Titre : Le Petit journal
Auteur : Parti social français. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Clermont-Ferrand)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Pau)
Date d'édition : 1864-08-03
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32895690j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 146118 Nombre total de vues : 146118
Description : 03 août 1864 03 août 1864
Description : 1864/08/03 (Numéro 550). 1864/08/03 (Numéro 550).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG63 Collection numérique : BIPFPIG63
Description : Collection numérique : BIPFPIG64 Collection numérique : BIPFPIG64
Description : Collection numérique : Grande collecte... Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail
Description : Collection numérique : La Grande Collecte Collection numérique : La Grande Collecte
Description : Collection numérique : Commun Patrimoine:... Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine Commune
Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5886602
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/07/2008
uu.coah duboul.Mciftm$Ptiiir
à in librairie du
T1R&.GE DU r:fï:$nffî!fïifii
Mardi S août 1S61.
LES 'SECOURS' AUX NOYES.
Pour pouvoir remplir, ù la satisfaction de'
tous, j a place, que j'ai depuis un an l'honrieur
Pour né pas paraître trop indigne de.irton-
ter dans cette chaire qui a plus de cinq dent
l'oreille' il, l'actualité; prêt aborder toutes
les questions du jour, ̃-
Qutte étudier d'avance celles du len-
demain.
Pour aujourd'hui, chers lecteurs, laisiiez-
moi endosser la robe doctorale, la -toge Ides
fils d'Esculàpe; J'uniforme de la déesse Hy-
Nous allons parler médecine '̃(.
Bien que nous n'ayons pas même un fcre-
Yet d'officier de sànté à montrer aux popu-
lations.. 1
H Quand je dis que nous ne sommes pas di-
plômés, je me trompe. j
Le Petit Journal. compte un grand nombre
de médecins parmi ses clients.
spirituel, qui a ordonné sa lecture en guise
Par exemple, je n'ai jamais pu savoir
si c'était comme excitant, iou commej so-
En tout état de cause, je ne vienspas tâter
le pouls des alités,– faire taire la fièvre -ou
'̃"̃ calmer l'irritation.
Je viens où le médecin n'est pas encore
venu et j'indique ce qu'il faut faire, pen-
dant que IL le docteur en est encore à cher-
cher ses besicles, son mouchoir de poche et
sa lancette. ̃ •
Août c'est la saison des bains.
Des populations entières se jettent dans
les bras des fleuves et des rivières.
On rage, on fait des. rcailiantises dans l'é-
lément perfide. j
Et le plus malin y est pris.
C'est notre maître Alphonse Karr qui l'a
dit «,,Nul n'est plus exposé à se noyerqu'un
domine qui sait nager. »
'En,ces temps de récréations aquatiques)
les malheurs ne sont que trop fréquents,
• Les imprudences amènent les accidents
terribles.
Un homme se noie
On se dévoue à son salut,
On se jette à la nage,
On disparaît sous l'eau a sa poursuite,
On lutte contre ses étreintes convulsives
quisontundanger,
FEUILLETON DU PETIT JOURNAL
• ̃ ̃•». •:̃̃̃: ̃ •̃̃
fil. Dornans aperçut' Dominique, le saisit jpar
la main et l'entraîna vers Gratrenne, autoiirlaë.
laquelle papillonnaient vingt, jeunes gens dont'
elle réfusait les invitations.
J'attends mon cavalier, leur disait-elle
d'un air distrait. Et justement le voicilre-
prit-elle avec une, animation soudaine.. vU
Elle se leva aussitôt, et, tendant sa petite
riiain gantée à Doriiiniqùe, élfé lui reprocha
d'une Voix douce .comme' une môjodie de. ss!ôlrc::
mis en retard et de l'avoir exposée à demeurer
en place, tandis qu'elle niquruit d'envie de jval-
ser. Dominique s'inclina en'balljûtiânïuho e1-,
cuse; puis il.' enlaça la taille iine.et sôupié de. la
jeune hile, et .s'engagea résolument.. dans! les
ondulations tourbillonnantes des valseurs, tout
.en valsant, il la remercia de la distinction dont
elle daignait l'honorer.
Sa voix était un peu tremblante, car laivalse
lui enivrait l'âme en même temps que la .grâce
harmonieuse de la jeune "fillejui- caressait le
cœur. Pour toute réponsë,Mlle Dornans fixa Sur
lui un regard suave eornniè un reflet de s*leil
au printemps, et lui dit d'un ton doux et fin
^isl. •« .ï.v;*«ï. *8!f:
O^Iesaisit d'une main fdr.me
Et on le ramène sur la "xi\&,
sans mouvement. • ̃ '•̃̃ ̃ ̃ ̃-
Là, sur la berge, sur l'herbe, il n'y
de médecin,
:I1 cn'y: apasjdepharmacio, ̃ ̃ sv.l.
