Titre : La Nature : revue des sciences et de leurs applications aux arts et à l'industrie : journal hebdomadaire illustré / rédacteur en chef Gaston Tissandier
Éditeur : Masson (Paris)
Date d'édition : 1886-11-27
Contributeur : Tissandier, Gaston (1843-1899). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32822475x
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 27 novembre 1886 27 novembre 1886
Description : 1886/11/27 (A14,N704). 1886/11/27 (A14,N704).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t51169574w
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 4-R-45
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 15/01/2023
pendant quelques instants. (Communiqué par M. E. Zindel, chi
miste.)
Réponse au n° 1006. — On trouve chez M. Parsy, 69, rue de
Longchamp, un produit pour régénérer l’acier brûlé.
Autre réponse au n° 1006. — Chauffer trois ou quatre fois au
rouge cerise l’acier brûlé et le plonger chaque fois dans de l’eau
bouillante. (Communiqué par M. A. Le Brethon, à Lisieux.)
Réponse au n° 1007. — Le canot en papier le Qui vive a été
construit par M. A. Tellier aîné, 52, quai de la Râpée, à Paris, en
deux exemplaires, dont l’un a été livré à M. de Wogan, et l’autre
était encore, il y a deux mois, dans les ateliers du constructeur où
je l’ai vu. (Communiqué par M. F. Mairesse, ingénieur, à Paris.
COMMUNICATIONS DIVERSES
Ecailleuse pour ouvrir les huîtres. — Voici la saison des
huîtres et je crois qu’il sera agréable aux lecteurs de La Nature de
faire connaissance avec un petit instrument tout nouveau destiné à
les ouvrir au fur et à mesure de la consommation, sans briser les
coquilles, sans répandre le liquide si estimé et sans avoir à déve
lopper un grand effort. D’une construction aussi simple que possible,
d’un prix insignifiant, Yécailleuse (tel est le nom que lui donne l’in
venteur), est facilement à la portée de tout le monde. L’appareil
consiste en une sorte de tire-bouchon d’une seule pièce, très robuste
en acier nickelé ; à son extrémité il présente une sorte d’hélice à
pas et à diamètre rapidement grandissants. Pour l’usage, on saisit
l’huître de la main gauche; on la tient horizontalement, la grande
coquille en dessous devant recueillir le liquide. De la main droite on
prend Y écailleuse et l’on insinue entre les deux coquilles, à la char
nière, l’extrémité triangulaire de l’instrument; une légère pression
suffit pour cela et désormais en imprimant à Yécailleuse un mou
vement de tire-bouchon, on voit l’hélice pénétrer spontanément dans
la fente et l’huître s’ouvrir d’elle-même sans aucune secousse qui
puisse renverser l’eau. Je joins à cette note un croquis montrant
l’ensemble de l’instrument. Abel Buguet,
Directeur du Journal de physique, chimie et histoire natu
relle élémentaires, à Moulins.
BIBLIOGRAPHIE
Robur le Conquérant, par Jules Verne. 1 vol. in-18. — Paris,
J. Hetzel, 1886.
Robur le Conquérant est un aviateur, un partisan du plus lourd
que l’air qui ne croit pas à la possibilité de diriger les aérostats,
qui dédaigne ceux qui veulent en tirer parti, et qui enlève de force
deux de ses contradicteurs pour leur faire faire malgré eux le
tour du monde dans son aéroplane électrique à hélice. On peut
facilement préjuger des péripéties et des aventures que l’esprit
ingénieux de M. Jules Verne a su tirer d’une telle donnée; nous
n’avons sous ce rapport que des éloges à lui adresser, mais nous
nous permettrons de présenter quelques observations à l’auteur au
sujet de ses discussions sur la navigation aérienne. Robur fait
dire aux Giffard, aux Dupuy de Lôme, auxTissandier, aux Renard
et Krebs, dont il cite toutes les expériences, des paroles que
jamais aucun d’eux n’a prononcées. « Ils se figurent, dit Robur
en parlant de ces aéronautes, qu’ils seront maîtres d’un aérostat
comme on est maître d’un navire à la surface des mers.... Quoi,
un ballon qui a la prétention de résister au vent à l’aide de son
mécanisme.... quand on a vu dans l’accident du pont de Tay
l’ouragan exercer une pression de 440 kilogrammes par mètre
carré ! Un ballon quand jamais la nature n'a construit sur ce
système aucun être volant ! »
