Titre : Le Petit journal
Auteur : Parti social français. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Clermont-Ferrand)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Pau)
Date d'édition : 1864-08-08
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32895690j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 146118 Nombre total de vues : 146118
Description : 08 août 1864 08 août 1864
Description : 1864/08/08 (Numéro 555). 1864/08/08 (Numéro 555).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG63 Collection numérique : BIPFPIG63
Description : Collection numérique : BIPFPIG64 Collection numérique : BIPFPIG64
Description : Collection numérique : Grande collecte... Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail
Description : Collection numérique : La Grande Collecte Collection numérique : La Grande Collecte
Description : Collection numérique : Commun Patrimoine:... Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine Commune
Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k588665z
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/07/2008
à la librairie dU PETIT
partent du l"ou du 16 de chaque moî3
<
TIRAGE DU PETIT JOURNAL
;:• ;;• .U^ VENTE. APltàSjfcÉCÈS- j ̃ :i
,L3,SalIe dps ventes mobilières a 'sëâhabi-
ses grands princi-
pes de corrélation matérielle et niorafel
s Gfaâmpflèuryy chçrçhe des assiettes an-
ciënnes v'.C; •̃ '̃'̃ •̃̃
prix.»'1; :̃> '•! t 'h"- • !i h=p <ï
Henri Rochefort en a écrit les spirituels
̃;• .'̃Mémoires. !• ̃ '̃
i: ".L;v;:i.j r4 l[
Ce sont les ventes après décès quvil fâtot1
suivre; si l'on iVéût rebâtir la tie *pafeséë;
;•“̃ -les '.événements évanouis; les
'^disparues. ::l "̃ ̃ "n-li
.'fltj c Leîonbbilier tout/entier du défunt '^passe
>b,m -devant -Vous, examiné ̃estimë,dis'cïité.1
:t$&$uë
partie de rÂméûblemënt^râhit un goût, une
raclination,unè foi particulière.
Si l'on vend les meublés d'une femme,'
quand les bleues, je suis -suivi
t
Homme, à ïàl
Valeur dé ses gravuresra^l'àuth'eiiticjtë deses
d'étude et de divination
dans cesrestes des trépassés.
1' salle
*̃ • numéro 3. '.̃]::}' .̃/ .v;
,J4.. Henri péchât, un' des plus ;ihtelïig_en< -s'1
"•> commîssairés-priseufs de ,P?tls> présidait,
aux adjudications,
Et je m'arrêtai en voyant, à cqte de l'offi-
••;
etvxi :> :î_ifiy' a des livres, me qis-jë; voyons de
^uoj se compose la bibliothèque.)
(;j.y>, i: i ̃ .̃ '̃ 'i ̃'
autour du- crieùr, et
.je- cherchais à .deviner la profession et le ca-
ràctèrë de celui auquel il avait prépédem"
ment appartenu.
•jcoî coquette chabbie. h
,i\i\ coucher en bois
:moire à glaaeî bureau ,1 tôte-à-
tête et fauteuils en satin de laine.
^j^Dnîeût dit'le boudoir"' d'une fommei du
bois de chêne richement sculpté, et garnitu-
̃
H°l 'Plus ûri meuble de salon en acajou et en
'velours grenat, composé, comme le précé-
x *dent, de onze
fÊUILLtTOH p
Du 8 août 1864.
'• ,-̃; '• Swtey ̃ ̃
»iîonc me voici pour la troisième/ois, cher
grand-père, sur le point d'attacher à ma vie
la guirlande fleurie da l'hymen. Qu'ette est
bizarre cette facilit6 avec, laquelle te coeur
meûrtri de ta jeunesse, reprend sa plénitude
et sa vigueur! Il me 'semble que je n'ai ja-
mais aimé ni Caliste de Rochebrune ni Grà-'
tienne Dornans avec la passion dont je me
sens animé pour Olympe de' Treuil. Je vous
dirai que j'ai revu les deux premières, l'u-
ne au bois en splendide équipage,- l'autre au
bal avec une couronne de duchesse au front et
sincèrement, après unelégère etrapide émotion
• liauséc par la surprise, leur aspect m'a laissé
tout fart indifférent. An! le proverbe a rai-
1 son, un clou chasse l'autre un nouvel amour
affranchit.
» Jusqu'à présent je n'entrevois rien qui puis-
se m'alarmer. Aucun nuaqe sur l'horizon de
mes r.éves. Olympe reçoit beaucoup d'hommes
'illustres à Fontenay aux Roses; mais presque
'-tous sont académiciens ou sénateurs. Leur gra-
vite eFfraye; on les honore, et voilà tout. Il n'y
a là [léjeune et d'aimnble qu'Klii' m;ti?
MM
Quelques-uns de ces meubles portent, in-
crustés ou sculptés en relief, une couronne
de comté.
Seulement les chiffres que, cette couronne
entourait ont 'été enlevés avec un.couteau
,ou grattés avec une Umè.
