Titre : L'Équipe : le stade, l'air, la route
Éditeur : L'Équipe (Paris)
Éditeur : L'ÉquipeL'Équipe (Issy-les-Moulineaux)
Date d'édition : 1950-01-31
Contributeur : Thominet, Patrice. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32768368g
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 31 janvier 1950 31 janvier 1950
Description : 1950/01/31 (A5,N1188). 1950/01/31 (A5,N1188).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t5100594b
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-261
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 09/05/2021
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ensemble
; d’attendre
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r f COLOMBINI, après avoir assisté à
0 n du Palais des Sports, hier soir, part,
jf1 pour Londres et rendra compte,
^ Championnat d’Europe des poids*
e t du match Randolph Turpin-Cilbert
Insistera, à Liverpool, jeudi, au dernier
t européen de Ray Famechon.
9 ïr.
MARDI 31
5’ ANNEE
JANVIER 1950
N'1188
10, Fg MONTMARTRE, PARIS <9')
TAITBOUT 70-80 ET LA SUITE
CORSE
AFRIQUE
OU NORD
PETITES ANNONCES
: TAITBOUT 73-40, 41, 42 SERVICE VENTE : PROVENCE
37-18 COMPTE POSTAL : 4 237-93
10 FR.
LIRE EN PAGE 6 :
Effervescence routière sur
les bords méditerranéens !
Albert de Wetter et Fernand Albaret
ont assisté au rassemblement
annonciateur du printemps !
lEMAIN met dn brio dans une âpre et violente bataille
bat nettement J.
3HH9
PIÈRRÊ MKBOUT CABLE DE LAKE PLACID
Solennellement
UX POINTS.. . I ouverts... les Championnats du monde de ski
ichet gauche au foie, nou-
irnte maîtresse de Robert,
trois fois son adversaire
lis, mais Jean Stock, décidé,
lue, désespérément cou-
, trouva les ressources
réagir jusqu’au bout !
ÎPR/SE : VAN DAM BATTU
IX POINTS PAR TUTTFH !
mx poids moyens, immuables, vedettes toujours favo-
blic de Paris depuis huit lustres sous les houlettes
de Théo Vienne à Gilbert Benaïin en passant par
ii et bien d’autres encore, nous ayons retrouvé hier
nilier de Grenelle, son boulevard et ses quais luisants
bordés par cette interminable frange clignotante des
des voitures, et sous la voûte sonore du métro
tap des pas pressés de ces spectateurs tôt venus et
t dans la rue NéTaton pour escalader d’assaut les
places (les galeries. Et sous la verrière du vieux
Palais, on avait également l’im
pression. aux premiers rangs
des fauteuils de ring d’être
aussi bien à Londres ou à New-
York.
Georges PEETERS.
(Lire la suite page 3, rubrique Boxe)
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fUX MOIS, UNE IDOLE RENVERSEE ?
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bien de temps ” ?
n’v a pas un malaise du L.O.S.C.
piste un problème de l’attaque
fre envoyé spécial Jacques de RYSWICK)
Un succès arrange parfois bien des choses. Surtout
■ , ces intéresse un leader du Championnat... venant de
Mecs consécutifs !
P I 2 " 1 ) du LOSC sur Nancy a donc rasséréné le climat
Four du club lillois depuis une semaine, en meme temps
^ ent dissipé la légère tension existant entre ses diri*
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11 y a deux mois
\ 5 > rubrique Football)
POUR LA
PALAIS DES SPORTS. — Ce document saisissant représente le chemin
de croix de Jean Stock... Sévèrement touché au foie, Jean s’écroule
pour la troisième fois, et M. Schemann, l'arbitre, arrête Robert dans son élan...
FOIS
POUR UTILISER SIMAN ET POMATHIOS, ATOUTS MAITRES DU XV DE FRANCE
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H. Béhotéguy, d'accord avec R. Crabos, lui reproche
ses réflexes de trois-quarts centre
On n’a pas fini d’épiloguer sur le match France-Irlande, sur ses déceptions ou sur ,ses
émotions, mais c’est surtout la ligne de demis française qui fait ’objet des échanges de vues
les plus étudiés, les plus variés et les plus opposés.
Aujourd’hui, la discussion se poursuit encore, et l’on comprend fort bien que l’unanimité
ne se fasse pas sur la qualité du math h fourni par Lasaosa et Lauga. Tout dépend de l’angle
sous lequel on observe leur activité et leur production.
