Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1921-12-03
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 03 décembre 1921 03 décembre 1921
Description : 1921/12/03 (T19,N1918). 1921/12/03 (T19,N1918).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6489581b
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 13/05/2013
f MlNISTÈBE
DES
Maires étrangères
LN e i (e ) 18
Samedi 3 décembre 1921
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, integrales ou par extraits,
et des resumes, ceux-ci imprimes en petits caractères Les articles
traduits integralement sont précédés, d'un asterisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Les réparations : la
question du moratorium (Frankfurter
Zeitung, Freiheit, Kœlnische Volkszei.
tung).
PRESSE ANGLAISE. — Le discours de M. Chur-
chill à Londres, le 29 novembre (Daily
Telegraph). — Les divergences franco-
britanniques (Times, Westminster Ga-
zette). — Les réparations : la question
du moratorium (Times, Daily Chroni-
cle).
PRESSE ESPAGNOLE. — Les divergences
franco-britanniques (Publicidad).
PoU'nQUK GÉNÉRALE
PRANCE ET GRANDE BRETAGNE
t DISCOURS DE M. CHURCHILL, SECRÉ-
T JftE D'ETAT AUX COLONIES, prononcé (le ;c9
c.OVmbre) à Londres, au dîner de l'Asso-
a-Uan des Banques Britanniques d Outre-
e er- - * Ce sont des temps critiques que
s eux que nous traversons, mais il ne me
s ernble pas qu'à envisager la situation a'vec
l,ang-froid, il y ait lieu de désespérer de
j, avemir. n me semble, au contraire, que
j,11 distingue à l'horizon les premières
suurs de l'aurore. Un de nos principaux
ri Jets d'anxiété est l'Irlande. Il n'y a lil
rien de nouveau (Rires). Voilà environ
7% 0-ns que cela dure ; aussi ne pensez-vous
Pa. qu'il est grand temps de consigner au
dePOs de la tombe ce fantôme moyen-ageux
de 18 querelle irlandaise ? (Applaudisse-
quentS). Je puis vous assurer, en tout cas,
p(} e à qui incombe actuellement la res-
ïon s^t»i!ité de diriger les négociations irlan-
(j^. Ses «ont animés d'une résolution opiniâ-
treeri faveur de la paix. Nous savons par-
errient qu'il y a nombre de personnes en
Irlande, dans le Nord comme dans le Sud,
et ici en Grande-Bretagne, qui parlent et
PQ_Ug'.lssent comme si l'issue qu'ils désirent
frir rtf-SSUlS était de voir rompre les né-
^ci 0ns et mettre fin à la conférence.
Dér LI PUisse se trouver personne pour es-
Slltie rf'lirf'[, quelque avantage ou quelque
R1a 8 ,actIon d'une reprise de cette lutte san-
de ntp e-t honteuse dont nous ne faisons que
dre 8.0rtir: voilà ce que je ne puis compren-
l'inté. rnal cr dont je suis certain, c'est que
tllflt .rêt'nrimf\lrdhJ des 40 millions d'habi-
t, t.9 la Grande-Bretagne et plus encore
les intérêts bien compris de l'Empire bri-
tannique dans le monde entier se ressenti-
raient très avantageusement d'un règlement
honorable de la question irlandaise (Applau-
dissements). Et dans l'esprit des hommes
d'Etat britanniques, quel que soit le parti
auquel ils appartiennent, ces intérêts de-
vraient l'emporter sur toute autre considé-
ration pour ce qui est de la solution à don-
ner à ce problème. Et l'espoir ne me fait
nullement défaut. Je ne pense. pas que la
flamme de l'espérance ait été étouffée. Je
suis certain, au contraire, que quiconque,
dans les conjonctures actuelles, ne montre-
rait pas une fidèle et patiente persévérance,
assumerait une responsabilité dont l'his-
toire lui demanderait raison, pour peu que
sa personnalité fût de celles dont elle tient
compte.
