Titre : La Rampe : revue des théâtres, music-halls, concerts, cinématographes / Georges Schmitt, directeur-rédacteur en chef ; Bernard de Puybelle, directeur-administratateur
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1920-01-11
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32847829g
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 15683 Nombre total de vues : 15683
Description : 11 janvier 1920 11 janvier 1920
Description : 1920/01/11 (A6,N166). 1920/01/11 (A6,N166).
Description : Collection numérique : Arts de la marionnette Collection numérique : Arts de la marionnette
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k55835447
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-60609
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 01/12/2010
L'année 1920 commence par une mort qui endeuillera la
littérature française : Paul Adam est mort dans la matinée du
2 janvier, succombante une atteinte de grippe infectieuse. Il y a
quinze jours, il recevait encore ses amis, ses disciples, dans son
grand salon du quai de Passy et vigoureux, joyeux, plein de
projets, il ne laissait supposer à aucun de ceux qui étaient
autour de lui qu'il était désigné pour une fin prochaine.
C'est surtout comme romancier que Paul Adam était et res-
tera connu. Son oeuvre est considérable et ce n'estpas seulement
à cause du nombre des'volumes qu'il a écrits que bien des fois
son nom s'est vu rapproché de celui de Balzac.-Cependant,
l'auteur de La Force a fait sur les planches plusieurs incursions
ce qui pour nous est une raison de
plus de déplorer sa mort. ^^-—TT5"^"^
En 1893, à l'âge de 31 ans, Paul -^m^ " ' *'"•
Adam avait, en colla- ^^^k l^^^h
boration avec Gabriel s^k wfr
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mière pièce. Sous ce y^9|
titre L'Automne, les /Â\
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Mauvais Bergers. ^EBBIikT^bv ' --^p*^
M- Albert Carré qui ^TOMHIwK.' ' '^^^S'%5
dirigeait alors le Vau- WH^ Bj^B|Btefo< - ' -^É
deville accepta l'ou- ^^mifflWJBfefel
vrage, mais la censure ' ifi &jl ipStîSi
ne voulut pas en au- .^IBg^pBgT
toriser la représenta- n»3Bf ^^llÉllIp^'
tion sansavoir soumis Ï-HRE ' ^-;^^r'
le manuscrit au Pré- ' mÈf M. el
sident du Conseil, * wP
M. Dupuy. Celui-ci,
effrayé des audaces de l'oeuvre, s'opposa à la mise en scène de
L'Automne. Quelque temrs après, les Pouvoirs Publics, non
sans difficulté, revinrent sur leur décision et autorisèrent la re-
présentation de la pièce sur la scène du Théâtre Moncey où
M. Armand Bourdonnaitdesspectaclesd'avant-garde.Lesuccès
de cette représentation—cariln'y eutqu'une représentation —
fut grand, mais M. Paul Adam ne put y assister car ce jour-là
il témoignait au Procès des Trente. MM. Bour, Dauvillier,
Rambert, Mmes Louise France et Gina Barbieri étaient les
principaux interprètes de L'Automne aux trois actesde laquelle
une importante figuration racolée par Bour et Gabriel Mourey
parmi les ouvriers du quartier, donnait une vie frémissante
et spontanée. Deux ans plus tard, M. Paul Adam faisait re-
présenter en collaboration cette fois avec M. André Picard (dont
c'étaient les débuts au théâtre) Le Cuivre. Dans cette oeuvre
nouvelle, le rôle de la finance dans le monde moderne y était
analysé avec une perspicacité et une puissance qui soulevèrent
une juste admiration. Malheureusement, ce n'était pas sur un
théâtre régulier que la pièce était jouée mais au Théâtre Libre
dirigé par Larochelle, si bien que le succès, si franc qu'il eût
été, fut éphémère.