Les apparences immédiates sont à leur avantage, car Lauga fit bien tout ce qu’il entreprit
..... chez lui, l’exécution ne prête
guère à la critique; c’est notam
ment lui qui nous donna trois
points avec son drop goal de la
onzième minute. C’est Lasaosa
qui sur la fin sauva notre camp,
en compagnie du reste de
Lauga ; l’un et l’autre ont à leur
actif des actions personnelles de
g qualité.
i| A ia sortie du stade, il en est
:î même qui, sous l’impression directe
de ce qu’ils ont vu. classent Lauga
parmi les meilleurs Joueurs français
il Mais au moment où il faut situer
H '.es responsabilités de la médiocrité
p du jeu d'équipe, au moment où la
$ réflexion vous amène à conclure
que la victoire était dans les mains
| de nos deux grands ailiers, Siman
et. Pomathios et que la responsabi
lité de notre demi-échec Incombe à
ceux qui n'ont pas tout fait pour
exploiter la valeur de nos trois-
quarts de nos ailiers en particulier,
alors on pense à Lasaosa et k Lauga.
Taper n'est pas attaquer
En match international plus que
dans n'importe quelle autre ren
contre. une occasion doit être exploi
tée, car qui sait si votre adversaire
qui n est pas aveugle vous en lais
sera b autres Or Lauga eut plusieurs
fois des occasions d’attaquer a la
main ; je l’ai vu pour ma part une
fois, arriver à quatre contre trois !
Quelle bonne aubaine I était-on
amené à penser Hélas ! Lauga
ajusta un coup de pied Certes, il
était bien donne et en trouvant- la
touche, il nous fit gagner trente
mètres ; ce coup de pied amena
même des applaudissements.
Mais en réalité son geste était un
^cte de défense et. Lauga sacrifiait
délibérément une chance d attaquer.
Marcel de LA BORD FRIE.
(Urg la suite page 4, rubr, Rugby XV)
LAUGA DEFEND
LASAOSA
Pierre Lauga est surpris que les
commentaires n'aient pas été plus
élogieux à l'égard de Lasaosa.
« Grâce à lui, j'ai reçu le ballon
dans les conditions les plus favora
bles Sa passe a toujours été nette,
précisé, tendue, rapide et longue.
On ne doit absolument rien repro
cher o sa transmiss on; je pense au
contraire que peu de demis de mê
lée, aux prises avec les mêmes dif
ficultés, auraient été capables
d'ouvrir comme il l'a fait En outre,
son dernier quart d'heure a ete
sensationnel : la somme de travail
qu il a accomplie en défense est
inimaginable. Il était partout où le
danger se manifestait, bons ces der
nières minutes, notre équipe n a-t-
elle pas été sauvée por ce coup de
pied retourné remarquablement botté
au moment où trois avants irlandais
bondissaient sur lui, ô quelques mé
trés de la ligne de but ? ». D
y-y
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voulait attaquer
f
COLOMBES. — Mais il eut trop
peu d’occasions. Il n a pas laissé
re çu le ballon sur une tentative de dégagement de Norton. Pomathios s est
avoir évité l’arrêt de Henderson (à terre), il repousse celui de Mc Lane qu’il
passe à l'intérieur.
.(Lire page 6 l’artiele de Louis FERDINAND^
LES 'BASKETTEURS
PHENOMENES A PARIS
Les "Harlem
Globe Trotters'
mais aussi...
les "Ail Stars
New-York "
M. Saperstein, manager de l’équipe
de basket des « Harlem Globe Trot
ters », sera la semaine prochaine a
Paris pour regier les derniers détails
de la Tournée Européenne de ses
joueurs noirs.
Cette lormation sensationnelle - qui
stupéfia, la semaine passée, les spec
tateurs des salles de cinéma où elle
fut présentée en Actualités — sera
accompagnée par le; « Ail Stars Pro
fessionnels New-York » qui, eux, sont
tous des blanM»
tournentàla
plaisanterie
!
