Titre : L'Équipe : le stade, l'air, la route
Éditeur : L'Équipe (Paris)
Éditeur : L'ÉquipeL'Équipe (Issy-les-Moulineaux)
Date d'édition : 1949-05-02
Contributeur : Thominet, Patrice. Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32768368g
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Description : 02 mai 1949 02 mai 1949
Description : 1949/05/02 (A4,N953). 1949/05/02 (A4,N953).
Description : Collection numérique : Musée national du sport. Collection numérique : Musée national du sport.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bd6t599419h
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JOD-261
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 25/04/2021
s3ESK^EK
*==“0 0 ; Tr»>qI
u - v entj
’
L’HOîX]
SIE]\
an * Patt v
° r Ph|
Vfe t M
S,
-m£ÏÏ\ 4 ’,4
ncontre p a „ I
’ rh °mas J 1
mat du c , n <
ial n- 2
le bm ande cl
but a été
lc e du «
fut a ? res s rf 1
y- Lorsq Ue ®
x ba.les de fl
cher conservai
' lct0l re et mÎI
11Æ . battu r.j]
Bernard
affronta pj
\ agneau se !
d se décida à ,
>anquVnt7 e d )
l défa ire un |
— Samedi ;
0, 6-3, 6-0 •
7-5, 6-1 _1
Patty é-3, il
b. M. Bernard
it Paris : i.vj
ional ClJ
ssais de d J
donna hier
dpes des inl
lt et de Grand*]
tt samedi et 1
l-Garros. 11
B Harper ,
' ler - A. G. R 0 w
axter.
trotra, BolelUf
Rémy. Dubui.
oyons que i a ]
classique roi
imes es ais i
notre double:
nsi que nous!
Rémy-Thom;
de cni
sur sa
taré au'il
nbledon le 25*]
nnats de Front
composée de]
cho GonzalèsY
Margaret
du simple
britanniques su
Pedro Mi
ar 6-3. 4-6,
Utant Miss
remporté le
louth, la finale
:x Espagnols
zurs de Elia{
gne) par 6-0,
ES NOUVELLE
du Champioua
zalès a battu f
î/3.
Dupd
vitvo
ty mobilisé
>rresp. gén. JJ
— Alex Ja
é, mais les Dd
nt profiter de]
t. Jany a, en
‘ Train, le rég
Rappelons, en
s » toulousains!
r le titre D#
A L'EAUi
U7L
mène d'abord (6-0). mais sous la pression de Maihea
s’effondre sur ta fin
(De notre envoyé spécial Marcel de LABORDERIE)
risTRES b. TOULON 17-6 (3-6). — Temps couvert et froid. Bon ter-
Recette; L-lOtl.ooo fr pour Ht.OOO spectateurs Arbitrage d’une clair-
J> .-énergie du Briviste M. Taddei. Pour Castres. 2 essais; Siman (43®),
!î) ï "]l (750. transformé pai Antoine ; 3 buts sur coup de pied de pénalité
W-,l3& et 7o*>, Moreno (30'). Pour Poutou 3 buts sur coup de pied de
|«IJj’ ( e é . Battaglini (13 et 22')
î3 . _ Ou avait dit nu match Castres-Toulon qu’il constituait la
■ finale Pour l’honneur du rugby français et pour cîlui du Chant.
4“L France, nous pensons qu’il n’en est rien et que notre rugby
liment mieux que celui qui nous fut servi sur le lointain terrain
r (jeorges-Lyvet, dans la bàn-_
les deux essais marqués par les Cas
trais Siman et Kapanol, sont deux
cadeaux que leur offrirent Bodrero et
Frois par deux erreurs monumentales.
• N’insistons pas sur la qualité du
match de Lyon. Nous nous réservons
d’en citer plus tard les beaux épisodes
dus à Matheu, à Cbanfreau. à Bo
drero. à Battaglini, mais insistons sur
son caractère palpitant. Tout d’abord,
profitant du vent qui soufflait dans
le sens de la longueur du terrain,
les Toulonnais avaient pris l’avantage.
Le géant italien Battaglini bottait
deux buts sur coup de pied de péna
lité dont l’un était réussi des 55 mè
très. C’est miraole qu’il n’en réussit
pas d'autre, car le ballon, botté des
60 mètres, quelquefois tombait au pied
des poteaux.
Toujours est-il que Toulon avait
l’avance de 6 à 0. Pierre Antoine,
émule de Battaglini. réussit lui aussi
ud but. A la mi-temps, l’avance dé
Toulon était encore de 6 à 3.
Conversant à ce moment-là avec
l'ancien capitaine de l’équipe de Fran
ce. Louis Junquas, présent à la ren
contre. nous analysions rapidement
le jeu des deux équipes, et nous tom
bions d’accord pour déclarer que Tou
lon avait, en réalité, laissé passer sa
chance en première mi-temps, et
qu’avec le changement de camps. Cas
très devait à coup sûr l’emporter.
[If°y n uX point mettre en doute
if, jté de l'équipe de Castres,
etait-° e bien du vrai rugby,
ardent, rude, violent ou bru-
Lissa.it des joueurs inanimés
i rr ain «u se tordant de dôu-
a amenait d'autres à devenir
f ant9 ou de pauvres êtres
, ? En réalité, la rencontre
!î ■ un match de l’arbitre,
contre certains joueurs
à Toulon Castres ren-
Vienne en demi-finale
I f ct coupables de hors jeu, de
“ plaquage à retardement
^tricherie. Fort neureusement,
f! énergie qui ne Se lassa poiut.
r|. cagna son match...
Xi o'en est pas moins vrai que
iLjtre n'est pas le reflet fidele
Crespectives des deux équipes,
ri, l'une et l’autre à ce qu'el
* produit devant les sportifs
,j n ts... mais peu d’essais
I
pourrait-on objecter, le
‘{y à 6 ne manque pas d’être
! jiais savez-voua qu’il y a.
total. 15 points dus à des
i, Pascalin, Darrieusecq, Donnecaze
(leurs joueurs de l’équipe montoise
très mobile
(Suite de Particle de Géorgie» OUTHEN)
_ t rendus. malgré l’absence de
L s au stade municipal, se
[jjit facilement à l'avis de
jpedarré II faudra battre le
[ïontois en finale ! Ce ne sera
.tâche aisée pour son adver-
L'ü soit le CS Vienne ou le
T olympique, car, aux dépens
iBriviste. les Landais ont fait
Lustration qu'ils étaient par
lait dignes de l'honneur qui
boit.
essai inoubliablm
Ijabllera ce premier essai qu’ils
1-ent. dans le style de l’Aviron
bis de la grande époque ?
be Montois était acculé sur
avec une audace admira-
Frinclary :
iiBrivistes avaient des yeux
il ne voyaient pas »
(De notre envoyé spècial)
MAUX. — Redoutant que son
lut mal remis, Princlary avait
nedi la decision de laisser sa
le pilier à Debrach. L’entrai-
npitaine du CA Briviste qui
I dons l'âme, suivait du bord
| touche le jeu de son équipe,
luit la défaite de ses loueurs .
Iliade Montois était beaucoup
I npide. Il mérite sa victoire
l'était pas invincible J'ai cru
i avants allaient le battre en
wt mi-temps. Hélas !... Tant
I nt dominé ils n'ont rien cons-
(t net Quel désordre dans leurs
Si j'avais envie de plaisan-
dirais : Hier, la qrande armée
M'hui, le troupeau,
nuis bien que les Brivistes
des yeux... et qu'ils ne
t pos ! Dans ces conditions
(w B'iv* aurait-il pu vain-
'-GO
I] bien des spécialistes blasés
Pour une folle imprudence.
«Q et Baradat lancent la
Faque ; Loyola va-t-ll donc
T;5 danger par un coup de
Louche ? Non. le Stade Mon-
;We. par le jeu à la main
l’étreinte ! Et Loyola
[Mversaire de vitesse, il petçe.
ailler Cabos. Celui-ci file
la touche ; aux 50 mètre*
F :e au pied ; dans un bond
Lovola reprend le bal-
L'Plee. renverse l’attaque sur
r ; l'arriére de Brive, Arcalis
F arriver, flanqué du 3' ligne
t.fL Uquel 11 une impécca-
fwission ; essai 1
est resté tnsensible â ta
mouvement par lequel
P Montois se classe en tête
1, bU’ savent encore prati-
ùitu offensif ? Leouel. oarmt
v * u .Pp° r ters du CA Briviste,
ses applaudissements
[ ' la foule girondine ravie ?
1 Montois plus rapides
l(iu U1 ® ssa i. le Stade Montois
V, mérité la qualification
la
| Qui
marque de sa méthode
consiste à jouer à la
L et toujours, à contre
r.“ toutes occasions, à cher
LV. e l’adversaire en vitesse
kfiu !es Landais, plus rapi
L'Eure condition physique
F* wergaires.
f°iWe mêlée, le ballon
dn' eusement talonné par
on veut espérer que
(m J( ]" er à la main aura im
le sélectionneur Kené
F ? Darrieusecq eut l’as-
* Jamais la jouer courte,
car elle eût tourné à l’avantage de
Fargearel. Et Baradat, inlassablement,
ouvrait...
Voilà comment le Stade Montois a
dominé et gagné.
Que faisaient donc les Brivistes.
les vainqueurs de l’AS Montferran-
daise ? Pris de vitesse, ils ne surent
pas se libérer de la pression quasi
constante de l’adversaire. Fargearel
ou Survielle avaient-ils le balion à
la tquche ? Teillet lançait-il l’atta
que ? Bérocq. Lasserre et Larrezet
étouffaient dans l’œuf toutes les ten
tatives ! Les trois-quarts reculaient
étaient contraints de taper à suivie
pour regagner du terrain, mais Bon
necaze, talentueux arrière, renvoyait
inlassablement les Brivistes dans leur
camp !
Pendant vingt minutes pourtant,
en deuxième mi-temps, les avants de
Brive prirent la direction du match
On eut l’imnression qu’ils allaient
s'imposer. Hélas ! privés de Princlary
leur leader, iis étaient incapables de
s’ordonner, dépensaient en vain une
énergie extraordinaire et, désespé/és
de tant de peine perdue se tournaient
un moment vers la mailloche, suprè-
Nos prévisions étaient basées sur la
production plus solide des arrières
castrais, sur l’action personnelle de
Matheu. et surtout sur l’absence quasi
totale d’une troisième ligne effective
à Toulon. La réalité dépassa d'autant
plus nos prévisions que les lignes ar
rières toulonnaises Sombraient flans
le désarroi ; Bordenave était blesse à
la hanche et jouait modestement à
l’aile. Frois. maintes fois bousculé
sévèrement, fermait les yeux par peur,
lorsqu'il était serré de près, et lâchait
| la balle au petit bonheur. Lacaussade
était malheureux dans ses contre-of
fensives. Galy. David. Garcia, n’avaient
pas l’envergure de redresseurs de si
tuation. Seul Bodrero s'employait uti-
18 coups francs ont été accordés
à Castres, et 17 à Toulou.
lement à l’arrière. Chez les avants,
Mantorola, Cutzacb et. par coups de
boutoir Battaslini, réussissaient à
tenir la cadence, mais le match se
terminait par une quasi débâcle pour
Toulon.
C’est que. dans l’équipe de Castre
sinon plus athlétique tout au moins
mieux préparée, et qui avait la chance
de rester intacte. Matheu fournissait
un rugbv intelligent et incisif. Il
s’échappait presque sans opposition
aux touches. Aux mêlées, il combinait
admirablement sou jeu avec celui du
demi Chanfreau. Les avants castrais
avaient la balle, et si d’aventure elle
parvenait aux arrières toulonnais,
l’attaque de ces derniers tournait ra
pidement à leur propre confusion.
Voilà pourquoi Siman reprenait un
L’équîpe toulonnaise se présentait
privée de son trois-quarts aile Le.v-
dier. David jouait à l’ouverture et
Frois passait an centre. La combi
naison n’a pas été henreuse.
ballon mal dégagé par Bodrero et
marquait un essai. Voilà pourquoi Mo
reno. puis Antoine, réussissaient coup
sur coup deux buts en position facile,
et voilà pourquoi Esuanol couronnait
le tout par un essai entre les poteaux,
après une erreur de Frois désemparé.
Les avants castrais, la troisième li
gne en particulier, avaient fini par
occuper le terrain en maîtres. Matheu
est le triomphateur du jour. A l’ar
rière. Moreno. qui avait débuté de
façon inquiétante, réussissait lui aussi
à se racheter sur la fin. Les Castrais
finissaient en vainqueurs.
Castras, champion
en « Réserve »
Castres b. Montferrand : (11-3)
(De notre corresp. pa"t. BOLDOU)
La deuxieme êd:ton de la finale d^,*-
équipes secondes fut jouée de rude façon
par deux équipes senslbiemen; égalés,
mais les Tarnais méritent largement le
gain du match et les Montferrandais on;
déçu
jouant avec le vent, les Montferran-
dais dominèrent largement en première
m.-umps et éussin.nl un essa à la suit.'
d une des rares belles phases de jeu qu Us
confectionnèrent.
Mais Castres attendait son heure et
orsqu'U put à son tour s'appuyer sur
le fort vint qui souffiait, il s’imposa
par un beau drop de Tarrusson, d abord
puis deux essa-s de Sié et . Quilles b en
amenés par Benoit et Jacques S.man
Les ares belles attaqués furent po"!
les Tarnais, auprès desquels les 3/4 au
vergnats faisaient p.ètre figure.
STADE MONTOIS BAT BRIVE 8-0
(5-0). — Bon terrain, vent assez vio
lent. 16.000 spectateurs. 2 327 000
francs de recette. Bon arbitrage de
M Delmas.
Stade Montois, 2 essais : de Lar-
rezet (27*1 transformé par Bérocq, et
Cabos 167°).
me espoir des vaincus. Les avants
de Brive peuvent battre leur coulpe :
pour s’être affolés Us ont raté le*
occasions, qu’ils eurent en quelques
Instants, de combler leur retard.
Ainsi disparait le CA Briviste après
avoir accompli une remarquable sai
son Il aurait pu mourir en beauté .
dommage que Nadin et Fargearel
aient enlaidi, par des gestes Idiots.
Aine demi-finale de belle qualité !
CHAMPIONNAT ILE-DE-FRANCE
Comme en 1948
P.U.C. et Racing
disputeront la finale
PUC b. CASG i 14-6 (0-6)
STADE JEAN-BOUIN. — C’est par un
score très flatteur que les Etudiants ac
quirent le droit ae défendre leur titre
face au Racing.
