Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1921-10-24
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 24 octobre 1921 24 octobre 1921
Description : 1921/10/24 (T19,N1885). 1921/10/24 (T19,N1885).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6489548q
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 13/05/2013
MINI ST ÈRE
1).ES ,
4tp A 1 RE S ËTRANGËREb
NO 18 ro" 5
Lundi 24 octobre 1921
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des resumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précedés d'un asterisque.
, SOMMAIRE
l?R.tsSt:'L — Lu décision sur la
Il <\ L,EIA.NDE. - .Ü, uCCl S IOn.. le.
KCPI £ lSC^ie Yolkszeitung. Y^rivdrts,
F?ei - V~
relhe'H). lÁ.l raJilkation du traité
§eivnan'°-américain (Frankfurter Zei-
du Kœlnische Zevtung). - La baisse
( n,)'k et ic commerce allemand
PJ^SSE NISCHE ZeUun0)-
b'e AMÉR,ICAINE. - L'affaire Ford-New-
y (New York Times, -
U(^&e o conférence, sur le chômage
vvorld)
fiE:SSE,' — ],e discours de
M
M. Briand à la Chmnbre, Je 21 octobre
? Posti Times, Daily News,
bail!,hr0nicle). — Le désarmement
■ tfe .l'An CniaK'ic (Times).
PRESSE IKNNI':- — La situation de Fi urne
eolO;nale d'ltalia). - L'Italie et la
ConférÎT nce de Washington (Stampa).
POLITIQUE GÉNÉRALE
LEs Al -
tt liÉS ET L'ALLEMAGNE
ClScoURS DE M. BRIAND, A LA
tles int.e L E 21 OCTOBRE. in réponse À
S ^TERR,LTi0,i:LS l.a dr'mtleJ,l!l a rappelé
(N,î ^tepi]n^' It Sedan n'étaient pas de
et que le gouvernement de-
vait envisager les répercussions écosnomi-
^d £ iétaK08 de: ses aeteis ; il a expJ-
rDl'éSYl etaJ.l tles efforts accomplis par J 1'8
Q,rlb.-en.t.s der la Franc'e pOUlr obtenir le
lgL w^e-Silési l'Allemagne. Essen est
a\1te-Sil.l. aux mains de la France, et la
Haute-Silésie n'appartient plus à' 'l'Al,l,ema-
gne.La Chambre a accueilli avec beaucoup
n. eSt pa thie hs, ,paroles de M. Briand; il
rrp ^Pas dom 6}^ qu'elle accordera une
i^ce eOIrlplètle.
ÚORNING POST, 22..10.
Le l'
te, > iaîïies 9o -110 (Correspondance pari-
sienne) conclut du débat rlue le concours
C bien acquls à M. Briand.
le§ ^6 des baincs où siègent
e. a.DPlau 't s'es collègues que sont partis
q~~au~,.
l h11* M'Ué ^Iïlents les main s chaleureux
l'êsidue le magnifique effort oratoire
°U ^ei acln, > Cons,eH ! éloquent ou sar-
castique, adopt L'Int 'Parfois iin ton familier
tnt, - pénétré d'une pro-
e Pl H. Briand s'est acquis une
Plu» i es suffrages de la Chambre ;
si l'on songe à l'hostilité et à l'animosité qui
marquèrent le début de la discussion, le ré-
sultat ne constituera pas un des moindres
triomphes d'une carrière oratoire déjà écla-
tante. M. Briand a regagné son banc au
milieu des applaudissements de tous, les
partis de la Chambre, exception faite seule-
ment pour l'extrême-droite et l'extrême-gau-
che.
TIMES, 22.10.
— Le Daily News, 22.10, reproduit seule-
ment les extraits du discours de M. Briand
donnés par Reuter : importance de la Con-
férence de Washington à laquelle M. Briand
ne se rendra pas avec une demi-confiance
ou une petite majorité ; la sécurité de la
France est garantie puisque Essen est sous
ses canons et que l'Allemagne ne peut plus
se servir de l'arsenal de la Haute-Silésie.
Le ministère Wïrth a donné des preuves de
sa bonne volonté, mais il est fragile ; s'il
était renversé par des hommes qui répudie-
raient le traité de Versailles, la - France oc-
cuperait la Ruhr de concert avec ses alliés.
« J'ai toute confiance que cette éventualité
ne se réalisera pas, et que nous pourrons
persévérer dans la voie de la paix. »
DAILY NEWS, 22.10.