Saut du combiné aujourd’hui et saut du Championnat
dimanche à Lake Placid
Les 18 kilomètres à Rumford (Maine)
CLASSEMENT
DE L'EPREUVE DE SAE T
HORS-COMPETITION
1. Christian Mohn (Norv.), 211,1 ;
2. Berman (N). 210,8 ; 3 Barber
(E.-U.), 210,6 : 4 Develin (E.-U.), 210.,
5. Ruud (N) 207 ; 6 Bjornstad (N).
206,2: 7. Hugsted (N), 204,5
N.D.L.R — Précisons ciue ceci
est ie classement officiel, revu et
corrige au cours de la nuit. C’est
lors de cette épreuve meurtrière
(34 chutes) que le Finlandais Laakso
se cassa un bras et que l’Américain
Paul Perrault se démit une cheville.
LAKE PLACID. — Il faut bien avouer (ju’un vent nette
ment plus froid a soufflé, en ce lundi, sur les espérances des
skieurs qui se trouvent condamnés à l’oisiveté à Lake Placid.
En effet, lorsque, à la suite de la réunion officielle de dimanche
soir, le bruit courut qu’une émigration sous d’autres deux
plus cléments avait été décidée, cette décision provoqua un
instant comique : ce fut celui de la ruée vers les cartes pour
repérer les lieux proposés : Jackson, dans le New-Hampshire
et Rumford dans le Maine. Tous les Américains s’interrogeaient cartes géographiques, les dirigeants
sur la situation exacte de ces deux localités, ce qui laisserait ^nïabTlité^d^s^re^lÏÏraLmfss'In
a prouver qu ils ne connaissent de 50.000 ou 60.000 mots par jour,
pas mieux la géographie que commencèrent à manifester quelque»
nmic ant, pc PVnnr-nie A inquiétude à l’idée du problème tech-»
nous aunes français, a leui niqUe qui allait imposer à eux.
excuse nous dirons que leur ter- D’autre part, le problème du trans-
ritoire est infiniment plus vaste, port fit apparaître qu’il n’y avait past
Mais pendant qu'on examinait les (Lire ia suite page 3, rubrique Ski)
Perseverare
diabolicum !
par Alex VIROT
Les câbles qui nous parviennent
d'Amérique, reflètent le profond dé
sarroi des organisateurs devant l'ab
sence de la neige et le danger des
palliatifs mis en pratique en sembla
ble occurrence.
Nous avons connu cela bien au'à
un degré moindre, aussi nous ne som
mes pas sans inquiétudes pour la
sude des événements.
Dans un cas pareil, en effet, le
danger naît du désir immodéré des
prpan isat.eurs de réaliser à tout
leur prog’rerhme. À tout prix celo si
gnifie : fût-ce en marge des condi
tions de régularité des épreuves
On vient de constater quoi cela
peut conduire ovec cette épreuve de
saut disputée sur une piste artificielle
de al ace pilée.
Rassembler l'élite des sauteurs in
ternationaux, pour enreçéstrer un in
vraisemblable record de chutes : 34,
ce qui ne s'était jamais vu. Couron
ner le tout par la mise hors de combat
du meilleur sauteur finlandais Laak-
so qui s'est fracturé une jambe dans
sa chute, c'est là vraiment un bilan
qui ne peut être que *la résultante
de conditions de piste déplorables.
Nous avons peine à croire après
une semblable expérience que les di
rigeants de la FIS acceptent que se
déroulent dans de telles conditions
les deux épreuves de saut des Cham
pionnats annoncées pour cette se
maine.
La mesure qui consiste à procéder
à la cérémonie d'ouverture des Cham
pionnats sur le vert gazon, et à dé
clarer avec un optimisme de comman
de qu'on attend la neige est une
pure plaisanterie.
A qui fera-t-on croire, en admet
tant qu'une importante chute de nei
ge survienne, qu'on aura du jour au
lendemain une piste de 18 kilomètres
et une de 50, en état d'assurer aux
épreuves de fond toute lo régularité
indispensable ?
Nous devinons que c'est bien pour
cette raison que M. Ostgaard, prési
dent de lo FIS, a parlé d'une remise
à huitaine, et qu'il demeure assez
sceptique pour envisager de tare
émigrer les Championnats ou Canada,
voire de les ramener en Scandinavie.
Le moins que l'on puisse dire est
que de tels projets soulèvent des pro
blèmes financiers qu'il sera difficile
de résoudre pour la majorité des na
tions participantes.
EN ROUTE FOUR L’AMERIQUE
Nos descendeurs et slalomeurs sont partis hier soir pour l’Amérique
où ils disputeront, à Aspen, les Championnats du monde de ski.
