire en espérant
une entrée aussi glorieuse que
voyez, j’envisage le meilleur et le
que l’optimiste Jean Bidot ne se
laissera pas aveugler par son enthousiasme naturel.
Bref, tout concourt à ces commentaires qui ne lais
sent qu’une perspective aussi indécise que le parcours
lui-même sur l’importance et la physionomie de
de l’étape des Basses-Alpes.
Revenons, pour terminer, aux constations pures et
simples :
4 L’étape des grimpeurs Menton-Nice n’a révélé
S ■ aucun successeur à Apo Lazaridès ou à Robic,
grimpeurs d’une classe susceptible de venir jeter la
panique chez les leaders.
2
4.
toire
Bobet, Kubler, Ockers ont fait sensiblement jeu
égal sur les pentes très dures du Turini.
Jean Robic n’a pas déployé une supériorité in
contestable.
Sorti des 6 ou 7 premiers du classement général,
il n’y a plus de candidats pour « forcer la vie.
». En somme, il n’y a pas à attendre de grosse
surprises.
Dans ces conditions, en tenant compte que Nice-
Gap se termine par 100 kilomètres de descente sim
plement coupée d’obstacies d’une importance straté
gique assez négligeable, il n’y a pas de raison ap
parent pour que le quatuor dominant du Turini :
Kubler, Bobet, Ockers, Robic, ne se retrouve pas,
une fois de plus, roue dans roue ni que Kubler le
sprinter, ne renouvelle sa victoire de Nice et consolide
sa position de leader à Gap.
(Copyright by
Scoop Agency.)
Les Mémoires
Fausto Coppi, France-soir and
O O
de Fausto Coppi (Le Drame de
ma vie) viennent de paraître à la Bibliothèque
France-soir (illustrés : 60 francs).
BAEYENS EN TÊTE AU COL
DE VASSON
Baeyens 0.
Kléber Piot à 5”.
Goasmat à 8”.
Dupont à
Brambilla à
mulder à 2’
bler, Robic,
3’ 44”.
Sciardis à
5’ 20” ;
CE QU’IL LEUR RESTE
A FAIRE
15”; Géminiani et
2’; Verschueren, De-
12”; Lambrecht, Ku-
Bobet et le peloton à
5’ 10”; Baldassari à
Croci-Torti, Moinèau,
rdi KUBLER ■ *Seu a cke
peut m'empêcher
gagner le Tour de France »
LEx NICE, 1 er août.
ter-RTIN, directeur technique de l’équipe suisse n’a pas
eneDle I’ceil de la nuit, A une heure du matin, il n’était pas
Le e couché. Burtin montait la garde devant la chambre
t son poulain Ferdi Kubler.
e les Américains, les An-
khade be ges ont déserté la
■ font ® Anglais, à Nice les
st ish nombre sur la 'Côte
Azamais e maillot jaune
ouvert tant d’amis.
n core, les chasseurs
tous Suisses, sou-
le personnel
f llarino, à Honolulu
Aen doit conser-
‘n titre mondial
3pi43 le champion du mon-
S titre mouche. Terry Allen
MarAsant lentant
ilans unddece nouveau chal-
178 sont “Algorie pauvre en
■ Par k importants, et ses
salgra ‘ sont nombreuses,
edra proonexpérience il ne
ltre au ablement pas a ra
sbat paingueur de Pratesi,
15 rep"r ait ne pas attein-
Ise prévue à l’affi-
| Roméro . Mathieu
“opéen en jeu
“ Barcelone
1 aMais il août, à Saint-
de lieu ess-probable que le
■ de Septanins la deuxième
, ~mbre à Barcelone.
8! ttad C O
il Fread Sydney, le noir
—ixlème*r.Dawson a mis
eprise, J'an Mou-
pas
de l’hôtel où couchait Kubler, pour
monter dans sa chambre.
Mais Burtin veillait.
Nous avons retrouvé à 6 heures,
ce matin, le directeur technique le
plus envié du Tour.
— J’ai eu • des cauchemars toute
la nuit, nous confiait Burtin. Ku
bler n’a aucune appréhension mais,
moi, j’ai peur... Je me souviens que
l’an dernier, c’est dans les Alpes que
Kubler s’effondra.
Ferdi Kubler est beaucoup plus
optimiste que son directeur tech
nique.
— Je crois sincèrement que cette
Bartali, Magni et Leoni
n’iront pas
à Saint-Etienne
FLORENCE, 1er août. — Gino Bar-
tali, Fiorenzo Magni et Adolfo Leoni
ont déclaré lundi soir que. tout en
appréciant l’initiative de la municipa
lité de Saint-Etienne, ils se trou
vaient dans l’impossibilité de se ren
dre Jeudi prochain dans cette ville en
raison des nombreux engagements
qu’ils ont contractés en Italie pour
cette semaine.
année ést la mienne, nous a dit
Kubler. Jamais je ne me suis senti
en aussi bonne condition physique.
Je ne suis nullement marqué.
L’état de fraîcheur du champion
suisse est, en effet, étonnant. Il est
vrai que Kubler a ménagé ses ef
forts et il court, cette année beau
coup mieux que dans les Tours pré
cédents.
— Auparavant, j'avoue que je
courais surtout pour me distinguer,
ajoute Kubler. Aujourd’hui, j'ai un
homme à battre. Il n’est pas dans
la course : c’est Koblet. Pour rede
venir ce que j’étais avant, il me
faut essayer de gagner le Tour de
France. J’ai grande confiance en
moi et je préfère terminer le Tour
avec les Alpes, poursuit Kubler, car
' pour moi les Pyrénées auraient été
beaucoup plus difficiles à franchir
avec le maillot jaune.
» Certes, je ne fais aucune illu
sion. Je ne pense pas être en tête
en haut des cols, mais dans les des
centes je dois combler facilement
mon retard. Ockers est l’homme à
battre, lui seul peut m’empêcher de
gagner. Il sera d’ailleurs l’ennemi
no 1 de la bataille des Alpes. Ma
tactique est bien simple. Pour au
jourd’hui je dois, à tout prix, limi
ter les dégâts afin de pouvoir re
prendre — si je le perds — mon
maillot jaune dans l’étape contre
la montre... et le ramener à Paris »,
conclut Kubler.
D. M.
A combien ils
Les Suisses ont désigné
leurs athlètes
pour Bruxelles
BALE, ter août. — Les sélection
neurs suisses ont désigné les athlè.
tes suivants pour représenter la
confédération aux championnats
d’Europe à Bruxelles :
400 METRES Epple, Steger.
800 METRES Volkmer,
1.500 METRES : Imfeld.
5.000 METRES : Sutter,
110 HAIES . Bernard.
HAUTEUR . Wahli.
PERCHE • Hofstetter, Schcurer.
POIDS Senn.
DISQUE : Hafliger,
JAVELOT Luthi.
10.000 METRES MARCHE Mar-
quis, Schwab.
2
3
4.
5.
KUBLER
Ockers
Bobet
Robic
Géminiani
6. Cogan, 18' 17’
. 0
. 2’
. 11’
6”
8”
11' 48
17’ 22”
7 Piot. 18’37”:
8. Kirchen, 19’11” : 9. Brambilla.
20' 39” ; 10 Diederich, 21’ 41" :
11. Lambrecht, 22' 2” ; 12. Meu
nier. 22’ 10” : 13 Demulder, 2312”;
14. Goldschmidt, 23' 39” ; 15 Du-
pont, 28' 59”
17. Brûlé. 31
; 16 Lauredi, 29' 29”;
42”
32’ 54” : 19. Castelin,
Verschueren, 34' 47”
21. Redolfi, 36 ' 43*
42’ 11” : 23 Schotte.