En effet, dominés les deux tiers de la
rencontre, menés 6-0 à la mi-temps, des
trois-quarts maladroits, Jorge mal ins
pire en première mi-temps, sa liaison
avec Cortada (demi de mèlee par inté
rim) pas toujours heureuse; il fallut le
vent favorable de la seconde mi-temps,
le reveil des Frémeaux, Charpi, Adami
pour que les actions des avants Jusqu’à
lors négatives, fussent productives et se
traduisent par deux essais de Frémeaux,
un de Tordet, un but sur coup franc et
un but après essai de Jorge
Les Généraux, bénéficiant du vent en
première mi-temps, avaient réuss. deux
essais le premier par Castel après per
cée de Ariol, le second sur un faible
renvoi aux vingt-deux mètres de Jorge
Abadie reprenait de volée et servait Saux
qui marquait en force.
Les Pucistes jouèrent sans flamme
n’alertant que très rarement leurs trois-
quarts qui se montrèrent en ces occa
sions maladroits et sans ressort, la ligne
d’avants, seule, supporta le poids du
match et parvint à user *a rivale qui
avait eu le mérite ae lui tenir la dra
gée haute.
Au PUC: Frémeaux, A lami, Charpi.
Colbert. Ballini, Jorge par intermittence
et enfin Jaubert se signalèrent
Au CASG : tous les avants avec une
mention spéciale au jeune Guérin Cho-
quart, Ariol et Lataillade.
F. GUY
EXCELLENCE (1/4 de finale)
Albi a mérité
sa qualification
Albi b. Tours : 8-5 (0-0)
(De notre correspondant MONTANT)
LIBOURNE. — Tours et Albi se sont
rencontrés poüi la deuxieme fois. Un «ent
violent soufflait sur la longueur du ter
rain, Il semble que Tours; dominant avec
'aide de et dernier, ait raté sa chance
en première mi-temps
Albi après quelques vellé.tés d’attaaues
la main se contenta de parer aux as
saut» de Tours et d’arriv. r au repos sans
trop de degât-s ce qui lui réussit puisque
à la pause le scor< était nul
Dès la reprise, A'.bi. avec le vent s’as
sura une assez nette supériorité mais
Tours, par d s dribbllngs se dégageait
haque fois, quand Cristol d’Albi pla
qué par l’arrière de Tours, tombait en
but en marquant le premier essai. Un
deuxième suivait à la trentième minute
marqué sur un mauvais rebond de la
bail: par le pilier Comb s. transformé par
Launay
La partie semblait jouée, mais Tours
acc utuait ses contre-attaques volonta.res
et farouches et réussissait à la dern èn
minute un essai de Mallet transformé
pa" Matchin
Albi mérite sa victoire car son équipe
sut mieux s adapter aux circonstances
tand s qu’à Tours les efforts furent trop
désordonnés
Lé* trente joueurs sont à féliciter pour
leur tenue et l’on peut signaler plus par-
ticulièrement l’arrière Lugan et. le d> mi
de mêlée Blanc à Albi. ainsi que le ta
lonneur Courteau et le demi de méléi-
Mond ère à Tours
Graulhet l'emporte
de haute lutte
Graulhet b. Céret t 6-0
(De notre correspondant KYRIAROLF.)
LAVELANET. — La partie s’est de-
roulée, sous une p’uie diluvienne, de
vant , une nombreuse assistance Les Ca
talans furent gênés par te ballon glts.
6ant et ne purent étaler leurs qualités
de Joueurs à la main. Les avants Tar-
nais dominèrent leurs adversaires sur
tout en touches courtes où Phalippot
s assura e. oalle neuf fois sur dix Bon
net quoique très marque, reposa son
équipe par «es longs coups de pied en
tour he
Azemar, troisième ligne de Graulhet
marqua un essai de grand style Indis
cutablement les meilleurs ont gagné
A Graulhet. ligne d’avant? plus lourde
et plus scientifique Une paire de demts
de erande classe . un arrière de tout re
pos Les meilleurs • Phalippot Azémar
Martinez. Abadie Bonnet et Galibert.
A Cér<"t. un grand courage ; beaucoup
de combativité : manque de co-hésion fl
est certain que le temps a considérable
ment gêné les Catalans, habitués aux
terrains secs. Les meilleurs ; Puigmal,
Cabail. Mardavail et Marty.
Querelle au Parc
par Pierre ABOUT
tj N^ querelle est née samedi soir
[J à propos de la « rentrée •• à
Paris du rugby Klll. Curieu
se querelle qui repose, comme tou-
bes les autres, sur une erreur.
Dans les discussions passionnées
de l’agrès match on ng discernait
plus très bien Si les critiques s’a
dressaient à un sport nouveau, le
jeu à XIII, si elles voulaient pré
server un autre sport, le rugby,
si, enfin elles tendaient à fustiger
l’inutile brutalité dans tout ce
qu el„e comporte d'atteintes à l’es
prit de compétition. On s'égarent,
et pour tenter de retrouver le che.
min U faudrait poser lés données
du problème. Les voici .-
I On a voulu croire ou faire
croire que le rugby Ireisis-te fai
sait une « démanstratic n » au
Parc. Quel est le sport français
qui oserait prétendre « démon
trer » avec une demi-finale de
Coupe de France ?
2. On a voulu, parce qu’on j-ouait
avec un balion ova.e, comparer les
mérités respectifs du rugby XV et
du rugby XIII. Cela prouve qu’on
n’a pas encore compris que le jeu
à tr.ize tend à devenir, tactique
ment et techniquement, entièrement
ail f virent du rugby.
3. On s’est oomplu à ne retenir
que les brutalités. Files sont un
fait mais n’apparliennent malheu
reusement pas à%,n seul sport, a
une seule d-e ses manifestations.
Si l'on veut bien dépouiller tous
ces complexes, il restera que le
rugby tieize a offert à P .ris. Hon
nêteruent, le spectacle qu’il aurait
pu organiser sur n importe quel
stade de France sans encourir de
graves reproches car le rugby nous
a, hélas ! habitué à des exhibi
tions qui n’ont rien à voir avec
U « /car play ». Vaslin et Bertrand
sont dp grands coupaoits. Ils ont
eu cent nulle fois ’n rt d'autant
plus tort que Carcassonne n avait
pas besoin de frapper pour gagner.
*Vaslin et Bertrand sont, de pau
vres gars qui dénat uré m le iport,
qui l’empoisonnent par des injec
tions malfaisantes. Mais qu on
veuille bien considérer leurs pes
tes aussi stupides qu’inutiles -som
me des incidents et il restera que
hé speclac.e comporta ues moments
torts attrayants avec de la beauté,
de la virilité, ci* la résistance ai
Roanne n’avait • iv j-oner a douze
puis à onze, le match fût demeu
re équilibré jusqu'au bout et son
issue très incertaine. L'intérêt du
résultat ayant di.-paru dès te com
mencement de la deuxième mi-
temps, les deux équipes ri en con
tinuèrent pas moins à tu-uer vite
et rudement, démontrant -ne con
dition physique d’ensemble extrê
mement rare dans no s sports col
lectifs-
Le jeu en lui-même. Le jeu à
treize n’est pas au point, pour
en avoir suivi les manifestations
nationales et internationales nous
pouvons dire qu'il cherche en
oore. Il ne s’est pas entièrement
dépouillé du rugby pur, il lui con
cède des formes d'attaque qui sont
autant de faiblesses. Il ri a pus
entièrement assimilé ta technique
individuelle qui doit placer la fau
te de mam au rang d’une calas-
tr-ephe II n’a pas terminé de
construire son méconisme dont le
fonctionnement impeccable permet.
tr-ut à F inspiration individuel^, de
fleurir sans surprendre le voisin
L'ensemr le est p.u$ ai trayant q ue
déplaisant L’expérience parisienne
de suni di a provoqué une quereAhe.
Cela vaut ceriameutent mieux qu'un
succès d-e complaisance. Mais cela
d-oit irtciler les dirigeants des clubs
de la Ligue à choisir Durs hom
mes, ou tout au moins, à écarter
les voyous.
EN DEUXIEME MI-TEMPS, REDUITS A ONZE...
Les Roannais ont combattu sans espair
CARCASSONNE b. ROANNE. 21-6 (3-0). - Beau temps. Terrain souple
Recette : 1.600.DUO fr. pour 12.060 spectateurs Arbitrage insuffisamment
sevère'de M Pascal (Toulouse). Pour Carcassonne 5 essais; J’eytavi (38 e ).
Ponsinet (47 ). Bertrand ( 66 "), Guilhem (69 ), Peytavi (72‘), 2 transforma
tions : Puig-Aubeii (47' et 66 '). 1 drop-goal: Fuig-Aubert (59°). Pour Roanne
2 essais ; Dufforl (4ô«). Riu <76--).
PARC DES PRINCES. — Roanne est battu sur un score sévére mais
à vrai dire, il n'y eut qu’une mi-tSmps de jeu équilibré. Dès la 13' minute
l’avant roannais Rcdella touché au genou avait quitté le terrain pour n\
plus revenir Blessé à son tour à la hanche, l'arriére Barreteau. aprée avoir
essayé de se rendre encore utile en figurant dans la ligne d’avants, s'était
vu contraint d abandonner la lutte Réduits à 11 joueurs, et à certain-
moments même à dix, les Roannais ne purent plus que poursuivre avec
courage un combat sans espoir. On i —- ... ,
regietteia d autant plus leur infe.îo exception faite rie celle de Ponsinet
rite numérique qu ils avaient débuté | stupéfiant rie rapidité et de décision
en prenant un léger avantage terrîto-j s'exerça plutôt dans le domaine,., des
rial et que ce sont eux qui conduisi
rent. même en deuxième mi-temps, les
mouvements oftensifs de la meilleure
facture. Jusqu’à l'essai d’égalisation
de Duffort (45e). e t alors qu’ils
jouaient déjà à douze, ils purent
garder un caractère d’indécision à la
rencontre, puis ce fut le fléchisse
ment inévitable sous les coups de
boutoir redoublés des rudes Carcas-
sonnais
De toute évidence, les Roannais
avaient mieux débuté, encore que
leurs attaques aient paru un peu
trop tatérales. Us ne recherchèrent
pas suffisamment, surtout (Irespo qui
a trop tendance à repiquer vers le
centre du terrain, la tentative de
débordement, et Brunei, qui se mon
tra pourtant sous un jour excellent,
ne fut que rarement servi. Les hom
mes de Samatan donnèrent même
l’impression, par opposition, de jouer
plus direct, d’être plus incisifs indi
viduellement à partir du moment où
leur formation fut incomplète. On
gardera le souvenir, en particulier,
d'une magnifique phase d’ensemble
vers la 50' minute ; feintes et cro
chets de Maso, déboulé d’Abadie, lon
gue course (le Brunei suivie d'un re
centrage repris par Taillantou qui
fut à deux doigts de conclure.
Les attaquants roannais Taillantou.
Maso, Duffort (en ordre ascendant)
eurent bien du mérite à tenir l'adver
saire encore en état d'alerte alors
que leur mêlée était réduite à quatre
unités et que Rascol. passé arrière
boitait bas.
De tout ce qui précède, il aura déjà
été loisible de conclure que les Car
cassonnais l’ont emporté surtout grâce
à leur puissance... de choc ! Leurs
avants ont payé de leur personne
tructif aveo parfois des gestes répré
hensibles que M. Pascal eut tort de
ne pas réprimer plus sérieusement
C'est à une série de * rushes » pré
paratoires de Ponsinet. Vaslin et P\
que Pe.vtavi dut d'ouvrir la marque
pour Carcassonne, à la 58' minute
Ponsinet donna ensuite l'avantage
décisif à son équipe à la 47’ minute
en exploitant avec à-propos, à 20 mé
trés de la ligne adverse, une passe
croisée de Bergèse... et il fut bien en
définitive l'homme le plus en vue sut
le terrain... Puig-Aubert, alourdi mais
dont la botte reste toujours aussi
efficace puisqu’il marqua 6 points
dont 2 de drop-goal, ayant été à plu
sieurs reprises pris en défaut sur des
coups de pied de dégagement ad ver
ses Bergese joua contracté, et plu
sieurs de ses combinaisons, trop sou
vent répétées avec le vif et infati
gable Guilhem. furent éventées par
l’avisé Duffort.
Compte tenu de l’importance de
l’enjeu, on ne pouvait guère s'atten
rire à ce que les deux équipes pren
nent des risques offensifs à tout pro
pos. On conçoit qtçe les Carcassonnais
aient cherché à miposer ayant tout
leur supériorité athlétique à l'adver
saire. mais l'on regrettera que cer
tains d'entre eux aient cru devoir le
faire avec méchanceté. A ce propos,
l'arrêt brutal de Vaslin. qui jouait
ailier, sur Taillantou, a été sévère
ment jugé par le public parisien.
Roger BASTIDE.
CARCASSONNE : Puig-Aubert : Vas
lin, Bertrand, Pe.vtavi. Thomas; toi
Bergèse, (m> Guilhem ; Calbête. Py
Ponsinet, Masson Martin. Pastor
ROANNE: Barreleau ; Crespo, Maso,
Rascol Brunei ; (o> Taillantou. Dut-
fort ; R Danger. Riu Rodelia. Audou-
bert, Martimpé Abadie.
Marseille à Toulouse, comme Carcassonne
à Paris, s’est qualifié en une seule mi-temps
Et Cordeaux, comme Roanne, ont été
désavantagés par des blessures
(Suite de l’article de Roger BAS I IDE)
H’eü\ été le cadre, la finale de Coupe
d'Angleterre Wo!ves-Leicesfer (3-1)
aurait paru bien modeste !
