Titre : Les Échos
Éditeur : Les Échos (Paris)
Date d'édition : 1932-02-08
Contributeur : Servan-Schreiber, Robert (1880-1966). Fondateur de la publication
Contributeur : Servan-Schreiber, Émile (1888-1967). Fondateur de la publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34352384n
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 08 février 1932 08 février 1932
Description : 1932/02/08 (A5,N842)- (A5,N1). 1932/02/08 (A5,N842)- (A5,N1).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t51080160
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, GR FOL-LC2-6878
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 28/11/2021
LUNDI 8 FEVRIER 1932 ================= ' ============== LES ÉCHOS
dégrèvement susceptible d’interve-
nir ne devrait plus Lire fonction
de la situation de fortune du pa
tenté, mais uniquement de la di
minution des opérations imputable
à la crise. Aussi, le commerce d’ex-
portation est pratiquement inexis
tant à l’heure actuelle, par suite
de la fermeture presque générale
des frontières des pays qui comp
taient parmi nos meilleurs clients;
il s’agit là, à notre avis, d’une cir
constance exceptionnelle qui doit
justifier, en considérant unique
ment la diminution du chiffre d’af
faires et abstraction faite de la
faculté de paiement des intéressés,
une réduction des droits de pa
tente réclamés à cette catégorie de
contribuables.
Notre législation fiscale fournit,
d’ailleurs, des précédents à une
mesure de cette nature.
.L’impôt foncier non bâti est éga-
lement établi sur un revenu for
faitaire qui n’est pas susceptible
d’être modifié, en dehors des révi
sions effectuées en principe tous
les 20 ans, pour tenir compte des
variations de la productivité des
terrains.
Néanmoins, l’article 37 de la loi
du 15 septembre 1807 prévoit que
les propriétaires qui, « par des grê
les, gelées, inondations ou autres
intempéries perdraient la totalité
d’une partie de leur revenu », pour
ront obtenir la remise totale ou
partielle de l’impôt foncier afférent
aux terres sinistrées, quelle que
soit d’ailleurs leur situation de for
tune. La crise actuelle, étant don
né son acuité et sa durée, constitue
bien un événement au moins aussi
exceptionnel que la grêle ou la
gelée.
Pourquoi, dès lors, ne pas trans-,
poser dans la législation relative
à la patente les mesures prévues
en matière d’impôt foncier ?
La parole est au Parlement.
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Le contingentement
des appareils d’optique
in formations diverse s
rx==rosmscseesmanssn
PARIS y
La Po logne dél ivrera les
autorisations d’importatio n
en France des marchandi-
ses contingentées
Des accords viennent d’être con
clus avec le Gouvernement polo
nais aux termes desquels l’impor
tation en France des viandes fraî
ches et réfrigérées de mouton, de
porc, de bœuf, etc., ainsi que celle
des œufs, ne pourra avoir fieu
qu’au vu d’un certificat de contin
gentement délivré par le ministère
polonais de l’Industrie et du Com
merce.
Fernand Jacopozzi +
Nous avons appris avec regret la
mort de M. Fernand Jacopozzi, ingé
nieur électricien, commandeur de la
Légion d’honneur. On sait que le dé
funt avait acquis une grande noto
riété comme illuminateur et qu’on
lui doit la rénovation de l’éclairage
des rues et monuments publics. C’est
grâce à lui que la physionomie noc
turne de Paris a été entièrement mo
difiée ces derniers temps. Chaque
année, en décembre, les grands ma
gasins avaient l’habitude de faire
appel à son concours pour la décora
tion lumineuse de leur façade pen
dant les fêtes de Noël et du Jour
de l’An.
FRANCE
Reprise du travail aux
« Chantiers de Penhoët »
A la suite de l’entrevue qui a eu
lieu samedi entre le ministre de la
Marine marchande et la déléga
tion conduite par le député-maire
de Saint-Nazaire, il a été décidé
que tous les ouvriers qui avaient
été congédiés aux Chantiers de
Penhoët seront réembauchés au
jourd’hui lundi.
ETRANGER
Le marché des devises est
La Hollande contingente les
importations de vêtements
et chaussures
Le Gouvernement néerlandais
vient de publier un décret contin
gentant les importations de diver
ses catégories de vêtements et de
chaussures ainsi qu’il suit :
Confections : 100 % de la moyen
ne des importations de 1929 et
1930.
Chaussures en cuir : 50 % de la
moyenne des importations calculée
sur 3 mois des années 1928, 1929
et 1930.
Chaussures non entièrement
en cuir : 75 % de la moyenne des
importations calculée sur les mê
mes bases.
Laines et confections en caout
chouc : 62,50 % et 50 % de la
moyenne des importations de 1928,
1929 et 1930.
Le contrôle des importations
en Italie
La Gazette officielle a publié un
décret-loi aux termes duquel le
Gouvernement a la faculté de ré
glementer l’importation des pro
duits provenant de certains pays.
L’entrée en Italie des produits
originaires ou provenant des pays
qui ont établi un contrôle des de
vises pourra être subordonnée à
certaines conditions destinées à
sauvegarder les intérêts des expor
tateurs italiens vis-à-vis de ces
mêmes pays.
Des sanctions seront prises con
tre les délinquants. Elles pourront
consister dans le versement au
Trésor d’une somme ne dépassant
pas le montant des devises ayant
échappé au contrôle prévu et dans
la suspension temporaire des opé
rations de change.
Un projet de réforme moné
taire en Belgique
marché s
LES TENDANCES
MARCHE DES COTONS
ac
(Suite de la première page)
Les amateurs français, qui sont
juges de leurs intérêts, ont acheté,
en 1929, 901 quintaux d’appareils
venant du dehors ; en 1930, l’im
portation a atteint 1.543 quintaux ;
en 1931, 1.879 quintaux. Certes, il
y a pas mal de ces articles qui
ont été introduits par les Alle
mands en stocks et en prévision
d’une baisse du mark, car la France
est un marché important.
Mais une grande quantité de ces
appareils sont finis chez nous et
des milliers d’ouvriers français vi
vent ainsi sur une industrie com
plémentaire.