Baldassari, 48' 47" ;
49' 55” : 26 Sciardis,
18.
33'
2.
Gauth'er.
57" ; 20
47’24”
Impanis,
; 24.
25, Dos Reis,
50’ 24” ; 27.
Cannes - San Remo
après les championnats
du monde ?
ROME, 1 er août. — Le journal
« Momento » rapporte qu’au cours
d'une entrevue à San Remo, entre
M. Jacques Goddet, directeur du
Tour de France, et M. Bobba, pré
sident du syndicat d’initiative de
cette ville, des accords seraient
intervenus en vue de faire dispu
ter, après les championnats du
monde, une course cycliste Can-
nes-San Remo qui constituerait en
quelque sorte une manifestation
d’amitié sportive franco-italienne
destinée à effacer le souvenir des
incidents du col d'Aspin.
Schotte, Rémy, De Muer à 6’ 10”;
Gauthier est à 8’ 20”; Rodolfi et
Beyaert à 10’; Lajoie à 12’ 45”:
On redoutait que le tricolore n’ait
abandonné. Il a grimpé en compa
gnie de Desbats et Forlini. Le trio
passe à 14’ 50”.
La journée s’annonce mal pour
l’équipe de France. Ce soir, on ris-
que encore certaines éliminations.
A 11 h. 15, à Guillaumes, à 131
kilomètres de l’arrivée :
1. Goasmat, 2. Piot, 3. Baeyens.
Le peloton est à 3 minutes.
Les coureurs ont 25 minutes
d’avance sur l'horaire à Saint-
Martin-d’Entraunes.
A 7 kilomètres du sommet du
col de la Cayolle, on enregistra
les positions suivantes :
1. Bobet, 2. Dupont, 3. Piot, sui
vis d’un peloton de quarante cou
reurs.
R. D
CHAMPIONNAT D’ITALIE
ASTOLFI, FROSIO
conservent leur titre
TURIN, 1er août. — Peu de surpri
ses ont marqué les championnats
d’Italie sur piste, disputés au vélo
drome de Turin. En vitesse profession
nels, Astolfi a conservé son titre,
battant Ghella en finale par deux
manches à une.
En demi-fond, Frosio n’a pas trouvé
d’adversaire à sa taille. Le champion
du monde devançait Martini de deux
tours, Scrivani de cinq tours et Motti
de huit tours.
Résultats. — Vitesse « pros » (fi
nale), 1re manche : 1. Astolfi ; 2.
Ghella (200 dern. m. : 13” 6/10) ;
2 e manche : 1. Ghella : 2. Astolfi (200
dern. m. : 13” 3/10) ; belle : 1. Astol
fi ; 2. Ghella (200 dern. m. : 13” 3/10).
Demi-fond (fin.) : 1. Frosio, 100 km.
en 1 h. 6’ 10” ; 2. Martini, à 2 tours ;
3. Scrivani, à 5 t. ; 4. Motti, à 8 t.
Vitesse amat. (fin.), 1‘e manche :
I. Sacchi ; 2. Maspès (200 dern. m. :
12”) ; 2e manche : 1. Sacchi ; 2. Mas
pès (200 dern. m. : 13” 2/10). Poursuite
amat. (fin.) : 1. Messina, les 4 km. en
5’ 4” 3/10 ; 2. Gandini, 5’ 5” 4/10.
Poursuite « pros » (sélection pour
les champ, du monde), l r ' série : 1.
Benfenati, les 5 km. en 7’ 5” 4/10 ;
2. Albani, ’ 12” ; 2“ série : I. Salem-
béni, les 5 km. en 6’ 27'” ; 2. Pon-
tisso, 6’ 28”.
sont du leader
Bauvin, 52’ 14” : 28. Goasmat, 54’
40” ; 29 Kemp, 55’ 39" 30. Lazar-
dès, 1 h. 0’ 42”.
par André COSTES
Michel COSTES, Jean COUS-
SY, Daniel MORGAINE, Marc
LAMBERT, dirigés par
AeeHeem/
RenéDUNAN
Photographes :
André SARTRES
Roger LADEVEZE
Belino :
Ingénieur : Adolphe ACHER
L’INTERVIEW EXCLUSIVE DE JEAN ROBIC
Une étape vers l’inconnu
NICE, 1 er août.
N quittant Nice, ce matin, le peloton s’en va vers l’inconnu.
En effet, pas pDus les autres que moi, nous ne connaissons
-------- - attendent entre Nice et
les difficultés de la montagne qui nous
Gap.
Il y a trois cols à grimper f le
D’eux, je ne connais rien, si ce
n’est les renseignements que j’ai pu
glaner, à Nice, pendant la journée
de repos. En particulier, mon ami
Giorgetti, le pistard, m’a donné
quelques tuyaux sur l’étape.
Ces cols ne sont pas très sévères,
mais le début de l’étape peut sur
prendre les coureurs qui ont l’habi
tude de s’échauffer avant de pro
duire un effort.
Personnellement, cela ne me gêne
pas beaucoup. Je sais grimper à
froid.
Que noies réserve cette étape ?
A dire vrai, je ne pense pas qu’elle
soit âprement disputée. Elle est le
prélude à la bataille des Alpes, car
j’ai l’impression que c’est entre Gap
et Briançon que se déroulera la plus
forte bataille.
Pour ma part, je ne suis pas en
core décidé à attaquer aujourd'hui.
Vasson, la
A moins
Cayolle et la Sentinelle.
que les circonstances m’y
obligent.
Je pense surtout à jouer les chiens
de garde, comme je l’ai fait dans
le col de Castillon en ne permettant
pas à Bobet de s’enfuir.
Ceux que je viserai sont unique
ment les coureurs qui me précèdent
au classement général. Peut-être
changerais-je d’avis en cours de
route, si véritablement la course
semble vouloir se dérouler à mon
avantage.
J’ai reçu d’un supporter une let
tre qui me faisait remarquer qu’il
n’y avait pas ou presque pas de cols
en France où je ne sois passé pre
mier. Je souhaite que le Vasson, la
Cayolle et la Sentinelle entrent dans
ma, collection.
Enfin, nous verrons tout à
l'heure...
2 août - 18 e étape ; GAP-BRIANÇON
31. Hendrickx, 1 h. 5’ 29” : 32. De
Muer, 1 h. 5' 42” ; 33 Giguet, 1 h.
6' 47” ; 34. Dussault, 1 h. T 35” : |
35. Baeyens, 1 h. 8’ 2" ; 36. De
Ruytor, 1 h. 8’ 12” ; 37. Rémy, 1 h
10' 9" : 38 Kallért, 1 h. 11' 24" ;
39 Moineau, 1 h. 13' 7" ; 40. Rol
land, 1 h. 14 20".
41. Molinéris, 1 h. 15' 52” ; 42.
Keba;li, 1 h 15' 59” ; 43. Creton,
1 h. 17' 2” ; 44 Croci-Torti, 1 h.
