Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1921-06-07
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 07 juin 1921 07 juin 1921
Description : 1921/06/07 (T18,N1769). 1921/06/07 (T18,N1769).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64282976
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
DES
4*Fm*es ÉTRANGÈRES
1 N° 1769
Mardi 7 iuin 1921
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraite
1 et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PripssE ALLEMANDE. — Les déclarations du
1 chancelie;r Wirth : le vote du Reichstag
(Freiheit Vorwaerts, Berliner Tage-
blatt).
PPE
E^SE AMÉRICAINE. — France et Grande-
retagne : M. Lloyd George et - M.
Briand (colonel House dans Public Led-
ger).
Pr\E:ssE ANGLAISE. — France et Grande-Bre-
tagne : un accord général (Times Daily
Telegràph, Daily News, Manchester
Gardian).
I{F:SSE ESPAGNOLE. — Les déclarations du
chg,ncelier Wirth (Epoca).
EsSE BOLLANDAISE. - Les déclarations de
M Briand aux Chambres (Amsterdam-
ner). — Le nouveau gouvernement alle-
Tnand (Nieuwe Courant).
}JI{ESSE ITALIENNE. — France et Allemagne :
« U fie politique d'Allemagne » (Starnpa).
d La Fraince et le Vatican : la reprise
des relations diplomatiques (Rastignac
ans Tribuna).
118 Tribuna )
POLITIQUE GÉNÉRALE
FRANCE ET
GRANDE-BRETAGNE
ACCoRD GENERAL. — De Paris,
Ill~,. 0s arguments en faveur d'une
entre et d'une coopération plus étroite
eiUre 1 France et l'Angleterre Cf. Bull.
n° 1767],, ont considérablement retenu l'at-
4litiort f n France. On les rapproche des
c°tïiirieriaires plus conciliants que les jour-
naux qUI reflètent croit-on, l'opinion de
i ^nân ç5eet ont publiés récemrrfent sur
a Polit; Ske,et ont publiés récemment sur
011 su Ique et les aspirations françaises et
0ri supin l?86 — à tort certainement — que
Cif!lle tlicle est inspiré d'une source offi-
qUi, de argument en faveur d'un accord
1 qui, fait, si même il n'en porte pas le
> S* m^me il nen porte pas le
&CCUih"Ut .très bien être une alliance, est
accueilli , ainsi qu'on pouvait s'y attendre
tette ré hSfaction et on l'approuve, avec
la Il reerve constante que la politique de
! qUe 1 orque ne doit pas être envisagée
et que ia l~r anoe et l'Angleterre devront
discuter a Fronce et l'Angleterre d evron t
a r uur un pied de parfaite égalité. II
q Une ou deux notes discordantes.
La partie éternellement anglophobe de la
presse, par exemple, la Démocratie Nou-
velle, voit. dans cette suggestion un plan
secret destiné à établir l'hégémonie britan-
nique, tandis que l'Action Française, que sa
haine contre M. Briand entraîne nécessai-
rement vers une politique anti-britannique.
émet die graves soupçons. Mais ce sont là
des exceptions, qui ne peuvent oomtre-ba-
lancer des articles comme ceux de M. Phi-
,1 i pe Millet.
Toutes ces discussions ont reporté l'af-
faire silésienne et la convocation d'u Con-
seil au second plan. Mais ceux qui re-
grettent que Downing Street n'ait pas ré-
pondu plus tôt ii la dernière note française
sont rassurés parce qu'ils savent aujour-
d'hui que le gouvernement britannique at-
tend le premier rapport de Sir Harold
Stuart, le successeur du Colonel Percival
en Haute-Silésie.
On croit que le gouvernement britanni-
que ne se bornera pas à traiter dans le
déiail le problème silésien, mais qu'il in-
sistera en outre sur la nécessité d'engager
des conversations franco-britanniques sur
la question d'Angora et la prochaine offen-
sive grecque, sur la continuation de l'occu-
pation de Dussetldorf, la mobilisation des
paiements que l'Allemagne a faits ou
qu'elle fera prochainement.
On dit aussi. — mais je vous transmets
cette information sous toute réserve, —
qu'étant donnée l'importance db program-
me ,le gouvernement britannique demande-
rait que la Conférence eût lieu à Londres,
plutôt qu'à Boulogne.
