Titre : La Cravache valentinoise : journal politique, littéraire, humouristique, fantaisiste, agricole, commercial et mondain : paraissant le dimanche / directeur-propriétaire : Louis Esprit
Éditeur : [s. n.] (Valence)
Éditeur : [s. n.][s. n.] (Valence)
Date d'édition : 1901-05-06
Contributeur : Esprit, Louis. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb327519896
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 06 mai 1901 06 mai 1901
Description : 1901/05/06 (N57). 1901/05/06 (N57).
Description : Collection numérique : BIPFPIG26 Collection numérique : BIPFPIG26
Description : Collection numérique : Fonds régional :... Collection numérique : Fonds régional : Rhône-Alpes
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9756828
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-12834
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 01/12/2014
.GIJRNAL POLITIQUE, LITTÉRAIRE, HUMOURISTIQUE, FANTAISISTE, AGRICOLE, COMMERCIAL et MONDAIN
PARAISSANT LE DIMANCHE
Directeur-Propriétaire : LOUIS ESPRIT. —Bureaux : Grande-Rue, 25, Valence
Eternellement Vrai
Nous recevons la lettre suivante :
Monsieur,
Je me rappelle qu’étant au régiment,
un ancien de la chambrée, soldat de pre
mière classe, décoré de la légion d’hon-
neu r,us répétait quelquefois, quand
les jeunes lui demandaient pourquoi il
avait été décoré.
La première fois que je l’ai gagnée (
c’est à Inkermann, ce fut mon capitaine
qui l’obtint. La seconde tois ce fut à
Puebla au Mexique, c’est mon lieutenant
qui fut décoré à ma place. La troisième
fois se fut à Magenta, en Italie, c'est mon
sergent qui l’eut encore. Je n’obtins que
trois citations à l’ordre du jour. Enfin on
me la donna à Gravelotte. A ce moment
mon capitaine était décoré ; les lieute
nants et sous lieutenants de la compagnie
avaient été tués, il n’y avait pas de gra
dés de mon régiment avec moi, j’étais le
plus ancien des hommes qui ramenaient
la pièce d’artillerie que nous venions de
sauver.
La nouvelle que les palmes académi
ques avaient été données à M. Joulie, me
remet en mémoire cette vieille histoire
toujours vraie. Quels étaient les titres de
M. Joulie à cette distinction ?
Les services rendus à la ville ? Je ne
connais aucun projet présenté par lui et
adopté par le conseil municipal, mais je
sais en revanche quelques projets qu'il
aurait été utile d’adopter et qui ont été
rejetés à cause de son opposition.
Est-ce sa qualité de président de telle
société qui lui vaudrait cet insigne hon
neur ? Si oui, je me demande pourquoi
le président de la société des vidanges
inodores où celui de la société des trans
ports aériens n’est pas palmé comme lui.
E-t-ce à son talent de violoniste ? De
puis fort longtemps l’honorable conseiller
du Pont-du-Gât ne donne plus d’audi
tions et celles qu’il donnait jadis étaient
rigoureusement privées.
Alors, pourquoi ?
Je vais vous le dire : c’est pour récom
penser son dévouement à la société de la
jeunesse de France, pour laquelle il s’est
donné tant de peine et a tant dépensé
d’argent, pour les nombreuses conféren
ces qu’il a faites pour faire connaître le
but moral et social de cette institution de
prévoyance et pour les nombreuses adhé
sions qu’il a obtenues. Si la section Va-
lentinoise de l’association de la jeunesse
de France est devenue si nombreuse et si
prospère, c’est à lui qu’on le doit. Tel est
du moins ce qu’on dit.
Eh ! bien, moi je prétends que cela
n’est pas et que la constitution de cette
section est due uniquement au zèle infa
tigable et à l’activité intelligente de
l’ancien secrétaire de cette section.
C’est lui qui a tout fait et c’est Joulie
qui a obtenu les palmes.
On le voit, l’histoire de mon vieux
grognard est et sera éternellement vraie.