22’ 4” : 45. Prouzet 1 h. 25‘ 44" ;
46 Bonnaventure, 1 h. 26' 17" ; 47.
Blusson, 1 h, 26' 58" : 48 Beyaèrt,
1 h. 29' ; 49. Desbats, 1 h. 35' 17”;
50. Lajoie, 1 h. 36’ 35”,
51 Van Ende, 1 h, 39' 51” ; 52.
Aeschlimann. 1 h. 40' 44” : 53. For
lini. 1 h. 42' 27” ; 54. Zelasco. 1 h
46’ 56" : 55 Weilenmann, 2 h. 16‘47‘
56. Baffert, 2 h. 19' 29” ; 57. Queu-
gnet. 2 h. 20' 11” ; 58. Zbinden.
2 h, 35' 15” ; 59. Molinès, 2 h. 40'54”.
COL D’IZOARD
COL DE VARS
0
16,5
25
46
61
74
83
91
100.5
110
115,5
127
Gap (743 m.)
Chorges (865 m.)
L'He-de-Rousset .(680).
Revel
Barcelonnette (C.V.)
(1.132 m.)
La Condamine.Chate-
lard (1.310 m.)
Saint-Paul-sur-U baye
(1.47C m.)
Col de Vars (2,111 m.).
Vars
Guipestre (C.R.)
(1 000 m.).
Maison.du-Roy
Carrefour N. 547-N. 202
9 45 141.5 Col d’Izoard (2.360 m.) 14 44
10 13 165 Briançon (arrivée)
10 27 (1.321 m.) 15 20
11 02
_ 9a Aujourd’hui, 17 e étape :
NICE-GAP
131 Col de la Cayolle
12 10 (2,326 m.) 12 44
12 38 161 Barceionnette (C.R.)
12 52 (1.132 m.) 13 33
182 Le Lauzet 14 12
13 06 221 Col de la Sentinelle
13 17 (990 m.) 15 29
13 51 220 Gap (743 m.) 15 40
17»
18e
19’
20 e
21 e
Nice-Gap
Gap-Briançon ....
Briançon-St-Etienne
St-Etienne-Lyon ..
-- Lyon-Di jon .
29 Dijon-Paris ..
229
165
291
98
233
314
1.330
1.101
936
645
547
Pour contribuer à
la réconciliation
franco-italienne
Ie grand
champion
fera sa
course de
rentrée
à Paris
sous les auspices de
France-soir
= =""=* —
au profit de la
Croix- Rouge
A U lendemain de « L'af
faire Bartali », Fausto
Coppi écrivait dans no
tre journal : « Pour effacer le
souvenir de cette mauvaise his
toire, je m'offre à faire ma
course de rentrée en France. »
Aujourd'hui Fausto Coppi
tient parole.
La Croix-Rouge l'ayant pres
senti par notre intermédiaire, il
a donné son acceptation de
principe pour une course en cir
cuit fermé qui aura lieu à Paris
après le 15 septembre.
Tous les détails restent à fixer.
Il n'en reste pas moins acquis
que le grand champion italien
marque de façon précise son
désir de contribuer au rappro
chement sportif des Italiens et
des Français.
Ainsi se terminera élégam
ment cette querelle de famille.
La réunion aura lieu au profit
des œuvres de la Croix-Rouge.
« France-soir » est heureux de
contribuer à cette manifestation
aussi opportune que charitable
et patronnera l'épreuve.
CLASSEMENT DES EQUIPES
ET COUREURS RESTANT EN COURSE
1. — EQUIPE BELGE (311 h. 58’ 43”)
Bleu ciel ceinture noire, jaune, rouge.
o% o% 6% 6 o%o% % A A A
Restent en course : 13. DUPONT ; 14. HENDRICKX ; 15. IMPANIS ;
16, LAMBRECHT ; 17. OCKERS; 18. SCHOTTE ; 19. VAN ENDE.
— Ont abandonné : 11. BLOMME ; 12. COUVREUR ; 20. VERHAERT.
EQUIPE FRANÇAISE (312 h. 3’
Bleu, ceinture blanche et r^uge.
Restent en course : 21. BAFFERT ; 22 BOBET ;
25. DESBATS ; 26. GEMINIANI : 27. LAUREDI ; 28.
35”
AA
23. GiGUET ;
LAZARIDES ;
30. MOLINERIS — Ont abandonné : 24 DEPREZ 29. MARINELL!
EQUIPE LUXEMBOURGEOISE (312 h. 9’ 7”)
Rouge ccrnture blanche et bleue
000000000% A
Restent en course • 37. DIEDERICH ; 39. GOLDSCHMIDT ; 41.
KEMP ; 42. KIRCHEN. — A abandonné : 40. KELLEN. — Est
éliminé : 38. ERNZER.
4.
EQUIPE DU SUD-EST (312 h. 32’ 6”)
Violet, bande verticale blanche.
o0o% of “0-%0% * A A A
Restent en course : 102 BRAMBILLA ; 104. CASTELIN ; 105. GAU
THIER ; 106. KALLERT ; 108. REMY ; 110. ROLLAND. — A
abandonné : 107. PAUL NERI. — Sont éliminés : 101. BONNET ;
103. CANAVESE ; 109. ROL
5.
EQUIPE DE L’ILE-DE-FRANCE (312 h. 32’ 38”)
Vert.
0000000000 6 $*£A
Restent en course : Z1. BAUVIN : 72. BRULE ; 73. DE MUER ;
74. PIOT ; 76. QUEUGNET ; 77. REDOLFI. -
TACCA. — Ont abandonné : 75 PI VI DORI ; 80.
éliminé: 78. SFORACCHI.
EQUIPE DU CENTRE-SUD-OUEST
Mi-bleu, mi-jaune.
Restent en course : 92. COGAN ; 94.
97. MEUNIER ; 98. MOINEÀU ; 100.
né : 91. BERTON ; 95. FERNANDEZ.
Est éliminé : 79.
THUAYRE. — Est
(312 h. 53’ 38”)
DUSSAULT
96. LAJOIE ;
NAUGUIHEM : 99. PINEAU.
EQUIPE DE L’OUEST (313 h.
Blanc, parements rouges.
PROUZET. — Ont abandon-
— Sont éliminés : 93. DAR-
2’ 28”)
Restent en course ; 82. BONNAVENTURE ; 84.
GOASMAT ; 89. ROBIC î 90. SCIARDIS. — Ont
AAA**
CRETON ; 86.
abandonné : 81.
AUDAIRE ; 83. CHUPIN ; 85. DE CORTES ; 87. MAHE ; 88.
PONTET.
8. — EQUIPE DES AIGLONS BELGES (313 h. 11’ 27”)
Rose, ceinture noire, filet faune.
Restent encours- :
SCHUEREN. — Est
58.
1*A
55. BAEYENS ; 56. DEMULDER ; 60. VER-
éliminé : 57. DE RYCK. — Ont abandonné :
DUBUISSON ; 59. STORMS.
EQUIPE SUISSE (314 h. 8’ 24”)
Rouge, croix blanche.
636%0%0%6% 2
Restent en course • 31 AESCHLIMANN ; 32. CROCI-TORTI
33. KUBLER; 35. WEILENMANN; 36. ZBINDEN — A abandonné
34 METZGER.
SON ; 66
LAUK ; 69
11
- EQUIPE PARISIENNE (314 h. 51’ 21”)
Gris, ceinture bleue.
course : 61. BALDASSARI ; 62 BEYAERT : 63 BLUS-
FORLINI.