TIMES, 6.6,
— A la fin de cette seconde année, le monde
entier est inquiet et troublé. Les causes de son
anxiété sont nombreuses : crise économique,
retards dans le règlement de la paix, refus du
Sénat américain de ratifier le Traité, malhon-
nêteté allemande, fluctuations des diplo-
mates et politiciens français- et anglais. La si-
tuation ne se modifiera certainement pas tant
que les grands associés de la guerre n'auront
pas signé un accord politique général. L'Entente
a été fondée sur l'accord, l'accord a gagné la
guerre ; l'accord, seul, peut donc nous permet-
tre de récolter les fruits de la victoire. Si cet
accord avait existé, nous n'aurions jamais
connut le problème silésien par exemple. Bref,
le temps presse. L'Allemagne réclame toute la
Haute-Silésie. Pour prévenir de nouveaux dan-
gers, il importe que les relations franco-anglai-
ses soient définitivement assises sur une base
solide et honnête. Depuis quelque temps il sem-
ble que l'opinion française reconnaisse la né-
cessité d'un tel accord. M. Poincaré l'a demandé
dans la Revue des Deux-Mondes ; le Petit Pa-
risien reconnaît que l'alliance est possible, sans
aucun danger pour la démocratie. M. Benes lui-
même, ministre des Affaires Etrangères de
Tchéco-Slovaquie. a déclaré également que « l'En-
tente franco-britannique est la clef de voûte de
l'édifice européen JJ. Enfin, Pertinax est parti-
san d'une alliance de principe. Mais il deciare
que de vagues accords semblables à ceux de
1901-1914 ne donneraient point satisfaction à la
France. Quant au Matin, il accueille avec satis-
faction un projet d'alliance militaire et politi-
que, et il ajoute cet excellent commentaire
qui doit retenir l'attention des deux côtés de la
Manche et de l'Atlantique : « L'Europe ne peut
rien faire sans une entente entre la France et
l'Angleterre. Mais le monde ne peut rien sans
la collaboration de l'Amérique ». — (Ed.)
TIMES, 6.6.
— De Paris, 5 juin : Quand, il y a quel-
ques semaines, le désaccord franco-anglais
a retenu l'attention du public, nous avons
dit à nos lecteurs que certains Français
étaient d'avis qu'un échange de vues entre
la France et l'Angleterre devenait de plus
en plus désirable. Des allusions récentes
dans la presse anglaise ont amené les jour-
naux français à mettre au premier 'plan la
question de l'accord. En examinant la situa-
tion en Orient, certains journalistes français
laissent'entendre que, pour régler le pro-
blème, la France pourrait prêter main forte
à l'Angleterre ailleurs qu'en Europe, tandis
que l'Angleterre soutiendrait la France en
Europe. Quant à l'accord général, il est
utile de rappeler que, tandis que l'on est
d'accord pour reconnaître qu'un échange de
vues est désirable, pour ne pas dire néces-
saire, certaines personnes autorisées de-
mandent pourtant si le moment est oppor-
tun et déolarent qu'on atteindra plus facile-
ment le but, c'est-à-dire la consolidation de
l'amitié franco-anglaise, quand le trouble
survenu dans les sentiments politiques en
France et en Angleterre aura fait place à
une plus grande confiance réciproque. En-
fin, on insiste sur ce point, que les clauses
de cet accord devraient être plus précises
que celles qui ont été adoptées dans l'ac-
cord de 1901.
DAILY TELEGRAPH, 6.6.
— De Paris, 5 juin : Les discussions à
Londres, à propos d'une alliance possible
entre la France et l'Angleterre prouvent,
dit-on ici, que ses partisans dans le Cabinet
Lloyd George estiment que le moment est
propice pour exposer leur point de vue.