Mais la vérité est toute autre :
La véritable cause de l’obtention du
ruban violet m’a été révélée par le cha
pelier de M. Joulie. Il m’a avoué sous le
sceau du secret le plus absolu qu’il n’y
avait pas à Valence, deux hommes pour
faire une consommation de chapeaux
pareille à celle que fait l’honorable
conseiller du Pont-du-Gât.
« Le fond est toujours bon, me dit-il, il
k n’y a que le bord du devant qui est usé,
« à l’endroit où il le saisit pour saluer ; à
« cet endroit même le poil est usé au bout
« de vingt-quatre heures ; après qua-
« rante-huit heures, l’index et le medus
« sont si fortement incrustés dans le feu-
« tre que le bord est complètement
« déformé, et qu’il faut le remplacer.
« Après trois remplacements successifs,
« je lui affirme que le remplacement n’est
« plus possible et qu’il faut changer le
« chapeau.
« Sa consommation annuelle est d’env i-
« ron une grosse et grâce à lui j’ai pu
« obtenir une diminution très sensible
« pour le prix d’achat du modèle qu’il
« choisit. Mon fournisseur a même été
a assez heureux d’obtenir de M Campre-
« don, inspecteur du travail, la faveur
« spéciale de faire travailler la nuit,
« l’ouvrier chapelier qui a l’habitude de
« sa forme )). Vous comprenez, Monsieur,
« qu’un tel client mérite d’être récom-
« pensé et que le gouvernement de la
« République a sagement agit, je dirai
t même qu’il s’est honoré en récompen-
« sant un aussi grand consommateur de
« chapeaux ».
Nous sommes absolument de l’avis du
chapelier ; nous lui ferons toutefois
observer que s'il prenait, comme c’est son
devoir, les intéiêts de son client il lu
ferait faire des bords de chapeaux en alu
minium et au besoin en acier chromé. En
adoptant ces matières dures, le chapeau
ferait un plus long usage et par suite la
charité si connue de M. Joulie, trouverait
dans cette économie, des ressources dont
les pauvres profiteraient.
Nous n’en remercions pas moins ce
fournisseur de l’indication précieuse qu’il
nous a donné et les nombreux amis de
M. Joulie apprendront avec plaisir que
c’est pour encouragement à l’industrie
qu’il a été palmé.
AUGUSTE.
L’AFFAIRE
du Syndicat des
Moteurs Rochegude
L’EXPLOITATION DE CERTAINES
AGENCES
LE VOL ORGANISÉ
Beaucoup de nos concitoyens sont
victimes ou vont être victimes de la
coalition la plus éhontée de quelques
chevalier d’industrie.
Ceux-là sont ceux qui ont souscrit
des parts syndicataires au porteur du
Syndicat des moteurs Rochegude (so
ciété civile d'études) dont le siège social
est à Paris : 63 bis, Rue de la Victoire.
Les souscripteurs sont légions à Va
lence et dans les environs, Romans, La
Voulte, Andance, Privas, etc.
La première victime de ce vol est
M. Rochegude, l’inventeur, qui a en
glouti dans cette affaire 32.000 francs.
M. Rochegude a fait une découverte
que l’on peut qualifier l’une des plus
belles du siècle, selon le dire de M
Montousse, ingénieur, 218, rue La
fayette, à Paris, dans son rapport sur
les essais particuliers du moteur hy
draulique-électrique « Rochegude »
faits à Argenteuil le 5 décembre 1897.
M. Rochegude devait avec son inven
tion remplir le but qu’il avait en vue :
Celui de capter la force du courant des
eaux.
Il avait résolu après de nombreuses
recherches ce problème intéressant l’in
dustrie, la navigation et l’agriculture.
On devait, d’après cette découverte,
obtenir une force utilisable d’une puis
sance incalculable et d’un bon marché
excessif.
Le premier appareil répondait aux
desiderata de l’inventeur. 11 ne fallait
plus qu'une chose : le lancer et par
cela procéder par des expériences pu
bliques.
Ces dernières réussirent.
