Titre : Le Petit Parisien : journal quotidien du soir
Éditeur : Le Petit Parisien (Paris)
Date d'édition : 1936-10-08
Contributeur : Roujon, Jacques (1884-1971). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34419111x
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Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
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Description : 08 octobre 1936 08 octobre 1936
Description : 1936/10/08 (Numéro 21772). 1936/10/08 (Numéro 21772).
Description : Note : Dernière éd.. Note : Dernière éd..
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Source : Bibliothèque nationale de France, Gr Fol-Lc2-3850
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/12/2010
LE PETÏT PARISIEN
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MM* Wagram-Oui. j'aides
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LEROY
39. au. VtVllNNI
PlaM d- IWH foui- 5(.ïnl-Mlç(^
k>ul*«i>4 BurMi I H, Ru* de Lyon
Le Vir congrès des Français
de l'étranger
Les congresEïstfî.5 ee non. rendus
hier à Reims. Us omt été reçua l'hôtel
de Ville par M. Mwrchandeau, député-
maire, qui a rendu hommage aux ser-
j'étranger à l"expanBiûil .nationale. Us
ont visité lea caves Champagne et le
vignoble où la vendange bat son plein.
aux champs de be-tailBe et aux grands
cimetières du front.
Aujourd'hui a eu Hou la dernière et
principale journée du congrès. Sous la
présidence de parlementaires comme
MM. Mistler, Yves Le Tfocquér, Grum-
hftch, ils étudieront lesï répercussions
et des événements politiques sur les
colonies françaises à l'étranger. M. Vlé»
npt, ious- secrétaire d'Etat au*/ Affaire
ctraDSèraa,. préaidera, la séance consa-
créa a la défense des intérêts français
iL t'étranger.
L8. séance J solennelle de clôture aura
lieu iL 20 h. 30, au centré Marceïïin-
Bertfeelat, .BQUfl 3a présidence de
M. Tvon Delboa, ministre des Affaires
étranger*?- L5 Président de 1a Répu-
blique et pluaieura miniatre-g y aesiete-
Un manœuvre se tue
en tombant d'un échafaudage
Drille t, manœuvre, quarante-
deux mis, 2A, rue Pradler. état$ occupé,
quai de^Jarsl. A édifier un édhafcfdftge à
taux mouvement. Jl tut précipité d&as le
vide et faillit entraîner aT« lui un de aes
camarades.
if. Prfllat, le bawin et le thorax tv&c-
tiirâa, exiplrii pçnBant son tratwteit a l'hO-
pR*t M. Lalbolirwu, ooowniBBaira
de Jav^L, eniqii*t« .sur cet accident.
CHRONIQUE DU MUSIC-HALL|
Aux F(Ji««-fi*rfCr« En 5up*r-Foli«
A de de la .lecture du palmarès
de" coîkborateurs de la revue deî FoiiM-
Bergcre, M. Derval ne fart le 3e
décorateur et le costumier que tout à lait en
fin de liste. Je serais tenté de proteste*
étant donné l' importance de leur apport
mais Jes dé-cora et les cûifunnîs n'étant
pas le* racii!€urs èlém«iia du nouveau
spectacle présent* -par M. 'DervaK te
réserve pour une autre fols ma plaidoirie.
De vrai. M. Max Weckiy, le cnrtumi*r.
Quant aux décors. je retiens surtout le
M. Dçahayi et qui est de iom de plus
réussi de tous ceux qui nous sont pré-
Les attractions ÙMéréta dans la revue
rntt obtenu une faveur. Pour
itous. nous les avons revues avec plai-
sir. Vitcft est un comique et un mime
bien adroit. Casa, Mack. Owen and
Tapsy ont obtenu un succès considéra-
bk on ne peut entremêler dans un
rythme plus sûr les gags et les acroba-
ties; cela est tout à fait drôle. Qusrtt à
Gigsan Jakson, bien îut que je trouve
Je plvs je je o ai jamais vu
eg.1 dans les dislocations et les
plesse*, et son étégance un peu canaille
ajoute «icore il .sort numéro.
On attendait beaucoup de Joséphine
Baker et die a beaucoup donné. EWe est
bdlc, aeasible, Bce, charmante, émou-
vamte et gamine tour à tour. Elle chante,
elle jour. Bref, dk se rfvtïs
une fois de plus un* meneuse de Jeu de
flraodç dasse, et, si «-fie n'a paa autant de
« mobilité que d'autre* fois, c'est qit«
ses rôles ne kù foiitmissent pas l'occa-
sion de Ja abatiifestef.
Mais je m'eperçois que je ne vous ai
pas ̃encore beaucoup parlé de la revue.
t'interromps Aon-c ici l'émunéraflon des
Interprètes pour vous dire que c'est une
zevue maison » exactement adaptée à
la a îorm uîe de 1 ̃étabi isicanen tf laquxlle.
cfOytî-jHOi. ft'a pas été choisie sans rai-
son, Aufl*i bien l'auteur, Mauri-ce lier-
micte. sait-iJ ce qu'il faut FaAre et Ie Fait-
il en toute sécurité,
Je vous ai dit Us mérites de Joséphine
Baker. Il faut iramniCT à s*# côtés Viviane
Gosîet, habile comèdieiMie Yvonne Bou-
qui chante et joue avec fraîcheur et
talent l'excellent Orbal, qui ne cesse de
gagner rai simplicité et dont chaque créa-
tion est en progrès Dandy, toujours
joyeux; Rocer*, à la voix e.t au comique
généreux; Heimery, de métier il.
En tète des danseurs, cite P.ul
Meeres et Meade. Frédéric Rey est beau
âaas orflutiJ. Je remis hommage aux
Bluebeel's BeautifuI Ladies, wï Red
Stars. à l'harmonieuse âgiw&tiOd fémî-
]c m'en voudrai de ne pas vous
dire que M. Tinfloat tire avec taiecî
parti de sa. Voix
Louis Léon-Martin.
A l'Alhambra t R*y Ventnra et
collégien*
Il faut d'abord applaudir Ray Ven-
titra et ses collégiens dont le succès ne se
̃démentit pas. Si l'on oooge au nombre de
jazz que nous avons vus passer les scè-
de nru5k:-lhar'l dot il nous reate
plui qu'un lointain souvenir, il sied de
que la performance de Ray
Ventura est eicepiionoelle. Non seule-
ment il demeure égad à Jui-meme, mais
soa avmtéro s'est très seusiblemeût perfec-
tioattè. Tech»qi«nwnt *t musicailemeat.
