Titre : L'Illustration : journal universel
Éditeur : J.-J. Dubochet (Paris)
Éditeur : Paulin et LechevalierPaulin et Lechevalier (Paris)
Éditeur : L'IllustrationL'Illustration (Paris)
Date d'édition : 1845-12-27
Contributeur : Sorbets, Gaston (1874-1955). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34366081z
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 27 décembre 1845 27 décembre 1845
Description : 1845/12/27 (VOL6,N148). 1845/12/27 (VOL6,N148).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG33 Collection numérique : BIPFPIG33
Description : Collection numérique : BIPFPIG63 Collection numérique : BIPFPIG63
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t51362273r
Source : Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, FOL-LC2-1549
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 01/12/2024
L’ILLUSTRATION,
JOURNAL UNIVERSEL..
Ab. pour Paris. —5 mois, 8 fr. — 6 mois, 46 fr. — Un an, 50 fr.
Prix de chaque No, 75 c,— La collection mensuelle br., 2 fr. 75,
Ab. pour les Dép. — 5 mois, 9 fr. — 6 mois, 17 fr, — Un an ; ^2 Fr. "
Ab. pour l’Étranger. — 10 — 20 — " 40.
No 148. Vol. VL — SAMEDI 27 DÉCEMBRE 1845.
Bureaux, rue Richelieu, 60.
SOMMAIRE.
Histoire de 1® Semaine. Inondation do la plaine d’iwy. — Théâ-
tres. _ Courrier de Paris, — Le Juif errant, ballade, paroles de
M. le chevalier Châtelain, musique de M. Panseron. —Gilbert Gurney.
roman imité de l’anglais de Théodore Hook, par M. O. N.— Fêtes po
pulaires du midi de la France. La Noël, par M. Charles Poney.
Le Gros souper ; la Crèche; un Attribut ; dessins de M. Letuaire. —
Chronique musicale. Une Scène de Gemma di Vergy. (Théâtre-
Royal-Italien.) Une Scène de l’Étoile de Séville. (Académie royale de
musique.) — Les étrangers à Chamonix. — Jeannot. Conte à
dormir debout, par M. F. G. Trente-deux Gravures.— Revue des pu
blications illustrées. — Annonces. — Maiame Paul Dela-
roche. Portrait. — Imp: essions lithographiques de voyage. —
Correspondance. — Rébus.
Histoire de la Semaine.
Adjudication de chemins de fer. — En attendant que
la session des Chambres, que le roi ouvre aujourd’hui,
s’empare de l’attention publique, les concessions de chemins
de fer l’ont encore défrayée cette semaine ; et, si la crise mi
nistérielle anglaise et l’attente du message américain l’ont
aussi quelquefois excitée, c’est surtout par l’influence que ces
événements pouvaient avoir chez nous sur la spéculation. La
Bourse a donc été, encore depuis huit jours, notre parlement
financier.
Samedi dernier 20, était le jour fixé pour l’adjudication
de l’importante ligne de Paris à Lyon et de celle de Creil à
Saint-Quentin. La première de ces concessions n’était plus
poursuivie que par une seule compagnie, la compagnie fu-
sionnaire, celle des ingénieurs ayant battu en retraite au mo
ment de l’examen de la commission d’admission et du verse
ment du cautionnement. Le maximum de jouissance, déter
miné parla Chambre, était de quarante-cinq ans; la compa
gnie Baudrand, Charles Laffitte, Ganneron et Barillon, a
soumissionné pour une durée de jouissance de quarante-deux
ans et demi; mais, à l’ouverture du pli cacheté renfermant
le maximum ministériel, on a appris avec étonnement, et
quelques intéressés avec stupeur, que M. le ministre des tra
vaux publics avait fixé, suivant l’autorisation que lui en don
nait la loi, un maximum réduit à quarante et un ans et qua
tre-vingt-dix jours. Grand a été le mécompte parmi la foule
qui, ce jour-là, se pressait plus compacte que jamais au mi
nistère des travaux publics et à la Bourse. Un véritable service
télégraphique avait été organisé par les spéculateurs entre ces
deux points. Des agents, échelonnés dans la rue du Bac, sur la
place du Carousel, dans la rue de Richelieu et sur la place de la
Bourse, transmettaient les signaux convenus. En outre, des ca
valiers, montés sur d’excellents chevaux, attendaient à la porte
du ministère et sont partis au galop dès que l’avortement de cette
adjudication et le résultat de la suivante leur ont été annoncés.
