Titre : Journal de la Côte-d'Or : feuille politique, littéraire, commerciale et industrielle...
Éditeur : Imprimerie de Simonnot-Carion (Dijon)
Date d'édition : 1843-12-31
Contributeur : Simonnot-Carion. Directeur de publication
Contributeur : Noellat, Charles. Directeur de publication
Contributeur : Quarré, Antoinette (1813-1847). Collaborateur
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb42306729c
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Langue : dialecte français
Description : 31 décembre 1843 31 décembre 1843
Description : 1843/12/31 (A43,N157). 1843/12/31 (A43,N157).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG21 Collection numérique : BIPFPIG21
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t511545082
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-406
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 22/01/2023
Journal de la Lôte—dOr.
5sr2
us ve-
e. Que
ir tra-
ulaire,
iscours
mpu à
icifé et
t de la
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un rô
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limons
me.
ni des
it plus
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) lente
yons ;
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rmet-
is tra-
unica-
ration
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t delà
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iques;
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1 con-
oit des
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servir
nonce
nt au
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slAl-
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; mal-
spon-
re sa
peur
rité et
oit fin
é que
; dans
Indre
il s’est
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foule
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ii qui
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nière,
ur la
re et
ce no
lable-
a des
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le de-
aob-
—==*=*=*===*=====================-========“
doption de cette proposition. Personne n’ayant récla
mé la parole, la proposition a été adoptée par assis et
levé, et la séance a été levée à dix heures.
Ur a
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per le
’o’jet
nlen-
i, sur
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Sau-
dem-
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si que
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lui, il
ment,
rêt de
, à un
s res-
ition ,
, sans
au.
lion a
ger le
t à l'a-
On lit dans le Messager :
« Le Net'onal revient, ce malin, sur une préten
due intervention de M. l’archevêque de Paris, au
sujet de l’inauguration du monument de Molière. Si
nous n’avions pas déjà démenti de pareils bruits,
c’est qu’on ne pouvait supposer que la crédulité ou la
malveillance de certains journaux pût aller si loin.
S'il faut un démenti, nous le donnons de la manière
la plus formelle.
« De ce qu'une cérémonie d’inauguration, dont les
difficultés pratiques d’exécution sont reconnues par
tous les gens sensés, et que du reste l’autorité n’a pas
un instant songé à interdire, n’a pas eu lieu, il ne
faut pas en conclure que la gloire de Molière doive
en souffrir, ou qu’elle soit dédaignée par le gouver
nement. Nest-ce pas, d’ailleurs . le ministre de Finté-
rieur actuel qui a présenté aux Chambres le projet de
loi pour contribuer à l’érection de ce monument? »
— On lit dans le Messager :
« L’article relatif à l'administration des tabacs, qui
a été publié dans le Moniteur Parisien du 25 décem
bre, et qui a été répété par d’autres journaux, n’a au
cun fondement. Les produits de la vente des tabacs,
loin de diminuer, continuent de s’accroître, et l’admi-
nistration n’a jamais eu la pensee de revenir sur la
mesure quelle a cru devoir adopter. »
— Le gérant du Patriote de Saône-et-Loire, cité de
vant le tribunal de police correctionnelle de Chalon
pour avoir rendu compte d’une affaire plaidéeà huis-
clos avait été renvoyé de la plainte. Sur l’appel du
ministère public, la cause a été portée devant la cour
"royale de Dijon, qui, le 20 du courant, a condamné
le prévenu à 2,000 fr. d’amende.
— M. Barginet, de Grenoble, rédacteur du Journal
du Commerce de Lyon, vient de mourir subitement,
pendant qu’on le rasait: les secours de la médecine
ont été inutiles. Depuis quelque temps, sa santé était
très-altérée, et il parait avoir succombé à un ané
vrisme. M. Barginet fut le secrétaire de Didier, dont
la conspiration fit tant de bruit en 1816, et qui porta
sa tête sur l’échafaud. Après la révolution de 1830, il
reçut la croix de la Légion-d Honneur, maison l’in-
céra plus tard, comme prévenu d’avoir fait partie
d’un complot napoléonien. M. Barginet emporte dans
la tombe le secret de la conspiration de Grenoble.
— On lit dans la Gazette des Tribunaux :
« On écrit de Vannes (Morbihan), le 23 décembre :
« Les démonstrations de Belgra ve-square portent
déjà leurs fruits dans le Morbihan ; et, tandis qùe la
noblesse de France , comme l'appelle la presse légiti
miste, fait pèlerinage à Londres, elle ne soupçonne
pas sans doute que ses démarches et ses protestations
peuvent se manifester dans nos contrées par le meur
tre et l’assassinat.