II est évident que la fahiiUe ne veut
laisser, dans les-mains des acquéreurs fu-
turs, aucune-trace du premier propriétaire.
# j r!
Les bijoux étaient rares. >– Sept couverts'
le défunt possédait en
faitdè jôyàui. li; ̃ "̃"̃; [
je croyais itrour
"̃:r ̃'̃̃11. i >̃'̃̃•
:Jè,ftiS'ëé.si3p^iiité;1 ".r; ̃̃
volumes sur l'homœiopiâthie, deHinne-
mann?r- Giâstiér,-r Har.tëm'rin'n'r'fià1pbh,Trr
Quelques
r 300xvolunléë, Royjeri etc.
i
iOhé,' intitulé Cours d'Bomœopflthie. '̃
spéciale, des pièces ai\àt'omiques, je dévi^-
fa profession !du défunt;! !)
^•'C'était un tnédècin- ••
̃ Les piècesid'atiatomie dieux louis,
Et les livres de médecine^, un prix pres-
?que égal à leur valeur de commerce.
On .) vendit une boîte à cigares très co-
quette où, se trouvait encore un panatellas
ou 1
;On vendit une trousse vide de ses instru-
ments;-1 ̃̃'> ''•'̃ .••'̃. iL;
Les deux objets réunis pour un petit écu.
*fln*y"àvait qu'un seul taHéau, original au
milieu de quelques gravures sans prix.
11 représentait une femme, belle et jeune,
couchée comme une Vénus du Titien, et; en-
tourée d'un essaim d'amours folâtres.
Là pointure, comprise dans la manière dé
Boucher, n'était pas mauvaise. •:•
La couleur était a effet. [ ̃ :V
11 y avait de la jeunesse dans cette toile,
quîrespltod.îssaitau soleil Qui. inondait l'ho-
:te'|'déS;Ve,ritésL,
Le tableau fut vendu 86 francs.
y
,Qùand le marchand, déclaré adjudicatai-
re, s'en fut emparé, je lui demandai la per-
mission de rexaminqr de plus près,
Afiii de déchiffrer là sighatufe,
Etàit-cé: un; Watteau, un yoillemot., -un
Dumoulin-Darcy, un Gérard?
^Npnr.lfttpUe, un peu au-dessous de la
sa nature sympathise peu avec celle d'Olympe.
II la' trpuye trop brillante et trop lettrée'. 11; pré-,
férè les jeunes filles réservées et modestes, qu'il
appelle des violettes ''Humaines. Ce sont à peu',
près les, seules qu'ait chantées sa poésie bre-
ment, • • ̃
». Je travàille saris relûçhej et j'aurai bientôt
fini mon poème; c'es'tvous dire que le mariage
n'est pas éloigné. Préparez-vous donc à venir;
en compagnie '-dé ma chère petite Claudine, re-
jOihdre à Paris
• » Votre heureux domixique: »
», Elie Mariaker m'annonce qu'il part pour la
Bretagne et se rend Douarnenez, où. il a des
intérêts de famille. Il se charge de, vous porter
ma lettre. Accuéillez-le, grand-père, avec votre
plus charmante cordialité. »
Une troisième lettre de Dominique annonça
bientôt la fin de son poème et le jour fixe' pour
son mariage avec Olympe de Treuil. H écrivait
«Hâtez-vous, grand-père. Toutes les disposi-
tions sont prises. On n'attend plùs que votre
concours. Ne retardons pas trop le bonheur; il j
est si capricieux, si inconstant Ce n'est pas
que je doute des résolutions .d'Olympe; assuré-
ment non. Elle est la franchise, la loyauté mû-
me. Mais, en général, le dieu de t'hymcn n'ai-
me pas les ajournements.
»J'ai été présenté au directeur de la Revue,
universelle. C'est un homme poli, mais froid,
d'une bienveillance contenue et qui'craint de
s'engager. Il y a en lui du diplomate il écoule
beaucoup et parle- peu. Mais on devine aisément
figure de la dame couchée, était signée.
Judie de Pauw.
7- Quelle est donc celle vente ? deman-
dai-je à un des garçons de l'hôtel, car le
nom du .peintre m'avait stupéfié.
plus in-
souciant du monde, la verçte des meubles
du docteur Couty de la Pommerais, pour-
suivie à la requête de sa famille*.
