Titre : L'Équipe : le stade, l'air, la route
Éditeur : L'Équipe (Paris)
Éditeur : L'ÉquipeL'Équipe (Issy-les-Moulineaux)
Date d'édition : 1950-06-12
Contributeur : Thominet, Patrice. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32768368g
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 12 juin 1950 12 juin 1950
Description : 1950/06/12 (A5,N1300). 1950/06/12 (A5,N1300).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t5101735j
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-261
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 09/05/2021
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FINALE DE LA COUPE LATINE DEVANT BENFICA
les réalisateurs DOYE et MUSTAPHA,
\lletit comportement de la défense des Girondins
la page — Jacques de RYSWICK)
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de Mustapha
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! fâtft début, les CR-
gu ragent pas et,
g tard, Doye. ra
battu de la gauche, clôture par un
tir de plein fouet une action de
Meynieu. ramenant ainsi la marque
à 2-1. Cependant, lès rapides atta
quants portugais surprennent et dis-
loquent encore une fois la défense
française et, à la 25 e minute, Julio
et Arsenio se trouvent seuls devant
Astresse, fort heureusement sans
Les Girondins, loin d’afficher leur
belle assurance de la veille, semblent
pourtant maintenant avoir trouvé et leur médiocr
un meilleur rythme et ont une ac
tion plus massive, plus soutenue,
plus technique aussi que leurs ad
versaires. Mais chacune des rapides
réactions portugaises, qui jaillissent
par à-coups, sont dangereuses. Lêè
reculer sur les attaques et il s’en
faut de peu que la marque soit aug
mentée par Julio à la 33*’ minute.
Enfin, cela va aller mieux à la
36” minute, lorsque Doye, sur passi
de Meynieu rééditera son explor
précédent et marquera lç but égali
sateur. Il est bientôt suivi d'un troi
sième but de Mustapha inscrit dé
très près à la 43' minute après un
premier essai de Persillon et un
chassé-croisé de la balle devant les
filets portugais. En cètté fin de mi-
temps, les Girondins retrouvent une
partie de leür autorité de la veille
début est oublié
Une très faible 2 * mi-temps
dès Girondins
Au début de la deuxième mi-
temps. la défense des champions de
défenseurs français ont tendance à 1 France recommence à hésiter comme
SAM EDI, AV COURS DES DEMI-FINALES
l'Atletico, Mustapha faillit, à la 75 e minute
fe la “balle de match” des Girondins
(|)e notre envoyé spécial Jacques de HYSWILK)
.„ ATLETICO DE MADRID i 4-2 (2-0). — Pelouse impeccable.
1 *»«tateur» (recette non communiquée). Beau temps avec vent
r l !ai«i assez violentes. Arbitrage « à compensation» » du Portu-
S Buts : Garrigâ <15''), Persillon (44'), Kargu (870, Doye
r Girondins : Ben Barèk (510. Oarlsson <780 pour l’Atletico.
L'effort le plus coordonné, le plus soutenu est, en pre-
r.'actif des Girondins, dont l’équipe, poussée par un vent
•L sur je terrain, ce qui contraste avec l’action passable-
L Espagnols.
1 arrêts et renvois de balle du jeune gardien Astresse
iance à l’arrlère-défense bordelaise, celle-ci prend de l’aè-
1 athlétique au milieu du champ, ce qui permet
Laquants de contrô-
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Lises, dans le pre-
PL les défenseurs
LW hors de position
L (2), Kargu (3)
liment a en tirer
[tors de combat
nu te peu après un
i de pahino lancé par
w est contraint de
jambes de De Har-
Vésenté seul devant
[indo-bordelais reste
Irrain d’où on l’em-
|ligaments du genou
1 être réduit à dix
j tout le reste du
[continue pas moins
ment l’offensive et,
tarés l’accident de
Loup franc, tiré de
fearriga troue le mur
i s e loger dans le
filets de Domingo
[de celui-ci !
Linlre avants
■rants. la pression bor-
le entrecoupée de
fit subtiles réactions
Mes instigateurs sont
b Barek et surtout
Hier, après avoir bien
est à son tour
joueur ( 42*) et
[i mettre en corner.
(23’. 30\ 31*, 40'),
e (35*), Mustapha
|(43’) sont en bonne
lmais le sens réa-
1ns parait n’être pas
[u mi-temps appro-
lisqu’à penser qu’ils
Igaspillé leurs chan»
jouaient avec le
[ues secondes avant
[Ion va marquer un
Jla suite d’une auto-
I? envolée de Musta-
firolte: 2-0 au repos,
(présentent pas mal
[résultat on ne peut
■ les Girondins, nu-
limlnués et qui rega-
liaires très applaudis
pis... tiendront-ils ?
[équilibre numérique
i Pavant centre espa-
pichê au genou de-
pe, et qui était passé
I en boitillant, ne re
lie terrain. Les deux
Uonc à dix joueurs.
déchaîné, ' couvre
[min. et va marquer
madrilène à la 51’
Nr tiré par Olmeido,
lut Astresse qui, faute
ft pas détourné la
îamment d’autorité et
«tes suivantes vont
i e supériorité territo-
®ns qui, plus athlè
tes sur la balle, oc-
‘P avec une aisance
1 grande joie et sous
l’assistancé. Durant
[ode, l’équipe espa-
^teralement pétrifiée,
dent devant les buts
certains joueurs bor-
bstapha. en profitent
«lue peu leur talent
“monstration indivi-
’j 11 eeci se ’ traduit nê-
mavque et lorsque,
vant Domingo, met au-dessus une
balle à ras de terre de Kargu venant
de la droite, on a l’impression que
les champions de France viennent de
perdre leur balle de match.
En effet, leur belle aisance, leur
tonus s’effrite ; ils paraissent main
tenant fatigués et, trois minutes
plus tard (78*) le rusé Carlsson éga
lise à la suite d’un bon travail d’Es-
truch. Les Girondins vont-ils perdre
un match qu’ils ont dix fois été en
puissance de gagner ?
Enfin, le couronnement l
Non. Ils s’accrochent avec une
belle énergie, puis repartent à l’as
saut des buts madrilènes et, dans les
trois dernières minutés, ayant tardi
vement trouvé l’étincelle d’effica
cité, vont recevoir, à deux reprises, le
couronnement de leurs efforts par
Kargu (87*). qui clôture magistrale
ment par un tir bolide un bon tra
vail préparatoire de Doye, puis (89*)
sur excellent relais de balle, Kargu-
Gallice, par le même Doye, dont le
tir èn déséquilibre est parachevé par
un coup de tête aussi désespéré
qu’inutile de l’arrière gauche espa
gnol Lesmès, lequel accompagne là
balle dans les filets.
Ce succès des Girondins acquis
non sans quelque panache a surtout
mis en relief les qualités d’homogé
néité, la bonne condition athlétique
et l’esprit communautaire de l’équipé
championne de France. L’arrlère-dé
fense. Garriga en tête, y a cependant
pris une part prépondérante ainsi
que Galllce, Doye, excellent et intel
ligent organisateur offensif, mais
moins bon finisseur ; Kargu, travail
leur inlassable, Persillon et Musta
pha, brillants par intermittences.
Beaucoup moins de jeu collectif
chez les Espagnols à la défense et
aux demis assez faibles, au marauage
déficient et dont les deux meilleurs
joueurs furent Ben Barek, dont l’ac
tion opiniâtre fut pourtant assez
dispersée, et surtout le vif-argent
Carlsson, malheureusement trop li
vré à lui-même et... souvent peu
compris de ses coéquipiers.
ATLETICO MADRID : Domingo — Pa
rias, Babot (Valladolid), Lesmes (Val-
ladolid) - Hernandez, Ouenea — Ben
Barek, Carlsson — Olmeido (Rea)),
Pahino (Real) Estrueh.
BORDEAUX : Astresse — Garriga,
Swlatek, Mérignâc — M’Barek, Gallice
— Mustapha Doye — Persillon. Kargu,
De Harder.
iang les premières minutes de la
partie. L’equipe bordelaise a-t-elle
épris le match trop en confiance ?
2st - elle fatiguée de son match
l’hier ? Toujours est-il que son
•ythme va paraître brisé durant tou-
es les 45 dernières minutes. On
nultipliè lès erreurs à tous lès
rayons chez , les Girondins où re
ine la panique. A la 56* minute, dé-
aissé par Garriga, Pascoal, recevant
one balle en profondeur de Rogiero,
remet les deux équipes â égalité. Les
Girondins viennent de payêr léur
nauvais début.
Les Girondins paraissent affectés
par cette réussite portugaise et leur
caible exhibition continuera durant
tout le reste du temps réglementaire
C’est une équipe harassée qui, sem
ble évoluer sur le terrain On ne
marque pas, les passes sont mau
vaises et c’est le football françâis
dès mauvais jours qui est exposé
sous lés yeux dès spectateurs liebon-
nais Les Portugais en profitent
d’aillëurs pour mieux jouer qu’en
première mi-temps èt tout ce qu’ils
font est dangereux. A la 71 e minute,
Mérignac retient Corona par la
jambe dans la surface de réparation
française Mais l'arbitre espagnol, M.
Fonfrbona, n’accorde pas le penalty
réclamé par le public. Un peu plus
tard, Paècoal tire sur la barre.
En fin de partie, la pression de
Bênfica s’émousse quelque peu et
les Girondins, décidément exténués,
ne peuvent en profiter et s’estiment
finalement heureux de terminer le
temps réglementaire sans avoir en
caissé un nouveau but après avoir
donné l’impression de pouvoir ga
gner facilement ce match en fin de
première mi-temps.
Prolongation
Là prolongation est jouée par
deux équipés épuisées. Cependant,
les Girondins trouvent quelques
dernières ressources d’énergie poür
obtenir six corners durant le pre
mier quart d’heure. De leur côté, les
Portugais attaquent à la reprise et
Corona (106 s ), seul dévânt AstressÇ,
met la balle dehors à la grande dé
ception de la foulé qui crie : « Ben-
fica, Benfica » depuis de longues
minutes. Sur la fin, Bordeaux sem
ble trouver u.j sursaut d’énergié
nouvelle pour occuper lè térr&in.
mais les tirs de ses avants sont sans
force et le résultat reste inchangé.
Les seuls joueurs girondins qui
PAS DE DECISIONS, MAIS DE GRANDES PROMESSES A VICHY
LA F. F. F. REMET TOUT EN QUESTION !
De la formule même du professionalisme au recrutement des
clubs en passant par le calendrier international , les problèmes
de technique et Vexistence de la Division II
Que la montagne, maintenant, n'accouche
pas d'une souris !
(De notre envoyé spécial Maurice PEFFERKORN)
aient supporté aujourd’hui ce match
furent Swlatek, qui eut lé grand
mérite de tenir, durant toute la se
conde mi-temps, une défense extrê
mement en péril et èn déséquilibre,
Gallice, qui tenta de redresser la
barre d’un navire à la dérivé, et, en
attaque, Doye, non seulement pour
les deux buts qu’il marqua avant lé
VICHY. — Dimanche matin, le Bureau fédéral a tenu une séance sup
plémentaire afin d r étudier, comme le laissait prévoir L’Equipe, un plan de 14
travail susceptible d’apporter quelques solutions aux problèmes que pose
actuellement le football français, tant dans ses manifestations nationales
que dans ses productions internationales.