Le contingentement aura pour
résultat d'étouffer une industrie et
un commerce prospères, d’amener
le congédiement de centaines d’em
ployés et d’ouvriers spécialistes.
L’Etat français serait la première
victime d’un conflit douanier avec
les nations intéressées. Il perdrait
le bénéfice des taxes et des impôts
que payent les entreprises qui vont
être frappées. Et une des belles
exportations qui, chez nous, demeu
rent prospères, celles des jumelles
prismatiques, serait l'objet de cruel
les représailles.
Nous espérons qu’au ministère
du Commerce on y regardera à
deux fois !
libre en Finlande
La
couverture métallique du
Une surtaxe de change
appliquée au Japon ?
M. Ernest Outrey, député, et plu
sieurs de ses collègues ont déposé
une proposition de résolution in
vitant le Gouvernement à ne pas
ser aucune convention commerciale
avec le Japon avant l’application
d'une surtaxe complémentaire de
change aux produits japonais im
portés en France et en Indochine.
De son côté, la Commission des
Colonies de la Chambre a délibéré
dans le même sens. Son président
a signalé la situation de l'Indo
chine, dont le commerce et l’indus-
trie sont particulièrement défavo
risés par la dépréciation de la mon
naie japonaise. Le yen, dont la pa
rité-or est de 12 fr. 72, ne vaut
plus aujourd’hui que 9 fr. 25 ; il
a donc subi une dévalorisation de
30 % environ.
La Commission des Douanes de
la Chambre a été saisie de la ques
tion.
p etites nouvelles
* 1 mnusee wareenesesewreenssa5$7
— Le premier numéro des Echos
de la Route et de la Table vient de
paraître. Cette revue mensuelle èst
Le décret finlandais du 5 octobre
dernier, qui réglementait le com
merce des devises jusqu’au 31 dé
cembre, n’a pas été prorogé. Depuis
le 1 er janvier, il n’y a donc plus
d’entraves à la liberté des devises
en Finlande.
Dans ces conditions, le régime de
compensation des créances et des
dettes françaises, actuellement en
préparation en France, ne saurait
être applicable à ce pays.
franc belge est, d’après le dernier
rapport de la Banque nationale,
de 13 milliards de francs, soit 65 %
de la circulation, alors que le mi
nimum légal est de 30 %, auquel
doit s’ajouter une couverture en
devises de 10 %. Le ministre des
Finances a demandé que la loi
monétaire soit modifiée et que le
minimum légal soit fixé à 40 %
en or, ce métal constituant, dit-il,
la base normale de toute monnaie
saine.
parions finances
Renchérissement du taux de l’argent à long terme
L’émission, actuellement en
cours, des obligations des P. T. T.
permet de sonder l’état du marché
français des capitaux et, aussi,
d'apprécier les dispositions du pu
blic des épargnants. D’après les
renseignements qui parviennent
des banques qui sont chargées de
placer ces titres, on ne constaterait
pas de la part des souscripteurs
un bien vif empressement, sans
que, toutefois, l’opération puisse
être considérée comme un insuc
cès probable. Le taux nominal d’in
térêt 4 1/2 % n’est pas jugé très
rémunérateur, même eu égard au
crédit de premier ordre de l’orga
nisme emprunteur.
D’ailleurs, les tendances du mar
ché des rentes et des obligations
ont été nettement orientées, ces
derniers mois, vers un renchéris
sement du loyer de l’argent. Sans
doute, et ce phénomène a été com
mun à tous les pays, les taux d’in
térêt pour les placements à long-
terme n’ont pas baissé, à beaucoup
près, dans la même proportion que
les taux en vigueur pour les pla
cements à vue ou à courte échéan
ce. Un écart très important s’est
toujours maintenu entre les cour
bes respectives de la rémunération
moyenne allouée à l’une et à l’au
tre catégorie d’emplois de fonds.
Mais le marché français était, pour
les emprunteurs, l’un des plus
avantageux du monde, surtout si
on fait entrer en ligne de compte
la fiscalité qui frappe non seule
ment les émissions à leur origine,
mais aussi le revenu des titres pla
cés dans le public. Depuis l’été
dernier, malgré l’abondance consi
dérable des disponibilités liqui
des, le marché français des capi
taux se tend visiblement et le
loyer courant de l’argent, pour les
obligations et les emprunts, se rap-
proche sensiblement de 5 %.
destinée à la propagande du tou- proche sensiblement de 5 %.
risme et de la gastronomie dans la I Cette évolution a d’ailleurs été
région parisienne.
indiquée et confirmée par les fluc-
tuations de cours des fonds publics
français. Le taux de capitalisation
de la rente 4 % 1918, qui peut ser
vir de baromètre, est aujourd’hui
voisin de 4,25 contre moins de 4 %
au début du semestre. Faut-il voir,
dans cette réserve relative du pu
blic capitaliste et des épargnants,
autre chose que le souci de tirer
un revenu substantiel des réserves
économisées ? Faut-il y chercher
la trace d'une inquiétude moné
taire? Nous ne le pensons pas. Il
faut peut-être y découvrir le symp
tôme d’un certain engorgement du
marché des obligations.
Pendant la 2 e partie de 1929, pen
dant toute l’année 1930 et les pre
miers mois de 1931, il a été émis,
sur le marché intérieur français,
d’énormes quantités d’obligations
qui, nous l’avons souligné plu
sieurs fois, n’étaient pas d’une qua
lité également irréprochable. Trop
de sociétés ont voulu exploiter la
désaffection du public pour les ac
tions et les valeurs à revenu va
riable et exploiter son engouement
pour les obligations. Le marché est,
aujourd’hui, quelque peu essoufflé.
De surcroît, le Gouvernement ne
s’est pas résolu à opérer la conver
sion des rentes au printemps der
nier et le crédit public, dont le
coût pouvait être abaissé, étant de
meuré cher, il est normal que le
prix des émissions pour le compte
de collectivités ou de sociétés soit
cher encore. Lorsque-viendra la
reprise des affaires, que tout le
monde espère prochaine, les be
soins de capitaux seront plus con
sidérables qu’aujourd’hui et les
taux d’intérêt renchériront encore.