J'ai quitté l'hôtel précipitamment, bous-
culant pour me frayer un passage, un grou-
pe d'Anglais qui voulait acheter la panoplie
du supplicié. ̃̃'•̃ 'J'j "̃ ̃̃
.fô'jén' étan^i'nànt ces ineublës^eJegânts, ce
vejo.urs,, ce bois ouvragé, ce bois de rosé, ce
îsatin.etces tab1eaux',grà;cietixi! ''?r\\
3('Il
pÈopriétàire.|
î.j Tu/bîafiçrj luW '£<
'M, u*sv\nbution. des prix du.
aux élèves des lyçées.çt collèges de Paris el de:
heu à latSwbonneJe lundi 8
;#oût, sous
'Les portes
onze fleuçç?
lin été procédé hier à un
scrutin peur l'élection du membre -peStatit h
noBii}ier;pour compléter, le conseil de l'jorcli'é'
des avocats a :lâ oour impériatë de Paris,
Le nombre des vtitants 0 été 'de • :fê(5
̃ Majorité absolue • -Jtji
̃̃̃ i Al.Belblauda obtQiiu 177-voix
M.Rivolel *'>i;'
En conséquence, .M. Belolaud a été proclamé
nienibre du conseil de discipline. j
'de rdrdr&s'est' ensuite
réuni et nôrtirné M. Desmarcst bAlônnie'r pour
l'année judiciaire 1864– J8.65.
Les "cl\a leurs ..persistent. 'Hier matiu, a.six hpiires
le thermomètre marquaid detix tlegrés de plus qtie
la veille. Où relevait chez l'ingénieur Chevalier t(i
degrés. Malgré cet excès 'de chaleur dans la imnli-
née,la-teti)l)ei';ttiirede la journée, est restée la rnô-
ine qu'avant-tiiér.- A midi,' on constatait m\ Hiill're.
de «15 degrés '6 dixièmes, et à deux heures: 27 dgi
grès 6 dixfènies: L'état du temps parait devoir être
toujours bleu'. Les' brises-
tréâ légères' qui. •soufflent dans la soirée
één't et entretiennent la chaleur dans l'air que de-
vrait rafraîchie la disparition du soleil peudantla
Duit.
̃ï.e.niveau;de 1¡{Seine est descendu -ve .-iniitiiï ap
zéro des échelles içétriques;
veau rninimum. auquel la Seine descendit durant
l'été de lequel servi de point de départ aux
échelles.- ̃
Mais cela ne veut pas dire qu'il ne cou(e absolu-
ment sous les arches du pont Uoyîjl, quêta même
quajatité d'qau qu'il époque de J7J9. En effet, de-
^ui.s le(C0mn«Miconioiit do ce siècle, ;lç. lit de la
beine.îï'àipas'céssé d'être dragué pour.énliiver ses
bas-ronds et donner de ta profondeur au -chenal
navigable.
eii résulte- que jla Seine est plus prpfonde;qu,'en
| que sous, son silence observateur se cache un
esprit fin ot délicat.. 11 a. Tu mon poème. Hélasî
|,lympe.;Les observations qu'il m'a faites sont, je
dois t'avouer, marquées au bon coin de La.saine
critique.
» Peut-être a-t-il trop modéré la' partie des
éloges niais,au demeurant, il m'a fait pressent
tir son intention formelle d'accorder àïrion œu-
j'yr-e la publicité de sa revue. Dans ".une prochai-;
ne conférence, inon,ju'di;ieux Aristnrqne m'in-
dé modifier! Les îiiodiiiciitions accomplies, les
portes, tic la renommée jne seront ouvertes à
deux battants. .l'en >:erai 'ravi, .surtout pour
Olympe. 'car la ciière enfant ej>l toute conlris-
tée de voir que te célèbre .directeur 11c mon-
tre pas un 'enthousiasme égal, au sien. It îne
semble même, je me trompe sans doute
–que sa bonne opinion sur mon talent poétique
en a subi un amoindrissement sensible. Est-ce
que'te cœur dès "femmes serait Umiiàirs '.iiomiiic
une glace, que le moindre scul'lksleniil?
A «'e propos, il' ne dois pas -oublier de vous
dire qu'un poiiK noir vient, de paraître ttans
mon ciel. Mais je répugne il croire 'qu'il con-
tienne une menace pour mon avenir. En deux
mots, voici le fait un immense succès théâtral
s'est produit, la presse l'a célébré par ff'unahi-.
nies fanfares, et la foute curieuse, ha!e!nnle,'se
précipite aux représentations du drame l'Il 'vers
acclamé chaque soir. L'îiulour est un jeune
houirnc. hier inconnu, (iédaigin1, aujijiini'hu.^
gir.r'eux. assailli.
'i-ifc iîitmduil fin»? la TarnilK* de Treuil
,1710 et que (s débit d'eau est pins grand", TéctW
rant moins René par les bas-fonds, étant plnsta-
On vient de placer dans le Muses d'artillerie-
de la place Saint-T^omas-d'Aquini déjà sil*ri-
cne, plusieurs pièces de canon chinois^, de for-
me étrange, mais décorées de cisdures1 d'un,
fini exquis.