Il n'y a qu'un, pf ut-
'voir bonseiTer cette existence qui y.is'é-
Il n'est pas de drame plus saisissant
II n'est pas de sujet plus digne d'intérêt;
lab,le de l'àutTe, ̃-̃•>̃̃̃̃̃ ;f
Et autour d'eux là solitude.
̃ ̃̃ '̃'[: ̃•
Cqinme ce drame est fréquent sur nos Co-
tes, je veux donner quelque^ avis à cëuxiquî,
sanss^tre médecins, sool exposés à restef in-r>
habiles devant un'nové., i-
7 -Je ne saurais propager un:.plus iltilc en-
sei^nement. .• h'. ,̃̃̃̃̃. ̃̃ '.̃:•'<̃.̃, .̃ V. j
L art de faire dès vers jolis et de la prose
congrue est évidemment fort utile, mais
l"arf de sauver son sembhble est bien autre-
Eçoutez-mqi djpnc .jjiçn,: .canotiers et| câ-
d'eau douce, navigateurs de fantaisie,
Vous tous qui aimez là/raîcheur de l.eau
sans eh mesurer le danger, voici ce qu'il :faut
ifaire-pouruanoyé» r i
Tout noyé qui en.sortant de l'Feau ne
porte pas de signe complet de décomposition
peut n'être. pas mort, et les soins de tous lui
Plusieurs heures de séjour dans l'eau, la;
couleur rouge, violette pu noire du corps, la
froideur et l,aTigidité> ne sont pas dés indices
ILfaut travailler au salut du noyé avec
zèle et conviction;
II. Dès que le noyé.est retiré de l'eau; s'il
est sans mouvement, ni sentiment, il faut le
tourner sur le-côté droit, non sur le côté
gauche,.ce qui oppresserait le coeur, puis
faire pencher la tête en la soutenant par le
front et en écartant doucement les mâchoi-
res, afin de faire sortir l'eau entrée dans la
bouche et les narines.
III. Après cela, on fera chauffer au spleil
un linge, vôtément ou couverture, pour les
doucement le basventre etla poitrine de:bas
en haut afin de leur rendre l'exercice de la
respiration.
IY Si. une maison est proche de l'endroit,
ouest éteqdu.lë noyé, ony prendra des ders
à repasser on les fera chauifer à la tempé-
rature adoptée pour le lissage du linge.
ViPropaener; iés fers chauds,' par-dessus
un habit ou drap, sur la poitrine, le long de
l'épine dorsale et sur le bas-vëhtrej én's'ar-
rêtant plus longtemps sur le creux dé l'esto-
macet au-dessous des aisselles.
VI. Faire des frictions avec de la laine, du
-Nous dansions aussi dans
nenez, mais c'était plus dangereux.
^.Lorsqu'il reconduisit, Gratifioug. la placo
tprcHe avait choisie,il s'aperçutque les yeux de
point de mine d'une bienveillante curiosité. Il
pas de peine à comprendre
nans avait fait son éloge. Il où élit la certitude
lorsque son hôte le présenta à quelques intimes,
quî'Je'compliinentereQlsur soij courtage en des.
termes charmants. Pendant .cette nuit de fête,
il fut çomblé de prévenances etd'égacds. S'ap-
proçhail-il ,de quelque groupe de jeunes filles,
elles chuchottaient entre elles, et.des mots flat-
teurs-lui arrivaient à l'oreille'. S'il 'eu, invitait
une, iL était aussitôt Il faut bien le dire,
cette sorte d'oyàtiqri rmtimidait un peu. Il se
tenait souvent a l'écarté mais, des qup Oralien-
ne s'en apercevait, èlle allait le checchçr et le
ramenait la danse, en lui disant
,-r Venez, monsieur dé Kerlaz,. vous êtes mon,
Troublé malgré lui, plus heureux qu'il n'osait
se l'avouer, Dominique offrait alors son bras à
là jeune! fille, qui s'y appuyait avec un.doux a-
bandon.
