Titre : Le Petit journal
Auteur : Parti social français. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Clermont-Ferrand)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Pau)
Date d'édition : 1864-07-22
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32895690j
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 146118 Nombre total de vues : 146118
Description : 22 juillet 1864 22 juillet 1864
Description : 1864/07/22. 1864/07/22.
Description : Note : absence de numérotation. Note : absence de numérotation.
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : BIPFPIG63 Collection numérique : BIPFPIG63
Description : Collection numérique : BIPFPIG64 Collection numérique : BIPFPIG64
Description : Collection numérique : Grande collecte... Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail
Description : Collection numérique : La Grande Collecte Collection numérique : La Grande Collecte
Description : Collection numérique : Commun Patrimoine:... Collection numérique : Commun Patrimoine: bibliothèque numérique du réseau des médiathèques de Plaine Commune
Description : Collection numérique : Commune de Paris de 1871 Collection numérique : Commune de Paris de 1871
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k588648d
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 16/07/2008
4
LE PETIT JOURNAL
ter le port Victoria, doublait la pointe, de Noirraont
et portait à toute vitesse, via Southampton, la, nou-
velle de la défaite du Kersarge par un navire con-
fédéré. ̃̃̃̃•
» Il ,¡¡joutait que la Florïda stationnait en vue de
Gorey pour recommencer l'engagement. -•
» C'est ainsi que les journaux de Londres ont re-
produit les journaux de Southampttin, lesquels ont
promis à leurs lecteurs des détails pleins d'intérêt
et font en ce moment préparer les gravures pour les
1 En résumé, il n'y a eu d'autre choc que celui
des verres, d'autre collision que quelques coups
Et Mil. les inspecteurs ont bien dîné. »
VARIÉTÉS
L'ONCLE ET LE .NEVEB:V'<'
Suite.
François était majeur et maître de sa per-
sonne mais celle qu'il aimait dépendait d'un
père dont il fallait obtenir le consentement.
C'est ici que la timidité du malheureux jeune
homme reprtt le dessus. Claire avait beau lui
dire « Ecrivez hardiment mon père est averti
vous recevrez son consentement par le retour
du courrier. »•
Il fit et refit sa lettre plus de cent fois, sans
se décider à l'envover. Cependant la tâche é-
tait facile, et l'esprit le plus vulgaire s'en fût ti-
•ré glorieusement. François connaissait le nom,
la position, la fortune et jusqu'à l'humeur de son
beau-père. On l'avait initié à tous les secrets
de la famille; il était presque de la maison. Que
lui restait-il à faire? A indiquer en quelques
mots ce qu'il était et ce qu'il avait; la réponse
n'était pas douteuse. Il hésita si longtempsqu'au
bout d'un mois Claire et sa mère furent rédui-
tes à douter de lui. Je crois qu'elles auraient
encore pris quinze jours de patience, mais la sa-
gesse paternelle ne le leur permit pas.
Si Claire aimait, si son amant ne se décidait
pas à déclarer officiellement ses intentions, il
fallait, sans perdre de temps, mettre la jeune
fille en lieu sûr, à Paris. Peut-être alors bl.
François Thomas prendrait-il le parti de veuir
la demander en mariage il savait où la trou-
ver. N
Un matin que François allait prendre ces da-
mes pour la promenade, le maître d'hôtel lui
annonça qu'elles étaient parties pour Paris.Leur
appartement était déjà occupé par une famille
anglaise. Un si rude.coup, tombant à l'impro-
viste sur une tête si faible, égara sa raison..
Il sortit comme un fou, et se mit à chercher
Claire dans tous les endroits où il avait l'habi-
tude de la conduire. Il rentra chez lui avec une
violente migraine qu'il soigna Dieu sait com-
ment Il se fit'soigner, il prit des bams d'eau
bouillante, il s'appliqua des sinapismes féroces;
il vengeait sur son corps les souffrances de son
âme. Lorsqu'il se crut guéri, il repartit pour la
France, bien décidé a demander la main: de
Claire avant même de changer d'habit. Il court
à Paris, il saute hors du wagon, il oublie ses ba-
gages, il monte dans un tiacre, et crie au co-
cher
Chez Elle, et au galop 1
Où cela, monsieur?