On jolie en ce moment sur la Marner un' peut
au-dessus de Lagny, un pont d'une grande har–
messe. Lest sur ce pont que
Dhuys va passer pour amener ses eaux dans les
vastes bassins couverts qui se construisent sur
les hauteurs de*MënilmoBtantf a quelques' pas
d^Pençeinte.contraue. ,i
Lés .élections partielles pour lé renouvellement
annuel de commerce dé Paris se feonttenninées-hiejf
6 août au palais de la Bourse:
Le nombre des juges suppléants h élire1 pour
,deux ans était
Toutes les nominations Ont été
fils,
Baajuet, jngeaf
Et'MM: Jourde, $a&-
îdppiii^'là place de'ia'Coneofde' juà^tfaii pont qui
x!w]pe ladite terrasse. Ce mur va être refait neuf
et sera surmonté d'une'élégante -balnSlSitoen pter-
L:'iî:'x-X
.'telerrassesduiardin dès Tuiterie,s,!)niileurhis-
do çellp du jardin. Elles
XIV, .eu «365, deMùiïe'feiaïdJn siir iin'j5raTi non-
veau..
J,:i.tPrrassequ;,longela rue de Rivoli, fut appeiëe-
dé* Feuillants cause de son voisinage, 'avec le cou-
\entlde ce nom Elle- il;été pendant kîrislémps our-
lée d'une longue frange de
pu quelque sOVte-pac de1 mystérieuses charmilles et
dos parterres de neurs.Ç'étuiftnt-poBrairisi dire des
'inuïailks de verdure au haut, desquelles on voyait
se dresser les statues de niarlke, et niarchertes
promeneurs.
̃ ̃ La'GOnvention ht détruire toutdîb pgnr* serner
des haricots
peuple. Ces bordures et. ces chÀrmilles'» n'ont ja-
mais été rétablies.- C'est sur crUe terrasse que se
réunissaient, -eu 1815, les partisans de .Napoléon.
Ijéur.'signé dé reconnaissance était un petit bouquet
de vioietU'S. ̃: '̃' ̃' i: ̃ ̃<
A l'extréHiité de la teurasse du Bord del.'eaiï. dont
-ou refail aujourd'hui le mur de bordui-e. se trouvait
autrefois la porte Neuve, par laquelle, après la
journée .des Barricades, Heari. III quitta Paris; c'est
par cette même porte, démolie en que péné-
réreiït, en 4594,' les pnunières troupes de Hen-
ri IV. ̃- ̃̃'̃:> :•̃
'tlGRtté terràsselrappelle encore t'attentât de Dar-
mes. On sahten effet, nife c'est il l'endroit où elle
forme, en arrivant a la place de la Concorde, un
anfilë arrondi, que s'était place le régicide pour ti-
rer sur le roi Louis-Philippe.
Nous ayons annoncé lrt mort' de Jff. Pa'ret, direc-
Rollin des :pe;iigonnes
da tour de se pressa ieni a ses
funérailles et le meilleur téuioignagis de.l'é.aù'me et
de Taftbction qu'il avait su inspirera' tons' ceux qui
Pont connu.
Le ministre do l'instruction publique, .-M. Duruy.
qui ne laisse échapper aucune occasion de témoi-
,aller de sa sympalliie pour les membres îriéjritants
de rUpiversité, avait voulu, par sa .présence. hono-
rer en la personne -de M. Par.et Je dévpùnièijt abso-
lu au devoir et amour éclairé de la jeunesse.
Oh distinguait en outre dans l'assistance 51; Mou-
rier, recteur de l'Académie de Paris; M5I. Danton
¡et BouiUeti inspecteurs généraux de l'instruction
où tout.le monde, même Olympftd .lui a pressé
un arc de triomphe!
de ce limon qu'on noinme l'en vie." Cependant.
l'exagération d'un tel accueil m'a choqué. Je. -ne;
i trouvtUs pas 'là qui
j propartionne'la récompense au inéi'ïtè^ iJi'célé-
brilé au nombre des ciiefs-d'cpu'vre.'Qù'«K-i)n
fait déplus ?s'il s'était agi de rendre htfminaget
iiu génie, consacré par l'expérience fetv^arle»
'.temps? Oiv n'admire plus), on s'èrigôUëï;r
j: i »'J'ajou(erai bien vite qo'Oiympe n'a .pus cfis~
:sod?éu-e 'peur moi' remplie de
dresse et de Donté. C'ostellc-'qtt'i pressé \ë plus»,
notre union. Tout en comblant, d'éloges le. nou-
veau poêle dramatique, elle se moqua entre»
qu'elle. déclare, au^sijremaj:-
q'uable que son talent. Si j'éUiîs tat, e nie sentie,
la fatuité ni'èst pas mon défaut, et régime! p»0r-
l'onde que m'inspire nia noble Olyiaipe causa
seule Au reste, il ne nie -paraît pas
quo' Cari Martyrs.» soit laid au dègrs -qu'oa pré-
tend. Il est petit et chétif, niais 's la souplesse et iaan
que de régularité, mais Panifnaiiou lui coàsmu<~
nique parfois unrayonnerûent qui éblouit Si ta
nature l'a mal doué physicjùemoti?,
elle lui a donné Pâme d'un poète., et l'aine ih
voyez, grand-père, que. je. v.e suis .pas injuste
eavers lui. Je me flatte d'être d'autant plus im-
partial que je ne veux, in !e craindre ni le dé-
daigner,
vep:Tiicz ,,v«ur quelques
yesnaines tim'e la.vivaciîo do '.t ^yi-i-sso, sur-
partent du l"ou du 16 de chaque moî3
<
TIRAGE DU PETIT JOURNAL
;:• ;;• .U^ VENTE. APltàSjfcÉCÈS- j ̃ :i
,L3,SalIe dps ventes mobilières a 'sëâhabi-
ses grands princi-
pes de corrélation matérielle et niorafel
s Gfaâmpflèuryy chçrçhe des assiettes an-
ciënnes v'.C; •̃ '̃'̃ •̃̃
prix.»'1; :̃> '•! t 'h"- • !