Mais ce ne sera certainement pas
un obstacle au renouveau de l’ex-
pansion économique ; les périodes
de prospérité ont toujours été des
périodes d’argent plutôt cher ; tan
dis qu’en période de marasme et
de dépression, les taux d’intérêt
sont au plus L'as. — T.
Le Havre, 6 février. — Coton
américain. Prix en francs les 50 ki
los. Clôture (entre parenthèses clô
ture précédente) :
Fév. 220 (221) ; mars 221 (221) ;
avril 222 (222) ; mai 224 (225) ;
juin 224 (224) ; juill. 226 (226) ;
août 228 (228) ; sept. 230 (230) ;
oct. 231 (231) ; nov. 232 (232) ;
déc. 234 (233) ; janv. 235 (234).
Tendance calme.
Liverpool, 6 février. — Coton amé
ricain. Prix en cents par 1b (453
gr.). Clôture (entre parenthèses
cours précédents) :
Fév. 5,23 (5,26); mars 5,20 (5,23);
avril 5,19 (5,22) ; mai 5,19 (5,22) ;
juin 5,19 (5,22) ; juill. 5,20 (5,23) ;
août 5,21 (5,24) ; sept. 5,22 (5,25) ;
oct. 5,23 (5,26) ; nov. 5,25 (5 28) ;
déc. 5,29 (5,32) ; janv. 5,29 (5,32) ;
fév. 5,31 (5,34).
Cotons égyptiens. —- Sakellaridis:
Mars 7,12 (7,15) ; mai 7,30 (7,34) ;
juill. 7,47 (7,51) ; nov. 7,77 (7,81) ;
déc. 7,86 (7,90) ; janv. 7,86 (7,90).
Haute-Egypte. — Mars 6,24 (6,27);
mai 6,32 (6,35) ; juill. 6,41 (6,44) ;
nov. 6,58 (6,61) ; déc. 6,67 (6 70) ;
janv. 6,67 (6,70).
New-York, 6 février. — Coton Mid-
dling Upland. En cents par 1b (en
tre parenthèses clôture précédente) :
Ouverture : mars 6,60 (6,59) ; mai
6,78 (6,77) ; juill. 6,92 (id.) ; oct.
7,15 (id.) ; déc. 7,31 (7,31).
Clôture : mars 6,65 (6,59) ; mai
6,83 (6,77) ; juillet 6,99 (6,92) ; oct.
7,22 (7,15) ; déc. 7,38 (7,31).
La hausse notée ce jour est attri
buée aux achats de l’étranger pour
les mois rapprochés et surtout aux
demandes de New-Orléans. On pré
voit que les recettes de cotons at
teindront 225.000 balles durant la se
maine qui débute. Les exportations
américaines ont atteint cette se
maine 201.000 balles pour le Japon
et la Chine, 53.000 balles pour l’An
gleterre, 14.000 balles pour la France
et 82.000 balles pour le Continent.
Le stock à Bombay est de 462.000
balles contre 862.000 il y a un an.
O O
LA LAINE AU HAVRE
Le Havre, 6 février. — Marché à
terme de la laine, type Buenos-Aires.
Les 100 kilos : février à avril 500
(490).
Ô O
LA LAINE PEIGNEE A ANVERS
Anvers, 6 février. — Sur les mar
chés à terme de la laine peignée, on
a traité cette semaine 295.000
(605.000) Ibs et 36.000 (63.000) kilos.
Les prix terminent à 24 1/4-24 5/8
(24 1/4-24 3/4) en pence et 27,50-
27,75 (27,75-28,25) en francs belges.
Malgré la bonne tendance notée
aux ventes de Londres, on n’a pas
enregistré d’amélioration sur les
marchés à terme de la laine peignée
en raison de la situation industrielle
peu active en Belgique comme en
France. On signale que le Japon
voudrait acheter en Pologne des
quantités importantes de drap mili
taire.
O O
MARCHE DE LA SOIE
Lyon. — On cote le kilo : soies
grèges, Cévennes premier ordre
105-110 ; Italie extra 13/15, 112,50 ;
Syrie bon deuxième ordre, 110-115.
Filature Chine petit extra 9/11,
150-155 ; Canton Best n° 1 13/15,
100-102 ; Japon 1 1/2 13/15, 115-117.
Tendance ferme. Les stocks s’épui
sent sur les marchés de consomma
tion européens. A Yokohama, baisse
des prix de 5 à 6 0/0 pour les livrai
sons éloignées. On cote le titre
1 13/15 640-650 yens.
New-York, 6 février. — Bourse de
la soie. Clôture : grège Japon type
D, équivalant à Crack double extra
japonais (en dollars les 453 gr.) :
avril 1,75 (id.) ; juin 1,75 (1,77).
La consommation américaine de
soie en janvier a été de 58.800 bal
les, soit 10.000 balles de plus que la
moyenne mensuelle de 1931. Le
stock à New-York reste élevé à
62.900 balles au 1 er février.
O O
FERMETE DES PRIX DU LIN
Gand, 6 février. — Le lin brut con
tinue d’être orienté vers la hausse.
Par contre, la tendance des fils de
meure faible. On attribue la fermeté
du marché à la diminution progres
sive des offres de matière première
et la faiblesse des produits fabriqués
aux besoins de vendre de certains
filateurs.
O o
CAOUTCHOUC : RESISTANT
Paris, 6 février. — En Bourse du
Commerce, on a coté le kilo, crêpe
standard, en feuille fumée : février
2,75 V (2,70 P) ; mars 2,85 V
(2,80 A); 3 d’avril 2,95 V (2,90-3,15);
mai 3 V (2,95-3,20) ; 3 de juillet
3,25 V (3,15-3,40) ; août 3,25 V (3,15-
3,40) ; 3 d'octobre 3,35 V (3,35-3,45) ;
nov. 3,45 N (3,40 P).