Chez monsieur. rue. Je ne sais plus
Il avait oublié le nom et l'adresse de celle
qu'il aimait.
Allons chez moi, -pensa-t-il, je retrouvé-
̃ rai.
Il tendit sa carte au cocher, qui "le conduisit
chez lui.
Son concierge était un vieillard sans enfants
appelé Emmanuel. En arrivant devant lui,
François le salua profondément et lui dit
Monsieur, vous avez une fille, Mlle Claire
Emmanuel. Je voulais vous écrire pour vous
demandersa main; mais j'ai pensé qu'il serait
plus convenable de faire cette démarche en per-
sonne, 1
On reconnut qu'il était fou et l'on courût
chercher son oncle Morlot au. faubourg Saint-
An toino.
clôt, cours. >̃ g aueortp.ciùtcrnie. clôt, cours. £ £ OBLIGATIONS. dot. cours.. i= VALEURS DIVERSES > il
T:i;MÙil.l864..it., 6620. ,-J. avr iMOf; Ubl.it.. 1GU) < 1630. Ville. Ob,. lS'j>>!iO/O. id. li!5 50 .Lpmb-Vémt.J.iuill; ÎM'-TS _• 96S .•̃«"̃
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J. mai. 500 I. Lib.it. */750 4702j j ian «00f Pay »• 606 25 598 7C 12 • Médiler.aî-ou.O. iu. 2Sb 15 i Mauvaitgout. b2
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L'oncle Morlot était le plus honnête homme
de la ruede Charonnç,qui est une des plus lon-
.gués de Paris. Il fabriquait des meubles anciens
avec un.talent ordinaire et une conscience ex-
traordinaire. Ce n'est pas lui qui aurait donné
du poirier noirci pour de l'ébène, ou livré un
bahut de sa fabrique pour un meuble du moyen
âge! Et cependant il possédait, tout comme un
autre, l'art de fendiller le bois neuf et de simu-
ler des piqûres de vers, dont les vers étaient
innocents. Mais il avait pour principe et. pour
loi de Jnè faire tort à personne. Par uner modé-
ration presque absurde dans les industries, du
luxe, il limitait'ses bénéfices à cinq pour cent
en sus des frais généraux de sa maison aussi
avait-il gagné plus d'estime que d'argent.Lors-
qu'il écrivait une facture, il recommençait l'ad-
dition jusqu'à trois fois, tant il avait peur de se
tromper à son profit.
Après trente ans de ce commerce, il était à
peu près aussi riche qu'en sortant d'apprentis-
sage il avait gagné sa,vie, comme le plus hum-
ble dé ses ouvriers, et il se demandait avec un
peu de jalousie comment M. Thomas s'y étant
pris pour amasser des rentes. Si son beau-frère
le regardait d'un, peu haut, avec la vanité des
parvenus, il le regardait bien plus haut encore,
avec l'orgueil d'un homme qui n'a pas voulu
parvenir. Il se drapaitsuperbementdans sa mé-
diocrité, et disait avec une morgue plébéienne
« Au moins, je suis sûr de n'avoir rien à per-
sonne. »,
L'homme est un étrange animal: je ne suis pas
le premier qui l'ait ait Cet excellent M. Morlot,
dont l'honnêteté méticuleuse amusait tout le
faubourg, sentit au fond du coeur comme un
chatouillement agréable lorsqu'on vint .lui an-
noncer la maladie de son neveu. Il entendit une
,petite voix insinuante qui lui disait tout bas
« Si, François est fou, tu deviens;son tuteur. »
La probité se hâta de répondre (lNous n'en se-
rons pas plus riches.-Comment!:reprit la voix,
mais la pension d'un âliéné n'a jamais coûté
trente mille francs par an. D'ailleurs nous pren-
(irons de la peine;,pous négligerons nos af-
l'aires nous méritons une compensation;' nous
ne faisons tort à. personne. Mais, .répli-
qua le désintéressement, on se doit gratis a sa'
famille.-Vraiment 1 murmurait là voix. Alors,
pourquoi notre famille n'a-t-elle! jamais rien
tait pour nous? Nous avons eu des moments de