Henri Rochefort en a écrit les spirituels
̃;• .'̃Mémoires. !• ̃ '̃
i: ".L;v;:i.j r4 l[
Ce sont les ventes après décès quvil fâtot1
suivre; si l'on iVéût rebâtir la tie *pafeséë;
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'^disparues. ::l "̃ ̃ "n-li
.'fltj c Leîonbbilier tout/entier du défunt '^passe
>b,m -devant -Vous, examiné ̃estimë,dis'cïité.1
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partie de rÂméûblemënt^râhit un goût, une
raclination,unè foi particulière.
Si l'on vend les meublés d'une femme,'
quand les bleues, je suis -suivi
t
Homme, à ïàl
Valeur dé ses gravuresra^l'àuth'eiiticjtë deses
d'étude et de divination
dans cesrestes des trépassés.
1' salle
*̃ • numéro 3. '.̃]::}' .̃/ .v;
,J4.. Henri péchât, un' des plus ;ihtelïig_en< -s'1
"•> commîssairés-priseufs de ,P?tls> présidait,
aux adjudications,
Et je m'arrêtai en voyant, à cqte de l'offi-
••;
etvxi :> :î_ifiy' a des livres, me qis-jë; voyons de
^uoj se compose la bibliothèque.)
(;j.y>, i: i ̃ .̃ '̃ 'i ̃'
autour du- crieùr, et
.je- cherchais à .deviner la profession et le ca-
ràctèrë de celui auquel il avait prépédem"
ment appartenu.
•jcoî coquette chabbie. h
,i\i\ coucher en bois
:moire à glaaeî bureau ,1 tôte-à-
tête et fauteuils en satin de laine.
^j^Dnîeût dit'le boudoir"' d'une fommei du
bois de chêne richement sculpté, et garnitu-
̃
H°l 'Plus ûri meuble de salon en acajou et en
'velours grenat, composé, comme le précé-
x *dent, de onze
fÊUILLtTOH p
Du 8 août 1864.
'• ,-̃; '• Swtey ̃ ̃
»iîonc me voici pour la troisième/ois, cher
grand-père, sur le point d'attacher à ma vie
la guirlande fleurie da l'hymen. Qu'ette est
bizarre cette facilit6 avec, laquelle te coeur
meûrtri de ta jeunesse, reprend sa plénitude
et sa vigueur! Il me 'semble que je n'ai ja-
mais aimé ni Caliste de Rochebrune ni Grà-'
tienne Dornans avec la passion dont je me
sens animé pour Olympe de' Treuil. Je vous
dirai que j'ai revu les deux premières, l'u-
ne au bois en splendide équipage,- l'autre au
bal avec une couronne de duchesse au front et
sincèrement, après unelégère etrapide émotion
• liauséc par la surprise, leur aspect m'a laissé
tout fart indifférent. An! le proverbe a rai-
1 son, un clou chasse l'autre un nouvel amour
affranchit.
» Jusqu'à présent je n'entrevois rien qui puis-
se m'alarmer. Aucun nuaqe sur l'horizon de
mes r.éves. Olympe reçoit beaucoup d'hommes
'illustres à Fontenay aux Roses; mais presque
'-tous sont académiciens ou sénateurs. Leur gra-
vite eFfraye; on les honore, et voilà tout. Il n'y
a là [léjeune et d'aimnble qu'Klii' m;ti?
MM
Quelques-uns de ces meubles portent, in-
crustés ou sculptés en relief, une couronne
de comté.
Seulement les chiffres que, cette couronne
entourait ont 'été enlevés avec un.couteau
,ou grattés avec une Umè.
II est évident que la fahiiUe ne veut
laisser, dans les-mains des acquéreurs fu-
turs, aucune-trace du premier propriétaire.