On estime généralement qu'une entente
plus étroite entre la France et l'Angleterre
serait bien accueillie en France où tous les
hommes sensés se rendent compte des gra-
ves conséquences que causerait une rup-
ture, mais on fait toujours remarquer que
la France est victime des concessions que
M Clemenceau a faites afin d'obtenir un
accord avec les Etats-Unis et l'Angleterre,
accord qui aurait donné à la France toute
garantie contre une attaque future, s'il
s'était réalisé. Cet accord, aujourd'hui dé-
chiré, la Grande-Bretagne ne pourrait seule
DES
4*Fm*es ÉTRANGÈRES
1 N° 1769
Mardi 7 iuin 1921
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraite
1 et des résumés, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
PripssE ALLEMANDE. — Les déclarations du
1 chancelie;r Wirth : le vote du Reichstag
(Freiheit Vorwaerts, Berliner Tage-
blatt).
PPE
E^SE AMÉRICAINE. — France et Grande-
retagne : M. Lloyd George et - M.
Briand (colonel House dans Public Led-
ger).
Pr\E:ssE ANGLAISE. — France et Grande-Bre-
tagne : un accord général (Times Daily
Telegràph, Daily News, Manchester
Gardian).
I{F:SSE ESPAGNOLE. — Les déclarations du
chg,ncelier Wirth (Epoca).
EsSE BOLLANDAISE. - Les déclarations de
M Briand aux Chambres (Amsterdam-
ner). — Le nouveau gouvernement alle-
Tnand (Nieuwe Courant).
}JI{ESSE ITALIENNE. — France et Allemagne :
« U fie politique d'Allemagne » (Starnpa).
d La Fraince et le Vatican : la reprise
des relations diplomatiques (Rastignac
ans Tribuna).
118 Tribuna )
POLITIQUE GÉNÉRALE
FRANCE ET
GRANDE-BRETAGNE
ACCoRD GENERAL. — De Paris,
Ill~,. 0s arguments en faveur d'une
entre et d'une coopération plus étroite
eiUre 1 France et l'Angleterre Cf. Bull.
n° 1767],, ont considérablement retenu l'at-
4litiort f n France. On les rapproche des
c°tïiirieriaires plus conciliants que les jour-
naux qUI reflètent croit-on, l'opinion de
i ^nân ç5eet ont publiés récemrrfent sur
a Polit; Ske,et ont publiés récemment sur
011 su Ique et les aspirations françaises et
0ri supin l?86 — à tort certainement — que
Cif!lle tlicle est inspiré d'une source offi-
qUi, de argument en faveur d'un accord
1 qui, fait, si même il n'en porte pas le
> S* m^me il nen porte pas le
&CCUih"Ut .très bien être une alliance, est
accueilli , ainsi qu'on pouvait s'y attendre
tette ré hSfaction et on l'approuve, avec
la Il reerve constante que la politique de
! qUe 1 orque ne doit pas être envisagée
et que ia l~r anoe et l'Angleterre devront
discuter a Fronce et l'Angleterre d evron t
a r uur un pied de parfaite égalité. II
q Une ou deux notes discordantes.
La partie éternellement anglophobe de la
presse, par exemple, la Démocratie Nou-
velle, voit. dans cette suggestion un plan
secret destiné à établir l'hégémonie britan-
nique, tandis que l'Action Française, que sa
haine contre M. Briand entraîne nécessai-
rement vers une politique anti-britannique.
émet die graves soupçons. Mais ce sont là
des exceptions, qui ne peuvent oomtre-ba-
lancer des articles comme ceux de M. Phi-
,1 i pe Millet.
Toutes ces discussions ont reporté l'af-
faire silésienne et la convocation d'u Con-
seil au second plan. Mais ceux qui re-
grettent que Downing Street n'ait pas ré-
pondu plus tôt ii la dernière note française
sont rassurés parce qu'ils savent aujour-
d'hui que le gouvernement britannique at-
tend le premier rapport de Sir Harold
Stuart, le successeur du Colonel Percival
en Haute-Silésie.
On croit que le gouvernement britanni-
que ne se bornera pas à traiter dans le
déiail le problème silésien, mais qu'il in-
sistera en outre sur la nécessité d'engager
des conversations franco-britanniques sur
la question d'Angora et la prochaine offen-
sive grecque, sur la continuation de l'occu-
pation de Dussetldorf, la mobilisation des
paiements que l'Allemagne a faits ou
qu'elle fera prochainement.
On dit aussi. — mais je vous transmets
cette information sous toute réserve, —
qu'étant donnée l'importance db program-
me ,le gouvernement britannique demande-
rait que la Conférence eût lieu à Londres,
plutôt qu'à Boulogne.