De pauvres diables de joueurs se désespéraient de n’avoir que
des cabriolets à leur disposition pour lutter dans ce steeple-
chase de nouvelle espèce. — Les inquiétudes des spécula
teurs de la ligne de Lyon ont été assez promptement dissi-
P ees ; Les représentants de la compagnie fusionnaire ont dé
claré officiellement au ministre qu’ils demeuraient disposés à
prendre la concession aux conditions fixées par lui, pourvu que
réponse leur fût faite le lundi 22, avant midi, heure à laquelle
ils feraient, dans le cas contraire, annoncer à la Bourse la
dissolution de leur société et le remboursement des verse-
ments effectués par leurs actionnaires. Soit queM. le ministre
eut trouvé toute la satisfaction qu’il cherchait dans la réhabi-
itation du paquet cacheté, au mystère duquel beaucoup d'in-
crédules du public et des Chambres se refusaient à croire jus
que-là; soit qu’il craignit de ne pas voir se reformer une
compagnie aussi forte, le Moniteur de lundi matin est venu
notifier l’acceptation des conditions nouvelles des aspirants
concessionnaires, motivée sur une cause qui n’avait pas de
valeur en présence des dispositions annoncées, la crainte qu’en
agissant autrement l’argent ne fût pas rendu aux actionnaires
pour les besoins de fin d’année. Le but poursuivi semble
même avoir été moins atteint par un acquiescement qu’il ne
l’eût été par un refus; car plusieurs des compagnies faisant
partie de la fusion n’annoncent plus aujourd’hui leurs rem
boursements que pour une époque postérieure au 51 décem
bre. — Quelques esprits, chagrins sans doute, concluent de
(Inondation de la plaine d'Ivry.)
Chambre, était de soixante-quinze ans. La compagnie Colbert
a consenti un rabais de trente-huit ans quinze jours. La com
pagnie du duc de Vicence, Ardoin, etc., de vingt-huit ans
neuf mois quinze jours. — La compagnie Carrette et Minguet,
de vingt-six ans quatre-vingt-deux jours. — La compagnie du
Nord (Rothschild, Hottinguer, etc.), de cinquante ans trente
jours. — La compagnie du Nord est demeurée adjudicataire
du chemin avec une concession de vingt-quatre ans trois cent
trente-cinq jours. La ligne sera construite en entier aux frais
de la compagnie, sans aucune contribution de la part de l’État.
La compagnie proclamée adjudicataire avait un très-grand
intérêt à ne pas voir cette ligne concédée à d’autres. Elle avait
donc dû faire très-exactement son calcul, et le réduire autant
que les produits probables le lui permettaient. Il paraît
que, parmi ses concurrents, tous ne s’étaient pas livrés à des
études bien sérieuses. On cite une de ces compagnies qui,
n’ayant rien étudié, et comptant dix-neuf administrateurs, a
demandé à chacun d’eux une fixation arbitraire de la conces
sion. Les dix-neuf durées proposées par eux ont été totalisées ;
puis on en a pris le dix-neuvième, et cette‘moyenne a été le
chiffre mis à la loterie de l’adjudication. Cette fois les inno
tout ceci que la’lettre cachetée du ministre, loin d’être réha
bilitée par ces arrangements, devient une lettre morte; et que *
désormais, quand il n’y aura plus qu’une compagnie qui se
présentera, elle se gardera bien d’offrir la moindre réduction
et verra venir le ministre. Nous sommes donc exposés à re
voir, dans l’avenir, des rabais de néant, comme celui de
MM. les maîtres de poste.
Pour la ligne de Creil à Saint-Quentin cinq compagnies
avaient été admises ; mais celle qui, par ses refus, avait rendu
la fusion impossible, la compagnie Cordier, ne s’étant pas trou
vée en position de déposer son cautionnement, les lutteurs
étaient réduits à quatre. Le maximum de durée, voté par la
cents sont restés les mains vides. Ceci pour l'édification des
adversaires de l’exploitation par l’État.
Caisse de secours pour la classe ouvrière. — Au
nombre des projets de loi qui seront présentés à la Chambre,
à la prochaine session, un des plus importants est, sans con
tredit, celui qui a pour objet la création d’une caisse géné
rale de secours mutuels pour la classe ouvrière. M. le minis
tre du commerce, qui depuis longtemps prépare le projet,
s’est fait rendre un compte détaillé des diverses associations
formées en France par plusieurs corps de métiers, des sta
tuts de ces associations, et de leurs moyens de répartition des
secours. Tous les documents qui lui sont parvenus à ce sujet,
et qui sont en grand nombre, ont été remis à M. le comte
Molé, président de la commission chargée d’étudier cette
grande question et de faire un rapport sur la possibilité d’ap
plication de ce projet.