Même le capitaine de l'équipe d'Angleterre
le demi Wright, joua un match médiocre
(L)e notre envoyé spécial Gabriel HANOT)
Bien sûr, il y avait 100.000 spectateurs (receite : près de 40 millions
de francs) samedi, à Wembley L'atmosphère de Coupe y était aussi, avec
ses milliers d’hommes et de femmes parés, de toutes les manières possible»
et . imaginables, aux couleurs jaune et noir de Wolverhampton ou bleu
et blanc de Leicester. Ce monde bigarré, quelque peu carnavalesque, mais
bon enfant, agitait, à la commande,
des cloches et des crécelles, bran
dissait des mouchoirs ou des papiers
blancs, poussait des hourrahs, chan
tait, avec la meilleure volonté et
dune voix juste, de * chœurs souvent
religieux, ce qui donnait au stade
t’a?pect d’une cathédrale sans toit et
communiquant directement avec le
ciel à l’aide de cantiques. Qu’une foule
d-e travailleurs, et par conséquent tra
vailliste, puisse avec la plus profonde
gravité chanter debout, nu-tête, avant
un match de football : O Lord, abirie
with me (ô Die u , sois mon soutien),
ce n’est pas là une des moindres sur
prises réservées à un Français en An-
g.eterre.
Il y eut aussi, une fois la princesse
Elisabeth installée dans la tribune
d’honneur, et les poignées de main
données sur le terrain aux joueurs
par le duc de Gloucester et le duc
d’Edimbourg, U y eut aussi la finale
de la Coupe, la plus faibl e que j’aie
jamais vue.
Même Wright fut « moderate »
W olverhampton, sans dout e dominé
par les nerfs, rte oopa pas en grande
équipe de premier# division, et Leices-
têr nous révéla pourquoi iî vit actuel
lement sous la menace de descente de
Division II eri Division III.
Wright le jeune demi et capitaine
de l’équipe d’Angleterre, aurait dû
surclasser amis et adversaires . il tint
un rôle moyen, moderate, comme di
sent les Britanniques, et nous com
prenons mieux maintenant pourquoi
la défense anglaise a si mal résisté à
l’attaque écossaise, le 9 avril sur ce
même terrain dp, Wembley où les vi
siteurs gagnèrent par S-l,
Néanmoins, les Wolves (Loups) me
naient samedi à la mi-temps par 2-0
Les deux buts furent obtenus par
l’avant centre Pye, le premier de la
tête, sur centre impeccable du petit
ailier droit Hancocks (13 e minute) ;
le second, à la suite d’un corner mal
rtpoussé par Leicester et d’un tir
effectué en tombant (43' minute).
Leicester trouva au vestiaire — pen.
dont, une longue mi-temps qui permit
à la fende d'assister aux évolutions
scandées d P , jeunes engagés volontaires
de la RAF — l’énergie physique et
morale nécessaire pour oublier qu’il
avait quitté battu le terrain de jeu.
Une action offensive vraiment splen
dide, amorcée dans ses propres dix-
sept mètres et poursuivie par l’ailier
gauche Adam jusqu'à portée de tir
du but de W olverhampton, s’acheva,
par un tir d-e Griffiths qui ricocha
dans les jambes d'adversaires et de
partenaires : le ballon finit par dé
raper du montant gauche du but dans
les filets non sans que le demi droit
C.rook i’eût touché et presque dévié
de la tête, (.'était à la 6tc minute.
A la 6',’ minute, l’intérieur gauche
d,g Leicester, Chisholm, marqua un
uni qui eut nus les équipes à égalité
(2-2) s'il avait été accordé. Mais il
g avait hors jeu.
Deux minutes plus tard,, l’intérieur
droit de W olverhampton, Smyihe, tra
versa presque une moitié de terrain,
en dribblant quatre adversaires et
marqua, avec élégance et facilité, l-e
troisième but pour W-olverhamo’on.
i-l : la partie était jouée. Il y eut
encore quelques rares exploits pers-on-
n-S-’s sans conclusion positive, des pé
nalisations pour charges irrégulières,
des chocs dou.oureux qui Laissaient,
les joueurs, en particulier l’ancien ai
lier gauche international Mullen, iner.
tes sur la pelouse, gt qui réclamaient
l’intervention des soigneurs.
Il restait encore plus de cinq mi
nutes de match lorsque les gradins
est, où étaient massés les supporters
des Loups, entonnèrent les clameurs
de victoire, sorte de répétition géné
rale de l’ovation monstre qu’ils réser
vèrent à Wright et à ses coéquipiers
à l’instant, de la remise de la Coupe
par la princesse Elisabeth.
Cependant, les partisans de Leices
ter City continuaient tout naturel 1 e-
ment de porter les couleurs de leur
club favori, et nul ne songeait à *•*
moquer...
Au cours de l’empoignade Carcas
sonne-Roanne. dont le public pan-
eitn put apprécier toute l’àpreté, o.i
eut à dépior-r la mise hois de com
bat de deux Roannais : Rodeua et
Barreteau... sans compter quelques
autres éclopés, de gravité moindre
Dans la rencontre Marseille-Bor
dtaux. le brillant ailier bordelais
Odé Lespes, touché une fois de plus
à la tête dut abandonner le ter
rain.
Mais là s’arrêtent les points com
muns entre ces deux demi-finales,
au cours desquelles l’esprit du jeu
sir.on les conceptions, furent totale
ment différents
Sur le terrain souple et sec du
Parc des Princts, devant des spec
tateurs avides d être initiés aux sub
tilités du nouveau rugby. Carcas
sonnais et Roannais ont exercé leur
“PTTC b. CASG .. ..
*RCF b Pithiviers
14—6
forfait
il
'/QUE £T v
(f 1
iu HE SPORTIF
'GlEVEUX oui tiennent
ROUPIES ET BRILLANTS
Il dut» ni rn**nnts)
une coiftureîoujoura
sportive avec la
AlllANTINE
lÜSTALUSÉE i
On a joué à XV
au Stade Jean-Laffon
(De notre eorrcsp particulier P. IZERX)
PERPIGNAN - Le match J* bienfai
sance Police Française contre Sélection
XIU-XV a été disputé malgré le veto de
la FFR La fermeté des organisateurs a
permis de constater combien des loueurs
à treize affirmes tels que Cornes Serre
Ulma. Roig. Labrusse, Barande étaient
leur aise dans le stvle orthodoxe de
leurs dëbùts
Finalement la Sélection battit ta Po
nce par U points (3 essais I but) à 6
<2 essaisi
Que la 2 FR se rassure ! Le matheu
reux pe'alvs* au profit duquel le match
était loue hf pourra cependant Hre se
couru comme 11 conviendrait, le mai va.s
temps *van‘ retenu la grande foule ce
’ est dc-mmaite pour la charité et.,
pour Ta morale
CHAI-UENCE MA JOURS
*CASG iJi b. SCUF tJt , 16—8
MATCH ES AMICAUX
•Tarbes et Lourdes I—3
Auch b *Beigerac 15—S
•Dax b SÇPÛ pi ris - 3—0
?Tarare b Roannp »—6
Règles b *La Rochelle S---3
US Métro b *Chem Sud-Est . . 13-0
|S
. / PARIS, les 6 e! 7 mai, ARENES VEL’ D’HIV’
lu SUCc *s, deusieme et dernier Grand Gala TAURIN la 7 mai
I* J lendides T0R0S ESPAGNOLS venant de Seville
h|ujs de Villamartu et 8 des Gains y Iulio Vasquez ; 12
^^ondiaie CONCHITA CINTRON
soir A CHEVàl et A PIED 2 TOROS de VTLLAMARTA
h.-, s ,a meu» matador* de TOROS dq CARTEL de MADRID
b| ^V£N|DA ^ EL VIT0
? v * Autres teros de ISA!AS et TULIO VASQUEZ
1 So - * ' tat>les Ga as 7 AUBiNS sans precedent r
r aeu * soireea : Wagons-Lits, 1 r Scribe,
Fri* ae* p|a-es . 350 * 2 500 fr
PARIS
et Palais des Sports
HONNEUR (Demi-finales)
Jeu et résultat négatifs
Peyrehorade et Port-Vendres i 0-0, orol.
(De notre corr. part. DL-BOI 1 RDIElh
AUCH — Disons tout de suite que
cette rencontre fut d’une rare mdig ncr
et sans vouloli être sévert ptu digne
des ux clubs demi-finalistes d'Honneui
Etait ce la hantise du rpsulta , Nou-
voulons bipp le croire mais en bref le
j u fut de part et d’autre négatif Fat
de touchas et mêlées se succédant A
un rythme régulier où les attaqu-s se
dépensèrent sans compter et s'usèient
sans aucun profit pour leur équipe.
Poissy échoue au port
Prades b. Poissy i 6-3
(De notre corr. part. A. SOURIE)
BRIVE - Un vent violent oaiaie le
terrain Poissy en bénéficié en première
mi-temps et à la 10' minute réussit un
but sur coup franc par Mmsoneuve Pois
sv domine territorialement lusqu au re
pos mais ne peui augmenter le score
Le deuxième acte est en faveur de
Prades qui attaque constamment A la
75' minute Fourquie égalisé par un be;
essai mais il faut louer la prolongation
La première Dartre est nettement en fa
vçur de Prades qui réussit à la 10 mi
nute un but sur coup franc par Aurroi
Dans la seconde, Prades manque quelques
belles occasions purs Poissy se ressaisit
et manque de peu un essai puis un
drop et Prades sort vainqueur de çe
match sans éclat au cours duquel le )ey
fut plutôt rudimentaire
PROMOTION
DEMI-FINALES
Le Cret)S. • S.4 Lyon b. Bourges
Périg I, Monfluç. b. Condom
EQUIPES RKSLRyLS
FINALE
Bort : Castres b. Montferrand .
6-5
9-3
MATCH INTERNATIONAL
GLOUCESTER. — Scolaires Français
b Scoia.res Anglais .... ...... 9—3
K V Mhi h h
* iv^MENSIOHS
fn
*VALT|X «TEXTILES ———
ES U.S. ARMŸ - Tél. Fort-Royal 37-84
'li' B| !e m *
\ , •umini
V V | °N 200 Fn
“■'■‘Jtetur,. e!tu ATELIERS-BUREAUX
3t, rùe Buffon, Paris-V*
AMlIlCAINH
2, 4, 6, 15 places
à partir de 3.000 fr*
LITS CAMP OFFICIERS
980 el 1.200 fr*
lAtNUMS
| % Le match Stade-Cast*es comptant pmi
les quarts île rtnale de la Coupe ae
\ France pourrait bien te dérouler o Ferp i
gna.ii En e/tet si tes deux clubs ne s’en
tendent pas pour louer sur un terrain
! pyreneen. ainsi en décidera la Fédéra
I tion
Les Bordelais tenaient tête aux Marseillais
Une blessure de Lespes leur retira toute chance
(De notre envoyé spécial)
MARSEILLE b. BORDEAUX; 25-12 (8-7) — Temps pluvieux. Terrain
lourd. Recette: 410.000 fr. pour 4.50U spectateurs Arbitrage un peu trop
pointilleux de M Goyetche Pour Marseille 7 essais ; Deha.ve (22*) Rou
taud (39 ), Brousse (50 e ), Béraud (60”), M André (65 e ) César (75 e ) Hat-
choiulo (78 e ), 2 buts : Dchaye (39- et 78 e ), Pour Bordeaux. 1 but : Crabos
(5 e ), 2 essais; Lespes (36 e ), (orui-asim (79 e ), 2 transi : Caillou (36* 79 e )
TOULOUSE. — En une heure, les Bordelais ont éprouvé, au stade
Chapou. toutes les nuances alternativement de l’espoir et de l’appréhension,
avant de s’abandonner au plus morne découragement
Des la cinquième minute, un coup de pi p d de pénalité permet à C’raho.
d’ouvrir la marque en leur faveur Ils doivent ensuite concéder un essai
de débordement a I arriéré marseillais üehaye ; puis lancé pour la première
fois dans de bonnes conditions
quelques mètres a peine de sa propre
ligne de but. Odé Lespes sprinte réso.
lument, donne un long coup de pi H d
à suivre évite un croc en jambe insi
dieux de Dop et parvient à aplatir
dans l’en-but adverse avant Denez
Cela fait donc, avec ia transforma
tion de Caillou. 7 à 3 en faveur aes
Girondins à la 36' minute
Maie les murmures d’enthousiasme
de leurs supporters «ont à peine cal
niée que leur centre Kempf perd ma
ladroitemeut le contrôle de .a balle
près des buts et que le centre mar
seillais Rouzaud n’a plus qu'à pion
srer p>>ui redonner ( avantage à «on
équipe / à 8 à .a mi temps
Consécration
pour le XIII de France
Le match
contre TEmpire Britannique
aura lieu le 26 mai, à Bordeaux
(De notre correspond, général POMIES)
BORDEAUX. — L’an dernier, M Fal-
lowfield offrit aux dirigeants de la
Ligue, à la veille de France-Angleterre,
de disputer un match contre une
équipe de l’Empire., si la France bat
tait l'Angleterre ; mais elle encaissa
22 à 6 La Ligue Française de Rugby
à XIII s’est souvenue de cette offre et.
à son tour a demandé la mise sur pied
vigueur dans un sens surtout des
tructif et trop souvent le marquage
étroit d’nomme à homme entraimi
des duels singuliers r-grettebies
A Toulouse sur le sol gras et gh
sar,t du Stade Chapou, et en pré
sence d’une assistance réduite
raison de la grève des transport.
Marseillais et Bordelais, au contraire
ont essayé de forcer la victoire d en
trée. eri pratiquant un rugby
mouvement, correct et varié, qui
ô ironie du sort ! — eut sans doute
plus été dans le goût de la majorité
des spectateurs parisiens que les ac
crochages de mastodontes qui leu
furent offerts samedi.
Il est vraisemblable que la supé
rioritè d’easemble des Marseillais se
fût imposée, de toute façon, aux
Bordelais qui ne pouvaient avoi
de chance de salut que dans un ex
«ploit individuel de plus en plus dû
ficile à réaliser à mesure que
la constante pression phocéenne
émoussait le brio girondin
Il est moins certain que Ks Car-
caesonnats l’eussent emporté., sans
les s-’cours de la Providence : ca
ies élèves de Samatan avaient paru
COUPE DE FRANCE
DEMI-F'NALES
Parc: CARC b. Roanne (sam.) 21 6
Toulouse MARS, b Bordeaux 25-12
DIVISION NATIONALE
Cavaillon (7) b. *AVIGN. ( 10 ) 7-3
POULE DE CLASSEMENT
'T'-, a. r 4 /ibuur.rlo ni riûr'Wh c* uvJUI ci llcIIldlIUc Ici lulbc aUI picl,
Tout r. e*t cependant pa. perdu , de cette rencontre M « Bill » s’est peut
pour Bordeaux quand peu après
reprise, Lespes est violemment projeté
en touch<- par Costa Sa tête h*-urte
la ti-Ce en c;tnent et il reste manoné
If reviendra bien sur le terrain mais
titubant, le regard brouillé, et devra
ienon.-er à la lutte pre-que aue-sitôt
Des lors, prives de leur p-iu« brillant
élément, les Bordelai,. baisseront pro
gressivement .e ton et ne s'opposeront
plus avec autant d énergie arts ruèdes avant» marseillais, très «upér eurs
athlét quement.