Sont éliminés : 67. FRANKOWSKI ; 68.
QUENTIN ; 70 RENAUD — Ont abandonné : 65 DOR
GEBRAY ; 64. CHAPATTE.
EQUIPE DE L’AFRIQUE DU NORD (314 h. 58’ 26”)
Mi-bleu, mi-rouge.
Restent en course: 112. DOS REIS ; 113. KEBAILI ; 114. MOLINES ;
116. ZELASCO. — Ont abandonné : 111 CHARROIN ; 115. ZAAF.
EQUIPE HOLLANDAISE
Blanc
Restent en course : 44.
DE RUYTER
hieue et rtjuye.
HOOG ; 45. JANSEN ; 46. VOORTING
— Ont abandonné : 43. DE
47. VOS ; 48. WACH1MANS. -
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AOLES
Dans le col de la Cayolle, Bobet
tente sa chance
ELLO LAUREDI EN DIFFICULTE
L f attaque des Alpes est commencée...
(DE NOS ENVOYES SPECIAUX PAR TELEPHONE)
NICE, 1 er août.
[Tour, ce matin, a quitté Nice dans une certaine nostalgie. Il en est toujours ainsi après le jour de repos sur la
Côte. Mais rassurez-vous : ce ne sont pas les coureurs qui sont tristes. Ils sont reposés, frais et presque dispos.
Les suiveurs, d’une manière générale, sont fatigués, et on assiste à des scènes d’adieux particulière-
[touchantes. On entend des promesses :
— Oui, dans quelques jours, après le Tour, je reviendrai...
ouison Bobet est complètement transformé. Ses camarades ne le reconnaissent pas. Baldassari ne cache pas son
étonnement.
|| JT (CCI
VRAI
. “IM PP . S .
pere missionnaire encourage tous
$ jours, par lettre, Serge Blusson
■ UH le moment, Serge Blusson,
■ un des plus jeunes et des
■ plus gais lurons du Tour, n'y
I crut pas. Tous les jours, il
nterait. une lettre du Père Charles,
des missions camiliennes de Chine
a Paris. Comme l'équipe de Paris
Ben est pas à une blague près,
Serge, d'abord, tint ses missives
serretes. Puis, après avoir répondu,
itoit maintenant à l'existence du
ier Charles, qui lui avait écrit :
«Bien cher ami Serge,
I < C’est la lettre-surprise de la.
Mil d'un curé sportif, prédicateur
I Paris,
■Ayant été aumônier du sport,
B prie dans l'âme cette sporti-
pel chaque année, j'encouragé
"coureur jeune, « sympa » et, ma
■ dans la liste, j'ai déniché le
M Serge, qui se défend comme
39 veux briscard. Continue, tu
feras du chemin. Ci-joint ma photo.
J'ai découpé la tienne dans un
journal. Bon courage, et bien du
succès pour le sprint final au Parc
des Princes. »
Blusson, au bout de quelques
jours, envoya une carte à son cor
respondant qui lui répondit :
« Ce matin, j'ai reçu du cour
rier de Rome, de Chine, de Vichy
et la carte du petit Serge. Cette
pièce authentique fera bisquer mes
meilleurs copains. J'admire votre
courage à tous, votre héroïsme et
la fraîcheur de votre jeunesse. Pas
trop de baratin, car vous n'avez
guère le temps de me lire. Donc,
courage, n'ayez pas peur de la
montagne. »
Et, en post-scriptum, le Père
Charles a ajouté :
« Ecrivez au curé, ça porte
bonheur. »
Le maire de Nice et les coureurs
absents au rendez-vous
B ville de Nice organisait, pen-
dont le jour de repos, une ré-
■ «pilon à la villa Masséna.
1“ petite sauterie a eu du
B dans l'aile car, • la veille,
■ parade assez violente avait
B’w prises, sur la ligne d'ar-
"MCorby, directeur de la
B” (d'active) et le colonel
Rtis (de réserve).
interdirai à tout le monde
"d votre réception, avait dit
“ de compte l'ancien militaire.
B* 1 Pourquoi, seul de tous les
le maillot jaune Kubler
""" j maire, sans doute pré:
T du demi-four, s'était fait re ¬
présenter par son adjoint aux
sports qui lut un inoubliable dis
cours :
— Vous êtes un magnifique
champion, dit-il à Kubler, debout
entre Jacques Goddet et Jean Bi-
dot. Vous représentez, ajouta-t-il,
les qualités de votre pays : un
pays neutre. Messieurs les cou
reurs, d'autres difficultés vous at
tendent. Ayez du courage.
Et, s'adressant à M. Jacques God-
dét qui avait désobéi au colonel.
M. Vérola, adjoint, dit :
— Vous avez comblé les vœux
du précurseur Henri Desgrange.
Sur le boulevard du Tour
JES SUIVEURS ONT TROUVE
"NE DELICATE INVITATION
r de Mâcon qui voudrait
"r dune pierre trois coups :
. « Tour, déguster les vins
orgogne et visiter le centre
-de,
8, QUATRE BOULANGERS
L; BOBET, GOLDSCHMIDT,
.et Impanis, avaient été
L . r leurs collègues niçois
I lson de la Boulangerie de
l ‘ a coûté 26 millions,
coureurs-mitrons n'ont pas
mis n0 re d l'invitation. Ils ont
de revenir.
4 NOËL SINIBALDI, AVANT-CEN
TRE DE CANNES, ETAIT AU
départ de l'étape, avant de partir
lui-même pour Reims, où il va re ¬
Joindre
Pierre.
4 A
ETAIT
ses deux
L'ARRIVEE
EN TRAIN
frères, Paul et
A NICE, KUBLER
DE FAIRE UN
tour d'honneur quand an le de
manda de Suisse au téléphone. Un
compatriote, ignorant sa victoire,
voulait lui demander s'il avait
conservé son.maillot jaune dans le
Turini !
R. D
“T 1h0
iconnueus ‘
danger j
2 ne
e esll*
loura@“ Cl
utons s ^'
monde, pë
len al' *
Mais c’esi Gap - Briançon
qui doit tenir le grand rôle
Enfin, le départ réel est donné
à 7 h, 32 aux 59 hommes restant
en course, car la petite étape Men
ton-Nice a fait deux victimes : le
Belge Blomme, qui a abandonné, et
Frankowski, arrivé après les délais.
Le jeune poulain de Francis Pélis
sier n‘a pas réussi à fléchir les
commissaires.
Redolfi inaugure les crevaisons.
De Muer et Queugnet l’attendent
Plus loin, Bonnaventure et Demul
der s’arrêtent pour régler des dé
tails mécaniques.
Queugnet crève à son tour, sans
dommage évidemment, car l’heure de
la bataille n’a pas encore sonné. Le
peloton flâne en admirant, avec une
certaine appréhension, les sommets
ensoleillés où il souffrira tout à
l’heure.
Les routes sont escarpées et très
étroites. Deux voitures passent dif
ficilement de front. Nous surplom
bons le Var, où ,plutôt son lit, car
le fleuve provençal est presque à
sec.
Le décor est sauvage et délicat à
la fois. Nous roulons dans des gor
ges extrêmement étroites que le so
leil perce à peine. Plot s’inquiète
du chemin parcouru.