On s’attendait peut-être à ce qu’il fît connaître d’importantes déd
iions en ce qui concerne l’oraani- .
bail français. Ils ont assurément l un
èt l’autre un caractère biéü tran
ché. Nous avons beaucoup d’estime
et de reconnaissance pour le travail
important accompli par Gqbriel Ha
noi et nous êstimons prédeux éga
lement le concours dévoué et en
thousiaste que nous a apporté Paul
Nicolas. Qu’il y ait opposition fan
dère de doctrine entre eux, ceic
sation générale du football français
C’était là anticiper trop délibéré
ment sur les intentions et les pro-
En réalité, aucune réforme parti
culière n’a été envisagée. Le bureau
n’a rien voulu faire de prématuré,
rien d’improvïsê. A l’instigation du
président Gambardella, qui a fait , „
partager ses viiès par ses collègues,' m’étonnerà’t fort ; rn tout cas, cela
il a pris la résolution de réèxaminer i è$t aussi Un sujet d’examen, ici
... .. ,à fond la situation actuelle, de rt- \ comme là. ii pense que sont recon-
repos, mais encore pàr le jeu cons- i chercher les causes du mâmsme ; nues èt admises les vérités essen-
tructif qu’il fut le seul, avec Gallice,'
à essayer dé pratiquer par la suite.
GIRONDINS : Astresse — Garriga,
Swlatek, Mérignao — M’Barek, Gallice
— Mustapha, Meynieu — Persillon,
Kargu, Doye
BENFICA : Bastos — Jaeinto, Félix
Ftrnàndez — Morelra, Costa — Arsenio,
Rogerio - Corona, Julio, Pascoal,
ENTRE ATLETICO ET LAZIO
LA GUERILLA A CONTINUÉ
ATLETICO b. LAZIO : 2-1 (2-0),' — Buts pour l’Atletico : Ben 8arek (9*),
Escudèro (10') i buts pou” Làzio : Flâmini (74*) Arbitrage de M. Tordjman.
LISBONNE. — Cé match constitua un spectacle assez navrant. La
guérilla, commencée une semainè plus tôt à là Corogne entre les deux
équipes, se poursuivait à Lisbonne.
A la treizième minute, après un échange de coups entre Carlsson et travaux sera déterminé
Piacentlnl, l'arbitre français M. Tordjmàn expulsa les deux adversaires.
Puis, après toute une série d’incidents et dè récriminations, plus ou
moins pittoresques des dêux équipés et du public, deux autres joueurs
furent sortis : Magrini (43 è ) et Es-
qu’ont mis en évidence non seule.- • tielles. et je dirai prisqué êlernèl-
mènt les résultats internationaux ! le.s. du foàtball.
niais la saison internationale tout' d) Il est possible que nous pous-
entière. Rien hé sera plus désormais siôns t r ès loin (fahs le domaine de la
considéré comme un dogme intan- structure du football français, com-
slble ou sacé. et c'êst en cela sur-, me l’on dit, On ira jmqu'à exapij-
tout que l'esprit prend un c&rae- j ner i Da,r_ exemple, si l’éxistepce de
tère réformateur, sinon révolution- j là deuxième division professioftnelle
naire : il n’y a plus de vérité éta
blie ni de conformisme.
En somme, c’est commè si une es
pèce de doute régnait maintenant
sur les traditions du football fran
çais, traditions un peu jeunes en
core, à vrai dire, s’il s’agit du pro
fessionalisme pris à titre d’exempts.
C’est donc à une vaste confronta
tion qu’il va être procédé, en partu
culier par le Groupement Dès <*
3 6 luin, un certain nombre de ques
tions seront abordées en çom.mnn
avec ses représentants et ceux du
bureau fédéral Un accord unanime
sera recherché et un proçrram.me dè
cudero (80*).
Les algarades et accrochages se
poursuivirent durant toute la par
tie ce qui ne fut pas pour corser
son intérêt sportif.
rations durant un bon moment, mê
me lorsque l’équipe italienne jouant
à nèuf. marqua un but par Flami-
ni (74*).
Le terrain à explorer
ATLETICO : Dauder — Tinte, Rîera,
L Atletico avait fort bien com- ; Lesmes _ oimeida, Farias - Bèn Barek,
mence bien mieux que la veille de- Àgustin - Estrueh, Carls?on, Escudèro.
vant Bordeaux. en marquant deux) LAZIO : Fioravanti - Antonazi, Spu-
Mais nous avons voulu obtenir (te
M. Gambardella sinon des précisions
supplémentaires qu’il ne pouvait pas
donner, du moins quelques exem
ples dè problèmes à examiner ovj
naissent éCIAiràr rt’iln iniir un np.li
BENFICA, RÉADISTE, BAT LE LAZIO
AU JEU..* SI PEU ITALIEN !
BENFICA b. LAZIO : 3-0 (2-0), — Arbitrage un peu sévère... pour les Ita
liens de l’Espagnol M. Arqué, qui dirigea le récent match Franoe-Ecosse. But» :
Rosario (0')< Rogerio <23\ *ur penalty). Arsenio (70 e ).
LISBONNE. — En regard du précédent, ce match parut, passablement
terne et 11 ne s’eh dégagea que des impressions assez floues. L’idée cons
tructive parut peq recherchée par l’une et l’autre des deux équipes. De
REPETITION DE COUPE DU MONDE A BERNE
Bobek et Mititch, les inters yougoslaves
donnent une bonne leçon à la Suisse
(De notre envoyé spécial Max IJRBINI)
YOUGOSLAVIE b. SUISSE : 4-0 (3-0). — Bon terrain. 17.800 spectateur».
Bon arbitrage de M. Baert (Belgique), Buts ; Tehaikowsky II <130. Tomase-
viteh (24*), Bobek (40 e ), Atanatkovitch (87*).
BERNE. — Fait exceptionnel, le troisième match Suisse-Yougoslavie
vient d’opposer au Vankdorf Stadion, terrain des Youngs-Boys dç Berne,
deux équipes qui se rencontreront le 25 juin à Belo-Horizonte poqr ie
plus, le jeu fut émaillé d’accrochages et l’arbitre dut renvoyer aux ves- groupe n* 1 de la Coupe Julès-Rimet.
tia-ires cinq minutes avant.la fin, l’ailier droit Puccinelli. ! Cette sorte de « répétition générale c fut donc favorable aux You-
La seule supériorité démontrée par les Portugais fut dang le domaine goslaves qui surclassèrent leurs adversaires « tant qu ils 1« désirèrént ».
de l’efficacité. Us engagèrent le match avec beaucoup plus de détermina
tion que les joueurs de Rome et, à
la 6* minute, marquèrent par le ra
pide ailier gauche Rosario un but
d’ailleurs entaché de hors-jeu
telles de la porte, leur action de
meura cloisonnée et contrasta singù-
lièrement avec le jeu ample, ouvert
et varié que les bonnes équipes jtâ-
A la 23* minute, l’intérieur gauche i liennes ont l’habitude de produire.
Rogerio inscrivait un deuxième but Ceci dit, _ l'arrière-défense de Ben-
sUr penalty et. en seconde mi-temps,
l’intérieur droit Arsenio (76*) com
plétait le score.
Pourtant, au fil des minutes,
l’équipe du Lazio, dont cinq ou six
joueurs relevaient d’angine, comme
on le sait, paraissait s’améliorer et
parvenait à manifester une certaine
prédominance technique, notamment
dans la frappe de balle et le jeu de
tête que les Italiens pratiquaient
avec une belle maîtrise.
Malheureusement pour eux. leur
effort offensif se limita aux baga-
fica eut à faire fâce, en~ deuxième
mi-temps surtout, à quelques situa
tions fort délicates.
Meilleurs joueurs, à Benfica : Ja-
cinto. Félix, Moreira. Arsénio. Rose-
rio; au Lazio : Sandroni, Puccinelli.
Flamini. — J R.
BENFICA : Bastos — Jaeinto, Félix,
Fernandez — Moreira, Costa — Arsenio,
Rogerio — Corona, Julio, Rosario.
LAZIO : de Fazio — Antonazzi, San
droni (Venise), Piacentini — Alzani,
Magrini — Trevisàn, Flamini — Puèci-
nelli, Aree. Nyerè II.
c’est-à-dire pendant les 60 premières minutes de jeu (en fin de partie,
les Suisses eurent quelques bonnes ~z—r.
tère et son homogénéité.
Kde BORDEAUX
[^FRANCE 1950
r a ct&rxXÜ
ballons
^bonnes maisons
L" ,Es DE SPORT Haoon
Herrera, Ben Barek, Domingo, Carlsson
rendent hommage aux Girondins
(De notre envoyé spécial)
LISBONNE. — « Vous avez dû trouver notre équipe méconnaissable,
nous a dit Herrera à la suite du match Girondins-Atletico (4-2). Conve
nez que l’absence de nos sélectionnés Lôzano, Mencia, Silva et Juncosa et
aussi celle d’Aparicio et Riera, actuellement en forme moyenne, y sont
pour quelque chose. J’avais, certes, comblé Les vides avec de boris éléments
de Valladolid (Babot, Lesmès) et du Real Madrid (Olmeido. Pahino). mais
notre onze avait perdu son carac- ~
suis pas de l’avis de Ben Barek ;
s'il y a une équipe qui n’a pas été
défavorisée par t’arbitrage, c’est
bien, samedi, celle de l’Atletico.
Par ailleurs. Ben Barek rend hom
mage à l’équipe des Girondins qui
pratique, dit-il, « un bon football
solide dans toutes ses manifesta
tions surtout en défense. Ils ont.
en Kargu. conclue-t-il. un très bon
avant centre parce qu’il se déplace
constamment, fait jouer ses voisins
tout en étouffant les défenseurs ad
verses ».
Domingo, lui, avoue que le trai
tement a la pénicilline qu’il avait
subi toute la semaine (angine)
l’avait affaibli. « Mais, ajoute-t-il
notre arrière-défense s’est par trop
laissé malmener par les avants
bordelais qui se sont, à maintes re
prises, présentés seuls devant moi;
ils auraient pu marquer bien da
vantage ! »
Quant à Carlsson, il déplore sim
plement que ses camarades de l’at
taque n’aient pas- davantage joué
avec lui, « car moi aussi, dit-il. jè
pouvais èt devais marquer plus d’un
but ». — J. R.
C’e.st au contraire l’homogénéité
et aussi la bonne valeur athlétique
qui font la force des Girondins ;
contre eux, nos joueurs ont été
constamment en retard sur la balle
et, contrairement aux champions de
France 1 , ils ne se sont pas accrochés.
Sans doute mes joueurs ont-ils souf-
Cb fort de la chaleur davantage que
! Mu s tanha seul de- leurs adversaires français. De plus,
^ ' la blessure de Pahino a désorganisé
notre attaqué comme d’ailleurs celle
de De Harder a handicapé celle des
Girondins »
, Ben Barek estime que l’arbitre du
match Girondin s-Atletico, le Portu
gais de Oliveira, a défavorisé son
équipe en ne sifflant pas un penalty
pour l’Atletico lorsque lui-même
fut crocheté par Mérignac dans la
surface de réparation (53’). Sans
doute ; mais, quelques minutes plus
tard M. de Oliveira fit preuve de
la même indulgence à l’égard de
Babot lorsque ce dernier 'ceintura
Kargu en position dè tir Je ne
^ LeurM
1ère d'Ai 5 )
6-4 ! 4_ , 6 i ?i?a
î lutte a été J
ais un bon 0 .