Péage des trois ponts sur la Seine. — Le conseil
d’Etat, ayant à prononcer sur le conflit élevé par M. le pré
fet de la Seine dans l’instance judiciaire entamée pour
l’abolition du- péage devant les tribunaux civils, a rendu
une décision non publiée encore par laquelle est confirmé
JOURNAL UNIVERSEL..
Ab. pour Paris. —5 mois, 8 fr. — 6 mois, 46 fr. — Un an, 50 fr.
Prix de chaque No, 75 c,— La collection mensuelle br., 2 fr. 75,
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Ab. pour l’Étranger. — 10 — 20 — " 40.
No 148. Vol. VL — SAMEDI 27 DÉCEMBRE 1845.
Bureaux, rue Richelieu, 60.
SOMMAIRE.
Histoire de 1® Semaine. Inondation do la plaine d’iwy. — Théâ-
tres. _ Courrier de Paris, — Le Juif errant, ballade, paroles de
M. le chevalier Châtelain, musique de M. Panseron. —Gilbert Gurney.
roman imité de l’anglais de Théodore Hook, par M. O. N.— Fêtes po
pulaires du midi de la France. La Noël, par M. Charles Poney.
Le Gros souper ; la Crèche; un Attribut ; dessins de M. Letuaire. —
Chronique musicale. Une Scène de Gemma di Vergy. (Théâtre-
Royal-Italien.) Une Scène de l’Étoile de Séville. (Académie royale de
musique.) — Les étrangers à Chamonix. — Jeannot. Conte à
dormir debout, par M. F. G. Trente-deux Gravures.— Revue des pu
blications illustrées. — Annonces. — Maiame Paul Dela-
roche. Portrait. — Imp: essions lithographiques de voyage. —
Correspondance. — Rébus.
Histoire de la Semaine.
Adjudication de chemins de fer. — En attendant que
la session des Chambres, que le roi ouvre aujourd’hui,
s’empare de l’attention publique, les concessions de chemins
de fer l’ont encore défrayée cette semaine ; et, si la crise mi
nistérielle anglaise et l’attente du message américain l’ont
aussi quelquefois excitée, c’est surtout par l’influence que ces
événements pouvaient avoir chez nous sur la spéculation. La
Bourse a donc été, encore depuis huit jours, notre parlement
financier.
Samedi dernier 20, était le jour fixé pour l’adjudication
de l’importante ligne de Paris à Lyon et de celle de Creil à
Saint-Quentin. La première de ces concessions n’était plus
poursuivie que par une seule compagnie, la compagnie fu-
sionnaire, celle des ingénieurs ayant battu en retraite au mo
ment de l’examen de la commission d’admission et du verse
ment du cautionnement. Le maximum de jouissance, déter
miné parla Chambre, était de quarante-cinq ans; la compa
gnie Baudrand, Charles Laffitte, Ganneron et Barillon, a
soumissionné pour une durée de jouissance de quarante-deux
ans et demi; mais, à l’ouverture du pli cacheté renfermant
le maximum ministériel, on a appris avec étonnement, et
quelques intéressés avec stupeur, que M. le ministre des tra
vaux publics avait fixé, suivant l’autorisation que lui en don
nait la loi, un maximum réduit à quarante et un ans et qua
tre-vingt-dix jours. Grand a été le mécompte parmi la foule
qui, ce jour-là, se pressait plus compacte que jamais au mi
nistère des travaux publics et à la Bourse. Un véritable service
télégraphique avait été organisé par les spéculateurs entre ces
deux points. Des agents, échelonnés dans la rue du Bac, sur la
place du Carousel, dans la rue de Richelieu et sur la place de la
Bourse, transmettaient les signaux convenus. En outre, des ca
valiers, montés sur d’excellents chevaux, attendaient à la porte
du ministère et sont partis au galop dès que l’avortement de cette
adjudication et le résultat de la suivante leur ont été annoncés.