§êne,les échéances difficiles ni le neveu
rançois, ni feu son père n'ont jamais songé à
nous. Bah I s'écria la bonté d'âme, cela ne "ser-
vira à rien; c'est, une fausse alerte, François1
guérira en deux jours.- Peut-être aussi, pour-
suivit la voix obstinée,' la maladie tuera son
malade, et nous hériterons sans faire tort à per-
sonne.. Nous avons travaillé trente ans pour le
souverain qui règne à Polsdam qui sait si un
coup de marteau sur la tête d'un étourdi ne fera
pas notre fortune? »
Ce bonhomme se boucha l'oreille; mais cette
oreille était si large, si ample, si noblement é-
vasée en forme de conque marine, que la petite
voix subtile et persévérante s'y glissait toujours
malgré lui. La maison de la rue de Charonne
fut confiée aux sojns du contre-maître; l'oncle
prit ses quartiers d'hiver dans le bel apparte-
ment de son neveu: Il dormit dans un bon; lit
et s'en trouva bien. Il s'assit à une table excel-
lente,'et les crampes d'estomac dont il se plai-
gnait depuis nombre d'années furent guéries
par enchantement^ IJfut servi, coiffé, rasé par
Germain et il en prit l'habitude. Peu a peu il se
consola de voir son neveu malade; il se fit à
l'idée que François ne guérirait peut-être jamais.
Tout au plus s'il se répétait de temps en temps,
par acquit de conscience: « Je ne fais tort à per-
sonne N
Au!bout c.le trois mois, il s'ennuya d'avoir un
fou au logis, car il croyait être chez lui. Le per-
pétuel radotage de François et sa manie de de-
mander Claire en mariage lui parurent un fléau
intolérable il résolut défaire maison nette et
d'enfermer le malade chez1 M.1 Àuvray. Après
tout, se disait-il, mon neveu sera mieux soigné
et je serai plus tranquille. La science a reconnu,
qu était bon de dépayser les louspour les djs-r
traire ie fais mon devoir. »
C'estaanscespenséesqu'ils'étaitendprmi,lors->
que François s'avisa de lui lier les mains quel
réveil
La suite à demain. EDMOND' ABOLIT,
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d'M\em d' 92.8uir enbraiicl»e(les look.
Sucres (les 100 lui.) hors barrière).
Prix officiels. ~pr.comm.moyensditti)juiU
Martinique. Disponible
Cotons:– Ha vire, 20 juillet. –Aujourd'hui, la de.
mande a été un peu régulière, mains les prix son'
faibles. On note environ 1^264 balles et picols, com-
pris un bloc. de picolsChine, livrables eu août, iL
232 fr. 50. ̃
̃ Marseillë,"i9 juillet. –Moins demiindés depuis
deux jours. On a vendu seulement dans ta journée
un lot d'tdelep à 245 fr., et de ïarsousà 25S fr.
Cafés.– N'antcsi 20 juillet. L'épicerie s'est ap-
provisionnée de 1,000 ballotins Réunions, fève poin-
tue, ex-Suez, à liOïr. les 50 kil. acq.
Havre, 20 juillet. 420 sacs Gonaïves, 80 à.89 50.
ent.; 408 sacs'cafés Haïti; 82 fr., ent.; 302 sacs cafés
Rio, 81 fr. 50; ent.
Svicrcs.– Havre, 20 juillet. 140 barriques usi-
nes, 66 fr., acq.; 192 caisses Havane avainés vente
publique, 31, ent.; 88 boucauts Mascovades avariés,
vente publique, 5? acq.
Uuilcs. 'Marseille, 19 juillet.' Aujourd'hui
encore nous avons à signaler un nouveau pas en a-
vant.On a payé l'huile dé sésame disponible 110 fr..
le livrable sur la fin de l'année reste ferme à 111 f.
leslÙOfcil,.
On traite l'huile d'arachides à 108 fr. 50, et l'huile
de îin à 101 fr. les 100 kil.
I;n huile d'olive à-fabrique, on a vendu au débar-
quement des huiles de Tunis à 107 fr. 82 l'hect.
payable comptant, et des Bougie à 107 fr. 82 avec
terme.
