Titre : L'Équipe : le stade, l'air, la route
Éditeur : L'Équipe (Paris)
Éditeur : L'ÉquipeL'Équipe (Issy-les-Moulineaux)
Date d'édition : 1950-04-10
Contributeur : Thominet, Patrice. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32768368g
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 10 avril 1950 10 avril 1950
Description : 1950/04/10 (A5,N1247). 1950/04/10 (A5,N1247).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t51006548
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-261
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 09/05/2021
TOULOUSE étouffe LILLE, REIMS battu, BORDEAUX seul en tête
LE FOOTBALL
EN PAGES 8 ET 7
COGNAC
Otard
$)4fuju>o 1J35.. . teausde' COGNAC
FR. LUNDI 10 AVRIL 1950
5* ANNEE N* 1247
10, Fg MONTMARTRE, PARIS (9 e )
TAITBOUT 70-80 ET LA SUITE
CORSE
AFRIQUE
DU NORD
PETITES ANNONCES : TAITBOUT 73-40, 41, 42
SERVICE VENTE : PROVENCE 37-18
COMPTE POSTAL : 4.237-93 12 tr ‘
LA BOUGIE
FLOQUET
allonge la liste de ses succès avec le
ALLYE DE CANNES
1 er Catégorie 750 à 1.100 cmc
BAUSSY
SUR 4 CV RENAULT
AVEC BOUGIE FLOQUET.
FAUSTO COPPI A REUSSI DANS PARIS-ROUBAIX
!
exploit le plus sensationnel de sa carrière de super-champion !
Bâtissant sa victoire à Voccasion d’une
échappée Diot-Sciardis, après Arras, il
s’enfuit avec le premier nommé, puis le
lâche irrésistiblement
lagni et Coste, remarquables finalistes
aux troisième et quatrième places, à près
le trois minutes d’un Diottrès courageux
|Làché et victime d’une crevaison, Van
Steenbergen finit néanmoins très près
de Sciardis et Molinéris, excellents
Le jeune Français Meunier s’affirme rouleur
d’avenir, tandis que Schotte, l’un des grands
favoris, abandonne après une chute
(D’un de nos envoyés spéciaux Claude TILLET)'
ROUBAIX. — Il fallait que Fausto Coppi « fasse le trou ».
n’y était pas parvenu l’an dernier... et l’on connaît la suite !
toutefois, comment un homme aussi marqué, aussi surveillé,
liait-il pouvoir créer entre lui et ses adversaires cette première
nne de sécurité de 50 à 100 mètres, au delà de laquelle il n’existe
l'exemple qu’il ait été rejoint ?
Le classement
Tout le problème était là. Mais quel problème î Les choses
présentaient d’autant plus mal pour le Transalpin que le vent,
soufflant très violemment par
le revers, rendait infiniment
plus difficultueux tout effort
solitaire.
Prenons un exemple : tenter
l’échappé© à la hauteur de la côte
de Doullens eût été, en l’occurrence,
pure folie — même de la part du
super-champion Fausto —. Il fallait
attendre. Or, attendre c’était affai
blir singulièremertt ses chances vis-
à-vis d’un Van Steenbergen parfai
tement abrité dans le gros peloton.
Les hasards de la course et les ma
nifestations d’une combativité spéci
fiquement française vinrent arran-
Î er les choses. Ce fut d’abord dans
ioullens l’effort de Moujica, à la
faveur duquel le champion de
« Bianchi » put prendre une pre
mière fois le commandement du
groupe, tout en le malmenant quel
que peu au passage...
Ce fut ensuite l’essai malheureux
de deux autres violets : Diot et
Sciardis, partis à l’aventure " peu
avant Arras. Il s’agissait là d’une
opportunité de tout premier ordre.
Fausto ne la rata pas. Bien placé
au contrôle de ravitaillement arra-
geois il fonça derechef vers les deux
fuyards sans davantage se soucier
de ce qui ge passait derrière lui.
En cinq kilomètres il fut sur eux.
Alors, les conditions requises pour
entamer le travail de démolition se
trouvaient? réunies : les pavés d’Ar
ras avaient permis l’opération de
lâchage ; Diot et Sciardis avaient
fourni le point de mire. Il n’y avait
plus qu’à pédaler 6ec, en entrecou
pant la séance de train de menus
démarrages pour distancer d’abord
Sciardis, ensuite Diot. Or, répétons-
le, on ne vit jamais, au grand jamais,
un Coppi parti se muer en .un Coppi
rejoint...