Londres, 6 février. — Clôture. En
pence les 453 gr. Feuille fumée gau
frée disp. 2 13/16 (2 7/8) ; mars
2 13/16 (2 7/8) ; avril-juin 2 15/16
(3) ; juill.-sept. 3 1/16 (3 1/8) ; oct.-
déc. 3 3/16 (3 1/4) ; crêpe standard
3 1/4 (3 7/16).
On prévoit que les stocks anglais
auront augmenté cette semaine de
1.350 tonnés. La consommation mon
diale en 1931 a été d’environ 670.000
tonnes, contre 705.000
1930 et 790.000 tonnes en 192 »
diminution résulte du fléchis/ —es In
des achats des Etats-Unis ;\
des demandes faites par les,
nations consommatrices s'est
tenu à 320.000 tonnes enviro"
stocks mondiaux se sont ace —
130.000 tonnes et représenter, *.
tuellement la consommation‘e, laine
tonp_
annee.
O O
heteurs 4
LES PRIX DES PRODUre, etc. -
RESINEUX yon, reç
En produits résineux, l'essesions de
térébenthine reste très fermeP VAX
tive et l’écart entre les prix tendue K
cains et français s’accentue,', etc. Se
stocks des fabriques du Sud Simon, i
sont plus légers. A Savannahurs, boit
janvier, il y avait 23.431 baril. —
sence contre 26.639 au 12 jaw. —N—
218.898 barils de produits secdveautes
tre 224.040. nain ma
A Dax, samedi, l’essence deP FAR:
benthine valait 375 (+5) frannde fabr
100 kilos, départ usine des Lits de bc
taxe de 2,50 pour cent en SyA G
tendance ferme. L ,
En produits secs, on a noté: ’ "
noirs, » (57) ; clairs, 90 (86) J- F.
phanes N., 98 ; W. G., 110 (106. Cherch
W. W., 114 (111) ; 2 A, 123tin, de 9
118) ; 3 A, 125 (122) ; 4 ■ DIR
(124-125) ; 5 A, 129 (127) ; 6,211n0."
(129-130), les 100 kilos, dépara.,,
des ; goudrons bruts, 125 ; 1/
130. GRO]
À Marseille, les colophane"clair ».
valent 160 (—5) ; 3 A, 155 (J WIL
2 A, 152 (-1-4) ; W. G., 135 ege. Cau
sence 430 (-j-30) fr. franco us) à 8 fra
cale. IP-
A Savannah, on a terminé,. A
l’essence de térébenthine dislcants , c
33 1/4 cents les 3 litres 785, (e N0U‘
34 il y a huit jours ; brais P
E. B<
(2,54) dollars le baril de 126 23. Dem;
colophanes W. G., 4,65 (5,20)
5,20 ; W. W., 4,75 (5,30).
A Londres, marché calme
sence de térébenthine disponii
WIL
nande ci
C. P1
soutenue à £ 51 (52) les 1.016ricant d
fév.-avril 51 3/4 (52 3/4). Lespact ; 1
F. G. américains à 13 1/4 (12 le une I
français, 13 1/2 (12 3/4) ; le présente
phanes américaines N., 19 (18 DE -
W. W., 24 1/2 (23 3/4) ; franon. A
W. W., 17 3/4 (16 1/4). • --
O O
PRIX DES METAUX
A
Paris, 6 février. — Les
es, etc. I
PL N. S.
rh fumerie
cofumeries
ficiels des métaux non ferreu ; bouel
blis en fin de semaine par kr magas
tiers assermentés font app:
les mouvements suivants (ar—
kilos à l’acquitté) :
Cuivre en lingots livr. Les D. R
ou Rouen, 415,50 (—15) ; enrdan M;
des, 408 (—15). □<•), pet,
Etain Banka liv. Le Havre line, ver
ris, 1.460 (4-22) ; Détroits, Iis Allan
Havre, 1.338 (4-13) ; Corne ier • M
1.328 (+13). ; ; M. L
Plomb, marques ordinaires .
Havre ou Rouen, 177 (+5) GENJ
Paris, 185 (+5). ' ce.Cque
Zinc, bonnes marques, livr. T mtére.
vre ou Paris, 161 (+0,50) ; GIMI
pur, 176,75 (+0,50). v-York. !
Aluminium en lingots, 1.051, sweate,
O O - THE
L’ARGENT-METAL A NEW"es pour
New-York, 6 février. — V R. H
cours de l’argent en barres r tous a
pratiqués au National Met de g am
change. En cents les 31 gr.
mars 29,94 (30,10) ; mai
(30,45) ; juillet 30,36 (30,83).
J. CE
nande b
nne. Le
MARCHES DES VINS,a,KIFT
Béziers, 6 février. — CofAGP
cielle du 29 janvier’ au 5 lay
(cours moyens) : rouges, 8,50 - ,
gré ; rosés, à 9,50, insuffisan “7" 7
faires ; blancs, bourrets et P“T"es 11
nouveaux, 9,50 à 10 le degré. ADOI
L’hectolitre nu, pris chez Deman
tant, tous frais en sus. présente
Narbonne, 6 février. — - H G
plus calme. Le commerce e“land ' De
raréfie ses demandes ; la Pntite j e
fait quelques concessions. .. " .
Cours de la chambre des a 12 "12
merce : vins du Narbonnais,
11°, 8,50-9,50 (9 à 10 fr.) le def ASSO
Cours de la chambre d’agrieau.M.
de l’Aude : vins rouges, de matins, ‘
de 9 à 10 fr. 50 le degré ; vil JAME
rieurs, Corbières et Mineryo bon mai
pris, de 10 à 11 fr. le degré.
Marseille, 6 février. — Co. A ; CA
cielle de la récolte 1931 : Icants dt
Région : rouge, 8,75-9,50 (9 MARS
rosé, 9,50-10 (9 à 10) ; blal‘ de détail
9,50 (10 à 10,50) l‘hecto-de856 : Mis
vant qualité, couleur et éloigture et s
de la cave ; tous frais en sus R. H. B<
Algérie : rouge, 11-12 ( idson, lû
12,50) l’hecto-degré. Pris quains ôffn
seille, suivant qualité et pro“zasins.
par vingt-cinq fûts minimul sc,
frais en sus.
