Titre : Le Petit journal
Auteur : Parti social français. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Clermont-Ferrand)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Pau)
Date d'édition : 1864-08-09
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32895690j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 146118 Nombre total de vues : 146118
Description : 09 août 1864 09 août 1864
Description : 1864/08/09 (Numéro 556). 1864/08/09 (Numéro 556).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG63 Collection numérique : BIPFPIG63
Description : Collection numérique : BIPFPIG64 Collection numérique : BIPFPIG64
Description : Collection numérique : Grande collecte... Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail
Description : Collection numérique : La Grande Collecte Collection numérique : La Grande Collecte
Description : Collection numérique : Commun Patrimoine:... Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine Commune
Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k588666b
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/07/2008
iicaxtisa"
bpol. Montmartre \,j
â.;la UbrairiR (i,u*PsTiT Jooitsit.
3 mois ,C mofetUflrAiii-
«f. *8f. 84'fc^
i'| r ^'NUMÉRO
parteht du 1*,ou diit0 de chaque: moia
-Mandat ou tlrabrés-posta
/Quaiid j-étafe
^îîrpiS,' les bocaux brillants, couleur dè,pour-j
"pre, d'améthyste ou d'éraeraudë,' • •
..Qui illuminaient '«certaines':
magique;, < < • ̃̃̃̃
̃ ̃ T4-; demandât-)
̃•̃
C'est qu'en Angleterre, à cette époque, laj
plupart des-docteurs vendaient eux-mêmes!
•
Et le peuple anglais dit encore aujour-j
d'hùi, the. doctor's shop.
̃'̃'̃ -J -̃' ̃̃ "̃ '̃'̃̃̃ '̃
En France^ la vente des remèdes n'est* pas}
effectuée par le médecin.
Ce n'est même plus un apothicaire, çom-f
l^e du temps de M. Purgon •
.C'est .un ,plïarmacien;; •
'Et'il n'a emprunté des officines bfitanni-!
vifuès, que ces bocaux colorés, quijui.ser-1
ssent aujQuru'hui de lumineuse enseigne;;
Le, mot pharmacie dérive du grée, "php,?-*
makon, art de. préparer les remèdes.,
Auxteînps anciens, l'apothicaire 0u;p.har-|
iriacien n'existait pas.
,Le..médecin consulté fournissait le .re-.
Et l'administrait lui-même au patient.
Et ce dut être à ces époques d'ignorance!
compote de là chimie, que naquirent, au!
profit dés gens pauvres, les remèdes de bon-'
ne femme, dont la vogue dure encore au-
jourd'hui.
.#̃̃̃
•, L.9,ngtcrnps,la vente des médicaments fut*
laissée aux épiciers.
L'herboriste; fut un- progrès, il dénotait
chftz, le -détaillant la connaissance pratique*
•xles simp'es.
Puis, le droguiste, qui préparait pour le
commerce les teintures essentielles, vint a-i
ce fruitier perfectionnée
̃ •̃ '̃ ̃̃̃ *̃' • ̃. ̃<>̃
Àlédicis n'aurait pas pu disposer de poisans,
•'ii sa guise s'il eut eu à compter avec notre'
école de pharmacie. ,-̃̃̃
:r. > ':•
Ce fut au.douzième siècle que, la ;prQfes-
sionide pharmacien. s'établit ,il .Nappés sur
̃des «bases ^classiques et-régulières.
Nul ne pouvait iwoir. un Iaboï;<*tc4;c, sans
un. certificat de capacité.
--r:
Pendant cétenips. Cari Slarlyun voyait snm-
-àir sa répùlation. Touf lui réussissait., li riove-
siait.un jès mieux .prônés de'
cei;e revue 'hautaine au sèùïl'île lâquftlic Do-
iniiiiilUf! tombait iia4ettmt et brisé. Ce n'est pas.
({ue Carlanayiirât un de ces génies qui font-
ép.orelk: C'était iutfins'tin tal,enl (i'iûst.incl ."robuste.