De pauvres diables de joueurs se désespéraient de n’avoir que
des cabriolets à leur disposition pour lutter dans ce steeple-
chase de nouvelle espèce. — Les inquiétudes des spécula
teurs de la ligne de Lyon ont été assez promptement dissi-
P ees ; Les représentants de la compagnie fusionnaire ont dé
claré officiellement au ministre qu’ils demeuraient disposés à
prendre la concession aux conditions fixées par lui, pourvu que
réponse leur fût faite le lundi 22, avant midi, heure à laquelle
ils feraient, dans le cas contraire, annoncer à la Bourse la
dissolution de leur société et le remboursement des verse-
ments effectués par leurs actionnaires. Soit queM. le ministre
eut trouvé toute la satisfaction qu’il cherchait dans la réhabi-
itation du paquet cacheté, au mystère duquel beaucoup d'in-
crédules du public et des Chambres se refusaient à croire jus
que-là; soit qu’il craignit de ne pas voir se reformer une
compagnie aussi forte, le Moniteur de lundi matin est venu
notifier l’acceptation des conditions nouvelles des aspirants
concessionnaires, motivée sur une cause qui n’avait pas de
valeur en présence des dispositions annoncées, la crainte qu’en
agissant autrement l’argent ne fût pas rendu aux actionnaires
pour les besoins de fin d’année. Le but poursuivi semble
même avoir été moins atteint par un acquiescement qu’il ne
l’eût été par un refus; car plusieurs des compagnies faisant
partie de la fusion n’annoncent plus aujourd’hui leurs rem
boursements que pour une époque postérieure au 51 décem
bre. — Quelques esprits, chagrins sans doute, concluent de
(Inondation de la plaine d'Ivry.)
Chambre, était de soixante-quinze ans. La compagnie Colbert
a consenti un rabais de trente-huit ans quinze jours. La com
pagnie du duc de Vicence, Ardoin, etc., de vingt-huit ans
neuf mois quinze jours. — La compagnie Carrette et Minguet,
de vingt-six ans quatre-vingt-deux jours. — La compagnie du
Nord (Rothschild, Hottinguer, etc.), de cinquante ans trente
jours. — La compagnie du Nord est demeurée adjudicataire
du chemin avec une concession de vingt-quatre ans trois cent
trente-cinq jours. La ligne sera construite en entier aux frais
de la compagnie, sans aucune contribution de la part de l’État.
La compagnie proclamée adjudicataire avait un très-grand
intérêt à ne pas voir cette ligne concédée à d’autres. Elle avait
donc dû faire très-exactement son calcul, et le réduire autant
que les produits probables le lui permettaient. Il paraît
que, parmi ses concurrents, tous ne s’étaient pas livrés à des
études bien sérieuses. On cite une de ces compagnies qui,
n’ayant rien étudié, et comptant dix-neuf administrateurs, a
demandé à chacun d’eux une fixation arbitraire de la conces
sion. Les dix-neuf durées proposées par eux ont été totalisées ;
puis on en a pris le dix-neuvième, et cette‘moyenne a été le
chiffre mis à la loterie de l’adjudication. Cette fois les inno
tout ceci que la’lettre cachetée du ministre, loin d’être réha
bilitée par ces arrangements, devient une lettre morte; et que *
désormais, quand il n’y aura plus qu’une compagnie qui se
présentera, elle se gardera bien d’offrir la moindre réduction
et verra venir le ministre. Nous sommes donc exposés à re
voir, dans l’avenir, des rabais de néant, comme celui de
MM. les maîtres de poste.
Pour la ligne de Creil à Saint-Quentin cinq compagnies
avaient été admises ; mais celle qui, par ses refus, avait rendu
la fusion impossible, la compagnie Cordier, ne s’étant pas trou
vée en position de déposer son cautionnement, les lutteurs
étaient réduits à quatre. Le maximum de durée, voté par la
cents sont restés les mains vides. Ceci pour l'édification des
adversaires de l’exploitation par l’État.
Caisse de secours pour la classe ouvrière. — Au
nombre des projets de loi qui seront présentés à la Chambre,
à la prochaine session, un des plus importants est, sans con
tredit, celui qui a pour objet la création d’une caisse géné
rale de secours mutuels pour la classe ouvrière. M. le minis
tre du commerce, qui depuis longtemps prépare le projet,
s’est fait rendre un compte détaillé des diverses associations
formées en France par plusieurs corps de métiers, des sta
tuts de ces associations, et de leurs moyens de répartition des
secours. Tous les documents qui lui sont parvenus à ce sujet,
et qui sont en grand nombre, ont été remis à M. le comte
Molé, président de la commission chargée d’étudier cette
grande question et de faire un rapport sur la possibilité d’ap
plication de ce projet.
Péage des trois ponts sur la Seine. — Le conseil
d’Etat, ayant à prononcer sur le conflit élevé par M. le pré
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