A partir de la 50 e minute, où Flie
Brous»e ra à l essai avec la ^ô.ocite
d un ailier l’écart ne cessera dt grarj.
dir et compte rendu de la partie
«e transformerait en exercice de
comptabilité.
A Marseille, nous avons eu la sur
prise de retrouver une formation en
condition physique nettement a-cen
dante. Brousse. Béraud et Négrier en
particulier, ont retrouve leur cadence
des rencontres internationales. André
Hatchondo fit impression à chacun
de ses démarrages César, à i’ouver
‘ure, joua avec vivac.té et à propos,
de mêm e que Deha.ve qui, dan« le
meilleur esprit du leu à XIII. excelle
à venir de l’arrière appuyer «a ligne
de trois-quarts Quant à Dop, étin
celant pendant les vingt première?
minutes, il eut. par le fuite un ren
dernent Intermittent qui souligna da
vantage la vaillance de Caillou qui
lui faisait face — R. B.
être fa|t un peu tirer l’oreille, mais en
fin de compte a décidé une tournée
de la Rugby Football League Donc le
26 mai. à Bordeaux le XIT1 de France
aura pour adversaire l’équipe de l’Em
pire britannique formée avec les meil-
leurs éléments anglais, gallois et l’ap
point de joueurs australiens et néo-
zélandais résidant en Angleterre
•Béziers (4) et
TOULOUSE
(1)
5-5
Pamiers (4) b. *
CARPENTR
(5)
fi-5
P‘-
1
G N
P
g -a
t. Toulouse (3) .
21
»
5 2
j
+ 73
Lézigiian (1)
21
10
5 1
4
+ 5
3 Lyon (2) ..
20
8
6 0
»
+ 37
4. Pamiers (5)
15
7
4 0
3
— 17
5. L'arpent r. (4)
14
9
2 1
fi
— 17
6. Béziers (6)
12
9
1 2
fi
—81
DIVISION FEDERALE
Cahors ; Orange b. Arcachon . 8-0
DIVISION D'HONNEUR
Aix-en-Pr. ; Rieux-Min. b. Oann. 16-3
dans les premières minutes, moins
contractés plus assurés dans leur
gestes et plus enclins à prendfe des
risques
Mais pouvons-nous dire que cette
tactique, empruntée au rugby améri
cain, qui fit deux victimes dans les
rangs roannais et ruina leurs espé
rances.. lut précisément mise à la
mode par c?s mêmes Roannais en
d autres circonstances ? Ainsi le maî
tre Samatan ne saurait que récolter
cp qu’il sema précédemment
TOWJS JL J ES SPOWFS
Le japon et l’Allemagne
« occidentale »
admis par le C.I.O.
ROME. — Au cours de la seance d’hier
le CIO a décidé d'admettre le Japon et
les zones occidentales de l'Allemagne II
demandera a la fédération mternatio
nale d’accepter l'entrée dans son sein de
ces deux nouveaux membres
En ce qui concerne l'U R S.S., le CIO
qui ra invitée à creer un Comité olym
pique soviétique ce qui permettrait l’ad
mission de l’U R S S au CIO. n’a tou
jours pas reçu de réponse
A propos des Jeux d Helsinki il a ete
décidé que le programme serait le même
qu’a Londres, aucun nouveau sport ni
sera admis
| T oros à Paris
L’heure de la vérité
« La hora de la verdad », c'est celle
de D m se a mort, celle que nous ne
connaîtrons pas au Palais des Sports,
les 6 et 7 mai. Mais il est une autre
vérité qu’il convient de placer sous la
verrière du boulevard de Grenelle, s
voir que tout ce qui sera présente su
cours des deux galas taurins aura l'ac
cent de la sincérité II y a eu tant de
parades, tant d’illusions, tant da pi-u
près dans les precedents spectacle» (au
rins de Paris, que le public hésité <
croire à ceux de vendredi rt samedi. Or
s< le seul nom de CONCHITA CINTRON
— dont la loi, la sincérité, l’élan m.s-
tiqur et l'immense classe sont des gages
certains et serieux — n'arrive pa» à lui
seul a convaincre les hésitants, nous con
seillons a t-eux-oi d’aller taire un tour
avant de louer leur place, du cote des
torils. Ils y verront les quatre « bicbos »
du marquis de Villamarla (Seville) de»
tines a Cnnrhita et les bêles d’Isa a«
y Tulio Vazqucz (Séville) qu'auront a tra
vailler BIENVENIDA et EL VITO Quand
on lâche de pareilles bêtes à l'intérieur
d'un <■ redondel » on est sûr qu'il va
s y passer quelque chose et ce quelque
chose rotule toujours le drame.
Si .Angel Luis Bienvenida et iulio Pc
rez El Vito ne peuvent nÿus donner le
spectacle final de la « tnatada ». ils
nous montreront toutefois leur savoir
faire - qui pst grand — dans le deuxie-
me tercio El Vito est en elfct ane ve.
dette de la pose des fuseaux Quant
Bienvenida, son élégance de banderillero
n’est pas un article publicitaire.
Aussi bien, si ces galas n ar rvent pas
a convaincre 1rs Parisiens on n’atrra
qu’à fermer définitivement les portes de
l’aficion dans la Capitale.
AU CO NSEIL NATIONAL
PAS DE PROS EN COUPE DE FRANCE
avant le 5” iour
(De notre envoyé spécial Jean DUMONTIER)
NANTES. — Le conseil national, qui s’est tenu samedi, à l’hôtel ds
ville de Nantes, sous la présidence de M. Jules Rimet, avait un ordre du
jour particulièrement chargé. A tel point qu’il fallut tenir séance l’après-
midi et que le débat ne fut clos qu’à 17 heures.
Après une courte allocution de M. Rimet, rappelant que la FFF avait
trente ans (fondation le 7 avril
Championnat de France
des amateurs
ECHEC AUX FAVORIS
Les outsiders Roanne et Mont-de-Mar
san ont pris ie pas dans cette prem.ere
journée su> Reims, tenant du titre, et
sur Béthune, considéré comme favo>ri
de la ooule.
Si la difficulté de la tâche du cham
pion du Nord était prévue, on pensait
que Rtims, chez lui trouverait les res
sources suffisantes pour vaincre Roanne
Les poulains de Perpère. par leur éner
gie (t leur allant, ont compromis sé
rieusement les chances du dhampion
Dimanche les d.ux vainqueurs et le'
deux vaincus de la première journée
s'affronteront à Roanne et à Béthune.
Journée grosse de conséquence, qui doit
nou.s donner déjà un leader détaché —
J D.
Roannp b. "Reims 10
* Mont-de-Marsan b. Béthune .. 2-1
J. G. N P. p c. P”
1. Roanne
2. Mont-de-M
3. Béthune .
4 Reiin» ...
1 o ;
2 1 2
12 0 1
o i o ;
Zaremha gaisit l’occasion et...
Roanne b. Reims t 1-0- (0-0)
(De notre env, spec. Jean DUMONTIER)
Bon terrain. Recette 111.000 francs
pour 1.621 spectateurs. Bon arbitrage
de M Haulot. But : Zaremba (77‘).
REIMS. — Alors que Reims Jouait sa
parue normale de Championnat avec fi
nesse, certes, mais sans appuyer ses ac
tions, Roanne, conscient de l’importance
de l'enjeu jouait un match de Coupe.
Malgré le travail de Palluch, Gonza és
et ses camarades ne permirent jamais
aux avants rémo s de se trouver en po
sition de shot. Zaremba n’eut que deux
occasions, mais en exploita unê Ce fut
suffisant pour assurer à son équipe deux
points particulièrement précieux.
Reims monopolisa souvent !a Dalle au
milieu du terrain mais les percées de
Palluch, d'ailleurs fort bien marqué par
Ri boulet ne trouvèrent jamais de réali
sateurs.
Roanne, moins brillant, mais plus réa
liste. a prouvé qu'il faudrait compter avec
Ui, et non seulement comme outsider...
1919J, on se mit au travail.
La Coupe de France
Résumons les points les plus Inté
ressants du Conseil. Pour la Coupe de
France, dont le 1" tour est fixé au
11 septembre, 3 catégories d’exempts :
A Les 18 clubs professionnels de I e *
Division entreront en course aux 32««
de finale (8 janvier).
B Les 18 clubs de 2® Division profes
sionnelle au 5® tour (11 décembre).
C Les clubs amateurs ayant joué la
saison précédente les 32e® de finale et
les participants de la poule finale du
Championnat de France Amateurs non
compris dans les précédents au 4® tour
(20 novembre).
Le Championnat de France
amateurs
Pas de modification an système des
fies qualifications du Championnat de
France Amateurs. Notons cependant
que M. Abell.y a réussi, après un vote
serré, et malgré une vive opposition
rie la Ligue de l’Ouest, à faire admet
tre la qualification du futur vain
queur de la Coupe du Sud-Est pour ie
Championnat 1949-50.
M. Gambardella obtint du Conseil
la qualification, pour ce même Cham
pionnat, des deux déchus de 2® Divi
sion professionnelle sans contrepartie,
c'est-à-dire sans admettre à leur place
deux amateurs du Championnat. 11
fit de son côté, à M. Cottereau, la
compensation importante d’admettre
qu'un amateur faisant partie d'un
club à section professionnelle, ne se
rait plus admis à jouer, dans la sai
son. avec les amateurs après cinq
matches joués en équipe profession
nelle.
Modifications financières
Les modifications financières ont été
adoptées, soit 80 % de la recette à
l’équipe visitée, à charge pour elle
fie payer les frais de transport de
l’équipe visiteuse sur la base de cent
francs du kilomètre, trajet simple.
On discuta longuement l’après-midi
sur la question des mutations. L’abbé
Gehl, appuyé par M. Lafarge, fit
adopter deux mutations au lieu de
Meilleurs Joueurs à Roanne : Gonza ès, 1 trois pour les équipes amateurs, ce
qui est une reforme louable et assai
nissante. souhaitons-le tout au moins.
CHASSEURS ET HOTELIERS
AU STADE JEAN-BOUIN
L’ASE Chasseurs, Hôteliers et Restau
rateurs de Paris organise aujourd’hui, au
stade Jean-Bouin, sa grande journée spor
tive. Au programme, à partir de 14 h.
Rugby : sél. Hôtelière-Entente Pari
sienne.
Football : Entente Hôtelière Paris-Sél
Hôtelière Bruxelles.
Basket-ball Coupe George V entre
George V et Ec Hôtelière.
Athlétisme ; 2.000 m entre Lonlas
Rousseau. Valadon. Fix, Gironde...
CZZZXZX3ZZ
DES RESU1 I A I S
GRAND PRIA Ut SAIN T-PAVIN —
Sen. 1 Landmn (CM Lavai), 2 h 22' ;
2 . Légat Laval a une poitrine . 3
Drouin M Quimpen. 2 h 30 , 4 Riant
(M. Fertotsl . 5 Lagoutle (MF) Jun
1. Lecuisiriicr Laval). 53 , 2 Gaicia
(Lavai) 53 30’. Cadets Bourcier (La
val). 19
CIRCUn DES FLANDRES. — l. Roger
(Par si 130 tm. ni 17 n 2 CaioB
(US-M) a 2”; 3. Guny Edmond (Le Ça-
teau) 17 n 4*'; 4. Capeioi Le (Taiea'u),
5. Guny Gharle* (Le Cateau), S. Godard
(Pa, — ),
Ri boulet Aubert, Colomer ; à Reims
Palluch Colau Claudé, P. Batteux.
Pierre Foix a défendu
el Jacques a marqué
Mont-de-Marsan b. Béthune t 2-1 (1-0) ! Oentilly b. "Sevran
,r, . . ‘Montreuil b. St-Germain
(De notre corresp. part. TESTEMALE)
Légère pluie. Bon terrain. Recette
130.000 fr. pour 1.500 spectateurs
Bon arbitrage de M. Richon. Buts
de Chambres (16e) M Jacques Foix
(8P) pour le S:adc Monta.s; Vincent
(71 e ) pour Béthune.
MONT-DE-MARSAN. — Partie trAs
émotionnante où les locaux, par leur
vits se d exécution et leur conception du
football, compensèrent leur inféiiorité
athlét. qi»L
Dès la première mi-temps, les Montois
menèrent ris opéïutions et priren ur.
vantage au tableau La siconde partie
jeu fut aussi captivante et après
égalisation pa. Béthune, les Montot*
ui desiiaient ardemment la victoire ins-
erivi.ent un nouveau but par Jacques
Fo x naturellement follement applaudi
La onze montois, qui joua une grande
partie, est entièrement à féliciter ave(
une mention spéc a.e à Piarre Foix.
La défense de Béthune se signala par-
icullèrement et son gardien de out fit
une honnête paftii.
COUPE DE PARIS
5—2
7—2
•Vitry b. Saint-Maur .- 3—1
•Puteaux PS b. Chavüle V. ....' 2—1
•Juvisy b. L’Hay-Chevilly 2—0
•Amicale b. Sannois 5—1
•Montereau b. SM Enghien 7—2
•Chelles et Racing 3—3
•Pontoise b. Versailles 2—0
•CSPSE b. ASF 3—2
•Corbeil b. Levallois 4—2
•Vésinet b. Choisy 3—2
Sartrouville b. ‘Nanterre 2—0
•Poissy b. UA 16 e 10—1
•Montgeron et CA 14 (prol.) 1—1
•PUC b. Métro 5—1
T . S. G. T.
CHAMPIONNAT DE PARIS
Excellence
Ivry et Bondy 2—2
Vitry b. Avia 6—I
MATCHES AMICAUX
A Rodez : Paris b. Midi 1—fl
Le Panthénol, principe actif du Pantène, est facile
ment résorbé par la peau. Ainsi le Pantène, en
régularisant le fonctionnement cellulaire du cuir
chevelu, arrête la formation des pellicules. Il est
également efficace contre : Chute des cheveux,
Séborrhée, Cheveux ternes et cassants.
au Panthénol
Chez .
Pïrfumcurs
Pharm jciens
Coiffeurs
Cr< * ’.