^amaia il ne fut meiïletir humoristique..
ment il vaut les plus rtmairquaiïtes attrac-
tions de « gags du moment. Ray Ven-
tura et ses collégiens on le sens de la
blague, lequel vaut celui de l'humour. II y
a dans la troupe trois ou quatre solides
qui mériteraient qu'on les nomme tant leur
fantaisie est juste de ton, d'accent, d'in-
vention. le suis ravi de faire à Ray Vert-
tura et à sa troupe ces compliments. Une
attraction ne vieilli!, pas quand elle est
étayée par J intelligence. le le CAS ou
jamais de l'écrire.
Les Gaudsrrdrii brothers and Co peéseii-'
tent un numéro de dressage infiniment
amusant. Il y a là, collaborant avec deux
acrobates, deux caniches magnifiquement
intelligente et qui collaborent ati jeu avec
toute leur spontanéité, j'allais écrire leur
Ls numéros de dressage -ni
plaisants que dans ostte atmosphère d'ami-
entre les animaux et teurs dreSMurs.
Gip^y Nina a la voix la plus agréable
et la plus fraîche, là plus souple Ses
chanson^ tziganes sont nuancées et douces.
Qpsy Nina laisse V&prtté à nombre de
se.¡¡ camarades. Hic ie réserve le charme.
Mais on n'y réussit pas sans talent
comme quoi nous devons la tenir en par-
ticulière estfane.
Les 4 Ortans, funambules de bon métier,
valent nuttout par un
aement loufoque et qui passe son temps à
imaginer avec une uie et un cochon de la
dressés les pltii invraisemblables présen-
ta lions,
Gabriello remplace gentLment au pied
levé }* ne quel numéro e2 se faSt co
pleusercent applaudir dans son tour de
chant de bonne humeur.
Bordas me laisseraiï asws indifférent
dans t femme à barbe a, mais- son
c Ma femme est morte bien chanté et
gaillardement enlevé mérite le plus sincère
Eugène Gerber, journaliste et drama.
turge alsacien, va être joué au
Théâtre de l'Œuvre.
Lugné-Poe, subtil dénicheur de
lents, vient de découvrir un nou-v«L
auteur, Eugène Gerbe»!1, dont il est de--
venu aussitôt renthousiaate parrain et
qu'il va faire jouer en -il. mai&on de
TCEuvre où tant de ses c poulaine >
triomphèrent. Ia choisi. est une
comédie en trois acte* et dix tableaux
Halte, où çrfiet^jow»r qu'itttûrprèteront
MM. Aquifltapace, Jacques Ferréol, Mi-
chel Saiina, Robert Le non, Léo Pel-
tier, Max de Gun, Mmas Renée Lud-
ger, Ohtiatiane Jean, Hainia,.
Yvonne Desmea et qui est pleine, affir-
ment tous ceux qui la connaissenc,
d'originales et vlgoureusea qualités.
Ce ne seront pas là d'ailleurs de
véritables débuts car M. Eugène Ger-
ber, qui est l'«n de nos plus dtatinguéa
senter plusieurs muvres écrites en dia-
lecte de son pays ou en allemand, no-
talent Gabrieï (jouée à Str&Bbourg-
en 1919 et où il traitait les problèmes
familiaux soulevé* par le retour de
l'Alsace à la France) des drames Ms-
toriqiïea au théâtre de verdure de Data-
bach de 1930 à 1&22 enfin en J927 et
à Cologne, Berlin et Francfort,
trois pièces où i1 traitait de l'amour,
du matérialisme et de la jeunesse mo-
Halte où allez-vous est la première
œuvre écrite en langue française peu
M. Eugène Gerber, journaliste et dra-
maturge de talent dont 1a personnalttê
est infiniment attachante et qui a
trouvé de ferventa concours auprès de
Lugné-Poë, précieux animateur d'An-
dté Girard, décorateur au goüt bût1» et
du compositeur D. Lazarus.
Et maintenant Paris n'attend plus
que les « trois coup. a traditionnels
pour acclamer celui qui vient à lui en
toute confiance.
FAITS DIVERS
PARIS
Un gimin de 18 tm
bniUlÏMÎt f» mère
Des vitres caaséen tt>mb4«t ifeuifl Tine
oOur, dta -crie. de f«H«ne, une voix d'homme
soir, l'immeuble portant le numéro 11 de
1a rue d'Enghien.
Lea Iots.ta.irea alertèrent
qui aurvenant bientôt mit Sa au spectacle
déplorable d'un garnement de dix-huit uns
baitmit sa mfre à coups de pied et à cmjp
de Le jeune a été
m&re, tr*e estimée par !;le! ayant
lui .rendit «on aïs non san;v avoir
ment admonlsté ce dernier.
Moto centra *uto
Ver» 21 h. 30, hier Soir, un
M. André Raspi. m^oanlclen, né le a Juin
L907 à OiiAana rt demeUttmt flvftnil*
aux LU as. en
une auto.
Assea grièvement ble^ia^ Il a été
porté & l'bOpfLaJ Li r»Ù lTop a cons-
de la jarobe gauche et une pl&iç t la tète.
SEINE
Tué par nn« balla da papier
OccuBé A décharRer des batlea de papier
devant la Société d'Imprimerie Induatrielîe,
Agé de soixante -trois uns, demeurant S,
aqwAT* du Gralaivaudan. .Il Paria, eflt tOTOft*
sous £'une des ballca pesant klloa -et
Il succombé peu apr&j son admission à
lliOpital des Fetiti-M*nasfes,
:pu murs d'une crise de neurasthénie,
M. Hftnrj- Bafforne, quarante ans,
nJcJtn fin chftmaB-o. demeurant 78. avenue
à Cbo-Iay-ie RoE, A tenté
coups de nasoir.
dfl fait envoyer au dépôt Marne!
Hîto d«B vola de bii-ydett*a.
Dan. un* criaa de
M. Jean Bralle, quarante- trois aits. glacier,
t&nts plua tard. le désespéré n'a pu Atre
ranimé.
DEUX COUPLES D'ÉTRANGERS
SONT ENYOYÉS AU DÉPÔT
II* pillaient diierèttment le. étalai.'
des jrrandt raagmin*
Deux couples de riches étrangère
fréquentaient les granda ma)ïa&itisP..
Riches "? lia pensaient aurtotit le
devenir en s'appropriant ce qu'Us trou-
vaient aus étalagea,
Leur manège, cependant, n'avait pas
été sans attirer l'attention tlfla inspec-
teurs de la police Judiciaire, qui pour-
chassent ce genre de voleurs la tire.
Et hier, 11s parvenaient à leur mettre
la main au collet, tandis qui ne con-
tertaitût, boulevard de Boane-Nouvfille,
sur le plan de leurs prochains exploits.