Nous voyons ici James Couttet qui pousse un « diable » sur lequel
sont juchés, de droite à gauche : Micheline Demazières, Désiré
Lacroix et Jean Pazzi, tandis que Claude Penz est à genoux. Bon
voyage, skieurs de France !
(Lire les détails page 4, rubrique Ski)
LES CHAMPIONS DE VITESSE CONQUIS PAR LE RALLYE DE MONTE-CARLO
EUGENE CHABOUD EST ENTHOUSIASTE
mais demande nne épreuve de vitesse
supplémentaire !
Louis Rosier , champion de France . sacrifierait
volontiers un Grand Prix
(D’un de nos env. spéciaux Maurice MAUREL)
MONTE-CARLO. — Quelles peuvent être, lorsqu'ils sont au
volant d'une voiture de série que l’on peut confier à des conducteurs
comme vous ou moi , les réactions des champions de vitesse ? I\ous
avons posé la question à Eugène Chaboud, ex.champion de France.
et à Louis Rosier, détenteur actuel du titre, qui ont tous deux parti
cipé au Rallye.
Eugène Chaboud avait fuit, en 1*137 et 1938 (en vainqueur
cette année-là), le Rallye Paris-Nice. Il le jugeait peu fatigant (une
seule nuit passée au volant), al -1 au volant d’une voiture qui, tout
trayant avec ses épreuves subsi- de même. n’offre pas les memes pos-
diaires de classement, amusant sibilités qu’une voiture de course ?
fll - ’ j — Pas du tout. D’abord, il faut
meme. bien se persuader que les coureurs
Cette année, Angelvin, un conduc- chevronnés, dont je crois être, ne
teur (qui ferait, dit Chaboud, très font ïamais les fous sur la route
bonne figure dans les courses de vi- e t dans une épreuve pareille qui est
tesse), un pilote infatigable, « qui avant tout une randonnée touris-
sait prendre tes decisions qu’il faut tique. Ce n’est pas nous qui nous
quand il le faut », lui demanda de amusons à doubler pour le plaisir,
faire équipe avec lut. — Etiez-vous plus ou moins fa-
Chaboud a accepté II en est re- tiqué à l’arrivée à Monte-Carlo qu’à
venu enthousiasmé, et bien décidé celle d’un Grand Prix de vitesse ?
à récidiver : — Cette année, le Rallye a été
« Je n aurais jamais cru que le rendu exceptionnellement difficile
Rallye put offrir un tel intérêt par Les circonstances atmosphériques,
avoue-t-il. J’ai pris autant de satis- Mais ce doit être une épreuve tou-
faction d un autre ordre sans doute, 7 ours très fatigante : on roule trois
mais aussi vive que dans une course nuits et deux jours. Dans un gfand
de vitesse ! prix de vitesse, qui dure de I à 4
— Mais ne vous sentiez-vous pas -
. gêné, s freiivé », si Ton peut dire, (Lire la suite p, 2, rubr, Automobile}
Ce soir, on connaîtra
LE MEILLEUR
PATRON
SPORTIF
DE FRANCE
Le jury du Meilleur Patron Spor
tif de France se réunit cet après-
midi afin d’attribuer pour l annee
1949 le Challenge Jean-Potin. IJ
s’agit de récompenser le patron
ou l’entreprise qui, selon un règle
ment, une définition et un ques
tionnaire déterminés, ont mani
festé par des actes la meilleure
compréhension de l’éducation phy
sique et sportive à l’intention de
leur personnel.
Font partie du jury s MM, Le
clerc (Enseignement Technique), Le
Bot (Professeurs d’E. P.), de Plas
(F. N. de la Publicité), Oesmarais
(Jeunes Patrons), Drigny (C. N. S.),
Hamp (Ecrivains), docteur Ruffier
(Corps médical), Massoulier (Comi
tés d’entreprises), François (Clubs),
Charles Faroux (A.J.S.), Mme Irene
Popard (E. P- féminine), Mme Jean
Potin et M. Philippe Potin (dona
teurs), Jacques Goddet et Marcel
Oger, directeur général et rédac
teur en chef de L’EQUIPE | rappor
teur i Maurioe Maurel.
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CORSE
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LIRE EN PAGE 6 :
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(Lire la suite page 3, rubrique Boxe)
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H. Béhotéguy, d'accord avec R. Crabos, lui reproche
ses réflexes de trois-quarts centre
On n’a pas fini d’épiloguer sur le match France-Irlande, sur ses déceptions ou sur ,ses
émotions, mais c’est surtout la ligne de demis française qui fait ’objet des échanges de vues
les plus étudiés, les plus variés et les plus opposés.