— 30 kilomètres, lui répond-on.
— Voilà une bonne chose de fai
te ! constate-t-il.
José Beyaert, philosophe :
—• Je ferais beaucoup mieux de
vendre des fraises ! Je ne suis pas
un coureur !...
Kubler, souffrant au départ, a
l’air d’aller mieux. Il prend des
forces avant la montagne. Il man
ge les bananes que lui épluche Cro-
ci-Torti.
Nous sortons des gorges et nous
suivons, pendant quelques minutes
seulement, avant d’arriver à Touet-
sur-Var, une route large bordée par
la voie 'ferrée. Le petit train des
chemins de fer de Provence essaie
de suivre le peloton, qui marche
pourtant à une allure modérée. Mais
il s'essoufle rapidement et les voya
geurs font leurs adieux aux cou
reurs.
A Touet-sur-Var, charmante sta
tion, gaie, propre, ensoleillée (350
mètres d’altitude), les porteurs d’eau
commencent leur office ; Molineris
pour Bobet, Zbinden pour Kubler,
font le plein d'eau minérale. Il y a
deux heures que nous sommes par
tis et, comme vous le voyez, il ne
s’est encore rien passé. Le soleil
brille toujours. La montagne paraît
accueillante ; il en ira différem
ment tout à l’heure.
KUBLER CONTROLE LA COURSE
Nous voici dans les gorges du Clans.
Depuis ce matin, des centaines de
cars sont montés vers Beuil et Val
berg. Cinq cent s mètres après Touet,
nous tournons brusquement et le pay
sage nous arrache un cri d’admira-
tion. Des cimes dé 1.500 mètres nous
dominent. Leur découpage harmonieux
semble être l’œuvre d’un architecte ■
de goût. Décidément, la France est
belle !
Nous étion s encore au bord de la
« grande bleue » tout à l’heure ;
nous sommes maintenant perdus dans
la montagne majestueuse, étalant ses
flancs rougis par le soleil. La végé
tation, pourtant, est verte, rafraîchis
sante.
La route grimpe au-dessus de gorges
profondes. Lauredi, dont le bulletin
de santé n’est pas brillant depuis plu
sieurs jours, peine visiblement et, avec
Prouzet, il décolle le premier. Weilen-
mann, Queugnet, Hendrickx, Beyaert,
Rodolfi, De Muer, Dos Reis, Lajoie
et, ô surprise, l’ancien champion du
monde Schotte, sont lâchés. On note
encore Blusson, Dussault, Baffert,
Desbats, Sciardis. Le peloton, très
amenuisé, grimpe sous la direction de
Kubler, qui contrôle ainsi l’ascension.
C’est après Beuil que nous attaque
rons l’une des deux difficultés de la
journée : le col du Vasson.
Cette allure réduite permet cer
tains retours : Zelasco, Moineau,
Dussault. A trois kilomètres de
Bueil, Meunier essaye de partir,
mais il est immédiatement stoppé
par le maillot jaune. Par contre,
quatre hommes ' réussissent à
s’échapper : GJasmat, Dupont,
Baeyens et Piot. Ils sont suivis à
-50 secondes, à deux kilomètres de
Bueil, par Géminiani et Brambilla.
Et c'est l’ascension vers Valberg.
Les hommes de tête roulent avec
facilité. Baeyens mène le plus sou
vent. Pour la première place à
Valberg, où il y a une prime inté
ressante (huit jours aux sports
d’hiver dans la station).
Baeyens, qui semble avoir une
prédilection pour les Alpes, sur
prend Piot et passe en tête au
sommet..
U départ de l’étape Nice-Gap je suis aussi bien renseigné que n’importe quel coureur, car
personne ne connaît ce parcours que le Tour emprunte pour la première fois.
C’est le col d’Allos qui a trouvé un remplaçant.
Le nouveau juge se nomme la Cayolle, un nom qui sonne comme celui d’un général
et qui, tout à l’heure, va tenter de
son cousin le Turini.
Pourtant il ne paraît guère, d’après
jours de repos, que les hommes soient
faire, dans le
les échos des
impatients de
livrer bataille. Je ne me suis pas rendu à Nice, com.
me prévu, afin de tranquilliser ceux qui craignaient
que ma- présence ne fût une raison de manifestations
diverses. Je suis de l’avis opposé, mais je me suis
rangé à leur opinion carceTourde France a déjà assez
d’ennuis comme cela. C’est donc au téléphone que je
me suis documenté sur le moral des troupes avant
la bataille des Alpes.
Je tiens pour important l’avis que m’a donné mon
ami Fermo Camelini qui a eu des contacts directs
avec les coureurs.
— Je crois qu’ils sont très fatigués, dit-il.
Camellini connaît assez bien le Tour pour formuler
un jugement justifié.
Depuis le temps que l’on court après la montagne,
nous y sommes enfin. Trois grandes étapes sont tra
cées dans les Alpes et l’on s’aperçoit qu’après tout
il n’y en avait pas besoin de tant. Une ou deux au
raient amplement suffi.
On peut donc s’attendre à ce que les grands leaders
ne s’empoignent que sur l’une d’entre elles et vrai
semblablement sur Gap-Briançon, où l’on fera un
retour à la tradition avec les co’ls de Vars et d’Izoard.
A qui donc peut profiter l’étape d’aujourd’hui ?
Peut-être au tandem de l’équipe Mithouard : Kléber
Piot-André Brûlé, qui a fait une excellente impres
sion sur le Turini et qui a besoin de se rapprocher
encore au classement générai s’il veut disputer la
décision avec Kub er Robic, Ockers et’Bobet.
Une autre équipe peut aussi y chercher une
sion prématurée. C’est l’équipe de France.
Je sais que Jean Bidot ne se tient nullement
battu, et il a '•aison.
déci-
pour
Toute la difficulté pour lui en cette journée ....
(comme précédemment) d’obtenir une course homo
gène de la part des hommes qu’il a encore en main.
Pour réussir, il lui faudrait avoir décidé une attaque
de très grand style car l’équipe de France doit s’at
tendre à des réactions sérieuses le cas échéant et, si
elle reste en principe l'équipe la plus redoutable de
la course par le nombre de ses équipiers et les cols,
elle doit penser également à ne pas compromettre
Ce qui lui reste de chances en préparant éventuelle,
ment un plan de défense pour le cas où elle serai!
débordée par les événements.
sera
Tour de France,
Comme vous le
pire en espérant
une entrée aussi glorieuse que
voyez, j’envisage le meilleur et le
que l’optimiste Jean Bidot ne se
laissera pas aveugler par son enthousiasme naturel.
Bref, tout concourt à ces commentaires qui ne lais
sent qu’une perspective aussi indécise que le parcours
lui-même sur l’importance et la physionomie de
de l’étape des Basses-Alpes.
Revenons, pour terminer, aux constations pures et
simples :
4 L’étape des grimpeurs Menton-Nice n’a révélé
S ■ aucun successeur à Apo Lazaridès ou à Robic,
grimpeurs d’une classe susceptible de venir jeter la
panique chez les leaders.
2
4.
toire
Bobet, Kubler, Ockers ont fait sensiblement jeu
égal sur les pentes très dures du Turini.
Jean Robic n’a pas déployé une supériorité in
contestable.
Sorti des 6 ou 7 premiers du classement général,
il n’y a plus de candidats pour « forcer la vie.