Conduits au quai des Orfèvres et
Interrogés par M. Badin, commissaire
principal, les deux Sommes déclarèrent
se nommer Isaac Srietetibcrg, né en
1904 à Jaffa (Palestine), et Abraham
Koter, né en 1901 Alovack (Pologne).
L'un se dit tailleur et l'autre cha-
p&lier-, mais tous deux sont sans
Leurs compayaes décllnèreai -égale--
méat leur îen 1908 iL Siboul (RoiHnanie), deraeu-
raat en hôtel, 247, boulevard Voltaire.
et Dora Hageï, née en 1903 à Wondock
{PûlOgTW )
Racfael Baida protestait avec v*he-
menoe de:; sa parfaite probité on la
fouilla, et l'on trouva, d-fsoimulée s«U4
ses vëtemeOitH, une poche de grande
au fond de laquelle avaient
déjà été glissée.! pour franca de
peaux volées.
quatuor est au dépôt.
MIEUX
Q U'UN BAIN DE PIEDS
L'Ephydrol est un liquide à base d'essences aromatiques et
est préférable aux bains de pieds parce qu'il a la propriété de
fortifier la peau tandis que le bain l'attendrit et la rend plue
sensible encore.
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QU'UN BAIN DE PIEDS
L'Epbydroi est plus pratique qu'un bain
de pieds parce qu'il suffit de laire un
simple badigeonnage des pieds soit le soir
avant de se coucher, soit le matin au lever.
MOINS
CHER
loar, ta feu tt avatsJ
wjt£lltn Dttutitott'tm'
QU'UN BAIN DE PIEDS
L'Ephydroi est moins cher que les bains de pieds parce que
le lIacon ne coûte que 12.60 et dure plusieurs semaines.
Si vous avez des pieds sensibles, fati-
gués, meurtris, enflammés. faites un sim-
ple badigeonnage d'Epbydrol, aussitôt
vous éprouverez une sensation de frai-
cheur, de bien-être et vous aurez des
pieds reposés. L'Ephydrol n'arrête pas
la transpiration il la neutralise et en sup-
prime l'odeur.
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Pro' Folles-Berjère, 21 h., En super-folle? (.TosSph. Baker).
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fl»aury. musique de M. Mpïscb Simona.
Le Théâtre de Paria chatte de genre.
Le voici qui. délaissant ]a cotnèdi?.
héberge ropêr«tte à grand spectacle, sans
doute pour longte-ttips. car le Chant dût
doivent ravir la foule.
Lm itbretti3î«, MM. Sauvat et Champ.-
fleury, qui font d'heureux débuts. ont
pensé, non saia ({,¡¡¡.on. qu'une suite dt
sketches ne &uf Usait pas à constituer une
truit, adroitenwnit d-évcloppé. noua entraîne
au milieu de l' A t! an tique, dans une lie
de rêve où vit !e taUw Burtôfl. avec ses
deux séduisantes ft'rïts, Rosé et Perven-
che. Burton traite brutalement les escla-
ves qui cultivent ses ptantations de canne
à sucre. *t ^a révolte gronderait si le chef
indigène, Tatero. épris de Rosé, n'ap»i-
sait le r^^crïtOTent de ses compatriotes.
Sur ces enti-efaites. un aventurier, Rami-
ttt, s introduit dans l'île, sous le Falia-
ceux prêlextc d'nch^ter au pldiitem sa
récolta de rhum. An vrai, i] a dessein de
lamenter la rébellion des et de
trésor caché. Mais le secrétaire de Rami-
r«, tombé amouf-eun de Pervenche, sur-
prctid la de son patron. Taïaoa et
lui sativtnt les deux jeunes filles qu'ils
rideau. Dans cette intrigue, qui accorde
large part au sentiment, deux comparses,
un porteur burlesque et un sorcier indien,
rivaux d'îjïfiueïiice, ^portent la note plai-
sante-
Le coœposibeur cubain Moïses SimonST
dont l'opérette Toi, c'est moi fit In beaux
atMra dei Bouffes, était fort quaUBé pour
écrire la musique de cette aventure exoti-
les avec fruit. Sans sa plume experte,
âeiurlssenit avec un égal bonheur les ryth-
mes de fièvre, comtne la daiue du feu qui
termine le 7, .sur un mode pathétique.
ou les airs enrobes de nostalgie, ainsi que
la compkïÉnte de l'esclave qu'exhale avec
tre Machin.
MKe Hélène Regelly, Perventhe. briWc
pu latsance de .son jeu et sa sûreté
vocaîe. Mile RûSe Mostovg, gracieuse,
bien chantante, incame Rosé. M. Roger
Bourdifl, qua a vraimeiût -peu à faire,
détolHti dé se belle voix de baryton l'air
de Taïano, Mon cœttr est un oiseau perdu.
M. Gifbtrt Moryn joue Burtoti en bon
coméd-ierv lyrique. M. JasiLelin. nouveau
venu, s'iriipû*e k>u.i les traite du machia'
MM, Morton et Henry îul'Jien tirent leur
épingle du jeu avec ia maitriae de fao-
taisistes «X'pérMBCtftés, qui en ont vu bien
d'autres. Si les mérites vxaux et scéci-
qites de M. Jean Sabton me demeurent
impêûétrabJcs, je reconnu que la salîe a
fait nm siiccèa à ses couplets du serréta.ire.
Les damseurs de couleur Offelia-Pimienta
bas endiablées. Une troupe nombreuse de
girls et de 6oys se dépense pour notre
plaisir, soim la baguette de M. Jean
AJfaro. Le goût et la richesse des décors
Henry Bénazet.
THEATRES
-0- OPERA {au tb«Aire Snrah-Eftmhardt).
Demain soir, MM. Nnré. Endrèze, Nar-
con Mowit, Gil'lBB Mmea Ha.my et Loiande
a^ant, am c*t*g de Mme Solange Trimas,
Le «pooUcle se tarmÉnena pas le Spectre de
ta ro a-rec JB. Serg* Lifar et Itlle
rwaraitra demain soir aur l'affiche avec le
ooncour» â* MM. Alexandre. Jesn Hwyé,
Chambrent Jean HartliHHJ. TîchourLti,
Tlobiivne. Mftrie Bell, Madeleine Barjae,
Sully et Marcelle Gabarne.
la première foLi
samedi soir. A cette «xaMon. Mlle Jacque-
H-ie CotiTtin, de t'Ocra, remplira le rôle
de Mignon elfe aura pour partenaires
̃û- ODEON. C'est ip Marchand de
Venise., de WiUEam 3h&is«^Mare, dans
(̃«183118.11011 de M. Lucl*n Tïiépoty, qui oooft-
eu
-q^ CttATELET, Auj. 5 14 h. 30 mût.
de l'opérette triomphai Nina-Rasa, avec
André B&Ugfé et Bach.
