Titre : Le Potard : organe indépendant des aides-pharmaciens
Éditeur : [s.n.] (Alger)
Date d'édition : 1906-09-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32841623d
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 860 Nombre total de vues : 860
Description : 01 septembre 1906 01 septembre 1906
Description : 1906/09/01 (N33). 1906/09/01 (N33).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k9560784
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-50481
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 26/12/2011
Deuxième Année — N° 33
a l/I iiion et la Concorde font la Force »
Samedi, 1 er Septembre 1906
INDEPENDANT DES
AIDES-PHARMACIENS
ABONNEMENT
UN AN 18 francs
♦
♦
REDACTION ET ADMINISTRATION
ALGER — 30, Iluo Henri-Martin — ALGER
♦
♦
♦
♦
♦
♦
ANNONCES
Les annonces sont -reçues aux bureaux du journal
Le Repos Hebdomadaire
La fermeture des Pharmacies à 9 heures
S’il est une question qui prime tou
tes les autres à l’heure actuelle c’est
bien celle du repos hebdomadaire.
Prenez un journal quelconque, de
suite vous y apercevez ces mots en
gros caractères, et vous trouvez des
comptes-rendus des réunions de tous
les corps de métiers s'occupant de la
question. Quand je dis tous, je me
trompe, il en manque un qui paraît
s'endormir dans les délices de Ca-
poue. Je veux parler du Syndicat des
Employés en pharmacie et en drogue
rie d’Algérie.
Je sais bien que parmi mes collè
gues, membres du bureau ou du Syn
dicat, il y en a quelques-uns ne deman
dant pas mieux de soulever la ques
tion, mais, il y a un mais ! Personne
n’ose, de peur de s’attirer la haine de
quelques patrons, rétrogrades. Je n’ai
pas les mêmes raisons qu’eux, j’ai le
bonheur de posséder un patron —
membre honoraire de la P. P. —
comme je souhaiterai à tous les aides
d’en avoir un. Pourvu que sa pharma
cie marche et que les clients soient
contents, cela suffit. Il ne s’inquiète
nullement de vos opinions. De plus
j’ai pour habitude de dire ce que je
pense et ne charge jamais mon voisin
de faire mes commissions.
Ceci dit une fois pour toutes, je ren
tre dans mon sujet :
Tous les camarades ont lu dans le
Petit Aide 'de Marseille et dans L’Aide
Normand du Havre les remarquables
articles écrits par le camarade Lan
glois. Dans le dernier bulletin de la
P. P. le sympathique président Safor-
cada publie un article dont j’extraie
les passages suivants :
« La fermeture à neuf heures, sou
levant des questions complexes, tant
au point des pharmaciens qu’à celui
des élèves, je tâcherai de ne m’occuper
que des élèves.
« Présents dans les pharmacies de
7 h. 1/2 du matin jusqu’à 10 heures
et même 10 h. 1/2 du soir, enfermés
quatorze ou quinze heures, j’estime
que ce n’est pas se montrer trop auda
cieux que de désirer, d’accueillir avec
plaisir, la fermeture à 9 heures. Et qui
pourrait nous faire croire qu’après une
si longue journée, le travail de 9 heu
res à 10 heures du soir est un bon tra
vail ? La tête nest plus libre, l’intelli
gence n’est plus lucide, le corps n’est
plus dispos. Fermer à neuf heures per
mettrait aux élèves mariés, et ils
sont nombreux, de passer un moment
en famille, de goûter aux joies du
foyer ; aux élèves étudiants de prépa
rer plus facilement leurs examens, et à
tous, de prendre un repos bien mérité,
bien gagné.
« Dans une interview rapporté par
Le Temps du 26 juillet 1893, M. Mel
ville disait à propos de cette fermeture
dont il était l’adversaire :
« Enfin, les élèves harassés, comme
» ils prétendent, rentreront-ils chez
» eux pour se reposer ou pour mettre
» le nez dans le Codex. J’ai des rai-
» sons de croire qu’ils préféreront
» prendre quelque plaisir, qu’ils nétu-
» dieront pas, qu’ils se fatigueront, et
» le lendemain, à la reprise du travail.
» ils seront plus mous, plus incapa-
» blés, qu’ils le sont en sortant à 10
» heures ou à 10 heures 1/2 du soir ».
« Qui se figurera que nous puissions
— répétons ce qui a été dit — faire la
noce continuellement. Est-ce que tout
dans notre métier nous en empêche
pas ? La fatigue de la journée, la modi
cité des appointements, la continuelle
attention que nous devons apporter à
notre travail.