BIÈRE D’ALSi
ousseuse et i a tj|
^envolée '• i ni
‘ 6 "réconfort J
aites comrï^
Sà
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’ -an œcftuMr
Une boisson délicieuse, naturelle et
rafraîchissante : PERRIER avec le jus
d’un citron, d’une orange, ou d’un
pamplemousse. Quand lâ saison
est venue, essayez aussi le mélange
PERRIER — fruits rouges : fram
boise, groseille ou cassis. Le fruit
apporte son parfum et ses vitamines,
PERRIER, le champagne des eaux
de table, dispense sa fraîcheur et
la légèreté de son gaz naturel.
puissent éclairer d’un jour un peil
plus cru la toile de. fond de ce ta-
bleuît atix dimensions èt aux cou
leurs quelque peu incertaines,
a Des exemples, en voici nous dit
jolis buts par Ben Bare£ (9*), puis ! rio, Piacentini — Montànàri. 'séntÎBÎéiiii j «*) ^Nom * irons iusou'à examtnêr
Escudèro (16*) Par la suite ce fut Ml - Penzo, Flamini - Pucinelli. Hoh Lj 4 formu ie même âu prôfèssio
le Lazio qui prit l’initiative dès opé-'flmg, Nyêrs II. inalisme ne doit pas être remisé én
cause,. Rien né prouve, actuellement-
que lè professionalisme intégral à
la manière anglaise, qui est le nô
tre, est bien la formule qui s'impose
chez nous èn ce moment Qui nous
dit ou’il n’est pas recomrriandnblé
Simple supposition, d’en venir à la
formule belge des indépendants ? Ou
bien, au contraire, dé s’engager dans
la voie dès sociétés î responsabilité
limitée ’
b) Pour t organisation mèmè d*\
nos épreuves officielles on examine■ '
ra si la longueur èt l’enchevêtre
ment du calendrier ne sont, pas su
jets à des modifications de prjnci
pe Faudra-t-il faire disputer a’(Abord
lèS êpreiiv»* interclubs puis les ren
contres internationales ? Lè rèjèl
d» tous lès matches internationaux
en fin de saison ne semble pas avoi r
été une formule idéàlè- On Constate
que. fin mai. la plupart des loueurs
èàni à fohd de course, noû pas pqi
manque dé bonne volonté et de
conviction mais par insuffisance de
rendement. A côté de cela, pourquoi
obsetve-t-on que les Girondins ar
complissent à l’étrannër une série
d’exploits très réconfortants . ? Nous
rechercherons le,s raisons Et cela
nous amènera fatalement à exami
ner les problèmes que pose l’èn
trainement
c) Nous aborderons ainsi lés pro-,
blêmes de technique proprement
dits II est intéressant de savoir Si
en vue de la préparation de l'équipe
d* France il ii’est pa$ possible d'ap
pliquer Un programme d’entràine
ment, typé pour lès clubs. A çe pro
pos, I on a parlé de deux écoles qui
sè feraient opposition dans le foot
ball français : l’école Hanot et
l’école Nicolas. Je ne puis admettre
qu’il y ait opposition de doctrine
entré èes deux personnalité? du font
continué à s imposer, de mèmè que
l’On se demandera s’il ne convient
pas dé supprimer le Championnat,
de France amateurs.
Vous me demandez des exemples:
en voilà. Mais que l'on sache sur
tout qu’il n’y a aucune idée pré
conçue de notre part, aucune déci
sion arrêtée,
e) il n’èst pas jusqu'au grand pro
blème de la formation des jeunes
qui ne sera étudié minutieusement
Il peut avoir dès répercussions sur
la règlementation même du profes
sionalisme. Il est possible nu’on soit
conduit à demander aux clubs d’in-
tènsifièr leur éducation des jeunes,
èn proportionnant par exemple le
nombre de loueurs importés au nom
me dès joueurs formés dans le club
C’est toute la politique des trans
ferts qui pourrait, être, influencée de
ce fait. Dans quelle mesure y a-t-il
opposition de doctrines sur cè sujet?
C’est à voir. Nous trouvons que les
questions d’achat, et de vente de
loueurs ont aujourd’hui trop d’*m-
Pas de « technicien »
français au Brésil...
(De notre envoyé spécial)
VICHY. — Dans sa séance de di
manche, le bureau fédéral a confirmé
déeision prise antérieurement
d’envoyer au Brésil, à l’occasion rie
la Coupe Jules-Rïmet, MM, Dslaunay
et Conrlé. Mais aucun membre de
la commission technique ni du comité
de sélection ne ie» acoompagnera-
portance et qu’on négligé, de ce
fait, l’éducation des jeunes. Cela
nous préoccupé beaucoup »
Dans l’expectative
Ainsi nous parla le président Gain-
bardella, avec une sérénité dans lè
non-conformisme qui séduit et in
quiète à la fois. Le résumé que nous
venons de faire de ses déclarations
montre que le bureau de la 3 F se
propose un travail d’une importance
considérable. On pourrait en dé
duire qu’il existe actuellement , chez
les hauts dirigeants du football
français, à la fois beaucoup d’espé
rance èt beaucoup de scepticisme.
Espérance quant aux réformes que
l’on entreprendra ; scepticisme
quant aux résultats obtenus.
Nous ne nous trouvons en ce mo
ment qu’en présence d’un état d’es
prit. Dans quelle mesure la volonté
d’aboutir et les moyens de le faire
))aurront-ils être employés ? On
note em tout cas, et ceci est très
important, qu’un accord intime en
tre le Bureau fédéral et le Groupe
ment doit être réalisé à bref délai,
dans une quinzaine de jours. L’ob
tenir sur le plan de la préparation
de l’équipe de France serait déjà
une précieuse acquisition.
D’aucuns diront peut-être qu’à
Vichy la montagne a accouché d’unè
souris, puisque aucune décision
spectaculaire n’a pu être enregistre*.
Pour nous, nous considérons que le
champ d’action qu’on se propose
d’explorer est pour ainsi dire sans
borne. Il reste de beaux jours pour
la discussion. On souhaiterait qu’il
n'y en ait pas moins de beaux pour
la mise en application. En tout cas,
aujourd’hui, en Auvergne, il y eut,
entre Gaulois, grande promesse d’ac
cord pour lès révolutions prochai
nes .
réactions individuelles).
Fidèle à son fâ me hx « verrou », la
défense suisse se trouva en présence
d’une attaque intelligente, utilisant à
merveille les xléfauts d’un système
d’autant plus... dangereux qu’il était
appliqué par des hommes statiques et
peu clairvoyants.
D'abord surprise, puis complètement
désunie, elle opéra au « petit bon
heur ». 6ans jamais cheroher à com-
prendie. Les avant yougoslaves |’en
donnèrent donc à coeur-joie. Grâce à
de longues * transversales ■ d’une ai
le vers l’autre, ils désaxèrent rëguliè-
rémerit les arrières suisses (surtout en
première mi-tempsj
StUber, trè. souvent mal protégé, *é
mit en évidence.
SUISSE : Stuber (Lausanne) — Gyger
(Cantonal), puis Rey (Young Fèllows),
Stiffert (Cantonal) — Neury (Ltiganb)
Egglman (Servétte de Genèvé), Quirtche
(FC Berne) — Biekèl (Grasshopers), puis
Sehtieiter (Zurich), Anten»n (Chaux-dé-
FonuS), puis Friedlànder (Lausanne),
Beîrli (Young BoyS), Hassler (Lugano),
puis Bocquet (Lausanne). Siegenthàlèr
(Young Fellows) puis Fatton (Servette dé
Genève)
YOUGOSLAVIE : Markouehiteh (Etoile
Rougè) — Horvat (Dynamo), JôvànéViteh
(Partisan), Stankovitch (Etoilé Rouge)
— Tchaikowski I iPartisan), Ojanteh
(Etoile Rouge) — Mititch (Etoile Rôugèl,
Ognanov (Etoile Rouge)
Tomassvitch (Etoile Rougè) Tèhaikowski
Il • (Dynamo).
offensives entre Mititch. Tomasevitch
et Bobek d’une part, les demis Dja-
jitch et Tchaikowski I, d'autre Part
(ces deux derniers attaquèrent, quand
ils le voulurent), elles «è pâsèèrent lé
mieux du monde sous les yeux d’élé-
merits défensifs d’une passivité éton
nante.
Un très beau but de Bobek
La Yougoslavie réussit trois buts èn
première mi-temps par son ailirr
gauche Tchaikowski il, complètement
démarqué (13® minute) à la suite d’un
mouvement dè Mititch qui attira la dé
fense suisse vers là droite, centra sur
Bobek dont ta déviation de balle vers
le shooteur victorieux fut un modèle
de facilité: par son avant centre. To- RENNES. — Jouer des rencontrés officielles à cette époque est unè
masevitch, bien servi par Bobek, apres véritable gageure. L’orage n’éclata pas dan* le ciel malgré Jes menacés,
une démonstration collective des tou niais il faillit éclater sur le terrain. Heureusement, l’autnrité dé M. Devàu-
—i u.i+b if.A- tm. j 0Ur évita des incidents.
Ceci ne retire rien au mérité de« Rennais qui Jouèrent pratiquement
la deuxième mi-temps à dix, Pérou
CHAMPIONNAT DE FRANCE AMATEURS
LE CŒUR DE RENNES
ARRACHE LA VICTOIRE
(De notre envoyé spécial Jean DlJ!V 10 NT|KR)
RENNES b. MYERES : 2-1 (1-8). — Très bon ttrrâin, Récétte i 30.000 tr.
pour 423 spectateurs. Bon arbitrage de M Devautour Buts pour Hennés i
Lepetit (43 p èt 87 e ) ; pour Hyèrei : Neubert (77 ),
goslaves face aux buts suisses (24 e mi
nute) ; par son inter gauche, Bobek,
- encore lui - auteur d’un tir du
pied gauche dans la foulée absolu
ment remarquable, après une ouvertu
re de Mititch (40 e ).
Après le repos, la Suisse présenta
une formation remaniée. Elle fit meil
leure figure, car lès Yougoslaves se
contentèrent de plaire au public, «ans
« exagérer les choses ». Remarquez
bien qu’ils jbfinrent un quatrième i
but. à trois minutes du coup de sif
flet final, par l’intermédiaire d’Ata-
natkoviteb, remplaçant Bobek légère
ment touché â la cheville
Au sein d'un en-sémble jouant pour
gagner, mais n’ayant pas besoin de
forcer outre mesure, les demis Tchai-
kowskî I et Djajitch (actifs, bons at
taquants), les inters Mititch et Bobek
(organisateurs de premier ordre), en
fin l’avant centre Tomasevitch (cons
tructeur d’attaque bien inspiré) fu
rent les éléments les plus en vue.
Parmi les Suisses, seul le gardien
avant été blessé à la 44* minute
Les Bretons s’accrochèrent avec un
coeur magnifique et l’ailler droit, iè
remplaçant Lepetit, s’il ne fut pas
le meilleur élément, eut le mérite i
de marquer les deux buts.
Les Hyérois jouèrent un peu an
LES JUNIORS DE TORINO
DIGNES DE LEURS AÎNÉS
Torino b. Stade-R.S, (juniors) : 6-1 (1-1)
POULE FUSALE (5 *
journée)
*Auchel (2) b.
Le Thillot
(3).. 1-0
*Rerines (4) b.
Hyères (1) .... 2-1
P 1 * J G.
N. P. p C
1. Auehel
.653
0 2 9 4
2. Hyères . .. ,
.853
0 2 9 5
3. Le ThillOt
.452
0 3 4 0
4. Rennes
.452
6 3 7 14
grand» seigneurs. Robert Neubert
se firent fréquemment rémarquer,
maïs l’attaque semblait avoir pèrdu
toutés ses qualités de réalisation.
Pratali, bléssé lui aussi en première
mi-temps, joua, par la suite, à l’aile
droite, mais fut cependant plüs utile
à son équipe que Péron chez les Brë-
tons.
Hyëres, par manque de conviction,
a laissé échapper une belle occasion.