-o- PTE-ST-MAHTIN. Auj, à 14 20
Bargerac, le chef- d'oeuvre d'Edmond Ros-
tand, ac Charpln. (4 k lî fr.).
Mat. à. prix réduits jeudis et smnedliL
VARIETES. Aujourd'hui jeudi. ù
2 h. 45, matinée de la joyeuse opérette
Un de la Canebi&œ, svbc Alibert et »a.
IjISS MA1IM&ES 10K3 ̃ »EUX-MAS«CKS »
A\iJ, Jewdl, samed! et dimanche matirtéçB
avec 18. fameuse pièce d'aventures hamorta-
tiqua Qus îicrsûrttt* ne *or(e Lundi 12 octo-
bre, première matinée du lundU UorSna-
vant les matinées aurqïit Heu tous lea lun-
diâ, samedis et dimaiuâM», à 15
~Q^ TK. ANTOINE, Gaby Morlay
triomphe toua le. soirs dans Mile «la ni*re.
-o- FALAlS-H-OYALi. Aujourd
jeudi matinée .IL a h. de Ta tronche, Immense
sucera de gaieté,
-o- TH. ST-&EOHGËS. IL Fernand
de.. devait créer un principaux
Amlel, n'ayant pu remettre un contrat de
se volt dans l'obligation do renon-
cer à, cette création.
-0- ATSXjÏSIL La Ûirçolipn remet
au lundi 13 octobre, en soirée, la répétition
E&tïfraie du Camelot, de Roger Vitr&c.
-o- TH. ANTOINE. Gaby Morf&y
triomphe tous les soirs da^r» Mile m4 Mère,
-o- TH. J>EJA2ET,. û'aocard. »v»t le
Théâtre de la MiftHodl^Te. la répétition
générale âe la Présidante, vaudeville en
Pierre Veber, e»t reporté* irriYooablament
trô de Foikt-aiUT-Damea, À 2 h. 45, Mai
Ménager présentera Comte Obllgodo, op^
rette «l trdfi actes d'André Barde, musi-
que de Moretti, avec la concours d-Urbalt,
Ferchlrk, Gtnette Wtoter, liaureiiao. Cécila
Orchestre soua la direction de Jef de
M^'a LA CHANSON DE PARIS s.
Poui- «ter l'étfwtioïi de M. Jean Riewi à
la prf-sittonice d-e la ChaTioOJl de Parla, un
bn, & 15 h. 30. 43, rue la
de Mmes Xavter Prtvas et Jac-
Les adhésions sont reçues par M. Piflire
MUSIC HALLS
-o- FOLISS-EEROÈRËr M. Paul Iwr-
val tetlfflt le date du samedi 1<1 octobre
en matinée pour I* à B à la
spectacle M. 'M&iirlcs Hflrtnite. proauc-
tion Paul Derval.
A, B, C. Le nouveau programme
qui débutera demain aura pour prinetpaux
interprètes Lys Gauty. Chari^i et Bran-
André Martin, Chitton et Thomas « les
ftemadTi rentrée. Dana le même prû-
Zeranam, Willy Woltard, Balzar, Peoh et
le trio de daitae* Dareaco.
NAISSANCE
D'UH NOUVEAU CIRQUE
drque ouvrira très prochainement ses por-
bes boulevard Vau^irard, entr*
nue coïlstTJlt en matériaux muni
du chauffage h air chaud, pourra
scène permettent 1a présentât) on d'lin pro-
les numéros.
INAUGURATION
SAMEDI 11 OCTOBRE 1936
De* mâtiné aérant dotirté?! laa jeudis
samedis et dimanches à 15 heures.
tarif.! spéciaux serpnt Accordas *u^
enfanta. La de pe grand établis'
•emant est conflée à MM. AMAR Firtr«if
directeurs de et
du plus important de tous les cirau<» de
France.
de lions aairvagea erAflentéa par le domp-
lA. oftvaïerl* du Cirque Amar dont L-efltectff
Irfs eMellents cfowna Manetti et Rhum,
partie comique de M remarquable pro-
FOLIES
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k>ul*«i>4 BurMi I H, Ru* de Lyon
Le Vir congrès des Français
de l'étranger
Les congresEïstfî.5 ee non. rendus
hier à Reims. Us omt été reçua l'hôtel
de Ville par M. Mwrchandeau, député-
maire, qui a rendu hommage aux ser-
j'étranger à l"expanBiûil .nationale. Us
ont visité lea caves Champagne et le
vignoble où la vendange bat son plein.
aux champs de be-tailBe et aux grands
cimetières du front.
Aujourd'hui a eu Hou la dernière et
principale journée du congrès. Sous la
présidence de parlementaires comme
MM. Mistler, Yves Le Tfocquér, Grum-
hftch, ils étudieront lesï répercussions
et des événements politiques sur les
colonies françaises à l'étranger. M. Vlé»
npt, ious- secrétaire d'Etat au*/ Affaire
ctraDSèraa,. préaidera, la séance consa-
créa a la défense des intérêts français
iL t'étranger.
L8. séance J solennelle de clôture aura
lieu iL 20 h. 30, au centré Marceïïin-
Bertfeelat, .BQUfl 3a présidence de
M. Tvon Delboa, ministre des Affaires
étranger*?- L5 Président de 1a Répu-
blique et pluaieura miniatre-g y aesiete-
Un manœuvre se tue
en tombant d'un échafaudage
Drille t, manœuvre, quarante-
deux mis, 2A, rue Pradler. état$ occupé,
quai de^Jarsl. A édifier un édhafcfdftge à
taux mouvement. Jl tut précipité d&as le
vide et faillit entraîner aT« lui un de aes
camarades.
if. Prfllat, le bawin et le thorax tv&c-
tiirâa, exiplrii pçnBant son tratwteit a l'hO-
pR*t M. Lalbolirwu, ooowniBBaira
de Jav^L, eniqii*t« .sur cet accident.
CHRONIQUE DU MUSIC-HALL|
Aux F(Ji««-fi*rfCr« En 5up*r-Foli«
A de de la .lecture du palmarès
de" coîkborateurs de la revue deî FoiiM-
Bergcre, M. Derval ne fart le 3e
décorateur et le costumier que tout à lait en
fin de liste. Je serais tenté de proteste*
étant donné l' importance de leur apport
mais Jes dé-cora et les cûifunnîs n'étant
pas le* racii!€urs èlém«iia du nouveau
spectacle présent* -par M. 'DervaK te
réserve pour une autre fols ma plaidoirie.