LA CONFÉRENCE DE WASHINGTON. - Mon
regard se porte au delà de l'Atlantique, où
j'aperçois une autre grande situation, une.
grande situation internationale, où, assuré-
ment, le jour commence à poindre, où l'on
distingue assurément de grandes et même
de radieuses espérances d'une amélioration
dans l'état de nos affaires mondiales. J'ose
dire qu'il y a quelques mois la politique
extérieure mondiale, la politique extérieure
que la Grande-Bretagne a le devoir dû
poursuivre, pouvait se ramener à deux
grands objets. D'abord un accord, une erh
tente tripartite entre les Etats-Unis, la
Grande-Bretagne et le Japon, en vue d'as-
surer le développement paisible du Paci-
fique, d'assurer pour une génération la paix
dans le Pacifique. Ce dessein est en bonne
voie de réalisation. Cette réalisation a été
grandement hâtée par l'acte de foi sublime
dont le Président des Etats-Unis et son Se-
crétaire d'Etat ont enrichi le monde (Applau-
dissements). Nous ne témoignons d'aucune
hésitation à appuyer cet effort ; tout ce que
nous pourrons faire pour en assurer le
succès, nous le ferons. Mais il est besoin
d'un autre accord tripartite relatif à l'Eu-
rope. Je veux dire une bonne entente, une
association amicale entre la Grande-Breta-
gne, la France et l'Allemagne (Très bien !
Très bien !) en vue de la reconstitution de
l'Europe, en vue de créer à nouveau la pros-
périté évanouie de l'Europe (Applaudisse-
ments). Certains diront sans doute : « Que
ces idées sont vaines et illusoires ! On ne
saurait espérer une combinaison pareille. »
Je dis, pour ma part, que seule cette com-
binaison est capable de conjurer les diffi-
cultés et les dangers de la situation écono-
mique actuelle de l'Europe et, qu'il soit fa-
cile ou difficile à atteindre, je dis encore que
la Grande-Bretagne doit poursuivre avec
constance, avec persistance, la voie qui
mène vers ce but (Applaudissements).
LA FR "'CE ET LES RÉPARATIONS. — Il ne
s'agit pas de nous réconcilier avec l'Alle-
magne aux dépens de la France (Très
bien !). La France nous est chère à tous ;
nous savons combien elle a contribué à la
liberté humaine, à la sagesse humaine.
Nous avons trop d'intérêts engagés dans le
sol sacré de la France pour nous laisser
troubler dans notre amitié pour cette grande
nation (Très bien !) Mais telle est ma con-
fiance dans le génie du peuple français que
je suis persuadé que d'ici quelques années
seulement, peut-être moins, sa sagesse
l'amènera à se rendre compte qu'il ne faut
rien de moins, qu'une Allemagne satisfaite
et prospère pour faire renaître et pour ré-
générer la prospérité et la gloire de l'Europe
(Applaudissements). Votre président a parlé
du paiement des réparations et là, sans
doute, comme il en avait le sentiment, nous
nous trouvons sur un terrain délicat. J'ai
été très heureux de voir les hommes d'Etat
de tous les pays poursuivre depuis plusieurs
mois une marche soutenue sur la voie du
bon sens financier. (Rires et applaudisse-
ments). Toutes les insanités débitées non
seulement par Les politiciens dans leurs
campagnes électorales, mais aussi par de
graves financiers (Rires) — par d augus-
tes magistrats, qui parlent d'arracher à l'Al-
lemagne 12 milliards — voire 20 milliards
de livres sterling, se ramènent aujourd'hui
à des exposési beaucoup plus pratiques de
nos revendications. Je me réjouis de cons-
tater que le fait simple, élémentaire, que des
paiements de cette importance ne peuvent
être faits par un pays à un autre que sous
forme de marchandises ou de prestations
commence à être reconnu par les experts
les plus éclairés des différents pays (Rires
et applaudissements). Nous n'en avons pas
moins vécu à une époque où l'on a cru sé-
rieusement qu'une nation de 60 ou de 70 mil-
lions d'âmes pourrait payer 12 milliards de
livres sterling à un autre peuple, placé dans
une situation géographique différente. C'est
impossible. Le's moyens — j'emploie le mot
dans le sens le plus concret — les char-
rettes, les trains, les navires, les camions
qui existent ne suffiraient pas à transporter
dans le courant d'une seule année les mar-
chandises qu'il faudrait pour payer seule-
ment les intérêts d'une pareille somme.
Comment pouvons-nous reprocher au pau-
vre mécanisme du change de n'avoir pu
suivre le train mené par cette illusion ex-
traordinaire ? Le mécanisme du change a
été brutalement rompu.