1 Fausto COPPI, 247 km. en
P h. 18' 48" (moy. : 39 km. 123),
lsur bic. Bianchi, pn. Ursus.
I 2. Maurice Diot, 6 h. 21' 29" ;
II Magni, 6 h. 24' 12" ; 4. Coste,
l" 1 - t. ; 5. Sciardis, 6 h. 25' 55" ;
I- Moiineris, 6 h. 2^ 28" ; 7. De-
ItleFcq, 6 h. 26' 42x ; 8. Meunier,
Claes, 10. Kint.
J M. Word Van Dijck, 12. Thômma,
I T Rosseel, 14. Moujica, 15. Bobet,
|I6. Van Steenbergen, 6 h. 27' 36";
|T Conte, 6 h. 27' 43" ; 18. Marti-
l»eou, 6 h. 28' 3" ; 19. Brackeveldt,
P h. 28' 6" ; 20. Demulder, 6 h.
54" ; 21. Devreese, 22. Milano,
l‘l- Blomme, 24. Menon, 25. Kla-
Iwski, 26. Sercu, 27. Van Derveken,
p8. Ramon, 29. Dubuisson, 30. Pa-
l»tti, 6 h. 30' 35".
I 31. Lauredi, 32. Bevilacqua, 6 h.
Iir 49” . 33 Decock, 34. Ànt. Rol-
lj"d. 6 h. 32' 10" ; 35. Kubler, 36.
Iweugnet, 37. Tassin ; 38. ex æquo :
Falschot, De Hoog, Cerami, Camel-
| ll 'i, 42. Géminiani, 43. José Beyaert,
| i Rey, 45. Dequesne, 46. Van Est,
T Bogaert ; 48. Blusson, 6 h. 32'
î 4 ' ; 49. De Muer, 6 h. 33' 18" ;
50 - Brun, 6 h. 34' 19".
51. Blin, 6 h. 35' 39" ; 52. Bon-
denture, 6 h. 35' 44" ; 53. Tahon,
Gielen, 55. J. Van Dijck, 56.
.olkiers, 57. De Corte, 58. Decin,
"■ Molines, 6 h. 37' 14" ; 60. J
dk, 61. Van Kerkhoven, 62. Conta-
J 1 *» 6 h. 39' 43" ; 63 Frankowski,
, h. 40' 30" ; 64. Malléjae, 6 h.
55' 33" ; 65. Le Strat, 6 h. 41' 39";
R. Janssens, 6 h. 42' 8" ; 67.
“■ Roux, 6 h. 43' 55" ; 68. Engels,
h. 45' 27" ; 69. Prévotal, 6 h.
" 25" ; 70. Giacomini, 6 h. 50'34".
, 0- J. Janssens, 72. Van Roos-
tr ?eck, 73 Bussemey, 74. E. Teis
i? l,e » 75. Meneghetti, 6 h. 51', 76
dhormet,
J;® contrôle a été fermé’à 10 p
du temps du vainqueur.
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COPPI LE COUREUR H
(De notre directeur général Jacques CODDET)
ROUBAIX. — Monument Au cyclisme international, Paris-Roubaix
écrasait les coureurs de sa légende comme de ses difficultés diabo
liques. A lui seul, semblant ignorer le charivari des pavés, plus
styliste dans le chaos • du sol affreux que s’il roulait sur home-
traîner, Fausto Coppi lé « prodigissime » a écrasé Paris-Roubaix !
C’était bien la peine de rassembler le Gotha du cyclisme routier...
Que ce soit Magni, la terreur des Flandres, Van Steenbergen, héros
de Milan-San Remo, Bobet, Moujica, Coste, Diot, Mahé, nos hommes
en forme ou tous ces Belges, jadis maîtres des routes mauvaises,
que ce soit Schulte, qui règne sur les pistes, tous, tous parurent
soudain, lorsque la machine se mit en marche, de pauvres vermis
seaux, des rampants soumis au mouvement de leur maître, comme
l’océan, malgré sa puissance, est soumis au mouvement de la marée.
Karel Steyaert, dont la parole est l’évangile du cyclisme flandrien,
avait toujours déclaré : « Je ne reconnaîtrai à Coppi sa qualité de
super-champion que lorsqu’il aura gagné Paris-Roubaix ! » Gaqné !