De vrai. M. Max Weckiy, le cnrtumi*r.
Quant aux décors. je retiens surtout le
M. Dçahayi et qui est de iom de plus
réussi de tous ceux qui nous sont pré-
Les attractions ÙMéréta dans la revue
rntt obtenu une faveur. Pour
itous. nous les avons revues avec plai-
sir. Vitcft est un comique et un mime
bien adroit. Casa, Mack. Owen and
Tapsy ont obtenu un succès considéra-
bk on ne peut entremêler dans un
rythme plus sûr les gags et les acroba-
ties; cela est tout à fait drôle. Qusrtt à
Gigsan Jakson, bien îut que je trouve
Je plvs je je o ai jamais vu
eg.1 dans les dislocations et les
plesse*, et son étégance un peu canaille
ajoute «icore il .sort numéro.
On attendait beaucoup de Joséphine
Baker et die a beaucoup donné. EWe est
bdlc, aeasible, Bce, charmante, émou-
vamte et gamine tour à tour. Elle chante,
elle jour. Bref, dk se rfvtïs
une fois de plus un* meneuse de Jeu de
flraodç dasse, et, si «-fie n'a paa autant de
« mobilité que d'autre* fois, c'est qit«
ses rôles ne kù foiitmissent pas l'occa-
sion de Ja abatiifestef.
Mais je m'eperçois que je ne vous ai
pas ̃encore beaucoup parlé de la revue.
t'interromps Aon-c ici l'émunéraflon des
Interprètes pour vous dire que c'est une
zevue maison » exactement adaptée à
la a îorm uîe de 1 ̃étabi isicanen tf laquxlle.
cfOytî-jHOi. ft'a pas été choisie sans rai-
son, Aufl*i bien l'auteur, Mauri-ce lier-
micte. sait-iJ ce qu'il faut FaAre et Ie Fait-
il en toute sécurité,
Je vous ai dit Us mérites de Joséphine
Baker. Il faut iramniCT à s*# côtés Viviane
Gosîet, habile comèdieiMie Yvonne Bou-
qui chante et joue avec fraîcheur et
talent l'excellent Orbal, qui ne cesse de
gagner rai simplicité et dont chaque créa-
tion est en progrès Dandy, toujours
joyeux; Rocer*, à la voix e.t au comique
généreux; Heimery, de métier il.
En tète des danseurs, cite P.ul
Meeres et Meade. Frédéric Rey est beau
âaas orflutiJ. Je remis hommage aux
Bluebeel's BeautifuI Ladies, wï Red
Stars. à l'harmonieuse âgiw&tiOd fémî-
]c m'en voudrai de ne pas vous
dire que M. Tinfloat tire avec taiecî
parti de sa. Voix
Louis Léon-Martin.
A l'Alhambra t R*y Ventnra et
collégien*
Il faut d'abord applaudir Ray Ven-
titra et ses collégiens dont le succès ne se
̃démentit pas. Si l'on oooge au nombre de
jazz que nous avons vus passer les scè-
de nru5k:-lhar'l dot il nous reate
plui qu'un lointain souvenir, il sied de
que la performance de Ray
Ventura est eicepiionoelle. Non seule-
ment il demeure égad à Jui-meme, mais
soa avmtéro s'est très seusiblemeût perfec-
tioattè. Tech»qi«nwnt *t musicailemeat.
^amaia il ne fut meiïletir humoristique..
ment il vaut les plus rtmairquaiïtes attrac-
tions de « gags du moment. Ray Ven-
tura et ses collégiens on le sens de la
blague, lequel vaut celui de l'humour. II y
a dans la troupe trois ou quatre solides
qui mériteraient qu'on les nomme tant leur
fantaisie est juste de ton, d'accent, d'in-
vention. le suis ravi de faire à Ray Vert-
tura et à sa troupe ces compliments. Une
attraction ne vieilli!, pas quand elle est
étayée par J intelligence. le le CAS ou
jamais de l'écrire.
Les Gaudsrrdrii brothers and Co peéseii-'
tent un numéro de dressage infiniment
amusant. Il y a là, collaborant avec deux
acrobates, deux caniches magnifiquement
intelligente et qui collaborent ati jeu avec
toute leur spontanéité, j'allais écrire leur
Ls numéros de dressage -ni
plaisants que dans ostte atmosphère d'ami-
entre les animaux et teurs dreSMurs.
Gip^y Nina a la voix la plus agréable
et la plus fraîche, là plus souple Ses
chanson^ tziganes sont nuancées et douces.
Qpsy Nina laisse V&prtté à nombre de
se.¡¡ camarades. Hic ie réserve le charme.
Mais on n'y réussit pas sans talent
comme quoi nous devons la tenir en par-
ticulière estfane.
Les 4 Ortans, funambules de bon métier,
valent nuttout par un
aement loufoque et qui passe son temps à
imaginer avec une uie et un cochon de la
dressés les pltii invraisemblables présen-
ta lions,
Gabriello remplace gentLment au pied
levé }* ne quel numéro e2 se faSt co
pleusercent applaudir dans son tour de
chant de bonne humeur.
Bordas me laisseraiï asws indifférent
dans t femme à barbe a, mais- son
c Ma femme est morte bien chanté et
gaillardement enlevé mérite le plus sincère
Eugène Gerber, journaliste et drama.
turge alsacien, va être joué au
Théâtre de l'Œuvre.
Lugné-Poe, subtil dénicheur de
lents, vient de découvrir un nou-v«L
auteur, Eugène Gerbe»!1, dont il est de--
venu aussitôt renthousiaate parrain et
qu'il va faire jouer en -il. mai&on de
TCEuvre où tant de ses c poulaine >
triomphèrent. Ia choisi. est une
comédie en trois acte* et dix tableaux
Halte, où çrfiet^jow»r qu'itttûrprèteront
MM. Aquifltapace, Jacques Ferréol, Mi-
chel Saiina, Robert Le non, Léo Pel-
tier, Max de Gun, Mmas Renée Lud-
ger, Ohtiatiane Jean, Hainia,.
Yvonne Desmea et qui est pleine, affir-
ment tous ceux qui la connaissenc,
d'originales et vlgoureusea qualités.
