Titre : Revue bibliographique : moniteur de l'imprimerie et de la librairie françaises : journal des publications nouvelles
Éditeur : (Paris)
Date d'édition : 1862-04-30
Contributeur : Dupray de La Mahérie, Paul (1828-1911). Éditeur scientifique
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32856439n
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 560 Nombre total de vues : 560
Description : 30 avril 1862 30 avril 1862
Description : 1862/04/30 (A1,N10). 1862/04/30 (A1,N10).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k5834807n
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, Q-217
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 17/01/2011
Première Année.
30 Avril 1862.
N° ÎO.
MONITEUR DE L'IMPRIMERIE ET DE LA LIBRAIRIE FRANÇAISES
ADMINISTRATION ET RÊDACTIO^^
14, Rue d'Enghien 1^3
^0>\ JOURNAL DES PUBLICATIONS NOUVELLES
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^^LItâ.|lSSANT LE IO, LE 20 ET LE SO DE CHAQUE MOIS
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Paris
Déparlemenls .
SIX MOIS.
11 Fr.
12 *
UN AIT.
20 Fr.
22 »
1UM1
^piuMEitiE PARISIENNE. — DijpiiAY DE LA MÀHLÎUE ET cie, Boulevart Bonne-Nouvelle, 2fi {Impasse des Filles-Dieu, 5).— 709
AVIS IMPORTANTS.
La REVUE fait GRATUITEMENT la commission en librairie pour ses Abonnés;
elle se charge de tous leurs achats de livres et les leur expédie, EN LES
FAISANT PROFITER DES PLUS FORTES REMISES ACCORDÉES AUX LIBRAIRES.
MM. les Auteurs et Editeurs sont invités à déposer deux exemplaires des
ouvrages qu'ils publient aux bureaux de la REVUE, qui en rendra compte le
plus promptement possible.
SOLAIRE.
BULLETIN (Paris, 30 avril), par G. d'Olbreuse. — DE LA
LITTÉRATURE EN pnoviNCE (fin), par M. Duprez, de Lyon.
— NOUVELLES DES SCIENCES , DES LETTRES ET DES ARTS. — DO-
CUMENTS OFFICIELS. — SOCIÉTÉS SAVANTES. — COURS PUBLICS.
— FAITS DIVERS. — JURISPRUDENCE. — BIBLIOGRAPHIE. —
SCIENCES : Du Laryngoscope au- point de vue du diagnostic,
du docteur Fauvel, par le docteur Emile Quantin. — LITTÊ-
HATURE : Eloges historiques, de M. P. Flourens, par Louis
Liévin. — Le Roman de l'Amour, de M. Claude, par Amédée
Désandré. — VARIÉTÉS : Variétés, Causeries et Feuilletons,
de M. B. -L. de La Martre, par G. d'Olbreuse. — Simples Ré-
cits, de L. Thiébault, par Ch. Emannuel.^- CHRONIQUE THÉÂ-
TRALE , par E. Hubert de Sainte-Croix. — FEUILLETON : Une
Léthargie, comédie, par M. P. Dupray de la.JUahérie.,^-
RÉCLAMES. — VENTES PUBLIQUES. — CATALOGUE. — ANNONCES.
Paris, 30 avril.
Dans notre dernier numéro je constatais en quel-
que lignes les progrès de la Revue bibliographique
depuis sa fondation ; aujourd'hui c'est une autre
bonne nouvelle que je porte à la connaissance de
nos abonnés. Afin de varier le cadre du Journal, et
pour y introduire un intérêt assez généralement
recherché, désormais, la Bévue se complétera par
un feuilleton, qui tempérera, au bas de ses pages,
ce qu'une suite trop ininterrompue d'articles de
critique ou de compte-rendus, pourrait avoir d'a-
ride ou de monotone.