# j r!
Les bijoux étaient rares. >– Sept couverts'
le défunt possédait en
faitdè jôyàui. li; ̃ "̃"̃; [
je croyais itrour
"̃:r ̃'̃̃11. i >̃'̃̃•
:Jè,ftiS'ëé.si3p^iiité;1 ".r; ̃̃
volumes sur l'homœiopiâthie, deHinne-
mann?r- Giâstiér,-r Har.tëm'rin'n'r'fià1pbh,Trr
Quelques
r 300xvolunléë, Royjeri etc.
i
iOhé,' intitulé Cours d'Bomœopflthie. '̃
spéciale, des pièces ai\àt'omiques, je dévi^-
fa profession !du défunt;! !)
^•'C'était un tnédècin- ••
̃ Les piècesid'atiatomie dieux louis,
Et les livres de médecine^, un prix pres-
?que égal à leur valeur de commerce.
On .) vendit une boîte à cigares très co-
quette où, se trouvait encore un panatellas
ou 1
;On vendit une trousse vide de ses instru-
ments;-1 ̃̃'> ''•'̃ .••'̃. iL;
Les deux objets réunis pour un petit écu.
*fln*y"àvait qu'un seul taHéau, original au
milieu de quelques gravures sans prix.
11 représentait une femme, belle et jeune,
couchée comme une Vénus du Titien, et; en-
tourée d'un essaim d'amours folâtres.
Là pointure, comprise dans la manière dé
Boucher, n'était pas mauvaise. •:•
La couleur était a effet. [ ̃ :V
11 y avait de la jeunesse dans cette toile,
quîrespltod.îssaitau soleil Qui. inondait l'ho-
:te'|'déS;Ve,ritésL,
Le tableau fut vendu 86 francs.
y
,Qùand le marchand, déclaré adjudicatai-
re, s'en fut emparé, je lui demandai la per-
mission de rexaminqr de plus près,
Afiii de déchiffrer là sighatufe,
Etàit-cé: un; Watteau, un yoillemot., -un
Dumoulin-Darcy, un Gérard?
^Npnr.lfttpUe, un peu au-dessous de la
sa nature sympathise peu avec celle d'Olympe.
II la' trpuye trop brillante et trop lettrée'. 11; pré-,
férè les jeunes filles réservées et modestes, qu'il
appelle des violettes ''Humaines. Ce sont à peu',
près les, seules qu'ait chantées sa poésie bre-
ment, • • ̃
». Je travàille saris relûçhej et j'aurai bientôt
fini mon poème; c'es'tvous dire que le mariage
n'est pas éloigné. Préparez-vous donc à venir;
en compagnie '-dé ma chère petite Claudine, re-
jOihdre à Paris
• » Votre heureux domixique: »
», Elie Mariaker m'annonce qu'il part pour la
Bretagne et se rend Douarnenez, où. il a des
intérêts de famille. Il se charge de, vous porter
ma lettre. Accuéillez-le, grand-père, avec votre
plus charmante cordialité. »
Une troisième lettre de Dominique annonça
bientôt la fin de son poème et le jour fixe' pour
son mariage avec Olympe de Treuil. H écrivait
«Hâtez-vous, grand-père. Toutes les disposi-
tions sont prises. On n'attend plùs que votre
concours. Ne retardons pas trop le bonheur; il j
est si capricieux, si inconstant Ce n'est pas
que je doute des résolutions .d'Olympe; assuré-
ment non. Elle est la franchise, la loyauté mû-
me. Mais, en général, le dieu de t'hymcn n'ai-
me pas les ajournements.
»J'ai été présenté au directeur de la Revue,
universelle. C'est un homme poli, mais froid,
d'une bienveillance contenue et qui'craint de
s'engager. Il y a en lui du diplomate il écoule
beaucoup et parle- peu. Mais on devine aisément
figure de la dame couchée, était signée.
Judie de Pauw.
7- Quelle est donc celle vente ? deman-
dai-je à un des garçons de l'hôtel, car le
nom du .peintre m'avait stupéfié.
plus in-
souciant du monde, la verçte des meubles
du docteur Couty de la Pommerais, pour-
suivie à la requête de sa famille*.
J'ai quitté l'hôtel précipitamment, bous-
culant pour me frayer un passage, un grou-
pe d'Anglais qui voulait acheter la panoplie
du supplicié. ̃̃'•̃ 'J'j "̃ ̃̃
.fô'jén' étan^i'nànt ces ineublës^eJegânts, ce
vejo.urs,, ce bois ouvragé, ce bois de rosé, ce
îsatin.etces tab1eaux',grà;cietixi! ''?r\\
3('Il
pÈopriétàire.|
î.j Tu/bîafiçrj luW '£<
'M, u*sv\nbution. des prix du.
aux élèves des lyçées.çt collèges de Paris el de:
heu à latSwbonneJe lundi 8
;#oût, sous
'Les portes
onze fleuçç?
lin été procédé hier à un
scrutin peur l'élection du membre -peStatit h
noBii}ier;pour compléter, le conseil de l'jorcli'é'
des avocats a :lâ oour impériatë de Paris,
Le nombre des vtitants 0 été 'de • :fê(5
̃ Majorité absolue • -Jtji
̃̃̃ i Al.Belblauda obtQiiu 177-voix
M.Rivolel *'>i;'
En conséquence, .M. Belolaud a été proclamé
nienibre du conseil de discipline. j
'de rdrdr&s'est' ensuite
réuni et nôrtirné M. Desmarcst bAlônnie'r pour
l'année judiciaire 1864– J8.65.