Le mot n’est plus même dans le cadre d’une telle victoire. Coppi
vient de surclasser et ses concurrents et l’épreuve elle-même et
tout son immense passé.
L’honneur d’un coureur était, jusqu’à ce dimanche de Pâques
battu par un mordant vent d’ouest, de remporter Paris-Roubaix.
Paris-Roubaix, cette fois, est honoré d’être remporté par un pareil
phénomène.
Maître à bord
La veille, Coppi nous avait rendu visite. Calmement, il avait
disséqué la course, dans son itinéraire. I], nous disait qu’il voulait
prendre l’initiative, èt assez tôt pour que la course fût rendue dure,
pour que l’adversaire n* 1, Rik Van Steenbergen, fût durement mis
(Lire la suite page 3, rubr. Cyclisme)
A 40 KILOMETRES DE ROUBAIX. Après Arras (cliché de gauche), Coppi
et Diot viennent de lâcher Sciardis. Coppi, à qui la présence du petit
L’ESTOCADE... DU GRAND COPPI
Français ne fait visiblement pas plaisir, se ravitaille prestement. Il va porter l’estocade finale. C’est fait (photo de droite), et Fausto fonce
^ ~ tj -T Z A +7 » w T> r\o » 1-trtâ or 7 et -wn-fniro A ri m àr.oy. cnn nll.H.Tc * (Ivn.Tid. CIOT)T)i !...
UNE GRANDE FINALE DE RUGBY XV EN PERSPECTIVE
Les attaquants du Racing Club de France
et les avants du Castres Olympique
^ r-m ~ rn
TOUTE CETTE
SEMAINE
vojjs lirez dans
WËmnp¥\\
De plus, devenu très favorable de
puis la traversée d’Arras, le vent
allait permettre à notre dominateur
de chausser ses bottes de sept
lieues...
(Lire la suite page 3, rubr. Cyclisme)
SUR PARIS-ROUBAIX î
Les commentaires de Jacques
GODDET et Claude TILLET, tandis
que les reportages d'Albert de Wet-
ter et Pierre Bourrillon vous feront
mieux connaître les vedettes de la
course d'hier ; les impressions de
Jean Bidot, directeur technique de
l'équipe de France du Tour, sur les
Français ; les points de vue de Gui-
do Giardini et Robert De Smet sur
la tenue des Italiens et des Belges.
En cyclisme encore, la narration
de PARIS-EVREUX, la grande cour
se des amateurs disputée ce lundi,
et celle de PARIS-CAMEMBERT qui
sera couru demain.
TOULOUSE ET LILLE :
La comparaison par Gabriel HA-
NOT des adversaires du match ve
dette d'hier, la préparation du der
nier sprint par jes équipes de tête
du football, mais aussi la relation
de Stade Français-Nice, rencontre
où le Stade, aujourd'hui, joue son
destin. Jacques de RYSWICK, en ou
tre, se livrera à une étude du foot
bail ibérique après les récents
matches Portugal-Espagne qualifica
tif* pour la Coupe Jules-Rimet.
QUI GAGNERA
LA FINALE DU RUGBY ?
Marcel de LABORDERIE et Louis
FERDINAND étudieront les chances
respectives des vainqueurs d'hier
pour la finale du Championnat de
France de rugby. De Narbonne et de
Carcassonne, ils feront également
la narration des chocs vedettes de
la Coupe, aujourd'hui : RC Toulon-
Stade Montois et RC Narbonne-Ma-
zamet.
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Décrit, étudié, commenté par nos
envoyés spéciaux Charles FAROUX
et Maurice HENRY.
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boxe, le Championnat de France de
basket, etc.
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tisme par Gaston MEYER, sur les
boxeurs poids moyens par Georges
PEETERS.
ET NOS CHRONIQUES : « A moi
de jouer » (Fernand Albaret, Georges
Duthen, Marcel Hansenne, Maurice
Maurel) ; « Le pouls de l'opinion -
(Pierre About, Gaston Meyer).
Les Aventures de M. Equipard et
de sa fille Franeette.