Nous ne saurions mieux inaugurer les colonnes
de ce feuilleton que par la charmante comédie que
nous publions aujourd'hui. OEuvredes loisirs d'un
gracieux esprit qui semble avoir le don naturel de
toutes les élégances, cette ravissante esquisse dra-
matique ji^a point été écrite pour la scène. L'au-
téûri jeune magistrat, 'àu^sWrhe ^tt?^ffié-daTis4e
chef-lieu d'un de nos départements, ne s'était pro-
posé, en traçant ces lignes, qu'un agréable délas-
sement aux travaux administratifs, par lesquels,
fidèle aux traditions de sa race, il inaugurait la vie
publique. Il n'a donc pas dû se préoccuper des
exigences scéniques, qui appartiennent plutôt au
métier qu'à l'art et entravent souvent la pensée,
au lieu d'en faciliter l'essor.
Tout entier à la peinture des caractères, et sur-
tout de celui de l'étrange héroïne de cette pièce, il
y a su, sous un titre original, détailler finement
une situation du coeur plus fréquente dans la vie
que les esprits secs et positifs ne le croient. Les
types variés, groupés autour de Diane, l'escadron
volant de sigisbés qui s'atlache à ses pas font
mieux ressortir cette insensibilité factice qui finit
par se fondre au premier rayon de l'amour vrai.
Cette étude, qui nous paraît un digne pendant au
charmant proverbe d'Alfred de Musset : On ne ba-
dinepaswoec l'Amour, s'élève parfois à une rare hau-
-teur-de style,--nos lecteurs remarquerqnt un passage...
sur l'Italie, qui rappelle, par la richesse desimages
et de l'expression, les pages les mieux inspirées de
la Corinne de madame de Staël. G. D'OLBREUSE.
FEUILLETON DE LA REVUE BIBLIOGRAPHIQUE
DU 30 AVRIL 1862.
UNE LÉTHARGIE
COMÉDIE EN DEUX ACTES
PERSONNAGES.
DIANE, marquise de VERNEUIL, jeune veuve,
ROBERT DE CIVRY, officier de marine.
DE MAËLËON.
Le baron DE LA CACAUDIÈRE.
Lord STANLEY.
DE LA PENA, Espagnol.
PALEN, Russe.
Le signor SAVONAROLE, Italien.
FRANTZ SCHILLER, Allemand.
JOSEPH, ( , • ,.
MARIETTE. \ domestiques.
La scène se passe à Paris à la fin de 1859.
ACTE PREMIER.
Un boudoir élégant : portes au fond, à droite et à gauche. — Il
est sept heures du soir.
SCÈNE I.
JOSEPH, MARIETTE. {Ils rangent les meubles.)
MARIETTE.
MaisnoD... comme cela, en hémicycle... celui de
Madame au milieu, tournant le dos à la cheminée.
JOSEPH.
C'est drôle, hein !
MARIETTE,
Quoi?
JOSEPH.
Je n'y comprends rien du tout.
MARIETTE.
Et moi, j'ai deviné.
JOSEHH.
Qu'est-ce alors ?
MARIETTE.
C'est bien simple, vous avez remis à Madame sept
lettres, ça se nomme des poulets.
JOSEPH.
Des poulets!... vous êles folle.
MARIETTE.
Je sais ce que je dis, peut-être, et vous avez reçu
sept louis?
JOSEPH.
Pas une obole ?
MARIETTE.
Oser nier?
JOSEPH.
Mais...
MARIETTE.
Et, ce qui est indigne, vous n'avez même pas songé
à me faire un présent/alors vous comprenez?
JOSEPH.
Au contraire, je vous ménageais une surprise.
MARIETTE.
- Soit; qu'elle soit digne de moi.
JOSEPH.
Comptez-y.
MARIETTE.
Maintenant que vous êtes raisonnable, je vous ap-
prendrai que dans le monde comme il faut, on appelle
poulets, des lettres d'amour.
JOSEPH.
Voyez-vous ça !
MARIETTE.
Or, Madame en a reçu sept de votre jolie main.
JOSEPH.
Que le loup me croque, si j'ai écrit une seule ligne,
MARIETTE.
Ah ! mon pauvre Joseph, que vous êtes bête... qui
prétend?... ah! ah! ah! ah!
JOSEPH.
Oh ! je devine,pardieu;en effet, je suis d'une force...
ces lettres que j'ai remises successivement à Madame
et pour lesquelles... Voilà l'affaire... je tiens la pie sur
le nid.
MARIETTE.