« Plusieurs réfractaires avaient annoncé qu’ils fe-
raient leur soumission, et le jour en avait même été
fixé par eux ; mais depuis, ils ont fait savoir qu'ils ne
se soumettraient pas, annonçant que le gouvernement
allait changer, et que Henri V allait être proclamé
roi de France. Déjà ils se sont signalés par plusieurs
actes de résistance contre la force publique.
« Une rencontre a eu lieu le 16 de ce mois, à deux
heures et demie du matin, dans le bois de Rohabon,
prèsd’Hennebont, entre la brigade de cette résidence
et une bande de cinq à six individus présumés être
des réfractaires. Les malfaiteurs, embusqués dans le
bois, ont fait feu sur les gendarmes qui faisaient une
battue ; le maréchal-des-logis Louis , qui marchait à
leur tête, a eu dans celle décharge son chapeau percé
de plusieurs balles. Ce brave sous-officier s’est préci
pité sur ces brigands, et est parvenu à en saisir un ;
mais, en abandonnant sa veste, celui-ci s’est débar
rassé et lui a échappé, après toutefois l'a voir couché
enjoué, à bout portant, avec un pistolet qui fort heu
reusement a raté.
« L’obscurité et les embarras du terrain, couvert de
broussailles, de talus et de fossés, ont permis à ces
individus, qui se sont débandés dans toutes les direc
tions, d’échapper facilement aux poursuites des gen
darmes. Ils ont abandonné sur le terrain deux fusils,
des cartouches, un drapeau blanc portant ces mots :
Vive Henri V.' deux chapeaux et une paire de sou
liers. L’un d’eux paraît avoir été blessé par les coups
de feu des gendarmes, ripostant à leur attaque, car
on a remarqué des traces de sang h* long du bois, de
puis le lieu de la scène jusqu’à la grande route.
« Avertie de cet événement, la brigade de gendar
merie de Lorient a fait immédiatement des fouilles
dans les environs d’Hennebont et de Languidic, mais
sans pouvoir trouver les traces des brigands.
« Le maréchal des-logis Louis , qui a montré beau
coup de sang-froid dans cette circonstance, ne cesse
d’être jour et nuit à la poursuite des réfractaires; c’est
lui qui, il y a quelques mois, a opéré l’arrestation
d’un forçat et d’un réfractaire, pris encore les armes à
la main; le gouvernement récompensera sans doute
les services rendus à la sécurité publique parce brave
sous-officier, exposé à tant de dangers dans l’exercice
de ses pénibles fonctions.
« De nouveaux renseignemens sur l’allaque du bois
de Rohabon ont appris qu’un cultivateur de Merleve-
nez, revenant de Port-Louis, avait été arrêté le 14 de-
ce mois à 2 kilomètres de Nostang, près du bois de
sapins, par une bande de quinze à seize individus
qu'il n’a pas reconnus pour être du pays; il ne leur a
pas vu d’armes. On lui a demandé où il allait et d'où
saxltsestnine
il venait ; et, après qu'il eut répondu à ces questions,
celui qui paraissait être le chef a ordonné de le laisser
aller. Il s’est aussitôt empressé de s’éloigner, et les a
perdus de vue.
« Le 16, peu de temps après l’attaque, il a été trou
vé, à 400 mètres environ du bois de Rohabon, un
mouchoir imprégné de sang , dans l’un des coins du
quel se trouvait de la poudre et une pierre à feu tou
te neuve.
« Le 20 décembre dernier, les gendarmes Laurent.
Fiquet et Précaut , de la brigade deLocminé, fai
saient une battue au hameau de Kervelin, commune
de Saint-Alouestre, lorsque, vers midi, s’étant appro
chés de la maison d’un sieur Codai, une douzaine
d'individus, soupçonnés d’être réfractaires, sont sor
tis tout-à-coup de la maison, et ont fait feu sur les
gendarmes avec des pistolets doubles dont ils étaient
armés. Ceux-ci ont riposté, et le gendarme Laurent
a tué un des malfaiteurs, qui est allé tombé dans un
champ, à 300 pas environ du lieu où il a reçu le coup
de feu.
« Aucun des gendarmes n’a été blessé dans celle
rencontre. Le gendarme Laurent est celui qui avait
été blessé, le 23 novembre 1841, au hameau deKéri-
don, en la commune de Plumelin, lors de l’arrestation
du réfractaire Alise.