.îjjoyer qui
,mais un reflet charmant et .qui convenait
merveille
vantait
,tout.,
Martynn, qu'il c-c;iis'i;dt'rai tvdisa it-i! comme' un
nptitë-fîe !)r<3ini«r ordre. Ces «loges avaient d'a-
bord irriiç la .iiiusfi, elle lessivait combattus
Puis, mobile ,;parce
•iola-oontrodiction elelle avilit insensiblement
uni sa voix au concert louangeur. Si légitime
«jue lui parût-ce revirement, I)ominiqaie n'avait)
.se défentlrp. ,d 'un sentiment jar1
forcrnil-
les indiquées fy
Salerne. s
-y. ^̃̃̃̃. :>̃̃̃••̃̃̃̃̃
La France fut plus longue à réglementer,
la vente desremedespubltcsi' >
• y- Epi44-8ii .uiJQiordonnanceideiChariesiyiIl
̃chercha à mettre .de l'ordret-dans
'̃ ;•̃̃•̃'̃ '̃̃'• i! '•̃ ̃̃ ̃-̃• .'̃- :i;i,
JÊti 1780, ori détailla lès connaissances spér
jpoéi-
créa les Ecoles de pharmacie et fixa fe posif
•tion'da pharmacien breveté
•̃̃ '̃̃
que ce brave honyïie,qui
Jiile _'l'aoiâ'nde'; amèye, dans un rnortjer,l!5oi|
̃ '̃
tout
'-̃̃̃̃ ̃ '̃ ̃i:
2adéceipbre18»ï; •̃• ̃ r ̃̃;
l\ doit avoir fa'it Jîlusionps années dë>stàgé
• 'Il-! lui a fallu' passer plusieurs examens
pour être .rçç,u. ( ̃ ;̃ ̃• ;'Ô.7Z">
dans' une ,dçs écdlesi
a le droitd'exer^
cer dans toute la France et les colonies?
S'iln'a été reçu que dans une école pré-
para iotne-ilne peut exercer que dans le dé-i
est située. ̃̃-
/-•̃" ̃•̃̃'̃'̃'̃
de pharmacie en
France sont siiuécs à Paris, Strasbourg" et
ftjontppliier.•
̃̃̃̃
Le pharmacien n'a plus riun du guérisseur,
du moyen âgé.
Sa boutique est ornée de bocaux qui ,étai
lent des noms latins, et grecs, propres ih-i'
triguer l'imagination du peuple il lettré.
Le penseur seul contemple avec respect
cet emplacement.
La mort est dans ces bouteilles de' verre.
Les poisons s'y donnent rendez-vous.
L'acide' prUssique, l'arsenic, fa ciguë, la
digitale, la nicotine, .l'acétate, de morphine
sont voisins..
Et il faut au. pharmacien ou à son aide
une grande prudence, une grande 'attention
pour, ne pas se tromper dans la préparation
d^uaremède:
La boutiquedes pharmaciens des provin-
ces est: le lieu de rendez-vous et de cause-
ries dfesî médecins de la localité.
Dans toute petite ville où' il n y a pas d'a-
Cadémie de médecine, les coniérençes se
font familièrement autour du comptoir de
pharmacie.
On'y discute confidentiellement les ma-
ladies et les remèdes, ̃;̃̃'̃-•
| lG"ux-S5-]âîroûsïê":i'ibcruC'encore' lorsqu'il re-
marqua que.Carl se-1'aisaH l'hôte- presque quo-
tidien de la vil1a de Fontenay-auje-Roses, et
qu'Olympe cette', étranf;
g« assiduité' !;̃•̃̃ ""̃
Un soir qu'n;"aiî
il (enleiailit un' bruit de. pas*
sur le sqble.d'une. aîlée.qu'un!massif dérobait à
sa vue. Un pressentiment lui cria dans l'âme
que ceux qui patjsuient là îVétsiient autres qu'Or
lixe, l'oreilie tendue, -sans
un souiile aux'lôvies,- il écoula. 1! entendit d:a-
j btjrtl ouvrir qne jjelite porléiiraliquéo dans le)
mur d'enceinte et donnant accès sur la carnr
pajïjie,' non loi:u de ta slalion du chemin; de feri.
,puis il pei'çut disLincienienldeux murmures-, un^
̃i baiser et un adieu.: .̃̃•
llboiid-ii aussitôt comme un lien ble&sé et
M. Cari Martynn viçol.'ile- pantin, dit-elle
avco-lin calrtie forc'o.
répJJT
qu;i ;Doininique, li» voix.vibraiHeet Tœil étior
celant,
do crois qu'oui, balbutia-t-;eUei.. Est-ctt
qu& cela vous déplaît ̃?.
Supposez-vous donc que je puisse m'en
rt'- jouir-? Pourquoi ne nie réjouirais-je pas aussi
desilibeiités qu'il prend avec vous V-
J.'ai-pnrXaiemeni entendu.
