Titre : Bulletin quotidien de presse étrangère
Auteur : France. Ministère de la guerre (1791-1936). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère des affaires étrangères (1588-2007). Auteur du texte
Auteur : France. Ministère de la défense. Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1916-09-27
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32732912f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 60753 Nombre total de vues : 60753
Description : 27 septembre 1916 27 septembre 1916
Description : 1916/09/27 (T3,N210). 1916/09/27 (T3,N210).
Description : Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique... Collection numérique : Bibliothèque Diplomatique Numérique
Description : Collection numérique : Histoire diplomatique :... Collection numérique : Histoire diplomatique : d'une guerre à l'autre (1914-1945)
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6235728j
Source : Ministère des Affaires étrangères, 2012-17626
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 24/10/2012
** de LA GUERRE
5* Bau)
et DES
^'hesjëthangëres
1 N° 210
Puris, 27 septembre 1916.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Etrangères.
! QUESTIONS MILITAIRES
Y CRITIQUE DES OPERATIONS
ff oriental. — La Russie a perdu plus
Inillions d'hommes, les soldats ont été
îkr. inés sans compter, la situation inté-
est peu brillante ; mais nous ne de-
Ss Pas oublier que depuis le désastre de
ji Prodiges ont été accomplis dans
s de i- Tous les soldats sont péné-
a de 1,1 -e de patriotisme, leur bravoure
leerit de sacrifice sont très grands.
es inS^r'es guerre ont fait des pro-
et les 0" es, les lignes de chemins de fer
fil sV^Ces de ravitaillement sont com-
f •eiûent^organisés. Les services auxi- !
été armée et les troupes techniques
ormés et donnent un rende-
* ti'i S supérieur. Et, chose prodigieuse,
tout cela Pu être réalisé malgré la corrup-
Q de ous les fonctionnaires. La volonté
,«vair 6 rneure très forte en Russie, on
la Muserien • l'armée. Le plus grand mi-
à l'arm-ée. Le plus grand mi-
«b festCePendant l'approvisionnement
°nts J;*18' il faut dire que les gens com-
la ~s
t le .hte. Nulle part les Russes jus-
Qu'onAt Iïl?n(Iué de munitions au cours
1rs rrnières offensives. t— (V. Salz-
,
iha >} Vnt Sc"eZ'9-, 21.9.
1) déciderbalkaniques. — L'Italie vient de
£ eci<îer c llaborer plus activement aux
à eOllaborei, plus activement aux
blaSQit lJ. alkaniques. Même si elle four-
0« expéditionnaire considéra-
ssait un corps expéditionnaire considéra-
blt le général Sarrail ne pourrait pas
^Pher des Obstacles infranchissables
sitiw ? rrïie io *
0l* ant? v!onJ de Macédoine. Dans la
n il n'aurait chance de suc-
îlt 1u avec ill 11 million d'hommes au moins.
tn, Oubli Oris Pas que nous entrons dans la
an ~~e nous entrons dans la
arinée de guerre et que les ar-
^Inh^co.A^0^8. ont fortement souffert.
~~anco nglals ont remporté, grâce à
ùn succès politique, mais le suc-
la i it,,,,, qUI récemment semblait pro-
iest de nouveau évanoui dans le loin-
L; Vi(lemiv on a exploité habilement
vMiPt, ^Uestim? 8 contre les Bulgares. Il
sûr aussi d'une menace des
p i8twcoiisne„t,cir • nc bulgare. La situation
Se? alliés 2 Xl§e certainement une gran-
S hn i.à n'y tenir S1 cause de l'étendue des
terlir et du ravitaillement, cepen-
11 Pra nhl. Z, 22.9.
.ZtQ229eni li6U d8 s'inquiéter.
tùltk te a' g., 22.9.
^e" -:- Le capitaine aviateur
%irs été Iliterviewé par un des rédac-
t Ne'York World et ses réponses
i le P enuniqllées au Iokal-Anzeiger
s au numéro du 11.9.
S? « aï ( Hns son numéro du 11.9.