« Le cadavre du malfaiteur tué à Kervelin a été
transporté à Locminé, où il n’a pas encore été re
connu. Un grand nombre de projectiles, delà poudre,
une tabatière pleine de capsules ont été trouvés sur
lui. Ses camarades, en fuyant, se sont emparés de son
pistolet. Deux artilleurs du 2 e régiment, se rendant
en congé dans leurs foyers, ont été requis par les trois
gendarmes de leur prêter assistance pour là garde du
cadavre en cas de nouvelle attaque. On est à la pour
suite des autres brigands.
« Joseph Le Gouestre, déserteur du 19 e de ligne de-
puis le 6 mars 1839, a été arrêté le 22 décembre par
la brigade d’Aven. Il a déclaré que depuis sa déser
tion il avait vécu des largesses d'aut 1 ui enatteiidant l'ar
rivée d’Henri V. Il a fait partie de la bande qui a en
levé le réfractaire Pasco des mains de la gendarmerie
deMuzillacle 28 novembre 18%1.
« C’est le 28 e réfractaire ou déserteur arrêté par
les soins du brigadier Dolter, d'Aven. Une autre ban
de de’six individus, armés de fusils, ayant aperçu, le
21 décembre, deux gendarmes de l’autre côté delà
rivière de Saint-Allouestre, sur la lande de Keranfroy,
les injurièrent et leur tirèrent deux coups de fusil dont
les balles vinrent siffler aux oreilles de ces agens delà
force publique; ceux-ci cherchèrent aussitôt un gué
pour se mettre à leur poursuite, mais ils n’ont pu les
atteindre.
« La brigade de gendarmerie de Pontiyy a arrêté,
le 17 de ce mois, François Le Moing, né à Neuillac
(Morbihan), déserteur du H*régiment de ligne.
«P. S. L’individu tué le 20 a Kervelin, estle nom
mé Colamban Gillet, de Saint-Alloucstre, réfractaire
de la classe de 1839. »
Les nouvelles de Madrid sont du 20 décembre. Ce
jour-là, la députation chargée de présenter à la Reine
le message du congrès s'est rendue au palais, et M.
Martinez de la Rosa, qui portait la parole au nom de
la chambre, s’est exprimé en ces termes :
« Madame,
« Le Congrès des députés nous a confié l’honorable
mission de manifester à Votre Majesté ses sentimens de
respect et de dévouement au sujet delà communication
que lui a faite, par votre ordre royal, le secrétaire
d’Etat des affaires étrangères, du procès-verbal rela
tant les déplorables événemens arrivés au palais royal
dans la soirée du 28 novembre dernier.
« Le Congrès des députés, en exprimant à Votre Ma
jesté cessentimens, n’est que l’interprète fidèle de ceux
qui animent la nation entière, chaque jour plus décidée
à veiller incessamment à la défense du trône constitu
tionnel et de la sainte personne de Votre Majesté. »
La Reine a répondu :
« Je reçois avec gratitude l’expression des sentimens
« de respect et de dévouement que me manifeste le Con-
« grès des députés au sujet des événemens récens et
« déplorables. Je compte sur sa coopération patriotique
« pour maintenir intacte la dignité du trône, confor-
« mément à la Constitution que nous avons jurée; et
« de leur côté, les cortès peuvent compter sur moi pour
« conserver dans toute son intégrité le dépôt des lois et
a des institutions nationales. »
Les bruits de changemens ministériels qui cou
raient depuis plusieurs jours n’ont pris aucune appa
rence d’exactitude. La majorité modérée de la cham-
hre vient de s’augmenter par l’accession de neuf nou
veaux députés de la Catalogne, et six de la Corogne.
M. le duc de Rivas est, dit-on, nommé à l’ambassa
de de Naples.
La nouvelle de la fuite de M. Olozaga en Portugal
paraît se confirmer. On lit dans le Castellano de Ma
drid du 20 décembre :
« Il est certain maintenant queM. Olozaga s’est en
fui de Madrid, et s’est dirigé Vers le Portugal escorté
par quelques contrebandiers et parle fils d’un alcade
de cette ville. Outre la lettre de Talavera, que nous
avons insérée hier, et qui assurait ce fait, nous avons
vu dans Heraldo et le Posdala d’autres lettres qui vien
nent à l’appui de ce que nous a écrit notre corres
pondant. Ce fait de la fuite de M. Olozaga nous don
ne la mesure delà bonne foi des personnes qui sou
tiennent ce personnage, et du fondement que l’on
peut faire sur les accusations qu’ils dirigent contre
les amis du trône constitutionnel.