Aujourd’hui, la discussion se poursuit encore, et l’on comprend fort bien que l’unanimité
ne se fasse pas sur la qualité du math h fourni par Lasaosa et Lauga. Tout dépend de l’angle
sous lequel on observe leur activité et leur production.
Les apparences immédiates sont à leur avantage, car Lauga fit bien tout ce qu’il entreprit
..... chez lui, l’exécution ne prête
guère à la critique; c’est notam
ment lui qui nous donna trois
points avec son drop goal de la
onzième minute. C’est Lasaosa
qui sur la fin sauva notre camp,
en compagnie du reste de
Lauga ; l’un et l’autre ont à leur
actif des actions personnelles de
g qualité.
i| A ia sortie du stade, il en est
:î même qui, sous l’impression directe
de ce qu’ils ont vu. classent Lauga
parmi les meilleurs Joueurs français
il Mais au moment où il faut situer
H '.es responsabilités de la médiocrité
p du jeu d'équipe, au moment où la
$ réflexion vous amène à conclure
que la victoire était dans les mains
| de nos deux grands ailiers, Siman
et. Pomathios et que la responsabi
lité de notre demi-échec Incombe à
ceux qui n'ont pas tout fait pour
exploiter la valeur de nos trois-
quarts de nos ailiers en particulier,
alors on pense à Lasaosa et k Lauga.
Taper n'est pas attaquer
En match international plus que
dans n'importe quelle autre ren
contre. une occasion doit être exploi
tée, car qui sait si votre adversaire
qui n est pas aveugle vous en lais
sera b autres Or Lauga eut plusieurs
fois des occasions d’attaquer a la
main ; je l’ai vu pour ma part une
fois, arriver à quatre contre trois !
Quelle bonne aubaine I était-on
amené à penser Hélas ! Lauga
ajusta un coup de pied Certes, il
était bien donne et en trouvant- la
touche, il nous fit gagner trente
mètres ; ce coup de pied amena
même des applaudissements.
Mais en réalité son geste était un
^cte de défense et. Lauga sacrifiait
délibérément une chance d attaquer.
Marcel de LA BORD FRIE.
(Urg la suite page 4, rubr, Rugby XV)
LAUGA DEFEND
LASAOSA
Pierre Lauga est surpris que les
commentaires n'aient pas été plus
élogieux à l'égard de Lasaosa.
« Grâce à lui, j'ai reçu le ballon
dans les conditions les plus favora
bles Sa passe a toujours été nette,
précisé, tendue, rapide et longue.
On ne doit absolument rien repro
cher o sa transmiss on; je pense au
contraire que peu de demis de mê
lée, aux prises avec les mêmes dif
ficultés, auraient été capables
d'ouvrir comme il l'a fait En outre,
son dernier quart d'heure a ete
sensationnel : la somme de travail
qu il a accomplie en défense est
inimaginable. Il était partout où le
danger se manifestait, bons ces der
nières minutes, notre équipe n a-t-
elle pas été sauvée por ce coup de
pied retourné remarquablement botté
au moment où trois avants irlandais
bondissaient sur lui, ô quelques mé
trés de la ligne de but ? ». D
y-y
mm
voulait attaquer
f
COLOMBES. — Mais il eut trop
peu d’occasions. Il n a pas laissé
re çu le ballon sur une tentative de dégagement de Norton. Pomathios s est
avoir évité l’arrêt de Henderson (à terre), il repousse celui de Mc Lane qu’il
passe à l'intérieur.
.(Lire page 6 l’artiele de Louis FERDINAND^
LES 'BASKETTEURS
PHENOMENES A PARIS
Les "Harlem
Globe Trotters'
mais aussi...
les "Ail Stars
New-York "
M. Saperstein, manager de l’équipe
de basket des « Harlem Globe Trot
ters », sera la semaine prochaine a
Paris pour regier les derniers détails
de la Tournée Européenne de ses
joueurs noirs.
Cette lormation sensationnelle - qui
stupéfia, la semaine passée, les spec
tateurs des salles de cinéma où elle
fut présentée en Actualités — sera
accompagnée par le; « Ail Stars Pro
fessionnels New-York » qui, eux, sont
tous des blanM»
tournentàla
plaisanterie
!