TIMES, 6.6,
— A la fin de cette seconde année, le monde
entier est inquiet et troublé. Les causes de son
anxiété sont nombreuses : crise économique,
retards dans le règlement de la paix, refus du
Sénat américain de ratifier le Traité, malhon-
nêteté allemande, fluctuations des diplo-
mates et politiciens français- et anglais. La si-
tuation ne se modifiera certainement pas tant
que les grands associés de la guerre n'auront
pas signé un accord politique général. L'Entente
a été fondée sur l'accord, l'accord a gagné la
guerre ; l'accord, seul, peut donc nous permet-
tre de récolter les fruits de la victoire. Si cet
accord avait existé, nous n'aurions jamais
connut le problème silésien par exemple. Bref,
le temps presse. L'Allemagne réclame toute la
Haute-Silésie. Pour prévenir de nouveaux dan-
gers, il importe que les relations franco-anglai-
ses soient définitivement assises sur une base
solide et honnête. Depuis quelque temps il sem-
ble que l'opinion française reconnaisse la né-
cessité d'un tel accord. M. Poincaré l'a demandé
dans la Revue des Deux-Mondes ; le Petit Pa-
risien reconnaît que l'alliance est possible, sans
aucun danger pour la démocratie. M. Benes lui-
même, ministre des Affaires Etrangères de
Tchéco-Slovaquie. a déclaré également que « l'En-
tente franco-britannique est la clef de voûte de
l'édifice européen JJ. Enfin, Pertinax est parti-
san d'une alliance de principe. Mais il deciare
que de vagues accords semblables à ceux de
1901-1914 ne donneraient point satisfaction à la
France. Quant au Matin, il accueille avec satis-
faction un projet d'alliance militaire et politi-
que, et il ajoute cet excellent commentaire
qui doit retenir l'attention des deux côtés de la
Manche et de l'Atlantique : « L'Europe ne peut
rien faire sans une entente entre la France et
l'Angleterre. Mais le monde ne peut rien sans
la collaboration de l'Amérique ». — (Ed.)
TIMES, 6.6.
— De Paris, 5 juin : Quand, il y a quel-
ques semaines, le désaccord franco-anglais
a retenu l'attention du public, nous avons
dit à nos lecteurs que certains Français
étaient d'avis qu'un échange de vues entre
la France et l'Angleterre devenait de plus
en plus désirable. Des allusions récentes
dans la presse anglaise ont amené les jour-
naux français à mettre au premier 'plan la
question de l'accord. En examinant la situa-
tion en Orient, certains journalistes français
laissent'entendre que, pour régler le pro-
blème, la France pourrait prêter main forte
à l'Angleterre ailleurs qu'en Europe, tandis
que l'Angleterre soutiendrait la France en
Europe. Quant à l'accord général, il est
utile de rappeler que, tandis que l'on est
d'accord pour reconnaître qu'un échange de
vues est désirable, pour ne pas dire néces-
saire, certaines personnes autorisées de-
mandent pourtant si le moment est oppor-
tun et déolarent qu'on atteindra plus facile-
ment le but, c'est-à-dire la consolidation de
l'amitié franco-anglaise, quand le trouble
survenu dans les sentiments politiques en
France et en Angleterre aura fait place à
une plus grande confiance réciproque. En-
fin, on insiste sur ce point, que les clauses
de cet accord devraient être plus précises
que celles qui ont été adoptées dans l'ac-
cord de 1901.
DAILY TELEGRAPH, 6.6.
— De Paris, 5 juin : Les discussions à
Londres, à propos d'une alliance possible
entre la France et l'Angleterre prouvent,
dit-on ici, que ses partisans dans le Cabinet
Lloyd George estiment que le moment est
propice pour exposer leur point de vue.
On estime généralement qu'une entente
plus étroite entre la France et l'Angleterre
serait bien accueillie en France où tous les
hommes sensés se rendent compte des gra-
ves conséquences que causerait une rup-
ture, mais on fait toujours remarquer que
la France est victime des concessions que
M Clemenceau a faites afin d'obtenir un
accord avec les Etats-Unis et l'Angleterre,
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