Ce ne seront pas là d'ailleurs de
véritables débuts car M. Eugène Ger-
ber, qui est l'«n de nos plus dtatinguéa
senter plusieurs muvres écrites en dia-
lecte de son pays ou en allemand, no-
talent Gabrieï (jouée à Str&Bbourg-
en 1919 et où il traitait les problèmes
familiaux soulevé* par le retour de
l'Alsace à la France) des drames Ms-
toriqiïea au théâtre de verdure de Data-
bach de 1930 à 1&22 enfin en J927 et
à Cologne, Berlin et Francfort,
trois pièces où i1 traitait de l'amour,
du matérialisme et de la jeunesse mo-
Halte où allez-vous est la première
œuvre écrite en langue française peu
M. Eugène Gerber, journaliste et dra-
maturge de talent dont 1a personnalttê
est infiniment attachante et qui a
trouvé de ferventa concours auprès de
Lugné-Poë, précieux animateur d'An-
dté Girard, décorateur au goüt bût1» et
du compositeur D. Lazarus.
Et maintenant Paris n'attend plus
que les « trois coup. a traditionnels
pour acclamer celui qui vient à lui en
toute confiance.
FAITS DIVERS
PARIS
Un gimin de 18 tm
bniUlÏMÎt f» mère
Des vitres caaséen tt>mb4«t ifeuifl Tine
oOur, dta -crie. de f«H«ne, une voix d'homme
soir, l'immeuble portant le numéro 11 de
1a rue d'Enghien.
Lea Iots.ta.irea alertèrent
qui aurvenant bientôt mit Sa au spectacle
déplorable d'un garnement de dix-huit uns
baitmit sa mfre à coups de pied et à cmjp
de Le jeune a été
m&re, tr*e estimée par !;le! ayant
lui .rendit «on aïs non san;v avoir
ment admonlsté ce dernier.
Moto centra *uto
Ver» 21 h. 30, hier Soir, un
M. André Raspi. m^oanlclen, né le a Juin
L907 à OiiAana rt demeUttmt flvftnil*
aux LU as. en
une auto.
Assea grièvement ble^ia^ Il a été
porté & l'bOpfLaJ Li r»Ù lTop a cons-
de la jarobe gauche et une pl&iç t la tète.
SEINE
Tué par nn« balla da papier
OccuBé A décharRer des batlea de papier
devant la Société d'Imprimerie Induatrielîe,
Agé de soixante -trois uns, demeurant S,
aqwAT* du Gralaivaudan. .Il Paria, eflt tOTOft*
sous £'une des ballca pesant klloa -et
Il succombé peu apr&j son admission à
lliOpital des Fetiti-M*nasfes,
:pu murs d'une crise de neurasthénie,
M. Hftnrj- Bafforne, quarante ans,
nJcJtn fin chftmaB-o. demeurant 78. avenue
à Cbo-Iay-ie RoE, A tenté
coups de nasoir.
dfl fait envoyer au dépôt Marne!
Hîto d«B vola de bii-ydett*a.
Dan. un* criaa de
M. Jean Bralle, quarante- trois aits. glacier,
t&nts plua tard. le désespéré n'a pu Atre
ranimé.
DEUX COUPLES D'ÉTRANGERS
SONT ENYOYÉS AU DÉPÔT
II* pillaient diierèttment le. étalai.'
des jrrandt raagmin*
Deux couples de riches étrangère
fréquentaient les granda ma)ïa&itisP..
Riches "? lia pensaient aurtotit le
devenir en s'appropriant ce qu'Us trou-
vaient aus étalagea,
Leur manège, cependant, n'avait pas
été sans attirer l'attention tlfla inspec-
teurs de la police Judiciaire, qui pour-
chassent ce genre de voleurs la tire.
Et hier, 11s parvenaient à leur mettre
la main au collet, tandis qui ne con-
tertaitût, boulevard de Boane-Nouvfille,
sur le plan de leurs prochains exploits.
Conduits au quai des Orfèvres et
Interrogés par M. Badin, commissaire
principal, les deux Sommes déclarèrent
se nommer Isaac Srietetibcrg, né en
1904 à Jaffa (Palestine), et Abraham
Koter, né en 1901 Alovack (Pologne).
L'un se dit tailleur et l'autre cha-
p&lier-, mais tous deux sont sans
Leurs compayaes décllnèreai -égale--
méat leur î
raat en hôtel, 247, boulevard Voltaire.
et Dora Hageï, née en 1903 à Wondock
{PûlOgTW )
Racfael Baida protestait avec v*he-
menoe de:; sa parfaite probité on la
fouilla, et l'on trouva, d-fsoimulée s«U4
ses vëtemeOitH, une poche de grande
au fond de laquelle avaient
déjà été glissée.! pour franca de
peaux volées.
quatuor est au dépôt.
MIEUX
Q U'UN BAIN DE PIEDS
L'Ephydrol est un liquide à base d'essences aromatiques et
est préférable aux bains de pieds parce qu'il a la propriété de
fortifier la peau tandis que le bain l'attendrit et la rend plue
sensible encore.
PLUS VITE
QU'UN BAIN DE PIEDS
L'Epbydroi est plus pratique qu'un bain
de pieds parce qu'il suffit de laire un
simple badigeonnage des pieds soit le soir
avant de se coucher, soit le matin au lever.
MOINS
CHER
loar, ta feu tt avatsJ
wjt£lltn Dttutitott'tm'
QU'UN BAIN DE PIEDS
L'Ephydroi est moins cher que les bains de pieds parce que
le lIacon ne coûte que 12.60 et dure plusieurs semaines.
Si vous avez des pieds sensibles, fati-
gués, meurtris, enflammés. faites un sim-
ple badigeonnage d'Epbydrol, aussitôt
vous éprouverez une sensation de frai-
cheur, de bien-être et vous aurez des
pieds reposés. L'Ephydrol n'arrête pas
la transpiration il la neutralise et en sup-
prime l'odeur.
GARANTIE. Si dès la première application vous n'avez pas
été satisfait votre argent vous sera remboursé.
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Dan. Oa««o. 14 h, 30, l'ATire. Un caprice Jl h., la Pleur
Bot 77-71. Atttfllnt, îl h., Mademoiselle ma mère «rfibr MoHat),
Wag. 86-03. Art6. Il h., ]w InflO0fnt.es.
Op* 64-36. C.puci.M, 2L h., la Mvstêrleu» Lady (G1M Manès).
Gut. CMtelet, h. 30, 20 L. 30. Nlia-EMa.
Arc. Utjurt, 31 6.. Tro» Millions dis» un ttt.
Tri. 10-34. Biujt-JUwnm. la h., 21 n. 15, Qu« wraotins et Bort*
Pro. Cs-mnsœ, 21 h.. la Cœur ((le M. Henry Bercuteln).
Tri HiUMonT, h., l'iï&ure H.
Anj. S6^2. Hithe!, h,, Un coup de roug».
Bt, Michoatëre. relSthe.
Pro. 52-76. Nooremtël, 21 h.. Tt va tn)£lji«Ii (TrsHlM, J.AlilJM).
