Titre : Holàhée ! : journal des étudiants : chroniques estudiantines : littéraires, artistiques, sportives et tribune libre politique
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1933-08-01
Contributeur : Foucher-Créteau, Roger (1911-2002). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32787076f
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 126 Nombre total de vues : 126
Description : 01 août 1933 01 août 1933
Description : 1933/08/01 (N16,N17)-1933/08/31. 1933/08/01 (N16,N17)-1933/08/31.
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k964495m
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-20887
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 25/06/2013
:
ABONNEMENTS
UN AN :
Paris, Seine et Seiae-et-Oise ... 18 fr.
pgssëft- i ^y
Autres départements - Colonies 20 fr.
Etranger 22 fr.
REDACTION — ADMINISTRATION
h ' ’A-f----
2, rue Anatoîe-de-la-Forge,
PARIS (XVII )
(Téléphone : Etoile 46-65)
Numéro double : 16 et 17.
NUMERO SPECIAL' : 1 Franc.
2® Année - Août-Septembre 1933.
Holahee !
AU l si j’eusse estudié au temps de ma jeunesse Jolie !
François Villon.
JOURNAL DE LA NOUVELLE GENERATION
Directeur-Rédacteur en chef : ROGER FOUCHER-CRETEAU
Holàhée 1 - numéro spécial de vacances
Les grandes manifestations universitaires
Le Président Daladier
et la nouvelle génération
moment meme ou la jeunesse universitaire mondiale est réunie
en Italie aux Congrès de J enise et de Turin, il nous a semblé intéressant
de publier pour nos lecteurs certains passages du remarquable discours
prononcé à Apt par M. Daladier, président du Conseil des ministres.
, ‘ OH.s vouloir nous préoccuper de considérations politiques, et fidèles
a notre ligne de conduite, nous nous devons de remercier le président
pour ses paroles énergiques et si réconfortantes à l'égard de notre
génération. . LA DIRECTION.
IE DISCOURS D y A.PT
Dans un monde déséquilibre, i signe de force. A ce comporte
nt! milieu de nations jetées aux ment de la nation, le gouverne-
improA Égalions, la force de la ment a le devoir de répondre par
France c'est de garder son sang- j une politique hardie et féconde
froid et son entière confiance en entreprises. Si nous ne de
dans la valeur de ses institu- vous rien aventurer, rien tenter
tions de liberté. Cette force^ je à la légère, nous n’avons pas le
ne la laisserai pas aliéner. Que droit non plus de laisser échap-
par Roger FOUCHER-CRETEAU et Gabriel MOY
certains soient tentés par les mi- J
rages de folles tentatives ou I
laissent se former une mysti
que de la force, nous leur op-
IJoserons les certitudes d’un or- j
dre ouvert au progrès, les bien
faits d’une paix publique qui
n’est ni passive ni basée sur la
violence.
Mais sagesse et prudence n’ex
cluent pas l’énergie ni l’audace.
Ce calme de la France n’est pas
un signe de passivité. Il est un j
per une occasion d’agir et de
réaliser. Je dirai tout d’un mot :
nous devons avoir une politique
jeune.
Car la jeunesse, c’est la ma
nifestation d’une vie intacte, bû-
re de ses réflexes, sûre de sa
force, sûre de sa volonté, lucide
et entreprenante. A cet égard,
la France est un pays jeune. Sa
résistance aux troubles du mon
de nous donne chaque jour une
nouvelle preuve de sa vitalité.
Ed. DALADIER,
President du Conseil.
D’importants congrès univer
sitaires ont lieu en Italie ces
temps prochains. La Confédéra
tion internationale des étudiants
réunira les délégués d’une tren
taine de nations, à Venise, où a
lieu en outre Je congrès de la
presse estudiantine. Elle orga
nise à Turin les jeux universi
taires internationaux dans le ca
dre magnifique du stade Musso
lini.
Nous savons que les Italiens
vont bien faire les choses. Donc,
organisation remarquable. Mais
surtout nous trouverons devant
nous la jeunesse italienne, plei
ne d’enthousiasme, de confiance
en ses destinées, de reconnais
sance envers un gouvernement
qui lui a donné la meilleure
place et a mis en elle tous ses
espoirs.
Nous rencontrerons égale
ment en Italie la jeunesse de
nombreux autres pays, entre
autres, celle d’Allemagne.