Le bruit de ses lèvres sur ma. mairi'? voyez
,11. se «fit, ces m*>ts, un .silenee embarrassé
Les ".succès' .d'Kscu-
̃'iajie; v • ̃̃ ,•: .̃ .'•
I^es éarbonato-s ot les sulfores», j
Leimercurc et !a salsepareille,
Le système Broussais et l'Homœopathie,
Et iL ne m'est pas démontré que ces séan-
ces1 soient inutiles au graE(d art de guérir,
pîiaii-
inaçiensr .< ,'̃ .t- '̃'̃
Capuletset les Montai-
gus:\ j? .-•̃•- •, ̃̃ ,?/v, /.•̃.) -i
ïl le-pbafiBacièh
1b JtÉs- humble serviteur
de' là $a borne' a prépa-
docteuns
lui 'donnent là claire et précise composition
,Il fautnomnrerensuite le pharmacie» qui
vend un remède spécial te" sirop de Flon,–
le sirop d'écorces d'oranges. F huile de marr
ronst d'Jn'(e'4a.pâte JReffnauft, qui 6t la ion-
tUnede il Veron,
etmiîle autres intelli-
gents de la chimie.
1 t-, .•- ..# ̃ ̃ ̃̃ ̃
•̃
Son apogée, qu'on purge aujourdnai avec
un biscuit) avec du^hocolat, avec des pas-
!̃" Unïioiirviendira où il suffira de fairecom-
me ce paysan naïf qui avalait l'ordonnant
ce. pourguérir une maladie d'entrailles.
Les en délir
catesse avec lespurs. On leur reproche d'emr
piétertbutd'âbqrd sur leurs droits médicaux,
puis d'offrir, en fàitde'remèdes,
w'aàU'publiCi ̃̃'•"̃̃•'
Congrès qui s'ussembjent
Celui qui vaavoirlïeu au.milieu de ce mois
réunira à Strasbourg !es phermaciens de
toutes lesyilles de France.
professent* h l'Ecole de
pharmacie-' de Strasbourg, a voulu donner
un attrait de plus au Congres.
On a établi une exposition publique de tout
ce qui peut contribuer la santé publique
Depuis l'animent qui la consolide jusqu'au'
livre qui enétablit les règles hygiéniques
Depuis le tissu. protecteur de la chaleur
vitale, jusqu'à la friandise strasbourgeoise,
stimulant heureux de. l'estomac
ïo'atcu qui touche à l'hygiène, à l'histoi-
re naturelle, à.la chimie, à la'thérapeutique
est reçu â'.bi'as
Ce sera lie Mûsëe.dela savt'é:
•Il fera bien chaud dans la;salle. des déli-
bérations
Quand ces cinq cents pharmacienssseront
Mais je n'éprôùve* aucune' crainte .à leur
endroit.. ̃̃̃̃•
Si quelqu'un se trouve mal, l'étherne fera
pus «Ir-iaut -̃_̃ ̃'•̃' 'S'" '̃ '• •
pendant lequel Olyni'pe et..Dominique entre-
choquèrent leurs regards: Dominique étaitfié-
vrèux et sombre, Olympe froide et hautaine.
Elle reprit d'un tonrsep: ̃• .̃̃'̃
Martynn que-ses visites sont trop fréquentes.
Au besoin môme, je. le prierai de ne plus re-
venir.
Elle allait s'éloigner, Doininiqùe la; retint.. Sa
colère s'était fondue, uu tioi de .larmes roulait
dans ses yeux.
"J'ai eu tort, ditril, .c.onîiis et suppliant, par-
Olympe hésita^ puis-répondit avec une dou-
ceur imperceptiblement dédaigneuse
Soil, je vous pardonne.- •̃•̃•
~QueCnr.l! Martynn vous poursuive de ses
obséquiosités, que aime, et
j'ai confiance- en vous!
-Cette confiance m'honore, dit. la jeune fille
en souriant, mais je neveux-point en abuser.
El,.pujsque la santé de-vôtre graind-pôre- ne se
ïôtaDiitpas's je consens ù ce que notre mariage
̃ne*sott pas retardé; *"̃••
Dominique se .sentit consolé comme par ën-r
clila Prenez garde leprit-dle nialioieusenient,;
M viens de l'effiicer, reprit-il d'un air ra-:
!,c iendemain.-Oiyinw n-çut, ffoideipeut Cari
eu. i'uî ̃téÎRoin,. il eut des
{iplujuttionef cf. ses. yeux
Et il sera, je vous le jures 'sortant des
mains de ces habiles préparateurs, d'excel-
lente qualité;
j,1' PARIS 'z'i.
