Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1921-03-03
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 03 mars 1921 03 mars 1921
Description : 1921/03/03 (T17,N1691). 1921/03/03 (T17,N1691).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64254242
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2013
MINISTÈRE
DES
FAIl\ES TRANGÈRES
HEs ÉTRANGÈRES
NI 10 1691
Jeudi 3 mars 1921
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
# traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
jEsSE
La ALLEMANDE. - La Conférence de
lldres : la séance du 1er mars (Neue
a ISch
frQIlr ardlg et la politique anglo-
¡)!\ dai) r <*a*Se (Frankfurter Zeitung).
les .!ERICAINE. — L'aocord de Paris sur
Rations (New Republic). — Le
erce extérieur aux Etats-Unis
vv as h
lngton Post).
PRESSE AN — La Conférence de Lon
d ,GLAISE. - La Conférence de Lon
l'es. ,
(1" les propositions allemandes
9r l'f}'¡,es' Morning Post, Daily Tele-
>J QPh
ch Dally Mail, Daily News, Man-
Ess ester Gu'al'dian, Daily Herald).
F: Ir",
les TALlENNE. — L'accord de Paris sur
les rParations ; un article de M. Nitti
, , eColo et Tempo).
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
l c DE LONDRES
:¡:RENCE DE LONDRES
VISITIONS ALLEMANDES. -
'I! [ta Pre rnars.) — PRESSE ANGLAISE.
'IQt1!t¡anirn Se londonienne du 2.3 (matin)
^nioins le Daily Herald) à dé-
que les con tre-proposi lions alle-
IrlQr es, 101" Sentées Par le Dr Simons, sont
\'■ '0rt cré ■
Vp lPt(ibie ees pa1 le Dr Simons, sont
ceptables ; elle montre la gravité de la
'•e par l'attitude des délégués
e
L ^8' orgaiie radical d'opposi-
r "OIT' este
',I%r e itesi e Sa surprise devant l'offre
e de l'Allemagne, inférieure aux
Qcr' ; il eYnes et des économistes amé-
;il prévoit que les Alliés seront
'1 que les Alliés seront
¡¡Ir (ll\\, 'f eCOurir à des sanctions.
Daily Telegraph et la presse North-
se prononcent nettement pour Vadop-
Is 1 ^e^es de contrainte, dès (lue le
ril\ Ire de contrainte, dès que le
ernagne sera définitif. Toute-
1:Ir¡Q 'rtf)1tlJell n ecarte pas la possibilité
\r n°^De//es de la part des délégués
nouvelles de la part des délégués
, le
.eCn ,T'r¡e?rt Herald semble croire que
ent britannique, sous l'in.
nn6 et lMlge, hésitera d prendre
-- hésitera à prendre
— En vérité, on ne peut guère commenter avec
calme une telle combinaison de ruses, d'impu-
dence et de chicane et l'on comprend que
M. Lloyd George n'ait pu se contenir. La dé-
cision prise par les Alliés est parfaitement juste :
les propositions allemandes sont inadmissibles.
On ne sait encore si les Allemands seront en-
tendus de nouveau. Ils ont probablement toute
une série de contre-propositions et de projets
« à tiroir » qui contiennent chacun des conces-
sions nouvelles : c'est, en effet, la tradition de
la Wilhelmstrasse !
S'ils ont vraiment, au fond de leur ser-
viette, une suggestion pratique, qu'ils la
produisent ! S'ils n'ont rien de mieux à dire,
les Alliés n'ont plus qu'à leur annoncer que
des mesures énergiques seront prises à une
date fixe, à moins qu'avant cette date ils
n'acceptent les propositions des Alliés. L'ex-
posé du Dr Simons n'est peut-être pas
(et n'est probablement pas) le dernier mot
de l'Allemagne. Mais c'est la première dé-
claration « tangible » et officielle des vues
de son gouvernement et les Alliés doivent
considérer cette répétition du refus alle-
mand comme une déclaration voulue et étu-
diée. Il n'y a qu'une façon de relever un tel
défi. Aucune déclaration du Premier Mi-
nistre au nom des Alliés, si énergique fût-
elle, n'impressionnera les délégués alle-
mands ou l'Allemagne, si elle ne repose
pas sur cet avertissement clair et net, à sa-
voir que, si cela est nécessaire, les Alliés
procéderont à une action commune, afin
d'obtenir l'exécution de mesures qu'ils ont
adoptées ensemble. Pour que cet avertisse-
ment soit compris de l'Allemagne, il faut
avoir soin d'insister sur ce fait que l'action,
comme les propositions, réunira tous les
Alliés.