Cuisine republHI.
Cadre éléga^^l
Prix modéd'é^t
se trouvent au ,,
Restaurant POTELalga
4, avenue VictorHugF “=
LUNCHS, RECEPTION^ ‘ rVd
DEJEUNERS, DINFf— _
à domicile >
dégrèvement susceptible d’interve-
nir ne devrait plus Lire fonction
de la situation de fortune du pa
tenté, mais uniquement de la di
minution des opérations imputable
à la crise. Aussi, le commerce d’ex-
portation est pratiquement inexis
tant à l’heure actuelle, par suite
de la fermeture presque générale
des frontières des pays qui comp
taient parmi nos meilleurs clients;
il s’agit là, à notre avis, d’une cir
constance exceptionnelle qui doit
justifier, en considérant unique
ment la diminution du chiffre d’af
faires et abstraction faite de la
faculté de paiement des intéressés,
une réduction des droits de pa
tente réclamés à cette catégorie de
contribuables.
Notre législation fiscale fournit,
d’ailleurs, des précédents à une
mesure de cette nature.
.L’impôt foncier non bâti est éga-
lement établi sur un revenu for
faitaire qui n’est pas susceptible
d’être modifié, en dehors des révi
sions effectuées en principe tous
les 20 ans, pour tenir compte des
variations de la productivité des
terrains.
Néanmoins, l’article 37 de la loi
du 15 septembre 1807 prévoit que
les propriétaires qui, « par des grê
les, gelées, inondations ou autres
intempéries perdraient la totalité
d’une partie de leur revenu », pour
ront obtenir la remise totale ou
partielle de l’impôt foncier afférent
aux terres sinistrées, quelle que
soit d’ailleurs leur situation de for
tune. La crise actuelle, étant don
né son acuité et sa durée, constitue
bien un événement au moins aussi
exceptionnel que la grêle ou la
gelée.
Pourquoi, dès lors, ne pas trans-,
poser dans la législation relative
à la patente les mesures prévues
en matière d’impôt foncier ?
La parole est au Parlement.
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Le contingentement
des appareils d’optique
in formations diverse s
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PARIS y
La Po logne dél ivrera les
autorisations d’importatio n
en France des marchandi-
ses contingentées
Des accords viennent d’être con
clus avec le Gouvernement polo
nais aux termes desquels l’impor
tation en France des viandes fraî
ches et réfrigérées de mouton, de
porc, de bœuf, etc., ainsi que celle
des œufs, ne pourra avoir fieu
qu’au vu d’un certificat de contin
gentement délivré par le ministère
polonais de l’Industrie et du Com
merce.
Fernand Jacopozzi +
Nous avons appris avec regret la
mort de M. Fernand Jacopozzi, ingé
nieur électricien, commandeur de la
Légion d’honneur. On sait que le dé
funt avait acquis une grande noto
riété comme illuminateur et qu’on
lui doit la rénovation de l’éclairage
des rues et monuments publics. C’est
grâce à lui que la physionomie noc
turne de Paris a été entièrement mo
difiée ces derniers temps. Chaque
année, en décembre, les grands ma
gasins avaient l’habitude de faire
appel à son concours pour la décora
tion lumineuse de leur façade pen
dant les fêtes de Noël et du Jour
de l’An.
FRANCE
Reprise du travail aux
« Chantiers de Penhoët »
A la suite de l’entrevue qui a eu
lieu samedi entre le ministre de la
Marine marchande et la déléga
tion conduite par le député-maire
de Saint-Nazaire, il a été décidé
que tous les ouvriers qui avaient
été congédiés aux Chantiers de
Penhoët seront réembauchés au
jourd’hui lundi.
ETRANGER
Le marché des devises est
La Hollande contingente les
importations de vêtements
et chaussures
Le Gouvernement néerlandais
vient de publier un décret contin
gentant les importations de diver
ses catégories de vêtements et de
chaussures ainsi qu’il suit :
Confections : 100 % de la moyen
ne des importations de 1929 et
1930.
Chaussures en cuir : 50 % de la
moyenne des importations calculée
sur 3 mois des années 1928, 1929
et 1930.
Chaussures non entièrement
en cuir : 75 % de la moyenne des
importations calculée sur les mê
mes bases.
Laines et confections en caout
chouc : 62,50 % et 50 % de la
moyenne des importations de 1928,
1929 et 1930.
Le contrôle des importations
en Italie
La Gazette officielle a publié un
décret-loi aux termes duquel le
Gouvernement a la faculté de ré
glementer l’importation des pro
duits provenant de certains pays.
L’entrée en Italie des produits
originaires ou provenant des pays
qui ont établi un contrôle des de
vises pourra être subordonnée à
certaines conditions destinées à
sauvegarder les intérêts des expor
tateurs italiens vis-à-vis de ces
mêmes pays.
Des sanctions seront prises con
tre les délinquants. Elles pourront
consister dans le versement au
Trésor d’une somme ne dépassant
pas le montant des devises ayant
échappé au contrôle prévu et dans
la suspension temporaire des opé
rations de change.
Un projet de réforme moné
taire en Belgique
marché s
LES TENDANCES
MARCHE DES COTONS
ac
(Suite de la première page)
Les amateurs français, qui sont
juges de leurs intérêts, ont acheté,
en 1929, 901 quintaux d’appareils
venant du dehors ; en 1930, l’im
portation a atteint 1.543 quintaux ;
en 1931, 1.879 quintaux. Certes, il
y a pas mal de ces articles qui
ont été introduits par les Alle
mands en stocks et en prévision
d’une baisse du mark, car la France
est un marché important.
Mais une grande quantité de ces
appareils sont finis chez nous et
des milliers d’ouvriers français vi
vent ainsi sur une industrie com
plémentaire.
Le contingentement aura pour
résultat d'étouffer une industrie et
un commerce prospères, d’amener
le congédiement de centaines d’em
ployés et d’ouvriers spécialistes.