̃ L'Empereur, parti ce matin de :Vi«i!fy h iMu
heurjBS.eîjt acrité à MontlBÉon h
dix mftiutes. l\eçà à la gare par If corps muni-
cipài,Yil s'est rendu il J'hôte] de ville, à- travers
des flots de population» accourues de unts. les
• < • -̃
'Après la présentation des aotorilésde I;(vHIe
eVdé j'àrrondissement, Sa Mnjesté'a1
Lecortége -impérial a quitté
̃Montluçon il une
L'Empereur s'est arrêté pour dincr il la gare
1 des Aubrais pendant une demi-beure.
Sa Majesté est arrivée au Saint-
Clbiirl à neuf heures et un quart. "J
Aujourd'hui aeu lieu, la Sorho»-ney,la dis-
tribuliun solennelle des prix du Grand concours
général entre les élèves des lycées dé Paris» et
de Versailles.
.1 La cérémonie a été présidée par. M. Dufèy,
'ministre de l'instruction publique,
Le prix d'honneur de philosophie a été rem-
porte au grand concours par le fils de M. le
prince de Broglie, membre de FÀt-adé-su'u Invn-
'ç'aise.
Le, prix d'honneur des
ciales a été remporté par le jeune Edmond Juatn-
berl, de Paris.
Nous donnerons demain la Jiste complète des
,•• •"
Le chotsil qiffe lejardh) d'acclirriutalioà vient 'de
faire cbiistruirc peut être considéré connue un mo-
dèle du genre; il consiste cy un pavillon 'oclosçne
à plusieurs compartimeuts, élevé sur un sol betôn-
né'hu ciment, avec niches et bancs couverts; le faut
entouré d'un grillage cl ornementé do* l'açun à too
pas -déparer la •'>! ie collection «i''i[jslàiliili't)iis-rnSti-
ques quf le publi; est .'accoutumé' d'admirer dans
cet ét;iblissrtiiu>ni: II .fait entrer désoruùiis locbenil
dans ta décoration des parcs!
Dans chaque compartiment de ce chenil modete
se trouvent en'ce mpineat des spécimens du chiens,
dont il est bien rare de voir les pareils. Ce' sont
W'abord les deux beaux lévriers kurdes longs poils
noirs et blancs, donnés au .l'ardia d'iicclirriatntioa^
par la Société impériale d'acclimatation de Moscou.
Lorsque ces chiens sont dressés sur knirs panes de
derrière, ils dépassent, de ta tète l'homme de ta
plus haute taille à coilïer les loups ot les sangliers
qu'a poursuiv re les simples lièvres. Si ou pouvait
les dresser a courir au. devant des voitures dans
les Champs-Elysées et au bois de Boutonne, ils re^-
mettraient à la mode ce genre de sport aujourd'hui-
délaissé et autrefois si bieii rempli par les chiens
danois.
Puis viennent deux jeunes chiens deLaponie, de
l'espèce de ceux qui remplacent la .paste' aux chtt-
vaux dans les steppes neigeuses de la' Sibérie, au
Groenland et du Labrador ils ont été récemment
envoyés au Jardin par S. A. le,duc de Kian<;arés,
ct plusieurs variétés de chiens chinois, les molos-
ses de Barcelone, si célèbres dans la tauromachie
de l'Espagne, les dingos ou chiens sauvages d'Aus-
tralie, et deux jolis petits terriers du Mexique, don*
de S. fixe. 'M. te maréchal 'Forey, et qui sont des
modèles de grâce et de vivacité.
La science et l'humanité viennent de faite
une grande perte par la-mort du docteur Pal-
mier,' iqui serait illustre si sa rare modesliein'a-
vait encore dépassé son rare mérite. D'abord a-
vocaU puis professeur, puis inventeur, enfia
c'est surtout dans cette dernière car-
rière que çtsUe vaste intelligence; qui avait top-
'M^^
inondèrent la jeune fille d'un ardent effluve de
reconnaissance. et d'amour.