Elles venaient, des nouveaux amis de Madame la
marquise.
JOSEPH.
Qui troubleraient furieusement le sommeil de Mon-
sieur, s'il vivait encore.
MARIETTE.
Que vous a recommandé lord Stanley?
JOSEPH.
L'Anglais, c'est un homme charmant, quoique la
couleur de ses cheveux ne me flatte guère... En me
donnant sa lettre, il m'a interpellé ainsi : Servant, et
je me nomme Joseph, vous aurez soin de remettre ce
pli à votre maîtresse, avecbeancoup de congratulations
de moi.
MARIETTE.
Plus un louis..,
JOSEPH.
Non, il m'a donné un souverain.
MARIETTE.
L'autre ?
JOSEPH.
Lequel voulez-vous, il y en a encore six?
30 Avril 1862.
N° ÎO.
MONITEUR DE L'IMPRIMERIE ET DE LA LIBRAIRIE FRANÇAISES
ADMINISTRATION ET RÊDACTIO^^
14, Rue d'Enghien 1^3
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UN AIT.
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MM. les Auteurs et Editeurs sont invités à déposer deux exemplaires des
ouvrages qu'ils publient aux bureaux de la REVUE, qui en rendra compte le
plus promptement possible.
SOLAIRE.
BULLETIN (Paris, 30 avril), par G. d'Olbreuse. — DE LA
LITTÉRATURE EN pnoviNCE (fin), par M. Duprez, de Lyon.
— NOUVELLES DES SCIENCES , DES LETTRES ET DES ARTS. — DO-
CUMENTS OFFICIELS. — SOCIÉTÉS SAVANTES. — COURS PUBLICS.
— FAITS DIVERS. — JURISPRUDENCE. — BIBLIOGRAPHIE. —
SCIENCES : Du Laryngoscope au- point de vue du diagnostic,
du docteur Fauvel, par le docteur Emile Quantin. — LITTÊ-
HATURE : Eloges historiques, de M. P. Flourens, par Louis
Liévin. — Le Roman de l'Amour, de M. Claude, par Amédée
Désandré. — VARIÉTÉS : Variétés, Causeries et Feuilletons,
de M. B. -L. de La Martre, par G. d'Olbreuse. — Simples Ré-
cits, de L. Thiébault, par Ch. Emannuel.^- CHRONIQUE THÉÂ-
TRALE , par E. Hubert de Sainte-Croix. — FEUILLETON : Une
Léthargie, comédie, par M. P. Dupray de la.JUahérie.,^-
RÉCLAMES. — VENTES PUBLIQUES. — CATALOGUE. — ANNONCES.
Paris, 30 avril.
Dans notre dernier numéro je constatais en quel-
que lignes les progrès de la Revue bibliographique
depuis sa fondation ; aujourd'hui c'est une autre
bonne nouvelle que je porte à la connaissance de
nos abonnés. Afin de varier le cadre du Journal, et
pour y introduire un intérêt assez généralement
recherché, désormais, la Bévue se complétera par
un feuilleton, qui tempérera, au bas de ses pages,
ce qu'une suite trop ininterrompue d'articles de
critique ou de compte-rendus, pourrait avoir d'a-
ride ou de monotone.
Nous ne saurions mieux inaugurer les colonnes
de ce feuilleton que par la charmante comédie que
nous publions aujourd'hui. OEuvredes loisirs d'un
gracieux esprit qui semble avoir le don naturel de
toutes les élégances, cette ravissante esquisse dra-
matique ji^a point été écrite pour la scène. L'au-
téûri jeune magistrat, 'àu^sWrhe ^tt?^ffié-daTis4e
chef-lieu d'un de nos départements, ne s'était pro-
posé, en traçant ces lignes, qu'un agréable délas-
sement aux travaux administratifs, par lesquels,
fidèle aux traditions de sa race, il inaugurait la vie
publique. Il n'a donc pas dû se préoccuper des
exigences scéniques, qui appartiennent plutôt au
métier qu'à l'art et entravent souvent la pensée,
au lieu d'en faciliter l'essor.