Les Rennais ont joué franchement iè
jeu. Le cœur qu’ils mirent à l’oU-
Le match qui opposait hier à Buffalo l’équipe « junior n de Torino vrage méritait cètte belle récompense,
à cèlîe du Stade RS a été gagné aisément par les jeunes Turinois par le j Meilleus joueurs : à Rennes, Sellier,
score de 6-1 qui pourrait faire croire que les Stadistes ont été surclassés : Sorel, Maiseau et Ponceaux ; à Byè-
d’un bout à l'autre, ee qui ne fut pas. ires : outre Robert et Neubert, Ditto
En effet, dans la première mi-temps, les Stadistes s’opposèrent avec et Demària firent un gros travail.
bonheur aux actions bien conduites -— , .....
temps également très disputée, mais i> . A.ir.Iwl
tout d’un coup les Stadistes baissé-, * OUrtaut incomplet, Aucilel
rent le ton.
Ce fut alors la déroute pour eux
Frappant fort et précis, les Turinois
accentuèrent leur pression, marquant
des bute dé belle facture. Auj 8* 0 e et
13*. c’est le buteur Marchetto, décon
tracté et souple, qui surprit la défense
stadiste de plus en plu* désorganisée,
qui alla même jusqu’à offrir un but
par le.s Turinois, donnant même
l’impression de dominer grâce à la
rapidité de leur jeu.
Mais les Turinois. handicapés par le
terrain trèâ sec. «e reprirent aussitôt.
M. Novo à « L’Equipe » :
« REMERCIEZ
LES SPORTIFS FRANÇAIS a
Voici le télégramme que lè président
de PAC Torino, M. Nôvo, a adressé,
hier à notre directeur général. Jac
ques Goddet :
A l'occasion de la visite, à Paris,
du « onse » junior de l’AC Torino, qui
est en même temps la première visit:
de not> e club depuis l’immense désas
tre de Superga, nous renouvelons nos
remerciements aux sportifs français,
si touchés eux-mêmes par la pèrte de
ce magnifique athlète qu’était' Emile
Bonaiorni, pour la preuve qu’ils nous
ont donnée de leur grande solidarité
Nous pensons que lès sportils français
pourront apprécier à travers le jeu
de notre juvénile formation, l’œuvre
de. reconstruction entreprise dans no
tre club et que nous espérons métier
à bien avec le concours moral dès
sportifs du monde entier. Cordiale
ment. Per PAC Torino.
Hier matin, avant le match contre
le Stade, les Junior» de Torino ont
été à Fontenay déposer un; couronne
sur la tombe du regretté Milo Bon-
giorni
à ses adversaires (30*) par Bellon, A la
36 e , Gianmarinaro marquait lè sixième
but pour son équipe.
Marcone, infatigable constructeur,
présent à toutes les actions. Marçhettp,
Ferrari èt Tagini (qui a fait d’excel
lentes parades) ont été les meilleurs
de Torino Pour le Staxlê, Ranzosi II,
Alcan et Devaquez ont lutté avec ar
deur. mais ils ne furent pas assez ai
dés par les intérieurs qui permirent
aux démis advèrsairés de régler leur
jeu. — E, C.
faisant alors une excellente -démons
tration dé jeu. La première mi-temps
de termina sur le score de 1 à 1, buts,
marqués par Prunelle à la 14 e (Stade)
ét Balblano a la 24* (Torino).
Ou »’attendait a uné seconde m.i-1
COC A-M i N '?
LE BONBON DES SPORTIFS
Toutes pnarmâcies. — L’étui : 38 fr.
s’impose
Auehel b. Le Thîllot 1-0 (0-0)
(De notre corr. part. DURIEZ)
Sarrebruck garde
son million
SARREBRUCK — Au cours de la fi
nale des battus, Metz parut se retrouver
Lés Lorrains qui ne s’inclinèrent que pàr
3 â 2 ( 1-0 à la mi-temps) firènt souffrir
lés Yougoslaves Alors que les deux èqui
pes étaient à égalité (2-2), les Messins
laissèrent échapper sottement plusieurs
occasions de marquèr Baillot qui fut
pourtant le meilleur Lorrain, taanaua la
meritablemènt un but facile.
Rènnè* opposé à Sarrebruck fut beau
coup plus faible que la veille devant
COUPE DE LA SARRE
SAMEDI
Rennes b. Metz „..
3—2
1-0
DIMANCHE
FINALE VAINQUEURS
Sarrebruek b. Renne»
4—0
FINALE BATTUS
3—2
Bon terrain. Recette : 224.315 tr.
pour 2.496 spectateurs. Très bon ar
bitrage de M. Fontaine. But mar
qué : Léon (60 e ).
AUCHEL. — On ne donnait pas cher j
dè3 chances aucheiloises quand l’équipé |
pénétra sur le terrain indécis jbf-qu'4 j
l’ultime minute. Slomiàny et Szkudlàrefe,
blessés, jugèrent plus sage de céder leur j
place â deux jeunes en possession dè j
tous leurs moyens physiques : Flouquet |
et Zygmont Mais l’absence de ces lèà- '
ders d'attaque rendait très pessimistes
les supporters dès champions du Nord.
Certes, l’attaaue fut très faible, mats
elle n’èn réussit pas moins un but qui
lui donna la victoirè
Mises à part les 10 premières minutes,
où deux de leurs shots s’écrasèrent sur
la transversale, les ThillotipS ne s avé
rèrent guère dangereux Leur défense
supportait, la presque totalité du temps,
le poids des attaques aucheiloises, et
Zafranski. t'arriére central, et le gardien
Lebœuf se mirent en évidencè
A Auehel. toute l’equipe est à créditer
d’un bon match avec toutefois une pe
tite réserve pour certains attaquants
qui répugnent trop au shot.
MATCH INTERLIGUES
Auvergne b. Pari* •• 4—0
F. S. G» T.
US Goulët. Tunis b. CS Mêtrôp. FF 7—3 CÔ VincenbeS b. AS Amicale
Metz. Son équipé parut fatiguée Les
Bretons n'avaient sans doute pas dè ré
serves 1 ils firëht jouer Pleyer. leur en
traîneur. demi k»uche
La défaite rennaise fut sans appel t
4-0.
A signaler au cours de ce tournoi l’ex
cellence de l'arbitrage des directeurs d*
jeu. Belges et Suisses
Ainsi, sârrébruck conserve le million
qu’il offrait au vainqueur dii Challenge
de la Sarre Rennes gagné 750.009 francs
Split un dèmi-million èt Metz 230.000
francs, quatre prix qui ne sont ita* à
dédaigner,
Chronique de Rio
• MEXICO. — Lé journal « El Universal »
écrit auiourd’hui que lorsqu’ils ont
passé la visite médicale avant d» Par
tir pour Rio il s'est avéré que 16 des
23 joueurs sélectionnés pour représèrt-
ter lè Mexique dans lû Coupe fulés-
Rimet, étaient onérriiés.
La Fédération mexicaine a décidé de
se réunir èn sédncè extraordinaire oqqr
décider ce qu'il fallait faire avec lès
ioueurs anémiés.
Le journal ajoute : « Voici la raison
oour laquelle nos joueurs qui disposent
portant de rnodmfloues qualités nôtu-
relles manquent de résistanéë «t dé
peuvent, tenir les $0 minutés d'un
match de football. ». — U- F.
MATCHES INTERNATIONAUX
Yougoslavie b. «Sulsie 4-4
‘Finlande b. Holland* 4—1
MATCHES AMICAUX
Le Havre b. ‘Rouen 4—3
* Angers b. Le Mans t—0
AS Amicale b VGA St-MaUr 4—2
ÀSP Police b APS AP 8—1
RC Paris b US Villiers 5—4
COUPE DELPLENQUE (juniors)!
3—1 1
LE BUREAU FÉDÉRAL A FIXÉ
LE CALENDRIER INTERNATIONAL:
1 er oct. : France-Hongrie. — l* r nov. : France-
Belgique. — 10 déc : France-Hollande. — 4 juin 51 :
Italie - France et, en mai : tournoi britannique
(DVlC&y. ... Dàhs sâ séanee dè samedi ihatin, tenue à Vichy, où il était
invité pàr lâ Ligué d’Auvèrgno, qui fête son trêntena-lre d’une façon écla
tante, le Bureàu fédérâl a prie les décisions suivantes :
P En plus du match Italie-France fixé au 4 juin 1951, un match
Fràncê-Hongrie iérà, en principe, disputé le l (e octobre, à Paris.
Lè 1*’ novèmbre auront liéu, à Paris, le match Francè-Beigique et, dans
une ville non encore désignée, le match France B-Luxembourg. Le 10 dé
cembre sera disputé, à Paris, la
rencontré Frànce-Hollànde.
2 Tourhoi international britanni
que. On sait que ia Ffàncè a été in
vitée au grand tournoi internatio
nal qu organise lâ Fédération d’An-
gletêrre pour lé printemps prochain,
nôtre équipé devant jouér êft An
gleterre contré celles d’Angleterre èt
d'Ecossé. Le match contré l’Ecosse
aurait lieu probablement le 16 mai,
celui contré l’Angleterrê serait fixé
au 12 ou )9 mai
Mais ce ne sont là où® ôes pro
jets. Il faudra que la FFF obtienne
du Groupement son accord pour un
match international supplémentaire.
Avec les datés précitées, ce serait,
en effet, six rencontres internationa
les au programme de là saison alors
que l’accord avec lé Groupement est
seulement pour cinq,
Cett? question sera examinée â la
réunion du Groupement du 26 juin.
Cette réunion s’annonce très impor
tante, car les réformés envisagée?
e 'â" le Bureau y seront également
■i Tournoi international dèè ju
nior». Là FFF demandera à la FIFA
d’organiser, en France, à Pâques, le
Tournoi international des juniors, où
notrè équipé s’est distinguée, tant
l’an dernier en Hollande, en rem
portant la. victoire, qu’en Autriche
cette année, où elle s’èst classée
sécoride ce tournoi sera limité à
huit ensrogés
Le Bureau fut ensuite reçu à ..dé
jeuner par lâ Ligue d’Auvergne, Une
excursion fut organisée à Thièrs
qui émerveilla les invités. Le soir,
le RC vichy traitait somptueuse
ment tous ees hôtes. Lé préfet dé
l’Ailier et le maire de Viçhy as
sistaient à ces agâpes. Lé représen
tant dé L’Equipe fut partout ai
mablement accueilli.
Exode britannique
vers la Colombie
LONDRES. — Paul Roy. demi droit de
Swansèa Town (international gallois) et
Jack Hadlèy, arrière gauche d’Evertpn,
ont quitté !'Anglfttèrre pour rejoindre Bo
gota.
Les deux footballeurs britanniques ar
rachés au* tèrràpis de sport anglais
oar la promesse de pont* d’or, se sént
envolés vendredi soir de Frestwioh (Eco*
SG) pour New-York, première étape de
îèur voyage vers 1» Colombie.
„« mW*”!"”'
<* lim mrneà’ 00 *
. conseil® ar bv>-
oteor
roh' °.“j deù' 00
°-jhoôneG -nm en' cf
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\es
e*cePr- do oc
de
^cle* P ûr , U os^ C ° bU
ce 9 ' U u\ e he s de . à \’org° r ‘' s *
uant
COUPE DE PARIS
Bèmi-flnâies
CA Montreuil b. Chellei 4—0
Mèluh b. Pontoise 3—1
IL EST CELEBRE
Qui est-ce ?
Vent ci-éeèséoj
Catcheur d* classe, c'est
l'homme lé plus fort du monde,
il a soulevé dé terre 2Ô2 Kgs
”J« me suis débarrassé d'un grand
poids I Grèce à mon rasoir Gilleife
et i là lamé Gillitiê Bleu e j'ai
oublié une barba intraitable ” nous
a dit Charles Rigoulot, que vous
Ayez sans douté récônhu. Faites
comme lui, rasez-vous chaque matin
avec Gillette.
75 Francs las Cinq
ISO Francs leâ Di*
(taxés loêiiès éoé comprises)
K
Gillette Bleue
mouvei
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-attaque de la F]
être la supprel
es ma-tches militi
it jusqu’alors -1
FINALE DE LA COUPE LATINE DEVANT BENFICA
les réalisateurs DOYE et MUSTAPHA,
\lletit comportement de la défense des Girondins
la page — Jacques de RYSWICK)
hp pascoal est
i tir Astresse.