Allemands ne consi-
viNe t ^viatÎA 11 comme un sport, mais
tâchoI /! ï1 il s'acquitte en ser-
ais' rnaidé - Sur les 20 aviateurs qu'il a
, Wils seulement ont été sauvés : un
ais' ^ilson et un officier français. Il ne
voit pas de grande différence entre la fa-
çon de combattre des Anglais et celle des
Français. Toutefois les Anglais apportent
dans leur façon d'attaquer un certain esprit
sportif tandis que les Français y mettent
une sorte de fatalisme farouche. Bôlcke a
été plusieurs fois blessé, mais jamais griè-
vement. Il vole toujours seul et la place de
l'observateur sur son avion est toujours
vide. Si les aviateurs allemands préfèrent
combattre au-dessus de leurs propres lignes
c'est afin de faire prisonnier l'adversaire
qu'ils abattent et d'empêcher leurs ennemis
de reprendre et de réparer leurs appareil-s
descendus. Il n'a pas de tactique particu-
lière. Il s'efforce seulement « d'empoigner »
son adversaire avant d'être « empoigné »
lui-même. Il a eu 5 appareils détruits sous
lui, mais il a toujours réussi à gagner le sol
en vol plané. Son avion préféré est plus pe-
tit que les appareils de combat français et
anglais et vu de près ressemble au corps
d'un oiseau. Le correspondant du New York
World a vu à Cambrai trois aviateurs an-
glais prisonniers : le lieutenant Ronald Wal-
ker, le sous-lieutenant Smith et le capitaine
Salmond.
Considérations d'ensemble. — Le Trentin,
Loutsk, la Roumanie, trois noms qui ont une
importance capitale pour le cours de la
guerre. Il y a eu pour les Puissances cen-
trales des hauts et des bas, comme a dit
Hindenburg, mais d'une façon générale la
situation est favorable pour nous. Avec no-
tre offensive sur Verdun, le centre des opé-
rations s'est trouvé, de par notre volonté,
transporté à l'Ouest. Verdun et la Somme
sont nés de la même pensée. Les deux ba-
tailles se sont développées parallèlement et
d'une façon gigantesque ; l'idée maîtresse
est que la décision doit avoir lieu sur le
théâtre occidental. Cependant malgré un
héroïsme admirable et les sacrifices les
plus durs, aucune décision ne s'est pro-
duite. Peu à peu la diversion de la Somme
est devenue un élément important dans le
plan gigantesque élaboré par l'Entente.
C'est contre la volonté des Puissances cen-
trales que ce changement s'est accompli. —
Frankf. Ztg., 22.9.
MATERIEL
Angleterre. — Après une visite à Glas-
gow, un correspondant décrit, dans lelVorld
20.8, les chantiers de la Clyde. De nombreu-
ses femmes y sont occupées, et, grâce à
l'activité fébrile et au patriotisme des ou-
vriers, qui permettent le maximum de
rendement, l'Angleterre dispose aujour-
d'hui d'une flotte considérablement supé-
rieure à celle qu'elle avait au début de la
guerre. Les navires, de types nouveaux,
sont plus puissants et plus rapides que tous
ceux connus jusqu'ici. Même en tenant
compte de l'activité accrue des chantiers al-
lemands, la flotte anglaise est aujourd'hui
tellement supérieure à la flotte allemande
que cette supériorité est absolument impres-
criptible. Cependant, la construction est
poussée avec la même fièvre. La politique
anglaise est en effet de mettre l'Allemagne,
à la fin de la guerre, en présence d'une ma-
rine anglaise si puissante que toute idée de
rivalité avec l'Angleterre sur les mers dis-
paraîtra de l'âme allemande.
— Du récit d'une visite à la flotte an-
glaise publié par le World, 27.8 : « J'ai
visité un grand navire qui prit part à
la bataille du Jutland, et, d'après ses
officiers, y coula un dreadnought alle-
mand. Le nom de cette merveille est in-
connu du public, et n'est pas mentionné dans
le rapport de l'amiral Jellicoe. Le calibre de
ses canons est un secret. Elle représente le
dernier mot de ce qui est sur l'eau, bien que
j'aie vu des monstres plus puissants en
cours de construction dans les chantiers de
la Clyde : elle est considérablement plus
grosse et plus puissamment armée, que les
navires du type Queen Elizabeth ». Le cor-
respondant a aussi vu des navires d'un type
nouveau, ni destroyers, ni croiseurs légers,
dont la vitesse « aurait pu leur faire gagner
des coupes de canots automobiles il y a seu-
lement quelques années », qu'il appelle les
« conducteurs de la flotte ». Leur mission
est de la renseigner sur les mouvements de
l'ennemi, de la protéger contre ses attaques,
ou de l'attaquer lui-même. Ils ont joué un
rôle considérable à la bataille du Jutland.
QUESTIONS SANITAIRES
Angleterre. — Un officier retraité, le com-
mandant Maclure, s'occupe activement de
faire adopter dans l'armée britannique un
système qui sauverait la vie à de nombreux
blessés qui meurent par hémorragie. Son
système consisterait simplement à faire re-
mettre à chaque homme une brochure con-
tenant un diagramme sur lequel seraient
indiqués par des points les endroits à com-
primer en cas d'hémorragie. L'adoption de
ce système dans certaines unités a déjà
sauvé des centaines de vies. — Manchest.
Guard., 23.9.
ORGANISATION
Roumanie. — Les ministères et les ad-
ministrations publiques ont payé par anti-
cipation les appointements de tous les fonc-
tionnaires mobilisés. — Epoca, 19.8/1.9.