Lorsque les délégués allemands recevront de-
main cet avertissement, Berlin comprendra
qu'il n'y a plus rien à faire, et cédera. Berlin a
voulu bluffer. Mais lorsque les Alliés auront
dénoncé le bluff, celui-ci prendra fin. — (Ed.)
TIMES, 2.3.
— Par son exploit d'hier, le Dr Simons
facilite la tâche aux Alliés. — Un diplomate
intelligent aurait essayé de les diviser. Au
contraire, le Dr Simons a étouffé l'opposi-
tion et l'hésitation qui auraient pu se ma-
nifester et il a donné aux Alliés cette unité
de vues, qu'ils n'ont point connue depuis
novembre 1918. Le comte Brockdorff-Rant-
zau a ému les hésitants, à Versailles. Mais
lo Dr Simons a fait mieux encore que le
hautain protégé de Postdam. Il suivra pro-
bablement ensuite l'exemple de l'infortuné
Brockdorff et donnera sa démission. Le
Dr Simons a fait, en effet, hier, des proposi-
tions qui si elles avaient été acceptées, fe-
raient passer M. Keynes lui-même pour
« une sangsue ». Bref, ce discours a rendu
un grand service aux Alliés. Demain, on
envisagera les sanctions : parmi celles-ci,
la création d'une barrière économique sur le
Rhin et l'extension de la période d'occupa-
tion peuvent être appliquées immédiate-
ment. Les autres suivront à la date fixée, si
l'Allemagne persiste. La tragédie du dis-
cours d'hier, car c'est une véritable tragé-
die, proclame au monde que l'Allemagne
ne se rend pas encore compte de son crime.
Il faut donc qu'elle reçoive une leçon, et
nous espérons que les Alliés sauront éclai-
rer son jugement, même si l'opération doit
être douloureuse. — (Ed.)
MORNING POST, 2.3.
- Sous le titre : « LE REFUS ALLEMAND ».
- Les propositions allemandes tendront
beaucoup en un sens à simplifier la situa-
tion : aucune divergence ne peut s'élever
entre les Alliés sur le sort à leur réserver.
Personne n'était préparé à une offre aussi
fantastique. Et ceci, pour les meilleures
raisons, puisque la somme mentionnée
par M. Simons est bien inférieure à celle
examinée par la presse allemande, sans
parler des chiffres de l'accord de Paris.
M. Keynes lui-même a évalué à un taux bien
supérieur le montant recouvrable. En somme
les propositions allemandes sont absurdes
à tout point de vue, et il est impossible
de penser que leurs auteurs aient - pu
croire qu'elles seraient retenues un ins
tant. Que dire, par exemple, de l'estimation
des paiements déjà effectués par l'Alle-
magne ?
Fort heureusement les Alliés, sans pré-
voir cependant une pareille attitude de
défi, avaient pleinement envisagé un refus
de l'Allemagne de satisfaire à ses obliga
tions. On avait mis à l'étude depuis quelque
temps les mesures éventuelles à prendre
en ce cas. Il n'y a donc plus, maintenant,
qu'à se prononcer sur le choix des mé-
thodes, militaires et économiques, èsti-
nées à assurer l'exécution des clauses du
traité relatives aux réparations et sur la
date d'exécution. Si le gouvernement de
Berlin persiste dans son attitude, l'Angle-
terre Ille peut avoir le moindre doute sur la
nécessité qui s'impose à elle de seconder
la France par tous les moyens - action
navale ou pression économique - qui pa-
raltront opportuns.