Vers les derniers moments du bal, Jï. Dornans
aborda le jeune, gentilhomme. Use mit a sa dis-
position. Il le pria d'être souvent son commen-
sal. Il exigea de lui la promesse de monter ses
meilleurs chevaux. Il lui déclara qu'il avait une
loge aux Italiens, à l'Opéra, et qu'il comptait l'y
recevoir ioùtes les représentations.'Il y avait
dans ces invitations tant de cordialité, tant d'in-
sistance, flue Dominique dut s'ensaaer sincèriv-
partent du *•' ou du 16 de chaque mois
Jklandat ou timbres-poste
drap, du/oih au besoin, une brosse s'il a'c'n
trouver sur les cuisses, la clan lô' des pie^s
etia paunié.des mains.̃)!̃̃•') ,'̃ •
VU. Dans les champs; suf un
il n'y a pas de souiïletpour BKrJveraux pow^i
On se dévoue'! ̃̃'̃ i
(1 iau! insuffler votre propre" haleine, tians
la bouille du noyé, longtemps et
Yïïl -Pour.èçarter JesidentsV t>ii pépt sea
qu'on prégentera*ntre; les petites
IX-–
leur qùe'de rèntouiprde foin en Ihissam sa
tête exposée à l'air. !i ̃'
Xv.Ise jamais introduire, de liquide,; jmê-
îpe. de reau-de-yie ou
dans la bouche d'un noyé, a moins qu'il
n'aitrepris ses sens. .XI: quand après un6 .demi-heure de
soïns, le ûôyé ne doiinè pas signe; de- fvie,
on a recours à des remèdes plus ^énergiques,
.la pompe aspirante, l'appareil fummatitire,
dont .l'emplor deinande la main éxërbée n'un
médecin, et dont lappljçatiôn immédiat^ se-
rait une grande chance de 'suçcèg.
̃ "&
lignes est terminé;
Mais j'en serais plus fier que de mon
meilleur feuilleton s'il instruit quelques 'sau-
Et s'il ramène Ha vie ceux qui ont été
fouiller les mystères du fond de l'eau, i >̃!
Je voudrais pouvoir, comme M- PiaJ cet
honorable échevin de Paris,
ce nautique, me vanter d'avoir inventé le
premier établissement de secours pouij les
noyés et asphyxiés.
Mais la place étant prise depuis des sièCles,
ils m'a semblé qu'il y avait quelque utilité à
faire de chaque âme compatissante un mé-
decin improvisé.
Ma causerie iieût-elle pour résultat que
de corriger un .vieil abus que je vais citer,
elle aurait son utilité.
On a longtemps cru que le, noyé buvait,
On dit encore Moire un coup, quand on s, 'en-
fonce,aux écoles de, natation. Les médecins
avaient cette pensée avant qu'ils eussent é-
tudié la physique.
Il n'est pas aujourd'hui un élève en méde-
cine qui ne sache qu'un noyé ne boit pas
d'eau; qu'il périt asphyxié, étouffé, faute de
respiration.
,Ja4is on était si, généralement convaincu
que les noyés ;ne mouraient que pour ayoir
trop bu, qu'on ne manquait pas de.les Sus-
pendre la'tête en bas,pour faciliter les éva-
cuations; on les étouffait pour les sauveur. Ce
terrible traitement est encore fort en usage
dans, nos campagnes. Il est en effet naturel
de penser qu'un homme qu'on jette à la ri-
vière n'en revient guère sans 4vbir btrplus
qii'il nejaut.
ment à
encore lorsque, prenant congé de Grafienne, il
rçcut d'elle un salut ravissant, accompagné de
ces mois expressifs":
Surtout, n'oubliez pas ce que vous avez
promis A bientôt, monsieur de Kerlaz.
Dominique laissa jiéannjio.îns .s'écoule)' quel-
ques jours avant'de reparaître à l'hôtel Dornans.
Il réfléchissait à. sa situation. Il se demandait ce
que pouvait signifier au juste l'exquise ama-
bililé du père et de sa fille. Sans doute,
il y avait là l'désir manifeste de s'acquitter,
par une politesse un peu obséquieuse, d'une
dette de reconnaissance. Mais ,n'y avait-it que
cela.? .11 se complaisait dans cette interrogation.
Par instants son imagination s'exaltait: il soup-'
çonnait alors que l'ancien receveur général a-
vait déjà conçu la pensée d'une union entrèGra-
tienne et lui, 'Cette perspective lui souriait,
lante Xortune.d'une telle fian'eée; mais il se sen-
tait épris.duchànne irrésistible de la jeune fille
dont, en dépit de ,lui-même, il ne cessait de
cjojatempler la délicieuse image au fond de son
coeur. "̃
Une après-midi, comme il allait se-rendre
chez M. Dornans, on lui remit unpti cacheté
qui avait un parfum tout féminin. Il lut ce qui
suit': « Monsieur,
Mon père désire vous adresser de vifs rie-
» proches. 'Il vous attendra ce soir vers six heu-
» Son secrétaire intiiD.è^
»'G JD'QBjfÀKs;
.Numéro 35©'
Mercredi 3 août iSfcâ
Ecoutez ce qy'en d*t Salgues. ''[,:<
t, Quançl yiigile nous .raconte. j'aventure du
pilote itfœriitœqùi mer,
j;eVien,t surî'Cau et gagne là -terrjè en na-
gpànt, il, le rhpritre rënaiant
leau qu'il avait avalée.