Des brevets furent pris en France, en
Belgique, en Angleterre, enAllemagne
et en Autriche.
Une maison interlope parisienne qui *
s’intitule du nom pompeux de l’IN-
DUSTRIELLE, société anonyme d’étu
des techniques, industrielles, commer
ciales et agricoles, sise rue de la Vic
toire, 63 bis, eut vent de l’affaire et
pressentant que M. Rochegude n’avait
pas les fonds nécessaires pour lancer sa
découverte, lui proposa de lui fournir
50.000 francs pour les premiers frais.
Elle devait faire construire le mo
teur, prendre de nouveaux brevets et
taire face à toutes les dépenses que né
cessiteraient les démonstrations faites
au moyen dudit bâteau.
M. Rochegude accepta et les Statuts
de la Société furent élaborées et accep
tées le 22 décembre 1898.
Voilà la société constituée. Le moteur
est commandé. 1500 parts de 100 francs
sont crées et M. Rochegude ne vit ja
mais la couleur des 50.000 francs an
noncés.
Au contraire, il fut charger de place
des parts syndicataires à Valence, Ro
mans, La Voulte, Privas, etc., et dans
toutes les villes où il avait des connais
sances.
M. Hectorne voulut bien lui prêter
la main et à Valence les parts s’enlevè
rent très vivement.
Le Valentinois est épris, en général,
du nouveau et cet essai de décentralisa
tion était assez goûté.
Quand les parts furent prises, on fit
une première expérience qui dépas-
GRANDS MAGASINS DES
NOUVELLES GALERIES
VALENCE
PRIX FIXE
ACTUELLEMENT EXPOSITION
ENTRÉE LIBRE
Chaussures. - Modes. - Confections pour Hommes, Dames et Enfants
Chapeaux de paille. Ombrelles, Lingérie, Ganterie et Bonneterie, Cravates
Stiperbe de JVIEUBkES toü? Style?, JlMEUBkEMERT, TENTURES
LITERIE, ARTICLES DE VOYAGE
Grand Choix de MEUBLES de JARDINS
Visitez les GRANDS MAGASINS des NOUVELLES GALERIES, vous trouverez à tous ses Comptoirs un très joli choix
des dernières Nouveautés de la Saison.
PARAISSANT LE DIMANCHE
Directeur-Propriétaire : LOUIS ESPRIT. —Bureaux : Grande-Rue, 25, Valence
Eternellement Vrai
Nous recevons la lettre suivante :
Monsieur,
Je me rappelle qu’étant au régiment,
un ancien de la chambrée, soldat de pre
mière classe, décoré de la légion d’hon-
neu r,us répétait quelquefois, quand
les jeunes lui demandaient pourquoi il
avait été décoré.
La première fois que je l’ai gagnée (
c’est à Inkermann, ce fut mon capitaine
qui l’obtint. La seconde tois ce fut à
Puebla au Mexique, c’est mon lieutenant
qui fut décoré à ma place. La troisième
fois se fut à Magenta, en Italie, c'est mon
sergent qui l’eut encore. Je n’obtins que
trois citations à l’ordre du jour. Enfin on
me la donna à Gravelotte. A ce moment
mon capitaine était décoré ; les lieute
nants et sous lieutenants de la compagnie
avaient été tués, il n’y avait pas de gra
dés de mon régiment avec moi, j’étais le
plus ancien des hommes qui ramenaient
la pièce d’artillerie que nous venions de
sauver.
La nouvelle que les palmes académi
ques avaient été données à M. Joulie, me
remet en mémoire cette vieille histoire
toujours vraie. Quels étaient les titres de
M. Joulie à cette distinction ?
Les services rendus à la ville ? Je ne
connais aucun projet présenté par lui et
adopté par le conseil municipal, mais je
sais en revanche quelques projets qu'il
aurait été utile d’adopter et qui ont été
rejetés à cause de son opposition.
Est-ce sa qualité de président de telle
société qui lui vaudrait cet insigne hon
neur ? Si oui, je me demande pourquoi
le président de la société des vidanges
inodores où celui de la société des trans
ports aériens n’est pas palmé comme lui.