Les ordres de livraison courant mois valent 407
fer. 82. On tient le livrable sur la fin de l'année à Ht».
Ir.l7rhect.'
Le disponible d'huile de pétrole jouit toujours
d'une très bonne tenue et se paie 72 ir. les 100 kit.
On a même pratiqué le prix de 73 pour les détails.
verts, bo3iifs: 62 acq.; 1,000 chevaux salés, de Mon-
te-Yideo, 45 fr. acq..
LE PETIT JOURNAL
ter le port Victoria, doublait la pointe, de Noirraont
et portait à toute vitesse, via Southampton, la, nou-
velle de la défaite du Kersarge par un navire con-
fédéré. ̃̃̃̃•
» Il ,¡¡joutait que la Florïda stationnait en vue de
Gorey pour recommencer l'engagement. -•
» C'est ainsi que les journaux de Londres ont re-
produit les journaux de Southampttin, lesquels ont
promis à leurs lecteurs des détails pleins d'intérêt
et font en ce moment préparer les gravures pour les
1 En résumé, il n'y a eu d'autre choc que celui
des verres, d'autre collision que quelques coups
Et Mil. les inspecteurs ont bien dîné. »
VARIÉTÉS
L'ONCLE ET LE .NEVEB:V'<'
Suite.
François était majeur et maître de sa per-
sonne mais celle qu'il aimait dépendait d'un
père dont il fallait obtenir le consentement.
C'est ici que la timidité du malheureux jeune
homme reprtt le dessus. Claire avait beau lui
dire « Ecrivez hardiment mon père est averti
vous recevrez son consentement par le retour
du courrier. »•
Il fit et refit sa lettre plus de cent fois, sans
se décider à l'envover. Cependant la tâche é-
tait facile, et l'esprit le plus vulgaire s'en fût ti-
•ré glorieusement. François connaissait le nom,
la position, la fortune et jusqu'à l'humeur de son
beau-père. On l'avait initié à tous les secrets
de la famille; il était presque de la maison. Que
lui restait-il à faire? A indiquer en quelques
mots ce qu'il était et ce qu'il avait; la réponse
n'était pas douteuse. Il hésita si longtempsqu'au
bout d'un mois Claire et sa mère furent rédui-
tes à douter de lui. Je crois qu'elles auraient
encore pris quinze jours de patience, mais la sa-
gesse paternelle ne le leur permit pas.
Si Claire aimait, si son amant ne se décidait
pas à déclarer officiellement ses intentions, il
fallait, sans perdre de temps, mettre la jeune
fille en lieu sûr, à Paris. Peut-être alors bl.
François Thomas prendrait-il le parti de veuir
la demander en mariage il savait où la trou-
ver. N
Un matin que François allait prendre ces da-
mes pour la promenade, le maître d'hôtel lui
annonça qu'elles étaient parties pour Paris.Leur
appartement était déjà occupé par une famille
anglaise. Un si rude.coup, tombant à l'impro-
viste sur une tête si faible, égara sa raison..
Il sortit comme un fou, et se mit à chercher
Claire dans tous les endroits où il avait l'habi-
tude de la conduire. Il rentra chez lui avec une
violente migraine qu'il soigna Dieu sait com-
ment Il se fit'soigner, il prit des bams d'eau
bouillante, il s'appliqua des sinapismes féroces;
il vengeait sur son corps les souffrances de son
âme. Lorsqu'il se crut guéri, il repartit pour la
France, bien décidé a demander la main: de
Claire avant même de changer d'habit. Il court
à Paris, il saute hors du wagon, il oublie ses ba-
gages, il monte dans un tiacre, et crie au co-
cher
Chez Elle, et au galop 1
Où cela, monsieur?
Chez monsieur. rue. Je ne sais plus
Il avait oublié le nom et l'adresse de celle
qu'il aimait.
Allons chez moi, -pensa-t-il, je retrouvé-
̃ rai.
Il tendit sa carte au cocher, qui "le conduisit
chez lui.