« Lorsque M. Olozaga était déjà parti de Madrid,
ce qu'ils savaient sans doute, ils faisaient courir le
bruit que le'x-ministre avait été menacé de mort, que
quelques officiers de l’armée avaient voulu l’assassi
ner, comme si nos militaires étaient dos assassins ; on
ne s’arrêtait pas là : un député déclamait à la tribune
contre l’attentat supposé ! C’est ainsi que les partis se
conduisent à notre époque, c’est là leur bonne foi ! »
Voici l’âge qu’auront les souverains de l'Europe
au premier janvier 1814 :
Le roi de Suède, 80 ans. — Le pape, 78 ans. — Le
roi des Français, 70 ans. — Leroi de Wurtemberg,
62 ans.
Le roi de Bavière, 57 ans. — Le roi de Danemarck,
57 ans. — Le roi de Sardaigne, 55 ans. — Le roi des
Belges, 51 ans. — Le roi de Prusse, 50 ans.
L’empereur de Russie, 47 ans. —- Leroi de Saxe,
46 ans. —Le roi de Naples, 31 ans.
Leroi des Grecs, 28 ans.— La reine de Portugal,
25 ans. — La reine d’Angleterre, 24 ans. — Le sultan,
20 ans. —Enfin, Isabelle d’Espagne, 13 ans.
ÉTRENNES.
A l’approche de la nouvelle année, nous recomman
derons à ceux de nos lecteurs qui veulent donner des
étrenucs délicates et exquises, les CHOCOLATS prali*
nés de h maison Duthu-Tixerant, rue Musette, 25.
Ces délicieux bonbons, fabriqués spécialement avec
les meilleurs cacaos de Soconusco et de Caracas, ne
laissent rien à désirer parla finesse et la fraîcheur de
leur arôme.
Celle maison vient aussi de préparer un nouveau
bonbon, le chocolat soufflé, dont la saveur fraiche et
exquise sera appréciée des gourmets.
D’élégans cartonnages, des dragées assorties, des
papillotles à tous prix et de toutes qualités, des choco
lats en bâton , aux pistaches, en pastilles et en ta
blettes avec de charmantes enveloppes dorées, appel
leront, nous n’en doutons pas, dans celle maison,
de nombreux acheteurs.
BOURSE DU 28 DÉCEMBRE 1843.
5°; 123 70 . » »
1°. 104 50 » »
81 90 82 y
ANNONCES.
Etzite de 33. BIALTESTE. notaire li Dljon.
RTE DES BONS-ENFANS, ^ 0 7.
UN DOMAINE,
Situé à Léry,
Composé d’une grande maison et dépendances, et
d’environ 36 hectares de terres labourables et près,
à vendre en détail, audit lieu, en la demeure du sieur
Pierre Bret, aubergiste, le dimanche 31 décembre
1813, parle ministère de M. Maltesté, notaire a
Dijon.
On aura des facilités pour les paiemens.
S’adresser, pour tous renseignemens, audit notaire.
Elude ie 52. PETIT EAN, notaire a Dijon.
RUE JEHANNIN, N°S 9 ET I I.
NIOBILIER
A VENDRE APRÈS DÉCÈS,
A PLOMBIÈRES-LÈS-DIJON ,
Au domicile du sieur Philibert Rerthend, par le minis
tère de M. PETITJEAN, notaire à Dijon, le di-
manche 31 décembre 1813, heure de onze du malin }
et jours suivans.
Ce mobilier consiste en batterie de cuisine, une pé-
trissoire, deux armoires, plusieurs tables, chaises ;
linge de table el de corps , deux douzaines de draps ,
cinq kilogrammes de fil ; matelas, lits de plume, bois
délits; benatons, plusieurs tonneaux et feuillettes
vides ; vin rouge, récolle 1843, pommes de terre, foin,
paille, etc., etc.
Il sera accordé terme pour le paiement aux per
sonnes solvables.
Aüme Etude.
A VENDRE,
UNE MAISON,
Sise à Dijon, rue Saumaise, n° 55, avec cour, jar-
din, écurie, petite cour, buanderie, bûcher, et toutes
aisances et dépendances.
S’adresser, pour traiter, audit notaire PETITJEAN.
Ésude de M. VERROLLOT. notaire si Dijon.
RUE CMABOT-CHARNI, 26, SUCCESSEUR DE M. GA ILOT.
