Titre : L'Employé : organe du Syndicat des employés du commerce et de l'industrie
Auteur : Syndicat des employés du commerce et des interprofessionnels (France). Auteur du texte
Auteur : Fédération française des syndicats chrétiens d'employés. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1927-05-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32766548x
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 202 Nombre total de vues : 202
Description : 01 mai 1927 01 mai 1927
Description : 1927/05/01 (A37,N354)-1927/05/31. 1927/05/01 (A37,N354)-1927/05/31.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9619026k
Source : CODHOS / Archives CFDT, 2013-304540
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 04/01/2016
370 ANNÉE M* *S4 MAX 1927
L'EMPLOYÉ
ORGANE MENSUEL
DU SYNDICAT DES EMPLOYÉS DU COMMERCE ET DE L'INDUSTRIE
et de la Fédération Française des Syndicats d'Employés Catholiques
RÉDACTION ET ADMINISTRATION
5, Rue Cadet, PARIS (IXe)
TÉLÉPHONE : CENTRAL 73- 04
COMPTE CHÈQUES POSTAUX : PARIS No 214-11
La Fête du Travail et l'encyclique Rerum Novarum
Les syndicats chrétiens célèbrent leur
fête du Travail le jour de l'Ascension :
s'ils n'ont pa's adopté la date du 1er mai,
est-ce désir de se singulariser, ou crainte
de paraître suivre les autres ? Aucune-
ment. On sait, chez nous, avoir la fermeté
de se décider sans tenir compte du voisin
ou de l'adversaire. Ce qui nous paraît bien,
nous l'adoptons; ce qui nous paraît mal,
nous le rejetons. Nous ne modifions pas un
jugement basé sur de bonnes raisons pour
le plaisir d'imiter quelqu'un ou de prendre
le contre-pied de quelque autre.
Par exemple, notre fête fin Travail mar-
que l'anniversaire de l'encyclique Rerum
novarum, qui est le 15 mai 1891. Que nous
offre le 1er mai? Le souvenir d'émeutes san-
glantes; aucun 1er mai n'a été l'occasion
d'un progrès pour la masse ouvrière; à
cette date, et quels qu'aient été parfois les
efforts des syndicalistes pour en faire une
manifestation corporative, c'est presque
toujours l'aspiration politique à la révolu-
tion qui s'est jetée dans les rues. En Fran-
ce, grâce au muguet, et surtout à Paris
grâce à l'abstention des taxis, le 1er mai
tend à devenir un jour charmant. Laissons-
le être la fête du muguet, ce qui s'accorde
fort bien avec l'ouverture du mois de Ma-
rie. La date de l'encyclique nous apporte
de plus sérieuses raisons de fêter le travail.
Les voici.
L'encyclique Rerum novarum a cette
qualité première qu'elle donne aux tra-
vailleurs des droits, a Ces droits, disent
les socialistes, mais nous les prenons Pour-
quoi attendre qu'on nous les donne ? »
Pourquoi ? Parce que des droits qu'on a
pris ne sont pas des droits reconnus et ga
rantis.
Le travailleur, l'humble travailleur, ce-
lui qui est le .faible dans la société, le sera
sans doute toujours, quelle que soit l'orga-
nisation sociale.. Les révolutionnaires peu-
vent mettre en haut quelques-uns de ceux
qui sont en bas; l'aubaine sera excellente
pour qui en profitera. Mais les autres ?
ceux, qui, malgré tout, resteront en bas dl
l'échelle, où il faudra bien qu'il y ait tou-
jours quelqu'un, et ce quelqu'un sera même
le plus grand nombre ?
N'est-il pas à craindre qu'au nom même
de l'idéal révolutionnaire, devenu sacré
par son triomphe, les nouveaux maîtres op-
priment leurs malheureux frères demeurés
travailleurs ? C'est si bien à craindre que
c'est arrivé en Russie. La révolution faite,
les ouvriers n'ont plus eu de recours qu'en
la soumission. Tant mieux si le nouvel état
de choses leur est favorable ou tant pis
s'ils meurent de. faim en détail, comme le
montre un récent roman d'un auteur bol-
chevik, Serge Semenov : la Faim.
