Titre : Les Ailes : journal hebdomadaire de la locomotion aérienne / directeur, rédacteur en chef, Georges Houard
Éditeur : [s.n. ?] (Paris)
Date d'édition : 1929-09-12
Contributeur : Houard, Georges (1893-1964). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb326846379
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 12981 Nombre total de vues : 12981
Description : 12 septembre 1929 12 septembre 1929
Description : 1929/09/12 (A9,N430). 1929/09/12 (A9,N430).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6554660c
Source : Musée Air France, 2013-273367
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 14/10/2013
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LES AILÉS
15
* 81 nous écrivions
e nom sur la route ?
::ute Moderne goudronnée cons-
POUr un. magnifique tableau noir.
igartuol ne Pas l'utiliser. Le pilote
Wc pU "cu de chercher un re-
vre n0ljVen^ure> n'aurait qu'à sui-
t Æendant quelques minutes ce fil
ffain» Pour Couver l'indication
e remettra dans le bon chemin.
i l'I aVons reçu de M. Pierre Sautai,
rtssarit la Cour d'Appel d'Amiens, l'inté-
e communication que l'on va lire :
J ai iu avec mtérêt l'article de M. Raquet-
créln dans le numéro 427 des Ailes, sur
créat2de repères au sol pour guider le
Ste de l'air. Permettez-moi de vous rap-
Mer 0 6 ^'art^c^e de M. Houard mention-
M par M. Raquet-jacquin, une lettre que
Je s adressée aux Ailes le 25 août 1928,
l, prQnn peindre en blanc sur
tnQr ^°Sa*s al°rs de peindre en blanc sur
orta e tableau noir que constituent les
ruid gQUdronnées les inscriptions propres
ituI, der, les aviateurs, par exemple le numé-
i 11 ltel nationales.
il serait bon de compféter ces inscrip-
'o e Indiquant de la même manière, les
des deux villes importantes reliées par
toute n question avec la distance en ki-
farXemP^ej l'aviateur qui lirait sur la
^te j> I1Scr^Pti0n : « 15 Abbeville — N. 35
est auns 3° » saurait immédiatement qu'il
au eSSUS la route nationale n° 35;
tt AIai eVllIe est à 15 kilomètres à gauche
e^S à 3° kilomètres à droite de la li-
O
n r UI.
CZk Urra^ aussi bien indiquer la direc-
de la ville - par le sens même de l'ins-
tion d telle sorte que la vi l 'c ment i on-
"ie SQ-' toujours à la droite de l'observa-
Itltr Sol tQujours à la droite de l'observa-
ltr4
* verrait son nom se présenter norma-
it a ses yeux. Par exemple, dans le cas
Hcédp nous aurions: « Amiens 30 - Ab-
"> l'aviateur saurait qu'il laissa
"bevin sur Sa droite à 15 kms. Celui
vje ea, rait en sens inverse lirait « Celui
'¡lIe raIt en sens inverse lirait « Abbe-
S -- Amiens 30 » et saurait qu'il laisse
"fis à 30 kilomètres toujours à droite.
n •
cousi- pense que les chiffres Bianconi
SéZUent pas un progrès, au contraire,
ditérsernent parce qu'ils peuvent se lire in-
l'endroit ou à l'envers :
aviateur qui les apercevra un ins-
tant entre deux nuages pourra-t- il savoir
nuages pourra-t-il savoir
'Urait U Io4-83 ou 38-401 ? Je sais bien qu'il
la lect Un SIgne pour marquer l'origine de
» l^C' mais alors il faudra que le pi-
• <"e signe et, dans les 50 pour cent
des cas *nverse mentalement ce qu'il vient
de lire Inverse mentalement ce qu'il vient
Me Il semble donc qu'il serait préfé-
lIels tout bonnement de garder les chiffres
Petit s avec lesquels aucune confusion ne
Peut Se produire.
j'ajoute que, malgré sa complication, 1
J'1ioufelue, malgré sa complication, le
< proposé par le C. F. P. Aé. peut
pr«sente r des avantages, il n'est d'ailleurs
"-IlCOn 'l'
inc cinable avec celui que je vous sou-
t j e IDieux serait de faire un essai de
JS* eux sur le parcours d'une des lignes
*viatiQ marchande, et les pilotes diraient
Préfè rent.