Klnç^ ■ K ev ,
os shootent à
[0 l . j français dan-
de Mustapha
■ uV ' r f,nier corner aux
è, n rSeÆ
Saï a ï do?,n ’ a - se -
* Z contre-attaque
11 f a balle à Pascoal
equel marque le
» 1 s on équipe
four
„ t bordelais
! fâtft début, les CR-
gu ragent pas et,
g tard, Doye. ra
battu de la gauche, clôture par un
tir de plein fouet une action de
Meynieu. ramenant ainsi la marque
à 2-1. Cependant, lès rapides atta
quants portugais surprennent et dis-
loquent encore une fois la défense
française et, à la 25 e minute, Julio
et Arsenio se trouvent seuls devant
Astresse, fort heureusement sans
Les Girondins, loin d’afficher leur
belle assurance de la veille, semblent
pourtant maintenant avoir trouvé et leur médiocr
un meilleur rythme et ont une ac
tion plus massive, plus soutenue,
plus technique aussi que leurs ad
versaires. Mais chacune des rapides
réactions portugaises, qui jaillissent
par à-coups, sont dangereuses. Lêè
reculer sur les attaques et il s’en
faut de peu que la marque soit aug
mentée par Julio à la 33*’ minute.
Enfin, cela va aller mieux à la
36” minute, lorsque Doye, sur passi
de Meynieu rééditera son explor
précédent et marquera lç but égali
sateur. Il est bientôt suivi d'un troi
sième but de Mustapha inscrit dé
très près à la 43' minute après un
premier essai de Persillon et un
chassé-croisé de la balle devant les
filets portugais. En cètté fin de mi-
temps, les Girondins retrouvent une
partie de leür autorité de la veille
début est oublié
Une très faible 2 * mi-temps
dès Girondins
Au début de la deuxième mi-
temps. la défense des champions de
défenseurs français ont tendance à 1 France recommence à hésiter comme
SAM EDI, AV COURS DES DEMI-FINALES
l'Atletico, Mustapha faillit, à la 75 e minute
fe la “balle de match” des Girondins
(|)e notre envoyé spécial Jacques de HYSWILK)
.„ ATLETICO DE MADRID i 4-2 (2-0). — Pelouse impeccable.
1 *»«tateur» (recette non communiquée). Beau temps avec vent
r l !ai«i assez violentes. Arbitrage « à compensation» » du Portu-
S Buts : Garrigâ <15''), Persillon (44'), Kargu (870, Doye
r Girondins : Ben Barèk (510. Oarlsson <780 pour l’Atletico.
L'effort le plus coordonné, le plus soutenu est, en pre-
r.'actif des Girondins, dont l’équipe, poussée par un vent
•L sur je terrain, ce qui contraste avec l’action passable-
L Espagnols.
1 arrêts et renvois de balle du jeune gardien Astresse
iance à l’arrlère-défense bordelaise, celle-ci prend de l’aè-
1 athlétique au milieu du champ, ce qui permet
Laquants de contrô-
)LA-
ONBON RAFRAIC
CHASSE LA LM
pharmacies. — L’f
l
an<
\ MARQUE DES
PORTIFS
Vous joindrez l'ét I
la liberté des mouvi
i choisissant un Ja!
zen signe :
rticles de bains.
:e: shorts, corsaires,p%
hirts, boxer-shorts d|
* de pull-over.
POUR LA
ET LE S P ^ °|
uJ style simple, sans
Lcellent alol.
Lises, dans le pre-
PL les défenseurs
LW hors de position
L (2), Kargu (3)
liment a en tirer
[tors de combat
nu te peu après un
i de pahino lancé par
w est contraint de
jambes de De Har-
Vésenté seul devant
[indo-bordelais reste
Irrain d’où on l’em-
|ligaments du genou
1 être réduit à dix
j tout le reste du
[continue pas moins
ment l’offensive et,
tarés l’accident de
Loup franc, tiré de
fearriga troue le mur
i s e loger dans le
filets de Domingo
[de celui-ci !
Linlre avants
■rants. la pression bor-
le entrecoupée de
fit subtiles réactions
Mes instigateurs sont
b Barek et surtout
Hier, après avoir bien
est à son tour
joueur ( 42*) et
[i mettre en corner.
(23’. 30\ 31*, 40'),
e (35*), Mustapha
|(43’) sont en bonne
lmais le sens réa-
1ns parait n’être pas
[u mi-temps appro-
lisqu’à penser qu’ils
Igaspillé leurs chan»
jouaient avec le
[ues secondes avant
[Ion va marquer un
Jla suite d’une auto-
I? envolée de Musta-
firolte: 2-0 au repos,
(présentent pas mal
[résultat on ne peut
■ les Girondins, nu-
limlnués et qui rega-
liaires très applaudis
pis... tiendront-ils ?
[équilibre numérique
i Pavant centre espa-
pichê au genou de-
pe, et qui était passé
I en boitillant, ne re
lie terrain. Les deux
Uonc à dix joueurs.
déchaîné, ' couvre
[min. et va marquer
madrilène à la 51’
Nr tiré par Olmeido,
lut Astresse qui, faute
ft pas détourné la
îamment d’autorité et
«tes suivantes vont
i e supériorité territo-
®ns qui, plus athlè
tes sur la balle, oc-
‘P avec une aisance
1 grande joie et sous
l’assistancé. Durant
[ode, l’équipe espa-
^teralement pétrifiée,
dent devant les buts
certains joueurs bor-
bstapha. en profitent
«lue peu leur talent
“monstration indivi-
’j 11 eeci se ’ traduit nê-
mavque et lorsque,
vant Domingo, met au-dessus une
balle à ras de terre de Kargu venant
de la droite, on a l’impression que
les champions de France viennent de
perdre leur balle de match.
En effet, leur belle aisance, leur
tonus s’effrite ; ils paraissent main
tenant fatigués et, trois minutes
plus tard (78*) le rusé Carlsson éga
lise à la suite d’un bon travail d’Es-
truch. Les Girondins vont-ils perdre
un match qu’ils ont dix fois été en
puissance de gagner ?
Enfin, le couronnement l
Non. Ils s’accrochent avec une
belle énergie, puis repartent à l’as
saut des buts madrilènes et, dans les
trois dernières minutés, ayant tardi
vement trouvé l’étincelle d’effica
cité, vont recevoir, à deux reprises, le
couronnement de leurs efforts par
Kargu (87*). qui clôture magistrale
ment par un tir bolide un bon tra
vail préparatoire de Doye, puis (89*)
sur excellent relais de balle, Kargu-
Gallice, par le même Doye, dont le
tir èn déséquilibre est parachevé par
un coup de tête aussi désespéré
qu’inutile de l’arrière gauche espa
gnol Lesmès, lequel accompagne là
balle dans les filets.
Ce succès des Girondins acquis
non sans quelque panache a surtout
mis en relief les qualités d’homogé
néité, la bonne condition athlétique
et l’esprit communautaire de l’équipé
championne de France. L’arrlère-dé
fense. Garriga en tête, y a cependant
pris une part prépondérante ainsi
que Galllce, Doye, excellent et intel
ligent organisateur offensif, mais
moins bon finisseur ; Kargu, travail
leur inlassable, Persillon et Musta
pha, brillants par intermittences.
Beaucoup moins de jeu collectif
chez les Espagnols à la défense et
aux demis assez faibles, au marauage
déficient et dont les deux meilleurs
joueurs furent Ben Barek, dont l’ac
tion opiniâtre fut pourtant assez
dispersée, et surtout le vif-argent
Carlsson, malheureusement trop li
vré à lui-même et... souvent peu
compris de ses coéquipiers.
ATLETICO MADRID : Domingo — Pa
rias, Babot (Valladolid), Lesmes (Val-
ladolid) - Hernandez, Ouenea — Ben
Barek, Carlsson — Olmeido (Rea)),
Pahino (Real) Estrueh.
BORDEAUX : Astresse — Garriga,
Swlatek, Mérignâc — M’Barek, Gallice
— Mustapha Doye — Persillon. Kargu,
De Harder.
iang les premières minutes de la
partie. L’equipe bordelaise a-t-elle
épris le match trop en confiance ?
2st - elle fatiguée de son match
l’hier ? Toujours est-il que son
•ythme va paraître brisé durant tou-
es les 45 dernières minutes. On
nultipliè lès erreurs à tous lès
rayons chez , les Girondins où re
ine la panique. A la 56* minute, dé-
aissé par Garriga, Pascoal, recevant
one balle en profondeur de Rogiero,
remet les deux équipes â égalité. Les
Girondins viennent de payêr léur
nauvais début.
Les Girondins paraissent affectés
par cette réussite portugaise et leur
caible exhibition continuera durant
tout le reste du temps réglementaire
C’est une équipe harassée qui, sem
ble évoluer sur le terrain On ne
marque pas, les passes sont mau
vaises et c’est le football françâis
dès mauvais jours qui est exposé
sous lés yeux dès spectateurs liebon-
nais Les Portugais en profitent
d’aillëurs pour mieux jouer qu’en
première mi-temps èt tout ce qu’ils
font est dangereux. A la 71 e minute,
Mérignac retient Corona par la
jambe dans la surface de réparation
française Mais l'arbitre espagnol, M.
Fonfrbona, n’accorde pas le penalty
réclamé par le public. Un peu plus
tard, Paècoal tire sur la barre.
En fin de partie, la pression de
Bênfica s’émousse quelque peu et
les Girondins, décidément exténués,
ne peuvent en profiter et s’estiment
finalement heureux de terminer le
temps réglementaire sans avoir en
caissé un nouveau but après avoir
donné l’impression de pouvoir ga
gner facilement ce match en fin de
première mi-temps.
Prolongation
Là prolongation est jouée par
deux équipés épuisées. Cependant,
les Girondins trouvent quelques
dernières ressources d’énergie poür
obtenir six corners durant le pre
mier quart d’heure. De leur côté, les
Portugais attaquent à la reprise et
Corona (106 s ), seul dévânt AstressÇ,
met la balle dehors à la grande dé
ception de la foulé qui crie : « Ben-
fica, Benfica » depuis de longues
minutes. Sur la fin, Bordeaux sem
ble trouver u.j sursaut d’énergié
nouvelle pour occuper lè térr&in.
mais les tirs de ses avants sont sans
force et le résultat reste inchangé.
Les seuls joueurs girondins qui
PAS DE DECISIONS, MAIS DE GRANDES PROMESSES A VICHY
LA F. F. F. REMET TOUT EN QUESTION !
De la formule même du professionalisme au recrutement des
clubs en passant par le calendrier international , les problèmes
de technique et Vexistence de la Division II
Que la montagne, maintenant, n'accouche
pas d'une souris !
(De notre envoyé spécial Maurice PEFFERKORN)
aient supporté aujourd’hui ce match
furent Swlatek, qui eut lé grand
mérite de tenir, durant toute la se
conde mi-temps, une défense extrê
mement en péril et èn déséquilibre,
Gallice, qui tenta de redresser la
barre d’un navire à la dérivé, et, en
attaque, Doye, non seulement pour
les deux buts qu’il marqua avant lé
VICHY. — Dimanche matin, le Bureau fédéral a tenu une séance sup
plémentaire afin d r étudier, comme le laissait prévoir L’Equipe, un plan de 14
travail susceptible d’apporter quelques solutions aux problèmes que pose
actuellement le football français, tant dans ses manifestations nationales
que dans ses productions internationales.