Cependant il ne
put voir sans une- sorte de commisération la
tristesse et le désappointement de Cari. Il inter-
céda pour lui auprès de la jeune filie,et il ob-
Lint qu'elle lui lit un moins rigide accueil.
a Laissoz-mpi être magnanime, ônia belle Orym-
pe! dit-il. J'ai tant de joie dans, l'âme que je
voudrais fiyoir la puissance de consoler tous les
malheureux! » Elle lui suurit. S"ij eût été .plus
attentif' et plus pénétrant,- il eût, peut-être en-
.trevu une légère teinte d'ironie, dans le repli
.déla lèvre qui lui souriait. Mais comment se
fût-il alarmé? N'était-i| pas à la veille du
jqur solennel? Tout n'était-il pas prèt pour ie
bpjiheurambjtionné par lui? Aucun da4ger ne
menaçait, aucun obstacle n'eut eu le temps Ue
naîLre. leeroyailsincèrement du moins, quoi-
que l'expérience lui eût appris le doute, lu, cir-
conspection. Il était même si confiant alors,,
qu'un retard causé par une* indisposition. d'Qh
lympe ne lui 1 inspira aucune inquiétude, et que,
sans songer à mal, il la vit, encore souflraiite, -je-
rendre avec empressement la première repré-
sentatiQn d'une pièce nouvelle de Car}. ;AJarr
tynti. ̃ r .̃
Dans tous les ordres'dé mérite, il est <|es, pri-
vilégiés de là fortune, cette grande
Cari éllût, en réalité,un élu du destin. S;i seconr
première.' Elle fut acclamée avec frénésie. On
\i\ couvrit liljéralenient de bravos et de llours>
'fout cela était excessif, assurément; le taieajt
bpol. Montmartre \,j
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-Mandat ou tlrabrés-posta
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..Qui illuminaient '«certaines':
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C'est qu'en Angleterre, à cette époque, laj
plupart des-docteurs vendaient eux-mêmes!
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Et le peuple anglais dit encore aujour-j
d'hùi, the. doctor's shop.
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En France^ la vente des remèdes n'est* pas}
effectuée par le médecin.
Ce n'est même plus un apothicaire, çom-f
l^e du temps de M. Purgon •
.C'est .un ,plïarmacien;; •
'Et'il n'a emprunté des officines bfitanni-!
vifuès, que ces bocaux colorés, quijui.ser-1
ssent aujQuru'hui de lumineuse enseigne;;
Le, mot pharmacie dérive du grée, "php,?-*
makon, art de. préparer les remèdes.,
Auxteînps anciens, l'apothicaire 0u;p.har-|
iriacien n'existait pas.
,Le..médecin consulté fournissait le .re-.
Et l'administrait lui-même au patient.
Et ce dut être à ces époques d'ignorance!
compote de là chimie, que naquirent, au!
profit dés gens pauvres, les remèdes de bon-'
ne femme, dont la vogue dure encore au-
jourd'hui.
.#̃̃̃
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laissée aux épiciers.
L'herboriste; fut un- progrès, il dénotait
chftz, le -détaillant la connaissance pratique*
•xles simp'es.
Puis, le droguiste, qui préparait pour le
commerce les teintures essentielles, vint a-i
ce fruitier perfectionnée
̃ •̃ '̃ ̃̃̃ *̃' • ̃. ̃<>̃
Àlédicis n'aurait pas pu disposer de poisans,
•'ii sa guise s'il eut eu à compter avec notre'
école de pharmacie. ,-̃̃̃
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Ce fut au.douzième siècle que, la ;prQfes-
sionide pharmacien. s'établit ,il .Nappés sur
̃des «bases ^classiques et-régulières.
Nul ne pouvait iwoir. un Iaboï;<*tc4;c, sans
un. certificat de capacité.
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Pendant cétenips. Cari Slarlyun voyait snm-
-àir sa répùlation. Touf lui réussissait., li riove-
siait.un jès mieux .prônés de'
cei;e revue 'hautaine au sèùïl'île lâquftlic Do-
iniiiiilUf! tombait iia4ettmt et brisé. Ce n'est pas.
({ue Carlanayiirât un de ces génies qui font-
ép.o
.îjjoyer qui
,mais un reflet charmant et .qui convenait
merveille
vantait
,tout.,
Martynn, qu'il c-c;iis'i;dt'rai tvdisa it-i! comme' un
nptitë-fîe !)r<3ini«r ordre. Ces «loges avaient d'a-
bord irriiç la .iiiusfi, elle lessivait combattus
Puis, mobile ,;parce
•iola-oontrodiction elelle avilit insensiblement
uni sa voix au concert louangeur. Si légitime
«jue lui parût-ce revirement, I)ominiqaie n'avait)
.se défentlrp. ,d 'un sentiment jar1
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les indiquées fy
Salerne. s
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La France fut plus longue à réglementer,
la vente desremedespubltcsi' >
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'̃ ;•̃̃•̃'̃ '̃̃'• i! '•̃ ̃̃ ̃-̃• .'̃- :i;i,
JÊti 1780, ori détailla lès connaissances spér
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•tion'da pharmacien breveté
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l\ doit avoir fa'it Jîlusionps années dë>stàgé
• 'Il-! lui a fallu' passer plusieurs examens
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cer dans toute la France et les colonies?