». En somme, il n’y a pas à attendre de grosse
surprises.
Dans ces conditions, en tenant compte que Nice-
Gap se termine par 100 kilomètres de descente sim
plement coupée d’obstacies d’une importance straté
gique assez négligeable, il n’y a pas de raison ap
parent pour que le quatuor dominant du Turini :
Kubler, Bobet, Ockers, Robic, ne se retrouve pas,
une fois de plus, roue dans roue ni que Kubler le
sprinter, ne renouvelle sa victoire de Nice et consolide
sa position de leader à Gap.
(Copyright by
Scoop Agency.)
Les Mémoires
Fausto Coppi, France-soir and
O O
de Fausto Coppi (Le Drame de
ma vie) viennent de paraître à la Bibliothèque
France-soir (illustrés : 60 francs).
BAEYENS EN TÊTE AU COL
DE VASSON
Baeyens 0.
Kléber Piot à 5”.
Goasmat à 8”.
Dupont à
Brambilla à
mulder à 2’
bler, Robic,
3’ 44”.
Sciardis à
5’ 20” ;
CE QU’IL LEUR RESTE
A FAIRE
15”; Géminiani et
2’; Verschueren, De-
12”; Lambrecht, Ku-
Bobet et le peloton à
5’ 10”; Baldassari à
Croci-Torti, Moinèau,
rdi KUBLER ■ *Seu a cke
peut m'empêcher
gagner le Tour de France »
LEx NICE, 1 er août.
ter-RTIN, directeur technique de l’équipe suisse n’a pas
eneDle I’ceil de la nuit, A une heure du matin, il n’était pas
Le e couché. Burtin montait la garde devant la chambre
t son poulain Ferdi Kubler.
e les Américains, les An-
khade be ges ont déserté la
■ font ® Anglais, à Nice les
st ish nombre sur la 'Côte
Azamais e maillot jaune
ouvert tant d’amis.
n core, les chasseurs
tous Suisses, sou-
le personnel
f llarino, à Honolulu
Aen doit conser-
‘n titre mondial
3pi43 le champion du mon-
S titre mouche. Terry Allen
MarAsant lentant
ilans unddece nouveau chal-
178 sont “Algorie pauvre en
■ Par k importants, et ses
salgra ‘ sont nombreuses,
edra proonexpérience il ne
ltre au ablement pas a ra
sbat paingueur de Pratesi,
15 rep"r ait ne pas attein-
Ise prévue à l’affi-
| Roméro . Mathieu
“opéen en jeu
“ Barcelone
1 aMais il août, à Saint-
de lieu ess-probable que le
■ de Septanins la deuxième
, ~mbre à Barcelone.
8! ttad C O
il Fread Sydney, le noir
—ixlème*r.Dawson a mis
eprise, J'an Mou-
pas
de l’hôtel où couchait Kubler, pour
monter dans sa chambre.
Mais Burtin veillait.
Nous avons retrouvé à 6 heures,
ce matin, le directeur technique le
plus envié du Tour.
— J’ai eu • des cauchemars toute
la nuit, nous confiait Burtin. Ku
bler n’a aucune appréhension mais,
moi, j’ai peur... Je me souviens que
l’an dernier, c’est dans les Alpes que
Kubler s’effondra.
Ferdi Kubler est beaucoup plus
optimiste que son directeur tech
nique.
— Je crois sincèrement que cette
Bartali, Magni et Leoni
n’iront pas
à Saint-Etienne
FLORENCE, 1er août. — Gino Bar-
tali, Fiorenzo Magni et Adolfo Leoni
ont déclaré lundi soir que. tout en
appréciant l’initiative de la municipa
lité de Saint-Etienne, ils se trou
vaient dans l’impossibilité de se ren
dre Jeudi prochain dans cette ville en
raison des nombreux engagements
qu’ils ont contractés en Italie pour
cette semaine.
année ést la mienne, nous a dit
Kubler. Jamais je ne me suis senti
en aussi bonne condition physique.
Je ne suis nullement marqué.
L’état de fraîcheur du champion
suisse est, en effet, étonnant. Il est
vrai que Kubler a ménagé ses ef
forts et il court, cette année beau
coup mieux que dans les Tours pré
cédents.
— Auparavant, j'avoue que je
courais surtout pour me distinguer,
ajoute Kubler. Aujourd’hui, j'ai un
homme à battre. Il n’est pas dans
la course : c’est Koblet. Pour rede
venir ce que j’étais avant, il me
faut essayer de gagner le Tour de
France. J’ai grande confiance en
moi et je préfère terminer le Tour
avec les Alpes, poursuit Kubler, car
' pour moi les Pyrénées auraient été
beaucoup plus difficiles à franchir
avec le maillot jaune.
» Certes, je ne fais aucune illu
sion. Je ne pense pas être en tête
en haut des cols, mais dans les des
centes je dois combler facilement
mon retard. Ockers est l’homme à
battre, lui seul peut m’empêcher de
gagner. Il sera d’ailleurs l’ennemi
no 1 de la bataille des Alpes. Ma
tactique est bien simple. Pour au
jourd’hui je dois, à tout prix, limi
ter les dégâts afin de pouvoir re
prendre — si je le perds — mon
maillot jaune dans l’étape contre
la montre... et le ramener à Paris »,
conclut Kubler.
D. M.
A combien ils
Les Suisses ont désigné
leurs athlètes
pour Bruxelles
BALE, ter août. — Les sélection
neurs suisses ont désigné les athlè.
tes suivants pour représenter la
confédération aux championnats
d’Europe à Bruxelles :
400 METRES Epple, Steger.
800 METRES Volkmer,
1.500 METRES : Imfeld.
5.000 METRES : Sutter,
110 HAIES . Bernard.
HAUTEUR . Wahli.
PERCHE • Hofstetter, Schcurer.
POIDS Senn.
DISQUE : Hafliger,
JAVELOT Luthi.
10.000 METRES MARCHE Mar-
quis, Schwab.
2
3
4.
5.
KUBLER
Ockers
Bobet
Robic
Géminiani
6. Cogan, 18' 17’
. 0
. 2’
. 11’
6”
8”
11' 48
17’ 22”
7 Piot. 18’37”:
8. Kirchen, 19’11” : 9. Brambilla.
20' 39” ; 10 Diederich, 21’ 41" :
11. Lambrecht, 22' 2” ; 12. Meu
nier. 22’ 10” : 13 Demulder, 2312”;
14. Goldschmidt, 23' 39” ; 15 Du-
pont, 28' 59”
17. Brûlé. 31
; 16 Lauredi, 29' 29”;
42”
32’ 54” : 19. Castelin,
Verschueren, 34' 47”
21. Redolfi, 36 ' 43*
42’ 11” : 23 Schotte.
Baldassari, 48' 47" ;
49' 55” : 26 Sciardis,
18.
33'
2.
Gauth'er.
57" ; 20
47’24”
Impanis,
; 24.
25, Dos Reis,
50’ 24” ; 27.
Cannes - San Remo
après les championnats
du monde ?
ROME, 1 er août. — Le journal
« Momento » rapporte qu’au cours
d'une entrevue à San Remo, entre
M. Jacques Goddet, directeur du
Tour de France, et M. Bobba, pré
sident du syndicat d’initiative de
cette ville, des accords seraient
intervenus en vue de faire dispu
ter, après les championnats du
monde, une course cycliste Can-
nes-San Remo qui constituerait en
quelque sorte une manifestation
d’amitié sportive franco-italienne
destinée à effacer le souvenir des
incidents du col d'Aspin.
