Titre : L'Employé : organe du Syndicat des employés du commerce et de l'industrie
Auteur : Syndicat des employés du commerce et des interprofessionnels (France). Auteur du texte
Auteur : Fédération française des syndicats chrétiens d'employés. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1917-08-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32766548x
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 202 Nombre total de vues : 202
Description : 01 août 1917 01 août 1917
Description : 1917/08/01 (A27,N260)-1917/10/31. 1917/08/01 (A27,N260)-1917/10/31.
Description : Note : GG14181. Note : GG14181.
Description : Collection numérique : Documents consacrés à la... Collection numérique : Documents consacrés à la Première Guerre mondiale
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k65579217
Source : CODHOS / Archives CFDT, 2013-304540
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 04/11/2013
27e ANNÉE
N6260
AOUT-OCTOBRE 1917
LF-AMPLOYE
ORGANE MENSUEL
DU SYNDICAT DES EMPLOYÉS DU COMMERCE ET DE L'INDUSTRIE
et de la Fédération Française des Syndicats d'Employés Catholiques
RÉDACTION et ADMINISTRATION : 5, RUE CADET, 5 - PARIS IXe.
TÉLÉPHONE : Central 73-04
Fête de Saint-Michel. — A l'occasion de
notre fête patronale, une Crand'messe so-
lennelle sera célébrée en la Basilique du
Sacré-Cœur, à Montmartre, le Dimanche
30 Septembre, à 9 h. 1/4.
M. l'Abbé PETITDEMANGE, curé de Notre-
Dame de Bonne-Nouvelle, ancien mission-
naire diocésain, prononcera une allocution.
Nous convions instamment nos cama-
rades et leurs familles à cette cérémonie
traditionnelle.
AVIS IMPORTANTS
Cours professionnels. — Nous prions
nos lecteurs de consulter, à la page 18 du
présent numéro, le programme des cours
professionnels pour l'année 1917-1918.
La session ouvrira le mardi 9 octobre.
Commission d'études. — La quatrième
série de conférences sur l'Avenir écono-
mique sera inaugurée, le Dimanche
21 Octobre, à 5 heures, par M. Henri
FROIDEVAUX, docteur ès-lettres, agrégé de
l'Université, professeur à l'Institut catho-
lique de Paris, qui nous parlera de l'Aus-
tralie économique.
IPrésidence de M. BIARD D'AUNET, Mi-
nistre plénipotentiaire.
Jeunesse Syndicale. — Nos jeunes et
sympathiques auditeurs passeront en re-
vue, cette année, les formes diverses de
notre Activité syndicale : programme à la
fois intéressant et pratique.
La première réunion aura lieu le Mer-
credi 24 octobre, à 8 h. 1/2 du soir.
Messe des Défunts. — Une messe à
l'intention de nos camarades et de nos
amis défunts, spécialement de ceux tom-
bés au Champ d'Honneur, sera dite en la
chapelle des catéchismes de Notre-Dame
de Lorette, 8 bis, rue Choron, le Dimanche
28 Octobre, à 9 heures.
Allocution de M. l'Abbé IMBERT, curé
de Notre-Dame de Lorette.
RELATIONS FRANCO-ITALIENNES
A la demande d'un certain nombre de
personnalités italiennes et françaises, dé-
sireuses d'accentuer, sur le terrain social
et économique, les relations fraternelles
qui existent entre les catholiques des
deux pays, un Comité vient de se fonder
à Paris, qui correspondra avec le Con-
sorzio nazionale di Emigrazione e La-
voro.
Ce- Comité a établi un Bureau de rela-
tions-syndicales, qui a son siège au 5, rue
Cadet.
APRÈS TROIS ANNÉES DE GUERRE
Au seuil d'une quatrième année de
guerre, nos camarades' nous permettront
quelques réflexions sérieuses auxquelles,
nous l'espérons, ils voudront bien appor-
ter la plus grande attention.