Tri' Plgallft, 21 h., Bichon,
Nqr 3T-53. ïorte-^nint-M»rtt., XI 30, Cymno Se Bwgerac
Bot. 88-80. nantira», 21 h.. Qui 7
Tri. il b., la Femme tm fleur.
Gai. S4-49. TkMSie de l'ïtollt, 21 h., Trois, atjt. norf.
Tri Tkéàtm de Parie, 15 h. 21 B.. le Chant des trup«nu««.
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pS1 44-3T, Alta.aT, 15 H., il Il.. Vtve la (Cécile Sore!).
Dan Bobine. 15. 31. I"; C»M«, Chant, sans nom. Frthe!, rej.
TM 26-22, C«ino do Parie, h. 30. Tout Parte chante (T Rossl).
Roq 13-3S Cirque 4'Hto., 14 h. 30. 20 h. 30. les Zacchmi Hui.nl
S™' 4O-00 K«p., 1S, ZI. Havol. S. Falnjnber, KlrkiMia. in)»» att.
«ar 13-S3 Florrlle. ViSllKWlii» parisiens. Jf. Gfanl«r-
Pro' Folles-Berjère, 21 h., En super-folle? (.TosSph. Baker).
Pro Mayol, 14 H. 46. 21 h.. Nu» d«ê, reylK.
Tru MeS»n., 14 45. SI. Frankl. d'Anore, W-, m. d.
I™ 11-80. Peecholr, 21 h.. Botardons. les chanjonnter..
Sb ntlf.« C.rporalll (64. rue du Rochrp, m., s., L,po.
Mon 76-09. Trianon, 15 h., 21 h.. Ninon Vallin. Nallo, A. Lajan.
CINEMAS
Filma en fronçai»
Tri. W-79. Agrlcnlt*»*1». 15, 21, lea Grands (Gaby Mortay, Van*I).
Dan. 13-12. Bonaparte, 15, h., lea Grands (Gaby Morlay. Vki*1),
Mon. 79-M. FanWo, Oa ne roula pua AnioLnette,
Gab, S0-74. CobelinB, p. 14 à 1ÏF, 4 S0. Quatre leaptonnaïe.
Rlc. 72-62. lmpêrilil-P., p 13 90 à I du m., Las Loup* entre aux.
Eiy. lLotitU-Fith., Moutoanet Sa prem. AngolMe.
Op6. Madeleine, permanent de 10 h. à 1 h. du matin, Jenny.
Ft-o. 40-04. Hax-UDttar, 21 b.f Un de m l£?iors,
Si It^1 SSlfi™!13Ibi:A*rf£.So 39 du nuit.. i« Da« a»».
Utû. 13-72. Bichon, la DémolLsaflur.
Film* en vcrifon «/rartfèr* f*ozu-£ifrej /ranfOÙ.) 1
Anj. Sr-OO. AmbftSBBdeiiïB, 1& P., 17 h. 30, 21 h., SwineTUn* (juij.
Ely Ji-70: BalTai, 45 à 20. SI lS. S.M. est de sortie (G. Moore).
Ely. 61-70 Cliké-CbampR-Blriéas, l'Extravagant IL Décos. (an.).
Opé. Clné-OpÉra, l'Homme qui fait des miracles (ftn.).
Oaé. Il 14 h-, 16 h. 21 h., Marte Tudor (anj.
SeÇT; lin! P. P. 14 25 à 24. l'Emper, de Çallfam « (al.>.
Bal. 47-1J. 5larts*Jr. Uortnir de teunps fllieH iS- Sunonj ian;>.
Ka 0A-^ HIwIaV p. 14 W i a- 21 15. My man Godfrey (an..
Op* ÎMjmpU, p. 14 h M, s. 21 h.. le Grand ffl«|fcM (an.).
WtO. Stuâlu de lfËtoHeT Goshpb de Vienne (al.>.
Mon. Sfl-Oî: StSdlfl 15 h., 17 h., 21 ÏWle douée Ieb.).
Did Actu*l (1WI. faut. la Sann« Avwturft.
Rie Ciné-Aut, actualités permanentes.
BIT. 77-40. CIiiÉ-Faria-Swlr c53. avenue dfca Champs-Elya4es)-
Obe. lï-30 Cin»VPsrla-Si>iF (5. avenUe de la Rëpubllttu«.
Gut. 39-36. cS5*7 Pe«* riris, b«il.-XonUn.>, Bor* Nelson.
PREMIÈRES REPRÉSENTATIONS
fl»aury. musique de M. Mpïscb Simona.
Le Théâtre de Paria chatte de genre.
Le voici qui. délaissant ]a cotnèdi?.
héberge ropêr«tte à grand spectacle, sans
doute pour longte-ttips. car le Chant dût
doivent ravir la foule.
Lm itbretti3î«, MM. Sauvat et Champ.-
fleury, qui font d'heureux débuts. ont
pensé, non saia ({,¡¡¡.on. qu'une suite dt
sketches ne &uf Usait pas à constituer une
truit, adroitenwnit d-évcloppé. noua entraîne
au milieu de l' A t! an tique, dans une lie
de rêve où vit !e taUw Burtôfl. avec ses
deux séduisantes ft'rïts, Rosé et Perven-
che. Burton traite brutalement les escla-
ves qui cultivent ses ptantations de canne
à sucre. *t ^a révolte gronderait si le chef
indigène, Tatero. épris de Rosé, n'ap»i-
sait le r^^crïtOTent de ses compatriotes.
Sur ces enti-efaites. un aventurier, Rami-
ttt, s introduit dans l'île, sous le Falia-
ceux prêlextc d'nch^ter au pldiitem sa
récolta de rhum. An vrai, i] a dessein de
lamenter la rébellion des et de
trésor caché. Mais le secrétaire de Rami-
r«, tombé amouf-eun de Pervenche, sur-
prctid la de son patron. Taïaoa et
lui sativtnt les deux jeunes filles qu'ils
rideau. Dans cette intrigue, qui accorde
large part au sentiment, deux comparses,
un porteur burlesque et un sorcier indien,
rivaux d'îjïfiueïiice, ^portent la note plai-
sante-
Le coœposibeur cubain Moïses SimonST
dont l'opérette Toi, c'est moi fit In beaux
atMra dei Bouffes, était fort quaUBé pour
écrire la musique de cette aventure exoti-
les avec fruit. Sans sa plume experte,
âeiurlssenit avec un égal bonheur les ryth-
mes de fièvre, comtne la daiue du feu qui
termine le 7, .sur un mode pathétique.
ou les airs enrobes de nostalgie, ainsi que
la compkïÉnte de l'esclave qu'exhale avec
tre Machin.