Pierre SAUTAI.
est ingénieuse
6 de M. Pierre Santai est ingénieuse
tt, nu;ls , PllraÎt susceptible de donner d'heu-
SUltats- Il serait bon de l'essayer,
out qUe les dépenses nécessitées par
It Su penence sont fort réduites. Ce qui
l'id à notre sens, l'intérêt de
rre de Pierre Sautai, c'est que-le
hle' tracé sur une route, sera imman-
ti b, e Gnt trouvé,. alors que d'autres
|Enes Peut"être plus complets, mais
I()\¡rs iïiine's dans la campagne ou aux alen-
s agglomérations, nécessiteront une
dou' Observation du terrain pour les
koù,,
COUPS 'AILES.
L
ES PILOTES DES BOLIDES AN-
GLAIS sont des hommes jeunes et
c'est peut être là qu'il faut chercher
une explication de leur maîtrise. L'aîné est
d'Arcy Greig qui est âgé de 29 ans. Né en
1900 à New-Spynie, il entra dans le Royal
Air Force comme aspirant en février 1918
et après avoir passé son examen de pi.lote
il devint sous-lieutenant en juin. Arrivé au
front avec l'escadrille 83, d'Arcy Greig fut
attaqué et obligé d'atterrir à quelque 115 ki-
lomètres derrière les premières lignes. Foar
un début, ce n'était pas mal. Mais d'Arcy
Greig avait le cran supérieur. Avec son ob-
servateur, il attendit la nuit et, sous un gen.
til bombardement, il réussit à regagner nos
lignes. Après la guerre, d'Arcy Greig par-
tit pour l'Iraq, puis revint en Angleterre, à
l'école centrale de pilotage: L'année der-
nière, il fut désigné pour faire partie de
l'équipe des bolides.
o
w
AGHORN ET ATCHERLEY ont
sensiblement le même âge ; le pre-
mier est toutefois le benjamin de
l'équipe puisqu'il n'a eu ses 25 ans qu'aux
prunes tandis que son camarade les avait
eu aux premières cerises. Ce sont deux casse-
cou terribles qui ne connaissent qu'une seu-
le position à la manette.des gaz, et vcus,
savez bien laquelle. Ils viennent tous deux
de l'Ecole Centrale de Pilotage, où ils
étaient instructeurs et où ils se firent remar-
quer par leurs sérieuses qualités et par leur
calme imperturbable. Spécialiste de l'acroba-
tie, rien ne les étonne et si des ordres for-
mels ne leur avaient pas été- donnés, ils au-
raient fait des tonneaux à 600 kilomètres à
l'heure.
a
c
E QUI NOUS DESOLE, c'est de voir
le désintéressement du monde de l'a-
viation, chaque fois -- qu'une - grands
chose s'accomplit. On doit bien convenir que
cette Coupe Schneider est un événement peu
commun. Eh ! bien, comptez combien de tech-
niciens sont allers voir tourner les bolides à
Calshot. Deux ou trois, peut-être! En Fran-
ce, nous avons décidé de ne pas nous désin-
téresser de la vitesse pure. Il aurait été
bon que tous ceux qui doivent travailler
cette question se rendent compte, de visu
comment un avion vole à 600 kilomètres à
l'heure et surtout qu'ils aient dans l'œil
cette vitesse. Il est vrai que cela ne les em-
pêchera pas de traiter avec assurance les
problèmes qui leur seront posés puisqu'il est
écrit quelque part que ce sont leurs heures
légales de travail qu'il doivent à leur métier
et non leur vie tout entière.
0
u
NE QUESTION SE POSE. Quand
aura lieu la prochaine Coupe Schnei-
der ? Primitivement, la Coupe se
courait tous les ans. Devant la difficulté et
les frais que représente la création, cha-
que année, de modèles nouveaux, le para-
graphe 19, article 8 du Règlement « La Cou-
pe pourra être disputée tous les deux ans ».
fut mis en application d'un accord commun.
Mais ce n'est là qu'une tolérance et devant
son succès, l'Angleterre poui profiter de
son avance ne va-t-elle pas demander à ce
que l'on revienne à l'ancienne formule de
là- Coupe annuelle? Surtout que ce pays
possède deux victoires consécutives et que
si elle gagne encore une fois, la Coupe, lui
sera définitivement attribuée.