Schotte, Rémy, De Muer à 6’ 10”;
Gauthier est à 8’ 20”; Rodolfi et
Beyaert à 10’; Lajoie à 12’ 45”:
On redoutait que le tricolore n’ait
abandonné. Il a grimpé en compa
gnie de Desbats et Forlini. Le trio
passe à 14’ 50”.
La journée s’annonce mal pour
l’équipe de France. Ce soir, on ris-
que encore certaines éliminations.
A 11 h. 15, à Guillaumes, à 131
kilomètres de l’arrivée :
1. Goasmat, 2. Piot, 3. Baeyens.
Le peloton est à 3 minutes.
Les coureurs ont 25 minutes
d’avance sur l'horaire à Saint-
Martin-d’Entraunes.
A 7 kilomètres du sommet du
col de la Cayolle, on enregistra
les positions suivantes :
1. Bobet, 2. Dupont, 3. Piot, sui
vis d’un peloton de quarante cou
reurs.
R. D
CHAMPIONNAT D’ITALIE
ASTOLFI, FROSIO
conservent leur titre
TURIN, 1er août. — Peu de surpri
ses ont marqué les championnats
d’Italie sur piste, disputés au vélo
drome de Turin. En vitesse profession
nels, Astolfi a conservé son titre,
battant Ghella en finale par deux
manches à une.
En demi-fond, Frosio n’a pas trouvé
d’adversaire à sa taille. Le champion
du monde devançait Martini de deux
tours, Scrivani de cinq tours et Motti
de huit tours.
Résultats. — Vitesse « pros » (fi
nale), 1re manche : 1. Astolfi ; 2.
Ghella (200 dern. m. : 13” 6/10) ;
2 e manche : 1. Ghella : 2. Astolfi (200
dern. m. : 13” 3/10) ; belle : 1. Astol
fi ; 2. Ghella (200 dern. m. : 13” 3/10).
Demi-fond (fin.) : 1. Frosio, 100 km.
en 1 h. 6’ 10” ; 2. Martini, à 2 tours ;
3. Scrivani, à 5 t. ; 4. Motti, à 8 t.
Vitesse amat. (fin.), 1‘e manche :
I. Sacchi ; 2. Maspès (200 dern. m. :
12”) ; 2e manche : 1. Sacchi ; 2. Mas
pès (200 dern. m. : 13” 2/10). Poursuite
amat. (fin.) : 1. Messina, les 4 km. en
5’ 4” 3/10 ; 2. Gandini, 5’ 5” 4/10.
Poursuite « pros » (sélection pour
les champ, du monde), l r ' série : 1.
Benfenati, les 5 km. en 7’ 5” 4/10 ;
2. Albani, ’ 12” ; 2“ série : I. Salem-
béni, les 5 km. en 6’ 27'” ; 2. Pon-
tisso, 6’ 28”.
sont du leader
Bauvin, 52’ 14” : 28. Goasmat, 54’
40” ; 29 Kemp, 55’ 39" 30. Lazar-
dès, 1 h. 0’ 42”.
par André COSTES
Michel COSTES, Jean COUS-
SY, Daniel MORGAINE, Marc
LAMBERT, dirigés par
AeeHeem/
RenéDUNAN
Photographes :
André SARTRES
Roger LADEVEZE
Belino :
Ingénieur : Adolphe ACHER
L’INTERVIEW EXCLUSIVE DE JEAN ROBIC
Une étape vers l’inconnu
NICE, 1 er août.
N quittant Nice, ce matin, le peloton s’en va vers l’inconnu.
En effet, pas pDus les autres que moi, nous ne connaissons
-------- - attendent entre Nice et
les difficultés de la montagne qui nous
Gap.
Il y a trois cols à grimper f le
D’eux, je ne connais rien, si ce
n’est les renseignements que j’ai pu
glaner, à Nice, pendant la journée
de repos. En particulier, mon ami
Giorgetti, le pistard, m’a donné
quelques tuyaux sur l’étape.
Ces cols ne sont pas très sévères,
mais le début de l’étape peut sur
prendre les coureurs qui ont l’habi
tude de s’échauffer avant de pro
duire un effort.
Personnellement, cela ne me gêne
pas beaucoup. Je sais grimper à
froid.
Que noies réserve cette étape ?
A dire vrai, je ne pense pas qu’elle
soit âprement disputée. Elle est le
prélude à la bataille des Alpes, car
j’ai l’impression que c’est entre Gap
et Briançon que se déroulera la plus
forte bataille.
Pour ma part, je ne suis pas en
core décidé à attaquer aujourd'hui.
Vasson, la
A moins
Cayolle et la Sentinelle.
que les circonstances m’y
obligent.
Je pense surtout à jouer les chiens
de garde, comme je l’ai fait dans
le col de Castillon en ne permettant
pas à Bobet de s’enfuir.
Ceux que je viserai sont unique
ment les coureurs qui me précèdent
au classement général. Peut-être
changerais-je d’avis en cours de
route, si véritablement la course
semble vouloir se dérouler à mon
avantage.
J’ai reçu d’un supporter une let
tre qui me faisait remarquer qu’il
n’y avait pas ou presque pas de cols
en France où je ne sois passé pre
mier. Je souhaite que le Vasson, la
Cayolle et la Sentinelle entrent dans
ma, collection.
Enfin, nous verrons tout à
l'heure...
2 août - 18 e étape ; GAP-BRIANÇON
31. Hendrickx, 1 h. 5’ 29” : 32. De
Muer, 1 h. 5' 42” ; 33 Giguet, 1 h.
6' 47” ; 34. Dussault, 1 h. T 35” : |
35. Baeyens, 1 h. 8’ 2" ; 36. De
Ruytor, 1 h. 8’ 12” ; 37. Rémy, 1 h
10' 9" : 38 Kallért, 1 h. 11' 24" ;
39 Moineau, 1 h. 13' 7" ; 40. Rol
land, 1 h. 14 20".
41. Molinéris, 1 h. 15' 52” ; 42.
Keba;li, 1 h 15' 59” ; 43. Creton,
1 h. 17' 2” ; 44 Croci-Torti, 1 h.
22’ 4” : 45. Prouzet 1 h. 25‘ 44" ;
46 Bonnaventure, 1 h. 26' 17" ; 47.
Blusson, 1 h, 26' 58" : 48 Beyaèrt,
1 h. 29' ; 49. Desbats, 1 h. 35' 17”;
50. Lajoie, 1 h. 36’ 35”,
51 Van Ende, 1 h, 39' 51” ; 52.
Aeschlimann. 1 h. 40' 44” : 53. For
lini. 1 h. 42' 27” ; 54. Zelasco. 1 h
46’ 56" : 55 Weilenmann, 2 h. 16‘47‘
56. Baffert, 2 h. 19' 29” ; 57. Queu-
gnet. 2 h. 20' 11” ; 58. Zbinden.
2 h, 35' 15” ; 59. Molinès, 2 h. 40'54”.
COL D’IZOARD
COL DE VARS
0
16,5
25
46
61
74
83
91
100.5
110
115,5
127
Gap (743 m.)