illum et labentem Tçucri cf. risere nalantem
Et revomentenc
̃ -1 -̃[
Et, rit Cfi. i.a voyant Fendre tes ïl'orsiiinei-s.
Plater l'ut ie pre-
rpiçn bien
aJle'r au fpndjde
fort judicieusement' qy au moKieiït ,.toù uni
homme tombe jau.se- précipite dans fëau, il
,se fait dans Içs muscles de l'pasopliage une-
telle contraction que- 1 eau rie saurai ti^éné-
Ii buvritplusieKrsnoyés,
et se convainquit; par se^ propres yeu s de la,
justesse de ^es conjectures. Maisj 'gp, 1 eau,
n'entrait pas dans l'estomac, peuUwSre en-
trait-elle
•.̃.•Pou:1 «k'ia-.rcir cp poat, deux \autrss sa-
van!s, due dë-Woj'tPni-
berg, etWaidschmidt, professeur Marpurg,
.firent l'omme Plater, et visitèrent soigneuse-
ment les poumon* il résujta de
d'eau nt dans
l'estomac, ni dans la poitrine Ces observa-
tiqns furent confirmées par Conrad Beker,
Senacet plusieurs1 outres; docteurs, Içt. il fut
désorniais avéré qu'Un, noyé ne bùva'ft pas
II; est donc non-seulement inutile," mais
dangereux do suspendre les noyés par les
pieds comme Je, font encore quelques gens
'ignorants Loin dé les secourir, cette prati-
:que meurtrière détermine vers. ,le, çej'vea'u»
des congestions sanguines, et provoque l'a-
poplexie.
Un ne saurait trop le répéter aux naïfs.
sauveteurs de nos champagnes, les pieds sont
te centre de gravité de la raGe humainè.
La tête, quuèveles cieux dans la médita-
tion et l'eatase, n'est pas faite pour foirer la
terre.
TIMOTHEE TRIMM.
/P.A'BIS SI).:
L'Empereur vient d'adresser là lettre suivan-
te à M. le maréohal Vaillant, ministre de la,
maison de l'Empereur et des beaux-arts;
« Yicliy, le Stiuillet 1864.
» Mon cher maréchal,' je viens vous faire-
part d'une réflexion qui m'est survenue pen-
dant le repos dont je jouis ici. Deux grandis
êtàblissements doivent être reconstruits ai
Paris avec une destination bien différente
l'Opéra et 1 Hôtel-Dieu. Le premier est déjà,
commencé le second ne l'est pas encore.
» Quoique exécutés, l'Opéra aux frais de
l'Etat, l'Hôtel- Dieu aux frais dés hospices et
de la ville de Paris, tous deux ne, seront pas-
moins pour la capitale des monuments rer
narquables mais comme ils répondentà des-
Malgré sa concision, ce billet
à Dominique. Cé ne fut qu'après avoir relu
dix fois au moins qu'il remarqua la manière a-
ristocraliqûe dont le nom defamille était ortho--
graphié. L'apostrophe assurément s'y dessinait.
avec une certaine timidité, mais on nebifavait
en méconnaître la noble configuration. Ce léger-
signe de vanité fit sourire le-gentilhomme, mais,
il n'y attacha aucune idée désobligeante; quel-
ques minutes après, il n'y pensait plus.
nans, Le digne homme le gronda ciënun peu.
d'avoir négligé ses engagements, mais comme-
on gronde ceux dont on veut conquérir l'a-
mitié. Quant Gratiennei avec ce tact par-
fait qui sait ne dépasser en rien les con-
"venances, elle fut aux petits soins près de
Dominique. D'ailleurs, en, thèse générale, une
jeune fille riche-* est tenuë à moin^ de réserve-
qu'une jeune fille pauvre envers celui qu'elle
consentirait à accepter pour époux. Si la pau-
vreté oblige et une sorte de tierté, la richesse,
au contraire, permet une certaine initiative;
gracieuse qui ressemble à de là géisérosité. A'
ce point de vue, Mll& Dornans avait largement'
le droit de laisser paraître une préférence de
nature à encourager Dominique deKôriazqui
lui plaisait, et qui, moins bien accueilli, se fût
pxjut-êlre retiré devant la froide politesse d'uno:
millionnaire.
de Bellini, mélodieuse vibration du cœur, noi
contribua pas médiocrement à exaiter rimagi-
nation du jeune homme et de la jeune fille. ils
partageaient lés, mêioesémotiionset se les'com-
à in librairie du
T1R&.GE DU r:fï:$nffî!fïifii
Mardi S août 1S61.