La France est naturellement prête ;
elle est même résolue à recourir aux
mesures les plus énergiques ; elle agira
sans doute dès que le refus de l'Allemagne
sera prononcé de façon formelle. Elle est
convaincue que l'Allemagne doit supporter
les conséquences légitimes de la défaite, à
laquelle a abouti l'invasion barbare de son
territoire; elle n'accepte pas que l'ennemi,
battu sur son sol dévasté, s'en tire à sa
faveur. Dans cette détermination, elle ren-
contre l'appui et la sympathie cordiale du
DES
FAIl\ES TRANGÈRES
HEs ÉTRANGÈRES
NI 10 1691
Jeudi 3 mars 1921
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
NOTA. — Il est donné ci-dessous des traductions, intégrales ou par extraits,
et des résumes, ceux-ci imprimés en petits caractères. Les articles
# traduits intégralement sont précédés d'un astérisque.
SOMMAIRE
jEsSE
La ALLEMANDE. - La Conférence de
lldres : la séance du 1er mars (Neue
a ISch
¡)!\ dai) r <*a*Se (Frankfurter Zeitung).
les .!ERICAINE. — L'aocord de Paris sur
Rations (New Republic). — Le
erce extérieur aux Etats-Unis
vv as h
lngton Post).
PRESSE AN — La Conférence de Lon
d ,GLAISE. - La Conférence de Lon
l'es. ,
(1" les propositions allemandes
9r l'f}'¡,es' Morning Post, Daily Tele-
>J QPh
ch Dally Mail, Daily News, Man-
Ess ester Gu'al'dian, Daily Herald).
F: Ir",
les TALlENNE. — L'accord de Paris sur
les rParations ; un article de M. Nitti
, , eColo et Tempo).
POLITIQUE GÉNÉRALE
ET DIPLOMATIE
l c DE LONDRES
:¡:RENCE DE LONDRES
VISITIONS ALLEMANDES. -
'I! [ta Pre rnars.) — PRESSE ANGLAISE.
'IQt1!t¡anirn Se londonienne du 2.3 (matin)
^nioins le Daily Herald) à dé-
que les con tre-proposi lions alle-
IrlQr es, 101" Sentées Par le Dr Simons, sont
\'■ '0rt cré ■
Vp lPt(ibie ees pa1 le Dr Simons, sont
ceptables ; elle montre la gravité de la
'•e par l'attitude des délégués
e
L ^8' orgaiie radical d'opposi-
r "OIT' este
',I%r e itesi e Sa surprise devant l'offre
e de l'Allemagne, inférieure aux
Qcr' ; il eYnes et des économistes amé-
;il prévoit que les Alliés seront
'1 que les Alliés seront
¡¡Ir (ll\\, 'f eCOurir à des sanctions.
Daily Telegraph et la presse North-
se prononcent nettement pour Vadop-
Is 1 ^e^es de contrainte, dès (lue le
ril\ Ire de contrainte, dès que le
ernagne sera définitif. Toute-
1:Ir¡Q 'rtf)1tlJell n ecarte pas la possibilité
\r n°^De//es de la part des délégués
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, le
.eCn ,T'r¡e?rt Herald semble croire que
ent britannique, sous l'in.
nn6 et lMlge, hésitera d prendre
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— En vérité, on ne peut guère commenter avec
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M. Lloyd George n'ait pu se contenir. La dé-
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les propositions allemandes sont inadmissibles.
On ne sait encore si les Allemands seront en-
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sions nouvelles : c'est, en effet, la tradition de
la Wilhelmstrasse !