0
J
E CONNAIS QUELQU'UN qui ne va
pas être content : c'est M. Briand, et
j'entends d'ici le discours qu'il va te-
nir à M. Laurent Eynac.
- Dites-moi donc, mon cher ami, c'est
bien à La Baule qu'il doit y avoir un grand
meeting d'hydravions.
— Parfaitement, mon Président. Même que
nous allons montrer aux foules le merveil-
leux engin de paix et de concorde républi-
caine démocratique et sociale qu'est deve-
nu l'hydravion, sous votre ministère pacifi-
que et éclairé.
— Très bien. Mais alors, Streseman se
trompe. Entre un discours et une truite au
bleu, il m'a entrepris dans un petit coin et
il m'a déclaré que ce n'était pas gentil, que
nous fassions des démonstrations belliqueu-
ses, que nous allions, compromettre la Paix
de l'Europe. Vous pensez si j'ai bondi. Mcuâ,
faire une chose pareille ! Alors. il m'a sor-
ti un petit papier venant de votre Aéro-C!ub
de France en me déclarant que nous ferions
mieux d'évacuer la Rhénanie que de faire
des trucs dans ce genre-là. Vous connaissez
ce papier?
- ? ! ?
- Le \oilà. Il dit qu'au cours des opé-
rations de bombardement qui seront effec-
tuées à La Baule, l'aviation navale utilisera
des bombes chargées à 50 kilos de mélénite ;
que l'on fera sauter sous les yeux des spec-
tateurs, encore avec de la melénite, un as-
semblage de vieux bateaux surmontés d'une
tour pyramidale. Mon cher Ministre, ce qui
est pyramidal, c'est qu'une fête ,aussi pul-
vérulente et dynamitatoire, puisse avoir lieu
sous mon gouvernement pacifique et locar-
nien.
— N'ayez aucune crainte, mon Président,
je vais redresser la situation. Les bombes
de La Baule seront chargées avec des ra-
meaux d'olivier.
0
1
I Y EN A QUI VONT LEGEREMENT
FORT. L'autrt matin, dans un grand
quotidien de la capitale, nous avons pu
lire un petit papier qui relatait un accident
survenu à un équipage de Chartres et qui
se terminait ainsi :
L'appareil a été réduit en miettes, mais
ses occupants se tirèrent de cet accidents
avec des, ecchymoses légères et le sourire!
Vous voyez cela d'ici, l'équipage qui vient
de se répandre sur le terrain et qui se re-
lève avec des ecchymoses légères et le sou-
rire! Pourquoi pas aussi avec un trèPe à
quatre feuilles trouvé en se dégageant de
la carlingue. Ça, c'est de l'aviation fiaî-
che et joyeuse. mais cela ne correspond
pas à la réalité.
a
L
'AVIATION DE L'AMATEUR possède
un champion en la personne de M.
Leduc qui, en compagnie de M. Char-
les Hild, réalisa un fort joli monoplan à
ailes surbaissées. L'appareil avait été amené
sur le terrain de Bétheny pour faire ses pre-
miers essais lorsque Vanlaere survint. In-
téressé par ces préparatifs, notre bon pi-
lote s'approche et, après avoir palpé, srru-
té et interrogé, s'installe dans la carlingue.
S'y trouvant sans doute très bien, Vaniaere
demande alors à Leduc.
- Il me paraît parfait votre coucou. Si
vous le permettez, je vais l'essayer.
'L'hél,ice" aussitôt que sollicitée — pour
employer une formule à la mode — se met
à ronfler et Vanlaere va prendre son terrain.
Malheureusement^ î'là rupturû d'un sandow
empêcha l'essai d'être; poursuivi. Néanmoins,
nous félicitons biéri vivement Vanlaere d'a-
voir eu ainsi confiance et d'être venu aider
uh constructeur amateur.
7T
o
N SE SOUVIENT de ce triste acci-
dent du Pecq, qui fut à l'origine
d'une campagne acharnée d'une cer.
taine presse contre une compagnie d avia-
tion. Toutes les armes parurent'bonnes-. à utî-
lIser, même les insinuations les plus mal-
veillantes. C'est ainsi que l'on déclara -que
le pilote ne possédait' pas son brevet de' pi-
lote d'hydravion. La vérité est tout autre
et la victime de l'accident du Pecq était bien
effectivement titulaire des brevéts de pi-
lote d'hydravion de l'aéronautique maritime
et de transport public.