Enfin, Le Regard sur la Vie, de
Charles FAROUX.
ont obtenu la qualification de leurs équipes
L Aviron Bayonnais, qui marqua trois essais en
10, et surtout la Section Paloise, qui mena 11-3,
ont succombé en beauté
Championnat de France
DIVISION FEDERALE
DEMI-FINALES
A Toul. : Racing CF b. Av. Bay. 13-9
A Narb. : Castres O. b S. Paloise 12-11
EXCELLENCE
DEMI-FINALE
A Grenob. : CASG b. CS Lédonien 3-0
Castres Olympique et Racing Club de France joueront la finale du
Championnat de France de rugby, le 16 avril, au stade des Ponts-Ju
meaux. Le dernier match qui décidera, dimanche prochain, du titre
de champion de France 1950, aurait presque pu opposer la Section
Paloise et l’Aviron Bayonnais, héros malheureux de la journée d’hier ;
ils succombèrent en beauté, les Béarnais par un point d’écart (11-12),
les Basques par 9 à 13. Il convenait de rendre hommage à ces deux
grands vaincus, dont la fin de saison fut si remarquable, avant de
féliciter ceux auxquels la victoire a souri, hier, Castres et le
LIRE EN PAGE 6
Les comptes rendus
de nos envovés spéciaux
Marcel de LABORDERIE
Louis FERDINAND
et Loys Van LEE
sur les demi-finales
de Toulouse et Narbonne
LE 15 JUIN, A PHILADELPHIE,„EN 15 REPRISES.
Robert VILLEMAIN
affrontera ROBINSON
grand club de Paris semble-t-elle être
la plus impressionnante des deux.
Trente ans après, un club parisien
(le même) accède donc à la finale
. . Racing. jj u Championnat de France. Cette
A la vérité, si la qualification du Castres Olympique était généra- qualification du RCF rappellera à
lement attendue, celle du Racing Club de France paraissait plus dou- ceux qui paraissaient parfois l’ou
teuse. La saison de l’équipe commandée par Jean Matheu avait été biier qu’on ne joue pas mal au rugby
extrêmement régulière : elle ne su- à Paris.
bit qu’une défaite (0-3, à Limoges, |_ e q U j s’est qualifié pour la
en poules de six). finale d’Excellence A, en apporte une
Celle du Raoing C. F, avait été .
plus hésitante s le XV de Dufau, par au
trois fois, avait connu l’échec (battu,
en poules de six, par le CA Bégiais
9-18, le SU Agen 0 9 et le LOU 3-8). '
D’autre part, les joueurs de Castres
plus que ceux du RCF, avaient l’ha
bitude de ces matches décisifs : à
une exception près, ce sont les mê
mes qui remportèrent le titre la sai
son dernière ; le Racing, au contraire,
n’avait point participé à une finale
depuis 1920 I Aussi la performance du
preuve brillante.
Georges DUTIIEN.
...et il est probable que Robert sera
Vadversaire de Dauthuille, cet été, à Paris
(De notre env. sp. perm. Jean KROUTCHTEIN)
NEW-YORK (service spécial A.F.P.). — Robert Vlllema-in et Breton-
nel sont évasifs; Robinson et Gainsford, son manager, sont muets : 11
semble toutefois certain que le combat Villemain-Robinson est conclu
De diverses sources, aussi bien de Philadelphie que de New-York, la nou
velle se confirme et, ainsi que Bretonnel l’avait exigé, ce grand combat
de poids moyens aura lieu le 15 juin
et se déroulera en quinze reprises à Villemain ! En effet, à Pittsburgh,
Phiiarieinhie Barraut nous annonça son désir ce
^ ’ voir Laurent rencontrer Villemain
Villemain et Bretonnel, qui pas- pour la troisième fois et Bretonnel,
seront la fin de la semaine à New- à qui nous fimes part de ce défit, ré-
York, furent à plusieurs reprises les pondit :
invités de Ray Robinson dans son s Entièrement d’accord. J’espère
restaurant de Harlem, et, chaque q Ug B ena ïm pourra trouver une date
fois, les conversations se poursuivi- convenable pour que i e troisième
rent longuement. match Villemain-Dauthuille se dé-
Si les deux parties intéressées res- roule en plein air. »
tent muettes, cela provient probable
ment d’une demande de l’organisa
teur qui parait vouloir annoncer le
fait officiellement dans le courant de
cette semaine, à l’occasion d'un ban
quet réservé a la presse.
Au sujet de cette rencontre, John
ny Attel, qui fut longtemps organi
sateur à Philadepbie, nous déclarait
à Waterbury :
« Ce combat aura un grand succès
parce que Robinson est très apprécié
à Philadelphie et aussi parce qu’il
oppose un noir à un blanc. »
Comme ce match aura lieu en plein
air, Attell croit que la recette pourra
atteindre 150.000 dollars (52 millions
cinq cent mille francs).