L’Etat français serait la première
victime d’un conflit douanier avec
les nations intéressées. Il perdrait
le bénéfice des taxes et des impôts
que payent les entreprises qui vont
être frappées. Et une des belles
exportations qui, chez nous, demeu
rent prospères, celles des jumelles
prismatiques, serait l'objet de cruel
les représailles.
Nous espérons qu’au ministère
du Commerce on y regardera à
deux fois !
libre en Finlande
La
couverture métallique du
Une surtaxe de change
appliquée au Japon ?
M. Ernest Outrey, député, et plu
sieurs de ses collègues ont déposé
une proposition de résolution in
vitant le Gouvernement à ne pas
ser aucune convention commerciale
avec le Japon avant l’application
d'une surtaxe complémentaire de
change aux produits japonais im
portés en France et en Indochine.
De son côté, la Commission des
Colonies de la Chambre a délibéré
dans le même sens. Son président
a signalé la situation de l'Indo
chine, dont le commerce et l’indus-
trie sont particulièrement défavo
risés par la dépréciation de la mon
naie japonaise. Le yen, dont la pa
rité-or est de 12 fr. 72, ne vaut
plus aujourd’hui que 9 fr. 25 ; il
a donc subi une dévalorisation de
30 % environ.
La Commission des Douanes de
la Chambre a été saisie de la ques
tion.
p etites nouvelles
* 1 mnusee wareenesesewreenssa5$7
— Le premier numéro des Echos
de la Route et de la Table vient de
paraître. Cette revue mensuelle èst
Le décret finlandais du 5 octobre
dernier, qui réglementait le com
merce des devises jusqu’au 31 dé
cembre, n’a pas été prorogé. Depuis
le 1 er janvier, il n’y a donc plus
d’entraves à la liberté des devises
en Finlande.
Dans ces conditions, le régime de
compensation des créances et des
dettes françaises, actuellement en
préparation en France, ne saurait
être applicable à ce pays.
franc belge est, d’après le dernier
rapport de la Banque nationale,
de 13 milliards de francs, soit 65 %
de la circulation, alors que le mi
nimum légal est de 30 %, auquel
doit s’ajouter une couverture en
devises de 10 %. Le ministre des
Finances a demandé que la loi
monétaire soit modifiée et que le
minimum légal soit fixé à 40 %
en or, ce métal constituant, dit-il,
la base normale de toute monnaie
saine.
parions finances
Renchérissement du taux de l’argent à long terme
L’émission, actuellement en
cours, des obligations des P. T. T.
permet de sonder l’état du marché
français des capitaux et, aussi,
d'apprécier les dispositions du pu
blic des épargnants. D’après les
renseignements qui parviennent
des banques qui sont chargées de
placer ces titres, on ne constaterait
pas de la part des souscripteurs
un bien vif empressement, sans
que, toutefois, l’opération puisse
être considérée comme un insuc
cès probable. Le taux nominal d’in
térêt 4 1/2 % n’est pas jugé très
rémunérateur, même eu égard au
crédit de premier ordre de l’orga
nisme emprunteur.
D’ailleurs, les tendances du mar
ché des rentes et des obligations
ont été nettement orientées, ces
derniers mois, vers un renchéris
sement du loyer de l’argent. Sans
doute, et ce phénomène a été com
mun à tous les pays, les taux d’in
térêt pour les placements à long-
terme n’ont pas baissé, à beaucoup
près, dans la même proportion que
les taux en vigueur pour les pla
cements à vue ou à courte échéan
ce. Un écart très important s’est
toujours maintenu entre les cour
bes respectives de la rémunération
moyenne allouée à l’une et à l’au
tre catégorie d’emplois de fonds.
Mais le marché français était, pour
les emprunteurs, l’un des plus
avantageux du monde, surtout si
on fait entrer en ligne de compte
la fiscalité qui frappe non seule
ment les émissions à leur origine,
mais aussi le revenu des titres pla
cés dans le public. Depuis l’été
dernier, malgré l’abondance consi
dérable des disponibilités liqui
des, le marché français des capi
taux se tend visiblement et le
loyer courant de l’argent, pour les
obligations et les emprunts, se rap-
proche sensiblement de 5 %.
destinée à la propagande du tou- proche sensiblement de 5 %.
risme et de la gastronomie dans la I Cette évolution a d’ailleurs été
région parisienne.
indiquée et confirmée par les fluc-
tuations de cours des fonds publics
français. Le taux de capitalisation
de la rente 4 % 1918, qui peut ser
vir de baromètre, est aujourd’hui
voisin de 4,25 contre moins de 4 %
au début du semestre. Faut-il voir,
dans cette réserve relative du pu
blic capitaliste et des épargnants,
autre chose que le souci de tirer
un revenu substantiel des réserves
économisées ? Faut-il y chercher
la trace d'une inquiétude moné
taire? Nous ne le pensons pas. Il
faut peut-être y découvrir le symp
tôme d’un certain engorgement du
marché des obligations.
Pendant la 2 e partie de 1929, pen
dant toute l’année 1930 et les pre
miers mois de 1931, il a été émis,
sur le marché intérieur français,
d’énormes quantités d’obligations
qui, nous l’avons souligné plu
sieurs fois, n’étaient pas d’une qua
lité également irréprochable. Trop
de sociétés ont voulu exploiter la
désaffection du public pour les ac
tions et les valeurs à revenu va
riable et exploiter son engouement
pour les obligations. Le marché est,
aujourd’hui, quelque peu essoufflé.
De surcroît, le Gouvernement ne
s’est pas résolu à opérer la conver
sion des rentes au printemps der
nier et le crédit public, dont le
coût pouvait être abaissé, étant de
meuré cher, il est normal que le
prix des émissions pour le compte
de collectivités ou de sociétés soit
cher encore. Lorsque-viendra la
reprise des affaires, que tout le
monde espère prochaine, les be
soins de capitaux seront plus con
sidérables qu’aujourd’hui et les
taux d’intérêt renchériront encore.
Mais ce ne sera certainement pas
un obstacle au renouveau de l’ex-
pansion économique ; les périodes
de prospérité ont toujours été des
périodes d’argent plutôt cher ; tan
dis qu’en période de marasme et
de dépression, les taux d’intérêt
sont au plus L'as. — T.