S'iln'a été reçu que dans une école pré-
para iotne-ilne peut exercer que dans le dé-i
est située. ̃̃-
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de pharmacie en
France sont siiuécs à Paris, Strasbourg" et
ftjontppliier.•
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Le pharmacien n'a plus riun du guérisseur,
du moyen âgé.
Sa boutique est ornée de bocaux qui ,étai
lent des noms latins, et grecs, propres ih-i'
triguer l'imagination du peuple il lettré.
Le penseur seul contemple avec respect
cet emplacement.
La mort est dans ces bouteilles de' verre.
Les poisons s'y donnent rendez-vous.
L'acide' prUssique, l'arsenic, fa ciguë, la
digitale, la nicotine, .l'acétate, de morphine
sont voisins..
Et il faut au. pharmacien ou à son aide
une grande prudence, une grande 'attention
pour, ne pas se tromper dans la préparation
d^uaremède:
La boutiquedes pharmaciens des provin-
ces est: le lieu de rendez-vous et de cause-
ries dfesî médecins de la localité.
Dans toute petite ville où' il n y a pas d'a-
Cadémie de médecine, les coniérençes se
font familièrement autour du comptoir de
pharmacie.
On'y discute confidentiellement les ma-
ladies et les remèdes, ̃;̃̃'̃-•
| lG"ux-S5-]âîroûsïê":i'ibcruC'encore' lorsqu'il re-
marqua que.Carl se-1'aisaH l'hôte- presque quo-
tidien de la vil1a de Fontenay-auje-Roses, et
qu'Olympe cette', étranf;
g« assiduité' !;̃•̃̃ ""̃
Un soir qu'n;"aiî
il (enleiailit un' bruit de. pas*
sur le sqble.d'une. aîlée.qu'un!massif dérobait à
sa vue. Un pressentiment lui cria dans l'âme
que ceux qui patjsuient là îVétsiient autres qu'Or
lixe, l'oreilie tendue, -sans
un souiile aux'lôvies,- il écoula. 1! entendit d:a-
j btjrtl ouvrir qne jjelite porléiiraliquéo dans le)
mur d'enceinte et donnant accès sur la carnr
pajïjie,' non loi:u de ta slalion du chemin; de feri.
,puis il pei'çut disLincienienldeux murmures-, un^
̃i baiser et un adieu.: .̃̃•
llboiid-ii aussitôt comme un lien ble&sé et
M. Cari Martynn viçol.'ile- pantin, dit-elle
avco-lin calrtie forc'o.
répJJT
qu;i ;Doininique, li» voix.vibraiHeet Tœil étior
celant,
do crois qu'oui, balbutia-t-;eUei.. Est-ctt
qu& cela vous déplaît ̃?.
Supposez-vous donc que je puisse m'en
rt'- jouir-? Pourquoi ne nie réjouirais-je pas aussi
desilibeiités qu'il prend avec vous V-
J.'ai-pnrXaiemeni entendu.
Le bruit de ses lèvres sur ma. mairi'? voyez
,11. se «fit, ces m*>ts, un .silenee embarrassé
Les ".succès' .d'Kscu-
̃'iajie; v • ̃̃ ,•: .̃ .'•
I^es éarbonato-s ot les sulfores», j
Leimercurc et !a salsepareille,
Le système Broussais et l'Homœopathie,
Et iL ne m'est pas démontré que ces séan-
ces1 soient inutiles au graE(d art de guérir,
pîiaii-
inaçiensr .< ,'̃ .t- '̃'̃
Capuletset les Montai-
gus:\ j? .-•̃•- •, ̃̃ ,?/v, /.•̃.) -i
ïl le-pbafiBacièh
1b JtÉs- humble serviteur
de' là $a borne' a prépa-
docteuns
lui 'donnent là claire et précise composition
,Il fautnomnrerensuite le pharmacie» qui
vend un remède spécial te" sirop de Flon,–
le sirop d'écorces d'oranges. F huile de marr
ronst d'Jn'(e'4a.pâte JReffnauft, qui 6t la ion-
tUnede il Veron,
etmiîle autres intelli-
gents de la chimie.