Si le combat qui opposera Robin
son à Villemain s’annonce comme le
plus important pour 1950 en Améri
que, il est probable que Paris verra
également, cet été, un grand match
de poids moyens brigué par plusieurs
villes américaines: Dauthuille contre
Ray Famechon
GAGNE
facilement
mais ?...
(Lire page 2, en rubrique Boxe
l'article de Jean KROUTCHTEIN)
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(Lire Varticle p. 2, en rubr. Boxe)
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(Lire les détails page 2
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SIX FRANÇAIS A L'ASSAUT
DE L'HIMALAYA
par ROBERT LANDRY
Voilà ce quUt faut lire avec vingt autret
articles dans le numéro d'avril de i
HAVAS
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(Entrée spéciale à demi-tarif du Mardi au Vendredi)
Pendant les vacances de Pâques, les parents conduiront leurs enfants
Pont de l'Alma, au Salon des Sports, où ils pourront admirer une foule
de merveilleux jeux de plein air et de plage, du materiel "Ppjtif et
de camping avec lesquels ils te prépareront les p)u 8 belles vacances q a 1
soient. Et l’entrée donne droit à la visite du Concours Lepine. c~t^s
t foire de l’ingéniosité », qui joint 1 utile au pratique, surtout oans i*
domaine familial. «
RAY FAMECHON
LE FOOTBALL
EN PAGES 8 ET 7
COGNAC
Otard
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FR. LUNDI 10 AVRIL 1950
5* ANNEE N* 1247
10, Fg MONTMARTRE, PARIS (9 e )
TAITBOUT 70-80 ET LA SUITE
CORSE
AFRIQUE
DU NORD
PETITES ANNONCES : TAITBOUT 73-40, 41, 42
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BAUSSY
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FAUSTO COPPI A REUSSI DANS PARIS-ROUBAIX
!
exploit le plus sensationnel de sa carrière de super-champion !
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échappée Diot-Sciardis, après Arras, il
s’enfuit avec le premier nommé, puis le
lâche irrésistiblement
lagni et Coste, remarquables finalistes
aux troisième et quatrième places, à près
le trois minutes d’un Diottrès courageux
|Làché et victime d’une crevaison, Van
Steenbergen finit néanmoins très près
de Sciardis et Molinéris, excellents
Le jeune Français Meunier s’affirme rouleur
d’avenir, tandis que Schotte, l’un des grands
favoris, abandonne après une chute
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n’y était pas parvenu l’an dernier... et l’on connaît la suite !
toutefois, comment un homme aussi marqué, aussi surveillé,
liait-il pouvoir créer entre lui et ses adversaires cette première
nne de sécurité de 50 à 100 mètres, au delà de laquelle il n’existe
l'exemple qu’il ait été rejoint ?
Le classement
Tout le problème était là. Mais quel problème î Les choses
présentaient d’autant plus mal pour le Transalpin que le vent,
soufflant très violemment par
le revers, rendait infiniment
plus difficultueux tout effort
solitaire.
Prenons un exemple : tenter
l’échappé© à la hauteur de la côte
de Doullens eût été, en l’occurrence,
pure folie — même de la part du
super-champion Fausto —. Il fallait
attendre. Or, attendre c’était affai
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tement abrité dans le gros peloton.
Les hasards de la course et les ma
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Î er les choses. Ce fut d’abord dans
ioullens l’effort de Moujica, à la
faveur duquel le champion de
« Bianchi » put prendre une pre
mière fois le commandement du
groupe, tout en le malmenant quel
que peu au passage...
Ce fut ensuite l’essai malheureux
de deux autres violets : Diot et
Sciardis, partis à l’aventure " peu
avant Arras. Il s’agissait là d’une
opportunité de tout premier ordre.
Fausto ne la rata pas. Bien placé
au contrôle de ravitaillement arra-
geois il fonça derechef vers les deux
fuyards sans davantage se soucier
de ce qui ge passait derrière lui.
En cinq kilomètres il fut sur eux.
Alors, les conditions requises pour
entamer le travail de démolition se
trouvaient? réunies : les pavés d’Ar
ras avaient permis l’opération de
lâchage ; Diot et Sciardis avaient
fourni le point de mire. Il n’y avait
plus qu’à pédaler 6ec, en entrecou
pant la séance de train de menus
démarrages pour distancer d’abord
Sciardis, ensuite Diot. Or, répétons-
le, on ne vit jamais, au grand jamais,
un Coppi parti se muer en .un Coppi
rejoint...