Saut du combiné aujourd’hui et saut du Championnat
dimanche à Lake Placid
Les 18 kilomètres à Rumford (Maine)
CLASSEMENT
DE L'EPREUVE DE SAE T
HORS-COMPETITION
1. Christian Mohn (Norv.), 211,1 ;
2. Berman (N). 210,8 ; 3 Barber
(E.-U.), 210,6 : 4 Develin (E.-U.), 210.,
5. Ruud (N) 207 ; 6 Bjornstad (N).
206,2: 7. Hugsted (N), 204,5
N.D.L.R — Précisons ciue ceci
est ie classement officiel, revu et
corrige au cours de la nuit. C’est
lors de cette épreuve meurtrière
(34 chutes) que le Finlandais Laakso
se cassa un bras et que l’Américain
Paul Perrault se démit une cheville.
LAKE PLACID. — Il faut bien avouer (ju’un vent nette
ment plus froid a soufflé, en ce lundi, sur les espérances des
skieurs qui se trouvent condamnés à l’oisiveté à Lake Placid.
En effet, lorsque, à la suite de la réunion officielle de dimanche
soir, le bruit courut qu’une émigration sous d’autres deux
plus cléments avait été décidée, cette décision provoqua un
instant comique : ce fut celui de la ruée vers les cartes pour
repérer les lieux proposés : Jackson, dans le New-Hampshire
et Rumford dans le Maine. Tous les Américains s’interrogeaient cartes géographiques, les dirigeants
sur la situation exacte de ces deux localités, ce qui laisserait ^nïabTlité^d^s^re^lÏÏraLmfss'In
a prouver qu ils ne connaissent de 50.000 ou 60.000 mots par jour,
pas mieux la géographie que commencèrent à manifester quelque»
nmic ant, pc PVnnr-nie A inquiétude à l’idée du problème tech-»
nous aunes français, a leui niqUe qui allait imposer à eux.
excuse nous dirons que leur ter- D’autre part, le problème du trans-
ritoire est infiniment plus vaste, port fit apparaître qu’il n’y avait past
Mais pendant qu'on examinait les (Lire ia suite page 3, rubrique Ski)
Perseverare
diabolicum !
par Alex VIROT
Les câbles qui nous parviennent
d'Amérique, reflètent le profond dé
sarroi des organisateurs devant l'ab
sence de la neige et le danger des
palliatifs mis en pratique en sembla
ble occurrence.
Nous avons connu cela bien au'à
un degré moindre, aussi nous ne som
mes pas sans inquiétudes pour la
sude des événements.
Dans un cas pareil, en effet, le
danger naît du désir immodéré des
prpan isat.eurs de réaliser à tout
leur prog’rerhme. À tout prix celo si
gnifie : fût-ce en marge des condi
tions de régularité des épreuves
On vient de constater quoi cela
peut conduire ovec cette épreuve de
saut disputée sur une piste artificielle
de al ace pilée.
Rassembler l'élite des sauteurs in
ternationaux, pour enreçéstrer un in
vraisemblable record de chutes : 34,
ce qui ne s'était jamais vu. Couron
ner le tout par la mise hors de combat
du meilleur sauteur finlandais Laak-
so qui s'est fracturé une jambe dans
sa chute, c'est là vraiment un bilan
qui ne peut être que *la résultante
de conditions de piste déplorables.
Nous avons peine à croire après
une semblable expérience que les di
rigeants de la FIS acceptent que se
déroulent dans de telles conditions
les deux épreuves de saut des Cham
pionnats annoncées pour cette se
maine.
La mesure qui consiste à procéder
à la cérémonie d'ouverture des Cham
pionnats sur le vert gazon, et à dé
clarer avec un optimisme de comman
de qu'on attend la neige est une
pure plaisanterie.
A qui fera-t-on croire, en admet
tant qu'une importante chute de nei
ge survienne, qu'on aura du jour au
lendemain une piste de 18 kilomètres
et une de 50, en état d'assurer aux
épreuves de fond toute lo régularité
indispensable ?
Nous devinons que c'est bien pour
cette raison que M. Ostgaard, prési
dent de lo FIS, a parlé d'une remise
à huitaine, et qu'il demeure assez
sceptique pour envisager de tare
émigrer les Championnats ou Canada,
voire de les ramener en Scandinavie.
Le moins que l'on puisse dire est
que de tels projets soulèvent des pro
blèmes financiers qu'il sera difficile
de résoudre pour la majorité des na
tions participantes.