Les "cl\a leurs ..persistent. 'Hier matiu, a.six hpiires
le thermomètre marquaid detix tlegrés de plus qtie
la veille. Où relevait chez l'ingénieur Chevalier t(i
degrés. Malgré cet excès 'de chaleur dans la imnli-
née,la-teti)l)ei';ttiirede la journée, est restée la rnô-
ine qu'avant-tiiér.- A midi,' on constatait m\ Hiill're.
de «15 degrés '6 dixièmes, et à deux heures: 27 dgi
grès 6 dixfènies: L'état du temps parait devoir être
toujours bleu'. Les' brises-
tréâ légères' qui. •soufflent dans la soirée
één't et entretiennent la chaleur dans l'air que de-
vrait rafraîchie la disparition du soleil peudantla
Duit.
̃ï.e.niveau;de 1¡{Seine est descendu -ve .-iniitiiï ap
zéro des échelles içétriques;
veau rninimum. auquel la Seine descendit durant
l'été de lequel servi de point de départ aux
échelles.- ̃
Mais cela ne veut pas dire qu'il ne cou(e absolu-
ment sous les arches du pont Uoyîjl, quêta même
quajatité d'qau qu'il époque de J7J9. En effet, de-
^ui.s le(C0mn«Miconioiit do ce siècle, ;lç. lit de la
beine.îï'àipas'céssé d'être dragué pour.énliiver ses
bas-ronds et donner de ta profondeur au -chenal
navigable.
eii résulte- que jla Seine est plus prpfonde;qu,'en
| que sous, son silence observateur se cache un
esprit fin ot délicat.. 11 a. Tu mon poème. Hélasî
|,lympe.;Les observations qu'il m'a faites sont, je
dois t'avouer, marquées au bon coin de La.saine
critique.
» Peut-être a-t-il trop modéré la' partie des
éloges niais,au demeurant, il m'a fait pressent
tir son intention formelle d'accorder àïrion œu-
j'yr-e la publicité de sa revue. Dans ".une prochai-;
ne conférence, inon,ju'di;ieux Aristnrqne m'in-
dé modifier! Les îiiodiiiciitions accomplies, les
portes, tic la renommée jne seront ouvertes à
deux battants. .l'en >:erai 'ravi, .surtout pour
Olympe. 'car la ciière enfant ej>l toute conlris-
tée de voir que te célèbre .directeur 11c mon-
tre pas un 'enthousiasme égal, au sien. It îne
semble même, je me trompe sans doute
–que sa bonne opinion sur mon talent poétique
en a subi un amoindrissement sensible. Est-ce
que'te cœur dès "femmes serait Umiiàirs '.iiomiiic
une glace, que le moindre scul'lksleniil?
A «'e propos, il' ne dois pas -oublier de vous
dire qu'un poiiK noir vient, de paraître ttans
mon ciel. Mais je répugne il croire 'qu'il con-
tienne une menace pour mon avenir. En deux
mots, voici le fait un immense succès théâtral
s'est produit, la presse l'a célébré par ff'unahi-.
nies fanfares, et la foute curieuse, ha!e!nnle,'se
précipite aux représentations du drame l'Il 'vers
acclamé chaque soir. L'îiulour est un jeune
houirnc. hier inconnu, (iédaigin1, aujijiini'hu.^
gir.r'eux. assailli.
'i-ifc iîitmduil fin»? la TarnilK* de Treuil
,1710 et que (s débit d'eau est pins grand", TéctW
rant moins René par les bas-fonds, étant plnsta-
On vient de placer dans le Muses d'artillerie-
de la place Saint-T^omas-d'Aquini déjà sil*ri-
cne, plusieurs pièces de canon chinois^, de for-
me étrange, mais décorées de cisdures1 d'un,
fini exquis.
On jolie en ce moment sur la Marner un' peut
au-dessus de Lagny, un pont d'une grande har–
messe. Lest sur ce pont que
Dhuys va passer pour amener ses eaux dans les
vastes bassins couverts qui se construisent sur
les hauteurs de*MënilmoBtantf a quelques' pas
d^Pençeinte.contraue. ,i
Lés .élections partielles pour lé renouvellement
annuel de commerce dé Paris se feonttenninées-hiejf
6 août au palais de la Bourse:
Le nombre des juges suppléants h élire1 pour
,deux ans était
Toutes les nominations Ont été
fils,
Baajuet, jngeaf
Et'MM: Jourde, $a&-
îdppiii^'là place de'ia'Coneofde' juà^tfaii pont qui
x!w]pe ladite terrasse. Ce mur va être refait neuf
et sera surmonté d'une'élégante -balnSlSitoen pter-
L:'iî:'x-X
.'telerrassesduiardin dès Tuiterie,s,!)niileurhis-
do çellp du jardin. Elles
XIV, .eu «365, deMùiïe'feiaïdJn siir iin'j5raTi non-
veau..