A maintes reprises, depuis ce tragique
mois d'août 1914, nous avons affirmé notre
foi patriotique, notre confiance dans les
destinées du Syndicat, et nous avons re-
mercié, Comme il convenait, la divine Pro-
vidence de la protection manifeste qu'elle
ne cessait de lui accorder. D'autre part,
nous avons été les témoins de la compé-
tence et du dévouement absolu avec les-
quels nos anciens présidents et quelques
conseillers ont soutenu le poids d'une ad-
ministration rendue plus difficile par les
événements eux-mêmes. v
Notre foi et notre confiance restent en-
tières ; mais, il faut bien le reconnaître, à
l'heure actuelle, chez nous comme partout
ailleurs, le temps destructeur, en 'cette
époque de calamités, a fait son œuvre et
nous devons examiner, sans plus tarder, la
situation qui nous est faite, et surtout en-
visager un avenir qui s'annonce chargé de
besoins généraux et particuliers que la ces-
sation des hostilités ne fera qu'accroître
par la reprise d'une vie sociale plus in-
tense et probablement plus agitée.
Ce qui nous a manqué au cours de cette
longue période de guerre, c'est naturelle-
ment l'activité de nos camarades mobilisés
et aussi le montant de leurs cotisations,
grâce auxquels nous avions pu atteindre
le magnifique développement constaté par
les personnalités les plus autorisées. Après
avoir restreint les dépenses courantes au-
tant qu'il était possible, nous privant
même par économie d'une publicité utile,
nous avons dû, pour combler l'insuffi-
sance de nos recettes, puiser dans nos ré-
serves.
Pour des raisons imposées par les cir-
constances : insuffisance du nombre des
membres présents, manque de moyens de
transport, réduction d'éclairage sur la
voie publique — nous avons été également
obligés de renoncer, à quelques exceptions
près, à des réunions régulières et locales,
dont l'enchaînement formait comme la
trame de notre vie syndicale.
Il en est résulté, d'une part, un appau-
vrissement de notre caisse et, dans le
même temps, une sorte de sommeil forcé
des commissions et des sections, sommeil
dont la prolongation pourrait nous être
préjudiciable, surtout en présence des né-
cessités nouvelles et de l'agitation de
certains groupes ayant la prétention de re-
présenter seuls les intérêts des travail-
leurs français.
Comment parer à ces deux difficultés
momentanées et nées d'un ensemble de
faits dépassant toutes prévisions hu-
maines? Nous sommes persuadés, d'ail-
leurs, qu'avec leur bonne Volonté habi-
tuelle, nos camarades les surmonteront ai-
sément.
En ce qui concerne la question finan-
cière, nous arriverions à un résultat satis-
faisant si nos lecteurs, se rappelant la co-
tisation de guerre supplémentaire et an-
nuelle de six francs proposée par le
Conseil l'an dernier, consentaient cette
fois à la prendre en considération. Quel-
ques-uns de nos amis ont déjà répondu gé-
néreusement, mais le plus grand nombre
d'entre eux ont perdu de vue, dans le tour-
billon des événements, ce concours mo-
deste, mais nécessaire. Qu'on veuille bien
le remarquer, du reste, même en temps de
paix, la cotisation statutaire de six francs
par an est minime, et on sait trop l'éléva-
tion du prix de toutes choses pour s'éton-
ner d'une majoration inévitable des dé-
penses. Qu'un millier de syndiqués accep-
tent cette charge, et cet appoint allègera
singulièrement notre budget.
La seconde solution demande un effort
plus généreux, un don de soi-même pré-
cieux, puisqu'il faut procurer à nos tra-
vaux une collaboration personnelle rendue
parfois difficile par le peu de temps dis-
ponible et des obligations de famille res-
pectables. Cependant, s? rencontrer une
fois par mois pour s'entretenir de ses pro-
pres intérêts généraux et particuliers, est-
ce vraiment un sacrifice? Nous connais-
sons les sentiments dévouée, éclairés, pa-
triotiques et chrétiens autant que profes-
sionnels de nos camarades et nous pou
vons ajouter les avoir souvent entendus
gémir de ce que leur cause n'était pas suf-
fisamment défendue près des Pouvoirs pu-
blics. Pourquoi, n'agiraient-ils pas eux-
mêmes en répandant autour d'eux leurs
idées de justice et de charité, et n'assure-
raient-ils pas à ces idées une représenta--
tion sincère, uniquement inspirée par la
morale évangélique ? 4
Qu'on nous pardonne cette remarque :
c'est toujours avec un profond étonnement
que nous relevons dans les discussions pu-
bliques le peu de place réservé aux idées
justes, modérées et seules vraiment pro-
ductives de résultats, et au contraire, tou-
jours des surenchères et des désillusions!