DIX MILLE FRANCS, à placer à fonds perda, et
plusieurs SOMMES de 500, 1,000, 2,000, 3,000,
4,000, 5,000, 10,000, 20,000, 30,000 fr. et au-dessus
à placer sur hypothèques.
S’adresser, pour le Rmt, soit à M. VERROLLOT, no-
iaire, soit à M. Gaulot, son prédécessur.
Etude de 31. FAHVHE . notaire & 3*oii ta H le r
sur’-Sadne.
BEAU DOMAINE,
Situé à Triey, canton dcPonlaiHcr-sur-Saône;
A AFFERMER,
Pour neuf années, qui commenceront par les prés et
les sombres de 1844.
Ce domaine se compose de vastes bâtimens d’habita
tion et d’exploitation, jardin, vergers, et dépendait-
5sr2
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On lit dans le Messager :
« Le Net'onal revient, ce malin, sur une préten
due intervention de M. l’archevêque de Paris, au
sujet de l’inauguration du monument de Molière. Si
nous n’avions pas déjà démenti de pareils bruits,
c’est qu’on ne pouvait supposer que la crédulité ou la
malveillance de certains journaux pût aller si loin.
S'il faut un démenti, nous le donnons de la manière
la plus formelle.
« De ce qu'une cérémonie d’inauguration, dont les
difficultés pratiques d’exécution sont reconnues par
tous les gens sensés, et que du reste l’autorité n’a pas
un instant songé à interdire, n’a pas eu lieu, il ne
faut pas en conclure que la gloire de Molière doive
en souffrir, ou qu’elle soit dédaignée par le gouver
nement. Nest-ce pas, d’ailleurs . le ministre de Finté-
rieur actuel qui a présenté aux Chambres le projet de
loi pour contribuer à l’érection de ce monument? »
— On lit dans le Messager :
« L’article relatif à l'administration des tabacs, qui
a été publié dans le Moniteur Parisien du 25 décem
bre, et qui a été répété par d’autres journaux, n’a au
cun fondement. Les produits de la vente des tabacs,
loin de diminuer, continuent de s’accroître, et l’admi-
nistration n’a jamais eu la pensee de revenir sur la
mesure quelle a cru devoir adopter. »
— Le gérant du Patriote de Saône-et-Loire, cité de
vant le tribunal de police correctionnelle de Chalon
pour avoir rendu compte d’une affaire plaidéeà huis-
clos avait été renvoyé de la plainte. Sur l’appel du
ministère public, la cause a été portée devant la cour
"royale de Dijon, qui, le 20 du courant, a condamné
le prévenu à 2,000 fr. d’amende.
— M. Barginet, de Grenoble, rédacteur du Journal
du Commerce de Lyon, vient de mourir subitement,
pendant qu’on le rasait: les secours de la médecine
ont été inutiles. Depuis quelque temps, sa santé était
très-altérée, et il parait avoir succombé à un ané
vrisme. M. Barginet fut le secrétaire de Didier, dont
la conspiration fit tant de bruit en 1816, et qui porta
sa tête sur l’échafaud. Après la révolution de 1830, il
reçut la croix de la Légion-d Honneur, maison l’in-
céra plus tard, comme prévenu d’avoir fait partie
d’un complot napoléonien. M. Barginet emporte dans
la tombe le secret de la conspiration de Grenoble.
— On lit dans la Gazette des Tribunaux :
« On écrit de Vannes (Morbihan), le 23 décembre :
« Les démonstrations de Belgra ve-square portent
déjà leurs fruits dans le Morbihan ; et, tandis qùe la
noblesse de France , comme l'appelle la presse légiti
miste, fait pèlerinage à Londres, elle ne soupçonne
pas sans doute que ses démarches et ses protestations
peuvent se manifester dans nos contrées par le meur
tre et l’assassinat.
« Plusieurs réfractaires avaient annoncé qu’ils fe-
raient leur soumission, et le jour en avait même été
fixé par eux ; mais depuis, ils ont fait savoir qu'ils ne
se soumettraient pas, annonçant que le gouvernement
allait changer, et que Henri V allait être proclamé
roi de France. Déjà ils se sont signalés par plusieurs
actes de résistance contre la force publique.