E-t-ce à son talent de violoniste ? De
puis fort longtemps l’honorable conseiller
du Pont-du-Gât ne donne plus d’audi
tions et celles qu’il donnait jadis étaient
rigoureusement privées.
Alors, pourquoi ?
Je vais vous le dire : c’est pour récom
penser son dévouement à la société de la
jeunesse de France, pour laquelle il s’est
donné tant de peine et a tant dépensé
d’argent, pour les nombreuses conféren
ces qu’il a faites pour faire connaître le
but moral et social de cette institution de
prévoyance et pour les nombreuses adhé
sions qu’il a obtenues. Si la section Va-
lentinoise de l’association de la jeunesse
de France est devenue si nombreuse et si
prospère, c’est à lui qu’on le doit. Tel est
du moins ce qu’on dit.
Eh ! bien, moi je prétends que cela
n’est pas et que la constitution de cette
section est due uniquement au zèle infa
tigable et à l’activité intelligente de
l’ancien secrétaire de cette section.
C’est lui qui a tout fait et c’est Joulie
qui a obtenu les palmes.
On le voit, l’histoire de mon vieux
grognard est et sera éternellement vraie.
Mais la vérité est toute autre :
La véritable cause de l’obtention du
ruban violet m’a été révélée par le cha
pelier de M. Joulie. Il m’a avoué sous le
sceau du secret le plus absolu qu’il n’y
avait pas à Valence, deux hommes pour
faire une consommation de chapeaux
pareille à celle que fait l’honorable
conseiller du Pont-du-Gât.
« Le fond est toujours bon, me dit-il, il
k n’y a que le bord du devant qui est usé,
« à l’endroit où il le saisit pour saluer ; à
« cet endroit même le poil est usé au bout
« de vingt-quatre heures ; après qua-
« rante-huit heures, l’index et le medus
« sont si fortement incrustés dans le feu-
« tre que le bord est complètement
« déformé, et qu’il faut le remplacer.
« Après trois remplacements successifs,
« je lui affirme que le remplacement n’est
« plus possible et qu’il faut changer le
« chapeau.
« Sa consommation annuelle est d’env i-
« ron une grosse et grâce à lui j’ai pu
« obtenir une diminution très sensible
« pour le prix d’achat du modèle qu’il
« choisit. Mon fournisseur a même été
a assez heureux d’obtenir de M Campre-
« don, inspecteur du travail, la faveur
« spéciale de faire travailler la nuit,
« l’ouvrier chapelier qui a l’habitude de
« sa forme )). Vous comprenez, Monsieur,
« qu’un tel client mérite d’être récom-
« pensé et que le gouvernement de la
« République a sagement agit, je dirai
t même qu’il s’est honoré en récompen-
« sant un aussi grand consommateur de
« chapeaux ».
Nous sommes absolument de l’avis du
chapelier ; nous lui ferons toutefois
observer que s'il prenait, comme c’est son
devoir, les intéiêts de son client il lu
ferait faire des bords de chapeaux en alu
minium et au besoin en acier chromé. En
adoptant ces matières dures, le chapeau
ferait un plus long usage et par suite la
charité si connue de M. Joulie, trouverait
dans cette économie, des ressources dont
les pauvres profiteraient.
Nous n’en remercions pas moins ce
fournisseur de l’indication précieuse qu’il
nous a donné et les nombreux amis de
M. Joulie apprendront avec plaisir que
c’est pour encouragement à l’industrie
qu’il a été palmé.
AUGUSTE.
L’AFFAIRE
du Syndicat des
Moteurs Rochegude
L’EXPLOITATION DE CERTAINES
AGENCES
LE VOL ORGANISÉ
Beaucoup de nos concitoyens sont
victimes ou vont être victimes de la
coalition la plus éhontée de quelques
chevalier d’industrie.
