Titre : Le Potard : organe indépendant des aides-pharmaciens
Éditeur : [s.n.] (Alger)
Date d'édition : 1906-07-01
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32841623d
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 860 Nombre total de vues : 860
Description : 01 juillet 1906 01 juillet 1906
Description : 1906/07/01 (N29). 1906/07/01 (N29).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k956074m
Source : Bibliothèque nationale de France, département Droit, économie, politique, JO-50481
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 26/12/2011
Deuxième année. — N° 29
« L’Union et la Coneorde font la Force b
Dimanche,* l er; Juillet 1906
ABONNEMENT
UN AN S francs
!
♦
♦
REDACTION ET ADMINISTRATION
ALGER. — 1, Ru© Blanchard, 1. — ALGER
♦
♦
♦
♦
♦
♦
ANNONCES
Les annonces sont reçues aux bureaux du journal
QUE FAIRE A CELA ?
Dans son dernier numéro, Le Monde |
Thermal contenait une note pessimiste
sur la situation de plus en plus diffi
cile de nombre de pharmacies, tant à
Paris qu’en province, en présence de |
la concurrence toujours croissante des
établissements de cc genre.
11 est certain que, dans les grands
centres surtout, le nombre des pharma
cies s’est accru dans des proportions
considérables depuis quelques années.
Il s’ensuit une lutte de plus en plus
âpre pour la vie, et des désappointe
ments, des déboires de plus en plus
amers pour beaucoup de jeunes gens,
qui, leur diplôme en poche, s’imag inent
que la fin de leurs travaux est arrivée.
Ce n’est au cantraire que le commen
cement.
Il en est du pharmacien comme du
médecin. Le diplôme ouvre la porte,
mais voilà tout. U confère le droit de
tenir une pharmacie ; encore faut-il
que cette pharmacie nourrisse son
homme. Il est donc très important,
avant de fonder une maison nouvelle,
de se rendre un compte exact des con
ditions dans lesquelles cette installa
tion pourra fonctionner. Si elle se
trouve en concurrence avec des établis
sements fondés de vieille date, hono
rablement connus, ayant une clientèle
solide, il y a des chances que la con
currence fasse fiasco. Mais il peut se
faire aussi que l’abaissement des tarifs,
pratiqué dans maintes localités, ait
pour effet de détacher peu à peu une
partie de la clientèle des maisons les
mieux établies, et c’est pour cela que
la corporation pousse un cri d’alarme.
Que faire à cet état de choses ?
En France, le commerce est libre, le
commerce dont il s’agit ne fait pas
exception à la règle universellement
établie.
Tout pharmacien, possédant son di
plôme, a le droit d’ouvrir une maison,
et d’établir sur les produits qu’il livre
au public les prix qui lui conviennent.
S’il veut les donner à prix coûtant,
c’est son affaire. Si même il veut les
vendre à perte, cela le regarde encore.
Les confrères peuvent se plaindre, mais
rien de plus. Et il arrive, en effet,
assez souvent que certains pharmaciens
pour.se faire de la réclame, pour s’atti
rer une clientèle hésitante, font sur la
vente de certains produits des sacrifices
réels, qui trouvent ailleurs leur com
pensation.
Il s’est fondé dans plusieurs villes
ouvrières, des pharmacies commer
ciales d’abord, puis des pharmacies
coopératives, qui établissent une con
currence aussi dangereuse que directe
aux autres établissements similaires.
Ce mouvement tend déplus en plus à
se généraliser. Jadis limité aux centres
populeux, il s’est étendu à des agglo
mérations moins importantes.
Evidemment, les produits fournis
au rabais ne valent pas ceux pour
lesquels on maintient les prix : le public
en a toujours pour son argent. C’est
le raisonnement que se font les clients
qui tiennent en matière de remèdes
surtout, à n’avoir que des produits de
première qualité. Cette considération
n'empêche cependant pas une partie
du public de rechercher le bon mar
ché, et c’est assez naturel de la part
de pauvres gens, en lutte continuelle
avec les nécessités de l’existence, sur
tout quand la maladie, survenant,
aggrave la situation et diminue les
ressources.
D’autre part, n’est-il pas déplorable
qu’un homme intelligent, instruit, ayant
dépensé quinze à vingt mille francs
pour acquérir le diplôme qui lui con
fère le droit d’ouvrir une pharmacie,
soit menacé par une installation rivale,
située qnelquefois porte à porte, de ne
pas faire ses frais, ou de vivre plus
difficilement que les pauvres diables à
qui la coopérative fournit des produits
au rabais ?
Le mal vient, nous venons de ie dire,
de ce que les pharmaciens, comme les
médecins, se portent vers les grands
centres, où le chiffre d’affaires est évi
demment plus considérable, mais où
les frais sont incomparablement plus
élevés que dans les petites localités.