FtRET FRÈRBfl
Paris
*==“0 0 ; Tr»>qI
u - v entj
’
L’HOîX]
SIE]\
an * Patt v
° r Ph|
Vfe t M
S,
-m£ÏÏ\ 4 ’,4
ncontre p a „ I
’ rh °mas J 1
mat du c , n <
ial n- 2
le bm ande cl
but a été
lc e du «
fut a ? res s rf 1
y- Lorsq Ue ®
x ba.les de fl
cher conservai
' lct0l re et mÎI
11Æ . battu r.j]
Bernard
affronta pj
\ agneau se !
d se décida à ,
>anquVnt7 e d )
l défa ire un |
— Samedi ;
0, 6-3, 6-0 •
7-5, 6-1 _1
Patty é-3, il
b. M. Bernard
it Paris : i.vj
ional ClJ
ssais de d J
donna hier
dpes des inl
lt et de Grand*]
tt samedi et 1
l-Garros. 11
B Harper ,
' ler - A. G. R 0 w
axter.
trotra, BolelUf
Rémy. Dubui.
oyons que i a ]
classique roi
imes es ais i
notre double:
nsi que nous!
Rémy-Thom;
de cni
sur sa
taré au'il
nbledon le 25*]
nnats de Front
composée de]
cho GonzalèsY
Margaret
du simple
britanniques su
Pedro Mi
ar 6-3. 4-6,
Utant Miss
remporté le
louth, la finale
:x Espagnols
zurs de Elia{
gne) par 6-0,
ES NOUVELLE
du Champioua
zalès a battu f
î/3.
Dupd
vitvo
ty mobilisé
>rresp. gén. JJ
— Alex Ja
é, mais les Dd
nt profiter de]
t. Jany a, en
‘ Train, le rég
Rappelons, en
s » toulousains!
r le titre D#
A L'EAUi
U7L
mène d'abord (6-0). mais sous la pression de Maihea
s’effondre sur ta fin
(De notre envoyé spécial Marcel de LABORDERIE)
risTRES b. TOULON 17-6 (3-6). — Temps couvert et froid. Bon ter-
Recette; L-lOtl.ooo fr pour Ht.OOO spectateurs Arbitrage d’une clair-
J> .-énergie du Briviste M. Taddei. Pour Castres. 2 essais; Siman (43®),
!î) ï "]l (750. transformé pai Antoine ; 3 buts sur coup de pied de pénalité
W-,l3& et 7o*>, Moreno (30'). Pour Poutou 3 buts sur coup de pied de
|«IJj’ ( e é . Battaglini (13 et 22')
î3 . _ Ou avait dit nu match Castres-Toulon qu’il constituait la
■ finale Pour l’honneur du rugby français et pour cîlui du Chant.
4“L France, nous pensons qu’il n’en est rien et que notre rugby
liment mieux que celui qui nous fut servi sur le lointain terrain
r (jeorges-Lyvet, dans la bàn-_
les deux essais marqués par les Cas
trais Siman et Kapanol, sont deux
cadeaux que leur offrirent Bodrero et
Frois par deux erreurs monumentales.
• N’insistons pas sur la qualité du
match de Lyon. Nous nous réservons
d’en citer plus tard les beaux épisodes
dus à Matheu, à Cbanfreau. à Bo
drero. à Battaglini, mais insistons sur
son caractère palpitant. Tout d’abord,
profitant du vent qui soufflait dans
le sens de la longueur du terrain,
les Toulonnais avaient pris l’avantage.
Le géant italien Battaglini bottait
deux buts sur coup de pied de péna
lité dont l’un était réussi des 55 mè
très. C’est miraole qu’il n’en réussit
pas d'autre, car le ballon, botté des
60 mètres, quelquefois tombait au pied
des poteaux.
Toujours est-il que Toulon avait
l’avance de 6 à 0. Pierre Antoine,
émule de Battaglini. réussit lui aussi
ud but. A la mi-temps, l’avance dé
Toulon était encore de 6 à 3.
Conversant à ce moment-là avec
l'ancien capitaine de l’équipe de Fran
ce. Louis Junquas, présent à la ren
contre. nous analysions rapidement
le jeu des deux équipes, et nous tom
bions d’accord pour déclarer que Tou
lon avait, en réalité, laissé passer sa
chance en première mi-temps, et
qu’avec le changement de camps. Cas
très devait à coup sûr l’emporter.
[If°y n uX point mettre en doute
if, jté de l'équipe de Castres,
ardent, rude, violent ou bru-
Lissa.it des joueurs inanimés
i rr ain «u se tordant de dôu-
a amenait d'autres à devenir
f ant9 ou de pauvres êtres
, ? En réalité, la rencontre
!î ■ un match de l’arbitre,
contre certains joueurs
à Toulon Castres ren-
Vienne en demi-finale
I f ct coupables de hors jeu, de
“ plaquage à retardement
^tricherie. Fort neureusement,
f! énergie qui ne Se lassa poiut.
r|. cagna son match...
Xi o'en est pas moins vrai que
iLjtre n'est pas le reflet fidele
Crespectives des deux équipes,
ri, l'une et l’autre à ce qu'el
* produit devant les sportifs
,j n ts... mais peu d’essais
I
pourrait-on objecter, le
‘{y à 6 ne manque pas d’être
! jiais savez-voua qu’il y a.
total. 15 points dus à des
i, Pascalin, Darrieusecq, Donnecaze
(leurs joueurs de l’équipe montoise
très mobile
(Suite de Particle de Géorgie» OUTHEN)
_ t rendus. malgré l’absence de
L s au stade municipal, se
[jjit facilement à l'avis de
jpedarré II faudra battre le
[ïontois en finale ! Ce ne sera
.tâche aisée pour son adver-
L'ü soit le CS Vienne ou le
T olympique, car, aux dépens
iBriviste. les Landais ont fait
Lustration qu'ils étaient par
lait dignes de l'honneur qui
boit.
essai inoubliablm
Ijabllera ce premier essai qu’ils
1-ent. dans le style de l’Aviron
bis de la grande époque ?
be Montois était acculé sur
avec une audace admira-
Frinclary :
iiBrivistes avaient des yeux
il ne voyaient pas »
(De notre envoyé spècial)
MAUX. — Redoutant que son
lut mal remis, Princlary avait
nedi la decision de laisser sa
le pilier à Debrach. L’entrai-
npitaine du CA Briviste qui
I dons l'âme, suivait du bord
| touche le jeu de son équipe,
luit la défaite de ses loueurs .
Iliade Montois était beaucoup
I npide. Il mérite sa victoire
l'était pas invincible J'ai cru
i avants allaient le battre en
wt mi-temps. Hélas !... Tant
I nt dominé ils n'ont rien cons-
(t net Quel désordre dans leurs
Si j'avais envie de plaisan-
dirais : Hier, la qrande armée
M'hui, le troupeau,
nuis bien que les Brivistes
des yeux... et qu'ils ne
t pos ! Dans ces conditions
(w B'iv* aurait-il pu vain-
'-GO
I] bien des spécialistes blasés
Pour une folle imprudence.
«Q et Baradat lancent la
Faque ; Loyola va-t-ll donc
T;5 danger par un coup de
Louche ? Non. le Stade Mon-
;We. par le jeu à la main
l’étreinte ! Et Loyola
[Mversaire de vitesse, il petçe.
ailler Cabos. Celui-ci file
la touche ; aux 50 mètre*
F :e au pied ; dans un bond
Lovola reprend le bal-
L'Plee. renverse l’attaque sur
r ; l'arriére de Brive, Arcalis
F arriver, flanqué du 3' ligne
t.fL Uquel 11 une impécca-
fwission ; essai 1
est resté tnsensible â ta
mouvement par lequel
P Montois se classe en tête
1, bU’ savent encore prati-
ùitu offensif ? Leouel. oarmt
v * u .Pp° r ters du CA Briviste,
ses applaudissements
[ ' la foule girondine ravie ?
1 Montois plus rapides
l(iu U1 ® ssa i. le Stade Montois
V, mérité la qualification
la
| Qui
marque de sa méthode
consiste à jouer à la
L et toujours, à contre
r.“ toutes occasions, à cher
LV. e l’adversaire en vitesse
kfiu !es Landais, plus rapi
L'Eure condition physique
F* wergaires.
f°iWe mêlée, le ballon
dn' eusement talonné par
on veut espérer que
(m J( ]" er à la main aura im
le sélectionneur Kené
F ? Darrieusecq eut l’as-
* Jamais la jouer courte,
car elle eût tourné à l’avantage de
Fargearel. Et Baradat, inlassablement,
ouvrait...
Voilà comment le Stade Montois a
dominé et gagné.
Que faisaient donc les Brivistes.
les vainqueurs de l’AS Montferran-
daise ? Pris de vitesse, ils ne surent
pas se libérer de la pression quasi
constante de l’adversaire. Fargearel
ou Survielle avaient-ils le balion à
la tquche ? Teillet lançait-il l’atta
que ? Bérocq. Lasserre et Larrezet
étouffaient dans l’œuf toutes les ten
tatives ! Les trois-quarts reculaient
étaient contraints de taper à suivie
pour regagner du terrain, mais Bon
necaze, talentueux arrière, renvoyait
inlassablement les Brivistes dans leur
camp !
Pendant vingt minutes pourtant,
en deuxième mi-temps, les avants de
Brive prirent la direction du match
On eut l’imnression qu’ils allaient
s'imposer. Hélas ! privés de Princlary
leur leader, iis étaient incapables de
s’ordonner, dépensaient en vain une
énergie extraordinaire et, désespé/és
de tant de peine perdue se tournaient
un moment vers la mailloche, suprè-
Nos prévisions étaient basées sur la
production plus solide des arrières
castrais, sur l’action personnelle de
Matheu. et surtout sur l’absence quasi
totale d’une troisième ligne effective
à Toulon. La réalité dépassa d'autant
plus nos prévisions que les lignes ar
rières toulonnaises Sombraient flans
le désarroi ; Bordenave était blesse à
la hanche et jouait modestement à
l’aile. Frois. maintes fois bousculé
sévèrement, fermait les yeux par peur,
lorsqu'il était serré de près, et lâchait
| la balle au petit bonheur. Lacaussade
était malheureux dans ses contre-of
fensives. Galy. David. Garcia, n’avaient
pas l’envergure de redresseurs de si
tuation. Seul Bodrero s'employait uti-
18 coups francs ont été accordés
à Castres, et 17 à Toulou.
lement à l’arrière. Chez les avants,
Mantorola, Cutzacb et. par coups de
boutoir Battaslini, réussissaient à
tenir la cadence, mais le match se
terminait par une quasi débâcle pour
Toulon.
C’est que. dans l’équipe de Castre
sinon plus athlétique tout au moins
mieux préparée, et qui avait la chance
de rester intacte. Matheu fournissait
un rugbv intelligent et incisif. Il
s’échappait presque sans opposition
aux touches. Aux mêlées, il combinait
admirablement sou jeu avec celui du
demi Chanfreau. Les avants castrais
avaient la balle, et si d’aventure elle
parvenait aux arrières toulonnais,
l’attaque de ces derniers tournait ra
pidement à leur propre confusion.
Voilà pourquoi Siman reprenait un
L’équîpe toulonnaise se présentait
privée de son trois-quarts aile Le.v-
dier. David jouait à l’ouverture et
Frois passait an centre. La combi
naison n’a pas été henreuse.
ballon mal dégagé par Bodrero et
marquait un essai. Voilà pourquoi Mo
reno. puis Antoine, réussissaient coup
sur coup deux buts en position facile,
et voilà pourquoi Esuanol couronnait
le tout par un essai entre les poteaux,
après une erreur de Frois désemparé.
Les avants castrais, la troisième li
gne en particulier, avaient fini par
occuper le terrain en maîtres. Matheu
est le triomphateur du jour. A l’ar
rière. Moreno. qui avait débuté de
façon inquiétante, réussissait lui aussi
à se racheter sur la fin. Les Castrais
finissaient en vainqueurs.
Castras, champion
en « Réserve »
Castres b. Montferrand : (11-3)
(De notre corresp. pa"t. BOLDOU)
La deuxieme êd:ton de la finale d^,*-
équipes secondes fut jouée de rude façon
par deux équipes senslbiemen; égalés,
mais les Tarnais méritent largement le
gain du match et les Montferrandais on;
déçu
jouant avec le vent, les Montferran-
dais dominèrent largement en première
m.-umps et éussin.nl un essa à la suit.'
d une des rares belles phases de jeu qu Us
confectionnèrent.
Mais Castres attendait son heure et
orsqu'U put à son tour s'appuyer sur
le fort vint qui souffiait, il s’imposa
par un beau drop de Tarrusson, d abord
puis deux essa-s de Sié et . Quilles b en
amenés par Benoit et Jacques S.man
Les ares belles attaqués furent po"!
les Tarnais, auprès desquels les 3/4 au
vergnats faisaient p.ètre figure.
STADE MONTOIS BAT BRIVE 8-0
(5-0). — Bon terrain, vent assez vio
lent. 16.000 spectateurs. 2 327 000
francs de recette. Bon arbitrage de
M Delmas.
Stade Montois, 2 essais : de Lar-
rezet (27*1 transformé par Bérocq, et
Cabos 167°).
me espoir des vaincus. Les avants
de Brive peuvent battre leur coulpe :
pour s’être affolés Us ont raté le*
occasions, qu’ils eurent en quelques
Instants, de combler leur retard.
Ainsi disparait le CA Briviste après
avoir accompli une remarquable sai
son Il aurait pu mourir en beauté .
dommage que Nadin et Fargearel
aient enlaidi, par des gestes Idiots.
Aine demi-finale de belle qualité !
CHAMPIONNAT ILE-DE-FRANCE
Comme en 1948
P.U.C. et Racing
disputeront la finale
PUC b. CASG i 14-6 (0-6)
STADE JEAN-BOUIN. — C’est par un
score très flatteur que les Etudiants ac
quirent le droit ae défendre leur titre
face au Racing.
En effet, dominés les deux tiers de la
rencontre, menés 6-0 à la mi-temps, des
trois-quarts maladroits, Jorge mal ins
pire en première mi-temps, sa liaison
avec Cortada (demi de mèlee par inté
rim) pas toujours heureuse; il fallut le
vent favorable de la seconde mi-temps,
le reveil des Frémeaux, Charpi, Adami
pour que les actions des avants Jusqu’à
lors négatives, fussent productives et se
traduisent par deux essais de Frémeaux,
un de Tordet, un but sur coup franc et
un but après essai de Jorge
Les Généraux, bénéficiant du vent en
première mi-temps, avaient réuss. deux
essais le premier par Castel après per
cée de Ariol, le second sur un faible
renvoi aux vingt-deux mètres de Jorge
Abadie reprenait de volée et servait Saux
qui marquait en force.