Les droits que l'encyclique Rerum nova.
rum confère aux travailleurs, aucun chan-
gement de régime ne saurait les leur re-
tirer. Ils reposent sur la notion même de
la nature humaine, sur la dignité de l'hom-
me qui, travailleur ou patron, riche ou
pauvre, ne cesse pas d'être une créature de
Dieu. L'autorité qui les a solennellement
reconnus est la plus haute autorité mo-
rale du monde, et ceux même qui en nient
la source divine s'inclinent devant elle. Ils
font plus ; ils sont obligés de la suivre. Car
c'est le catholicisme qui a créé la civili-
sali on — la seule, l'unique, car il n'y a de
réelle civilisation que la civilisation chré-
tienne — et on remarquera que tout ce
qui se fait de bien dans le monde, où que
ce soit, s'accomplit en conformité des prin-
cipes reconnus à Rome, comme tout ce qui
se fait de mal marque un effort pour s'en
séparer. Le socialisme même n'a dç bon
que ce qu il a gardé de chrétien; le reste.
sa doctrine de force et de violence, vient
d'ailleurs...
L'encyclique reconnaît au travailleur ses
droits : le droit de rester un homme, de
n'être considéré ni comme une chose ni
comme une machine, une source de profits,
une marchandise à troquer. L'industriel ne
peut pas prétendre qu'il De loue que des
bras; ces bras appartiennent à un être
doué d'intelligence et de coeur, qui doit
être traité en conséquence, sans que la
force ou une nécessité économique lui per-
mettent d'en abuser.
Notons que nos farouches révolutionnai-
res n'en accordent pas tant, malgré leurs
airs d'indépendance; ils n'admettent pas
que-1 l.'ouvrier soit une machine vivante li-
vrée au patron; ruais ils ne trouvent pas
mauvais qu'il le soit entre les mains d'une
organisation qualifiée de prolétarienne. La
dignité de l'homme, son droit à une vie
pleine et qui comporte le gouvernement de
sa famille ne sont vraiment sauvegardés
que dans l'ordre catholique.
L'ouvrier a le droit de s'associer : l'Eglise
est la grande amie de l'association; « quand
vous serez plusieurs réunis en mon nom... D
disait .le Christ. L'Eglise sait la faiblesse
de l'homme seul ; elle aime qu'il ait sa fa-
mille professionnelle comme la famille de
son cœur. La joie, des hommes réunis pour
leur bien commun se traduit dans ses fêteb
religieuses; les groupements trouvent tou-
jours largement ouvertes les portes du sanc-
tuaire. Groupements libres, car l'Eglise
n'impose pas de devoir inutile. Groupe-
ments auxquels elle laisse leur liberté d'ac-
tion, quand elle sait qu'ils sont constitués
pour le bien. Que nous sommes loin des ty-
rannies révolutionnaires 1
L'encyclique reconnaît encore au travail-
leur le droit à un salaire vital. Que les pa-
trons et les ouvriers s'entendent comme il
leur convient sur les conditions du tra-
vail; mais que la supériorité économique
du patron se traduise par l'obligation pour
l'ouvrier d'accepter un salaire au-dessous
de ce qu'exige sa subsistance, voilà qui est
injuste et ne peul être permis. i
On n'a pas assez remarqué comment, en
formulant ce principe, l'Eglise exigeait en
quelque sorte des progrès industriels. En
effet, quoi de plus simple pour un patron
travaillé par la concurrence que de réduire
les salaires de son personnel ? Il allait au
moindre effort, néfaste pour lui comme
pour l'ensemble social. Au contraire, si le
salaire vital est un chiffre auquel il ne peut
toucher, il faut bien qu'accomplissant ce
qui est réellement sa fonction de patron,
il travaille à améliorer les conditions géné-
rales de sa production. Contrainte légère j
et nécessaire, qui devient un bien pour lui ;
et pour la collectivité.
Donc l'ouvrier jouit, de par l'encyclique
Rerum novarum, de droits certains, établis,
dont il peut se prévaloir en tout état de
cause. Auprès des patrons chrétiens : que
pourront-ils opposer en conscience à des
revendications basées sur des principes si
fondés et si justes ? Leur résistance ne
peut tenir longtemps devant le trouble de
leur âme. Auprès des autres patrons : car
ils sont bien obligés de reconnaître que la
grande voix pontificale faisant écho après
vingt siècles à celle du Christ, dit le Vrai et
le Bien. Oui peut-être, la parole autorisée
ne vaincra pas l'obstacle entièrement et
tout de suite : laissez-là opérer selon sa
vertu intérieure, et vos fils m'en donneront
des nouvelles.