EN ROUTE FOUR L’AMERIQUE
Nos descendeurs et slalomeurs sont partis hier soir pour l’Amérique
où ils disputeront, à Aspen, les Championnats du monde de ski.
Nous voyons ici James Couttet qui pousse un « diable » sur lequel
sont juchés, de droite à gauche : Micheline Demazières, Désiré
Lacroix et Jean Pazzi, tandis que Claude Penz est à genoux. Bon
voyage, skieurs de France !
(Lire les détails page 4, rubrique Ski)
LES CHAMPIONS DE VITESSE CONQUIS PAR LE RALLYE DE MONTE-CARLO
EUGENE CHABOUD EST ENTHOUSIASTE
mais demande nne épreuve de vitesse
supplémentaire !
Louis Rosier , champion de France . sacrifierait
volontiers un Grand Prix
(D’un de nos env. spéciaux Maurice MAUREL)
MONTE-CARLO. — Quelles peuvent être, lorsqu'ils sont au
volant d'une voiture de série que l’on peut confier à des conducteurs
comme vous ou moi , les réactions des champions de vitesse ? I\ous
avons posé la question à Eugène Chaboud, ex.champion de France.
et à Louis Rosier, détenteur actuel du titre, qui ont tous deux parti
cipé au Rallye.
Eugène Chaboud avait fuit, en 1*137 et 1938 (en vainqueur
cette année-là), le Rallye Paris-Nice. Il le jugeait peu fatigant (une
seule nuit passée au volant), al -1 au volant d’une voiture qui, tout
trayant avec ses épreuves subsi- de même. n’offre pas les memes pos-
diaires de classement, amusant sibilités qu’une voiture de course ?
fll - ’ j — Pas du tout. D’abord, il faut
meme. bien se persuader que les coureurs
Cette année, Angelvin, un conduc- chevronnés, dont je crois être, ne
teur (qui ferait, dit Chaboud, très font ïamais les fous sur la route
bonne figure dans les courses de vi- e t dans une épreuve pareille qui est
tesse), un pilote infatigable, « qui avant tout une randonnée touris-
sait prendre tes decisions qu’il faut tique. Ce n’est pas nous qui nous
quand il le faut », lui demanda de amusons à doubler pour le plaisir,
faire équipe avec lut. — Etiez-vous plus ou moins fa-
Chaboud a accepté II en est re- tiqué à l’arrivée à Monte-Carlo qu’à
venu enthousiasmé, et bien décidé celle d’un Grand Prix de vitesse ?
à récidiver : — Cette année, le Rallye a été
« Je n aurais jamais cru que le rendu exceptionnellement difficile
Rallye put offrir un tel intérêt par Les circonstances atmosphériques,
avoue-t-il. J’ai pris autant de satis- Mais ce doit être une épreuve tou-
faction d un autre ordre sans doute, 7 ours très fatigante : on roule trois
mais aussi vive que dans une course nuits et deux jours. Dans un gfand
de vitesse ! prix de vitesse, qui dure de I à 4
— Mais ne vous sentiez-vous pas -
. gêné, s freiivé », si Ton peut dire, (Lire la suite p, 2, rubr, Automobile}
Ce soir, on connaîtra
LE MEILLEUR
PATRON
SPORTIF
DE FRANCE
Le jury du Meilleur Patron Spor
tif de France se réunit cet après-
midi afin d’attribuer pour l annee
1949 le Challenge Jean-Potin. IJ
s’agit de récompenser le patron
ou l’entreprise qui, selon un règle
ment, une définition et un ques
tionnaire déterminés, ont mani
festé par des actes la meilleure
compréhension de l’éducation phy
sique et sportive à l’intention de
leur personnel.
Font partie du jury s MM, Le
clerc (Enseignement Technique), Le
Bot (Professeurs d’E. P.), de Plas
(F. N. de la Publicité), Oesmarais
(Jeunes Patrons), Drigny (C. N. S.),
Hamp (Ecrivains), docteur Ruffier
(Corps médical), Massoulier (Comi
tés d’entreprises), François (Clubs),
Charles Faroux (A.J.S.), Mme Irene
Popard (E. P- féminine), Mme Jean
Potin et M. Philippe Potin (dona
teurs), Jacques Goddet et Marcel
Oger, directeur général et rédac
teur en chef de L’EQUIPE | rappor
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