« Et parce que nous sommes des
élèves potards, nous n’aurions pas le
droit de prendre un peu de distraction,
un peu de plaisir, de parfaire notre
instruction, d’augmenter nos connais
sances scientifiques et littéraires ?
« Il est certain qu’il y aura toujours
une minorité, bien faible, d’élèves ta
pageurs, noceurs, mais la majorité est
sérieuse, travailleuse.
« La faute de quelques-uns doit-elle
retomber sur tous ?
« On a aussi prétendu que le public
s’habituerait difficilement à cette fer
meture ? Mais de tous côtés ne voyons-
nous pas des commerces aussi néces
saires que le nôtre, fermer de meilleure
heure ! Dans combien de rues, après
neuf heures, ne trouve-t-on comme
boutiques ouvertes, que le pharmacien,
le café et le « chand de vins ». Le pu
blic prévenu s’habituerait facilement,
prendrait ses précautions, sachant sur
tout que le service de nuit serait tou
jours assuré, par les mesures appro
priées.
cf Et puis, il faut changer les habi
tudes anciennes et Dame Routine est
toujours toute puissante. La grande
majorité des pharmaciens désire cette
fermeture, mais d’autres croirait la
pharmacie perdue s’ils adhéraient. Au
trefois, disent-ils, on ne parlait pas de
ces choses-là ».
« D’accord, mais c’était en 1830, et
alors la pharmacie n’était pas ce qu’elle
est actuellement, elle était un art et
non un commerce, et il était presqu’im-
possible de citer l’exemple d’un phar
macien faisant faillite ou d’un élève se
tuant parce qu’il crevait de taim.
« Les conditions sont changées. Il
fût un temps où tout élève était pres
que sûr d’obtenir son diplôme ou trou
ver une position stable et surtout du
rable. Et maintenant combien sont
obligés de s’arrêter en route ? Est-ce
la faute de l’élève ? Quelquefois ; mais,
le plus souvent, la cause Bn est dans
cette lutte âpre, acharnée, sans pitié,
que nous sommss obligés#, livrer tous
les jours pour l’existence,* à travers le
choc des appétits, do l’égoïsme, et qui
fait que la route est couverte de plus
en plus des cadavres des vaincus.
« La diminution des heures de tra
vail serait aussi profitable au pharma
cien qu’à l’élève. Le pharmacien qui
n’a pas d’élève ne sera-t-il pas heu
reux d’être débarrassé plus tôt des
ennuis, des soucis, des exigences de la
profession, de pouvoir se mêler plus
intimement (et l’élève aussi) à la vie
qui gravite autour de lui. Le pharma
cien qui occupe un ou plusieurs élèves
y trouvera bien mieux son profit, car il
aura auprès de lui des élèves prenant
en toute occasion les intérêts de leur
patron et qui par leur redoublement
d’activité, l’attention scrupuleuse et
continuelle apportée à leur travail,
voudront lui témoigner la reconnais
sance qu’ils éprouveront pour cette
amélioration.
« Des rapports empreints de bien
veillance, de courtoisie et de mutuelle
ALCOOLISME
La LAZARINE est un produit sérieux, scien
tifique recommandé par les médecins et le
ligues antialcooliques pour guérir radicalement
et sûrement l’alcoolisme et l’ivrognerie
sous toutes ses formes. L’efficacité de la
LAZARINE est garantie, après guérisons
concluantes. Non seulement la LAZARINE
est inofîensive pour la santé, mais encore elle
prévient les maladies si dangereuses qui résul
tent de l’abus des alcools. De plus, il est très
facile de la faire prendre à l’insu du buveur
dans n’importe quel liquide ou aliment. —
Envoi gratuit de la brochure sur demande à
M. Desseigne, pharmacien à Cosne (Nièvre) qui
envoie contre mandat ou remboursement de
10 francs, une boite pour une cure.
La LAZARINE e trouve dans toutes les
bonnes pharmacies d’Algérie et aux dépôts sui
vants :
Alger, pharmacie du Sahel, place de la Lyre ;
Oran, pharmacie Loumagne, bd Séguin ;
Constantine, pharmacie Boutillier ;
Philippeville, pharmacie Blanchet ;
Bône, pharmacie Sacomant ;
Tlemcen, pharmacie Bouty ;
Bel-Abbès, pharmacie Collet ;
Mascara, pharmacie Scebat ;
Mostaganem, pharmacie Vallord ;
Djidjelli, pharmacie Gaston ;
Arzew, pharmacie Audousset.
Le Kolayo
I Le KOLAYO est le restaurateur par excellence
de la force musculaire et le remontant
idéal des athlètes, touristes, cyclistes, etc.
Le meilleur fortifiant et régénérateur
dans la convalescence et l’épuisement
prématuré.
CERTIFICATS
oncernant la KûLA-COCA-SAUTER, aujourd’hui appelée i KOLAYO <
La Kola-Coca a augmenté l'appétit et
m’a donné des forces ; c’est vraiment un
bon remède que je veux recommander à
toutes mes connaissances.
Mme M. Meyer,
Ribeauvillé (Alsace), 32 juillet 1900.
m$mm®MÊÊÊÈÊÊÆÊÊMÉÊÊÊÊÊÊÊM
MÈRES DE FAMILLE ET NOURRICES,
Veille* sur vos Bébés, Veillez
et n'oubliez pus que le
SIROP LOUIS TEYSSÈDRE
de Bordeaux
est le seul véritable sauveur des nouveaux-nés, DôntitiOQ, Tranchées, Coliques, IüSODUlieS, CoflVlllsiOüS
Le flacon, 2 Fr. —
POUR AVOIR LE VRAI, EXIGER LE PRÉNOM
Se trouve dans toutes les Pharmacies
— Le flacon, 2 Fr*.
ICHTHYOL
Employé avec succès en Gynécologie, dans le
traitement des maladies cutanées et des
organes génito-urinaires, dans l’érysi-
-fmmmmmmnwnni lüèle. les affections rhumatismales et à l’inté
rieur, dans la tuberculose pulmonaire. Le produit véritable, authentique, le seul qui ait
servi de base à les les expériences et formules publiées par les membres les plus autorisés du
Corps médical doit être vendu sous le nom d’ICHTHYOL ; toute autre appellation
cache une sophistication où un produit soi-disant similaire. II est du devoir et de
l’intérêt de MM. les Pharmaciens, soucieux d’éviter tout échec et d’exécuter loyalement les
prescriptions de mm. les Médecins, de se tenir en garde contre cette supercherie et
au besoin, de’xiger les étiquettes et cachets de la SOCIÉTÉ FRANÇAISE DES PRODUITS
SANITAIRES ET ANTISEPTIQUES.
a
55
Marque déposée
conformément â la loi
I0KTS70L
MONOGRAPHIES ET FORMDLAIRE : PARIS. 3-5, — RÜE DES FRANCS-BOURGEOIS. - PARIS
«######## PRODUITS # CA.FMA.P.TI1& ####«#*♦#
a l/I iiion et la Concorde font la Force »
Samedi, 1 er Septembre 1906
INDEPENDANT DES
AIDES-PHARMACIENS
ABONNEMENT
UN AN 18 francs
♦
♦
REDACTION ET ADMINISTRATION
ALGER — 30, Iluo Henri-Martin — ALGER
♦
♦
♦
♦
♦
♦
ANNONCES
Les annonces sont -reçues aux bureaux du journal
Le Repos Hebdomadaire
La fermeture des Pharmacies à 9 heures
S’il est une question qui prime tou
tes les autres à l’heure actuelle c’est
bien celle du repos hebdomadaire.
Prenez un journal quelconque, de
suite vous y apercevez ces mots en
gros caractères, et vous trouvez des
comptes-rendus des réunions de tous
les corps de métiers s'occupant de la
question. Quand je dis tous, je me
trompe, il en manque un qui paraît
s'endormir dans les délices de Ca-
poue. Je veux parler du Syndicat des
Employés en pharmacie et en drogue
rie d’Algérie.
Je sais bien que parmi mes collè
gues, membres du bureau ou du Syn
dicat, il y en a quelques-uns ne deman
dant pas mieux de soulever la ques
tion, mais, il y a un mais ! Personne
n’ose, de peur de s’attirer la haine de
quelques patrons, rétrogrades. Je n’ai
pas les mêmes raisons qu’eux, j’ai le
bonheur de posséder un patron —
membre honoraire de la P. P. —
comme je souhaiterai à tous les aides
d’en avoir un. Pourvu que sa pharma
cie marche et que les clients soient
contents, cela suffit. Il ne s’inquiète
nullement de vos opinions. De plus
j’ai pour habitude de dire ce que je
pense et ne charge jamais mon voisin
de faire mes commissions.
Ceci dit une fois pour toutes, je ren
tre dans mon sujet :
Tous les camarades ont lu dans le
Petit Aide 'de Marseille et dans L’Aide
Normand du Havre les remarquables
articles écrits par le camarade Lan
glois. Dans le dernier bulletin de la
P. P. le sympathique président Safor-
cada publie un article dont j’extraie
les passages suivants :
« La fermeture à neuf heures, sou
levant des questions complexes, tant
au point des pharmaciens qu’à celui
des élèves, je tâcherai de ne m’occuper
que des élèves.
« Présents dans les pharmacies de
7 h. 1/2 du matin jusqu’à 10 heures
et même 10 h. 1/2 du soir, enfermés
quatorze ou quinze heures, j’estime
que ce n’est pas se montrer trop auda
cieux que de désirer, d’accueillir avec
plaisir, la fermeture à 9 heures. Et qui
pourrait nous faire croire qu’après une
si longue journée, le travail de 9 heu
res à 10 heures du soir est un bon tra
vail ? La tête nest plus libre, l’intelli
gence n’est plus lucide, le corps n’est
plus dispos. Fermer à neuf heures per
mettrait aux élèves mariés, et ils
sont nombreux, de passer un moment
en famille, de goûter aux joies du
foyer ; aux élèves étudiants de prépa
rer plus facilement leurs examens, et à
tous, de prendre un repos bien mérité,
bien gagné.
« Dans une interview rapporté par
Le Temps du 26 juillet 1893, M. Mel
ville disait à propos de cette fermeture
dont il était l’adversaire :
« Enfin, les élèves harassés, comme
» ils prétendent, rentreront-ils chez
» eux pour se reposer ou pour mettre
» le nez dans le Codex. J’ai des rai-
» sons de croire qu’ils préféreront
» prendre quelque plaisir, qu’ils nétu-
» dieront pas, qu’ils se fatigueront, et
» le lendemain, à la reprise du travail.
» ils seront plus mous, plus incapa-
» blés, qu’ils le sont en sortant à 10
» heures ou à 10 heures 1/2 du soir ».
« Qui se figurera que nous puissions
— répétons ce qui a été dit — faire la
noce continuellement. Est-ce que tout
dans notre métier nous en empêche
pas ? La fatigue de la journée, la modi
cité des appointements, la continuelle
attention que nous devons apporter à
notre travail.
« Et parce que nous sommes des
élèves potards, nous n’aurions pas le
droit de prendre un peu de distraction,
un peu de plaisir, de parfaire notre
instruction, d’augmenter nos connais
sances scientifiques et littéraires ?
« Il est certain qu’il y aura toujours
une minorité, bien faible, d’élèves ta
pageurs, noceurs, mais la majorité est
sérieuse, travailleuse.
« La faute de quelques-uns doit-elle
retomber sur tous ?
« On a aussi prétendu que le public
s’habituerait difficilement à cette fer
meture ? Mais de tous côtés ne voyons-
nous pas des commerces aussi néces
saires que le nôtre, fermer de meilleure
heure ! Dans combien de rues, après
neuf heures, ne trouve-t-on comme
boutiques ouvertes, que le pharmacien,
le café et le « chand de vins ». Le pu
blic prévenu s’habituerait facilement,
prendrait ses précautions, sachant sur
tout que le service de nuit serait tou
jours assuré, par les mesures appro
priées.
cf Et puis, il faut changer les habi
tudes anciennes et Dame Routine est
toujours toute puissante. La grande
majorité des pharmaciens désire cette
fermeture, mais d’autres croirait la
pharmacie perdue s’ils adhéraient. Au
trefois, disent-ils, on ne parlait pas de
ces choses-là ».
« D’accord, mais c’était en 1830, et
alors la pharmacie n’était pas ce qu’elle
est actuellement, elle était un art et
non un commerce, et il était presqu’im-
possible de citer l’exemple d’un phar
macien faisant faillite ou d’un élève se
tuant parce qu’il crevait de taim.
« Les conditions sont changées. Il
fût un temps où tout élève était pres
que sûr d’obtenir son diplôme ou trou
ver une position stable et surtout du
rable. Et maintenant combien sont
obligés de s’arrêter en route ? Est-ce
la faute de l’élève ? Quelquefois ; mais,
le plus souvent, la cause Bn est dans
cette lutte âpre, acharnée, sans pitié,
que nous sommss obligés#, livrer tous
les jours pour l’existence,* à travers le
choc des appétits, do l’égoïsme, et qui
fait que la route est couverte de plus
en plus des cadavres des vaincus.
« La diminution des heures de tra
vail serait aussi profitable au pharma
cien qu’à l’élève. Le pharmacien qui
n’a pas d’élève ne sera-t-il pas heu
reux d’être débarrassé plus tôt des
ennuis, des soucis, des exigences de la
profession, de pouvoir se mêler plus
intimement (et l’élève aussi) à la vie
qui gravite autour de lui. Le pharma
cien qui occupe un ou plusieurs élèves
y trouvera bien mieux son profit, car il
aura auprès de lui des élèves prenant
en toute occasion les intérêts de leur
patron et qui par leur redoublement
d’activité, l’attention scrupuleuse et
continuelle apportée à leur travail,
voudront lui témoigner la reconnais
sance qu’ils éprouveront pour cette
amélioration.
« Des rapports empreints de bien
veillance, de courtoisie et de mutuelle
ALCOOLISME
La LAZARINE est un produit sérieux, scien
tifique recommandé par les médecins et le
ligues antialcooliques pour guérir radicalement
et sûrement l’alcoolisme et l’ivrognerie
sous toutes ses formes. L’efficacité de la
LAZARINE est garantie, après guérisons
concluantes. Non seulement la LAZARINE
est inofîensive pour la santé, mais encore elle
prévient les maladies si dangereuses qui résul
tent de l’abus des alcools. De plus, il est très
facile de la faire prendre à l’insu du buveur
dans n’importe quel liquide ou aliment. —
Envoi gratuit de la brochure sur demande à
M. Desseigne, pharmacien à Cosne (Nièvre) qui
envoie contre mandat ou remboursement de
10 francs, une boite pour une cure.
La LAZARINE e trouve dans toutes les
bonnes pharmacies d’Algérie et aux dépôts sui
vants :
Alger, pharmacie du Sahel, place de la Lyre ;
Oran, pharmacie Loumagne, bd Séguin ;
Constantine, pharmacie Boutillier ;
Philippeville, pharmacie Blanchet ;
Bône, pharmacie Sacomant ;
Tlemcen, pharmacie Bouty ;
Bel-Abbès, pharmacie Collet ;
Mascara, pharmacie Scebat ;
Mostaganem, pharmacie Vallord ;
Djidjelli, pharmacie Gaston ;
Arzew, pharmacie Audousset.
Le Kolayo
I Le KOLAYO est le restaurateur par excellence
de la force musculaire et le remontant
idéal des athlètes, touristes, cyclistes, etc.
Le meilleur fortifiant et régénérateur
dans la convalescence et l’épuisement
prématuré.
CERTIFICATS
oncernant la KûLA-COCA-SAUTER, aujourd’hui appelée i KOLAYO <
La Kola-Coca a augmenté l'appétit et
m’a donné des forces ; c’est vraiment un
bon remède que je veux recommander à
toutes mes connaissances.
Mme M. Meyer,
Ribeauvillé (Alsace), 32 juillet 1900.
m$mm®MÊÊÊÈÊÊÆÊÊMÉÊÊÊÊÊÊÊM
MÈRES DE FAMILLE ET NOURRICES,
Veille* sur vos Bébés, Veillez
et n'oubliez pus que le
SIROP LOUIS TEYSSÈDRE
de Bordeaux
est le seul véritable sauveur des nouveaux-nés, DôntitiOQ, Tranchées, Coliques, IüSODUlieS, CoflVlllsiOüS
Le flacon, 2 Fr. —
POUR AVOIR LE VRAI, EXIGER LE PRÉNOM
Se trouve dans toutes les Pharmacies
— Le flacon, 2 Fr*.
ICHTHYOL
Employé avec succès en Gynécologie, dans le
traitement des maladies cutanées et des
organes génito-urinaires, dans l’érysi-
-fmmmmmmnwnni lüèle. les affections rhumatismales et à l’inté
rieur, dans la tuberculose pulmonaire. Le produit véritable, authentique, le seul qui ait
servi de base à les les expériences et formules publiées par les membres les plus autorisés du
Corps médical doit être vendu sous le nom d’ICHTHYOL ; toute autre appellation
cache une sophistication où un produit soi-disant similaire. II est du devoir et de
l’intérêt de MM. les Pharmaciens, soucieux d’éviter tout échec et d’exécuter loyalement les
prescriptions de mm. les Médecins, de se tenir en garde contre cette supercherie et
au besoin, de’xiger les étiquettes et cachets de la SOCIÉTÉ FRANÇAISE DES PRODUITS
SANITAIRES ET ANTISEPTIQUES.
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