- Sous le titre :] (1 M.Briand répond sé-
vèrement aux « Jingo ». — De l'avis géné-
ral, M. Briand était hier « en forme » et au
cours du débat, il a sévèrement et justement
admonesté ces extrémistes qui, sciemment
ou non, font du tort à la cause de l'Entente.
Il a dit avec force qu'il n'irait à Washing-
ton, que si la Chambre faisait savoir au
monde que la France veut une politique de
paix et il a déclaré à ses adversaires que
leur politique si elle était appliquée, laisse-
rait la France sans un ami. Il a rappelé enfin
l'isolement de la France, après la première
victoire de Napoléon sur la Prusse, à Iéna,
et, comme à co moment, un adversaire lui
criait que ses paroles « n'étaient que des
mots », M. Briand a répondu que Waterloo
était aussi un mot ainsi que le Soudan, allu-
sion sans doute au conflit de Fachoda. Le
franc-parler de M. Briand nous donne toute
satisfaction, car il est préférable que ce soit
un Français qui s'exprime ainsi. La répu-
gnance qu'éprouvent les Anglais à discuter
ouvertement et franchement ces questions,
tout en demeurant une preuve de leur atta-
chement pour l'entente avec la France, a
failli avoir une conséquence déplorable, en
ce sens qu'elle n'a pas permis à notre alliée
de connaître l'opinion secrète, mais pourtant
évidente de notre pays, sur certaines ma-
nifestations de la politique française.
M. Briand a dit ce que pensent beaucoup
d'anglais — et quelques uns parmi eux ont
lutté en faveur de l'entente avec la France
avant que cette entente ne fût populaire, —
mais ce qu'ils s'abstiennent de dire. L'En-
lente reposait, du point de vue moral, sur
la croyance généralement admise en notre
pays que l'amitié des deux nations éprises
de liberté, assurerait la paix du monde; telle
était la véritable, base morale de l'Entente !
Cette croyance a reçu des chocs violents
depuis l'armistice, moins par suite de l'ac-
tion des gouvernements que par les fausses
inlennrétations données systématiquement
aux manifestations de la politique britanni-
que, par un petit, nombre de publicistes fran-
çais et peut-être aussi par suite de ce
manque de loyauté dont ont fait preuve, à
l'étranger,envers leur propre gouvernement,
certains agents politiques français. Le résul-
tat est qu'une forte section de l'extrême-
gauche anglaise devient nettement antifran-
çahsè. C'est un malheur pour nos deux na-
tions, c'est une. injustice; car il ne faut pas
juger le peuple français sur les folles ac-
tions de quelques-uns ; M. Briand, en par-
lant avec une franchise brutale, a donc
rendu un grand service à la cause de cette
amitié sur laquelle la grande majorité des
Anglais veut encore fonder notre politique
étrangère. Mais c'est seulement si nous de
meurons d'accord sur le terrain des idées li-
bérales et humaines, que notre amitié pourra
rester une source politique de bonheur et
de prospérité pour l'Europe. — (Ed.)
DAILY CHRONICLE, 22.10.
LA HAUTE-SILESIE. — PRESSE ALLEMANDE.
— L'attitude du peuple allemand en face de
la décision prise est nette : jamais notre
conscience n'acceptera cette décision Il ne
faut, pas infliger à un peuple injustice sur
injustice : sinon, on doit en arriver à ce
que les pensées de ce peuple ne connais-
sent. qu'un but : se débarrasser du fardeau
injuste. Nous tendrons à ce but par des
moyens pacifiques, sachant bien que l'in-
justice, même dans notre monde mauvais,
a des bases fragiles, qu'elle ne peut se
maintenir que par la violence et que la vio-
lence a ses limites. Le monde aura une
question de Haute-Silésie tant que la sen-
tence injuste de Paris n'aura pas été
corrigée. 1
Une autre question est de savoir quelle
attitude doit prendre notre gouvernement en
face de la sentence de Paris. Pour répon-
dre à cette question, il importe de consi-
dérer la situation avec sang-froid et de se
rendre compte des réalités, même si elles
blessent notre sentiment patriotique. En
signant, Le: Traité de Versailles, nous nous
sommes engagés à accepter la décision des
Alliés. Dès lors, le gouvernement alle-
1).ES ,
4tp A 1 RE S ËTRANGËREb
NO 18 ro" 5
Lundi 24 octobre 1921
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donne ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des resumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précedés d'un asterisque.
, SOMMAIRE
l?R.tsSt:'L — Lu décision sur la
Il <\ L,EIA.NDE. - .Ü, uCCl S IOn.. le.