Le Havre, 6 février. — Coton
américain. Prix en francs les 50 ki
los. Clôture (entre parenthèses clô
ture précédente) :
Fév. 220 (221) ; mars 221 (221) ;
avril 222 (222) ; mai 224 (225) ;
juin 224 (224) ; juill. 226 (226) ;
août 228 (228) ; sept. 230 (230) ;
oct. 231 (231) ; nov. 232 (232) ;
déc. 234 (233) ; janv. 235 (234).
Tendance calme.
Liverpool, 6 février. — Coton amé
ricain. Prix en cents par 1b (453
gr.). Clôture (entre parenthèses
cours précédents) :
Fév. 5,23 (5,26); mars 5,20 (5,23);
avril 5,19 (5,22) ; mai 5,19 (5,22) ;
juin 5,19 (5,22) ; juill. 5,20 (5,23) ;
août 5,21 (5,24) ; sept. 5,22 (5,25) ;
oct. 5,23 (5,26) ; nov. 5,25 (5 28) ;
déc. 5,29 (5,32) ; janv. 5,29 (5,32) ;
fév. 5,31 (5,34).
Cotons égyptiens. —- Sakellaridis:
Mars 7,12 (7,15) ; mai 7,30 (7,34) ;
juill. 7,47 (7,51) ; nov. 7,77 (7,81) ;
déc. 7,86 (7,90) ; janv. 7,86 (7,90).
Haute-Egypte. — Mars 6,24 (6,27);
mai 6,32 (6,35) ; juill. 6,41 (6,44) ;
nov. 6,58 (6,61) ; déc. 6,67 (6 70) ;
janv. 6,67 (6,70).
New-York, 6 février. — Coton Mid-
dling Upland. En cents par 1b (en
tre parenthèses clôture précédente) :
Ouverture : mars 6,60 (6,59) ; mai
6,78 (6,77) ; juill. 6,92 (id.) ; oct.
7,15 (id.) ; déc. 7,31 (7,31).
Clôture : mars 6,65 (6,59) ; mai
6,83 (6,77) ; juillet 6,99 (6,92) ; oct.
7,22 (7,15) ; déc. 7,38 (7,31).
La hausse notée ce jour est attri
buée aux achats de l’étranger pour
les mois rapprochés et surtout aux
demandes de New-Orléans. On pré
voit que les recettes de cotons at
teindront 225.000 balles durant la se
maine qui débute. Les exportations
américaines ont atteint cette se
maine 201.000 balles pour le Japon
et la Chine, 53.000 balles pour l’An
gleterre, 14.000 balles pour la France
et 82.000 balles pour le Continent.
Le stock à Bombay est de 462.000
balles contre 862.000 il y a un an.
O O
LA LAINE AU HAVRE
Le Havre, 6 février. — Marché à
terme de la laine, type Buenos-Aires.
Les 100 kilos : février à avril 500
(490).
Ô O
LA LAINE PEIGNEE A ANVERS
Anvers, 6 février. — Sur les mar
chés à terme de la laine peignée, on
a traité cette semaine 295.000
(605.000) Ibs et 36.000 (63.000) kilos.
Les prix terminent à 24 1/4-24 5/8
(24 1/4-24 3/4) en pence et 27,50-
27,75 (27,75-28,25) en francs belges.
Malgré la bonne tendance notée
aux ventes de Londres, on n’a pas
enregistré d’amélioration sur les
marchés à terme de la laine peignée
en raison de la situation industrielle
peu active en Belgique comme en
France. On signale que le Japon
voudrait acheter en Pologne des
quantités importantes de drap mili
taire.
O O
MARCHE DE LA SOIE
Lyon. — On cote le kilo : soies
grèges, Cévennes premier ordre
105-110 ; Italie extra 13/15, 112,50 ;
Syrie bon deuxième ordre, 110-115.
Filature Chine petit extra 9/11,
150-155 ; Canton Best n° 1 13/15,
100-102 ; Japon 1 1/2 13/15, 115-117.
Tendance ferme. Les stocks s’épui
sent sur les marchés de consomma
tion européens. A Yokohama, baisse
des prix de 5 à 6 0/0 pour les livrai
sons éloignées. On cote le titre
1 13/15 640-650 yens.
New-York, 6 février. — Bourse de
la soie. Clôture : grège Japon type
D, équivalant à Crack double extra
japonais (en dollars les 453 gr.) :
avril 1,75 (id.) ; juin 1,75 (1,77).
La consommation américaine de
soie en janvier a été de 58.800 bal
les, soit 10.000 balles de plus que la
moyenne mensuelle de 1931. Le
stock à New-York reste élevé à
62.900 balles au 1 er février.
O O
FERMETE DES PRIX DU LIN
Gand, 6 février. — Le lin brut con
tinue d’être orienté vers la hausse.
Par contre, la tendance des fils de
meure faible. On attribue la fermeté
du marché à la diminution progres
sive des offres de matière première
et la faiblesse des produits fabriqués
aux besoins de vendre de certains
filateurs.
O o
CAOUTCHOUC : RESISTANT
Paris, 6 février. — En Bourse du
Commerce, on a coté le kilo, crêpe
standard, en feuille fumée : février
2,75 V (2,70 P) ; mars 2,85 V
(2,80 A); 3 d’avril 2,95 V (2,90-3,15);
mai 3 V (2,95-3,20) ; 3 de juillet
3,25 V (3,15-3,40) ; août 3,25 V (3,15-
3,40) ; 3 d'octobre 3,35 V (3,35-3,45) ;
nov. 3,45 N (3,40 P).
Londres, 6 février. — Clôture. En
pence les 453 gr. Feuille fumée gau
frée disp. 2 13/16 (2 7/8) ; mars
2 13/16 (2 7/8) ; avril-juin 2 15/16
(3) ; juill.-sept. 3 1/16 (3 1/8) ; oct.-
déc. 3 3/16 (3 1/4) ; crêpe standard
3 1/4 (3 7/16).