SUR LES TERRAINS
D'aerodrome en aéroiirome
A Viltacoublay. -
Les vols de performance et de mise axi
point ont été assez nombreux à Villacou-
blav.
Du côté réception, il faut noter la maestria
avec laquelle Deckert a satisfait sur l'avion
léger Bourgois-Sénémaud à moteur Salmson
40 CV, aux épreuves du certificat de navi.
gabilité. Delmotte a, lui aussi, rapidement
terminé les essais du Caudron C 110 desti-
né au colonel Vuillemin. Chez Nieuport-De-
lage, Lasnes et Brévier, sur N. 62 et 72 His.
pano; et chez Hanriot, Haegelen et Berthelin
ont également effectué quelques réceptions
d'avions de série. i
Parmi les prototypes, on a enregistré de
nouveaux vols du Wibault à ailes surbais-
sées et de l'avion Brunet-Les Mureaux. Le
pilote Négrin va présenter deux Latécoère
postaux, type 26 à moteur Renault de 450 ev.,
venus par la voie des airs de Toulouse. Le
monoplan Weymann-Lepère poursuit ses
essais de mise au point. Bucouet effectue sur
le « T'Jut-Acier » Bréguet des vols avec des
propulseurs différents.
Chez Potez, Maurice Weiss a achevé la
présentation de l'avion commercial, type 29
et va commencer celle d'ùne limousine sa-
nitaire dérivant du type 32.
A Suresnes.
Sur la Seine, un face des ateliers Blé.
riot. Lucien Bossoutrot a essayé le quadri-
moteur B. 195 dont la mise au point fut
assurée, à Bue, en terrestre.
A Toussus-le-Noble.
Le beau temps de cette semaine a favorLê
les vols. Par contre, à l'école du Pilotage
sans visibilité, l'absence de variations at-
mosphériques, nuages, brouillard, etc., qui
sont précieusement utilisés pour les vols
d'instruction, astreint les stagiaires à s'en-
fermer sous la coupole.
Ces cours sont très suivis en ce moment
pilotes de la guerre, pilotes du Service
Technique, pilotes de transport public et pi-
lotes amateurs sont à l'entraînement. Onze
stagiaire ont été brevetés cette semaine ; les
capitaines Rochette et Fourcade, les lieute..
nant Métayer, Malardel et Quintard, les ad-
judants Botton, Rossi, Godmer, Lanot, le
sergent Zaparozetz et M. Puevo, pilote de
la C. I. D. N. A. Sept nouveaux boursiers
de la Guerre et de la Marine ainsi que MM.
Bassanesi, pilote italien, Tellet, Larente, de
la C. I, D. N. A., M. Levy, pilote amateur,
commencent leur instruction par cette mé-
thode. L'utilité reconnue de cette rééduca-
tion suscite des visites journalières, parmi
lesquelles cette semaine doit être notée celle
de M. Tablem, directeur d'exploitation da la
compagnie allemande Luft Hansa, qui après
avoir expérimenté lui-même la mçthode, as-
sista à bord d'un Goliath, en compagnie de
M. Wronsky à une démonstration complète
du « vol aveugle », exécuté par Coupet et
Burtin. Sa satisfaction fut entière et il ap-
précia vivement la parfaite - mise au point
des éléments d'instruction employés pour cet
entraînement.
Dans les écoles civiles et militaires, l'ins-
truction bat son plein. Les éfèves boursiers
ont brillamment passé l'examen technique
imposé et vont pouvoir entreprendre leurs
épreuves de brevet.
Entre les essais à la Technique et la mise
au point de plusieurs avions de différents
types, les pilotes ont réceptionné des Go-
liath militaires, ainsi que 2 F -190 de trans-
port, un F-170 et un F-200 de tourisme. D'au-
tres avions sont prêts à u sortir 1) du mon*
tage..
A Bordeaux Mcrignac.