KCPI £ lSC^ie Yolkszeitung. Y^rivdrts,
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relhe'H). lÁ.l raJilkation du traité
§eivnan'°-américain (Frankfurter Zei-
du Kœlnische Zevtung). - La baisse
( n,)'k et ic commerce allemand
PJ^SSE NISCHE ZeUun0)-
b'e AMÉR,ICAINE. - L'affaire Ford-New-
y (New York Times, -
U(^&e o conférence, sur le chômage
vvorld)
fiE:SSE,' — ],e discours de
M
M. Briand à la Chmnbre, Je 21 octobre
? Posti Times, Daily News,
bail!,hr0nicle). — Le désarmement
■ tfe .l'An CniaK'ic (Times).
PRESSE IKNNI':- — La situation de Fi urne
eolO;nale d'ltalia). - L'Italie et la
ConférÎT nce de Washington (Stampa).
POLITIQUE GÉNÉRALE
LEs Al -
tt liÉS ET L'ALLEMAGNE
ClScoURS DE M. BRIAND, A LA
tles int.e L E 21 OCTOBRE. in réponse À
S ^TERR,LTi0,i:LS l.a dr'mtleJ,l!l a rappelé
(N,î ^tepi]n^' It Sedan n'étaient pas de
et que le gouvernement de-
vait envisager les répercussions écosnomi-
^d £ iétaK08 de: ses aeteis ; il a expJ-
rDl'éSYl etaJ.l tles efforts accomplis par J 1'8
Q,rlb.-en.t.s der la Franc'e pOUlr obtenir le
lgL w^e-Silési l'Allemagne. Essen est
a\1te-Sil.l. aux mains de la France, et la
Haute-Silésie n'appartient plus à' 'l'Al,l,ema-
gne.La Chambre a accueilli avec beaucoup
n. eSt pa thie hs, ,paroles de M. Briand; il
rrp ^Pas dom 6}^ qu'elle accordera une
i^ce eOIrlplètle.
ÚORNING POST, 22..10.
Le l'
te, > iaîïies 9o -110 (Correspondance pari-
sienne) conclut du débat rlue le concours
le§ ^6 des baincs où siègent
e. a.DPlau 't s'es collègues que sont partis
q~~au~,.
l h11* M'Ué ^Iïlents les main s chaleureux
l'êsidue le magnifique effort oratoire
°U ^ei acln, > Cons,eH ! éloquent ou sar-
castique, adopt L'Int 'Parfois iin ton familier
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e Pl H. Briand s'est acquis une
Plu» i es suffrages de la Chambre ;
si l'on songe à l'hostilité et à l'animosité qui
marquèrent le début de la discussion, le ré-
sultat ne constituera pas un des moindres
triomphes d'une carrière oratoire déjà écla-
tante. M. Briand a regagné son banc au
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partis de la Chambre, exception faite seule-
ment pour l'extrême-droite et l'extrême-gau-
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TIMES, 22.10.
— Le Daily News, 22.10, reproduit seule-
ment les extraits du discours de M. Briand
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ne se rendra pas avec une demi-confiance
ou une petite majorité ; la sécurité de la
France est garantie puisque Essen est sous
ses canons et que l'Allemagne ne peut plus
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Le ministère Wïrth a donné des preuves de
sa bonne volonté, mais il est fragile ; s'il
était renversé par des hommes qui répudie-
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cuperait la Ruhr de concert avec ses alliés.
« J'ai toute confiance que cette éventualité
ne se réalisera pas, et que nous pourrons
persévérer dans la voie de la paix. »
DAILY NEWS, 22.10.
- Sous le titre :] (1 M.Briand répond sé-
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ou non, font du tort à la cause de l'Entente.
Il a dit avec force qu'il n'irait à Washing-
ton, que si la Chambre faisait savoir au
monde que la France veut une politique de
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leur politique si elle était appliquée, laisse-
rait la France sans un ami. Il a rappelé enfin
l'isolement de la France, après la première
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et, comme à co moment, un adversaire lui
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était aussi un mot ainsi que le Soudan, allu-
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tout en demeurant une preuve de leur atta-
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failli avoir une conséquence déplorable, en
ce sens qu'elle n'a pas permis à notre alliée
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M. Briand a dit ce que pensent beaucoup
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bérales et humaines, que notre amitié pourra
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DAILY CHRONICLE, 22.10.
LA HAUTE-SILESIE. — PRESSE ALLEMANDE.
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blessent notre sentiment patriotique. En
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