On prévoit que les stocks anglais
auront augmenté cette semaine de
1.350 tonnés. La consommation mon
diale en 1931 a été d’environ 670.000
tonnes, contre 705.000
1930 et 790.000 tonnes en 192 »
diminution résulte du fléchis/ —es In
des achats des Etats-Unis ;\
des demandes faites par les,
nations consommatrices s'est
tenu à 320.000 tonnes enviro"
stocks mondiaux se sont ace —
130.000 tonnes et représenter, *.
tuellement la consommation‘e, laine
tonp_
annee.
O O
heteurs 4
LES PRIX DES PRODUre, etc. -
RESINEUX yon, reç
En produits résineux, l'essesions de
térébenthine reste très fermeP VAX
tive et l’écart entre les prix tendue K
cains et français s’accentue,', etc. Se
stocks des fabriques du Sud Simon, i
sont plus légers. A Savannahurs, boit
janvier, il y avait 23.431 baril. —
sence contre 26.639 au 12 jaw. —N—
218.898 barils de produits secdveautes
tre 224.040. nain ma
A Dax, samedi, l’essence deP FAR:
benthine valait 375 (+5) frannde fabr
100 kilos, départ usine des Lits de bc
taxe de 2,50 pour cent en SyA G
tendance ferme. L ,
En produits secs, on a noté: ’ "
noirs, » (57) ; clairs, 90 (86) J- F.
phanes N., 98 ; W. G., 110 (106. Cherch
W. W., 114 (111) ; 2 A, 123tin, de 9
118) ; 3 A, 125 (122) ; 4 ■ DIR
(124-125) ; 5 A, 129 (127) ; 6,211n0."
(129-130), les 100 kilos, dépara.,,
des ; goudrons bruts, 125 ; 1/
130. GRO]
À Marseille, les colophane"clair ».
valent 160 (—5) ; 3 A, 155 (J WIL
2 A, 152 (-1-4) ; W. G., 135 ege. Cau
sence 430 (-j-30) fr. franco us) à 8 fra
cale. IP-
A Savannah, on a terminé,. A
l’essence de térébenthine dislcants , c
33 1/4 cents les 3 litres 785, (e N0U‘
34 il y a huit jours ; brais P
E. B<
(2,54) dollars le baril de 126 23. Dem;
colophanes W. G., 4,65 (5,20)
5,20 ; W. W., 4,75 (5,30).
A Londres, marché calme
sence de térébenthine disponii
WIL
nande ci
C. P1
soutenue à £ 51 (52) les 1.016ricant d
fév.-avril 51 3/4 (52 3/4). Lespact ; 1
F. G. américains à 13 1/4 (12 le une I
français, 13 1/2 (12 3/4) ; le présente
phanes américaines N., 19 (18 DE -
W. W., 24 1/2 (23 3/4) ; franon. A
W. W., 17 3/4 (16 1/4). • --
O O
PRIX DES METAUX
A
Paris, 6 février. — Les
es, etc. I
PL N. S.
rh fumerie
cofumeries
ficiels des métaux non ferreu ; bouel
blis en fin de semaine par kr magas
tiers assermentés font app:
les mouvements suivants (ar—
kilos à l’acquitté) :
Cuivre en lingots livr. Les D. R
ou Rouen, 415,50 (—15) ; enrdan M;
des, 408 (—15). □<•), pet,
Etain Banka liv. Le Havre line, ver
ris, 1.460 (4-22) ; Détroits, Iis Allan
Havre, 1.338 (4-13) ; Corne ier • M
1.328 (+13). ; ; M. L
Plomb, marques ordinaires .
Havre ou Rouen, 177 (+5) GENJ
Paris, 185 (+5). ' ce.Cque
Zinc, bonnes marques, livr. T mtére.
vre ou Paris, 161 (+0,50) ; GIMI
pur, 176,75 (+0,50). v-York. !
Aluminium en lingots, 1.051, sweate,
O O - THE
L’ARGENT-METAL A NEW"es pour
New-York, 6 février. — V R. H
cours de l’argent en barres r tous a
pratiqués au National Met de g am
change. En cents les 31 gr.
mars 29,94 (30,10) ; mai
(30,45) ; juillet 30,36 (30,83).
J. CE
nande b
nne. Le
MARCHES DES VINS,a,KIFT
Béziers, 6 février. — CofAGP
cielle du 29 janvier’ au 5 lay
(cours moyens) : rouges, 8,50 - ,
gré ; rosés, à 9,50, insuffisan “7" 7
faires ; blancs, bourrets et P“T"es 11
nouveaux, 9,50 à 10 le degré. ADOI
L’hectolitre nu, pris chez Deman
tant, tous frais en sus. présente
Narbonne, 6 février. — - H G
plus calme. Le commerce e“land ' De
raréfie ses demandes ; la Pntite j e
fait quelques concessions. .. " .
Cours de la chambre des a 12 "12
merce : vins du Narbonnais,
11°, 8,50-9,50 (9 à 10 fr.) le def ASSO
Cours de la chambre d’agrieau.M.
de l’Aude : vins rouges, de matins, ‘
de 9 à 10 fr. 50 le degré ; vil JAME
rieurs, Corbières et Mineryo bon mai
pris, de 10 à 11 fr. le degré.
Marseille, 6 février. — Co. A ; CA
cielle de la récolte 1931 : Icants dt
Région : rouge, 8,75-9,50 (9 MARS
rosé, 9,50-10 (9 à 10) ; blal‘ de détail
9,50 (10 à 10,50) l‘hecto-de856 : Mis
vant qualité, couleur et éloigture et s
de la cave ; tous frais en sus R. H. B<
Algérie : rouge, 11-12 ( idson, lû
12,50) l’hecto-degré. Pris quains ôffn
seille, suivant qualité et pro“zasins.
par vingt-cinq fûts minimul sc,
frais en sus.
Cuisine republHI.
Cadre éléga^^l
Prix modéd'é^t
se trouvent au ,,
Restaurant POTELalga
4, avenue VictorHugF “=
LUNCHS, RECEPTION^ ‘ rVd
DEJEUNERS, DINFf— _
à domicile >
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