On s’attendait peut-être à ce qu’il fît connaître d’importantes déd
iions en ce qui concerne l’oraani- .
bail français. Ils ont assurément l un
èt l’autre un caractère biéü tran
ché. Nous avons beaucoup d’estime
et de reconnaissance pour le travail
important accompli par Gqbriel Ha
noi et nous êstimons prédeux éga
lement le concours dévoué et en
thousiaste que nous a apporté Paul
Nicolas. Qu’il y ait opposition fan
dère de doctrine entre eux, ceic
sation générale du football français
C’était là anticiper trop délibéré
ment sur les intentions et les pro-
En réalité, aucune réforme parti
culière n’a été envisagée. Le bureau
n’a rien voulu faire de prématuré,
rien d’improvïsê. A l’instigation du
président Gambardella, qui a fait , „
partager ses viiès par ses collègues,' m’étonnerà’t fort ; rn tout cas, cela
il a pris la résolution de réèxaminer i è$t aussi Un sujet d’examen, ici
... .. ,à fond la situation actuelle, de rt- \ comme là. ii pense que sont recon-
repos, mais encore pàr le jeu cons- i chercher les causes du mâmsme ; nues èt admises les vérités essen-
tructif qu’il fut le seul, avec Gallice,'
à essayer dé pratiquer par la suite.
GIRONDINS : Astresse — Garriga,
Swlatek, Mérignao — M’Barek, Gallice
— Mustapha, Meynieu — Persillon,
Kargu, Doye
BENFICA : Bastos — Jaeinto, Félix
Ftrnàndez — Morelra, Costa — Arsenio,
Rogerio - Corona, Julio, Pascoal,
ENTRE ATLETICO ET LAZIO
LA GUERILLA A CONTINUÉ
ATLETICO b. LAZIO : 2-1 (2-0),' — Buts pour l’Atletico : Ben 8arek (9*),
Escudèro (10') i buts pou” Làzio : Flâmini (74*) Arbitrage de M. Tordjman.
LISBONNE. — Cé match constitua un spectacle assez navrant. La
guérilla, commencée une semainè plus tôt à là Corogne entre les deux
équipes, se poursuivait à Lisbonne.
A la treizième minute, après un échange de coups entre Carlsson et travaux sera déterminé
Piacentlnl, l'arbitre français M. Tordjmàn expulsa les deux adversaires.
Puis, après toute une série d’incidents et dè récriminations, plus ou
moins pittoresques des dêux équipés et du public, deux autres joueurs
furent sortis : Magrini (43 è ) et Es-
qu’ont mis en évidence non seule.- • tielles. et je dirai prisqué êlernèl-
mènt les résultats internationaux ! le.s. du foàtball.
niais la saison internationale tout' d) Il est possible que nous pous-
entière. Rien hé sera plus désormais siôns t r ès loin (fahs le domaine de la
considéré comme un dogme intan- structure du football français, com-
slble ou sacé. et c'êst en cela sur-, me l’on dit, On ira jmqu'à exapij-
tout que l'esprit prend un c&rae- j ner i Da,r_ exemple, si l’éxistepce de
tère réformateur, sinon révolution- j là deuxième division professioftnelle
naire : il n’y a plus de vérité éta
blie ni de conformisme.
En somme, c’est commè si une es
pèce de doute régnait maintenant
sur les traditions du football fran
çais, traditions un peu jeunes en
core, à vrai dire, s’il s’agit du pro
fessionalisme pris à titre d’exempts.
C’est donc à une vaste confronta
tion qu’il va être procédé, en partu
culier par le Groupement Dès <*
3 6 luin, un certain nombre de ques
tions seront abordées en çom.mnn
avec ses représentants et ceux du
bureau fédéral Un accord unanime
sera recherché et un proçrram.me dè
cudero (80*).
Les algarades et accrochages se
poursuivirent durant toute la par
tie ce qui ne fut pas pour corser
son intérêt sportif.
rations durant un bon moment, mê
me lorsque l’équipe italienne jouant
à nèuf. marqua un but par Flami-
ni (74*).
Le terrain à explorer
ATLETICO : Dauder — Tinte, Rîera,
L Atletico avait fort bien com- ; Lesmes _ oimeida, Farias - Bèn Barek,
mence bien mieux que la veille de- Àgustin - Estrueh, Carls?on, Escudèro.
vant Bordeaux. en marquant deux) LAZIO : Fioravanti - Antonazi, Spu-
Mais nous avons voulu obtenir (te
M. Gambardella sinon des précisions
supplémentaires qu’il ne pouvait pas
donner, du moins quelques exem
ples dè problèmes à examiner ovj
naissent éCIAiràr rt’iln iniir un np.li
BENFICA, RÉADISTE, BAT LE LAZIO
AU JEU..* SI PEU ITALIEN !
BENFICA b. LAZIO : 3-0 (2-0), — Arbitrage un peu sévère... pour les Ita
liens de l’Espagnol M. Arqué, qui dirigea le récent match Franoe-Ecosse. But» :
Rosario (0')< Rogerio <23\ *ur penalty). Arsenio (70 e ).
LISBONNE. — En regard du précédent, ce match parut, passablement
terne et 11 ne s’eh dégagea que des impressions assez floues. L’idée cons
tructive parut peq recherchée par l’une et l’autre des deux équipes. De
REPETITION DE COUPE DU MONDE A BERNE
Bobek et Mititch, les inters yougoslaves
donnent une bonne leçon à la Suisse
(De notre envoyé spécial Max IJRBINI)
YOUGOSLAVIE b. SUISSE : 4-0 (3-0). — Bon terrain. 17.800 spectateur».
Bon arbitrage de M. Baert (Belgique), Buts ; Tehaikowsky II <130. Tomase-
viteh (24*), Bobek (40 e ), Atanatkovitch (87*).
BERNE. — Fait exceptionnel, le troisième match Suisse-Yougoslavie
vient d’opposer au Vankdorf Stadion, terrain des Youngs-Boys dç Berne,
deux équipes qui se rencontreront le 25 juin à Belo-Horizonte poqr ie
plus, le jeu fut émaillé d’accrochages et l’arbitre dut renvoyer aux ves- groupe n* 1 de la Coupe Julès-Rimet.
tia-ires cinq minutes avant.la fin, l’ailier droit Puccinelli. ! Cette sorte de « répétition générale c fut donc favorable aux You-
La seule supériorité démontrée par les Portugais fut dang le domaine goslaves qui surclassèrent leurs adversaires « tant qu ils 1« désirèrént ».
de l’efficacité. Us engagèrent le match avec beaucoup plus de détermina
tion que les joueurs de Rome et, à
la 6* minute, marquèrent par le ra
pide ailier gauche Rosario un but
d’ailleurs entaché de hors-jeu
telles de la porte, leur action de
meura cloisonnée et contrasta singù-
lièrement avec le jeu ample, ouvert
et varié que les bonnes équipes jtâ-
A la 23* minute, l’intérieur gauche i liennes ont l’habitude de produire.
Rogerio inscrivait un deuxième but Ceci dit, _ l'arrière-défense de Ben-
sUr penalty et. en seconde mi-temps,
l’intérieur droit Arsenio (76*) com
plétait le score.
Pourtant, au fil des minutes,
l’équipe du Lazio, dont cinq ou six
joueurs relevaient d’angine, comme
on le sait, paraissait s’améliorer et
parvenait à manifester une certaine
prédominance technique, notamment
dans la frappe de balle et le jeu de
tête que les Italiens pratiquaient
avec une belle maîtrise.
Malheureusement pour eux. leur
effort offensif se limita aux baga-
fica eut à faire fâce, en~ deuxième
mi-temps surtout, à quelques situa
tions fort délicates.
Meilleurs joueurs, à Benfica : Ja-
cinto. Félix, Moreira. Arsénio. Rose-
rio; au Lazio : Sandroni, Puccinelli.
Flamini. — J R.
BENFICA : Bastos — Jaeinto, Félix,
Fernandez — Moreira, Costa — Arsenio,
Rogerio — Corona, Julio, Rosario.
LAZIO : de Fazio — Antonazzi, San
droni (Venise), Piacentini — Alzani,
Magrini — Trevisàn, Flamini — Puèci-
nelli, Aree. Nyerè II.
c’est-à-dire pendant les 60 premières minutes de jeu (en fin de partie,
les Suisses eurent quelques bonnes ~z—r.
tère et son homogénéité.
Kde BORDEAUX
[^FRANCE 1950
r a ct&rxXÜ
ballons
^bonnes maisons
L" ,Es DE SPORT Haoon
Herrera, Ben Barek, Domingo, Carlsson
rendent hommage aux Girondins
(De notre envoyé spécial)
LISBONNE. — « Vous avez dû trouver notre équipe méconnaissable,
nous a dit Herrera à la suite du match Girondins-Atletico (4-2). Conve
nez que l’absence de nos sélectionnés Lôzano, Mencia, Silva et Juncosa et
aussi celle d’Aparicio et Riera, actuellement en forme moyenne, y sont
pour quelque chose. J’avais, certes, comblé Les vides avec de boris éléments
de Valladolid (Babot, Lesmès) et du Real Madrid (Olmeido. Pahino). mais
notre onze avait perdu son carac- ~
suis pas de l’avis de Ben Barek ;
s'il y a une équipe qui n’a pas été
défavorisée par t’arbitrage, c’est
bien, samedi, celle de l’Atletico.
Par ailleurs. Ben Barek rend hom
mage à l’équipe des Girondins qui
pratique, dit-il, « un bon football
solide dans toutes ses manifesta
tions surtout en défense. Ils ont.
en Kargu. conclue-t-il. un très bon
avant centre parce qu’il se déplace
constamment, fait jouer ses voisins
tout en étouffant les défenseurs ad
verses ».
Domingo, lui, avoue que le trai
tement a la pénicilline qu’il avait
subi toute la semaine (angine)
l’avait affaibli. « Mais, ajoute-t-il
notre arrière-défense s’est par trop
laissé malmener par les avants
bordelais qui se sont, à maintes re
prises, présentés seuls devant moi;
ils auraient pu marquer bien da
vantage ! »
Quant à Carlsson, il déplore sim
plement que ses camarades de l’at
taque n’aient pas- davantage joué
avec lui, « car moi aussi, dit-il. jè
pouvais èt devais marquer plus d’un
but ». — J. R.
C’e.st au contraire l’homogénéité
et aussi la bonne valeur athlétique
qui font la force des Girondins ;
contre eux, nos joueurs ont été
constamment en retard sur la balle
et, contrairement aux champions de
France 1 , ils ne se sont pas accrochés.
Sans doute mes joueurs ont-ils souf-
Cb fort de la chaleur davantage que
! Mu s tanha seul de- leurs adversaires français. De plus,
^ ' la blessure de Pahino a désorganisé
notre attaqué comme d’ailleurs celle
de De Harder a handicapé celle des
Girondins »
, Ben Barek estime que l’arbitre du
match Girondin s-Atletico, le Portu
gais de Oliveira, a défavorisé son
équipe en ne sifflant pas un penalty
pour l’Atletico lorsque lui-même
fut crocheté par Mérignac dans la
surface de réparation (53’). Sans
doute ; mais, quelques minutes plus
tard M. de Oliveira fit preuve de
la même indulgence à l’égard de
Babot lorsque ce dernier 'ceintura
Kargu en position dè tir Je ne
^ LeurM
1ère d'Ai 5 )
6-4 ! 4_ , 6 i ?i?a
î lutte a été J
ais un bon 0 .