1 Fausto COPPI, 247 km. en
P h. 18' 48" (moy. : 39 km. 123),
lsur bic. Bianchi, pn. Ursus.
I 2. Maurice Diot, 6 h. 21' 29" ;
II Magni, 6 h. 24' 12" ; 4. Coste,
l" 1 - t. ; 5. Sciardis, 6 h. 25' 55" ;
I- Moiineris, 6 h. 2^ 28" ; 7. De-
ItleFcq, 6 h. 26' 42x ; 8. Meunier,
Claes, 10. Kint.
J M. Word Van Dijck, 12. Thômma,
I T Rosseel, 14. Moujica, 15. Bobet,
|I6. Van Steenbergen, 6 h. 27' 36";
|T Conte, 6 h. 27' 43" ; 18. Marti-
l»eou, 6 h. 28' 3" ; 19. Brackeveldt,
P h. 28' 6" ; 20. Demulder, 6 h.
54" ; 21. Devreese, 22. Milano,
l‘l- Blomme, 24. Menon, 25. Kla-
Iwski, 26. Sercu, 27. Van Derveken,
p8. Ramon, 29. Dubuisson, 30. Pa-
l»tti, 6 h. 30' 35".
I 31. Lauredi, 32. Bevilacqua, 6 h.
Iir 49” . 33 Decock, 34. Ànt. Rol-
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T Bogaert ; 48. Blusson, 6 h. 32'
î 4 ' ; 49. De Muer, 6 h. 33' 18" ;
50 - Brun, 6 h. 34' 19".
51. Blin, 6 h. 35' 39" ; 52. Bon-
denture, 6 h. 35' 44" ; 53. Tahon,
Gielen, 55. J. Van Dijck, 56.
.olkiers, 57. De Corte, 58. Decin,
"■ Molines, 6 h. 37' 14" ; 60. J
dk, 61. Van Kerkhoven, 62. Conta-
J 1 *» 6 h. 39' 43" ; 63 Frankowski,
, h. 40' 30" ; 64. Malléjae, 6 h.
55' 33" ; 65. Le Strat, 6 h. 41' 39";
R. Janssens, 6 h. 42' 8" ; 67.
“■ Roux, 6 h. 43' 55" ; 68. Engels,
h. 45' 27" ; 69. Prévotal, 6 h.
" 25" ; 70. Giacomini, 6 h. 50'34".
, 0- J. Janssens, 72. Van Roos-
tr ?eck, 73 Bussemey, 74. E. Teis
i? l,e » 75. Meneghetti, 6 h. 51', 76
dhormet,
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COPPI LE COUREUR H
(De notre directeur général Jacques CODDET)
ROUBAIX. — Monument Au cyclisme international, Paris-Roubaix
écrasait les coureurs de sa légende comme de ses difficultés diabo
liques. A lui seul, semblant ignorer le charivari des pavés, plus
styliste dans le chaos • du sol affreux que s’il roulait sur home-
traîner, Fausto Coppi lé « prodigissime » a écrasé Paris-Roubaix !
C’était bien la peine de rassembler le Gotha du cyclisme routier...
Que ce soit Magni, la terreur des Flandres, Van Steenbergen, héros
de Milan-San Remo, Bobet, Moujica, Coste, Diot, Mahé, nos hommes
en forme ou tous ces Belges, jadis maîtres des routes mauvaises,
que ce soit Schulte, qui règne sur les pistes, tous, tous parurent
soudain, lorsque la machine se mit en marche, de pauvres vermis
seaux, des rampants soumis au mouvement de leur maître, comme
l’océan, malgré sa puissance, est soumis au mouvement de la marée.
Karel Steyaert, dont la parole est l’évangile du cyclisme flandrien,
avait toujours déclaré : « Je ne reconnaîtrai à Coppi sa qualité de
super-champion que lorsqu’il aura gagné Paris-Roubaix ! » Gaqné !
Le mot n’est plus même dans le cadre d’une telle victoire. Coppi
vient de surclasser et ses concurrents et l’épreuve elle-même et
tout son immense passé.
L’honneur d’un coureur était, jusqu’à ce dimanche de Pâques
battu par un mordant vent d’ouest, de remporter Paris-Roubaix.