J,:i.tPrrassequ;,longela rue de Rivoli, fut appeiëe-
dé* Feuillants cause de son voisinage, 'avec le cou-
\entlde ce nom Elle- il;été pendant kîrislémps our-
lée d'une longue frange de
pu quelque sOVte-pac de1 mystérieuses charmilles et
dos parterres de neurs.Ç'étuiftnt-poBrairisi dire des
'inuïailks de verdure au haut, desquelles on voyait
se dresser les statues de niarlke, et niarchertes
promeneurs.
̃ ̃ La'GOnvention ht détruire toutdîb pgnr* serner
des haricots
peuple. Ces bordures et. ces chÀrmilles'» n'ont ja-
mais été rétablies.- C'est sur crUe terrasse que se
réunissaient, -eu 1815, les partisans de .Napoléon.
Ijéur.'signé dé reconnaissance était un petit bouquet
de vioietU'S. ̃: '̃' ̃' i: ̃ ̃<
A l'extréHiité de la teurasse du Bord del.'eaiï. dont
-ou refail aujourd'hui le mur de bordui-e. se trouvait
autrefois la porte Neuve, par laquelle, après la
journée .des Barricades, Heari. III quitta Paris; c'est
par cette même porte, démolie en que péné-
réreiït, en 4594,' les pnunières troupes de Hen-
ri IV. ̃- ̃̃'̃:> :•̃
'tlGRtté terràsselrappelle encore t'attentât de Dar-
mes. On sahten effet, nife c'est il l'endroit où elle
forme, en arrivant a la place de la Concorde, un
anfilë arrondi, que s'était place le régicide pour ti-
rer sur le roi Louis-Philippe.
Nous ayons annoncé lrt mort' de Jff. Pa'ret, direc-
Rollin des :pe;iigonnes
da tour de se pressa ieni a ses
funérailles et le meilleur téuioignagis de.l'é.aù'me et
de Taftbction qu'il avait su inspirera' tons' ceux qui
Pont connu.
Le ministre do l'instruction publique, .-M. Duruy.
qui ne laisse échapper aucune occasion de témoi-
,aller de sa sympalliie pour les membres îriéjritants
de rUpiversité, avait voulu, par sa .présence. hono-
rer en la personne -de M. Par.et Je dévpùnièijt abso-
lu au devoir et amour éclairé de la jeunesse.
Oh distinguait en outre dans l'assistance 51; Mou-
rier, recteur de l'Académie de Paris; M5I. Danton
¡et BouiUeti inspecteurs généraux de l'instruction
où tout.le monde, même Olympftd .lui a pressé
un arc de triomphe!
de ce limon qu'on noinme l'en vie." Cependant.
l'exagération d'un tel accueil m'a choqué. Je. -ne;
i trouvtUs pas 'là qui
j propartionne'la récompense au inéi'ïtè^ iJi'célé-
brilé au nombre des ciiefs-d'cpu'vre.'Qù'«K-i)n
fait déplus ?s'il s'était agi de rendre htfminaget
iiu génie, consacré par l'expérience fetv^arle»
'.temps? Oiv n'admire plus), on s'èrigôUëï;r
j: i »'J'ajou(erai bien vite qo'Oiympe n'a .pus cfis~
:sod?éu-e 'peur moi' remplie de
dresse et de Donté. C'ostellc-'qtt'i pressé \ë plus»,
notre union. Tout en comblant, d'éloges le. nou-
veau poêle dramatique, elle se moqua entre»
qu'elle. déclare, au^sijremaj:-
q'uable que son talent. Si j'éUiîs tat, e nie sentie,
la fatuité ni'èst pas mon défaut, et régime! p»0r-
l'onde que m'inspire nia noble Olyiaipe causa
seule Au reste, il ne nie -paraît pas
quo' Cari Martyrs.» soit laid au dègrs -qu'oa pré-
tend. Il est petit et chétif, niais 's
que de régularité, mais Panifnaiiou lui coàsmu<~
nique parfois unrayonnerûent qui éblouit Si ta
nature l'a mal doué physicjùemoti?,
elle lui a donné Pâme d'un poète., et l'aine ih
voyez, grand-père, que. je. v.e suis .pas injuste
eavers lui. Je me flatte d'être d'autant plus im-
partial que je ne veux, in !e craindre ni le dé-
daigner,
vep:Tiicz ,,v«ur quelques
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