Les Pucistes jouèrent sans flamme
n’alertant que très rarement leurs trois-
quarts qui se montrèrent en ces occa
sions maladroits et sans ressort, la ligne
d’avants, seule, supporta le poids du
match et parvint à user *a rivale qui
avait eu le mérite ae lui tenir la dra
gée haute.
Au PUC: Frémeaux, A lami, Charpi.
Colbert. Ballini, Jorge par intermittence
et enfin Jaubert se signalèrent
Au CASG : tous les avants avec une
mention spéciale au jeune Guérin Cho-
quart, Ariol et Lataillade.
F. GUY
EXCELLENCE (1/4 de finale)
Albi a mérité
sa qualification
Albi b. Tours : 8-5 (0-0)
(De notre correspondant MONTANT)
LIBOURNE. — Tours et Albi se sont
rencontrés poüi la deuxieme fois. Un «ent
violent soufflait sur la longueur du ter
rain, Il semble que Tours; dominant avec
'aide de et dernier, ait raté sa chance
en première mi-temps
Albi après quelques vellé.tés d’attaaues
la main se contenta de parer aux as
saut» de Tours et d’arriv. r au repos sans
trop de degât-s ce qui lui réussit puisque
à la pause le scor< était nul
Dès la reprise, A'.bi. avec le vent s’as
sura une assez nette supériorité mais
Tours, par d s dribbllngs se dégageait
haque fois, quand Cristol d’Albi pla
qué par l’arrière de Tours, tombait en
but en marquant le premier essai. Un
deuxième suivait à la trentième minute
marqué sur un mauvais rebond de la
bail: par le pilier Comb s. transformé par
Launay
La partie semblait jouée, mais Tours
acc utuait ses contre-attaques volonta.res
et farouches et réussissait à la dern èn
minute un essai de Mallet transformé
pa" Matchin
Albi mérite sa victoire car son équipe
sut mieux s adapter aux circonstances
tand s qu’à Tours les efforts furent trop
désordonnés
Lé* trente joueurs sont à féliciter pour
leur tenue et l’on peut signaler plus par-
ticulièrement l’arrière Lugan et. le d> mi
de mêlée Blanc à Albi. ainsi que le ta
lonneur Courteau et le demi de méléi-
Mond ère à Tours
Graulhet l'emporte
de haute lutte
Graulhet b. Céret t 6-0
(De notre correspondant KYRIAROLF.)
LAVELANET. — La partie s’est de-
roulée, sous une p’uie diluvienne, de
vant , une nombreuse assistance Les Ca
talans furent gênés par te ballon glts.
6ant et ne purent étaler leurs qualités
de Joueurs à la main. Les avants Tar-
nais dominèrent leurs adversaires sur
tout en touches courtes où Phalippot
s assura e. oalle neuf fois sur dix Bon
net quoique très marque, reposa son
équipe par «es longs coups de pied en
tour he
Azemar, troisième ligne de Graulhet
marqua un essai de grand style Indis
cutablement les meilleurs ont gagné
A Graulhet. ligne d’avant? plus lourde
et plus scientifique Une paire de demts
de erande classe . un arrière de tout re
pos Les meilleurs • Phalippot Azémar
Martinez. Abadie Bonnet et Galibert.
A Cér<"t. un grand courage ; beaucoup
de combativité : manque de co-hésion fl
est certain que le temps a considérable
ment gêné les Catalans, habitués aux
terrains secs. Les meilleurs ; Puigmal,
Cabail. Mardavail et Marty.
Querelle au Parc
par Pierre ABOUT
tj N^ querelle est née samedi soir
[J à propos de la « rentrée •• à
Paris du rugby Klll. Curieu
se querelle qui repose, comme tou-
bes les autres, sur une erreur.
Dans les discussions passionnées
de l’agrès match on ng discernait
plus très bien Si les critiques s’a
dressaient à un sport nouveau, le
jeu à XIII, si elles voulaient pré
server un autre sport, le rugby,
si, enfin elles tendaient à fustiger
l’inutile brutalité dans tout ce
qu el„e comporte d'atteintes à l’es
prit de compétition. On s'égarent,
et pour tenter de retrouver le che.
min U faudrait poser lés données
du problème. Les voici .-
I On a voulu croire ou faire
croire que le rugby Ireisis-te fai
sait une « démanstratic n » au
Parc. Quel est le sport français
qui oserait prétendre « démon
trer » avec une demi-finale de
Coupe de France ?
2. On a voulu, parce qu’on j-ouait
avec un balion ova.e, comparer les
mérités respectifs du rugby XV et
du rugby XIII. Cela prouve qu’on
n’a pas encore compris que le jeu
à tr.ize tend à devenir, tactique
ment et techniquement, entièrement
ail f virent du rugby.
3. On s’est oomplu à ne retenir
que les brutalités. Files sont un
fait mais n’apparliennent malheu
reusement pas à%,n seul sport, a
une seule d-e ses manifestations.
Si l'on veut bien dépouiller tous
ces complexes, il restera que le
rugby tieize a offert à P .ris. Hon
nêteruent, le spectacle qu’il aurait
pu organiser sur n importe quel
stade de France sans encourir de
graves reproches car le rugby nous
a, hélas ! habitué à des exhibi
tions qui n’ont rien à voir avec
U « /car play ». Vaslin et Bertrand
sont dp grands coupaoits. Ils ont
eu cent nulle fois ’n rt d'autant
plus tort que Carcassonne n avait
pas besoin de frapper pour gagner.
*Vaslin et Bertrand sont, de pau
vres gars qui dénat uré m le iport,
qui l’empoisonnent par des injec
tions malfaisantes. Mais qu on
veuille bien considérer leurs pes
tes aussi stupides qu’inutiles -som
me des incidents et il restera que
hé speclac.e comporta ues moments
torts attrayants avec de la beauté,
de la virilité, ci* la résistance ai
Roanne n’avait • iv j-oner a douze
puis à onze, le match fût demeu
re équilibré jusqu'au bout et son
issue très incertaine. L'intérêt du
résultat ayant di.-paru dès te com
mencement de la deuxième mi-
temps, les deux équipes ri en con
tinuèrent pas moins à tu-uer vite
et rudement, démontrant -ne con
dition physique d’ensemble extrê
mement rare dans no s sports col
lectifs-
Le jeu en lui-même. Le jeu à
treize n’est pas au point, pour
en avoir suivi les manifestations
nationales et internationales nous
pouvons dire qu'il cherche en
oore. Il ne s’est pas entièrement
dépouillé du rugby pur, il lui con
cède des formes d'attaque qui sont
autant de faiblesses. Il ri a pus
entièrement assimilé ta technique
individuelle qui doit placer la fau
te de mam au rang d’une calas-
tr-ephe II n’a pas terminé de
construire son méconisme dont le
fonctionnement impeccable permet.
tr-ut à F inspiration individuel^, de
fleurir sans surprendre le voisin
L'ensemr le est p.u$ ai trayant q ue
déplaisant L’expérience parisienne
de suni di a provoqué une quereAhe.
Cela vaut ceriameutent mieux qu'un
succès d-e complaisance. Mais cela
d-oit irtciler les dirigeants des clubs
de la Ligue à choisir Durs hom
mes, ou tout au moins, à écarter
les voyous.
EN DEUXIEME MI-TEMPS, REDUITS A ONZE...
Les Roannais ont combattu sans espair
CARCASSONNE b. ROANNE. 21-6 (3-0). - Beau temps. Terrain souple
Recette : 1.600.DUO fr. pour 12.060 spectateurs Arbitrage insuffisamment
sevère'de M Pascal (Toulouse). Pour Carcassonne 5 essais; J’eytavi (38 e ).
Ponsinet (47 ). Bertrand ( 66 "), Guilhem (69 ), Peytavi (72‘), 2 transforma
tions : Puig-Aubeii (47' et 66 '). 1 drop-goal: Fuig-Aubert (59°). Pour Roanne
2 essais ; Dufforl (4ô«). Riu <76--).
PARC DES PRINCES. — Roanne est battu sur un score sévére mais
à vrai dire, il n'y eut qu’une mi-tSmps de jeu équilibré. Dès la 13' minute
l’avant roannais Rcdella touché au genou avait quitté le terrain pour n\
plus revenir Blessé à son tour à la hanche, l'arriére Barreteau. aprée avoir
essayé de se rendre encore utile en figurant dans la ligne d’avants, s'était
vu contraint d abandonner la lutte Réduits à 11 joueurs, et à certain-
moments même à dix, les Roannais ne purent plus que poursuivre avec
courage un combat sans espoir. On i —- ... ,
regietteia d autant plus leur infe.îo exception faite rie celle de Ponsinet
rite numérique qu ils avaient débuté | stupéfiant rie rapidité et de décision
en prenant un léger avantage terrîto-j s'exerça plutôt dans le domaine,., des
rial et que ce sont eux qui conduisi
rent. même en deuxième mi-temps, les
mouvements oftensifs de la meilleure
facture. Jusqu’à l'essai d’égalisation
de Duffort (45e). e t alors qu’ils
jouaient déjà à douze, ils purent
garder un caractère d’indécision à la
rencontre, puis ce fut le fléchisse
ment inévitable sous les coups de
boutoir redoublés des rudes Carcas-
sonnais
De toute évidence, les Roannais
avaient mieux débuté, encore que
leurs attaques aient paru un peu
trop tatérales. Us ne recherchèrent
pas suffisamment, surtout (Irespo qui
a trop tendance à repiquer vers le
centre du terrain, la tentative de
débordement, et Brunei, qui se mon
tra pourtant sous un jour excellent,
ne fut que rarement servi. Les hom
mes de Samatan donnèrent même
l’impression, par opposition, de jouer
plus direct, d’être plus incisifs indi
viduellement à partir du moment où
leur formation fut incomplète. On
gardera le souvenir, en particulier,
d'une magnifique phase d’ensemble
vers la 50' minute ; feintes et cro
chets de Maso, déboulé d’Abadie, lon
gue course (le Brunei suivie d'un re
centrage repris par Taillantou qui
fut à deux doigts de conclure.
Les attaquants roannais Taillantou.
Maso, Duffort (en ordre ascendant)
eurent bien du mérite à tenir l'adver
saire encore en état d'alerte alors
que leur mêlée était réduite à quatre
unités et que Rascol. passé arrière
boitait bas.
De tout ce qui précède, il aura déjà
été loisible de conclure que les Car
cassonnais l’ont emporté surtout grâce
à leur puissance... de choc ! Leurs
avants ont payé de leur personne
tructif aveo parfois des gestes répré
hensibles que M. Pascal eut tort de
ne pas réprimer plus sérieusement
C'est à une série de * rushes » pré
paratoires de Ponsinet. Vaslin et P\
que Pe.vtavi dut d'ouvrir la marque
pour Carcassonne, à la 58' minute
Ponsinet donna ensuite l'avantage
décisif à son équipe à la 47’ minute
en exploitant avec à-propos, à 20 mé
trés de la ligne adverse, une passe
croisée de Bergèse... et il fut bien en
définitive l'homme le plus en vue sut
le terrain... Puig-Aubert, alourdi mais
dont la botte reste toujours aussi
efficace puisqu’il marqua 6 points
dont 2 de drop-goal, ayant été à plu
sieurs reprises pris en défaut sur des
coups de pied de dégagement ad ver
ses Bergese joua contracté, et plu
sieurs de ses combinaisons, trop sou
vent répétées avec le vif et infati
gable Guilhem. furent éventées par
l’avisé Duffort.
Compte tenu de l’importance de
l’enjeu, on ne pouvait guère s'atten
rire à ce que les deux équipes pren
nent des risques offensifs à tout pro
pos. On conçoit qtçe les Carcassonnais
aient cherché à miposer ayant tout
leur supériorité athlétique à l'adver
saire. mais l'on regrettera que cer
tains d'entre eux aient cru devoir le
faire avec méchanceté. A ce propos,
l'arrêt brutal de Vaslin. qui jouait
ailier, sur Taillantou, a été sévère
ment jugé par le public parisien.
Roger BASTIDE.
CARCASSONNE : Puig-Aubert : Vas
lin, Bertrand, Pe.vtavi. Thomas; toi
Bergèse, (m> Guilhem ; Calbête. Py
Ponsinet, Masson Martin. Pastor
ROANNE: Barreleau ; Crespo, Maso,
Rascol Brunei ; (o> Taillantou.
fort ; R Danger. Riu Rodelia. Audou-
bert, Martimpé Abadie.
Marseille à Toulouse, comme Carcassonne
à Paris, s’est qualifié en une seule mi-temps
Et Cordeaux, comme Roanne, ont été
désavantagés par des blessures
(Suite de l’article de Roger BAS I IDE)
H’eü\ été le cadre, la finale de Coupe
d'Angleterre Wo!ves-Leicesfer (3-1)
aurait paru bien modeste !
Même le capitaine de l'équipe d'Angleterre
le demi Wright, joua un match médiocre
(L)e notre envoyé spécial Gabriel HANOT)
Bien sûr, il y avait 100.000 spectateurs (receite : près de 40 millions
de francs) samedi, à Wembley L'atmosphère de Coupe y était aussi, avec
ses milliers d’hommes et de femmes parés, de toutes les manières possible»
et . imaginables, aux couleurs jaune et noir de Wolverhampton ou bleu
et blanc de Leicester. Ce monde bigarré, quelque peu carnavalesque, mais
bon enfant, agitait, à la commande,
des cloches et des crécelles, bran
dissait des mouchoirs ou des papiers
blancs, poussait des hourrahs, chan
tait, avec la meilleure volonté et
dune voix juste, de * chœurs souvent
religieux, ce qui donnait au stade
t’a?pect d’une cathédrale sans toit et
communiquant directement avec le
ciel à l’aide de cantiques. Qu’une foule
d-e travailleurs, et par conséquent tra
vailliste, puisse avec la plus profonde
gravité chanter debout, nu-tête, avant
un match de football : O Lord, abirie
with me (ô Die u , sois mon soutien),
ce n’est pas là une des moindres sur
prises réservées à un Français en An-
g.eterre.