Son concierge était un vieillard sans enfants
appelé Emmanuel. En arrivant devant lui,
François le salua profondément et lui dit
Monsieur, vous avez une fille, Mlle Claire
Emmanuel. Je voulais vous écrire pour vous
demandersa main; mais j'ai pensé qu'il serait
plus convenable de faire cette démarche en per-
sonne, 1
On reconnut qu'il était fou et l'on courût
chercher son oncle Morlot au. faubourg Saint-
An toino.
clôt, cours. >̃ g aueortp.ciùtcrnie. clôt, cours. £ £ OBLIGATIONS. dot. cours.. i= VALEURS DIVERSES > il
T:i;MÙil.l864..it., 6620. ,-J. avr iMOf; Ubl.it.. 1GU) < 1630. Ville. Ob,. lS'j>>!iO/O. id. li!5 50 .Lpmb-Vémt.J.iuill; ÎM'-TS _• 96S .•̃«"̃
?££££?.&& y cSd>2^VT H |"° « a^c-I^ 8\fc yy.ïH::
40/0.. -v.jc »-Y«îfa?r 'mt {S»4*»* ̃.s-*?W o:?'- «S ̃ 5^|&«W/ïi^:a: ̃£̃?. :?;•
d:-îff'^ W ^f't: %™?. Î5::
w J. jan.50Q/10ÛO.r.n. CS
J.;uil.aOOI.12op. l. i-*u ̃ v. '• Qnatro-Canaipt. :•• 1310 portugais3 ]d. 50 Emprunt mexicain 57 56 5/8.
Canal de Uaurgogno.; 'go;. Ville de tille.. -J. avr.. S6|o
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L'oncle Morlot était le plus honnête homme
de la ruede Charonnç,qui est une des plus lon-
.gués de Paris. Il fabriquait des meubles anciens
avec un.talent ordinaire et une conscience ex-
traordinaire. Ce n'est pas lui qui aurait donné
du poirier noirci pour de l'ébène, ou livré un
bahut de sa fabrique pour un meuble du moyen
âge! Et cependant il possédait, tout comme un
autre, l'art de fendiller le bois neuf et de simu-
ler des piqûres de vers, dont les vers étaient
innocents. Mais il avait pour principe et. pour
loi de Jnè faire tort à personne. Par uner modé-
ration presque absurde dans les industries, du
luxe, il limitait'ses bénéfices à cinq pour cent
en sus des frais généraux de sa maison aussi
avait-il gagné plus d'estime que d'argent.Lors-
qu'il écrivait une facture, il recommençait l'ad-
dition jusqu'à trois fois, tant il avait peur de se
tromper à son profit.
Après trente ans de ce commerce, il était à
peu près aussi riche qu'en sortant d'apprentis-
sage il avait gagné sa,vie, comme le plus hum-
ble dé ses ouvriers, et il se demandait avec un
peu de jalousie comment M. Thomas s'y étant
pris pour amasser des rentes. Si son beau-frère
le regardait d'un, peu haut, avec la vanité des
parvenus, il le regardait bien plus haut encore,
avec l'orgueil d'un homme qui n'a pas voulu
parvenir. Il se drapaitsuperbementdans sa mé-
diocrité, et disait avec une morgue plébéienne
« Au moins, je suis sûr de n'avoir rien à per-
sonne. »,
L'homme est un étrange animal: je ne suis pas
le premier qui l'ait ait Cet excellent M. Morlot,
dont l'honnêteté méticuleuse amusait tout le
faubourg, sentit au fond du coeur comme un
chatouillement agréable lorsqu'on vint .lui an-
noncer la maladie de son neveu. Il entendit une
,petite voix insinuante qui lui disait tout bas
« Si, François est fou, tu deviens;son tuteur. »
La probité se hâta de répondre (lNous n'en se-
rons pas plus riches.-Comment!:reprit la voix,
mais la pension d'un âliéné n'a jamais coûté
trente mille francs par an. D'ailleurs nous pren-
(irons de la peine;,pous négligerons nos af-
l'aires nous méritons une compensation;' nous
ne faisons tort à. personne. Mais, .répli-
qua le désintéressement, on se doit gratis a sa'
famille.-Vraiment 1 murmurait là voix. Alors,
pourquoi notre famille n'a-t-elle! jamais rien
tait pour nous? Nous avons eu des moments de