Que nos amis reprennent donc à tout prix
leurs réunions, le Conseil ne demande qu'à
les aider et à profiter de leurs travaux. Le
champ d'action est vaste : la propagande,
le recrutement, la coopération dont nous
n'avons pas entendu parler dans cet arti-
N6260
AOUT-OCTOBRE 1917
LF-AMPLOYE
ORGANE MENSUEL
DU SYNDICAT DES EMPLOYÉS DU COMMERCE ET DE L'INDUSTRIE
et de la Fédération Française des Syndicats d'Employés Catholiques
RÉDACTION et ADMINISTRATION : 5, RUE CADET, 5 - PARIS IXe.
TÉLÉPHONE : Central 73-04
Fête de Saint-Michel. — A l'occasion de
notre fête patronale, une Crand'messe so-
lennelle sera célébrée en la Basilique du
Sacré-Cœur, à Montmartre, le Dimanche
30 Septembre, à 9 h. 1/4.
M. l'Abbé PETITDEMANGE, curé de Notre-
Dame de Bonne-Nouvelle, ancien mission-
naire diocésain, prononcera une allocution.
Nous convions instamment nos cama-
rades et leurs familles à cette cérémonie
traditionnelle.
AVIS IMPORTANTS
Cours professionnels. — Nous prions
nos lecteurs de consulter, à la page 18 du
présent numéro, le programme des cours
professionnels pour l'année 1917-1918.
La session ouvrira le mardi 9 octobre.
Commission d'études. — La quatrième
série de conférences sur l'Avenir écono-
mique sera inaugurée, le Dimanche
21 Octobre, à 5 heures, par M. Henri
FROIDEVAUX, docteur ès-lettres, agrégé de
l'Université, professeur à l'Institut catho-
lique de Paris, qui nous parlera de l'Aus-
tralie économique.
IPrésidence de M. BIARD D'AUNET, Mi-
nistre plénipotentiaire.
Jeunesse Syndicale. — Nos jeunes et
sympathiques auditeurs passeront en re-
vue, cette année, les formes diverses de
notre Activité syndicale : programme à la
fois intéressant et pratique.
La première réunion aura lieu le Mer-
credi 24 octobre, à 8 h. 1/2 du soir.
Messe des Défunts. — Une messe à
l'intention de nos camarades et de nos
amis défunts, spécialement de ceux tom-
bés au Champ d'Honneur, sera dite en la
chapelle des catéchismes de Notre-Dame
de Lorette, 8 bis, rue Choron, le Dimanche
28 Octobre, à 9 heures.
Allocution de M. l'Abbé IMBERT, curé
de Notre-Dame de Lorette.
RELATIONS FRANCO-ITALIENNES
A la demande d'un certain nombre de
personnalités italiennes et françaises, dé-
sireuses d'accentuer, sur le terrain social
et économique, les relations fraternelles
qui existent entre les catholiques des
deux pays, un Comité vient de se fonder
à Paris, qui correspondra avec le Con-
sorzio nazionale di Emigrazione e La-
voro.
Ce- Comité a établi un Bureau de rela-
tions-syndicales, qui a son siège au 5, rue
Cadet.
APRÈS TROIS ANNÉES DE GUERRE
Au seuil d'une quatrième année de
guerre, nos camarades' nous permettront
quelques réflexions sérieuses auxquelles,
nous l'espérons, ils voudront bien appor-
ter la plus grande attention.
A maintes reprises, depuis ce tragique
mois d'août 1914, nous avons affirmé notre
foi patriotique, notre confiance dans les
destinées du Syndicat, et nous avons re-
mercié, Comme il convenait, la divine Pro-
vidence de la protection manifeste qu'elle
ne cessait de lui accorder. D'autre part,
nous avons été les témoins de la compé-
tence et du dévouement absolu avec les-
quels nos anciens présidents et quelques
conseillers ont soutenu le poids d'une ad-
ministration rendue plus difficile par les
événements eux-mêmes. v
Notre foi et notre confiance restent en-
tières ; mais, il faut bien le reconnaître, à
l'heure actuelle, chez nous comme partout
ailleurs, le temps destructeur, en 'cette
époque de calamités, a fait son œuvre et
nous devons examiner, sans plus tarder, la
situation qui nous est faite, et surtout en-
visager un avenir qui s'annonce chargé de
besoins généraux et particuliers que la ces-
sation des hostilités ne fera qu'accroître
par la reprise d'une vie sociale plus in-
tense et probablement plus agitée.