Il me reste à dire quelques mots an sujet
des questions qui vous intéressent particu-
lièrement. Il est incontestable que notre si-
tuation financière et industrielle a souffert
gravement du fait de la guerre Nous pou-
vions jadis acheter et importer d'Arn&rique
le coton, le blé et les autres produits dont
DES
Maires étrangères
LN e i (e ) 18
Samedi 3 décembre 1921
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, integrales ou par extraits,
et des resumes, ceux-ci imprimes en petits caractères Les articles
traduits integralement sont précédés, d'un asterisque.
SOMMAIRE
PRESSE ALLEMANDE. — Les réparations : la
question du moratorium (Frankfurter
Zeitung, Freiheit, Kœlnische Volkszei.
tung).
PRESSE ANGLAISE. — Le discours de M. Chur-
chill à Londres, le 29 novembre (Daily
Telegraph). — Les divergences franco-
britanniques (Times, Westminster Ga-
zette). — Les réparations : la question
du moratorium (Times, Daily Chroni-
cle).
PRESSE ESPAGNOLE. — Les divergences
franco-britanniques (Publicidad).
PoU'nQUK GÉNÉRALE
PRANCE ET GRANDE BRETAGNE
t DISCOURS DE M. CHURCHILL, SECRÉ-
T JftE D'ETAT AUX COLONIES, prononcé (le ;c9
c.OVmbre) à Londres, au dîner de l'Asso-
a-Uan des Banques Britanniques d Outre-
e er- - * Ce sont des temps critiques que
s eux que nous traversons, mais il ne me
s ernble pas qu'à envisager la situation a'vec
l,ang-froid, il y ait lieu de désespérer de
j, avemir. n me semble, au contraire, que
j,11 distingue à l'horizon les premières
suurs de l'aurore. Un de nos principaux
ri Jets d'anxiété est l'Irlande. Il n'y a lil
rien de nouveau (Rires). Voilà environ
7% 0-ns que cela dure ; aussi ne pensez-vous
Pa. qu'il est grand temps de consigner au
dePOs de la tombe ce fantôme moyen-ageux
de 18 querelle irlandaise ? (Applaudisse-
quentS). Je puis vous assurer, en tout cas,
p(} e à qui incombe actuellement la res-
ïon s^t»i!ité de diriger les négociations irlan-
(j^. Ses «ont animés d'une résolution opiniâ-
treeri faveur de la paix. Nous savons par-
errient qu'il y a nombre de personnes en
Irlande, dans le Nord comme dans le Sud,
et ici en Grande-Bretagne, qui parlent et
PQ_Ug'.lssent comme si l'issue qu'ils désirent
frir rtf-SSUlS était de voir rompre les né-
^ci 0ns et mettre fin à la conférence.
Dér LI PUisse se trouver personne pour es-
Slltie rf'lirf'[, quelque avantage ou quelque
R1a 8 ,actIon d'une reprise de cette lutte san-
de ntp e-t honteuse dont nous ne faisons que
dre 8.0rtir: voilà ce que je ne puis compren-
l'inté. rnal cr dont je suis certain, c'est que
tllflt .rêt'nrimf\lrdhJ des 40 millions d'habi-
t, t.9 la Grande-Bretagne et plus encore
les intérêts bien compris de l'Empire bri-
tannique dans le monde entier se ressenti-
raient très avantageusement d'un règlement
honorable de la question irlandaise (Applau-
dissements). Et dans l'esprit des hommes
d'Etat britanniques, quel que soit le parti
auquel ils appartiennent, ces intérêts de-
vraient l'emporter sur toute autre considé-
ration pour ce qui est de la solution à don-
ner à ce problème. Et l'espoir ne me fait
nullement défaut. Je ne pense. pas que la
flamme de l'espérance ait été étouffée. Je
suis certain, au contraire, que quiconque,
dans les conjonctures actuelles, ne montre-
rait pas une fidèle et patiente persévérance,
assumerait une responsabilité dont l'his-
toire lui demanderait raison, pour peu que
sa personnalité fût de celles dont elle tient
compte.