§êne,les échéances difficiles ni le neveu
rançois, ni feu son père n'ont jamais songé à
nous. Bah I s'écria la bonté d'âme, cela ne "ser-
vira à rien; c'est, une fausse alerte, François1
guérira en deux jours.- Peut-être aussi, pour-
suivit la voix obstinée,' la maladie tuera son
malade, et nous hériterons sans faire tort à per-
sonne.. Nous avons travaillé trente ans pour le
souverain qui règne à Polsdam qui sait si un
coup de marteau sur la tête d'un étourdi ne fera
pas notre fortune? »
Ce bonhomme se boucha l'oreille; mais cette
oreille était si large, si ample, si noblement é-
vasée en forme de conque marine, que la petite
voix subtile et persévérante s'y glissait toujours
malgré lui. La maison de la rue de Charonne
fut confiée aux sojns du contre-maître; l'oncle
prit ses quartiers d'hiver dans le bel apparte-
ment de son neveu: Il dormit dans un bon; lit
et s'en trouva bien. Il s'assit à une table excel-
lente,'et les crampes d'estomac dont il se plai-
gnait depuis nombre d'années furent guéries
par enchantement^ IJfut servi, coiffé, rasé par
Germain et il en prit l'habitude. Peu a peu il se
consola de voir son neveu malade; il se fit à
l'idée que François ne guérirait peut-être jamais.
Tout au plus s'il se répétait de temps en temps,
par acquit de conscience: « Je ne fais tort à per-
sonne N
Au!bout c.le trois mois, il s'ennuya d'avoir un
fou au logis, car il croyait être chez lui. Le per-
pétuel radotage de François et sa manie de de-
mander Claire en mariage lui parurent un fléau
intolérable il résolut défaire maison nette et
d'enfermer le malade chez1 M.1 Àuvray. Après
tout, se disait-il, mon neveu sera mieux soigné
et je serai plus tranquille. La science a reconnu,
qu était bon de dépayser les louspour les djs-r
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pris un bloc. de picolsChine, livrables eu août, iL
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̃ Marseillë,"i9 juillet. –Moins demiindés depuis
deux jours. On a vendu seulement dans ta journée
un lot d'tdelep à 245 fr., et de ïarsousà 25S fr.
Cafés.– N'antcsi 20 juillet. L'épicerie s'est ap-
provisionnée de 1,000 ballotins Réunions, fève poin-
tue, ex-Suez, à liOïr. les 50 kil. acq.
Havre, 20 juillet. 420 sacs Gonaïves, 80 à.89 50.
ent.; 408 sacs'cafés Haïti; 82 fr., ent.; 302 sacs cafés
Rio, 81 fr. 50; ent.
Svicrcs.– Havre, 20 juillet. 140 barriques usi-
nes, 66 fr., acq.; 192 caisses Havane avainés vente
publique, 31, ent.; 88 boucauts Mascovades avariés,
vente publique, 5? acq.
Uuilcs. 'Marseille, 19 juillet.' Aujourd'hui
encore nous avons à signaler un nouveau pas en a-
vant.On a payé l'huile dé sésame disponible 110 fr..
le livrable sur la fin de l'année reste ferme à 111 f.
leslÙOfcil,.
On traite l'huile d'arachides à 108 fr. 50, et l'huile
de îin à 101 fr. les 100 kil.
I;n huile d'olive à-fabrique, on a vendu au débar-
quement des huiles de Tunis à 107 fr. 82 l'hect.
payable comptant, et des Bougie à 107 fr. 82 avec
terme.
Les ordres de livraison courant mois valent 407
fer. 82. On tient le livrable sur la fin de l'année à Ht».
Ir.l7rhect.'
Le disponible d'huile de pétrole jouit toujours
d'une très bonne tenue et se paie 72 ir. les 100 kit.
On a même pratiqué le prix de 73 pour les détails.
verts, bo3iifs: 62 acq.; 1,000 chevaux salés, de Mon-
te-Yideo, 45 fr. acq..
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