MKe Hélène Regelly, Perventhe. briWc
pu latsance de .son jeu et sa sûreté
vocaîe. Mile RûSe Mostovg, gracieuse,
bien chantante, incame Rosé. M. Roger
Bourdifl, qua a vraimeiût -peu à faire,
détolHti dé se belle voix de baryton l'air
de Taïano, Mon cœttr est un oiseau perdu.
M. Gifbtrt Moryn joue Burtoti en bon
coméd-ierv lyrique. M. JasiLelin. nouveau
venu, s'iriipû*e k>u.i les traite du machia'
MM, Morton et Henry îul'Jien tirent leur
épingle du jeu avec ia maitriae de fao-
taisistes «X'pérMBCtftés, qui en ont vu bien
d'autres. Si les mérites vxaux et scéci-
qites de M. Jean Sabton me demeurent
impêûétrabJcs, je reconnu que la salîe a
fait nm siiccèa à ses couplets du serréta.ire.
Les damseurs de couleur Offelia-Pimienta
bas endiablées. Une troupe nombreuse de
girls et de 6oys se dépense pour notre
plaisir, soim la baguette de M. Jean
AJfaro. Le goût et la richesse des décors
Henry Bénazet.
THEATRES
-0- OPERA {au tb«Aire Snrah-Eftmhardt).
Demain soir, MM. Nnré. Endrèze, Nar-
con Mowit, Gil'lBB Mmea Ha.my et Loiande
a^ant, am c*t*g de Mme Solange Trimas,
Le «pooUcle se tarmÉnena pas le Spectre de
ta ro a-rec JB. Serg* Lifar et Itlle
rwaraitra demain soir aur l'affiche avec le
ooncour» â* MM. Alexandre. Jesn Hwyé,
Chambrent Jean HartliHHJ. TîchourLti,
Tlobiivne. Mftrie Bell, Madeleine Barjae,
Sully et Marcelle Gabarne.
la première foLi
samedi soir. A cette «xaMon. Mlle Jacque-
H-ie CotiTtin, de t'Ocra, remplira le rôle
de Mignon elfe aura pour partenaires
̃û- ODEON. C'est ip Marchand de
Venise., de WiUEam 3h&is«^Mare, dans
(̃«183118.11011 de M. Lucl*n Tïiépoty, qui oooft-
eu
-q^ CttATELET, Auj. 5 14 h. 30 mût.
de l'opérette triomphai Nina-Rasa, avec
André B&Ugfé et Bach.
-o- PTE-ST-MAHTIN. Auj, à 14 20
Bargerac, le chef- d'oeuvre d'Edmond Ros-
tand, ac Charpln. (4 k lî fr.).
Mat. à. prix réduits jeudis et smnedliL
VARIETES. Aujourd'hui jeudi. ù
2 h. 45, matinée de la joyeuse opérette
Un de la Canebi&œ, svbc Alibert et »a.
IjISS MA1IM&ES 10K3 ̃ »EUX-MAS«CKS »
A\iJ, Jewdl, samed! et dimanche matirtéçB
avec 18. fameuse pièce d'aventures hamorta-
tiqua Qus îicrsûrttt* ne *or(e Lundi 12 octo-
bre, première matinée du lundU UorSna-
vant les matinées aurqïit Heu tous lea lun-
diâ, samedis et dimaiuâM», à 15
~Q^ TK. ANTOINE, Gaby Morlay
triomphe toua le. soirs dans Mile «la ni*re.
-o- FALAlS-H-OYALi. Aujourd
jeudi matinée .IL a h. de Ta tronche, Immense
sucera de gaieté,
-o- TH. ST-&EOHGËS. IL Fernand
de.. devait créer un principaux
Amlel, n'ayant pu remettre un contrat de
se volt dans l'obligation do renon-
cer à, cette création.
-0- ATSXjÏSIL La Ûirçolipn remet
au lundi 13 octobre, en soirée, la répétition
E&tïfraie du Camelot, de Roger Vitr&c.
-o- TH. ANTOINE. Gaby Morf&y
triomphe tous les soirs da^r» Mile m4 Mère,
-o- TH. J>EJA2ET,. û'aocard. »v»t le
Théâtre de la MiftHodl^Te. la répétition
générale âe la Présidante, vaudeville en
Pierre Veber, e»t reporté* irriYooablament
trô de Foikt-aiUT-Damea, À 2 h. 45, Mai
Ménager présentera Comte Obllgodo, op^
rette «l trdfi actes d'André Barde, musi-
que de Moretti, avec la concours d-Urbalt,
Ferchlrk, Gtnette Wtoter, liaureiiao. Cécila
Orchestre soua la direction de Jef de
M^'a LA CHANSON DE PARIS s.
Poui- «ter l'étfwtioïi de M. Jean Riewi à
la prf-sittonice d-e la ChaTioOJl de Parla, un
bn, & 15 h. 30. 43, rue la
de Mmes Xavter Prtvas et Jac-
Les adhésions sont reçues par M. Piflire
MUSIC HALLS
-o- FOLISS-EEROÈRËr M. Paul Iwr-
val tetlfflt le date du samedi 1<1 octobre
en matinée pour I* à B à la
spectacle M. 'M&iirlcs Hflrtnite. proauc-
tion Paul Derval.
A, B, C. Le nouveau programme
qui débutera demain aura pour prinetpaux
interprètes Lys Gauty. Chari^i et Bran-
André Martin, Chitton et Thomas « les
ftemadTi rentrée. Dana le même prû-
Zeranam, Willy Woltard, Balzar, Peoh et
le trio de daitae* Dareaco.
NAISSANCE
D'UH NOUVEAU CIRQUE
drque ouvrira très prochainement ses por-
bes boulevard Vau^irard, entr*
nue coïlstTJlt en matériaux muni
du chauffage h air chaud, pourra
scène permettent 1a présentât) on d'lin pro-
les numéros.
INAUGURATION
SAMEDI 11 OCTOBRE 1936
De* mâtiné aérant dotirté?! laa jeudis
samedis et dimanches à 15 heures.
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•emant est conflée à MM. AMAR Firtr«if
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lA. oftvaïerl* du Cirque Amar dont L-efltectff
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Métro BtUcke
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Cet *prè»-mïdi i 15 Leur**
ciens (M. Rsyn&ud), avec le eoncouri dc
M. Andrë Eftaquin, des Grands Conterta,
CEuvreo de WagtMT. Saint-Safena, Verdi,
Aut»rh Reynaud, L.anner. etc.
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lf st (mile Gabriel
LE NOUVEAU
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Un. formula nouvella
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Film» B. K. O.
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Su:i«n rtme, du reste, qui passe ©ncorfl
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