Tout entier à la peinture des caractères, et sur-
tout de celui de l'étrange héroïne de cette pièce, il
y a su, sous un titre original, détailler finement
une situation du coeur plus fréquente dans la vie
que les esprits secs et positifs ne le croient. Les
types variés, groupés autour de Diane, l'escadron
volant de sigisbés qui s'atlache à ses pas font
mieux ressortir cette insensibilité factice qui finit
par se fondre au premier rayon de l'amour vrai.
Cette étude, qui nous paraît un digne pendant au
charmant proverbe d'Alfred de Musset : On ne ba-
dinepaswoec l'Amour, s'élève parfois à une rare hau-
-teur-de style,--nos lecteurs remarquerqnt un passage...
sur l'Italie, qui rappelle, par la richesse desimages
et de l'expression, les pages les mieux inspirées de
la Corinne de madame de Staël. G. D'OLBREUSE.
FEUILLETON DE LA REVUE BIBLIOGRAPHIQUE
DU 30 AVRIL 1862.
UNE LÉTHARGIE
COMÉDIE EN DEUX ACTES
PERSONNAGES.
DIANE, marquise de VERNEUIL, jeune veuve,
ROBERT DE CIVRY, officier de marine.
DE MAËLËON.
Le baron DE LA CACAUDIÈRE.
Lord STANLEY.
DE LA PENA, Espagnol.
PALEN, Russe.
Le signor SAVONAROLE, Italien.
FRANTZ SCHILLER, Allemand.
JOSEPH, ( , • ,.
MARIETTE. \ domestiques.
La scène se passe à Paris à la fin de 1859.
ACTE PREMIER.
Un boudoir élégant : portes au fond, à droite et à gauche. — Il
est sept heures du soir.
SCÈNE I.
JOSEPH, MARIETTE. {Ils rangent les meubles.)
MARIETTE.
MaisnoD... comme cela, en hémicycle... celui de
Madame au milieu, tournant le dos à la cheminée.
JOSEPH.
C'est drôle, hein !
MARIETTE,
Quoi?
JOSEPH.
Je n'y comprends rien du tout.
MARIETTE.
Et moi, j'ai deviné.
JOSEHH.
Qu'est-ce alors ?
MARIETTE.
C'est bien simple, vous avez remis à Madame sept
lettres, ça se nomme des poulets.
JOSEPH.
Des poulets!... vous êles folle.
MARIETTE.
Je sais ce que je dis, peut-être, et vous avez reçu
sept louis?
JOSEPH.
Pas une obole ?
MARIETTE.
Oser nier?
JOSEPH.
Mais...
MARIETTE.
Et, ce qui est indigne, vous n'avez même pas songé
à me faire un présent/alors vous comprenez?
JOSEPH.
Au contraire, je vous ménageais une surprise.
MARIETTE.
- Soit; qu'elle soit digne de moi.
JOSEPH.
Comptez-y.
MARIETTE.
Maintenant que vous êtes raisonnable, je vous ap-
prendrai que dans le monde comme il faut, on appelle
poulets, des lettres d'amour.
JOSEPH.
Voyez-vous ça !
MARIETTE.
Or, Madame en a reçu sept de votre jolie main.
JOSEPH.
Que le loup me croque, si j'ai écrit une seule ligne,
MARIETTE.
Ah ! mon pauvre Joseph, que vous êtes bête... qui
prétend?... ah! ah! ah! ah!
JOSEPH.
Oh ! je devine,pardieu;en effet, je suis d'une force...
ces lettres que j'ai remises successivement à Madame
et pour lesquelles... Voilà l'affaire... je tiens la pie sur
le nid.
MARIETTE.
Elles venaient, des nouveaux amis de Madame la
marquise.
JOSEPH.
Qui troubleraient furieusement le sommeil de Mon-
sieur, s'il vivait encore.
MARIETTE.
Que vous a recommandé lord Stanley?
JOSEPH.
L'Anglais, c'est un homme charmant, quoique la
couleur de ses cheveux ne me flatte guère... En me
donnant sa lettre, il m'a interpellé ainsi : Servant, et
je me nomme Joseph, vous aurez soin de remettre ce
pli à votre maîtresse, avecbeancoup de congratulations
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