BIÈRE D’ALSi
ousseuse et i a tj|
^envolée '• i ni
‘ 6 "réconfort J
aites comrï^
Sà
alsa
’ -an œcftuMr
Une boisson délicieuse, naturelle et
rafraîchissante : PERRIER avec le jus
d’un citron, d’une orange, ou d’un
pamplemousse. Quand lâ saison
est venue, essayez aussi le mélange
PERRIER — fruits rouges : fram
boise, groseille ou cassis. Le fruit
apporte son parfum et ses vitamines,
PERRIER, le champagne des eaux
de table, dispense sa fraîcheur et
la légèreté de son gaz naturel.
puissent éclairer d’un jour un peil
plus cru la toile de. fond de ce ta-
bleuît atix dimensions èt aux cou
leurs quelque peu incertaines,
a Des exemples, en voici nous dit
jolis buts par Ben Bare£ (9*), puis ! rio, Piacentini — Montànàri. 'séntÎBÎéiiii j «*) ^Nom * irons iusou'à examtnêr
Escudèro (16*) Par la suite ce fut Ml - Penzo, Flamini - Pucinelli. Hoh Lj 4 formu ie même âu prôfèssio
le Lazio qui prit l’initiative dès opé-'flmg, Nyêrs II. inalisme ne doit pas être remisé én
cause,. Rien né prouve, actuellement-
que lè professionalisme intégral à
la manière anglaise, qui est le nô
tre, est bien la formule qui s'impose
chez nous èn ce moment Qui nous
dit ou’il n’est pas recomrriandnblé
Simple supposition, d’en venir à la
formule belge des indépendants ? Ou
bien, au contraire, dé s’engager dans
la voie dès sociétés î responsabilité
limitée ’
b) Pour t organisation mèmè d*\
nos épreuves officielles on examine■ '
ra si la longueur èt l’enchevêtre
ment du calendrier ne sont, pas su
jets à des modifications de prjnci
pe Faudra-t-il faire disputer a’(Abord
lèS êpreiiv»* interclubs puis les ren
contres internationales ? Lè rèjèl
d» tous lès matches internationaux
en fin de saison ne semble pas avoi r
été une formule idéàlè- On Constate
que. fin mai. la plupart des loueurs
èàni à fohd de course, noû pas pqi
manque dé bonne volonté et de
conviction mais par insuffisance de
rendement. A côté de cela, pourquoi
obsetve-t-on que les Girondins ar
complissent à l’étrannër une série
d’exploits très réconfortants . ? Nous
rechercherons le,s raisons Et cela
nous amènera fatalement à exami
ner les problèmes que pose l’èn
trainement
c) Nous aborderons ainsi lés pro-,
blêmes de technique proprement
dits II est intéressant de savoir Si
en vue de la préparation de l'équipe
d* France il ii’est pa$ possible d'ap
pliquer Un programme d’entràine
ment, typé pour lès clubs. A çe pro
pos, I on a parlé de deux écoles qui
sè feraient opposition dans le foot
ball français : l’école Hanot et
l’école Nicolas. Je ne puis admettre
qu’il y ait opposition de doctrine
entré èes deux personnalité? du font
continué à s imposer, de mèmè que
l’On se demandera s’il ne convient
pas dé supprimer le Championnat,
de France amateurs.
Vous me demandez des exemples:
en voilà. Mais que l'on sache sur
tout qu’il n’y a aucune idée pré
conçue de notre part, aucune déci
sion arrêtée,
e) il n’èst pas jusqu'au grand pro
blème de la formation des jeunes
qui ne sera étudié minutieusement
Il peut avoir dès répercussions sur
la règlementation même du profes
sionalisme. Il est possible nu’on soit
conduit à demander aux clubs d’in-
tènsifièr leur éducation des jeunes,
èn proportionnant par exemple le
nombre de loueurs importés au nom
me dès joueurs formés dans le club
C’est toute la politique des trans
ferts qui pourrait, être, influencée de
ce fait. Dans quelle mesure y a-t-il
opposition de doctrines sur cè sujet?
C’est à voir. Nous trouvons que les
questions d’achat, et de vente de
loueurs ont aujourd’hui trop d’*m-
Pas de « technicien »
français au Brésil...
(De notre envoyé spécial)
VICHY. — Dans sa séance de di
manche, le bureau fédéral a confirmé
déeision prise antérieurement
d’envoyer au Brésil, à l’occasion rie
la Coupe Jules-Rïmet, MM, Dslaunay
et Conrlé. Mais aucun membre de
la commission technique ni du comité
de sélection ne ie» acoompagnera-
portance et qu’on négligé, de ce
fait, l’éducation des jeunes. Cela
nous préoccupé beaucoup »
Dans l’expectative
Ainsi nous parla le président Gain-
bardella, avec une sérénité dans lè
non-conformisme qui séduit et in
quiète à la fois. Le résumé que nous
venons de faire de ses déclarations
montre que le bureau de la 3 F se
propose un travail d’une importance
considérable. On pourrait en dé
duire qu’il existe actuellement , chez
les hauts dirigeants du football
français, à la fois beaucoup d’espé
rance èt beaucoup de scepticisme.
Espérance quant aux réformes que
l’on entreprendra ; scepticisme
quant aux résultats obtenus.
Nous ne nous trouvons en ce mo
ment qu’en présence d’un état d’es
prit. Dans quelle mesure la volonté
d’aboutir et les moyens de le faire
))aurront-ils être employés ? On
note em tout cas, et ceci est très
important, qu’un accord intime en
tre le Bureau fédéral et le Groupe
ment doit être réalisé à bref délai,
dans une quinzaine de jours. L’ob
tenir sur le plan de la préparation
de l’équipe de France serait déjà
une précieuse acquisition.
D’aucuns diront peut-être qu’à
Vichy la montagne a accouché d’unè
souris, puisque aucune décision
spectaculaire n’a pu être enregistre*.
Pour nous, nous considérons que le
champ d’action qu’on se propose
d’explorer est pour ainsi dire sans
borne. Il reste de beaux jours pour
la discussion. On souhaiterait qu’il
n'y en ait pas moins de beaux pour
la mise en application. En tout cas,
aujourd’hui, en Auvergne, il y eut,
entre Gaulois, grande promesse d’ac
cord pour lès révolutions prochai
nes .
réactions individuelles).
Fidèle à son fâ me hx « verrou », la
défense suisse se trouva en présence
d’une attaque intelligente, utilisant à
merveille les xléfauts d’un système
d’autant plus... dangereux qu’il était
appliqué par des hommes statiques et
peu clairvoyants.
D'abord surprise, puis complètement
désunie, elle opéra au « petit bon
heur ». 6ans jamais cheroher à com-
prendie. Les avant yougoslaves |’en
donnèrent donc à coeur-joie. Grâce à
de longues * transversales ■ d’une ai
le vers l’autre, ils désaxèrent rëguliè-
rémerit les arrières suisses (surtout en
première mi-tempsj
StUber, trè. souvent mal protégé, *é
mit en évidence.
SUISSE : Stuber (Lausanne) — Gyger
(Cantonal), puis Rey (Young Fèllows),
Stiffert (Cantonal) — Neury (Ltiganb)
Egglman (Servétte de Genèvé), Quirtche
(FC Berne) — Biekèl (Grasshopers), puis
Sehtieiter (Zurich), Anten»n (Chaux-dé-
FonuS), puis Friedlànder (Lausanne),
Beîrli (Young BoyS), Hassler (Lugano),
puis Bocquet (Lausanne). Siegenthàlèr
(Young Fellows) puis Fatton (Servette dé
Genève)
YOUGOSLAVIE : Markouehiteh (Etoile
Rougè) — Horvat (Dynamo), JôvànéViteh
(Partisan), Stankovitch (Etoilé Rouge)
— Tchaikowski I iPartisan), Ojanteh
(Etoile Rouge) — Mititch (Etoile Rôugèl,
Ognanov (Etoile Rouge)
Tomassvitch (Etoile Rougè) Tèhaikowski
Il • (Dynamo).
offensives entre Mititch. Tomasevitch
et Bobek d’une part, les demis Dja-
jitch et Tchaikowski I, d'autre Part
(ces deux derniers attaquèrent, quand
ils le voulurent), elles «è pâsèèrent lé
mieux du monde sous les yeux d’élé-
merits défensifs d’une passivité éton
nante.
Un très beau but de Bobek
La Yougoslavie réussit trois buts èn
première mi-temps par son ailirr
gauche Tchaikowski il, complètement
démarqué (13® minute) à la suite d’un
mouvement dè Mititch qui attira la dé
fense suisse vers là droite, centra sur
Bobek dont ta déviation de balle vers
le shooteur victorieux fut un modèle
de facilité: par son avant centre. To- RENNES. — Jouer des rencontrés officielles à cette époque est unè
masevitch, bien servi par Bobek, apres véritable gageure. L’orage n’éclata pas dan* le ciel malgré Jes menacés,
une démonstration collective des tou niais il faillit éclater sur le terrain. Heureusement, l’autnrité dé M. Devàu-
—i u.i+b if.A- tm. j 0Ur évita des incidents.
Ceci ne retire rien au mérité de« Rennais qui Jouèrent pratiquement
la deuxième mi-temps à dix, Pérou
CHAMPIONNAT DE FRANCE AMATEURS
LE CŒUR DE RENNES
ARRACHE LA VICTOIRE
(De notre envoyé spécial Jean DlJ!V 10 NT|KR)
RENNES b. MYERES : 2-1 (1-8). — Très bon ttrrâin, Récétte i 30.000 tr.
pour 423 spectateurs. Bon arbitrage de M Devautour Buts pour Hennés i
Lepetit (43 p èt 87 e ) ; pour Hyèrei : Neubert (77 ),
goslaves face aux buts suisses (24 e mi
nute) ; par son inter gauche, Bobek,
- encore lui - auteur d’un tir du
pied gauche dans la foulée absolu
ment remarquable, après une ouvertu
re de Mititch (40 e ).
Après le repos, la Suisse présenta
une formation remaniée. Elle fit meil
leure figure, car lès Yougoslaves se
contentèrent de plaire au public, «ans
« exagérer les choses ». Remarquez
bien qu’ils jbfinrent un quatrième i
but. à trois minutes du coup de sif
flet final, par l’intermédiaire d’Ata-
natkoviteb, remplaçant Bobek légère
ment touché â la cheville
Au sein d'un en-sémble jouant pour
gagner, mais n’ayant pas besoin de
forcer outre mesure, les demis Tchai-
kowskî I et Djajitch (actifs, bons at
taquants), les inters Mititch et Bobek
(organisateurs de premier ordre), en
fin l’avant centre Tomasevitch (cons
tructeur d’attaque bien inspiré) fu
rent les éléments les plus en vue.
Parmi les Suisses, seul le gardien
avant été blessé à la 44* minute
Les Bretons s’accrochèrent avec un
coeur magnifique et l’ailler droit, iè
remplaçant Lepetit, s’il ne fut pas
le meilleur élément, eut le mérite i
de marquer les deux buts.
Les Hyérois jouèrent un peu an
LES JUNIORS DE TORINO
DIGNES DE LEURS AÎNÉS
Torino b. Stade-R.S, (juniors) : 6-1 (1-1)
POULE FUSALE (5 *
journée)
*Auchel (2) b.
Le Thillot
(3).. 1-0
*Rerines (4) b.
Hyères (1) .... 2-1
P 1 * J G.
N. P. p C
1. Auehel
.653
0 2 9 4
2. Hyères . .. ,
.853
0 2 9 5
3. Le ThillOt
.452
0 3 4 0
4. Rennes
.452
6 3 7 14
grand» seigneurs. Robert Neubert
se firent fréquemment rémarquer,
maïs l’attaque semblait avoir pèrdu
toutés ses qualités de réalisation.
Pratali, bléssé lui aussi en première
mi-temps, joua, par la suite, à l’aile
droite, mais fut cependant plüs utile
à son équipe que Péron chez les Brë-
tons.
Hyëres, par manque de conviction,
a laissé échapper une belle occasion.