Légions polonaises. — Sur la proposition
du commandement en chef, un rescrit impé-
rial confère aux légions polonaises de Gali-
cie le nom de « Corps polonais de complé-
ment ». Leurs cadres seront élargis. Les of-
ficiers autrichiens qui leur seront affectés
porteront l'uniforme polonais. Les régiments
recevront des drapeaux aux couleurs natio-
nales, imités de ceux de 1831. — Glos Na-
rodu, 20.9.
ESPIONNAGE
France. — Quand les Allemands ont mis
miss Cavell à mort pour espionnage, les
échos ont partout résonné, aux Etats-Unis,
du bruit de protestations hystériques.
Dernièrement, à Marseille, les Français ont
5* Bau)
et DES
^'hesjëthangëres
1 N° 210
Puris, 27 septembre 1916.
Bulletin Quotidien de Presse Etrangère
CONFIDENTIEL
NOTA. — Les renseignements ci-dessous, d'un caractère
confidentiel, ne peuvent être reproduits ou utilisés
qu'avec une autorisation spéciale de MM. les Ministres
de la Guerre et des Affaires Etrangères.
! QUESTIONS MILITAIRES
Y CRITIQUE DES OPERATIONS
ff oriental. — La Russie a perdu plus
Inillions d'hommes, les soldats ont été
îkr. inés sans compter, la situation inté-
est peu brillante ; mais nous ne de-
Ss Pas oublier que depuis le désastre de
ji Prodiges ont été accomplis dans
s de i- Tous les soldats sont péné-
a de 1,1 -e de patriotisme, leur bravoure
leerit de sacrifice sont très grands.
es inS^r'es guerre ont fait des pro-
et les 0" es, les lignes de chemins de fer
fil sV^Ces de ravitaillement sont com-
f •eiûent^organisés. Les services auxi- !
été armée et les troupes techniques
ormés et donnent un rende-
* ti'i S supérieur. Et, chose prodigieuse,
tout cela Pu être réalisé malgré la corrup-
Q de ous les fonctionnaires. La volonté
,«vair 6 rneure très forte en Russie, on
la Muserien • l'armée. Le plus grand mi-
à l'arm-ée. Le plus grand mi-
«b festCePendant l'approvisionnement
°nts J;*18' il faut dire que les gens com-
la ~s
Qu'onAt Iïl?n(Iué de munitions au cours
1rs rrnières offensives. t— (V. Salz-
,
iha >} Vnt Sc"eZ'9-, 21.9.
1) déciderbalkaniques. — L'Italie vient de
£ eci<îer c llaborer plus activement aux
à eOllaborei, plus activement aux
blaSQit lJ. alkaniques. Même si elle four-
0« expéditionnaire considéra-
ssait un corps expéditionnaire considéra-
blt le général Sarrail ne pourrait pas
^Pher des Obstacles infranchissables
sitiw ? rrïie io *
0l* ant? v!onJ de Macédoine. Dans la
n il n'aurait chance de suc-
îlt 1u avec ill 11 million d'hommes au moins.
tn, Oubli Oris Pas que nous entrons dans la
an ~~e nous entrons dans la
arinée de guerre et que les ar-
^Inh^co.A^0^8. ont fortement souffert.
~~anco nglals ont remporté, grâce à
ùn succès politique, mais le suc-
la i it,,,,, qUI récemment semblait pro-
iest de nouveau évanoui dans le loin-
L; Vi(lemiv on a exploité habilement
vMiPt, ^Uestim? 8 contre les Bulgares. Il
sûr aussi d'une menace des
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Se? alliés 2 Xl§e certainement une gran-
S hn i.à n'y tenir S1 cause de l'étendue des
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11 Pra nhl. Z, 22.9.
.ZtQ229eni li6U d8 s'inquiéter.
tùltk te a' g., 22.9.
^e" -:- Le capitaine aviateur
%irs été Iliterviewé par un des rédac-
t Ne'York World et ses réponses
i le P enuniqllées au Iokal-Anzeiger
s au numéro du 11.9.
S? « aï ( Hns son numéro du 11.9.