Activité moyenne à Bordeaux pendant lat
semaine du 2 au S septembre. Au centre mi-
litaire, entraînement régulier de la 13e es-
cadrille du 36e groupe. Au centre des spé-
cialistes, le mercredi 4, le lieutenant Goëgel
a emmené à Pau le général Mittelhauser;
il en est revenu le lendemain. Toujours le
4, passage du capitaine Brochon du 11e de
Metz, sur Bréguet 19. Un aatre appareil du
même type et du même régiment est passé
le vendredi 6. Un Gourdou de Châteauroùx
s'est posé le jeudi 5. Au total,-les militaires
'¡,i Nouvelle ceinture ,
wif âge ¡, Itt- tfégrafage 1. rapides
-
Parachutes Jean ORS
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LES AILÉS
15
* 81 nous écrivions
e nom sur la route ?
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POUr un. magnifique tableau noir.
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Wc pU "cu de chercher un re-
vre n0ljVen^ure> n'aurait qu'à sui-
t Æendant quelques minutes ce fil
ffain» Pour Couver l'indication
e remettra dans le bon chemin.
i l'I aVons reçu de M. Pierre Sautai,
rtssarit la Cour d'Appel d'Amiens, l'inté-
e communication que l'on va lire :
J ai iu avec mtérêt l'article de M. Raquet-
créln dans le numéro 427 des Ailes, sur
créat2de repères au sol pour guider le
Ste de l'air. Permettez-moi de vous rap-
Mer 0 6 ^'art^c^e de M. Houard mention-
M par M. Raquet-jacquin, une lettre que
Je s adressée aux Ailes le 25 août 1928,
l, prQnn peindre en blanc sur
tnQr ^°Sa*s al°rs de peindre en blanc sur
orta e tableau noir que constituent les
ruid gQUdronnées les inscriptions propres
ituI, der, les aviateurs, par exemple le numé-
i 11 ltel nationales.
il serait bon de compféter ces inscrip-
'o e Indiquant de la même manière, les
des deux villes importantes reliées par
toute n question avec la distance en ki-
farXemP^ej l'aviateur qui lirait sur la
^te j> I1Scr^Pti0n : « 15 Abbeville — N. 35
est auns 3° » saurait immédiatement qu'il
au eSSUS la route nationale n° 35;
tt AIai eVllIe est à 15 kilomètres à gauche
e^S à 3° kilomètres à droite de la li-
O
n r UI.
CZk Urra^ aussi bien indiquer la direc-
de la ville - par le sens même de l'ins-
tion d telle sorte que la vi l 'c ment i on-
"ie SQ-' toujours à la droite de l'observa-
Itltr Sol tQujours à la droite de l'observa-
ltr4
* verrait son nom se présenter norma-
it a ses yeux. Par exemple, dans le cas
Hcédp nous aurions: « Amiens 30 - Ab-
"> l'aviateur saurait qu'il laissa
"bevin sur Sa droite à 15 kms. Celui
vje ea, rait en sens inverse lirait « Celui
'¡lIe raIt en sens inverse lirait « Abbe-
S -- Amiens 30 » et saurait qu'il laisse
"fis à 30 kilomètres toujours à droite.
n •
cousi- pense que les chiffres Bianconi
SéZUent pas un progrès, au contraire,
ditérsernent parce qu'ils peuvent se lire in-
l'endroit ou à l'envers :
aviateur qui les apercevra un ins-
tant entre deux nuages pourra-t- il savoir
nuages pourra-t-il savoir
'Urait U Io4-83 ou 38-401 ? Je sais bien qu'il
la lect Un SIgne pour marquer l'origine de
» l^C' mais alors il faudra que le pi-
• <"e signe et, dans les 50 pour cent
des cas *nverse mentalement ce qu'il vient
de lire Inverse mentalement ce qu'il vient
Me Il semble donc qu'il serait préfé-
lIels tout bonnement de garder les chiffres
Petit s avec lesquels aucune confusion ne
Peut Se produire.
j'ajoute que, malgré sa complication, 1
J'1ioufelue, malgré sa complication, le
< proposé par le C. F. P. Aé. peut
pr«sente r des avantages, il n'est d'ailleurs
"-IlCOn 'l'
inc cinable avec celui que je vous sou-
t j e IDieux serait de faire un essai de
JS* eux sur le parcours d'une des lignes
*viatiQ marchande, et les pilotes diraient
Préfè rent.