« Une rencontre a eu lieu le 16 de ce mois, à deux
heures et demie du matin, dans le bois de Rohabon,
prèsd’Hennebont, entre la brigade de cette résidence
et une bande de cinq à six individus présumés être
des réfractaires. Les malfaiteurs, embusqués dans le
bois, ont fait feu sur les gendarmes qui faisaient une
battue ; le maréchal-des-logis Louis , qui marchait à
leur tête, a eu dans celle décharge son chapeau percé
de plusieurs balles. Ce brave sous-officier s’est préci
pité sur ces brigands, et est parvenu à en saisir un ;
mais, en abandonnant sa veste, celui-ci s’est débar
rassé et lui a échappé, après toutefois l'a voir couché
enjoué, à bout portant, avec un pistolet qui fort heu
reusement a raté.
« L’obscurité et les embarras du terrain, couvert de
broussailles, de talus et de fossés, ont permis à ces
individus, qui se sont débandés dans toutes les direc
tions, d’échapper facilement aux poursuites des gen
darmes. Ils ont abandonné sur le terrain deux fusils,
des cartouches, un drapeau blanc portant ces mots :
Vive Henri V.' deux chapeaux et une paire de sou
liers. L’un d’eux paraît avoir été blessé par les coups
de feu des gendarmes, ripostant à leur attaque, car
on a remarqué des traces de sang h* long du bois, de
puis le lieu de la scène jusqu’à la grande route.
« Avertie de cet événement, la brigade de gendar
merie de Lorient a fait immédiatement des fouilles
dans les environs d’Hennebont et de Languidic, mais
sans pouvoir trouver les traces des brigands.
« Le maréchal des-logis Louis , qui a montré beau
coup de sang-froid dans cette circonstance, ne cesse
d’être jour et nuit à la poursuite des réfractaires; c’est
lui qui, il y a quelques mois, a opéré l’arrestation
d’un forçat et d’un réfractaire, pris encore les armes à
la main; le gouvernement récompensera sans doute
les services rendus à la sécurité publique parce brave
sous-officier, exposé à tant de dangers dans l’exercice
de ses pénibles fonctions.
« De nouveaux renseignemens sur l’allaque du bois
de Rohabon ont appris qu’un cultivateur de Merleve-
nez, revenant de Port-Louis, avait été arrêté le 14 de-
ce mois à 2 kilomètres de Nostang, près du bois de
sapins, par une bande de quinze à seize individus
qu'il n’a pas reconnus pour être du pays; il ne leur a
pas vu d’armes. On lui a demandé où il allait et d'où
saxltsestnine
il venait ; et, après qu'il eut répondu à ces questions,
celui qui paraissait être le chef a ordonné de le laisser
aller. Il s’est aussitôt empressé de s’éloigner, et les a
perdus de vue.
« Le 16, peu de temps après l’attaque, il a été trou
vé, à 400 mètres environ du bois de Rohabon, un
mouchoir imprégné de sang , dans l’un des coins du
quel se trouvait de la poudre et une pierre à feu tou
te neuve.
« Le 20 décembre dernier, les gendarmes Laurent.
Fiquet et Précaut , de la brigade deLocminé, fai
saient une battue au hameau de Kervelin, commune
de Saint-Alouestre, lorsque, vers midi, s’étant appro
chés de la maison d’un sieur Codai, une douzaine
d'individus, soupçonnés d’être réfractaires, sont sor
tis tout-à-coup de la maison, et ont fait feu sur les
gendarmes avec des pistolets doubles dont ils étaient
armés. Ceux-ci ont riposté, et le gendarme Laurent
a tué un des malfaiteurs, qui est allé tombé dans un
champ, à 300 pas environ du lieu où il a reçu le coup
de feu.
« Aucun des gendarmes n’a été blessé dans celle
rencontre. Le gendarme Laurent est celui qui avait
été blessé, le 23 novembre 1841, au hameau deKéri-
don, en la commune de Plumelin, lors de l’arrestation
du réfractaire Alise.
« Le cadavre du malfaiteur tué à Kervelin a été
transporté à Locminé, où il n’a pas encore été re
connu. Un grand nombre de projectiles, delà poudre,
une tabatière pleine de capsules ont été trouvés sur
lui. Ses camarades, en fuyant, se sont emparés de son
pistolet. Deux artilleurs du 2 e régiment, se rendant
en congé dans leurs foyers, ont été requis par les trois
gendarmes de leur prêter assistance pour là garde du
cadavre en cas de nouvelle attaque. On est à la pour
suite des autres brigands.