Allemands ne consi-
viNe t ^viatÎA 11 comme un sport, mais
tâchoI /! ï1 il s'acquitte en ser-
ais' rnaidé - Sur les 20 aviateurs qu'il a
, Wils seulement ont été sauvés : un
ais' ^ilson et un officier français. Il ne
voit pas de grande différence entre la fa-
çon de combattre des Anglais et celle des
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dans leur façon d'attaquer un certain esprit
sportif tandis que les Français y mettent
une sorte de fatalisme farouche. Bôlcke a
été plusieurs fois blessé, mais jamais griè-
vement. Il vole toujours seul et la place de
l'observateur sur son avion est toujours
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combattre au-dessus de leurs propres lignes
c'est afin de faire prisonnier l'adversaire
qu'ils abattent et d'empêcher leurs ennemis
de reprendre et de réparer leurs appareil-s
descendus. Il n'a pas de tactique particu-
lière. Il s'efforce seulement « d'empoigner »
son adversaire avant d'être « empoigné »
lui-même. Il a eu 5 appareils détruits sous
lui, mais il a toujours réussi à gagner le sol
en vol plané. Son avion préféré est plus pe-
tit que les appareils de combat français et
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d'un oiseau. Le correspondant du New York
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Salmond.
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Loutsk, la Roumanie, trois noms qui ont une
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guerre. Il y a eu pour les Puissances cen-
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Hindenburg, mais d'une façon générale la
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tre offensive sur Verdun, le centre des opé-
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transporté à l'Ouest. Verdun et la Somme
sont nés de la même pensée. Les deux ba-
tailles se sont développées parallèlement et
d'une façon gigantesque ; l'idée maîtresse
est que la décision doit avoir lieu sur le
théâtre occidental. Cependant malgré un
héroïsme admirable et les sacrifices les
plus durs, aucune décision ne s'est pro-
duite. Peu à peu la diversion de la Somme
est devenue un élément important dans le
plan gigantesque élaboré par l'Entente.
C'est contre la volonté des Puissances cen-
trales que ce changement s'est accompli. —
Frankf. Ztg., 22.9.
MATERIEL
Angleterre. — Après une visite à Glas-
gow, un correspondant décrit, dans lelVorld
20.8, les chantiers de la Clyde. De nombreu-
ses femmes y sont occupées, et, grâce à
l'activité fébrile et au patriotisme des ou-
vriers, qui permettent le maximum de
rendement, l'Angleterre dispose aujour-
d'hui d'une flotte considérablement supé-
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guerre. Les navires, de types nouveaux,
sont plus puissants et plus rapides que tous
ceux connus jusqu'ici. Même en tenant
compte de l'activité accrue des chantiers al-
lemands, la flotte anglaise est aujourd'hui
tellement supérieure à la flotte allemande
que cette supériorité est absolument impres-
criptible. Cependant, la construction est
poussée avec la même fièvre. La politique
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à la fin de la guerre, en présence d'une ma-
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rivalité avec l'Angleterre sur les mers dis-
paraîtra de l'âme allemande.
— Du récit d'une visite à la flotte an-
glaise publié par le World, 27.8 : « J'ai
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la bataille du Jutland, et, d'après ses
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mand. Le nom de cette merveille est in-
connu du public, et n'est pas mentionné dans
le rapport de l'amiral Jellicoe. Le calibre de
ses canons est un secret. Elle représente le
dernier mot de ce qui est sur l'eau, bien que
j'aie vu des monstres plus puissants en
cours de construction dans les chantiers de
la Clyde : elle est considérablement plus
grosse et plus puissamment armée, que les
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nouveau, ni destroyers, ni croiseurs légers,
dont la vitesse « aurait pu leur faire gagner
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lement quelques années », qu'il appelle les
« conducteurs de la flotte ». Leur mission
est de la renseigner sur les mouvements de
l'ennemi, de la protéger contre ses attaques,
ou de l'attaquer lui-même. Ils ont joué un
rôle considérable à la bataille du Jutland.
QUESTIONS SANITAIRES
Angleterre. — Un officier retraité, le com-
mandant Maclure, s'occupe activement de
faire adopter dans l'armée britannique un
système qui sauverait la vie à de nombreux
blessés qui meurent par hémorragie. Son
système consisterait simplement à faire re-
mettre à chaque homme une brochure con-
tenant un diagramme sur lequel seraient
indiqués par des points les endroits à com-
primer en cas d'hémorragie. L'adoption de
ce système dans certaines unités a déjà
sauvé des centaines de vies. — Manchest.
Guard., 23.9.
ORGANISATION
Roumanie. — Les ministères et les ad-
ministrations publiques ont payé par anti-
cipation les appointements de tous les fonc-
tionnaires mobilisés. — Epoca, 19.8/1.9.
Légions polonaises. — Sur la proposition
du commandement en chef, un rescrit impé-
rial confère aux légions polonaises de Gali-
cie le nom de « Corps polonais de complé-
ment ». Leurs cadres seront élargis. Les of-
ficiers autrichiens qui leur seront affectés
porteront l'uniforme polonais. Les régiments
recevront des drapeaux aux couleurs natio-
nales, imités de ceux de 1831. — Glos Na-
rodu, 20.9.
ESPIONNAGE
France. — Quand les Allemands ont mis
miss Cavell à mort pour espionnage, les
échos ont partout résonné, aux Etats-Unis,
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