Pierre SAUTAI.
est ingénieuse
6 de M. Pierre Santai est ingénieuse
tt, nu;ls , PllraÎt susceptible de donner d'heu-
SUltats- Il serait bon de l'essayer,
out qUe les dépenses nécessitées par
It Su penence sont fort réduites. Ce qui
l'id à notre sens, l'intérêt de
rre de Pierre Sautai, c'est que-le
hle' tracé sur une route, sera imman-
ti b, e Gnt trouvé,. alors que d'autres
|Enes Peut"être plus complets, mais
I()\¡rs iïiine's dans la campagne ou aux alen-
s agglomérations, nécessiteront une
dou' Observation du terrain pour les
koù,,
COUPS 'AILES.
L
ES PILOTES DES BOLIDES AN-
GLAIS sont des hommes jeunes et
c'est peut être là qu'il faut chercher
une explication de leur maîtrise. L'aîné est
d'Arcy Greig qui est âgé de 29 ans. Né en
1900 à New-Spynie, il entra dans le Royal
Air Force comme aspirant en février 1918
et après avoir passé son examen de pi.lote
il devint sous-lieutenant en juin. Arrivé au
front avec l'escadrille 83, d'Arcy Greig fut
attaqué et obligé d'atterrir à quelque 115 ki-
lomètres derrière les premières lignes. Foar
un début, ce n'était pas mal. Mais d'Arcy
Greig avait le cran supérieur. Avec son ob-
servateur, il attendit la nuit et, sous un gen.
til bombardement, il réussit à regagner nos
lignes. Après la guerre, d'Arcy Greig par-
tit pour l'Iraq, puis revint en Angleterre, à
l'école centrale de pilotage: L'année der-
nière, il fut désigné pour faire partie de
l'équipe des bolides.
o
w
AGHORN ET ATCHERLEY ont
sensiblement le même âge ; le pre-
mier est toutefois le benjamin de
l'équipe puisqu'il n'a eu ses 25 ans qu'aux
prunes tandis que son camarade les avait
eu aux premières cerises. Ce sont deux casse-
cou terribles qui ne connaissent qu'une seu-
le position à la manette.des gaz, et vcus,
savez bien laquelle. Ils viennent tous deux
de l'Ecole Centrale de Pilotage, où ils
étaient instructeurs et où ils se firent remar-
quer par leurs sérieuses qualités et par leur
calme imperturbable. Spécialiste de l'acroba-
tie, rien ne les étonne et si des ordres for-
mels ne leur avaient pas été- donnés, ils au-
raient fait des tonneaux à 600 kilomètres à
l'heure.
a
c
E QUI NOUS DESOLE, c'est de voir
le désintéressement du monde de l'a-
viation, chaque fois -- qu'une - grands
chose s'accomplit. On doit bien convenir que
cette Coupe Schneider est un événement peu
commun. Eh ! bien, comptez combien de tech-
niciens sont allers voir tourner les bolides à
Calshot. Deux ou trois, peut-être! En Fran-
ce, nous avons décidé de ne pas nous désin-
téresser de la vitesse pure. Il aurait été
bon que tous ceux qui doivent travailler
cette question se rendent compte, de visu
comment un avion vole à 600 kilomètres à
l'heure et surtout qu'ils aient dans l'œil
cette vitesse. Il est vrai que cela ne les em-
pêchera pas de traiter avec assurance les
problèmes qui leur seront posés puisqu'il est
écrit quelque part que ce sont leurs heures
légales de travail qu'il doivent à leur métier
et non leur vie tout entière.
0
u
NE QUESTION SE POSE. Quand
aura lieu la prochaine Coupe Schnei-
der ? Primitivement, la Coupe se
courait tous les ans. Devant la difficulté et
les frais que représente la création, cha-
que année, de modèles nouveaux, le para-
graphe 19, article 8 du Règlement « La Cou-
pe pourra être disputée tous les deux ans ».
fut mis en application d'un accord commun.
Mais ce n'est là qu'une tolérance et devant
son succès, l'Angleterre poui profiter de
son avance ne va-t-elle pas demander à ce
que l'on revienne à l'ancienne formule de
là- Coupe annuelle? Surtout que ce pays
possède deux victoires consécutives et que
si elle gagne encore une fois, la Coupe, lui
sera définitivement attribuée.
0
J
E CONNAIS QUELQU'UN qui ne va
pas être content : c'est M. Briand, et
j'entends d'ici le discours qu'il va te-
nir à M. Laurent Eynac.
- Dites-moi donc, mon cher ami, c'est
bien à La Baule qu'il doit y avoir un grand
meeting d'hydravions.
— Parfaitement, mon Président. Même que
nous allons montrer aux foules le merveil-
leux engin de paix et de concorde républi-
caine démocratique et sociale qu'est deve-
nu l'hydravion, sous votre ministère pacifi-
que et éclairé.
— Très bien. Mais alors, Streseman se
trompe. Entre un discours et une truite au
bleu, il m'a entrepris dans un petit coin et
il m'a déclaré que ce n'était pas gentil, que
nous fassions des démonstrations belliqueu-
ses, que nous allions, compromettre la Paix
de l'Europe. Vous pensez si j'ai bondi. Mcuâ,
faire une chose pareille ! Alors. il m'a sor-
ti un petit papier venant de votre Aéro-C!ub
de France en me déclarant que nous ferions
mieux d'évacuer la Rhénanie que de faire
des trucs dans ce genre-là. Vous connaissez
ce papier?
- ? ! ?
- Le \oilà. Il dit qu'au cours des opé-
rations de bombardement qui seront effec-
tuées à La Baule, l'aviation navale utilisera
des bombes chargées à 50 kilos de mélénite ;
que l'on fera sauter sous les yeux des spec-
tateurs, encore avec de la melénite, un as-
semblage de vieux bateaux surmontés d'une
tour pyramidale. Mon cher Ministre, ce qui
est pyramidal, c'est qu'une fête ,aussi pul-
vérulente et dynamitatoire, puisse avoir lieu
sous mon gouvernement pacifique et locar-
nien.
— N'ayez aucune crainte, mon Président,
je vais redresser la situation. Les bombes
de La Baule seront chargées avec des ra-
meaux d'olivier.
0
1
I Y EN A QUI VONT LEGEREMENT
FORT. L'autrt matin, dans un grand
quotidien de la capitale, nous avons pu
lire un petit papier qui relatait un accident
survenu à un équipage de Chartres et qui
se terminait ainsi :
L'appareil a été réduit en miettes, mais
ses occupants se tirèrent de cet accidents
avec des, ecchymoses légères et le sourire!
Vous voyez cela d'ici, l'équipage qui vient
de se répandre sur le terrain et qui se re-
lève avec des ecchymoses légères et le sou-
rire! Pourquoi pas aussi avec un trèPe à
quatre feuilles trouvé en se dégageant de
la carlingue. Ça, c'est de l'aviation fiaî-
che et joyeuse. mais cela ne correspond
pas à la réalité.
a
L
'AVIATION DE L'AMATEUR possède
un champion en la personne de M.
Leduc qui, en compagnie de M. Char-
les Hild, réalisa un fort joli monoplan à
ailes surbaissées. L'appareil avait été amené
sur le terrain de Bétheny pour faire ses pre-
miers essais lorsque Vanlaere survint. In-
téressé par ces préparatifs, notre bon pi-
lote s'approche et, après avoir palpé, srru-
té et interrogé, s'installe dans la carlingue.
S'y trouvant sans doute très bien, Vaniaere
demande alors à Leduc.
- Il me paraît parfait votre coucou. Si
vous le permettez, je vais l'essayer.
'L'hél,ice" aussitôt que sollicitée — pour
employer une formule à la mode — se met
à ronfler et Vanlaere va prendre son terrain.
Malheureusement^ î'là rupturû d'un sandow
empêcha l'essai d'être; poursuivi. Néanmoins,
nous félicitons biéri vivement Vanlaere d'a-
voir eu ainsi confiance et d'être venu aider
uh constructeur amateur.
7T
o
N SE SOUVIENT de ce triste acci-
dent du Pecq, qui fut à l'origine
d'une campagne acharnée d'une cer.
taine presse contre une compagnie d avia-
tion. Toutes les armes parurent'bonnes-. à utî-
lIser, même les insinuations les plus mal-
veillantes. C'est ainsi que l'on déclara -que
le pilote ne possédait' pas son brevet de' pi-
lote d'hydravion. La vérité est tout autre
et la victime de l'accident du Pecq était bien
effectivement titulaire des brevéts de pi-
lote d'hydravion de l'aéronautique maritime
et de transport public.
SUR LES TERRAINS
D'aerodrome en aéroiirome
A Viltacoublay. -
Les vols de performance et de mise axi
point ont été assez nombreux à Villacou-
blav.
Du côté réception, il faut noter la maestria
avec laquelle Deckert a satisfait sur l'avion
léger Bourgois-Sénémaud à moteur Salmson
40 CV, aux épreuves du certificat de navi.
gabilité. Delmotte a, lui aussi, rapidement
terminé les essais du Caudron C 110 desti-
né au colonel Vuillemin. Chez Nieuport-De-
lage, Lasnes et Brévier, sur N. 62 et 72 His.
pano; et chez Hanriot, Haegelen et Berthelin
ont également effectué quelques réceptions
d'avions de série. i
Parmi les prototypes, on a enregistré de
nouveaux vols du Wibault à ailes surbais-
sées et de l'avion Brunet-Les Mureaux. Le
pilote Négrin va présenter deux Latécoère
postaux, type 26 à moteur Renault de 450 ev.,
venus par la voie des airs de Toulouse. Le
monoplan Weymann-Lepère poursuit ses
essais de mise au point. Bucouet effectue sur
le « T'Jut-Acier » Bréguet des vols avec des
propulseurs différents.
Chez Potez, Maurice Weiss a achevé la
présentation de l'avion commercial, type 29
et va commencer celle d'ùne limousine sa-
nitaire dérivant du type 32.
A Suresnes.
Sur la Seine, un face des ateliers Blé.
riot. Lucien Bossoutrot a essayé le quadri-
moteur B. 195 dont la mise au point fut
assurée, à Bue, en terrestre.
A Toussus-le-Noble.
Le beau temps de cette semaine a favorLê
les vols. Par contre, à l'école du Pilotage
sans visibilité, l'absence de variations at-
mosphériques, nuages, brouillard, etc., qui
sont précieusement utilisés pour les vols
d'instruction, astreint les stagiaires à s'en-
fermer sous la coupole.
Ces cours sont très suivis en ce moment
pilotes de la guerre, pilotes du Service
Technique, pilotes de transport public et pi-
lotes amateurs sont à l'entraînement. Onze
stagiaire ont été brevetés cette semaine ; les
capitaines Rochette et Fourcade, les lieute..
nant Métayer, Malardel et Quintard, les ad-
judants Botton, Rossi, Godmer, Lanot, le
sergent Zaparozetz et M. Puevo, pilote de
la C. I. D. N. A. Sept nouveaux boursiers
de la Guerre et de la Marine ainsi que MM.
Bassanesi, pilote italien, Tellet, Larente, de
la C. I, D. N. A., M. Levy, pilote amateur,
commencent leur instruction par cette mé-
thode. L'utilité reconnue de cette rééduca-
tion suscite des visites journalières, parmi
lesquelles cette semaine doit être notée celle
de M. Tablem, directeur d'exploitation da la
compagnie allemande Luft Hansa, qui après
avoir expérimenté lui-même la mçthode, as-
sista à bord d'un Goliath, en compagnie de
M. Wronsky à une démonstration complète
du « vol aveugle », exécuté par Coupet et
Burtin. Sa satisfaction fut entière et il ap-
précia vivement la parfaite - mise au point
des éléments d'instruction employés pour cet
entraînement.
Dans les écoles civiles et militaires, l'ins-
truction bat son plein. Les éfèves boursiers
ont brillamment passé l'examen technique
imposé et vont pouvoir entreprendre leurs
épreuves de brevet.
Entre les essais à la Technique et la mise
au point de plusieurs avions de différents
types, les pilotes ont réceptionné des Go-
liath militaires, ainsi que 2 F -190 de trans-
port, un F-170 et un F-200 de tourisme. D'au-
tres avions sont prêts à u sortir 1) du mon*
tage..
A Bordeaux Mcrignac.
Activité moyenne à Bordeaux pendant lat
semaine du 2 au S septembre. Au centre mi-
litaire, entraînement régulier de la 13e es-
cadrille du 36e groupe. Au centre des spé-
cialistes, le mercredi 4, le lieutenant Goëgel
a emmené à Pau le général Mittelhauser;
il en est revenu le lendemain. Toujours le
4, passage du capitaine Brochon du 11e de
Metz, sur Bréguet 19. Un aatre appareil du
même type et du même régiment est passé
le vendredi 6. Un Gourdou de Châteauroùx
s'est posé le jeudi 5. Au total,-les militaires
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