S'ils ont vraiment, au fond de leur ser-
viette, une suggestion pratique, qu'ils la
produisent ! S'ils n'ont rien de mieux à dire,
les Alliés n'ont plus qu'à leur annoncer que
des mesures énergiques seront prises à une
date fixe, à moins qu'avant cette date ils
n'acceptent les propositions des Alliés. L'ex-
posé du Dr Simons n'est peut-être pas
(et n'est probablement pas) le dernier mot
de l'Allemagne. Mais c'est la première dé-
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de son gouvernement et les Alliés doivent
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mand comme une déclaration voulue et étu-
diée. Il n'y a qu'une façon de relever un tel
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elle, n'impressionnera les délégués alle-
mands ou l'Allemagne, si elle ne repose
pas sur cet avertissement clair et net, à sa-
voir que, si cela est nécessaire, les Alliés
procéderont à une action commune, afin
d'obtenir l'exécution de mesures qu'ils ont
adoptées ensemble. Pour que cet avertisse-
ment soit compris de l'Allemagne, il faut
avoir soin d'insister sur ce fait que l'action,
comme les propositions, réunira tous les
Alliés.
Lorsque les délégués allemands recevront de-
main cet avertissement, Berlin comprendra
qu'il n'y a plus rien à faire, et cédera. Berlin a
voulu bluffer. Mais lorsque les Alliés auront
dénoncé le bluff, celui-ci prendra fin. — (Ed.)
TIMES, 2.3.
— Par son exploit d'hier, le Dr Simons
facilite la tâche aux Alliés. — Un diplomate
intelligent aurait essayé de les diviser. Au
contraire, le Dr Simons a étouffé l'opposi-
tion et l'hésitation qui auraient pu se ma-
nifester et il a donné aux Alliés cette unité
de vues, qu'ils n'ont point connue depuis
novembre 1918. Le comte Brockdorff-Rant-
zau a ému les hésitants, à Versailles. Mais
lo Dr Simons a fait mieux encore que le
hautain protégé de Postdam. Il suivra pro-
bablement ensuite l'exemple de l'infortuné
Brockdorff et donnera sa démission. Le
Dr Simons a fait, en effet, hier, des proposi-
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raient passer M. Keynes lui-même pour
« une sangsue ». Bref, ce discours a rendu
un grand service aux Alliés. Demain, on
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Rhin et l'extension de la période d'occupa-
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ment. Les autres suivront à la date fixée, si
l'Allemagne persiste. La tragédie du dis-
cours d'hier, car c'est une véritable tragé-
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ne se rend pas encore compte de son crime.
Il faut donc qu'elle reçoive une leçon, et
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MORNING POST, 2.3.
- Sous le titre : « LE REFUS ALLEMAND ».
- Les propositions allemandes tendront
beaucoup en un sens à simplifier la situa-
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entre les Alliés sur le sort à leur réserver.
Personne n'était préparé à une offre aussi
fantastique. Et ceci, pour les meilleures
raisons, puisque la somme mentionnée
par M. Simons est bien inférieure à celle
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parler des chiffres de l'accord de Paris.
M. Keynes lui-même a évalué à un taux bien
supérieur le montant recouvrable. En somme
les propositions allemandes sont absurdes
à tout point de vue, et il est impossible
de penser que leurs auteurs aient - pu
croire qu'elles seraient retenues un ins
tant. Que dire, par exemple, de l'estimation
des paiements déjà effectués par l'Alle-
magne ?
Fort heureusement les Alliés, sans pré-
voir cependant une pareille attitude de
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temps les mesures éventuelles à prendre
en ce cas. Il n'y a donc plus, maintenant,
qu'à se prononcer sur le choix des mé-
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nées à assurer l'exécution des clauses du
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date d'exécution. Si le gouvernement de
Berlin persiste dans son attitude, l'Angle-
terre Ille peut avoir le moindre doute sur la
nécessité qui s'impose à elle de seconder
la France par tous les moyens - action
navale ou pression économique - qui pa-
raltront opportuns.
La France est naturellement prête ;
elle est même résolue à recourir aux
mesures les plus énergiques ; elle agira
sans doute dès que le refus de l'Allemagne
sera prononcé de façon formelle. Elle est
convaincue que l'Allemagne doit supporter
les conséquences légitimes de la défaite, à
laquelle a abouti l'invasion barbare de son
territoire; elle n'accepte pas que l'ennemi,
battu sur son sol dévasté, s'en tire à sa
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