sou
point d'où il souffle. || 12° S. f.pl. Terme d'arckitec- i
ture. Ensemble de fontaines et de ruisseaux arti- :
ficiels, formant une espèce de labyrinthe d'eau, :
orné çà et là de bouillons. Bosquet de sources. i
— HIST. xn" s. Car n'est de mei la surse de la ;
suspension, Mais d'Alissandre pape.... Th. lemart.
141. Li prophètes alad as sursesdes eves, RoiSj35.0. i
il XIII 0 s. Nostre dame sainte Marie, Qui fontaine i
est de cortoisie, Et de douceur sourse est et dois i
(voy. DOIT 2), G. DE COINCI, Du cierge. Li lox [le
loup] à la sorse beveit, E li aigniaus à vaul esteit, '
MARIE, Fabl. 2. || xve s. Le roy se départit de ]
l'église pour venir au palais; et y avoitau milieu s
de ce palais une fontaine qui rendoit vin blanc s
et vin vermeil par plusieurs sources, TROISS. IV, i
p. 339, dans LACURNE. || xvi° s. X Ronsard, l'Apollon c
de la source des Muses, Vers mis par Marie Stuart c
à un cadeau qu'elle fit à Ronsard, dans D'ALEMBERT, C
Éloges, Malet.
— ÉTYM. Féminin de l'ancien participe sors ou
sours, duverbe sourdre (voy. cemot); bourg, sorce. I
f SODRCER (sour-sé), v. a. En Bretagne, mettre
le linge savonné et tordu à tremper pendant plu-
sieurs heures dans un bassin d'eau claire. r
SOURCIER (sour-cié ; l'r ne se lie pas ; au pluriel, c
l's se lie : des sour-sié-z habiles), s. m. Celui qui d
prétend avoir des moyens particuliers pour décou- r
vrir des sources. c
— HIST. xvie s. Sourcier, COTGRAVE. p
— ËTVM. Source. é
SOURCIL (sour-si; quelques-uns, à tort, pro- ç
noncent sou-si; l'J ne se lie jamais : un sour-si à
épais ; au plur. l's se lie : des sour-si-z épais), s. m.
|| 1° Poil en forme d'arc au-dessus de l'oeil. L'ex- n
trémité interne du sourcil porte le nom de tête, et p
l'externe celui de queue. Il ne m'est plus rien
resté qui ne soit changé, sinon que j'ai encore les
- sourcils joints, qui est la marque d'un fort mé- V
chant homme, VOIT. Lett. 42. Sous un sourcil épais rj
il avait l'oeil caché, LA FONT. Fabl. xi, 7. Jupiter ti
leur parut avec ses noirs sourcils, Qui font trem- v
bler les cieux sur leurs pôles assis, m. Phil. et e
Bauc. Je tiendrais un roi Bien malheureux s'il n'o- q
sait rire ; C'est le plaisir des dieux ; malgré son t.
noir sourcil, Jupiter et le peuple immortel rit p
aussi, ID. Fabl.xa, 12. Après les yeux, les parties p
du visage qui contribuent le plus à marquer la A
physionomie sont les sourcils, BUFF. Hist. nat.
hom. OEuvr. t. iv, p. 288. On fait encore aujour-
d'hui grand Cas en Perse de- gros sourcils qui se U
joignent, m. ib. p. 334. || Froncer le sourcil, voy. d
FRONCER. Il 2° Fig. Air hautain. Le sourcil rehaussé 1;
d'orgueilleuses chimères, BOIL. Sai. x. Fleury [le c:
cardinal].... sans jamais laisser entrevoir sur sonvi- p
sage ni les sourcils de la fierté, ni les grimaces T:
de l'hypocrisie, VOLT. LOUIS XV, 3. || 3° Chez les
oiseaux, trait longitudinal et coloré qui se re- n
marque parfois au-dessus de l'oeil. || 4" Terme d'ana- zi
tomie. Sourcil cotyloïdien, le bord de la cavité e
cotyloïde de l'os iliaque. || 5° Sourcils de hanneton, ci
franges qui portent de petites houppes imitant les a
deux antennes de cet insecte. Sourcils de hanneton si
pour les robes, Dict. des arts et met. rubanier. t.
|| 6° Double-sourcil, fauvette d'Afrique. ci
— REM X hanneton, l'Académie, qui n'a rien à P
souci, ni à sourcil, écrit souci d'hanneton; est- ||
il bien sûr que souci soit la vraie forme, et qu'il v(
ne faille pas y voir la prononciation sou-si pour le
sourcil, et entendre sourdl au sens de rebord? Le v<
fait est que souci signifiant soit le soin inquiet, T
soit la fleur, ne se comprend guère en souci d'han- re
neton. D'ailleurs sourcil est donné par un texte, le gi
Dictionnaire des arts et métiers. Le même texte ci
dit de hanneton, et non, comme le veut l'Acadé- lo
mie, d'hanneton. se
— HIST. xir 8 s. E autres maus [il] a tant sur sei, vi
N'asorcilleneunglealdeï [doigt],BENOÎT,n,12071. ||
||xin 0 s. Li huans [chat-huant] lieve les sorciz, gi
Quant il ot parler de ses filz, Ren. 28615. Le front di
ot [Liesse] blanc, poli, sans fronce, Les sorcis as
bruns et enarchiés, la Rose, 847. Si surcil sont L\
brun et petit, FI. et Bl. 2853. || xv" s. Le viaire (ci
[visage] avoit d'une couleur brune et palle, les in
sourcieulx grans et longs aussi blancs que noix de
[neige], Perceforest, t. i, f° 37. ||xvic s. L'on ne en
veoit rien en sa face qui separast ses deux yeulx, 20
ains estaient ses sourciz tous conjoincts, AMTOT, le
Public. 32. Il froncea ses sourcilz et frappa sa Pa
cuisse, ro. Pomp. 46. Tousjours l'esprit joyeux Bt
porte haut le sourci, Et le melancholique en soy pa
mesme se pasme, BONS. 258. La base de l'os des SA
iles se nomme le bord, ou lèvre, ou sourcil, PARÉ,
IV, 3i. Fermant l'oeil gauche entièrement, et gui-! mi
SOU
ic- gnant du dextre avecques profonde dépression de r
ti- lasourcilleetpaupiere, RAB.Panf. n,-19. Non autre- r
IU, ment qu'on voit parmy les nues Les haults sourcils i
des grands Alpes chenues, DUBELLAY, in, 5, recto. Ils i
la rejettentd'unsourcilplus que stoïque,n>. i,3, verso. t
rt. ■ — ÉTYM. Génev. Berry et norm. souci; pro- t
i.o. venç. sobrecill, et sobrecilha; portug. sobran- r
ne celha; ital. sopracciglio; du lat. supercilium, de j
)is super, sur, et cilium, paupière (voy. CIL). g
le SOURCILIER, ÈRE (sour-si-lié, lié-r'), adj. || 1° c
it, Terme d'anatomie. Qui a rapport aux sourcils. ,
de L'artère sourcilière. Le muscle sourcilie'r, ou, sub-
su stantivement, le sourcilier. || Arcades sourcilières, s
ne saillies transversales que présente l'os coronal im-
y, médiatement au-dessus du rebord supérieur des r
m orbites. || 2» S. m. Espèce d'avance ou de corni- à
rt che, pratiquée au-dessus des ouvreaux du four t
T, dans lequel le fabricant de glaces fond le verre, y
— ËTYM. Sourcil.
)u f SOURCILLE (sour-si-11', II mouillées), s. m. *,
e. Roitelet huppé. ,
re — ÉTYM. Une des anciennes formes de sourcil. ,'
il- -1. SOURCILLER (sour-si-llé, Il mouillées, et "
non sour-si-yé), v. n. Remuer le sourcil en signe ■
il, d'émotion. Qu'ils [tes écrits] fassent sourciller les i
ni doctes de merveille, RÉGNIER, Sat. re. Tout ' le •
u- monde sourit et baissa les yeux; le roi ne sour- K
cilla pas, ST-SIM. 90," 22. || Sans sourciller, sans
paraître ému, troublé. Ces messieurs, qui tous E
étaient amis de Molly [qui venait de se tuer], re-
3- curent la nouvelle sans sourciller, VOLT. Mél. litt.
si à M***. || Il se conjugue avec l'auxiliaire avoir. n
•i. — HIST. xvi° s. Je serois toujours d'avis qu'on ?,'
s-- ne doit sourciller contre la vénérable ancienneté, "
et PASQUiER, Rech. ix, p. 866, dans LACURNE. SI
in — ËTYM. Sourcil. °
ÎS 2. SOURCILLER (sour-si-llé, Il mouillées), v. n. b
s- Venir à la surface de la terre en forme de source. ™
is Une partie des eaux coule sur ia surface de la
;r terre, et le reste pénètre dans l'intérieur à tra- ff'
i- vers les petites fentes des terres et des rochers; .
et et cette eau sourcille en différents endroits, lois- e
)- qu'elle trouve des issues, BUFF. But. nat. 2° dise. *J
n t. i, p. -172. De sorte que les eaux sourcillent .
it presque à la surface du sol, pour peu que les ei
is pluies aient été abondantes, GIBARD, Instit. Mém. ^
a Acad. se. t. m, p. 98. "
t. — ÉTYM. Dérivé de source. S(
r- f SOURCILLEUSEMENT ( sour-si-Ueû-ze-nian, c<
ie U mouillées), adj. D'une manière sourcilleuse. Le Vl
f. duc, à la harangue ayant les yeux baissés, Vous s(
ié la fait accourcir par un grand, c'est assez; Et sour- **
e cilleusement, nous laissant seuls ensemble, Sans u
i- plus longue réplique, il tourne où bon lui semble, 1
ss TH. CORN. Charme de la voix, i, 7. . " ■ Ql
is SOURCILLEUX, EUSE (sour-si-lleû, lleû-z', Il «
i- mouillées, et non sour-si-yeû), adj. || 1° Terme de l!
i- zoologie. Qui porte des espèces de sourcils. || 2° Fig. Ql
■é et dans le langage élevé. Qui exprime par ses sour- 01
i, cils la hauteur, l'orgueil, la sévérité. Chercher les <-'
:s moyens de ruiner cette grandeur de la superbe et r£
n sourcilleuse maison d'Espagne, GUI PATIN , Lett. sc
*. t. n, p. 2G8. Ainsi s'expliqueront nos censeurs sour- di
cilleux, BOIL. Épît. x. Dépouillez donc votre écorce, F
à Philosophes sourcilleux, i. B. ROUSS. Odes, iv, 3. S'
t- || Il se dit aussi des choses. Toutes les nations qui T
il voyaient notre joie Se disaient d'un air sourcil- lu
r leux : U faut que le bonheur où leur Dieu les ren- es
e voie Soit bien grand et bien merveilleux, CORN. e'
;, Trad. du ps. 1 25. Pouvez-vous [Francs-Comtois] d<
',- regretter ces démarches pompeuses [des Espa- Il
e gnols], Ces fastueux dehors, ces grandeurs sour- to
e cilleuses, Ces gouverneurs enfin envoyés de si ni
- loin, Tout-puissants en parade, impuissants au be- Tl
soin? ID. Vict. du roi en 1667. Craignons une pi
, vieillesse sourcilleuse, JOUBERT, Pensées,_ titre x. ré
. || Un front sourcilleux, un front où se peint l'or- Tt
, gueil, l'inquiétude ou la tristesse. Vers cet en- l'I
t droit du choeur où le chantre orgueilleux Montre, Fi
s assis à ta gauche, un front si sourcilleux, BOIL. pe
t Lutr. i. |î 3° Fig. et poétiquement. Haut, élevé so
3 (comme est le sourcil dans le corps humain). Leur so
3 insensible pente [des Alpes] Vous conduit par de
s. degrés à ces monts sourcilleux Qui pressent les es
; enfers et qui fendent les cieux, VOLT. Épît. LXXVI, de
, 20. Tel que dans nos jardins un palmier sourcil- qu
, leux, A nos ormes touffus mêlant sa tête altière, BR
I Paraît s'enorgueillir de sa tige étrangère, m. p.
c Benr. vm. Du haut d'une montagne couronnée la
' par des rocs sourcilleux, ce glacier descend.... au
; SAUSSURE, Voy. Alpes, t. vi, p. 283. tei
i — HIST. XVIe s. Jà les monts sourcilleux com- soi
■ ! mencent à jaunir Sous le char de ce dieu qu'ils ' co;
SOU 2011
de regardent venir, GARNIER, Hippol. i, 232. Quel es-
e- prit tant sourcilleux Se plaint que de ces autheurs
us Les poèmes sont menteurs? DUBELL. m, 34, verso.
[ls Puis quelque délicat cerveau, D'une imprudence
ro> merveilleuse, Dit que pour un esprit nouveau La
0_ matière est trop sourcilleuse. [grave, haute, sé-
'l_ rieuse], m. m, 9<, verso. On à grand tort de la
ae peindre [la philosophie] d'un visage renfrogné,
sourcilleux et terrible, MONT, I, 175, Je demande à
I ces sourcilleux [gens austères], s'ils veulent estre
s- plus sages que les apostres, D'AUB. Conf. n, 2.
— ÉTYM. Lat. supercilwsi's, de supercilium,
!S> sourcil.
a' SOURD, SOURDE (sour, sour-d'; le d ne se lie
?s pas : sour et muet; au xvie siècle, Palsgrave, p. 14,
11~ dit qu'on prononce sour), adj. || 1° Qui ne peut en-
al' tendre par suite de quelque vice ou obstruction de
e- l'organe de l'ouïe. Mes enfants, approchez, Ap-
prochez; je suis sourd, les ans en sont la cause, LA
" FONT. Fabl. vn, te. C'était une clameur à rendre
., les gens sourds, ID. ib. vin, 12. Un trop grand
_" bruit fatigue l'oreille, et va quelquefois jusqu'à
rendre sourdes pour un temps, ou même pour tou-
jours, les personnes qui y ont été exposées, BRISSON,
, Traité de phys. t. n,,p. m. La Coiidamine est au-
jourd'hui Reçu dans la troupe immortelle [l'Aca-
démie française] ; Il est bien sourd, tant mieux
. pour lui, Mais non muet, tant pis pour elle, PIR.
Épigr. M. Le Sage était devenu si sourd dans sa.
, vieillesse, qu'il fallait, pour s'en faire entendre,
mettre la bouche sur son cornet, et crier de toute
sa force, DIDER. Lett. sur les soufds et muets.
, || Fig. Vous savez que le siècle où l'on vit est
' sourd, que la vûix du compatriote est faible,
BUFF. Rép. à la Condamine. [| Familièrement.
Sourd comme un pot, très-sourd. Dites donc com-
ment vont vos yeux; je perds les "miens, et je
u deviens sourd comme un pot, VOLT. Lett. d'Ar-
j_ gental, 21 fév. J763. || On dit.dans le même sens :
. Sourd à n'entendre pas Dieu tonner. || 2° Qui, sans
' ' être sourd, n'entend pas pour une raison quelcon<
c que. De ces dieux qui sont sourds bien qu'ayant
x[ des oreilles, LA FONT. Fabl. iv, 8. La frayeur les
,s emporte [les chevaux], et, sourds à cette fois, Ils
^ ne connaissent jilus ni le frein ni la'voix, RAC.
Phèdre, v, 6. || Êtes-vous sourd?se-dit aune per-
sonne qui, sans être sourde, n'entend pas ou n'é-
coute pas. Êtes-vous sourd, monsieur Biaise? elle
;e vous dit que non, MARIV. l'Épi euve, sc. 18. || Faire la
ls sourde oreille, faire le sourd, ne pas vouloir en-
r. tendre à quelque proposition, écouter une prière,
1S une remontrance. Le roussin d'Arcadie Craignit
3 qu'en perdant un moment II ne perdît un coup de
' dent; Il fit longtemps la sourde' oreille ; Enfin il
II répondit, LA FONT. Fabl. vm, 14. Il [Napoléon en
le 1815] temporisait, ménageait même les traîtres,
T_ détournait volontairement la vue, faisait sourde
li oreille et attendait le canon, VILLEMAIN, SOUV.
.s contemp. - Les Cent-Jours, x. || 3° Fig. Inexo-
■t rable, inflexible, insensible. Ô colère, ô pitié,
t. sourdes à mes désirs ! CORN. Hor. IV, 7. Il [lé ciel]
■_ devrait être sourd aux aveugles souhaits, LA FONT.
. Fabl. vn, 17. Nous sommes sourds à tous les sa-
i. ges avertissements, aveugles aux voies du salut
Û qui nous sont montrées— BOSS. Hist. n, 8. Pour
- lui [un mauvais poète] Phébus est sourd et Pégase
._ est rétif, BOIL. Art p. i. Je fus sourde à la brigue
:. et crus la renommée, RAC. Brit. iv, 2. Les dieux
i] depuis longtemps me sont cruels et sourds, ID.
,- Iphig. n, 2. Rebelle à tous nos soins, sourde à
•- tous mes discours, Voulez-vous, sans pitié,- laisser
ji finir vos jours? ID. Phèdre, i, 3. Les rochers de
(- Thrace et de Thessalie ne sont pas plus sourds ni
e plus insensibles aux plaintes des amants désespé-
:. rés que Télémaque ne l'était à ces offres, FÉN.
- Tél. xxi. La beauté bien souvent, Attentive à
- l'hommage, est sourde au sentiment, DORÂT,
, Feinte par amour, i, a. || 4° Qui est peu sonore, '
. peu retentissant. Ce violon est sourd. Une voix
s sourde. Mais sans examiner si, vers les antres
r sourds, L'ours a peur du passant ou le passant
r de l'ours, BOIL. Sat. vin. Si la pierre [meulière]
s est sonore, elle est bonne, et fait espérer,de.gran-
, des meules; si elle est sourde, c'est signe
- qu'elle se divisera dans l'extraction, CUVIER et
, BRONGNIART, Instit. Mém. scienc. 1810, 1er -sem.
. p. 211. |j Un appartement sourd; appartement où
! la voix, la musique, etc. manquent de sonorité, et
. aussi appartement d'où le bruit intérieur ne s'en-
tend pas au dehors. Cette petite chambre est
- sourde, SÉV. 26 avr. 1680. || Consonnes sourdes,
i consonnes telles qu'on les fait entendre en par-
point d'où il souffle. || 12° S. f.pl. Terme d'arckitec- i
ture. Ensemble de fontaines et de ruisseaux arti- :
ficiels, formant une espèce de labyrinthe d'eau, :
orné çà et là de bouillons. Bosquet de sources. i
— HIST. xn" s. Car n'est de mei la surse de la ;
suspension, Mais d'Alissandre pape.... Th. lemart.
141. Li prophètes alad as sursesdes eves, RoiSj35.0. i
il XIII 0 s. Nostre dame sainte Marie, Qui fontaine i
est de cortoisie, Et de douceur sourse est et dois i
(voy. DOIT 2), G. DE COINCI, Du cierge. Li lox [le
loup] à la sorse beveit, E li aigniaus à vaul esteit, '
MARIE, Fabl. 2. || xve s. Le roy se départit de ]
l'église pour venir au palais; et y avoitau milieu s
de ce palais une fontaine qui rendoit vin blanc s
et vin vermeil par plusieurs sources, TROISS. IV, i
p. 339, dans LACURNE. || xvi° s. X Ronsard, l'Apollon c
de la source des Muses, Vers mis par Marie Stuart c
à un cadeau qu'elle fit à Ronsard, dans D'ALEMBERT, C
Éloges, Malet.
— ÉTYM. Féminin de l'ancien participe sors ou
sours, duverbe sourdre (voy. cemot); bourg, sorce. I
f SODRCER (sour-sé), v. a. En Bretagne, mettre
le linge savonné et tordu à tremper pendant plu-
sieurs heures dans un bassin d'eau claire. r
SOURCIER (sour-cié ; l'r ne se lie pas ; au pluriel, c
l's se lie : des sour-sié-z habiles), s. m. Celui qui d
prétend avoir des moyens particuliers pour décou- r
vrir des sources. c
— HIST. xvie s. Sourcier, COTGRAVE. p
— ËTVM. Source. é
SOURCIL (sour-si; quelques-uns, à tort, pro- ç
noncent sou-si; l'J ne se lie jamais : un sour-si à
épais ; au plur. l's se lie : des sour-si-z épais), s. m.
|| 1° Poil en forme d'arc au-dessus de l'oeil. L'ex- n
trémité interne du sourcil porte le nom de tête, et p
l'externe celui de queue. Il ne m'est plus rien
resté qui ne soit changé, sinon que j'ai encore les
- sourcils joints, qui est la marque d'un fort mé- V
chant homme, VOIT. Lett. 42. Sous un sourcil épais rj
il avait l'oeil caché, LA FONT. Fabl. xi, 7. Jupiter ti
leur parut avec ses noirs sourcils, Qui font trem- v
bler les cieux sur leurs pôles assis, m. Phil. et e
Bauc. Je tiendrais un roi Bien malheureux s'il n'o- q
sait rire ; C'est le plaisir des dieux ; malgré son t.
noir sourcil, Jupiter et le peuple immortel rit p
aussi, ID. Fabl.xa, 12. Après les yeux, les parties p
du visage qui contribuent le plus à marquer la A
physionomie sont les sourcils, BUFF. Hist. nat.
hom. OEuvr. t. iv, p. 288. On fait encore aujour-
d'hui grand Cas en Perse de- gros sourcils qui se U
joignent, m. ib. p. 334. || Froncer le sourcil, voy. d
FRONCER. Il 2° Fig. Air hautain. Le sourcil rehaussé 1;
d'orgueilleuses chimères, BOIL. Sai. x. Fleury [le c:
cardinal].... sans jamais laisser entrevoir sur sonvi- p
sage ni les sourcils de la fierté, ni les grimaces T:
de l'hypocrisie, VOLT. LOUIS XV, 3. || 3° Chez les
oiseaux, trait longitudinal et coloré qui se re- n
marque parfois au-dessus de l'oeil. || 4" Terme d'ana- zi
tomie. Sourcil cotyloïdien, le bord de la cavité e
cotyloïde de l'os iliaque. || 5° Sourcils de hanneton, ci
franges qui portent de petites houppes imitant les a
deux antennes de cet insecte. Sourcils de hanneton si
pour les robes, Dict. des arts et met. rubanier. t.
|| 6° Double-sourcil, fauvette d'Afrique. ci
— REM X hanneton, l'Académie, qui n'a rien à P
souci, ni à sourcil, écrit souci d'hanneton; est- ||
il bien sûr que souci soit la vraie forme, et qu'il v(
ne faille pas y voir la prononciation sou-si pour le
sourcil, et entendre sourdl au sens de rebord? Le v<
fait est que souci signifiant soit le soin inquiet, T
soit la fleur, ne se comprend guère en souci d'han- re
neton. D'ailleurs sourcil est donné par un texte, le gi
Dictionnaire des arts et métiers. Le même texte ci
dit de hanneton, et non, comme le veut l'Acadé- lo
mie, d'hanneton. se
— HIST. xir 8 s. E autres maus [il] a tant sur sei, vi
N'asorcilleneunglealdeï [doigt],BENOÎT,n,12071. ||
||xin 0 s. Li huans [chat-huant] lieve les sorciz, gi
Quant il ot parler de ses filz, Ren. 28615. Le front di
ot [Liesse] blanc, poli, sans fronce, Les sorcis as
bruns et enarchiés, la Rose, 847. Si surcil sont L\
brun et petit, FI. et Bl. 2853. || xv" s. Le viaire (ci
[visage] avoit d'une couleur brune et palle, les in
sourcieulx grans et longs aussi blancs que noix de
[neige], Perceforest, t. i, f° 37. ||xvic s. L'on ne en
veoit rien en sa face qui separast ses deux yeulx, 20
ains estaient ses sourciz tous conjoincts, AMTOT, le
Public. 32. Il froncea ses sourcilz et frappa sa Pa
cuisse, ro. Pomp. 46. Tousjours l'esprit joyeux Bt
porte haut le sourci, Et le melancholique en soy pa
mesme se pasme, BONS. 258. La base de l'os des SA
iles se nomme le bord, ou lèvre, ou sourcil, PARÉ,
IV, 3i. Fermant l'oeil gauche entièrement, et gui-! mi
SOU
ic- gnant du dextre avecques profonde dépression de r
ti- lasourcilleetpaupiere, RAB.Panf. n,-19. Non autre- r
IU, ment qu'on voit parmy les nues Les haults sourcils i
des grands Alpes chenues, DUBELLAY, in, 5, recto. Ils i
la rejettentd'unsourcilplus que stoïque,n>. i,3, verso. t
rt. ■ — ÉTYM. Génev. Berry et norm. souci; pro- t
i.o. venç. sobrecill, et sobrecilha; portug. sobran- r
ne celha; ital. sopracciglio; du lat. supercilium, de j
)is super, sur, et cilium, paupière (voy. CIL). g
le SOURCILIER, ÈRE (sour-si-lié, lié-r'), adj. || 1° c
it, Terme d'anatomie. Qui a rapport aux sourcils. ,
de L'artère sourcilière. Le muscle sourcilie'r, ou, sub-
su stantivement, le sourcilier. || Arcades sourcilières, s
ne saillies transversales que présente l'os coronal im-
y, médiatement au-dessus du rebord supérieur des r
m orbites. || 2» S. m. Espèce d'avance ou de corni- à
rt che, pratiquée au-dessus des ouvreaux du four t
T, dans lequel le fabricant de glaces fond le verre, y
— ËTYM. Sourcil.
)u f SOURCILLE (sour-si-11', II mouillées), s. m. *,
e. Roitelet huppé. ,
re — ÉTYM. Une des anciennes formes de sourcil. ,'
il- -1. SOURCILLER (sour-si-llé, Il mouillées, et "
non sour-si-yé), v. n. Remuer le sourcil en signe ■
il, d'émotion. Qu'ils [tes écrits] fassent sourciller les i
ni doctes de merveille, RÉGNIER, Sat. re. Tout ' le •
u- monde sourit et baissa les yeux; le roi ne sour- K
cilla pas, ST-SIM. 90," 22. || Sans sourciller, sans
paraître ému, troublé. Ces messieurs, qui tous E
étaient amis de Molly [qui venait de se tuer], re-
3- curent la nouvelle sans sourciller, VOLT. Mél. litt.
si à M***. || Il se conjugue avec l'auxiliaire avoir. n
•i. — HIST. xvi° s. Je serois toujours d'avis qu'on ?,'
s-- ne doit sourciller contre la vénérable ancienneté, "
et PASQUiER, Rech. ix, p. 866, dans LACURNE. SI
in — ËTYM. Sourcil. °
ÎS 2. SOURCILLER (sour-si-llé, Il mouillées), v. n. b
s- Venir à la surface de la terre en forme de source. ™
is Une partie des eaux coule sur ia surface de la
;r terre, et le reste pénètre dans l'intérieur à tra- ff'
i- vers les petites fentes des terres et des rochers; .
et et cette eau sourcille en différents endroits, lois- e
)- qu'elle trouve des issues, BUFF. But. nat. 2° dise. *J
n t. i, p. -172. De sorte que les eaux sourcillent .
it presque à la surface du sol, pour peu que les ei
is pluies aient été abondantes, GIBARD, Instit. Mém. ^
a Acad. se. t. m, p. 98. "
t. — ÉTYM. Dérivé de source. S(
r- f SOURCILLEUSEMENT ( sour-si-Ueû-ze-nian, c<
ie U mouillées), adj. D'une manière sourcilleuse. Le Vl
f. duc, à la harangue ayant les yeux baissés, Vous s(
ié la fait accourcir par un grand, c'est assez; Et sour- **
e cilleusement, nous laissant seuls ensemble, Sans u
i- plus longue réplique, il tourne où bon lui semble, 1
ss TH. CORN. Charme de la voix, i, 7. . " ■ Ql
is SOURCILLEUX, EUSE (sour-si-lleû, lleû-z', Il «
i- mouillées, et non sour-si-yeû), adj. || 1° Terme de l!
i- zoologie. Qui porte des espèces de sourcils. || 2° Fig. Ql
■é et dans le langage élevé. Qui exprime par ses sour- 01
i, cils la hauteur, l'orgueil, la sévérité. Chercher les <-'
:s moyens de ruiner cette grandeur de la superbe et r£
n sourcilleuse maison d'Espagne, GUI PATIN , Lett. sc
*. t. n, p. 2G8. Ainsi s'expliqueront nos censeurs sour- di
cilleux, BOIL. Épît. x. Dépouillez donc votre écorce, F
à Philosophes sourcilleux, i. B. ROUSS. Odes, iv, 3. S'
t- || Il se dit aussi des choses. Toutes les nations qui T
il voyaient notre joie Se disaient d'un air sourcil- lu
r leux : U faut que le bonheur où leur Dieu les ren- es
e voie Soit bien grand et bien merveilleux, CORN. e'
;, Trad. du ps. 1 25. Pouvez-vous [Francs-Comtois] d<
',- regretter ces démarches pompeuses [des Espa- Il
e gnols], Ces fastueux dehors, ces grandeurs sour- to
e cilleuses, Ces gouverneurs enfin envoyés de si ni
- loin, Tout-puissants en parade, impuissants au be- Tl
soin? ID. Vict. du roi en 1667. Craignons une pi
, vieillesse sourcilleuse, JOUBERT, Pensées,_ titre x. ré
. || Un front sourcilleux, un front où se peint l'or- Tt
, gueil, l'inquiétude ou la tristesse. Vers cet en- l'I
t droit du choeur où le chantre orgueilleux Montre, Fi
s assis à ta gauche, un front si sourcilleux, BOIL. pe
t Lutr. i. |î 3° Fig. et poétiquement. Haut, élevé so
3 (comme est le sourcil dans le corps humain). Leur so
3 insensible pente [des Alpes] Vous conduit par de
s. degrés à ces monts sourcilleux Qui pressent les es
; enfers et qui fendent les cieux, VOLT. Épît. LXXVI, de
, 20. Tel que dans nos jardins un palmier sourcil- qu
, leux, A nos ormes touffus mêlant sa tête altière, BR
I Paraît s'enorgueillir de sa tige étrangère, m. p.
c Benr. vm. Du haut d'une montagne couronnée la
' par des rocs sourcilleux, ce glacier descend.... au
; SAUSSURE, Voy. Alpes, t. vi, p. 283. tei
i — HIST. XVIe s. Jà les monts sourcilleux com- soi
■ ! mencent à jaunir Sous le char de ce dieu qu'ils ' co;
SOU 2011
de regardent venir, GARNIER, Hippol. i, 232. Quel es-
e- prit tant sourcilleux Se plaint que de ces autheurs
us Les poèmes sont menteurs? DUBELL. m, 34, verso.
[ls Puis quelque délicat cerveau, D'une imprudence
ro> merveilleuse, Dit que pour un esprit nouveau La
0_ matière est trop sourcilleuse. [grave, haute, sé-
'l_ rieuse], m. m, 9<, verso. On à grand tort de la
ae peindre [la philosophie] d'un visage renfrogné,
sourcilleux et terrible, MONT, I, 175, Je demande à
I ces sourcilleux [gens austères], s'ils veulent estre
s- plus sages que les apostres, D'AUB. Conf. n, 2.
— ÉTYM. Lat. supercilwsi's, de supercilium,
!S> sourcil.
a' SOURD, SOURDE (sour, sour-d'; le d ne se lie
?s pas : sour et muet; au xvie siècle, Palsgrave, p. 14,
11~ dit qu'on prononce sour), adj. || 1° Qui ne peut en-
al' tendre par suite de quelque vice ou obstruction de
e- l'organe de l'ouïe. Mes enfants, approchez, Ap-
prochez; je suis sourd, les ans en sont la cause, LA
" FONT. Fabl. vn, te. C'était une clameur à rendre
., les gens sourds, ID. ib. vin, 12. Un trop grand
_" bruit fatigue l'oreille, et va quelquefois jusqu'à
rendre sourdes pour un temps, ou même pour tou-
jours, les personnes qui y ont été exposées, BRISSON,
, Traité de phys. t. n,,p. m. La Coiidamine est au-
jourd'hui Reçu dans la troupe immortelle [l'Aca-
démie française] ; Il est bien sourd, tant mieux
. pour lui, Mais non muet, tant pis pour elle, PIR.