Ce don précieux que nous a fait l'Ency-
clique, n'est-ce pas qu'il vaut d'être fêté ?
— Mais, me direz-vous, cette Encyclique
ne vous a-t-elle pas aussi imposé des de-
voirs ? — Bien sûr, et c'est notre seconde
raison de la commémorer joyeusement.
Dans notre marche vers un état social
L'EMPLOYÉ
ORGANE MENSUEL
DU SYNDICAT DES EMPLOYÉS DU COMMERCE ET DE L'INDUSTRIE
et de la Fédération Française des Syndicats d'Employés Catholiques
RÉDACTION ET ADMINISTRATION
5, Rue Cadet, PARIS (IXe)
TÉLÉPHONE : CENTRAL 73- 04
COMPTE CHÈQUES POSTAUX : PARIS No 214-11
La Fête du Travail et l'encyclique Rerum Novarum
Les syndicats chrétiens célèbrent leur
fête du Travail le jour de l'Ascension :
s'ils n'ont pa's adopté la date du 1er mai,
est-ce désir de se singulariser, ou crainte
de paraître suivre les autres ? Aucune-
ment. On sait, chez nous, avoir la fermeté
de se décider sans tenir compte du voisin
ou de l'adversaire. Ce qui nous paraît bien,
nous l'adoptons; ce qui nous paraît mal,
nous le rejetons. Nous ne modifions pas un
jugement basé sur de bonnes raisons pour
le plaisir d'imiter quelqu'un ou de prendre
le contre-pied de quelque autre.
Par exemple, notre fête fin Travail mar-
que l'anniversaire de l'encyclique Rerum
novarum, qui est le 15 mai 1891. Que nous
offre le 1er mai? Le souvenir d'émeutes san-
glantes; aucun 1er mai n'a été l'occasion
d'un progrès pour la masse ouvrière; à
cette date, et quels qu'aient été parfois les
efforts des syndicalistes pour en faire une
manifestation corporative, c'est presque
toujours l'aspiration politique à la révolu-
tion qui s'est jetée dans les rues. En Fran-
ce, grâce au muguet, et surtout à Paris
grâce à l'abstention des taxis, le 1er mai
tend à devenir un jour charmant. Laissons-
le être la fête du muguet, ce qui s'accorde
fort bien avec l'ouverture du mois de Ma-
rie. La date de l'encyclique nous apporte
de plus sérieuses raisons de fêter le travail.
Les voici.
L'encyclique Rerum novarum a cette
qualité première qu'elle donne aux tra-
vailleurs des droits, a Ces droits, disent
les socialistes, mais nous les prenons Pour-
quoi attendre qu'on nous les donne ? »
Pourquoi ? Parce que des droits qu'on a
pris ne sont pas des droits reconnus et ga
rantis.
Le travailleur, l'humble travailleur, ce-
lui qui est le .faible dans la société, le sera
sans doute toujours, quelle que soit l'orga-
nisation sociale.. Les révolutionnaires peu-
vent mettre en haut quelques-uns de ceux
qui sont en bas; l'aubaine sera excellente
pour qui en profitera. Mais les autres ?
ceux, qui, malgré tout, resteront en bas dl
l'échelle, où il faudra bien qu'il y ait tou-
jours quelqu'un, et ce quelqu'un sera même
le plus grand nombre ?
N'est-il pas à craindre qu'au nom même
de l'idéal révolutionnaire, devenu sacré
par son triomphe, les nouveaux maîtres op-
priment leurs malheureux frères demeurés
travailleurs ? C'est si bien à craindre que
c'est arrivé en Russie. La révolution faite,
les ouvriers n'ont plus eu de recours qu'en
la soumission. Tant mieux si le nouvel état
de choses leur est favorable ou tant pis
s'ils meurent de. faim en détail, comme le
montre un récent roman d'un auteur bol-
chevik, Serge Semenov : la Faim.