« Joseph Le Gouestre, déserteur du 19 e de ligne de-
puis le 6 mars 1839, a été arrêté le 22 décembre par
la brigade d’Aven. Il a déclaré que depuis sa déser
tion il avait vécu des largesses d'aut 1 ui enatteiidant l'ar
rivée d’Henri V. Il a fait partie de la bande qui a en
levé le réfractaire Pasco des mains de la gendarmerie
deMuzillacle 28 novembre 18%1.
« C’est le 28 e réfractaire ou déserteur arrêté par
les soins du brigadier Dolter, d'Aven. Une autre ban
de de’six individus, armés de fusils, ayant aperçu, le
21 décembre, deux gendarmes de l’autre côté delà
rivière de Saint-Allouestre, sur la lande de Keranfroy,
les injurièrent et leur tirèrent deux coups de fusil dont
les balles vinrent siffler aux oreilles de ces agens delà
force publique; ceux-ci cherchèrent aussitôt un gué
pour se mettre à leur poursuite, mais ils n’ont pu les
atteindre.
« La brigade de gendarmerie de Pontiyy a arrêté,
le 17 de ce mois, François Le Moing, né à Neuillac
(Morbihan), déserteur du H*régiment de ligne.
«P. S. L’individu tué le 20 a Kervelin, estle nom
mé Colamban Gillet, de Saint-Alloucstre, réfractaire
de la classe de 1839. »
Les nouvelles de Madrid sont du 20 décembre. Ce
jour-là, la députation chargée de présenter à la Reine
le message du congrès s'est rendue au palais, et M.
Martinez de la Rosa, qui portait la parole au nom de
la chambre, s’est exprimé en ces termes :
« Madame,
« Le Congrès des députés nous a confié l’honorable
mission de manifester à Votre Majesté ses sentimens de
respect et de dévouement au sujet delà communication
que lui a faite, par votre ordre royal, le secrétaire
d’Etat des affaires étrangères, du procès-verbal rela
tant les déplorables événemens arrivés au palais royal
dans la soirée du 28 novembre dernier.
« Le Congrès des députés, en exprimant à Votre Ma
jesté cessentimens, n’est que l’interprète fidèle de ceux
qui animent la nation entière, chaque jour plus décidée
à veiller incessamment à la défense du trône constitu
tionnel et de la sainte personne de Votre Majesté. »
La Reine a répondu :
« Je reçois avec gratitude l’expression des sentimens
« de respect et de dévouement que me manifeste le Con-
« grès des députés au sujet des événemens récens et
« déplorables. Je compte sur sa coopération patriotique
« pour maintenir intacte la dignité du trône, confor-
« mément à la Constitution que nous avons jurée; et
« de leur côté, les cortès peuvent compter sur moi pour
« conserver dans toute son intégrité le dépôt des lois et
a des institutions nationales. »
Les bruits de changemens ministériels qui cou
raient depuis plusieurs jours n’ont pris aucune appa
rence d’exactitude. La majorité modérée de la cham-
hre vient de s’augmenter par l’accession de neuf nou
veaux députés de la Catalogne, et six de la Corogne.
M. le duc de Rivas est, dit-on, nommé à l’ambassa
de de Naples.
La nouvelle de la fuite de M. Olozaga en Portugal
paraît se confirmer. On lit dans le Castellano de Ma
drid du 20 décembre :
« Il est certain maintenant queM. Olozaga s’est en
fui de Madrid, et s’est dirigé Vers le Portugal escorté
par quelques contrebandiers et parle fils d’un alcade
de cette ville. Outre la lettre de Talavera, que nous
avons insérée hier, et qui assurait ce fait, nous avons
vu dans Heraldo et le Posdala d’autres lettres qui vien
nent à l’appui de ce que nous a écrit notre corres
pondant. Ce fait de la fuite de M. Olozaga nous don
ne la mesure delà bonne foi des personnes qui sou
tiennent ce personnage, et du fondement que l’on
peut faire sur les accusations qu’ils dirigent contre
les amis du trône constitutionnel.
« Lorsque M. Olozaga était déjà parti de Madrid,
ce qu'ils savaient sans doute, ils faisaient courir le
bruit que le'x-ministre avait été menacé de mort, que
quelques officiers de l’armée avaient voulu l’assassi
ner, comme si nos militaires étaient dos assassins ; on
ne s’arrêtait pas là : un député déclamait à la tribune
contre l’attentat supposé ! C’est ainsi que les partis se
conduisent à notre époque, c’est là leur bonne foi ! »
Voici l’âge qu’auront les souverains de l'Europe
au premier janvier 1814 :
Le roi de Suède, 80 ans. — Le pape, 78 ans. — Le
roi des Français, 70 ans. — Leroi de Wurtemberg,
62 ans.