LA CONFÉRENCE DE WASHINGTON. - Mon
regard se porte au delà de l'Atlantique, où
j'aperçois une autre grande situation, une.
grande situation internationale, où, assuré-
ment, le jour commence à poindre, où l'on
distingue assurément de grandes et même
de radieuses espérances d'une amélioration
dans l'état de nos affaires mondiales. J'ose
dire qu'il y a quelques mois la politique
extérieure mondiale, la politique extérieure
que la Grande-Bretagne a le devoir dû
poursuivre, pouvait se ramener à deux
grands objets. D'abord un accord, une erh
tente tripartite entre les Etats-Unis, la
Grande-Bretagne et le Japon, en vue d'as-
surer le développement paisible du Paci-
fique, d'assurer pour une génération la paix
dans le Pacifique. Ce dessein est en bonne
voie de réalisation. Cette réalisation a été
grandement hâtée par l'acte de foi sublime
dont le Président des Etats-Unis et son Se-
crétaire d'Etat ont enrichi le monde (Applau-
dissements). Nous ne témoignons d'aucune
hésitation à appuyer cet effort ; tout ce que
nous pourrons faire pour en assurer le
succès, nous le ferons. Mais il est besoin
d'un autre accord tripartite relatif à l'Eu-
rope. Je veux dire une bonne entente, une
association amicale entre la Grande-Breta-
gne, la France et l'Allemagne (Très bien !
Très bien !) en vue de la reconstitution de
l'Europe, en vue de créer à nouveau la pros-
périté évanouie de l'Europe (Applaudisse-
ments). Certains diront sans doute : « Que
ces idées sont vaines et illusoires ! On ne
saurait espérer une combinaison pareille. »
Je dis, pour ma part, que seule cette com-
binaison est capable de conjurer les diffi-
cultés et les dangers de la situation écono-
mique actuelle de l'Europe et, qu'il soit fa-
cile ou difficile à atteindre, je dis encore que
la Grande-Bretagne doit poursuivre avec
constance, avec persistance, la voie qui
mène vers ce but (Applaudissements).
LA FR "'CE ET LES RÉPARATIONS. — Il ne
s'agit pas de nous réconcilier avec l'Alle-
magne aux dépens de la France (Très
bien !). La France nous est chère à tous ;
nous savons combien elle a contribué à la
liberté humaine, à la sagesse humaine.
Nous avons trop d'intérêts engagés dans le
sol sacré de la France pour nous laisser
troubler dans notre amitié pour cette grande
nation (Très bien !) Mais telle est ma con-
fiance dans le génie du peuple français que
je suis persuadé que d'ici quelques années
seulement, peut-être moins, sa sagesse
l'amènera à se rendre compte qu'il ne faut
rien de moins, qu'une Allemagne satisfaite
et prospère pour faire renaître et pour ré-
générer la prospérité et la gloire de l'Europe
(Applaudissements). Votre président a parlé
du paiement des réparations et là, sans
doute, comme il en avait le sentiment, nous
nous trouvons sur un terrain délicat. J'ai
été très heureux de voir les hommes d'Etat
de tous les pays poursuivre depuis plusieurs
mois une marche soutenue sur la voie du
bon sens financier. (Rires et applaudisse-
ments). Toutes les insanités débitées non
seulement par Les politiciens dans leurs
campagnes électorales, mais aussi par de
graves financiers (Rires) — par d augus-
tes magistrats, qui parlent d'arracher à l'Al-
lemagne 12 milliards — voire 20 milliards
de livres sterling, se ramènent aujourd'hui
à des exposési beaucoup plus pratiques de
nos revendications. Je me réjouis de cons-
tater que le fait simple, élémentaire, que des
paiements de cette importance ne peuvent
être faits par un pays à un autre que sous
forme de marchandises ou de prestations
commence à être reconnu par les experts
les plus éclairés des différents pays (Rires
et applaudissements). Nous n'en avons pas
moins vécu à une époque où l'on a cru sé-
rieusement qu'une nation de 60 ou de 70 mil-
lions d'âmes pourrait payer 12 milliards de
livres sterling à un autre peuple, placé dans
une situation géographique différente. C'est
impossible. Le's moyens — j'emploie le mot
dans le sens le plus concret — les char-
rettes, les trains, les navires, les camions
qui existent ne suffiraient pas à transporter
dans le courant d'une seule année les mar-
chandises qu'il faudrait pour payer seule-
ment les intérêts d'une pareille somme.
Comment pouvons-nous reprocher au pau-
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été brutalement rompu.
Il me reste à dire quelques mots an sujet
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