Il y eut aussi, une fois la princesse
Elisabeth installée dans la tribune
d’honneur, et les poignées de main
données sur le terrain aux joueurs
par le duc de Gloucester et le duc
d’Edimbourg, U y eut aussi la finale
de la Coupe, la plus faibl e que j’aie
jamais vue.
Même Wright fut « moderate »
W olverhampton, sans dout e dominé
par les nerfs, rte oopa pas en grande
équipe de premier# division, et Leices-
têr nous révéla pourquoi iî vit actuel
lement sous la menace de descente de
Division II eri Division III.
Wright le jeune demi et capitaine
de l’équipe d’Angleterre, aurait dû
surclasser amis et adversaires . il tint
un rôle moyen, moderate, comme di
sent les Britanniques, et nous com
prenons mieux maintenant pourquoi
la défense anglaise a si mal résisté à
l’attaque écossaise, le 9 avril sur ce
même terrain dp, Wembley où les vi
siteurs gagnèrent par S-l,
Néanmoins, les Wolves (Loups) me
naient samedi à la mi-temps par 2-0
Les deux buts furent obtenus par
l’avant centre Pye, le premier de la
tête, sur centre impeccable du petit
ailier droit Hancocks (13 e minute) ;
le second, à la suite d’un corner mal
rtpoussé par Leicester et d’un tir
effectué en tombant (43' minute).
Leicester trouva au vestiaire — pen.
dont, une longue mi-temps qui permit
à la fende d'assister aux évolutions
scandées d P , jeunes engagés volontaires
de la RAF — l’énergie physique et
morale nécessaire pour oublier qu’il
avait quitté battu le terrain de jeu.
Une action offensive vraiment splen
dide, amorcée dans ses propres dix-
sept mètres et poursuivie par l’ailier
gauche Adam jusqu'à portée de tir
du but de W olverhampton, s’acheva,
par un tir d-e Griffiths qui ricocha
dans les jambes d'adversaires et de
partenaires : le ballon finit par dé
raper du montant gauche du but dans
les filets non sans que le demi droit
C.rook i’eût touché et presque dévié
de la tête, (.'était à la 6tc minute.
A la 6',’ minute, l’intérieur gauche
d,g Leicester, Chisholm, marqua un
uni qui eut nus les équipes à égalité
(2-2) s'il avait été accordé. Mais il
g avait hors jeu.
Deux minutes plus tard,, l’intérieur
droit de W olverhampton, Smyihe, tra
versa presque une moitié de terrain,
en dribblant quatre adversaires et
marqua, avec élégance et facilité, l-e
troisième but pour W-olverhamo’on.
i-l : la partie était jouée. Il y eut
encore quelques rares exploits pers-on-
n-S-’s sans conclusion positive, des pé
nalisations pour charges irrégulières,
des chocs dou.oureux qui Laissaient,
les joueurs, en particulier l’ancien ai
lier gauche international Mullen, iner.
tes sur la pelouse, gt qui réclamaient
l’intervention des soigneurs.
Il restait encore plus de cinq mi
nutes de match lorsque les gradins
est, où étaient massés les supporters
des Loups, entonnèrent les clameurs
de victoire, sorte de répétition géné
rale de l’ovation monstre qu’ils réser
vèrent à Wright et à ses coéquipiers
à l’instant, de la remise de la Coupe
par la princesse Elisabeth.
Cependant, les partisans de Leices
ter City continuaient tout naturel 1 e-
ment de porter les couleurs de leur
club favori, et nul ne songeait à *•*
moquer...
Au cours de l’empoignade Carcas
sonne-Roanne. dont le public pan-
eitn put apprécier toute l’àpreté, o.i
eut à dépior-r la mise hois de com
bat de deux Roannais : Rodeua et
Barreteau... sans compter quelques
autres éclopés, de gravité moindre
Dans la rencontre Marseille-Bor
dtaux. le brillant ailier bordelais
Odé Lespes, touché une fois de plus
à la tête dut abandonner le ter
rain.
Mais là s’arrêtent les points com
muns entre ces deux demi-finales,
au cours desquelles l’esprit du jeu
sir.on les conceptions, furent totale
ment différents
Sur le terrain souple et sec du
Parc des Princts, devant des spec
tateurs avides d être initiés aux sub
tilités du nouveau rugby. Carcas
sonnais et Roannais ont exercé leur
“PTTC b. CASG .. ..
*RCF b Pithiviers
14—6
forfait
il
'/QUE £T v
(f 1
iu HE SPORTIF
'GlEVEUX oui tiennent
ROUPIES ET BRILLANTS
Il dut» ni rn**nnts)
une coiftureîoujoura
sportive avec la
AlllANTINE
lÜSTALUSÉE i
On a joué à XV
au Stade Jean-Laffon
(De notre eorrcsp particulier P. IZERX)
PERPIGNAN - Le match J* bienfai
sance Police Française contre Sélection
XIU-XV a été disputé malgré le veto de
la FFR La fermeté des organisateurs a
permis de constater combien des loueurs
à treize affirmes tels que Cornes Serre
Ulma. Roig. Labrusse, Barande étaient
leur aise dans le stvle orthodoxe de
leurs dëbùts
Finalement la Sélection battit ta Po
nce par U points (3 essais I but) à 6
<2 essaisi
Que la 2 FR se rassure ! Le matheu
reux pe'alvs* au profit duquel le match
était loue hf pourra cependant Hre se
couru comme 11 conviendrait, le mai va.s
temps *van‘ retenu la grande foule ce
’ est dc-mmaite pour la charité et.,
pour Ta morale
CHAI-UENCE MA JOURS
*CASG iJi b. SCUF tJt , 16—8
MATCH ES AMICAUX
•Tarbes et Lourdes I—3
Auch b *Beigerac 15—S
•Dax b SÇPÛ pi ris - 3—0
?Tarare b Roannp »—6
Règles b *La Rochelle S---3
US Métro b *Chem Sud-Est . . 13-0
|S
. / PARIS, les 6 e! 7 mai, ARENES VEL’ D’HIV’
lu SUCc *s, deusieme et dernier Grand Gala TAURIN la 7 mai
I* J lendides T0R0S ESPAGNOLS venant de Seville
h|ujs de Villamartu et 8 des Gains y Iulio Vasquez ; 12
^^ondiaie CONCHITA CINTRON
soir A CHEVàl et A PIED 2 TOROS de VTLLAMARTA
h.-, s ,a meu» matador* de TOROS dq CARTEL de MADRID
b| ^V£N|DA ^ EL VIT0
? v * Autres teros de ISA!AS et TULIO VASQUEZ
1 So - * ' tat>les Ga as 7 AUBiNS sans precedent r
r aeu * soireea : Wagons-Lits, 1 r Scribe,
Fri* ae* p|a-es . 350 * 2 500 fr
PARIS
et Palais des Sports
HONNEUR (Demi-finales)
Jeu et résultat négatifs
Peyrehorade et Port-Vendres i 0-0, orol.
(De notre corr. part. DL-BOI 1 RDIElh
AUCH — Disons tout de suite que
cette rencontre fut d’une rare mdig ncr
et sans vouloli être sévert ptu digne
des ux clubs demi-finalistes d'Honneui
Etait ce la hantise du rpsulta , Nou-
voulons bipp le croire mais en bref le
j u fut de part et d’autre négatif Fat
de touchas et mêlées se succédant A
un rythme régulier où les attaqu-s se
dépensèrent sans compter et s'usèient
sans aucun profit pour leur équipe.
Poissy échoue au port
Prades b. Poissy i 6-3
(De notre corr. part. A. SOURIE)
BRIVE - Un vent violent oaiaie le
terrain Poissy en bénéficié en première
mi-temps et à la 10' minute réussit un
but sur coup franc par Mmsoneuve Pois
sv domine territorialement lusqu au re
pos mais ne peui augmenter le score
Le deuxième acte est en faveur de
Prades qui attaque constamment A la
75' minute Fourquie égalisé par un be;
essai mais il faut louer la prolongation
La première Dartre est nettement en fa
vçur de Prades qui réussit à la 10 mi
nute un but sur coup franc par Aurroi
Dans la seconde, Prades manque quelques
belles occasions purs Poissy se ressaisit
et manque de peu un essai puis un
drop et Prades sort vainqueur de çe
match sans éclat au cours duquel le )ey
fut plutôt rudimentaire
PROMOTION
DEMI-FINALES
Le Cret)S. • S.4 Lyon b. Bourges
Périg I, Monfluç. b. Condom
EQUIPES RKSLRyLS
FINALE
Bort : Castres b. Montferrand .
6-5
9-3
MATCH INTERNATIONAL
GLOUCESTER. — Scolaires Français
b Scoia.res Anglais .... ...... 9—3
K V Mhi h h
* iv^MENSIOHS
fn
*VALT|X «TEXTILES ———
ES U.S. ARMŸ - Tél. Fort-Royal 37-84
'li' B| !e m *
\ , •umini
V V | °N 200 Fn
“■'■‘Jtetur,. e!tu ATELIERS-BUREAUX
3t, rùe Buffon, Paris-V*
AMlIlCAINH
2, 4, 6, 15 places
à partir de 3.000 fr*
LITS CAMP OFFICIERS
980 el 1.200 fr*
lAtNUMS
| % Le match Stade-Cast*es comptant pmi
les quarts île rtnale de la Coupe ae
\ France pourrait bien te dérouler o Ferp i
gna.ii En e/tet si tes deux clubs ne s’en
tendent pas pour louer sur un terrain
! pyreneen. ainsi en décidera la Fédéra
I tion
Les Bordelais tenaient tête aux Marseillais
Une blessure de Lespes leur retira toute chance
(De notre envoyé spécial)
MARSEILLE b. BORDEAUX; 25-12 (8-7) — Temps pluvieux. Terrain
lourd. Recette: 410.000 fr. pour 4.50U spectateurs Arbitrage un peu trop
pointilleux de M Goyetche Pour Marseille 7 essais ; Deha.ve (22*) Rou
taud (39 ), Brousse (50 e ), Béraud (60”), M André (65 e ) César (75 e ) Hat-
choiulo (78 e ), 2 buts : Dchaye (39- et 78 e ), Pour Bordeaux. 1 but : Crabos
(5 e ), 2 essais; Lespes (36 e ), (orui-asim (79 e ), 2 transi : Caillou (36* 79 e )
TOULOUSE. — En une heure, les Bordelais ont éprouvé, au stade
Chapou. toutes les nuances alternativement de l’espoir et de l’appréhension,
avant de s’abandonner au plus morne découragement
Des la cinquième minute, un coup de pi p d de pénalité permet à C’raho.
d’ouvrir la marque en leur faveur Ils doivent ensuite concéder un essai
de débordement a I arriéré marseillais üehaye ; puis lancé pour la première
fois dans de bonnes conditions
quelques mètres a peine de sa propre
ligne de but. Odé Lespes sprinte réso.
lument, donne un long coup de pi H d
à suivre évite un croc en jambe insi
dieux de Dop et parvient à aplatir
dans l’en-but adverse avant Denez
Cela fait donc, avec ia transforma
tion de Caillou. 7 à 3 en faveur aes
Girondins à la 36' minute
Maie les murmures d’enthousiasme
de leurs supporters «ont à peine cal
niée que leur centre Kempf perd ma
ladroitemeut le contrôle de .a balle
près des buts et que le centre mar
seillais Rouzaud n’a plus qu'à pion
srer p>>ui redonner ( avantage à «on
équipe / à 8 à .a mi temps
Consécration
pour le XIII de France
Le match
contre TEmpire Britannique
aura lieu le 26 mai, à Bordeaux
(De notre correspond, général POMIES)
BORDEAUX. — L’an dernier, M Fal-
lowfield offrit aux dirigeants de la
Ligue, à la veille de France-Angleterre,
de disputer un match contre une
équipe de l’Empire., si la France bat
tait l'Angleterre ; mais elle encaissa
22 à 6 La Ligue Française de Rugby
à XIII s’est souvenue de cette offre et.
à son tour a demandé la mise sur pied
vigueur dans un sens surtout des
tructif et trop souvent le marquage
étroit d’nomme à homme entraimi
des duels singuliers r-grettebies
A Toulouse sur le sol gras et gh
sar,t du Stade Chapou, et en pré
sence d’une assistance réduite
raison de la grève des transport.
Marseillais et Bordelais, au contraire
ont essayé de forcer la victoire d en
trée. eri pratiquant un rugby
mouvement, correct et varié, qui
ô ironie du sort ! — eut sans doute
plus été dans le goût de la majorité
des spectateurs parisiens que les ac
crochages de mastodontes qui leu
furent offerts samedi.
Il est vraisemblable que la supé
rioritè d’easemble des Marseillais se
fût imposée, de toute façon, aux
Bordelais qui ne pouvaient avoi
de chance de salut que dans un ex
«ploit individuel de plus en plus dû
ficile à réaliser à mesure que
la constante pression phocéenne
émoussait le brio girondin
Il est moins certain que Ks Car-
caesonnats l’eussent emporté., sans
les s-’cours de la Providence : ca
ies élèves de Samatan avaient paru
COUPE DE FRANCE
DEMI-F'NALES
Parc: CARC b. Roanne (sam.) 21 6
Toulouse MARS, b Bordeaux 25-12
DIVISION NATIONALE
Cavaillon (7) b. *AVIGN. ( 10 ) 7-3
POULE DE CLASSEMENT
'T'-, a. r 4 /ibuur.rlo ni riûr'Wh c* uvJUI ci llcIIldlIUc Ici lulbc aUI picl,
Tout r. e*t cependant pa. perdu , de cette rencontre M « Bill » s’est peut
pour Bordeaux quand peu après
reprise, Lespes est violemment projeté
en touch<- par Costa Sa tête h*-urte
la ti-Ce en c;tnent et il reste manoné
If reviendra bien sur le terrain mais
titubant, le regard brouillé, et devra
ienon.-er à la lutte pre-que aue-sitôt
Des lors, prives de leur p-iu« brillant
élément, les Bordelai,. baisseront pro
gressivement .e ton et ne s'opposeront
plus avec autant d énergie arts ruè
athlét quement.
A partir de la 50 e minute, où Flie
Brous»e ra à l essai avec la ^ô.ocite
d un ailier l’écart ne cessera dt grarj.
dir et compte rendu de la partie
«e transformerait en exercice de
comptabilité.