Holàhée ! a déjà pris position
en face de cette dernière. Nous
avons refusé de nous joindre à
ceux qui considéraient le mou
vement hitlérien d’une manière
.purement nég; f ivo. Nous evous
j trouve xort louame îa rencontre
organisée par Jean Luchaire en
tre jeunes Français et Alle
mands et avons reçu nous-mê
mes des dirigeants de la jeu
nesse hitlérienne. En un mot
nous estimons nécessaire de gar
der le contact. Mais, à notre vo
lonté de contact, est jointe une
volonté non moindre de criti
que.
L’hitlérisme a une valeur res
pectable dans la mesure où il
groupe l’espoir et l’enthousias
me de toute une jeunesse. Par
contre, aucune occasion ne doit
être perdue de souligner les er
reurs ou les dangers de la doc
trine de Hitler, Notre dernier
numéro, en faisant connaître la
pensée du Fiihrer par de larges
traductions de son livre Mein
Kampf, a souligné l’urgence
d’une défense contre ces doctri
nes et la nécessité de preiulre
\ toi?tes précautions.
Nous ne serons pas seuls à |
protester quand les hitlériens!
diront que la « race nordique » j
incarne toutes les vertus et que
les plus belles réussites humai
nes sont le fruit des victoires
du Germain ur le Latin ou sur
les autres races.
Nous ne devons pas oublier
non plus la tactique de la di
plomatie hitlérienne dessinée
dans Mein Kampf et fidèlement
poursuivie : faire toutes les :
concessions à l'Italie et à l’An- 1
gleterre pour isoler et détruire i
la France, en attendant de dé
truire les autres pays latins.
L'incident entre Italiens et
Allemands, au congrès d’Ettal, j
relaté par nous d’autre part,
nous semble exprimer plus sin- ;
cèrement l’opinion intime des
hitlériens que les acclamations
qui accueillirent les miliciens
fascistes en Allemagne. L’Alle
magne veut reconstituer sa for
ce armée pour nous supprimer.
Cet espoir, il faudra que la jeu
nesse allemande le perde. Et,
ceux qui contribueraient, dans i
quelque pays que ce soit, à
ti o urr ir - L-iJJé—-
'■ï'iCEmit'
.1 11 IT*TV„
de faute.
A l’égard de la jeunesse ita
lienne, Holàhée ! reste fidèle à
son attitude générale : volonté
de contact. La lâché est facilitée
par l’existence de relations les
plus cordiales entre étudiants
italiens et français. Nous rap
pelons plus loin que ce sont les
étudiants français qui, les pre
miers, ont tendu la main à leurs
camarades italiens, précédant
de plusieurs mois leurs gouver
nements.
Le Pacte à Quatre a été sur
tout l’occasion pour MM. Dala
dier et PiïiiJ-Ponco.ur de mani
fester à M. Mussolini leur con
fiance dans une politique à la
fois réaliste et franche. Les ac
clamations qui ont retenti au
Sénat italien lorsque M. Musso
lini a prononcé le nom de notre ,
pays, ont une signification par
ticulièrement élevée.
La politique intérieure de
l’Italie ne nous regarde pas.
Toutefois nous rendrons un
double hommage au chef du
gouvernement italien :
Il sait combien discutables et
pédantes sont les théories ra
ciales : aussi le problème des
races n’a pas été posé en Italie.
Secondement, le Duce a donné
à la jeunesse la place qu’elle
mérite.
¥
¥ ¥
Nous avons tenu à rappeler les
paroles du président Daladier
(discours d’Apt), car elles cor
respondent aux aspirations
d’un grand nombre de Fran
çais. Déjà, il y a plusieurs mois,
nous avions souligné d’une ma
nière toute particulière le dis
cours de M. Jeanneney, prési
dent du Sénat, disant que le de
voir des ministres est de gou
verner et non d’être menés par
des intérêts ou des groupements
particuliers.
Plus récemment encore, le
mouvement déclenché par MM.
Déat, Marquct et Mor tagnon
s’i iis p ] r Trr~muTTffr ^ s
sans rcstpicfs- ir ir y âüéaiF
de progrès social durable mais
une désagrégation anarchique,
dont le peuple entier souffri
rait.