1 t-, .•- ..# ̃ ̃ ̃̃ ̃
•̃
Son apogée, qu'on purge aujourdnai avec
un biscuit) avec du^hocolat, avec des pas-
!̃" Unïioiirviendira où il suffira de fairecom-
me ce paysan naïf qui avalait l'ordonnant
ce. pourguérir une maladie d'entrailles.
Les en délir
catesse avec lespurs. On leur reproche d'emr
piétertbutd'âbqrd sur leurs droits médicaux,
puis d'offrir, en fàitde'remèdes,
w'aàU'publiCi ̃̃'•"̃̃•'
Congrès qui s'ussembjent
Celui qui vaavoirlïeu au.milieu de ce mois
réunira à Strasbourg !es phermaciens de
toutes lesyilles de France.
professent* h l'Ecole de
pharmacie-' de Strasbourg, a voulu donner
un attrait de plus au Congres.
On a établi une exposition publique de tout
ce qui peut contribuer la santé publique
Depuis l'animent qui la consolide jusqu'au'
livre qui enétablit les règles hygiéniques
Depuis le tissu. protecteur de la chaleur
vitale, jusqu'à la friandise strasbourgeoise,
stimulant heureux de. l'estomac
ïo'atcu qui touche à l'hygiène, à l'histoi-
re naturelle, à.la chimie, à la'thérapeutique
est reçu â'.bi'as
Ce sera lie Mûsëe.dela savt'é:
•Il fera bien chaud dans la;salle. des déli-
bérations
Quand ces cinq cents pharmacienssseront
Mais je n'éprôùve* aucune' crainte .à leur
endroit.. ̃̃̃̃•
Si quelqu'un se trouve mal, l'étherne fera
pus «Ir-iaut -̃_̃ ̃'•̃' 'S'" '̃ '• •
pendant lequel Olyni'pe et..Dominique entre-
choquèrent leurs regards: Dominique étaitfié-
vrèux et sombre, Olympe froide et hautaine.
Elle reprit d'un tonrsep: ̃• .̃̃'̃
Martynn que-ses visites sont trop fréquentes.
Au besoin môme, je. le prierai de ne plus re-
venir.
Elle allait s'éloigner, Doininiqùe la; retint.. Sa
colère s'était fondue, uu tioi de .larmes roulait
dans ses yeux.
"J'ai eu tort, ditril, .c.onîiis et suppliant, par-
Olympe hésita^ puis-répondit avec une dou-
ceur imperceptiblement dédaigneuse
Soil, je vous pardonne.- •̃•̃•
~QueCnr.l! Martynn vous poursuive de ses
obséquiosités, que aime, et
j'ai confiance- en vous!
-Cette confiance m'honore, dit. la jeune fille
en souriant, mais je neveux-point en abuser.
El,.pujsque la santé de-vôtre graind-pôre- ne se
ïôtaDiitpas's je consens ù ce que notre mariage
̃ne*sott pas retardé; *"̃••
Dominique se .sentit consolé comme par ën-r
cli
M viens de l'effiicer, reprit-il d'un air ra-:
!,c iendemain.-Oiyinw n-çut, ffoideipeut Cari
eu. i'uî ̃téÎRoin,. il eut des
{iplujuttionef cf. ses. yeux
Et il sera, je vous le jures 'sortant des
mains de ces habiles préparateurs, d'excel-
lente qualité;
j,1' PARIS 'z'i.
̃ L'Empereur, parti ce matin de :Vi«i!fy h iMu
heurjBS.eîjt acrité à MontlBÉon h
dix mftiutes. l\eçà à la gare par If corps muni-
cipài,Yil s'est rendu il J'hôte] de ville, à- travers
des flots de population» accourues de unts. les
• < • -̃
'Après la présentation des aotorilésde I;(vHIe
eVdé j'àrrondissement, Sa Mnjesté'a1
Lecortége -impérial a quitté
̃Montluçon il une
L'Empereur s'est arrêté pour dincr il la gare
1 des Aubrais pendant une demi-beure.
Sa Majesté est arrivée au Saint-
Clbiirl à neuf heures et un quart. "J
Aujourd'hui aeu lieu, la Sorho»-ney,la dis-
tribuliun solennelle des prix du Grand concours
général entre les élèves des lycées dé Paris» et
de Versailles.
.1 La cérémonie a été présidée par. M. Dufèy,
'ministre de l'instruction publique,
Le prix d'honneur de philosophie a été rem-
porte au grand concours par le fils de M. le
prince de Broglie, membre de FÀt-adé-su'u Invn-
'ç'aise.