Les Rennais ont joué franchement iè
jeu. Le cœur qu’ils mirent à l’oU-
Le match qui opposait hier à Buffalo l’équipe « junior n de Torino vrage méritait cètte belle récompense,
à cèlîe du Stade RS a été gagné aisément par les jeunes Turinois par le j Meilleus joueurs : à Rennes, Sellier,
score de 6-1 qui pourrait faire croire que les Stadistes ont été surclassés : Sorel, Maiseau et Ponceaux ; à Byè-
d’un bout à l'autre, ee qui ne fut pas. ires : outre Robert et Neubert, Ditto
En effet, dans la première mi-temps, les Stadistes s’opposèrent avec et Demària firent un gros travail.
bonheur aux actions bien conduites -— , .....
temps également très disputée, mais i> . A.ir.Iwl
tout d’un coup les Stadistes baissé-, * OUrtaut incomplet, Aucilel
rent le ton.
Ce fut alors la déroute pour eux
Frappant fort et précis, les Turinois
accentuèrent leur pression, marquant
des bute dé belle facture. Auj 8* 0 e et
13*. c’est le buteur Marchetto, décon
tracté et souple, qui surprit la défense
stadiste de plus en plu* désorganisée,
qui alla même jusqu’à offrir un but
par le.s Turinois, donnant même
l’impression de dominer grâce à la
rapidité de leur jeu.
Mais les Turinois. handicapés par le
terrain trèâ sec. «e reprirent aussitôt.
M. Novo à « L’Equipe » :
« REMERCIEZ
LES SPORTIFS FRANÇAIS a
Voici le télégramme que lè président
de PAC Torino, M. Nôvo, a adressé,
hier à notre directeur général. Jac
ques Goddet :
A l'occasion de la visite, à Paris,
du « onse » junior de l’AC Torino, qui
est en même temps la première visit:
de not> e club depuis l’immense désas
tre de Superga, nous renouvelons nos
remerciements aux sportifs français,
si touchés eux-mêmes par la pèrte de
ce magnifique athlète qu’était' Emile
Bonaiorni, pour la preuve qu’ils nous
ont donnée de leur grande solidarité
Nous pensons que lès sportils français
pourront apprécier à travers le jeu
de notre juvénile formation, l’œuvre
de. reconstruction entreprise dans no
tre club et que nous espérons métier
à bien avec le concours moral dès
sportifs du monde entier. Cordiale
ment. Per
Hier matin, avant le match contre
le Stade, les Junior» de Torino ont
été à Fontenay déposer un; couronne
sur la tombe du regretté Milo Bon-
giorni
à ses adversaires (30*) par Bellon, A la
36 e , Gianmarinaro marquait lè sixième
but pour son équipe.
Marcone, infatigable constructeur,
présent à toutes les actions. Marçhettp,
Ferrari èt Tagini (qui a fait d’excel
lentes parades) ont été les meilleurs
de Torino Pour le Staxlê, Ranzosi II,
Alcan et Devaquez ont lutté avec ar
deur. mais ils ne furent pas assez ai
dés par les intérieurs qui permirent
aux démis advèrsairés de régler leur
jeu. — E, C.
faisant alors une excellente -démons
tration dé jeu. La première mi-temps
de termina sur le score de 1 à 1, buts,
marqués par Prunelle à la 14 e (Stade)
ét Balblano a la 24* (Torino).
Ou »’attendait a uné seconde m.i-1
COC A-M i N '?
LE BONBON DES SPORTIFS
Toutes pnarmâcies. — L’étui : 38 fr.
s’impose
Auehel b. Le Thîllot 1-0 (0-0)
(De notre corr. part. DURIEZ)
Sarrebruck garde
son million
SARREBRUCK — Au cours de la fi
nale des battus, Metz parut se retrouver
Lés Lorrains qui ne s’inclinèrent que pàr
3 â 2 ( 1-0 à la mi-temps) firènt souffrir
lés Yougoslaves Alors que les deux èqui
pes étaient à égalité (2-2), les Messins
laissèrent échapper sottement plusieurs
occasions de marquèr Baillot qui fut
pourtant le meilleur Lorrain, taanaua la
meritablemènt un but facile.
Rènnè* opposé à Sarrebruck fut beau
coup plus faible que la veille devant
COUPE DE LA SARRE
SAMEDI
Rennes b. Metz „..
3—2
1-0
DIMANCHE
FINALE VAINQUEURS
Sarrebruek b. Renne»
4—0
FINALE BATTUS
3—2
Bon terrain. Recette : 224.315 tr.
pour 2.496 spectateurs. Très bon ar
bitrage de M. Fontaine. But mar
qué : Léon (60 e ).
AUCHEL. — On ne donnait pas cher j
dè3 chances aucheiloises quand l’équipé |
pénétra sur le terrain indécis jbf-qu'4 j
l’ultime minute. Slomiàny et Szkudlàrefe,
blessés, jugèrent plus sage de céder leur j
place â deux jeunes en possession dè j
tous leurs moyens physiques : Flouquet |
et Zygmont Mais l’absence de ces lèà- '
ders d'attaque rendait très pessimistes
les supporters dès champions du Nord.
Certes, l’attaaue fut très faible, mats
elle n’èn réussit pas moins un but qui
lui donna la victoirè
Mises à part les 10 premières minutes,
où deux de leurs shots s’écrasèrent sur
la transversale, les ThillotipS ne s avé
rèrent guère dangereux Leur défense
supportait, la presque totalité du temps,
le poids des attaques aucheiloises, et
Zafranski. t'arriére central, et le gardien
Lebœuf se mirent en évidencè
A Auehel. toute l’equipe est à créditer
d’un bon match avec toutefois une pe
tite réserve pour certains attaquants
qui répugnent trop au shot.
MATCH INTERLIGUES
Auvergne b. Pari* •• 4—0
F. S. G» T.
US Goulët. Tunis b. CS Mêtrôp. FF 7—3 CÔ VincenbeS b. AS Amicale
Metz. Son équipé parut fatiguée Les
Bretons n'avaient sans doute pas dè ré
serves 1 ils firëht jouer Pleyer. leur en
traîneur. demi k»uche
La défaite rennaise fut sans appel t
4-0.
A signaler au cours de ce tournoi l’ex
cellence de l'arbitrage des directeurs d*
jeu. Belges et Suisses
Ainsi, sârrébruck conserve le million
qu’il offrait au vainqueur dii Challenge
de la Sarre Rennes gagné 750.009 francs
Split un dèmi-million èt Metz 230.000
francs, quatre prix qui ne sont ita* à
dédaigner,
Chronique de Rio
• MEXICO. — Lé journal « El Universal »
écrit auiourd’hui que lorsqu’ils ont
passé la visite médicale avant d» Par
tir pour Rio il s'est avéré que 16 des
23 joueurs sélectionnés pour représèrt-
ter lè Mexique dans lû Coupe fulés-
Rimet, étaient onérriiés.
La Fédération mexicaine a décidé de
se réunir èn sédncè extraordinaire oqqr
décider ce qu'il fallait faire avec lès
ioueurs anémiés.
Le journal ajoute : « Voici la raison
oour laquelle nos joueurs qui disposent
portant de rnodmfloues qualités nôtu-
relles manquent de résistanéë «t dé
peuvent, tenir les $0 minutés d'un
match de football. ». — U- F.
MATCHES INTERNATIONAUX
Yougoslavie b. «Sulsie 4-4
‘Finlande b. Holland* 4—1
MATCHES AMICAUX
Le Havre b. ‘Rouen 4—3
* Angers b. Le Mans t—0
AS Amicale b VGA St-MaUr 4—2
ÀSP Police b APS AP 8—1
RC Paris b US Villiers 5—4
COUPE DELPLENQUE (juniors)!
3—1 1
LE BUREAU FÉDÉRAL A FIXÉ
LE CALENDRIER INTERNATIONAL:
1 er oct. : France-Hongrie. — l* r nov. : France-
Belgique. — 10 déc : France-Hollande. — 4 juin 51 :
Italie - France et, en mai : tournoi britannique
(DVlC&y. ... Dàhs sâ séanee dè samedi ihatin, tenue à Vichy, où il était
invité pàr lâ Ligué d’Auvèrgno, qui fête son trêntena-lre d’une façon écla
tante, le Bureàu fédérâl a prie les décisions suivantes :
P En plus du match Italie-France fixé au 4 juin 1951, un match
Fràncê-Hongrie iérà, en principe, disputé le l (e octobre, à Paris.
Lè 1*’ novèmbre auront liéu, à Paris, le match Francè-Beigique et, dans
une ville non encore désignée, le match France B-Luxembourg. Le 10 dé
cembre sera disputé, à Paris, la
rencontré Frànce-Hollànde.
2 Tourhoi international britanni
que. On sait que ia Ffàncè a été in
vitée au grand tournoi internatio
nal qu organise lâ Fédération d’An-
gletêrre pour lé printemps prochain,
nôtre équipé devant jouér êft An
gleterre contré celles d’Angleterre èt
d'Ecossé. Le match contré l’Ecosse
aurait lieu probablement le 16 mai,
celui contré l’Angleterrê serait fixé
au 12 ou )9 mai
Mais ce ne sont là où® ôes pro
jets. Il faudra que la FFF obtienne
du Groupement son accord pour un
match international supplémentaire.
Avec les datés précitées, ce serait,
en effet, six rencontres internationa
les au programme de là saison alors
que l’accord avec lé Groupement est
seulement pour cinq,
Cett? question sera examinée â la
réunion du Groupement du 26 juin.
Cette réunion s’annonce très impor
tante, car les réformés envisagée?
e 'â" le Bureau y seront également
■i Tournoi international dèè ju
nior». Là FFF demandera à la FIFA
d’organiser, en France, à Pâques, le
Tournoi international des juniors, où
notrè équipé s’est distinguée, tant
l’an dernier en Hollande, en rem
portant la. victoire, qu’en Autriche
cette année, où elle s’èst classée
sécoride ce tournoi sera limité à
huit ensrogés
Le Bureau fut ensuite reçu à ..dé
jeuner par lâ Ligue d’Auvergne, Une
excursion fut organisée à Thièrs
qui émerveilla les invités. Le soir,
le RC vichy traitait somptueuse
ment tous ees hôtes. Lé préfet dé
l’Ailier et le maire de Viçhy as
sistaient à ces agâpes. Lé représen
tant dé L’Equipe fut partout ai
mablement accueilli.
Exode britannique
vers la Colombie
LONDRES. — Paul Roy. demi droit de
Swansèa Town (international gallois) et
Jack Hadlèy, arrière gauche d’Evertpn,
ont quitté !'Anglfttèrre pour rejoindre Bo
gota.
Les deux footballeurs britanniques ar
rachés au* tèrràpis de sport anglais
oar la promesse de pont* d’or, se sént
envolés vendredi soir de Frestwioh (Eco*
SG) pour New-York, première étape de
îèur voyage vers 1» Colombie.
„« mW*”!"”'
<* lim mrneà’ 00 *
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^cle* P ûr , U os^ C ° bU
ce 9 ' U u\ e he s de . à \’org° r ‘' s *
uant
COUPE DE PARIS
Bèmi-flnâies
CA Montreuil b. Chellei 4—0
Mèluh b. Pontoise 3—1
IL EST CELEBRE
Qui est-ce ?
Vent ci-éeèséoj
Catcheur d* classe, c'est
l'homme lé plus fort du monde,
il a soulevé dé terre 2Ô2 Kgs
”J« me suis débarrassé d'un grand
poids I Grèce à mon rasoir Gilleife
et i là lamé Gillitiê Bleu e j'ai
oublié une barba intraitable ” nous
a dit Charles Rigoulot, que vous
Ayez sans douté récônhu. Faites
comme lui, rasez-vous chaque matin
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75 Francs las Cinq
ISO Francs leâ Di*
(taxés loêiiès éoé comprises)
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