Paris-Roubaix, cette fois, est honoré d’être remporté par un pareil
phénomène.
Maître à bord
La veille, Coppi nous avait rendu visite. Calmement, il avait
disséqué la course, dans son itinéraire. I], nous disait qu’il voulait
prendre l’initiative, èt assez tôt pour que la course fût rendue dure,
pour que l’adversaire n* 1, Rik Van Steenbergen, fût durement mis
(Lire la suite page 3, rubr. Cyclisme)
A 40 KILOMETRES DE ROUBAIX. Après Arras (cliché de gauche), Coppi
et Diot viennent de lâcher Sciardis. Coppi, à qui la présence du petit
L’ESTOCADE... DU GRAND COPPI
Français ne fait visiblement pas plaisir, se ravitaille prestement. Il va porter l’estocade finale. C’est fait (photo de droite), et Fausto fonce
^ ~ tj -T Z A +7 » w T> r\o » 1-trtâ or 7 et -wn-fniro A ri m àr.oy. cnn nll.H.Tc * (Ivn.Tid. CIOT)T)i !...
UNE GRANDE FINALE DE RUGBY XV EN PERSPECTIVE
Les attaquants du Racing Club de France
et les avants du Castres Olympique
^ r-m ~ rn
TOUTE CETTE
SEMAINE
vojjs lirez dans
WËmnp¥\\
De plus, devenu très favorable de
puis la traversée d’Arras, le vent
allait permettre à notre dominateur
de chausser ses bottes de sept
lieues...
(Lire la suite page 3, rubr. Cyclisme)
SUR PARIS-ROUBAIX î
Les commentaires de Jacques
GODDET et Claude TILLET, tandis
que les reportages d'Albert de Wet-
ter et Pierre Bourrillon vous feront
mieux connaître les vedettes de la
course d'hier ; les impressions de
Jean Bidot, directeur technique de
l'équipe de France du Tour, sur les
Français ; les points de vue de Gui-
do Giardini et Robert De Smet sur
la tenue des Italiens et des Belges.
En cyclisme encore, la narration
de PARIS-EVREUX, la grande cour
se des amateurs disputée ce lundi,
et celle de PARIS-CAMEMBERT qui
sera couru demain.
TOULOUSE ET LILLE :
La comparaison par Gabriel HA-
NOT des adversaires du match ve
dette d'hier, la préparation du der
nier sprint par jes équipes de tête
du football, mais aussi la relation
de Stade Français-Nice, rencontre
où le Stade, aujourd'hui, joue son
destin. Jacques de RYSWICK, en ou
tre, se livrera à une étude du foot
bail ibérique après les récents
matches Portugal-Espagne qualifica
tif* pour la Coupe Jules-Rimet.
QUI GAGNERA
LA FINALE DU RUGBY ?
Marcel de LABORDERIE et Louis
FERDINAND étudieront les chances
respectives des vainqueurs d'hier
pour la finale du Championnat de
France de rugby. De Narbonne et de
Carcassonne, ils feront également
la narration des chocs vedettes de
la Coupe, aujourd'hui : RC Toulon-
Stade Montois et RC Narbonne-Ma-
zamet.
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Décrit, étudié, commenté par nos
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de jouer » (Fernand Albaret, Georges
Duthen, Marcel Hansenne, Maurice
Maurel) ; « Le pouls de l'opinion -
(Pierre About, Gaston Meyer).
Les Aventures de M. Equipard et
de sa fille Franeette.
Enfin, Le Regard sur la Vie, de
Charles FAROUX.
ont obtenu la qualification de leurs équipes
L Aviron Bayonnais, qui marqua trois essais en
10, et surtout la Section Paloise, qui mena 11-3,
ont succombé en beauté
Championnat de France
DIVISION FEDERALE
DEMI-FINALES
A Toul. : Racing CF b. Av. Bay. 13-9
A Narb. : Castres O. b S. Paloise 12-11
EXCELLENCE
DEMI-FINALE
A Grenob. : CASG b. CS Lédonien 3-0
Castres Olympique et Racing Club de France joueront la finale du
Championnat de France de rugby, le 16 avril, au stade des Ponts-Ju
meaux. Le dernier match qui décidera, dimanche prochain, du titre
de champion de France 1950, aurait presque pu opposer la Section
Paloise et l’Aviron Bayonnais, héros malheureux de la journée d’hier ;
ils succombèrent en beauté, les Béarnais par un point d’écart (11-12),
les Basques par 9 à 13. Il convenait de rendre hommage à ces deux
grands vaincus, dont la fin de saison fut si remarquable, avant de
féliciter ceux auxquels la victoire a souri, hier, Castres et le
LIRE EN PAGE 6
Les comptes rendus
de nos envovés spéciaux
Marcel de LABORDERIE
Louis FERDINAND
et Loys Van LEE
sur les demi-finales
de Toulouse et Narbonne
LE 15 JUIN, A PHILADELPHIE,„EN 15 REPRISES.