Ces objections, souvent présentées déjà, ne sont aucunement
justifiées. Jamais il n’a été dit qu’un ballon dirigeable fonction
nerait pendant l’ouragan. Lorsque le vent souffle en tempête, le
navire lui-même rentre au port, ou s’il ne peut y rentrer, il est
trop souvent, hélas ! le jouet des éléments. Les expérimentateurs
des aérostats dirigeables sont parvenus à remonter des courants
aériens de 3 ou 4 mètres de vitesse à la seconde; ils espèrent
arriver à accroître peu à peu, au fur et à mesure des progrès de
leurs constructions, la vitesse propre de leurs navires aériens,
afin d’arriver à permettre à ceux-ci de fonctionner par les vents
régnants habituels et d’intensité moyenne. Ces expérimentateurs
ne demanderaient pas mieux que de recourir aux appareils d’avia
tion plus lourds que l’air, mais, après avoir fait des essais et
construit des moteurs, ils ont reconnu que dans l’état actuel de
la science il n’était pas possible d’enlever un homme à l’aide
d’un hélicoptère, d’un aéroplane ou d’un appareil volant quel qu’il
soit. Excepté Robur le Conquérant, jusqu’ici les aviateurs restent
à terre. Les aéronautes, au contraire, s’enlèvent dans l’air; les
résultats qu’ils obtiennent sont modestes, mais ce sont des résul
tats. La navigation à vapeur a modestement commencé par le
bateau du marquis de Jouffroy, qui a remonté le courant de la
Saône en 1783. C’est longtemps après, que des expériences plus
probantes ont été faites par Fulton; et c’est encore longtemps
après que sont venues les constructions de navires à vapeur
océaniques. Les ballons dirigeables en sont aux marquis de Jouf
froy de leur histoire.
Quant à cet autre argument de Robur, que la nature n’a jamais
construit rien qui ressemblât aux ballons, il tombe aussi de lui-
même par des comparaisons. La nature a fait des chevaux, des
lièvres, des lévriers, appareils de locomotion à quatre pattes:
l’homme, au contraire, a inventé la roue tournant autour d’un
axe, organe absolument original, qui diffère de tous ceux des êtres
vivants. Chercher à imiter l’oiseau pour construire un navire
aérien, serait agir de la même façon qu’un mécanicien voulant
faire une locomotive à quatre pattes, courant à la façon d’un
lévrier.
Nous ajouterons, en terminant, que nous ne nions en aucune
façon, au point de vue théorique, la possibilité de naviguer dans
l’air au moyen d’appareils plus lourds que l'air; mais la con
struction de ces appareils reste dans le domaine de la théorie
tant que l’on n’aura pas des moteurs incomparablement plus
légers que ceux dont on dispose aujourd’hui. Comme l’indique
M. Jules Verne, l’aviation est peut-être la science de l’avenir.
— Elle n’est pas encore celle du présent. G. T.
Hommage à M. Chevreul à l’occasion de son centenaire, 31 août 1886.
Petit in-4° de 96 pages. — Paris, Félix Alcan, 1886.
Cet hommage à M. Chevreul comprend la réunion de quelques
travaux poursuivis d’après lui et sous son inspiration. Les mé
moires réunis sont signés Berthelot, Demarçay, Dujardin-Bau-
metz, Gautier, Grimaux, Pouchet, Ch. Richet.
Centenaire de M. Chevreul, 31 août 1886. Discours prononcés au
Muséum d’Histoire naturelle. In-4° de 24 pages. — Paris, Gau-
thier-Villars, 1886.
Cette intéressante brochure renferme les discours prononcés
par MM. Fremy, Jules Zeller, Janssen, Broch, colonel Le Mat, Ress-
mann, G. Govi, de Bouteiller, Chaumeton, Nadault de Buffon,
Dehérain, Leroy, Auguste Vitu, Gerspach et René Goblet.
Lutte pour le vin. Lettre à M. le ministre de l'agriculture, par
Léonce BERGIS. In-8° de 16 pages avec 1 planche. — Montauban,
imp. Forestié, 1886.
RECETTES ET PROCÉDÉS UTILES
Manière de se débarrasser des moustiques.
Voici un procédé fort simple et fort radical pour se débarrasser et
se préserver de la piqûre des moustiques; pendant la saison autom
nale, ils sont féroces. Il suffit de placer dans la chambre où 1 on
désire s’en préserver, une lanterne allumée dont les vitres auront
été préalablement enduites de miel ou de glu aussi diaphanes que
possible : les insectes attirés par la lumière viendront s’y coller e
mourir sur la paroi miellée du vitrage. (Communiqué par M. E. Bl° 11 '
deau, à Avignon.)