A Marseille, nous avons eu la sur
prise de retrouver une formation en
condition physique nettement a-cen
dante. Brousse. Béraud et Négrier en
particulier, ont retrouve leur cadence
des rencontres internationales. André
Hatchondo fit impression à chacun
de ses démarrages César, à i’ouver
‘ure, joua avec vivac.té et à propos,
de mêm e que Deha.ve qui, dan« le
meilleur esprit du leu à XIII. excelle
à venir de l’arrière appuyer «a ligne
de trois-quarts Quant à Dop, étin
celant pendant les vingt première?
minutes, il eut. par le fuite un ren
dernent Intermittent qui souligna da
vantage la vaillance de Caillou qui
lui faisait face — R. B.
être fa|t un peu tirer l’oreille, mais en
fin de compte a décidé une tournée
de la Rugby Football League Donc le
26 mai. à Bordeaux le XIT1 de France
aura pour adversaire l’équipe de l’Em
pire britannique formée avec les meil-
leurs éléments anglais, gallois et l’ap
point de joueurs australiens et néo-
zélandais résidant en Angleterre
•Béziers (4) et
TOULOUSE
(1)
5-5
Pamiers (4) b. *
CARPENTR
(5)
fi-5
P‘-
1
G N
P
g -a
t. Toulouse (3) .
21
»
5 2
j
+ 73
Lézigiian (1)
21
10
5 1
4
+ 5
3 Lyon (2) ..
20
8
6 0
»
+ 37
4. Pamiers (5)
15
7
4 0
3
— 17
5. L'arpent r. (4)
14
9
2 1
fi
— 17
6. Béziers (6)
12
9
1 2
fi
—81
DIVISION FEDERALE
Cahors ; Orange b. Arcachon . 8-0
DIVISION D'HONNEUR
Aix-en-Pr. ; Rieux-Min. b. Oann. 16-3
dans les premières minutes, moins
contractés plus assurés dans leur
gestes et plus enclins à prendfe des
risques
Mais pouvons-nous dire que cette
tactique, empruntée au rugby améri
cain, qui fit deux victimes dans les
rangs roannais et ruina leurs espé
rances.. lut précisément mise à la
mode par c?s mêmes Roannais en
d autres circonstances ? Ainsi le maî
tre Samatan ne saurait que récolter
cp qu’il sema précédemment
TOWJS JL J ES SPOWFS
Le japon et l’Allemagne
« occidentale »
admis par le C.I.O.
ROME. — Au cours de la seance d’hier
le CIO a décidé d'admettre le Japon et
les zones occidentales de l'Allemagne II
demandera a la fédération mternatio
nale d’accepter l'entrée dans son sein de
ces deux nouveaux membres
En ce qui concerne l'U R S.S., le CIO
qui ra invitée à creer un Comité olym
pique soviétique ce qui permettrait l’ad
mission de l’U R S S au CIO. n’a tou
jours pas reçu de réponse
A propos des Jeux d Helsinki il a ete
décidé que le programme serait le même
qu’a Londres, aucun nouveau sport ni
sera admis
| T oros à Paris
L’heure de la vérité
« La hora de la verdad », c'est celle
de D m se a mort, celle que nous ne
connaîtrons pas au Palais des Sports,
les 6 et 7 mai. Mais il est une autre
vérité qu’il convient de placer sous la
verrière du boulevard de Grenelle, s
voir que tout ce qui sera présente su
cours des deux galas taurins aura l'ac
cent de la sincérité II y a eu tant de
parades, tant d’illusions, tant da pi-u
près dans les precedents spectacle» (au
rins de Paris, que le public hésité <
croire à ceux de vendredi rt samedi. Or
s< le seul nom de CONCHITA CINTRON
— dont la loi, la sincérité, l’élan m.s-
tiqur et l'immense classe sont des gages
certains et serieux — n'arrive pa» à lui
seul a convaincre les hésitants, nous con
seillons a t-eux-oi d’aller taire un tour
avant de louer leur place, du cote des
torils. Ils y verront les quatre « bicbos »
du marquis de Villamarla (Seville) de»
tines a Cnnrhita et les bêles d’Isa a«
y Tulio Vazqucz (Séville) qu'auront a tra
vailler BIENVENIDA et EL VITO Quand
on lâche de pareilles bêtes à l'intérieur
d'un <■ redondel » on est sûr qu'il va
s y passer quelque chose et ce quelque
chose rotule toujours le drame.
Si .Angel Luis Bienvenida et iulio Pc
rez El Vito ne peuvent nÿus donner le
spectacle final de la « tnatada ». ils
nous montreront toutefois leur savoir
faire - qui pst grand — dans le deuxie-
me tercio El Vito est en elfct ane ve.
dette de la pose des fuseaux Quant
Bienvenida, son élégance de banderillero
n’est pas un article publicitaire.
Aussi bien, si ces galas n ar rvent pas
a convaincre 1rs Parisiens on n’atrra
qu’à fermer définitivement les portes de
l’aficion dans la Capitale.
AU CO NSEIL NATIONAL
PAS DE PROS EN COUPE DE FRANCE
avant le 5” iour
(De notre envoyé spécial Jean DUMONTIER)
NANTES. — Le conseil national, qui s’est tenu samedi, à l’hôtel ds
ville de Nantes, sous la présidence de M. Jules Rimet, avait un ordre du
jour particulièrement chargé. A tel point qu’il fallut tenir séance l’après-
midi et que le débat ne fut clos qu’à 17 heures.
Après une courte allocution de M. Rimet, rappelant que la FFF avait
trente ans (fondation le 7 avril
Championnat de France
des amateurs
ECHEC AUX FAVORIS
Les outsiders Roanne et Mont-de-Mar
san ont pris ie pas dans cette prem.ere
journée su> Reims, tenant du titre, et
sur Béthune, considéré comme favo>ri
de la ooule.
Si la difficulté de la tâche du cham
pion du Nord était prévue, on pensait
que Rtims, chez lui trouverait les res
sources suffisantes pour vaincre Roanne
Les poulains de Perpère. par leur éner
gie (t leur allant, ont compromis sé
rieusement les chances du dhampion
Dimanche les d.ux vainqueurs et le'
deux vaincus de la première journée
s'affronteront à Roanne et à Béthune.
Journée grosse de conséquence, qui doit
nou.s donner déjà un leader détaché —
J D.
Roannp b. "Reims 10
* Mont-de-Marsan b. Béthune .. 2-1
J. G. N P. p c. P”
1. Roanne
2. Mont-de-M
3. Béthune .
4 Reiin» ...
1 o ;
2 1 2
12 0 1
o i o ;
Zaremha gaisit l’occasion et...
Roanne b. Reims t 1-0- (0-0)
(De notre env, spec. Jean DUMONTIER)
Bon terrain. Recette 111.000 francs
pour 1.621 spectateurs. Bon arbitrage
de M Haulot. But : Zaremba (77‘).
REIMS. — Alors que Reims Jouait sa
parue normale de Championnat avec fi
nesse, certes, mais sans appuyer ses ac
tions, Roanne, conscient de l’importance
de l'enjeu jouait un match de Coupe.
Malgré le travail de Palluch, Gonza és
et ses camarades ne permirent jamais
aux avants rémo s de se trouver en po
sition de shot. Zaremba n’eut que deux
occasions, mais en exploita unê Ce fut
suffisant pour assurer à son équipe deux
points particulièrement précieux.
Reims monopolisa souvent !a Dalle au
milieu du terrain mais les percées de
Palluch, d'ailleurs fort bien marqué par
Ri boulet ne trouvèrent jamais de réali
sateurs.
Roanne, moins brillant, mais plus réa
liste. a prouvé qu'il faudrait compter avec
Ui, et non seulement comme outsider...
1919J, on se mit au travail.
La Coupe de France
Résumons les points les plus Inté
ressants du Conseil. Pour la Coupe de
France, dont le 1" tour est fixé au
11 septembre, 3 catégories d’exempts :
A Les 18 clubs professionnels de I e *
Division entreront en course aux 32««
de finale (8 janvier).
B Les 18 clubs de 2® Division profes
sionnelle au 5® tour (11 décembre).
C Les clubs amateurs ayant joué la
saison précédente les 32e® de finale et
les participants de la poule finale du
Championnat de France Amateurs non
compris dans les précédents au 4® tour
(20 novembre).
Le Championnat de France
amateurs
Pas de modification an système des
fies qualifications du Championnat de
France Amateurs. Notons cependant
que M. Abell.y a réussi, après un vote
serré, et malgré une vive opposition
rie la Ligue de l’Ouest, à faire admet
tre la qualification du futur vain
queur de la Coupe du Sud-Est pour ie
Championnat 1949-50.
M. Gambardella obtint du Conseil
la qualification, pour ce même Cham
pionnat, des deux déchus de 2® Divi
sion professionnelle sans contrepartie,
c'est-à-dire sans admettre à leur place
deux amateurs du Championnat. 11
fit de son côté, à M. Cottereau, la
compensation importante d’admettre
qu'un amateur faisant partie d'un
club à section professionnelle, ne se
rait plus admis à jouer, dans la sai
son. avec les amateurs après cinq
matches joués en équipe profession
nelle.
Modifications financières
Les modifications financières ont été
adoptées, soit 80 % de la recette à
l’équipe visitée, à charge pour elle
fie payer les frais de transport de
l’équipe visiteuse sur la base de cent
francs du kilomètre, trajet simple.
On discuta longuement l’après-midi
sur la question des mutations. L’abbé
Gehl, appuyé par M. Lafarge, fit
adopter deux mutations au lieu de
Meilleurs Joueurs à Roanne : Gonza ès, 1 trois pour les équipes amateurs, ce
qui est une reforme louable et assai
nissante. souhaitons-le tout au moins.
CHASSEURS ET HOTELIERS
AU STADE JEAN-BOUIN
L’ASE Chasseurs, Hôteliers et Restau
rateurs de Paris organise aujourd’hui, au
stade Jean-Bouin, sa grande journée spor
tive. Au programme, à partir de 14 h.
Rugby : sél. Hôtelière-Entente Pari
sienne.
Football : Entente Hôtelière Paris-Sél
Hôtelière Bruxelles.
Basket-ball Coupe George V entre
George V et Ec Hôtelière.
Athlétisme ; 2.000 m entre Lonlas
Rousseau. Valadon. Fix, Gironde...
CZZZXZX3ZZ
DES RESU1 I A I S
GRAND PRIA Ut SAIN T-PAVIN —
Sen. 1 Landmn (CM Lavai), 2 h 22' ;
2 . Légat Laval a une poitrine . 3
Drouin M Quimpen. 2 h 30 , 4 Riant
(M. Fertotsl . 5 Lagoutle (MF) Jun
1. Lecuisiriicr Laval). 53 , 2 Gaicia
(Lavai) 53 30’. Cadets Bourcier (La
val). 19
CIRCUn DES FLANDRES. — l. Roger
(Par si 130 tm. ni 17 n 2 CaioB
(US-M) a 2”; 3. Guny Edmond (Le Ça-
teau) 17 n 4*'; 4. Capeioi Le (Taiea'u),
5. Guny Gharle* (Le Cateau), S. Godard
(Pa, — ),
Ri boulet Aubert, Colomer ; à Reims
Palluch Colau Claudé, P. Batteux.
Pierre Foix a défendu
el Jacques a marqué
Mont-de-Marsan b. Béthune t 2-1 (1-0) ! Oentilly b. "Sevran
,r, . . ‘Montreuil b. St-Germain
(De notre corresp. part. TESTEMALE)
Légère pluie. Bon terrain. Recette
130.000 fr. pour 1.500 spectateurs
Bon arbitrage de M. Richon. Buts
de Chambres (16e) M Jacques Foix
(8P) pour le S:adc Monta.s; Vincent
(71 e ) pour Béthune.
MONT-DE-MARSAN. — Partie trAs
émotionnante où les locaux, par leur
vits se d exécution et leur conception du
football, compensèrent leur inféiiorité
athlét. qi»L
Dès la première mi-temps, les Montois
menèrent ris opéïutions et priren ur.
vantage au tableau La siconde partie
jeu fut aussi captivante et après
égalisation pa. Béthune, les Montot*
ui desiiaient ardemment la victoire ins-
erivi.ent un nouveau but par Jacques
Fo x naturellement follement applaudi
La onze montois, qui joua une grande
partie, est entièrement à féliciter ave(
une mention spéc a.e à Piarre Foix.
La défense de Béthune se signala par-
icullèrement et son gardien de out fit
une honnête paftii.
COUPE DE PARIS
5—2
7—2
•Vitry b. Saint-Maur .- 3—1
•Puteaux PS b. Chavüle V. ....' 2—1
•Juvisy b. L’Hay-Chevilly 2—0
•Amicale b. Sannois 5—1
•Montereau b. SM Enghien 7—2
•Chelles et Racing 3—3
•Pontoise b. Versailles 2—0
•CSPSE b. ASF 3—2
•Corbeil b. Levallois 4—2
•Vésinet b. Choisy 3—2
Sartrouville b. ‘Nanterre 2—0
•Poissy b. UA 16 e 10—1
•Montgeron et CA 14 (prol.) 1—1
•PUC b. Métro 5—1
T . S. G. T.
CHAMPIONNAT DE PARIS
Excellence
Ivry et Bondy 2—2
Vitry b. Avia 6—I
MATCHES AMICAUX
A Rodez : Paris b. Midi 1—fl
Le Panthénol, principe actif du Pantène, est facile
ment résorbé par la peau. Ainsi le Pantène, en
régularisant le fonctionnement cellulaire du cuir
chevelu, arrête la formation des pellicules. Il est
également efficace contre : Chute des cheveux,
Séborrhée, Cheveux ternes et cassants.
au Panthénol
Chez .
Pïrfumcurs
Pharm jciens
Coiffeurs
Cr< * ’.
FtRET FRÈRBfl
Paris
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 82.99%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 82.99%.
- Collections numériques similaires Collections de l’École nationale des ponts et chaussées Collections de l’École nationale des ponts et chaussées /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "EnPC000"
- Auteurs similaires Collections de l’École nationale des ponts et chaussées Collections de l’École nationale des ponts et chaussées /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "EnPC000"
-
-
Page
chiffre de pagination vue 5/6
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bd6t599419h/f5.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bd6t599419h/f5.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bd6t599419h/f5.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bd6t599419h/f5.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bd6t599419h
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bd6t599419h
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bd6t599419h/f5.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest