Botanique
On le trouve dans toute la France, il se détache nettement en blanc sur la pelouse, même urbaine, pourvu qu’elle soit bien nourrie de compost ou de fumier. C’est son goût pour les terrains riches en matières organiques qui lui ont valu son nom, tiré du grec « copros » : excréments. L’herbier de Gallica fleure bon les sous-bois d'automne et se penche sur le coprin chevelu (Coprinus comatus).
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Coprin chevelu - Coprinus comatus, dans Paul Dumée, Nouvel atlas de poche des champignons comestibles et vénéneux les plus répandus, Paris, 1905
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Champignons suspects, dans Michel Étienne Descourtilz : Des champignons comestibles, suspects et vénéneux, Paris, 1827
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HERBIER DE GALLICA : Le coprin chevelu
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