Ceux-là sont ceux qui ont souscrit
des parts syndicataires au porteur du
Syndicat des moteurs Rochegude (so
ciété civile d'études) dont le siège social
est à Paris : 63 bis, Rue de la Victoire.
Les souscripteurs sont légions à Va
lence et dans les environs, Romans, La
Voulte, Andance, Privas, etc.
La première victime de ce vol est
M. Rochegude, l’inventeur, qui a en
glouti dans cette affaire 32.000 francs.
M. Rochegude a fait une découverte
que l’on peut qualifier l’une des plus
belles du siècle, selon le dire de M
Montousse, ingénieur, 218, rue La
fayette, à Paris, dans son rapport sur
les essais particuliers du moteur hy
draulique-électrique « Rochegude »
faits à Argenteuil le 5 décembre 1897.
M. Rochegude devait avec son inven
tion remplir le but qu’il avait en vue :
Celui de capter la force du courant des
eaux.
Il avait résolu après de nombreuses
recherches ce problème intéressant l’in
dustrie, la navigation et l’agriculture.
On devait, d’après cette découverte,
obtenir une force utilisable d’une puis
sance incalculable et d’un bon marché
excessif.
Le premier appareil répondait aux
desiderata de l’inventeur. 11 ne fallait
plus qu'une chose : le lancer et par
cela procéder par des expériences pu
bliques.
Ces dernières réussirent.
Des brevets furent pris en France, en
Belgique, en Angleterre, enAllemagne
et en Autriche.
Une maison interlope parisienne qui *
s’intitule du nom pompeux de l’IN-
DUSTRIELLE, société anonyme d’étu
des techniques, industrielles, commer
ciales et agricoles, sise rue de la Vic
toire, 63 bis, eut vent de l’affaire et
pressentant que M. Rochegude n’avait
pas les fonds nécessaires pour lancer sa
découverte, lui proposa de lui fournir
50.000 francs pour les premiers frais.
Elle devait faire construire le mo
teur, prendre de nouveaux brevets et
taire face à toutes les dépenses que né
cessiteraient les démonstrations faites
au moyen dudit bâteau.
M. Rochegude accepta et les Statuts
de la Société furent élaborées et accep
tées le 22 décembre 1898.
Voilà la société constituée. Le moteur
est commandé. 1500 parts de 100 francs
sont crées et M. Rochegude ne vit ja
mais la couleur des 50.000 francs an
noncés.
Au contraire, il fut charger de place
des parts syndicataires à Valence, Ro
mans, La Voulte, Privas, etc., et dans
toutes les villes où il avait des connais
sances.
M. Hectorne voulut bien lui prêter
la main et à Valence les parts s’enlevè
rent très vivement.
Le Valentinois est épris, en général,
du nouveau et cet essai de décentralisa
tion était assez goûté.
Quand les parts furent prises, on fit
une première expérience qui dépas-
GRANDS MAGASINS DES
NOUVELLES GALERIES
VALENCE
PRIX FIXE
ACTUELLEMENT EXPOSITION
ENTRÉE LIBRE
Chaussures. - Modes. - Confections pour Hommes, Dames et Enfants
Chapeaux de paille. Ombrelles, Lingérie, Ganterie et Bonneterie, Cravates
Stiperbe de JVIEUBkES toü? Style?, JlMEUBkEMERT, TENTURES
LITERIE, ARTICLES DE VOYAGE
Grand Choix de MEUBLES de JARDINS
Visitez les GRANDS MAGASINS des NOUVELLES GALERIES, vous trouverez à tous ses Comptoirs un très joli choix
des dernières Nouveautés de la Saison.
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 87.29%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 87.29%.
- Collections numériques similaires Gavoty Bernard Gavoty Bernard /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Gavoty Bernard" or dc.contributor adj "Gavoty Bernard")
- Auteurs similaires Gavoty Bernard Gavoty Bernard /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Gavoty Bernard" or dc.contributor adj "Gavoty Bernard")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/4
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k9756828/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k9756828/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k9756828/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k9756828/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k9756828
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k9756828
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k9756828/f1.image × Aide