Robert VILLEMAIN
affrontera ROBINSON
grand club de Paris semble-t-elle être
la plus impressionnante des deux.
Trente ans après, un club parisien
(le même) accède donc à la finale
. . Racing. jj u Championnat de France. Cette
A la vérité, si la qualification du Castres Olympique était généra- qualification du RCF rappellera à
lement attendue, celle du Racing Club de France paraissait plus dou- ceux qui paraissaient parfois l’ou
teuse. La saison de l’équipe commandée par Jean Matheu avait été biier qu’on ne joue pas mal au rugby
extrêmement régulière : elle ne su- à Paris.
bit qu’une défaite (0-3, à Limoges, |_ e q U j s’est qualifié pour la
en poules de six). finale d’Excellence A, en apporte une
Celle du Raoing C. F, avait été .
plus hésitante s le XV de Dufau, par au
trois fois, avait connu l’échec (battu,
en poules de six, par le CA Bégiais
9-18, le SU Agen 0 9 et le LOU 3-8). '
D’autre part, les joueurs de Castres
plus que ceux du RCF, avaient l’ha
bitude de ces matches décisifs : à
une exception près, ce sont les mê
mes qui remportèrent le titre la sai
son dernière ; le Racing, au contraire,
n’avait point participé à une finale
depuis 1920 I Aussi la performance du
preuve brillante.
Georges DUTIIEN.
...et il est probable que Robert sera
Vadversaire de Dauthuille, cet été, à Paris
(De notre env. sp. perm. Jean KROUTCHTEIN)
NEW-YORK (service spécial A.F.P.). — Robert Vlllema-in et Breton-
nel sont évasifs; Robinson et Gainsford, son manager, sont muets : 11
semble toutefois certain que le combat Villemain-Robinson est conclu
De diverses sources, aussi bien de Philadelphie que de New-York, la nou
velle se confirme et, ainsi que Bretonnel l’avait exigé, ce grand combat
de poids moyens aura lieu le 15 juin
et se déroulera en quinze reprises à Villemain ! En effet, à Pittsburgh,
Phiiarieinhie Barraut nous annonça son désir ce
^ ’ voir Laurent rencontrer Villemain
Villemain et Bretonnel, qui pas- pour la troisième fois et Bretonnel,
seront la fin de la semaine à New- à qui nous fimes part de ce défit, ré-
York, furent à plusieurs reprises les pondit :
invités de Ray Robinson dans son s Entièrement d’accord. J’espère
restaurant de Harlem, et, chaque q Ug B ena ïm pourra trouver une date
fois, les conversations se poursuivi- convenable pour que i e troisième
rent longuement. match Villemain-Dauthuille se dé-
Si les deux parties intéressées res- roule en plein air. »
tent muettes, cela provient probable
ment d’une demande de l’organisa
teur qui parait vouloir annoncer le
fait officiellement dans le courant de
cette semaine, à l’occasion d'un ban
quet réservé a la presse.
Au sujet de cette rencontre, John
ny Attel, qui fut longtemps organi
sateur à Philadepbie, nous déclarait
à Waterbury :
« Ce combat aura un grand succès
parce que Robinson est très apprécié
à Philadelphie et aussi parce qu’il
oppose un noir à un blanc. »
Comme ce match aura lieu en plein
air, Attell croit que la recette pourra
atteindre 150.000 dollars (52 millions
cinq cent mille francs).
Si le combat qui opposera Robin
son à Villemain s’annonce comme le
plus important pour 1950 en Améri
que, il est probable que Paris verra
également, cet été, un grand match
de poids moyens brigué par plusieurs
villes américaines: Dauthuille contre
Ray Famechon
GAGNE
facilement
mais ?...
(Lire page 2, en rubrique Boxe
l'article de Jean KROUTCHTEIN)
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