La Rédaction et l’Administration de LA NATURE sont"étrangères au service des Annonces, peur lesquelles on doit s’adresser à l’Office de Publicité de l’imprimerie Lahnre, 9, rue de Fleurus
miste.)
Réponse au n° 1006. — On trouve chez M. Parsy, 69, rue de
Longchamp, un produit pour régénérer l’acier brûlé.
Autre réponse au n° 1006. — Chauffer trois ou quatre fois au
rouge cerise l’acier brûlé et le plonger chaque fois dans de l’eau
bouillante. (Communiqué par M. A. Le Brethon, à Lisieux.)
Réponse au n° 1007. — Le canot en papier le Qui vive a été
construit par M. A. Tellier aîné, 52, quai de la Râpée, à Paris, en
deux exemplaires, dont l’un a été livré à M. de Wogan, et l’autre
était encore, il y a deux mois, dans les ateliers du constructeur où
je l’ai vu. (Communiqué par M. F. Mairesse, ingénieur, à Paris.
COMMUNICATIONS DIVERSES
Ecailleuse pour ouvrir les huîtres. — Voici la saison des
huîtres et je crois qu’il sera agréable aux lecteurs de La Nature de
faire connaissance avec un petit instrument tout nouveau destiné à
les ouvrir au fur et à mesure de la consommation, sans briser les
coquilles, sans répandre le liquide si estimé et sans avoir à déve
lopper un grand effort. D’une construction aussi simple que possible,
d’un prix insignifiant, Yécailleuse (tel est le nom que lui donne l’in
venteur), est facilement à la portée de tout le monde. L’appareil
consiste en une sorte de tire-bouchon d’une seule pièce, très robuste
en acier nickelé ; à son extrémité il présente une sorte d’hélice à
pas et à diamètre rapidement grandissants. Pour l’usage, on saisit
l’huître de la main gauche; on la tient horizontalement, la grande
coquille en dessous devant recueillir le liquide. De la main droite on
prend Y écailleuse et l’on insinue entre les deux coquilles, à la char
nière, l’extrémité triangulaire de l’instrument; une légère pression
suffit pour cela et désormais en imprimant à Yécailleuse un mou
vement de tire-bouchon, on voit l’hélice pénétrer spontanément dans
la fente et l’huître s’ouvrir d’elle-même sans aucune secousse qui
puisse renverser l’eau. Je joins à cette note un croquis montrant
l’ensemble de l’instrument. Abel Buguet,
Directeur du Journal de physique, chimie et histoire natu
relle élémentaires, à Moulins.
BIBLIOGRAPHIE
Robur le Conquérant, par Jules Verne. 1 vol. in-18. — Paris,
J. Hetzel, 1886.
Robur le Conquérant est un aviateur, un partisan du plus lourd
que l’air qui ne croit pas à la possibilité de diriger les aérostats,
qui dédaigne ceux qui veulent en tirer parti, et qui enlève de force
deux de ses contradicteurs pour leur faire faire malgré eux le
tour du monde dans son aéroplane électrique à hélice. On peut
facilement préjuger des péripéties et des aventures que l’esprit
ingénieux de M. Jules Verne a su tirer d’une telle donnée; nous
n’avons sous ce rapport que des éloges à lui adresser, mais nous
nous permettrons de présenter quelques observations à l’auteur au
sujet de ses discussions sur la navigation aérienne. Robur fait
dire aux Giffard, aux Dupuy de Lôme, auxTissandier, aux Renard
et Krebs, dont il cite toutes les expériences, des paroles que
jamais aucun d’eux n’a prononcées. « Ils se figurent, dit Robur
en parlant de ces aéronautes, qu’ils seront maîtres d’un aérostat
comme on est maître d’un navire à la surface des mers.... Quoi,
un ballon qui a la prétention de résister au vent à l’aide de son
mécanisme.... quand on a vu dans l’accident du pont de Tay
l’ouragan exercer une pression de 440 kilogrammes par mètre
carré ! Un ballon quand jamais la nature n'a construit sur ce
système aucun être volant ! »
Ces objections, souvent présentées déjà, ne sont aucunement
justifiées. Jamais il n’a été dit qu’un ballon dirigeable fonction
nerait pendant l’ouragan. Lorsque le vent souffle en tempête, le
navire lui-même rentre au port, ou s’il ne peut y rentrer, il est
trop souvent, hélas ! le jouet des éléments. Les expérimentateurs
des aérostats dirigeables sont parvenus à remonter des courants