Les droits que l'encyclique Rerum nova.
rum confère aux travailleurs, aucun chan-
gement de régime ne saurait les leur re-
tirer. Ils reposent sur la notion même de
la nature humaine, sur la dignité de l'hom-
me qui, travailleur ou patron, riche ou
pauvre, ne cesse pas d'être une créature de
Dieu. L'autorité qui les a solennellement
reconnus est la plus haute autorité mo-
rale du monde, et ceux même qui en nient
la source divine s'inclinent devant elle. Ils
font plus ; ils sont obligés de la suivre. Car
c'est le catholicisme qui a créé la civili-
sali on — la seule, l'unique, car il n'y a de
réelle civilisation que la civilisation chré-
tienne — et on remarquera que tout ce
qui se fait de bien dans le monde, où que
ce soit, s'accomplit en conformité des prin-
cipes reconnus à Rome, comme tout ce qui
se fait de mal marque un effort pour s'en
séparer. Le socialisme même n'a dç bon
que ce qu il a gardé de chrétien; le reste.
sa doctrine de force et de violence, vient
d'ailleurs...
L'encyclique reconnaît au travailleur ses
droits : le droit de rester un homme, de
n'être considéré ni comme une chose ni
comme une machine, une source de profits,
une marchandise à troquer. L'industriel ne
peut pas prétendre qu'il De loue que des
bras; ces bras appartiennent à un être
doué d'intelligence et de coeur, qui doit
être traité en conséquence, sans que la
force ou une nécessité économique lui per-
mettent d'en abuser.
Notons que nos farouches révolutionnai-
res n'en accordent pas tant, malgré leurs
airs d'indépendance; ils n'admettent pas
que-1 l.'ouvrier soit une machine vivante li-
vrée au patron; ruais ils ne trouvent pas
mauvais qu'il le soit entre les mains d'une
organisation qualifiée de prolétarienne. La
dignité de l'homme, son droit à une vie
pleine et qui comporte le gouvernement de
sa famille ne sont vraiment sauvegardés
que dans l'ordre catholique.
L'ouvrier a le droit de s'associer : l'Eglise
est la grande amie de l'association; « quand
vous serez plusieurs réunis en mon nom... D
disait .le Christ. L'Eglise sait la faiblesse
de l'homme seul ; elle aime qu'il ait sa fa-
mille professionnelle comme la famille de
son cœur. La joie, des hommes réunis pour
leur bien commun se traduit dans ses fêteb
religieuses; les groupements trouvent tou-
jours largement ouvertes les portes du sanc-
tuaire. Groupements libres, car l'Eglise
n'impose pas de devoir inutile. Groupe-
ments auxquels elle laisse leur liberté d'ac-
tion, quand elle sait qu'ils sont constitués
pour le bien. Que nous sommes loin des ty-
rannies révolutionnaires 1
L'encyclique reconnaît encore au travail-
leur le droit à un salaire vital. Que les pa-
trons et les ouvriers s'entendent comme il
leur convient sur les conditions du tra-
vail; mais que la supériorité économique
du patron se traduise par l'obligation pour
l'ouvrier d'accepter un salaire au-dessous
de ce qu'exige sa subsistance, voilà qui est
injuste et ne peul être permis. i
On n'a pas assez remarqué comment, en
formulant ce principe, l'Eglise exigeait en
quelque sorte des progrès industriels. En
effet, quoi de plus simple pour un patron
travaillé par la concurrence que de réduire
les salaires de son personnel ? Il allait au
moindre effort, néfaste pour lui comme
pour l'ensemble social. Au contraire, si le
salaire vital est un chiffre auquel il ne peut
toucher, il faut bien qu'accomplissant ce
qui est réellement sa fonction de patron,
il travaille à améliorer les conditions géné-
rales de sa production. Contrainte légère j
et nécessaire, qui devient un bien pour lui ;
et pour la collectivité.
Donc l'ouvrier jouit, de par l'encyclique
Rerum novarum, de droits certains, établis,
dont il peut se prévaloir en tout état de
cause. Auprès des patrons chrétiens : que
pourront-ils opposer en conscience à des
revendications basées sur des principes si
fondés et si justes ? Leur résistance ne
peut tenir longtemps devant le trouble de
leur âme. Auprès des autres patrons : car
ils sont bien obligés de reconnaître que la
grande voix pontificale faisant écho après
vingt siècles à celle du Christ, dit le Vrai et
le Bien. Oui peut-être, la parole autorisée
ne vaincra pas l'obstacle entièrement et
tout de suite : laissez-là opérer selon sa
vertu intérieure, et vos fils m'en donneront
des nouvelles.
Ce don précieux que nous a fait l'Ency-
clique, n'est-ce pas qu'il vaut d'être fêté ?
— Mais, me direz-vous, cette Encyclique
ne vous a-t-elle pas aussi imposé des de-
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raison de la commémorer joyeusement.
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