Le roi de Bavière, 57 ans. — Le roi de Danemarck,
57 ans. — Le roi de Sardaigne, 55 ans. — Le roi des
Belges, 51 ans. — Le roi de Prusse, 50 ans.
L’empereur de Russie, 47 ans. —- Leroi de Saxe,
46 ans. —Le roi de Naples, 31 ans.
Leroi des Grecs, 28 ans.— La reine de Portugal,
25 ans. — La reine d’Angleterre, 24 ans. — Le sultan,
20 ans. —Enfin, Isabelle d’Espagne, 13 ans.
ÉTRENNES.
A l’approche de la nouvelle année, nous recomman
derons à ceux de nos lecteurs qui veulent donner des
étrenucs délicates et exquises, les CHOCOLATS prali*
nés de h maison Duthu-Tixerant, rue Musette, 25.
Ces délicieux bonbons, fabriqués spécialement avec
les meilleurs cacaos de Soconusco et de Caracas, ne
laissent rien à désirer parla finesse et la fraîcheur de
leur arôme.
Celle maison vient aussi de préparer un nouveau
bonbon, le chocolat soufflé, dont la saveur fraiche et
exquise sera appréciée des gourmets.
D’élégans cartonnages, des dragées assorties, des
papillotles à tous prix et de toutes qualités, des choco
lats en bâton , aux pistaches, en pastilles et en ta
blettes avec de charmantes enveloppes dorées, appel
leront, nous n’en doutons pas, dans celle maison,
de nombreux acheteurs.
BOURSE DU 28 DÉCEMBRE 1843.
5°; 123 70 . » »
1°. 104 50 » »
81 90 82 y
ANNONCES.
Etzite de 33. BIALTESTE. notaire li Dljon.
RTE DES BONS-ENFANS, ^ 0 7.
UN DOMAINE,
Situé à Léry,
Composé d’une grande maison et dépendances, et
d’environ 36 hectares de terres labourables et près,
à vendre en détail, audit lieu, en la demeure du sieur
Pierre Bret, aubergiste, le dimanche 31 décembre
1813, parle ministère de M. Maltesté, notaire a
Dijon.
On aura des facilités pour les paiemens.
S’adresser, pour tous renseignemens, audit notaire.
Elude ie 52. PETIT EAN, notaire a Dijon.
RUE JEHANNIN, N°S 9 ET I I.
NIOBILIER
A VENDRE APRÈS DÉCÈS,
A PLOMBIÈRES-LÈS-DIJON ,
Au domicile du sieur Philibert Rerthend, par le minis
tère de M. PETITJEAN, notaire à Dijon, le di-
manche 31 décembre 1813, heure de onze du malin }
et jours suivans.
Ce mobilier consiste en batterie de cuisine, une pé-
trissoire, deux armoires, plusieurs tables, chaises ;
linge de table el de corps , deux douzaines de draps ,
cinq kilogrammes de fil ; matelas, lits de plume, bois
délits; benatons, plusieurs tonneaux et feuillettes
vides ; vin rouge, récolle 1843, pommes de terre, foin,
paille, etc., etc.
Il sera accordé terme pour le paiement aux per
sonnes solvables.
Aüme Etude.
A VENDRE,
UNE MAISON,
Sise à Dijon, rue Saumaise, n° 55, avec cour, jar-
din, écurie, petite cour, buanderie, bûcher, et toutes
aisances et dépendances.
S’adresser, pour traiter, audit notaire PETITJEAN.
Ésude de M. VERROLLOT. notaire si Dijon.
RUE CMABOT-CHARNI, 26, SUCCESSEUR DE M. GA ILOT.
DIX MILLE FRANCS, à placer à fonds perda, et
plusieurs SOMMES de 500, 1,000, 2,000, 3,000,
4,000, 5,000, 10,000, 20,000, 30,000 fr. et au-dessus
à placer sur hypothèques.
S’adresser, pour le Rmt, soit à M. VERROLLOT, no-
iaire, soit à M. Gaulot, son prédécessur.
Etude de 31. FAHVHE . notaire & 3*oii ta H le r
sur’-Sadne.
BEAU DOMAINE,
Situé à Triey, canton dcPonlaiHcr-sur-Saône;
A AFFERMER,
Pour neuf années, qui commenceront par les prés et
les sombres de 1844.
Ce domaine se compose de vastes bâtimens d’habita
tion et d’exploitation, jardin, vergers, et dépendait-
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