Épigr. M. Le Sage était devenu si sourd dans sa.
, vieillesse, qu'il fallait, pour s'en faire entendre,
mettre la bouche sur son cornet, et crier de toute
sa force, DIDER. Lett. sur les soufds et muets.
, || Fig. Vous savez que le siècle où l'on vit est
' sourd, que la vûix du compatriote est faible,
BUFF. Rép. à la Condamine. [| Familièrement.
Sourd comme un pot, très-sourd. Dites donc com-
ment vont vos yeux; je perds les "miens, et je
u deviens sourd comme un pot, VOLT. Lett. d'Ar-
j_ gental, 21 fév. J763. || On dit.dans le même sens :
. Sourd à n'entendre pas Dieu tonner. || 2° Qui, sans
' ' être sourd, n'entend pas pour une raison quelcon<
c que. De ces dieux qui sont sourds bien qu'ayant
x[ des oreilles, LA FONT. Fabl. iv, 8. La frayeur les
,s emporte [les chevaux], et, sourds à cette fois, Ils
^ ne connaissent jilus ni le frein ni la'voix, RAC.
Phèdre, v, 6. || Êtes-vous sourd?se-dit aune per-
sonne qui, sans être sourde, n'entend pas ou n'é-
coute pas. Êtes-vous sourd, monsieur Biaise? elle
;e vous dit que non, MARIV. l'Épi euve, sc. 18. || Faire la
ls sourde oreille, faire le sourd, ne pas vouloir en-
r. tendre à quelque proposition, écouter une prière,
1S une remontrance. Le roussin d'Arcadie Craignit
3 qu'en perdant un moment II ne perdît un coup de
' dent; Il fit longtemps la sourde' oreille ; Enfin il
II répondit, LA FONT. Fabl. vm, 14. Il [Napoléon en
le 1815] temporisait, ménageait même les traîtres,
T_ détournait volontairement la vue, faisait sourde
li oreille et attendait le canon, VILLEMAIN, SOUV.
.s contemp. - Les Cent-Jours, x. || 3° Fig. Inexo-
■t rable, inflexible, insensible. Ô colère, ô pitié,
t. sourdes à mes désirs ! CORN. Hor. IV, 7. Il [lé ciel]
■_ devrait être sourd aux aveugles souhaits, LA FONT.
. Fabl. vn, 17. Nous sommes sourds à tous les sa-
i. ges avertissements, aveugles aux voies du salut
Û qui nous sont montrées— BOSS. Hist. n, 8. Pour
- lui [un mauvais poète] Phébus est sourd et Pégase
._ est rétif, BOIL. Art p. i. Je fus sourde à la brigue
:. et crus la renommée, RAC. Brit. iv, 2. Les dieux
i] depuis longtemps me sont cruels et sourds, ID.
,- Iphig. n, 2. Rebelle à tous nos soins, sourde à
•- tous mes discours, Voulez-vous, sans pitié,- laisser
ji finir vos jours? ID. Phèdre, i, 3. Les rochers de
(- Thrace et de Thessalie ne sont pas plus sourds ni
e plus insensibles aux plaintes des amants désespé-
:. rés que Télémaque ne l'était à ces offres, FÉN.
- Tél. xxi. La beauté bien souvent, Attentive à
- l'hommage, est sourde au sentiment, DORÂT,
, Feinte par amour, i, a. || 4° Qui est peu sonore, '
. peu retentissant. Ce violon est sourd. Une voix
s sourde. Mais sans examiner si, vers les antres
r sourds, L'ours a peur du passant ou le passant
r de l'ours, BOIL. Sat. vin. Si la pierre [meulière]
s est sonore, elle est bonne, et fait espérer,de.gran-
, des meules; si elle est sourde, c'est signe
- qu'elle se divisera dans l'extraction, CUVIER et
, BRONGNIART, Instit. Mém. scienc. 1810, 1er -sem.
. p. 211. |j Un appartement sourd; appartement où
! la voix, la musique, etc. manquent de sonorité, et
. aussi appartement d'où le bruit intérieur ne s'en-
tend pas au dehors. Cette petite chambre est
- sourde, SÉV. 26 avr. 1680. || Consonnes sourdes,
i consonnes telles qu'on les fait entendre en par-
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