& En 1902, Paul Adam laissa entendre à Claretie, administra-
teur de la Comédie-Française, qu il aurait plaisir a être joue
sur les planches de la Maison de Molière. En octobre 1904,
l'auteur de La Ruse déposait sur le bureau de l'administrateur
Les Mouettes, pièce en trois actes, qui fut distribuée à Mmes
Cerny, Lara, du Minil, Dtissane, et à MM. He;iry Mayer et
Duflos. La pièce fut très discutée. Voici ce que M. Robert
de Fiers écrivait dans Le Figaro : « M. Paul Adam a voulu •
nous montrer sous les espèces d'une action dramatique, le
conflit de la morale du Christ et de la mora'e de Nietzsche, de
l'esprit de Sacrifice et de l'esprit d'Egoïsme- C'était là un noble
et vaste_sujet tout à fait digne du puissant auteur de tant d'oeu-
vres belles et tumultueuses, toutes frémissantes de force et de
pensée. Malheureusement, il est à
■ 'i JT~p —^ craindre que le public n'aperçoive
Pt$§|•.$} ■ - ^s?>-^ Pas distinctement les .pensées de
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-v| |; ï • y*|>\ démêle point la signi-
K&iil! * -'"-H^SW^V fication cachée et la
WM ' ' r IlÉfëX P°rtée générale de sa
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^S^^^^^^^W^J^^^^^^ traduit par Marivaux,
^Ultefe&à,:, •^ÊS^S^ÊÊ^^>^ ajoutait : « Je ne m'en
^ dédis point, on retrou-
'^ vera dans la nouveauté, dans la rareté
"" — de cette situation, des dessous de
philosophie, les profondeurs de
Mme PAUL ADAM psychologie du vieux maître Scan-
dinave, et cette même façon de
jeter le coup de sonde, de des-
cendre la lampe aux mines de ténèbres de la pensée; mais
cette façon est adroite, légère, française et celte lampe
s'allume aux plus belles clartés du flambeau de notre
génie. » Malgré ces compliments, malgré les polémiques sou-
levées, malgré les grands noms prononcés, le succès ne fut
que relatif, la pièce n'eut que dix-neuf représentations et Paul
Adam s'éloigna de nouveau du théâtre- Il n'y était pas encore
revenu quand la mort le surprit. Il laisse inachevée une pièce
en trois actes Tartit, qu'il commença avec Gabriel Mourey et
qui mental dans un cadré des plus modernes
Tous ceux qui, aimant le Théâtre, rêvent de le voir s'élever
au-dessus de la production banale dont la marée le submerge,
regretteront que Paul Adam n'ait pas livré de combats plus fré-
quents pour s'emparer de la scène : Paul Adam élait un rude
jouteur, il nous aurait peut-être donné une de ces oeuvres d'une
belle tenue littéraire et morale, soeur de celles dont il se montra
si prodigue comme romancier et qui nous aurait permis d'ins-
crire dans l'Histoire du théâtre contemporain son nom à côté
de ceux de François de Curel et G. de Porto-Riche.
RENÉ JEANNE.
littérature française : Paul Adam est mort dans la matinée du
2 janvier, succombante une atteinte de grippe infectieuse. Il y a
quinze jours, il recevait encore ses amis, ses disciples, dans son
grand salon du quai de Passy et vigoureux, joyeux, plein de
projets, il ne laissait supposer à aucun de ceux qui étaient
autour de lui qu'il était désigné pour une fin prochaine.
C'est surtout comme romancier que Paul Adam était et res-
tera connu. Son oeuvre est considérable et ce n'estpas seulement
à cause du nombre des'volumes qu'il a écrits que bien des fois
son nom s'est vu rapproché de celui de Balzac.-Cependant,
l'auteur de La Force a fait sur les planches plusieurs incursions
ce qui pour nous est une raison de
plus de déplorer sa mort. ^^-—TT5"^"^
En 1893, à l'âge de 31 ans, Paul -^m^ " ' *'"•
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il témoignait au Procès des Trente. MM. Bour, Dauvillier,
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principaux interprètes de L'Automne aux trois actesde laquelle
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présenter en collaboration cette fois avec M. André Picard (dont
c'étaient les débuts au théâtre) Le Cuivre. Dans cette oeuvre
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une juste admiration. Malheureusement, ce n'était pas sur un
théâtre régulier que la pièce était jouée mais au Théâtre Libre
dirigé par Larochelle, si bien que le succès, si franc qu'il eût
été, fut éphémère.
& En 1902, Paul Adam laissa entendre à Claretie, administra-
teur de la Comédie-Française, qu il aurait plaisir a être joue
sur les planches de la Maison de Molière. En octobre 1904,
l'auteur de La Ruse déposait sur le bureau de l'administrateur
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et vaste_sujet tout à fait digne du puissant auteur de tant d'oeu-
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que relatif, la pièce n'eut que dix-neuf représentations et Paul
Adam s'éloigna de nouveau du théâtre- Il n'y était pas encore
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Tous ceux qui, aimant le Théâtre, rêvent de le voir s'élever
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si prodigue comme romancier et qui nous aurait permis d'ins-
crire dans l'Histoire du théâtre contemporain son nom à côté
de ceux de François de Curel et G. de Porto-Riche.
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