Reprenant ce qu’un jeune
écrivain dit dans Notre Temps,
nous ne voulons pas que « Li
berté égale anarchie, Egalité
nivellement et Fraternité com
plicité 5).
¥
Et c’est bien la volonté de la
grande majorité de la jeunesse
française qui veut qu’une poli
tique d’ordre et d’autorité sau
vegarde son héritage.
Elle a accepté la pénitence à
laquelle le président Caillaux
conviait le pays, à condition
qu enir 5<>ji nmir tous, et
ménage l’avenir, en assurant
« promotion de la jeunesse »
que souhaite et pour laquelle
travaille M. de Monzie.
R. F.-C. et G. M.
■
y.. :■
V
ni
Éttlü
I
du
Août
au
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Septembre
T
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Septembre
au
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Septembre
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2, rue Anatoîe-de-la-Forge,
PARIS (XVII )
(Téléphone : Etoile 46-65)
Numéro double : 16 et 17.
NUMERO SPECIAL' : 1 Franc.
2® Année - Août-Septembre 1933.
Holahee !
AU l si j’eusse estudié au temps de ma jeunesse Jolie !
François Villon.
JOURNAL DE LA NOUVELLE GENERATION
Directeur-Rédacteur en chef : ROGER FOUCHER-CRETEAU
Holàhée 1 - numéro spécial de vacances
Les grandes manifestations universitaires
Le Président Daladier
et la nouvelle génération
moment meme ou la jeunesse universitaire mondiale est réunie
en Italie aux Congrès de J enise et de Turin, il nous a semblé intéressant
de publier pour nos lecteurs certains passages du remarquable discours
prononcé à Apt par M. Daladier, président du Conseil des ministres.
, ‘ OH.s vouloir nous préoccuper de considérations politiques, et fidèles
a notre ligne de conduite, nous nous devons de remercier le président
pour ses paroles énergiques et si réconfortantes à l'égard de notre
génération. . LA DIRECTION.
IE DISCOURS D y A.PT
Dans un monde déséquilibre, i signe de force. A ce comporte
nt! milieu de nations jetées aux ment de la nation, le gouverne-
improA Égalions, la force de la ment a le devoir de répondre par
France c'est de garder son sang- j une politique hardie et féconde
froid et son entière confiance en entreprises. Si nous ne de
dans la valeur de ses institu- vous rien aventurer, rien tenter
tions de liberté. Cette force^ je à la légère, nous n’avons pas le
ne la laisserai pas aliéner. Que droit non plus de laisser échap-
par Roger FOUCHER-CRETEAU et Gabriel MOY
certains soient tentés par les mi- J
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laissent se former une mysti
que de la force, nous leur op-
IJoserons les certitudes d’un or- j
dre ouvert au progrès, les bien
faits d’une paix publique qui
n’est ni passive ni basée sur la
violence.
Mais sagesse et prudence n’ex
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Ce calme de la France n’est pas
un signe de passivité. Il est un j
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réaliser. Je dirai tout d’un mot :
nous devons avoir une politique
jeune.
Car la jeunesse, c’est la ma
nifestation d’une vie intacte, bû-
re de ses réflexes, sûre de sa
force, sûre de sa volonté, lucide
et entreprenante. A cet égard,
la France est un pays jeune. Sa
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de nous donne chaque jour une
nouvelle preuve de sa vitalité.
Ed. DALADIER,
President du Conseil.
D’importants congrès univer
sitaires ont lieu en Italie ces
temps prochains. La Confédéra
tion internationale des étudiants
réunira les délégués d’une tren
taine de nations, à Venise, où a
lieu en outre Je congrès de la
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nise à Turin les jeux universi
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Nous savons que les Italiens
vont bien faire les choses. Donc,
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surtout nous trouverons devant
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en ses destinées, de reconnais
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nombreux autres pays, entre
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\ toi?tes précautions.
Nous ne serons pas seuls à |
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les autres races.
Nous ne devons pas oublier
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hitlériens que les acclamations
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La politique intérieure de
l’Italie ne nous regarde pas.
Toutefois nous rendrons un
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des intérêts ou des groupements
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Plus récemment encore, le
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Déat, Marquct et Mor tagnon
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une désagrégation anarchique,
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nous ne voulons pas que « Li
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grande majorité de la jeunesse
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