aériens de 3 ou 4 mètres de vitesse à la seconde; ils espèrent
arriver à accroître peu à peu, au fur et à mesure des progrès de
leurs constructions, la vitesse propre de leurs navires aériens,
afin d’arriver à permettre à ceux-ci de fonctionner par les vents
régnants habituels et d’intensité moyenne. Ces expérimentateurs
ne demanderaient pas mieux que de recourir aux appareils d’avia
tion plus lourds que l’air, mais, après avoir fait des essais et
construit des moteurs, ils ont reconnu que dans l’état actuel de
la science il n’était pas possible d’enlever un homme à l’aide
d’un hélicoptère, d’un aéroplane ou d’un appareil volant quel qu’il
soit. Excepté Robur le Conquérant, jusqu’ici les aviateurs restent
à terre. Les aéronautes, au contraire, s’enlèvent dans l’air; les
résultats qu’ils obtiennent sont modestes, mais ce sont des résul
tats. La navigation à vapeur a modestement commencé par le
bateau du marquis de Jouffroy, qui a remonté le courant de la
Saône en 1783. C’est longtemps après, que des expériences plus
probantes ont été faites par Fulton; et c’est encore longtemps
après que sont venues les constructions de navires à vapeur
océaniques. Les ballons dirigeables en sont aux marquis de Jouf
froy de leur histoire.
Quant à cet autre argument de Robur, que la nature n’a jamais
construit rien qui ressemblât aux ballons, il tombe aussi de lui-
même par des comparaisons. La nature a fait des chevaux, des
lièvres, des lévriers, appareils de locomotion à quatre pattes:
l’homme, au contraire, a inventé la roue tournant autour d’un
axe, organe absolument original, qui diffère de tous ceux des êtres
vivants. Chercher à imiter l’oiseau pour construire un navire
aérien, serait agir de la même façon qu’un mécanicien voulant
faire une locomotive à quatre pattes, courant à la façon d’un
lévrier.
Nous ajouterons, en terminant, que nous ne nions en aucune
façon, au point de vue théorique, la possibilité de naviguer dans
l’air au moyen d’appareils plus lourds que l'air; mais la con
struction de ces appareils reste dans le domaine de la théorie
tant que l’on n’aura pas des moteurs incomparablement plus
légers que ceux dont on dispose aujourd’hui. Comme l’indique
M. Jules Verne, l’aviation est peut-être la science de l’avenir.
— Elle n’est pas encore celle du présent. G. T.
Hommage à M. Chevreul à l’occasion de son centenaire, 31 août 1886.
Petit in-4° de 96 pages. — Paris, Félix Alcan, 1886.
Cet hommage à M. Chevreul comprend la réunion de quelques
travaux poursuivis d’après lui et sous son inspiration. Les mé
moires réunis sont signés Berthelot, Demarçay, Dujardin-Bau-
metz, Gautier, Grimaux, Pouchet, Ch. Richet.
Centenaire de M. Chevreul, 31 août 1886. Discours prononcés au
Muséum d’Histoire naturelle. In-4° de 24 pages. — Paris, Gau-
thier-Villars, 1886.
Cette intéressante brochure renferme les discours prononcés
par MM. Fremy, Jules Zeller, Janssen, Broch, colonel Le Mat, Ress-
mann, G. Govi, de Bouteiller, Chaumeton, Nadault de Buffon,
Dehérain, Leroy, Auguste Vitu, Gerspach et René Goblet.
Lutte pour le vin. Lettre à M. le ministre de l'agriculture, par
Léonce BERGIS. In-8° de 16 pages avec 1 planche. — Montauban,
imp. Forestié, 1886.
RECETTES ET PROCÉDÉS UTILES
Manière de se débarrasser des moustiques.
Voici un procédé fort simple et fort radical pour se débarrasser et
se préserver de la piqûre des moustiques; pendant la saison autom
nale, ils sont féroces. Il suffit de placer dans la chambre où 1 on
désire s’en préserver, une lanterne allumée dont les vitres auront
été préalablement enduites de miel ou de glu aussi diaphanes que
possible : les insectes attirés par la lumière viendront s’y coller e
mourir sur la paroi miellée du vitrage. (Communiqué par M. E. Bl° 11 '
deau, à Avignon.)
La Rédaction et l’Administration de LA NATURE sont"étrangères au service des Annonces, peur lesquelles on doit s’adresser à l’Office de Publicité de l’imprimerie Lahnre, 9, rue de Fleurus
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