LES 'SECOURS' AUX NOYES.
Pour pouvoir remplir, ù la satisfaction de'
tous, j a place, que j'ai depuis un an l'honrieur
Pour né pas paraître trop indigne de.irton-
ter dans cette chaire qui a plus de cinq dent
l'oreille' il, l'actualité; prêt aborder toutes
les questions du jour, ̃-
Qutte étudier d'avance celles du len-
demain.
Pour aujourd'hui, chers lecteurs, laisiiez-
moi endosser la robe doctorale, la -toge Ides
fils d'Esculàpe; J'uniforme de la déesse Hy-
Nous allons parler médecine '̃(.
Bien que nous n'ayons pas même un fcre-
Yet d'officier de sànté à montrer aux popu-
lations.. 1
H Quand je dis que nous ne sommes pas di-
plômés, je me trompe. j
Le Petit Journal. compte un grand nombre
de médecins parmi ses clients.
spirituel, qui a ordonné sa lecture en guise
Par exemple, je n'ai jamais pu savoir
si c'était comme excitant, iou commej so-
En tout état de cause, je ne vienspas tâter
le pouls des alités,– faire taire la fièvre -ou
'̃"̃ calmer l'irritation.
Je viens où le médecin n'est pas encore
venu et j'indique ce qu'il faut faire, pen-
dant que IL le docteur en est encore à cher-
cher ses besicles, son mouchoir de poche et
sa lancette. ̃ •
Août c'est la saison des bains.
Des populations entières se jettent dans
les bras des fleuves et des rivières.
On rage, on fait des. rcailiantises dans l'é-
lément perfide. j
Et le plus malin y est pris.
C'est notre maître Alphonse Karr qui l'a
dit «,,Nul n'est plus exposé à se noyerqu'un
domine qui sait nager. »
'En,ces temps de récréations aquatiques)
les malheurs ne sont que trop fréquents,
• Les imprudences amènent les accidents
terribles.
Un homme se noie
On se dévoue à son salut,
On se jette à la nage,
On disparaît sous l'eau a sa poursuite,
On lutte contre ses étreintes convulsives
quisontundanger,
FEUILLETON DU PETIT JOURNAL
• ̃ ̃•». •:̃̃̃: ̃ •̃̃
fil. Dornans aperçut' Dominique, le saisit jpar
la main et l'entraîna vers Gratrenne, autoiirlaë.
laquelle papillonnaient vingt, jeunes gens dont'
elle réfusait les invitations.
J'attends mon cavalier, leur disait-elle
d'un air distrait. Et justement le voicilre-
prit-elle avec une, animation soudaine.. vU
Elle se leva aussitôt, et, tendant sa petite
riiain gantée à Doriiiniqùe, élfé lui reprocha
d'une Voix douce .comme' une môjodie de. ss!ôlrc::
mis en retard et de l'avoir exposée à demeurer
en place, tandis qu'elle niquruit d'envie de jval-
ser. Dominique s'inclina en'balljûtiânïuho e1-,
cuse; puis il.' enlaça la taille iine.et sôupié de. la
jeune hile, et .s'engagea résolument.. dans! les
ondulations tourbillonnantes des valseurs, tout
.en valsant, il la remercia de la distinction dont
elle daignait l'honorer.
Sa voix était un peu tremblante, car laivalse
lui enivrait l'âme en même temps que la .grâce
harmonieuse de la jeune "fillejui- caressait le
cœur. Pour toute réponsë,Mlle Dornans fixa Sur
lui un regard suave eornniè un reflet de s*leil
au printemps, et lui dit d'un ton doux et fin
^isl. •« .ï.v;*«ï. *8!f:
O^Iesaisit d'une main fdr.me
Et on le ramène sur la "xi\&,
sans mouvement. • ̃ '•̃̃ ̃ ̃ ̃-
Là, sur la berge, sur l'herbe, il n'y
de médecin,
:I1 cn'y: apasjdepharmacio, ̃ ̃ sv.l.
Il n'y a qu'un, pf ut-
'voir bonseiTer cette existence qui y.is'é-
Il n'est pas de drame plus saisissant
II n'est pas de sujet plus digne d'intérêt;
lab,le de l'àutTe, ̃-̃•>̃̃̃̃̃ ;f
Et autour d'eux là solitude.
̃ ̃̃ '̃'[: ̃•
Cqinme ce drame est fréquent sur nos Co-
tes, je veux donner quelque^ avis à cëuxiquî,
sanss^tre médecins, sool exposés à restef in-r>
habiles devant un'nové., i-
7 -Je ne saurais propager un:.plus iltilc en-
sei^nement. .• h'. ,̃̃̃̃̃. ̃̃ '.̃:•'<̃.̃, .̃ V. j
L art de faire dès vers jolis et de la prose
congrue est évidemment fort utile, mais
l"arf de sauver son sembhble est bien autre-
Eçoutez-mqi djpnc .jjiçn,: .canotiers et| câ-
d'eau douce, navigateurs de fantaisie,
Vous tous qui aimez là/raîcheur de l.eau
sans eh mesurer le danger, voici ce qu'il :faut
ifaire-pouruanoyé» r i
Tout noyé qui en.sortant de l'Feau ne
porte pas de signe complet de décomposition
peut n'être. pas mort, et les soins de tous lui
Plusieurs heures de séjour dans l'eau, la;
couleur rouge, violette pu noire du corps, la
froideur et l,aTigidité> ne sont pas dés indices
ILfaut travailler au salut du noyé avec
zèle et conviction;
II. Dès que le noyé.est retiré de l'eau; s'il
est sans mouvement, ni sentiment, il faut le
tourner sur le-côté droit, non sur le côté
gauche,.ce qui oppresserait le coeur, puis
faire pencher la tête en la soutenant par le
front et en écartant doucement les mâchoi-
res, afin de faire sortir l'eau entrée dans la
bouche et les narines.
III. Après cela, on fera chauffer au spleil
un linge, vôtément ou couverture, pour les
doucement le basventre etla poitrine de:bas
en haut afin de leur rendre l'exercice de la
respiration.
IY Si. une maison est proche de l'endroit,
ouest éteqdu.lë noyé, ony prendra des ders
à repasser on les fera chauifer à la tempé-
rature adoptée pour le lissage du linge.
ViPropaener; iés fers chauds,' par-dessus
un habit ou drap, sur la poitrine, le long de
l'épine dorsale et sur le bas-vëhtrej én's'ar-
rêtant plus longtemps sur le creux dé l'esto-
macet au-dessous des aisselles.
VI. Faire des frictions avec de la laine, du
-Nous dansions aussi dans
nenez, mais c'était plus dangereux.
^.Lorsqu'il reconduisit, Gratifioug. la placo
tprcHe avait choisie,il s'aperçutque les yeux de
point de mine d'une bienveillante curiosité. Il
pas de peine à comprendre
nans avait fait son éloge. Il où élit la certitude
lorsque son hôte le présenta à quelques intimes,
quî'Je'compliinentereQlsur soij courtage en des.
termes charmants. Pendant .cette nuit de fête,
il fut çomblé de prévenances etd'égacds. S'ap-
proçhail-il ,de quelque groupe de jeunes filles,
elles chuchottaient entre elles, et.des mots flat-
teurs-lui arrivaient à l'oreille'. S'il 'eu, invitait
une, iL était aussitôt Il faut bien le dire,
cette sorte d'oyàtiqri rmtimidait un peu. Il se
tenait souvent a l'écarté mais, des qup Oralien-
ne s'en apercevait, èlle allait le checchçr et le
ramenait la danse, en lui disant
,-r Venez, monsieur dé Kerlaz,. vous êtes mon,
Troublé malgré lui, plus heureux qu'il n'osait
se l'avouer, Dominique offrait alors son bras à
là jeune! fille, qui s'y appuyait avec un.doux a-
bandon.
Vers les derniers moments du bal, Jï. Dornans
aborda le jeune, gentilhomme. Use mit a sa dis-
position. Il le pria d'être souvent son commen-
sal. Il exigea de lui la promesse de monter ses
meilleurs chevaux. Il lui déclara qu'il avait une
loge aux Italiens, à l'Opéra, et qu'il comptait l'y
recevoir ioùtes les représentations.'Il y avait
dans ces invitations tant de cordialité, tant d'in-
sistance, flue Dominique dut s'ensaaer sincèriv-
partent du *•' ou du 16 de chaque mois
Jklandat ou timbres-poste
drap, du/oih au besoin, une brosse s'il a'c'n
trouver sur les cuisses, la clan lô' des pie^s
etia paunié.des mains.̃)!̃̃•') ,'̃ •
VU. Dans les champs; suf un
il n'y a pas de souiïletpour BKrJveraux pow^i
On se dévoue'! ̃̃'̃ i
(1 iau! insuffler votre propre" haleine, tians
la bouille du noyé, longtemps et
Yïïl -Pour.èçarter JesidentsV t>ii pépt sea
qu'on prégentera*ntre; les petites
IX-–
leur qùe'de rèntouiprde foin en Ihissam sa
tête exposée à l'air. !i ̃'
Xv.Ise jamais introduire, de liquide,; jmê-
îpe. de reau-de-yie ou
dans la bouche d'un noyé, a moins qu'il
n'aitrepris ses sens. .XI: quand après un6 .demi-heure de
soïns, le ûôyé ne doiinè pas signe; de- fvie,
on a recours à des remèdes plus ^énergiques,
.la pompe aspirante, l'appareil fummatitire,
dont .l'emplor deinande la main éxërbée n'un
médecin, et dont lappljçatiôn immédiat^ se-
rait une grande chance de 'suçcèg.
̃ "&
lignes est terminé;
Mais j'en serais plus fier que de mon
meilleur feuilleton s'il instruit quelques 'sau-
Et s'il ramène Ha vie ceux qui ont été
fouiller les mystères du fond de l'eau, i >̃!
Je voudrais pouvoir, comme M- PiaJ cet
honorable échevin de Paris,
ce nautique, me vanter d'avoir inventé le
premier établissement de secours pouij les
noyés et asphyxiés.
Mais la place étant prise depuis des sièCles,
ils m'a semblé qu'il y avait quelque utilité à
faire de chaque âme compatissante un mé-
decin improvisé.
Ma causerie iieût-elle pour résultat que
de corriger un .vieil abus que je vais citer,
elle aurait son utilité.
On a longtemps cru que le, noyé buvait,
On dit encore Moire un coup, quand on s, 'en-
fonce,aux écoles de, natation. Les médecins
avaient cette pensée avant qu'ils eussent é-
tudié la physique.
Il n'est pas aujourd'hui un élève en méde-
cine qui ne sache qu'un noyé ne boit pas
d'eau; qu'il périt asphyxié, étouffé, faute de
respiration.
,Ja4is on était si, généralement convaincu
que les noyés ;ne mouraient que pour ayoir
trop bu, qu'on ne manquait pas de.les Sus-
pendre la'tête en bas,pour faciliter les éva-
cuations; on les étouffait pour les sauveur. Ce
terrible traitement est encore fort en usage
dans, nos campagnes. Il est en effet naturel
de penser qu'un homme qu'on jette à la ri-
vière n'en revient guère sans 4vbir btrplus
qii'il nejaut.
ment à
encore lorsque, prenant congé de Grafienne, il
rçcut d'elle un salut ravissant, accompagné de
ces mois expressifs":
Surtout, n'oubliez pas ce que vous avez
promis A bientôt, monsieur de Kerlaz.
Dominique laissa jiéannjio.îns .s'écoule)' quel-
ques jours avant'de reparaître à l'hôtel Dornans.
Il réfléchissait à. sa situation. Il se demandait ce
que pouvait signifier au juste l'exquise ama-
bililé du père et de sa fille. Sans doute,
il y avait là l'désir manifeste de s'acquitter,
par une politesse un peu obséquieuse, d'une
dette de reconnaissance. Mais ,n'y avait-it que
cela.? .11 se complaisait dans cette interrogation.
Par instants son imagination s'exaltait: il soup-'
çonnait alors que l'ancien receveur général a-
vait déjà conçu la pensée d'une union entrèGra-
tienne et lui, 'Cette perspective lui souriait,
lante Xortune.d'une telle fian'eée; mais il se sen-
tait épris.duchànne irrésistible de la jeune fille
dont, en dépit de ,lui-même, il ne cessait de
cjojatempler la délicieuse image au fond de son
coeur. "̃
Une après-midi, comme il allait se-rendre
chez M. Dornans, on lui remit unpti cacheté
qui avait un parfum tout féminin. Il lut ce qui
suit': « Monsieur,
Mon père désire vous adresser de vifs rie-
» proches. 'Il vous attendra ce soir vers six heu-
» Son secrétaire intiiD.è^
»'G JD'QBjfÀKs;
.Numéro 35©'
Mercredi 3 août iSfcâ
Ecoutez ce qy'en d*t Salgues. ''[,:<
t, Quançl yiigile nous .raconte. j'aventure du
pilote itfœriitœqùi mer,
j;eVien,t surî'Cau et gagne là -terrjè en na-
gpànt, il, le rhpritre rënaiant
leau qu'il avait avalée.
illum et labentem Tçucri cf. risere nalantem
Et revomentenc
̃ -1 -̃[
Et, rit Cfi. i.a voyant Fendre tes ïl'orsiiinei-s.
Plater l'ut ie pre-
rpiçn bien
aJle'r au fpndjde
fort judicieusement' qy au moKieiït ,.toù uni
homme tombe jau.se- précipite dans fëau, il
,se fait dans Içs muscles de l'pasopliage une-
telle contraction que- 1 eau rie saurai ti^éné-
Ii buvritplusieKrsnoyés,
et se convainquit; par se^ propres yeu s de la,
justesse de ^es conjectures. Maisj 'gp, 1 eau,
n'entrait pas dans l'estomac, peuUwSre en-
trait-elle
•.̃.•Pou:1 «k'ia-.rcir cp poat, deux \autrss sa-
van!s, due dë-Woj'tPni-
berg, etWaidschmidt, professeur Marpurg,
.firent l'omme Plater, et visitèrent soigneuse-
ment les poumon* il résujta de
d'eau nt dans
l'estomac, ni dans la poitrine Ces observa-
tiqns furent confirmées par Conrad Beker,
Senacet plusieurs1 outres; docteurs, Içt. il fut
désorniais avéré qu'Un, noyé ne bùva'ft pas
II; est donc non-seulement inutile," mais
dangereux do suspendre les noyés par les
pieds comme Je, font encore quelques gens
'ignorants Loin dé les secourir, cette prati-
:que meurtrière détermine vers. ,le, çej'vea'u»
des congestions sanguines, et provoque l'a-
poplexie.
Un ne saurait trop le répéter aux naïfs.
sauveteurs de nos champagnes, les pieds sont
te centre de gravité de la raGe humainè.
La tête, quuèveles cieux dans la médita-
tion et l'eatase, n'est pas faite pour foirer la
terre.
TIMOTHEE TRIMM.
/P.A'BIS SI).:
L'Empereur vient d'adresser là lettre suivan-
te à M. le maréohal Vaillant, ministre de la,
maison de l'Empereur et des beaux-arts;
« Yicliy, le Stiuillet 1864.
» Mon cher maréchal,' je viens vous faire-
part d'une réflexion qui m'est survenue pen-
dant le repos dont je jouis ici. Deux grandis
êtàblissements doivent être reconstruits ai
Paris avec une destination bien différente
l'Opéra et 1 Hôtel-Dieu. Le premier est déjà,
commencé le second ne l'est pas encore.
» Quoique exécutés, l'Opéra aux frais de
l'Etat, l'Hôtel- Dieu aux frais dés hospices et
de la ville de Paris, tous deux ne, seront pas-
moins pour la capitale des monuments rer
narquables mais comme ils répondentà des-
Malgré sa concision, ce billet
à Dominique. Cé ne fut qu'après avoir relu
dix fois au moins qu'il remarqua la manière a-
ristocraliqûe dont le nom defamille était ortho--
graphié. L'apostrophe assurément s'y dessinait.
avec une certaine timidité, mais on nebifavait
en méconnaître la noble configuration. Ce léger-
signe de vanité fit sourire le-gentilhomme, mais,
il n'y attacha aucune idée désobligeante; quel-
ques minutes après, il n'y pensait plus.
nans, Le digne homme le gronda ciënun peu.
d'avoir négligé ses engagements, mais comme-
on gronde ceux dont on veut conquérir l'a-
mitié. Quant Gratiennei avec ce tact par-
fait qui sait ne dépasser en rien les con-
"venances, elle fut aux petits soins près de
Dominique. D'ailleurs, en, thèse générale, une
jeune fille riche-* est tenuë à moin^ de réserve-
qu'une jeune fille pauvre envers celui qu'elle
consentirait à accepter pour époux. Si la pau-
vreté oblige et une sorte de tierté, la richesse,
au contraire, permet une certaine initiative;
gracieuse qui ressemble à de là géisérosité. A'
ce point de vue, Mll& Dornans avait largement'
le droit de laisser paraître une préférence de
nature à encourager Dominique deKôriazqui
lui plaisait, et qui, moins bien accueilli, se fût
pxjut-êlre retiré devant la froide politesse d'uno:
millionnaire.
de Bellini, mélodieuse vibration du cœur, noi
contribua pas médiocrement à exaiter rimagi-
nation du jeune homme et de la jeune fille. ils
partageaient lés, mêioesémotiionset se les'com-
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