Le, prix d'honneur des
ciales a été remporté par le jeune Edmond Juatn-
berl, de Paris.
Nous donnerons demain la Jiste complète des
,•• •"
Le chotsil qiffe lejardh) d'acclirriutalioà vient 'de
faire cbiistruirc peut être considéré connue un mo-
dèle du genre; il consiste cy un pavillon 'oclosçne
à plusieurs compartimeuts, élevé sur un sol betôn-
né'hu ciment, avec niches et bancs couverts; le faut
entouré d'un grillage cl ornementé do* l'açun à too
pas -déparer la •'>! ie collection «i''i[jslàiliili't)iis-rnSti-
ques quf le publi; est .'accoutumé' d'admirer dans
cet ét;iblissrtiiu>ni: II .fait entrer désoruùiis locbenil
dans ta décoration des parcs!
Dans chaque compartiment de ce chenil modete
se trouvent en'ce mpineat des spécimens du chiens,
dont il est bien rare de voir les pareils. Ce' sont
W'abord les deux beaux lévriers kurdes longs poils
noirs et blancs, donnés au .l'ardia d'iicclirriatntioa^
par la Société impériale d'acclimatation de Moscou.
Lorsque ces chiens sont dressés sur knirs panes de
derrière, ils dépassent, de ta tète l'homme de ta
plus haute taille à coilïer les loups ot les sangliers
qu'a poursuiv re les simples lièvres. Si ou pouvait
les dresser a courir au. devant des voitures dans
les Champs-Elysées et au bois de Boutonne, ils re^-
mettraient à la mode ce genre de sport aujourd'hui-
délaissé et autrefois si bieii rempli par les chiens
danois.
Puis viennent deux jeunes chiens deLaponie, de
l'espèce de ceux qui remplacent la .paste' aux chtt-
vaux dans les steppes neigeuses de la' Sibérie, au
Groenland et du Labrador ils ont été récemment
envoyés au Jardin par S. A. le,duc de Kian<;arés,
ct plusieurs variétés de chiens chinois, les molos-
ses de Barcelone, si célèbres dans la tauromachie
de l'Espagne, les dingos ou chiens sauvages d'Aus-
tralie, et deux jolis petits terriers du Mexique, don*
de S. fixe. 'M. te maréchal 'Forey, et qui sont des
modèles de grâce et de vivacité.
La science et l'humanité viennent de faite
une grande perte par la-mort du docteur Pal-
mier,' iqui serait illustre si sa rare modesliein'a-
vait encore dépassé son rare mérite. D'abord a-
vocaU puis professeur, puis inventeur, enfia
c'est surtout dans cette dernière car-
rière que çtsUe vaste intelligence; qui avait top-
'M^^
inondèrent la jeune fille d'un ardent effluve de
reconnaissance. et d'amour.
Cependant il ne
put voir sans une- sorte de commisération la
tristesse et le désappointement de Cari. Il inter-
céda pour lui auprès de la jeune filie,et il ob-
Lint qu'elle lui lit un moins rigide accueil.
a Laissoz-mpi être magnanime, ônia belle Orym-
pe! dit-il. J'ai tant de joie dans, l'âme que je
voudrais fiyoir la puissance de consoler tous les
malheureux! » Elle lui suurit. S"ij eût été .plus
attentif' et plus pénétrant,- il eût, peut-être en-
.trevu une légère teinte d'ironie, dans le repli
.déla lèvre qui lui souriait. Mais comment se
fût-il alarmé? N'était-i| pas à la veille du
jqur solennel? Tout n'était-il pas prèt pour ie
bpjiheurambjtionné par lui? Aucun da4ger ne
menaçait, aucun obstacle n'eut eu le temps Ue
naîLre. leeroyailsincèrement du moins, quoi-
que l'expérience lui eût appris le doute, lu, cir-
conspection. Il était même si confiant alors,,
qu'un retard causé par une* indisposition. d'Qh
lympe ne lui 1 inspira aucune inquiétude, et que,
sans songer à mal, il la vit, encore souflraiite, -je-
rendre avec empressement la première repré-
sentatiQn d'une pièce nouvelle de Car}. ;AJarr
tynti. ̃ r .̃
Dans tous les ordres'dé mérite, il est <|es, pri-
vilégiés de là fortune, cette grande
Cari éllût, en réalité,un élu du destin. S;i seconr
première.' Elle fut acclamée avec frénésie. On
\i\ couvrit liljéralenient de bravos et de llours>
'fout cela était excessif, assurément; le taieajt
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