Chorges (865 m.)
L'He-de-Rousset .(680).
Revel
Barcelonnette (C.V.)
(1.132 m.)
La Condamine.Chate-
lard (1.310 m.)
Saint-Paul-sur-U baye
(1.47C m.)
Col de Vars (2,111 m.).
Vars
Guipestre (C.R.)
(1 000 m.).
Maison.du-Roy
Carrefour N. 547-N. 202
9 45 141.5 Col d’Izoard (2.360 m.) 14 44
10 13 165 Briançon (arrivée)
10 27 (1.321 m.) 15 20
11 02
_ 9a Aujourd’hui, 17 e étape :
NICE-GAP
131 Col de la Cayolle
12 10 (2,326 m.) 12 44
12 38 161 Barceionnette (C.R.)
12 52 (1.132 m.) 13 33
182 Le Lauzet 14 12
13 06 221 Col de la Sentinelle
13 17 (990 m.) 15 29
13 51 220 Gap (743 m.) 15 40
17»
18e
19’
20 e
21 e
Nice-Gap
Gap-Briançon ....
Briançon-St-Etienne
St-Etienne-Lyon ..
-- Lyon-Di jon .
29 Dijon-Paris ..
229
165
291
98
233
314
1.330
1.101
936
645
547
Pour contribuer à
la réconciliation
franco-italienne
Ie grand
champion
fera sa
course de
rentrée
à Paris
sous les auspices de
France-soir
= =""=* —
au profit de la
Croix- Rouge
A U lendemain de « L'af
faire Bartali », Fausto
Coppi écrivait dans no
tre journal : « Pour effacer le
souvenir de cette mauvaise his
toire, je m'offre à faire ma
course de rentrée en France. »
Aujourd'hui Fausto Coppi
tient parole.
La Croix-Rouge l'ayant pres
senti par notre intermédiaire, il
a donné son acceptation de
principe pour une course en cir
cuit fermé qui aura lieu à Paris
après le 15 septembre.
Tous les détails restent à fixer.
Il n'en reste pas moins acquis
que le grand champion italien
marque de façon précise son
désir de contribuer au rappro
chement sportif des Italiens et
des Français.
Ainsi se terminera élégam
ment cette querelle de famille.
La réunion aura lieu au profit
des œuvres de la Croix-Rouge.
« France-soir » est heureux de
contribuer à cette manifestation
aussi opportune que charitable
et patronnera l'épreuve.
CLASSEMENT DES EQUIPES
ET COUREURS RESTANT EN COURSE
1. — EQUIPE BELGE (311 h. 58’ 43”)
Bleu ciel ceinture noire, jaune, rouge.
o% o% 6% 6 o%o% % A A A
Restent en course : 13. DUPONT ; 14. HENDRICKX ; 15. IMPANIS ;
16, LAMBRECHT ; 17. OCKERS; 18. SCHOTTE ; 19. VAN ENDE.
— Ont abandonné : 11. BLOMME ; 12. COUVREUR ; 20. VERHAERT.
EQUIPE FRANÇAISE (312 h. 3’
Bleu, ceinture blanche et r^uge.
Restent en course : 21. BAFFERT ; 22 BOBET ;
25. DESBATS ; 26. GEMINIANI : 27. LAUREDI ; 28.
35”
AA
23. GiGUET ;
LAZARIDES ;
30. MOLINERIS — Ont abandonné : 24 DEPREZ 29. MARINELL!
EQUIPE LUXEMBOURGEOISE (312 h. 9’ 7”)
Rouge ccrnture blanche et bleue
000000000% A
Restent en course • 37. DIEDERICH ; 39. GOLDSCHMIDT ; 41.
KEMP ; 42. KIRCHEN. — A abandonné : 40. KELLEN. — Est
éliminé : 38. ERNZER.
4.
EQUIPE DU SUD-EST (312 h. 32’ 6”)
Violet, bande verticale blanche.
o0o% of “0-%0% * A A A
Restent en course : 102 BRAMBILLA ; 104. CASTELIN ; 105. GAU
THIER ; 106. KALLERT ; 108. REMY ; 110. ROLLAND. — A
abandonné : 107. PAUL NERI. — Sont éliminés : 101. BONNET ;
103. CANAVESE ; 109. ROL
5.
EQUIPE DE L’ILE-DE-FRANCE (312 h. 32’ 38”)
Vert.
0000000000 6 $*£A
Restent en course : Z1. BAUVIN : 72. BRULE ; 73. DE MUER ;
74. PIOT ; 76. QUEUGNET ; 77. REDOLFI. -
TACCA. — Ont abandonné : 75 PI VI DORI ; 80.
éliminé: 78. SFORACCHI.
EQUIPE DU CENTRE-SUD-OUEST
Mi-bleu, mi-jaune.
Restent en course : 92. COGAN ; 94.
97. MEUNIER ; 98. MOINEÀU ; 100.
né : 91. BERTON ; 95. FERNANDEZ.
Est éliminé : 79.
THUAYRE. — Est
(312 h. 53’ 38”)
DUSSAULT
96. LAJOIE ;
NAUGUIHEM : 99. PINEAU.
EQUIPE DE L’OUEST (313 h.
Blanc, parements rouges.
PROUZET. — Ont abandon-
— Sont éliminés : 93. DAR-
2’ 28”)
Restent en course ; 82. BONNAVENTURE ; 84.
GOASMAT ; 89. ROBIC î 90. SCIARDIS. — Ont
AAA**
CRETON ; 86.
abandonné : 81.
AUDAIRE ; 83. CHUPIN ; 85. DE CORTES ; 87. MAHE ; 88.
PONTET.
8. — EQUIPE DES AIGLONS BELGES (313 h. 11’ 27”)
Rose, ceinture noire, filet faune.
Restent encours- :
SCHUEREN. — Est
58.
1*A
55. BAEYENS ; 56. DEMULDER ; 60. VER-
éliminé : 57. DE RYCK. — Ont abandonné :
DUBUISSON ; 59. STORMS.
EQUIPE SUISSE (314 h. 8’ 24”)
Rouge, croix blanche.
636%0%0%6% 2
Restent en course • 31 AESCHLIMANN ; 32. CROCI-TORTI
33. KUBLER; 35. WEILENMANN; 36. ZBINDEN — A abandonné
34 METZGER.
SON ; 66
LAUK ; 69
11
- EQUIPE PARISIENNE (314 h. 51’ 21”)
Gris, ceinture bleue.
course : 61. BALDASSARI ; 62 BEYAERT : 63 BLUS-
FORLINI.
Sont éliminés : 67. FRANKOWSKI ; 68.
QUENTIN ; 70 RENAUD — Ont abandonné : 65 DOR
GEBRAY ; 64. CHAPATTE.
EQUIPE DE L’AFRIQUE DU NORD (314 h. 58’ 26”)
Mi-bleu, mi-rouge.
Restent en course: 112. DOS REIS ; 113. KEBAILI ; 114. MOLINES ;
116. ZELASCO. — Ont abandonné : 111 CHARROIN ; 115. ZAAF.
EQUIPE HOLLANDAISE
Blanc
Restent en course : 44.
DE RUYTER
hieue et rtjuye.
HOOG ; 45. JANSEN ; 46. VOORTING
— Ont abandonné : 43. DE
47. VOS ; 48. WACH1MANS. -
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