Ce qui nous a manqué au cours de cette
longue période de guerre, c'est naturelle-
ment l'activité de nos camarades mobilisés
et aussi le montant de leurs cotisations,
grâce auxquels nous avions pu atteindre
le magnifique développement constaté par
les personnalités les plus autorisées. Après
avoir restreint les dépenses courantes au-
tant qu'il était possible, nous privant
même par économie d'une publicité utile,
nous avons dû, pour combler l'insuffi-
sance de nos recettes, puiser dans nos ré-
serves.
Pour des raisons imposées par les cir-
constances : insuffisance du nombre des
membres présents, manque de moyens de
transport, réduction d'éclairage sur la
voie publique — nous avons été également
obligés de renoncer, à quelques exceptions
près, à des réunions régulières et locales,
dont l'enchaînement formait comme la
trame de notre vie syndicale.
Il en est résulté, d'une part, un appau-
vrissement de notre caisse et, dans le
même temps, une sorte de sommeil forcé
des commissions et des sections, sommeil
dont la prolongation pourrait nous être
préjudiciable, surtout en présence des né-
cessités nouvelles et de l'agitation de
certains groupes ayant la prétention de re-
présenter seuls les intérêts des travail-
leurs français.
Comment parer à ces deux difficultés
momentanées et nées d'un ensemble de
faits dépassant toutes prévisions hu-
maines? Nous sommes persuadés, d'ail-
leurs, qu'avec leur bonne Volonté habi-
tuelle, nos camarades les surmonteront ai-
sément.
En ce qui concerne la question finan-
cière, nous arriverions à un résultat satis-
faisant si nos lecteurs, se rappelant la co-
tisation de guerre supplémentaire et an-
nuelle de six francs proposée par le
Conseil l'an dernier, consentaient cette
fois à la prendre en considération. Quel-
ques-uns de nos amis ont déjà répondu gé-
néreusement, mais le plus grand nombre
d'entre eux ont perdu de vue, dans le tour-
billon des événements, ce concours mo-
deste, mais nécessaire. Qu'on veuille bien
le remarquer, du reste, même en temps de
paix, la cotisation statutaire de six francs
par an est minime, et on sait trop l'éléva-
tion du prix de toutes choses pour s'éton-
ner d'une majoration inévitable des dé-
penses. Qu'un millier de syndiqués accep-
tent cette charge, et cet appoint allègera
singulièrement notre budget.
La seconde solution demande un effort
plus généreux, un don de soi-même pré-
cieux, puisqu'il faut procurer à nos tra-
vaux une collaboration personnelle rendue
parfois difficile par le peu de temps dis-
ponible et des obligations de famille res-
pectables. Cependant, s? rencontrer une
fois par mois pour s'entretenir de ses pro-
pres intérêts généraux et particuliers, est-
ce vraiment un sacrifice? Nous connais-
sons les sentiments dévouée, éclairés, pa-
triotiques et chrétiens autant que profes-
sionnels de nos camarades et nous pou
vons ajouter les avoir souvent entendus
gémir de ce que leur cause n'était pas suf-
fisamment défendue près des Pouvoirs pu-
blics. Pourquoi, n'agiraient-ils pas eux-
mêmes en répandant autour d'eux leurs
idées de justice et de charité, et n'assure-
raient-ils pas à ces idées une représenta--
tion sincère, uniquement inspirée par la
morale évangélique ? 4
Qu'on nous pardonne cette remarque :
c'est toujours avec un profond étonnement
que nous relevons dans les discussions pu-
bliques le peu de place réservé aux idées
justes, modérées et seules vraiment pro-
ductives de résultats, et au contraire, tou-
jours des surenchères et des désillusions!
Que nos amis reprennent donc à tout prix
leurs réunions, le Conseil ne demande qu'à
les aider et à profiter de leurs travaux. Le
champ d'action est vaste : la propagande,
le recrutement, la coopération dont nous
n'avons pas entendu parler dans cet arti-
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Auteurs similaires La Mothe Le Vayer François de La Mothe Le Vayer François de /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "La Mothe Le Vayer François de" or dc.contributor adj "La Mothe Le Vayer François de")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/8
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k65579217/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k65579217/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k65579217/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k65579217/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k65579217
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k65579217
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k65579217/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest