Titre : Portefeuille des conducteurs des ponts et chaussées et des garde-mines
Auteur : Syndicat des ingénieurs des travaux publics de l'Etat et des collectivités territoriales (France). Auteur du texte
Éditeur : Eugène Lacroix (Paris)
Date d'édition : 1880
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328414099
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 2162 Nombre total de vues : 2162
Description : 1880 1880
Description : 1880 (N9,SER17)-1882 (N10,SER17). 1880 (N9,SER17)-1882 (N10,SER17).
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64923914
Source : Ecole nationale des ponts et chaussées, 2012-357211
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 23/09/2013
PORTEFEUILLE DES CONDUCTEURS DES PONTS ET CHAUSSÉES ET DES GARDES-MINES. 25
DIX-SEPTIÈME SÉRIE. - NUMÉROS 9 ET 10.
NOTES ET DOCUMENTS
ÉTUDE SUR LES TRAVAUX DE CANALISATION DE LA HAUTE SAONE
ET DES RIVIÈRES EN GÉNÉRAL.
(Suite et fin.)
Détails d'exécution. - Les deux écluses de garde de Cubry, celle de Soing
et l'écluse à sas de Soing ont été fondées à sec; l'exécution des terrasse-
ments a été faite de la même manière. Nous ne parlerons ici que de l'exé-
cution des terrassements et de l'écluse à sas de Soing, les procédés em-
ployés à la coupure de Cubry pour l'exécution des terrassements et des
maconneries étant identiques à ceux de Soing.
Les épuisements ont été faits à Soing, au moyen d'une pompe Neut et
Dumont, n° 9, actionnée par une machine locomobile de la force de 12 che-
vaux. Ce matériel, qui appartient à l'administration, a constamment
fait un bon service. Il a d'ailleurs suffi à épuiser et maintenir à sec la déri-
vation sur toute sa longueur d'un peu plus de 2 kilomètres, ce qui n'est
pas ordinaire, attendu qu'à Cubry, par exemple, nous avons dû employer
jusqu'à trois pompes à vapeur pour une longueur de 800 mètres seulement;
sur d'autres dérivations, notamment celles de Chantes (800 mètres) et de
Ferrière (3 kilomètres), trois pompes ont été également nécessaires.
La pompe à vapeur a de suite été installée à l'aval de l'écluse à sas,
(voir pl. n° 13), où l'on a créé un puisard entouré de pieux et palplanches
de trois côtés.
L'entretien des puisards est un point important : il est nécessaire de leur
donner le plus de profondeur possible, et il faut qu'un ouvrier soit con-
stamment occupé à les entretenir.
On comprend que l'enceinte de pieux et palplanches ne doit pas être
trop jointive, afin que l'eau puisse arriver en assez grande quantité au
puisard; par suite, pour éviter un ensablement trop rapide, il est bon de
disposer derrière l'enceinte une certaine quantité d'enrochements et de
branchages. Cette même précaution est encore à plus forte raison néces-
saire dans la partie ouverte ; car, sans cela, le courant rapide qui s'établit
lorsque les eaux baissent dans le puisard, entraînerait une grande quantité
de sables, qui le combleraient en peu de temps, ou rendraient son entretien
plus difficile ; c'est ainsi que nous avons fait à Soing et à Cubry, et nous
nous en sommes bien trouvé. A la partie ouverte du puisard, se placent
les hommes chargés de son entretien ou de son approfondissement, au
moyen de dragues à main.
Puisque nous en sommes sur la question des épuisements, nous dirons
quelques mots sur l'outillage des pompes et machines à vapeur :
Les deux principales maisons qui fabriquent les pompes centrifuges à
vapeur sont assurément les établissements Dumont et Pilter; mais si l'en-
semble de la construction des pompes de ces deux provenances est sen-
siblement le même, il n'en est pas ainsi de certains détails importants.
La maison Pilter, par exemple, a complètement abandonné le clapet de
pied et opère l'amorçage par l'éjecteur; ce procédé nous semble absolu-
ment mauvais, surtout au début des épuisements, et alors que le puisard
n'a pas la profondeur nécessaire. On sait, en effet, que, pour établir ce
puisard, on commence par creuser un simple trou d'environ 1 mètre de
profondeur sur 1 mètre de section, qu'on l'approfondit et qu'on l'élargit
à la drague, ou en mettant quelques hommes à l'eau ; or, pendant ces
premiers temps, la pompe a rapidement épuisé les eaux du puisard et la
machine est ainsi obligée de s'arrêter fort souvent; en outre, comme elle
est forcée, à chaque nouvelle reprise, d'amorcer à l'éjecteur, ce qui de-
mande un certain temps, il arrive presque toujours que les fouilles sont
plus ou moins noyées, ce qui cause nécessairement une grande gêne aux
travailleurs.
Le clapet de pied qu'emploie la maison Dumont, concurremment avec
l'éjecteur, nous semble bien préférable; en effet, on n'est pas obligé de
recommencer l'amorçage après chaque arrêt, et si, au moment de la re-
mise en marche, on s'aperçoit que le clapet est obstrué, que par consé-
quent la pompe est désamorcée, on a recours à l'éjecteur, mais seulement
dans ce dernier cas, et nous avons remarqué qu'il se présente rarement.
Nous devons dire cependant que l'usage unique du clapet de pied est
encore plus mauvais que l'emploi de l'éjecteur seul; car il faut quelque-
fois fort longtemps pour réamorcer une pompe dont le clapet du pied est
obstrué par quelque gravier. En résumé, nous avons fait une expérience
suffisante des systèmes que nous venons de définir pour pouvoir affirmer
qu'on ne peut obtenir de bons résultats d'une pompe centrifuge que par
la combinaison du clapet de pied uni à l'éjecteur.
Le charbon employé à Soing, pour la machine à vapeur, provenait des
houillères de la Sarre et revenait à environ 32 francs la tonne rendue sur
le chantier. La quantité de combustible nécessaire au bon fonctionnement
d'un matériel d'épuisement à la vapeur est fort variable, et l'on ne sau-
rait donner à ce sujet d'indication précise, les causes qui influent sur cette
dépense étant elles-mêmes fort nombreuses. Il convient, toutefois, de
faire observer que le choix d'une locomobile n'est pas sans importance ;
il faut, dans tous les cas, s'adresser de préférence aux industriels les plus
recommandables. Nous devons dire, à ce sujet, que les machines de
MM. Chaligny et Guyot-Sionnest, constructeurs à Paris, nous ont paru de
tous points excellentes, et nous pouvons même ajouter que, de toutes les
machines que nous avons employées, ce sont celles que nous venons de
citer qui ont dépensé le moins de combustible.
Nous allons maintenant reprendre l'explication de la planche n° 13. Les
fondations de l'écluse à sas ont été faites en béton, mais il a fallu, préalab-
lement au coulage de ce béton, faire une enceinte de murettes de deux
mètres de hauteur en maçonnerie de moellons ordinaires avec chaux du
Teil. Nous avons donné la coupe de ces murettes de même que le croquis
de l'estacade de la bétonnière; on remarquera qu'elles ont à l'intérieur
un parement très irrégulier; c'est à dessein qu'on les a établies ainsi, afin
que le béton, en pénétrant dans tous les recoins, formât avec la maçonne-
rie préalablement et au fur et à mesure de l'avancement, fouettée de
mortier, une masse bien liée et homogène.
La fondation a été coulée à la fois sur les 2 mètres de hauteur, et légè-
rement tassée ; c'est, croyons-nous, une bonne méthode; nous avons en-
tendu, il y a une dizaine d'années, M. l'inspecteur général Gendarme de
Bévotte recommander de ne pas battre le béton avec de fortes dames,
comme cela est encore d'usage dans certains services. Beaucoup de nos
camarades ont dû remarquer, en effet, qu'à la suite du battage une grande
quantité de mortier remonte à la surface sous forme de laitance, au détri
ment de la masse, et que certains bétons maigres, une fois battus, sem-
blent très gras en apparence.
Nous pensons donc que le battage énergique a l'inconvénient de retran-
cher du béton une portion du mortier qui lui était nécessaire et de créer
entre deux couches successives une solution de continuité nuisible, dans
les travaux hydrauliques, à l'étanchéitê du bloc de fondations ; car deux
couches de béton séparées par l'espèce de chape lisse créée par le battage
ne peuvent avoir entre elles une adhérence suffisante pour s'opposer aux
filtrations d'eau qui cherchent à se faire jour sous une charge toujours
considérable. Nous préférons donc, au battage, un tassement léger fait par
les ouvriers avec les pieds et au besoin avec une dame plate. Nous ferons
d'ailleurs remarquer qu'on ne bat jamais le béton coulé dans l'eau et que
cependant les fondations de cette nature résistent bien, sans subir aucun
affaissement, aux charges qu'on leur impose.
Sans négliger la qualité du béton, on s'est attaché, à Soing, à aller le
plus vite possible ; pour les fondations à sec, c'est en quelque sorte une
des conditions du succès, car on conçoit que plus les reprises sont nom-
breuses, plus on doit s'attendre à ces suintements d'eau désespérants,
qui se produisent quelquefois dans les maçonneries, suintements qui, sans
être absolument dangereux, ne sont pas cependant sans inconvénients.
Pendant toute la période des fondations, l'écoulement des eaux s'est
fait latéralement aux murettes, par des rigoles qu'on avait soin de toujours
parfaitement entretenir. Près du mur de chute ces rigoles ont dû, comme
l'indique le dessin, être revêtues en maçonnerie; sans cette précaution,
toute la partie supérieure de la fouille serait tombée, entraînée par le
courant violent des eaux, sur une pente très forte.
Une paraît pas nécessaire de pousser plus loin les explications au suj et
PORTEFEUILLE DES CONDUCTEURS DES PONTS ET CHAUSSÉES ET DES GARDES-MINES. 5
DIX-SEPTIÈME SÉRIE. - NUMÉROS 9 ET 10.
NOTES ET DOCUMENTS
ÉTUDE SUR LES TRAVAUX DE CANALISATION DE LA HAUTE SAONE
ET DES RIVIÈRES EN GÉNÉRAL.
(Suite et fin.)
Détails d'exécution. - Les deux écluses de garde de Cubry, celle de Soing
et l'écluse à sas de Soing ont été fondées à sec; l'exécution des terrasse-
ments a été faite de la même manière. Nous ne parlerons ici que de l'exé-
cution des terrassements et de l'écluse à sas de Soing, les procédés em-
ployés à la coupure de Cubry pour l'exécution des terrassements et des
maconneries étant identiques à ceux de Soing.
Les épuisements ont été faits à Soing, au moyen d'une pompe Neut et
Dumont, n° 9, actionnée par une machine locomobile de la force de 12 che-
vaux. Ce matériel, qui appartient à l'administration, a constamment
fait un bon service. Il a d'ailleurs suffi à épuiser et maintenir à sec la déri-
vation sur toute sa longueur d'un peu plus de 2 kilomètres, ce qui n'est
pas ordinaire, attendu qu'à Cubry, par exemple, nous avons dû employer
jusqu'à trois pompes à vapeur pour une longueur de 800 mètres seulement;
sur d'autres dérivations, notamment celles de Chantes (800 mètres) et de
Ferrière (3 kilomètres), trois pompes ont été également nécessaires.
La pompe à vapeur a de suite été installée à l'aval de l'écluse à sas,
(voir pl. n° 13), où l'on a créé un puisard entouré de pieux et palplanches
de trois côtés.
L'entretien des puisards est un point important : il est nécessaire de leur
donner le plus de profondeur possible, et il faut qu'un ouvrier soit con-
stamment occupé à les entretenir.
On comprend que l'enceinte de pieux et palplanches ne doit pas être
trop jointive, afin que l'eau puisse arriver en assez grande quantité au
puisard; par suite, pour éviter un ensablement trop rapide, il est bon de
disposer derrière l'enceinte une certaine quantité d'enrochements et de
branchages. Cette même précaution est encore à plus forte raison néces-
saire dans la partie ouverte ; car, sans cela, le courant rapide qui s'établit
lorsque les eaux baissent dans le puisard, entraînerait une grande quantité
de sables, qui le combleraient en peu de temps, ou rendraient son entretien
plus difficile ; c'est ainsi que nous avons fait à Soing et à Cubry, et nous
nous en sommes bien trouvé. A la partie ouverte du puisard, se placent
les hommes chargés de son entretien ou de son approfondissement, au
moyen de dragues à main.
Puisque nous en sommes sur la question des épuisements, nous dirons
quelques mots sur l'outillage des pompes et machines à vapeur :
Les deux principales maisons qui fabriquent les pompes centrifuges à
vapeur sont assurément les établissements Dumont et Pilter; mais si l'en-
semble de la construction des pompes de ces deux provenances est sen-
siblement le même, il n'en est pas ainsi de certains détails importants.
La maison Pilter, par exemple, a complètement abandonné le clapet de
pied et opère l'amorçage par l'éjecteur; ce procédé nous semble absolu-
ment mauvais, surtout au début des épuisements, et alors que le puisard
n'a pas la profondeur nécessaire. On sait, en effet, que, pour établir ce
puisard, on commence par creuser un simple trou d'environ 1 mètre de
profondeur sur 1 mètre de section, qu'on l'approfondit et qu'on l'élargit
à la drague, ou en mettant quelques hommes à l'eau ; or, pendant ces
premiers temps, la pompe a rapidement épuisé les eaux du puisard et la
machine est ainsi obligée de s'arrêter fort souvent; en outre, comme elle
est forcée, à chaque nouvelle reprise, d'amorcer à l'éjecteur, ce qui de-
mande un certain temps, il arrive presque toujours que les fouilles sont
plus ou moins noyées, ce qui cause nécessairement une grande gêne aux
travailleurs.
Le clapet de pied qu'emploie la maison Dumont, concurremment avec
l'éjecteur, nous semble bien préférable; en effet, on n'est pas obligé de
recommencer l'amorçage après chaque arrêt, et si, au moment de la re-
mise en marche, on s'aperçoit que le clapet est obstrué, que par consé-
quent la pompe est désamorcée, on a recours à l'éjecteur, mais seulement
dans ce dernier cas, et nous avons remarqué qu'il se présente rarement.
Nous devons dire cependant que l'usage unique du clapet de pied est
encore plus mauvais que l'emploi de l'éjecteur seul; car il faut quelque-
fois fort longtemps pour réamorcer une pompe dont le clapet du pied est
obstrué par quelque gravier. En résumé, nous avons fait une expérience
suffisante des systèmes que nous venons de définir pour pouvoir affirmer
qu'on ne peut obtenir de bons résultats d'une pompe centrifuge que par
la combinaison du clapet de pied uni à l'éjecteur.
Le charbon employé à Soing, pour la machine à vapeur, provenait des
houillères de la Sarre et revenait à environ 32 francs la tonne rendue sur
le chantier. La quantité de combustible nécessaire au bon fonctionnement
d'un matériel d'épuisement à la vapeur est fort variable, et l'on ne sau-
rait donner à ce sujet d'indication précise, les causes qui influent sur cette
dépense étant elles-mêmes fort nombreuses. Il convient, toutefois, de
faire observer que le choix d'une locomobile n'est pas sans importance ;
il faut, dans tous les cas, s'adresser de préférence aux industriels les plus
recommandables. Nous devons dire, à ce sujet, que les machines de
MM. Chaligny et Guyot-Sionnest, constructeurs à Paris, nous ont paru de
tous points excellentes, et nous pouvons même ajouter que, de toutes les
machines que nous avons employées, ce sont celles que nous venons de
citer qui ont dépensé le moins de combustible.
Nous allons maintenant reprendre l'explication de la planche n° 13. Les
fondations de l'écluse à sas ont été faites en béton, mais il a fallu, préalab-
lement au coulage de ce béton, faire une enceinte de murettes de deux
mètres de hauteur en maçonnerie de moellons ordinaires avec chaux du
Teil. Nous avons donné la coupe de ces murettes de même que le croquis
de l'estacade de la bétonnière; on remarquera qu'elles ont à l'intérieur
un parement très irrégulier; c'est à dessein qu'on les a établies ainsi, afin
que le béton, en pénétrant dans tous les recoins, formât avec la maçonne-
rie préalablement et au fur et à mesure de l'avancement, fouettée de
mortier, une masse bien liée et homogène.
La fondation a été coulée à la fois sur les 2 mètres de hauteur, et légè-
rement tassée ; c'est, croyons-nous, une bonne méthode; nous avons en-
tendu, il y a une dizaine d'années, M. l'inspecteur général Gendarme de
Bévotte recommander de ne pas battre le béton avec de fortes dames,
comme cela est encore d'usage dans certains services. Beaucoup de nos
camarades ont dû remarquer, en effet, qu'à la suite du battage une grande
quantité de mortier remonte à la surface sous forme de laitance, au détri
ment de la masse, et que certains bétons maigres, une fois battus, sem-
blent très gras en apparence.
Nous pensons donc que le battage énergique a l'inconvénient de retran-
cher du béton une portion du mortier qui lui était nécessaire et de créer
entre deux couches successives une solution de continuité nuisible, dans
les travaux hydrauliques, à l'étanchéitê du bloc de fondations ; car deux
couches de béton séparées par l'espèce de chape lisse créée par le battage
ne peuvent avoir entre elles une adhérence suffisante pour s'opposer aux
filtrations d'eau qui cherchent à se faire jour sous une charge toujours
considérable. Nous préférons donc, au battage, un tassement léger fait par
les ouvriers avec les pieds et au besoin avec une dame plate. Nous ferons
d'ailleurs remarquer qu'on ne bat jamais le béton coulé dans l'eau et que
cependant les fondations de cette nature résistent bien, sans subir aucun
affaissement, aux charges qu'on leur impose.
Sans négliger la qualité du béton, on s'est attaché, à Soing, à aller le
plus vite possible ; pour les fondations à sec, c'est en quelque sorte une
des conditions du succès, car on conçoit que plus les reprises sont nom-
breuses, plus on doit s'attendre à ces suintements d'eau désespérants,
qui se produisent quelquefois dans les maçonneries, suintements qui, sans
être absolument dangereux, ne sont pas cependant sans inconvénients.
Pendant toute la période des fondations, l'écoulement des eaux s'est
fait latéralement aux murettes, par des rigoles qu'on avait soin de toujours
parfaitement entretenir. Près du mur de chute ces rigoles ont dû, comme
l'indique le dessin, être revêtues en maçonnerie; sans cette précaution,
toute la partie supérieure de la fouille serait tombée, entraînée par le
courant violent des eaux, sur une pente très forte.
Une paraît pas nécessaire de pousser plus loin les explications au suj et
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