On ne voit, on ne veut voir qu’un côté
de la médaille. On compte les confrè
res qui arrivent à une situation bril
lante ; mais on ne compte pas ceux qui
végètent, que toute leur intelligence,
toute leur énergie n'arrive pas à tirer
d’une médiocrité qui n’a rien de doré,
qui passent des mois et des années à
se morfondre dans une lutte incessante
contre les difficultés d’argent, d’autant
plus pénibles qu’on est obligé de les
cacher au public. Il y a surabondance,
pléthore, si l’on peut employer ce
terme, de pharmaciens et de pharma
cies, dans les villes et surtout dans les
grandes villes. Dans les bourgs et dans
les campagnes, il n’y en a pas assez.
Il n’y en a pas assez dans nos colonies
où l’on manque souvent, en cas de ma
ladie, des ressources les plus néces
saires et les plus urgentes. Voilà l’équi
libre qu’il s’agirait d’établir. De cette
façon, la science, l’activité, l’énergie
de chacun trouverait son emploi.
C’est un point sur lequel on ne nous
démentira pas. Malheureusement il est
bien à craindre que ce raisonnement ne
convainque personne et que la pous
sée vers les grandes villes ne fasse avec
le temps que s’accentuer davantage.
F. Beaumont.
ALCOOLISME
La LAZARINE est un produit sérieux, scien
tifique reeommatidé par les médecins et les
ligues antialcooliques pour guérir radicalement
et sûrement l’alcoolisme et l’ivrognerie
sous toutes ses formes. L’efficacité de la
LAZARINE est garantie, après guérisons
concluantes. Non seulement la LAZARINE
est inoffensive pour la santé, mais encore elle
prévient les maladies si dangereuses qui résul
tent de l’abus des alcools. De plus, il est très
facile de la faire prendre à l’insu du buveur
dans n’importe quel liquide ou aliment. —
Envoi gratuit de la brochure sur demande à
M. Desseigne, pharmacien à Cosne (Nièvre) qui
envoie contre mandat ou remboursement de
10 francs, une boite pour une cure.
La LAZARINE se trouve dans toutes les
bonnes pharmacies d’Algérie et aux dépôts sui
vants :
Alger, pharmacie du Sahel, place de la Lyre ;
Oran, pharmacie Loumagne, bd Séguin ;
Constantine, pharmacie Boutillier ;
Philippe ville, pharmacie Blanchet ;
Bône, pharmacie Sacomant ;
Tlemcen, pharmacie Bouty ;
Bel-Abbès, pharmacie Collet ;
Mascara, pharmacie Scebat ;
Mostaganem, pharmacie Vallord ;
Djidjelli, pharmacie Gaston ;
Arzew, pharmacie Audousset.
■rjîh. .'Üt. .ÏJl Ml .»!■ iüti Æ .Ui .-fc jfc .Ul .-Sh. i»i
mwWwwwwWwwwwww
Demandez partout le délicieux
ANISADO GALIANA
© Kolayo
Le KOLAYO est le restaurateur par excellence
de la force musculaire et le remontant
idéal des athlètes, touristes, cyclistes, etc.
Le meilleur fortifiant et régénérateur
dans la convalescence et l’épuisement
prématuré.
CERTIFICATS
concernant la KOLA-COCA-SAOTER, aujourd’hui appelée «KOLAYO»
« Vous dirai-je que j’ai voulu me rendre
compte par expérience personnelle de votre
Kola-Coca ? J’en ai constaté les bons effets pour
une certaine lassitude nerveuse avec grande pa=
resse dans les jambes. Or, je n’avais pas en-,
core terminé ua litre d,e yin ordinaire prépapé;|
selon les indications de la petite feuille, que
j’ai éprouvé comme un renouvellement de forces,
et je me sentis capable de faire de bonnes cour
ses à pied dans nos chemins qui ne sont pas
toujours des routes muletières.
« Une personne à qui j’ai remis un litre de ce
même vin de Kola-Coca en a éprouvé également
l’efficacité immédiate.
« F. BEAULIEU, missionnaire.
Maré (Nlle Calédonie), ii juillet 1898, »
ÉCHOS
NOMINATION
C’est avec plaisir que nous avons appris
que M° Bayart, notaire à Ménervillc, venait
d’être nommé à Perrégaux.
Tous ceux qui ont approché cet excellent
fonctionnaire se réjouiront avec nous de cet
avancement mérité.
A NICE
Les Aides en pharmacie de cette ville se sont
constitués récemment en syndicat et ne per*
dent pas leur temps. A la suite de nombreuses
démarches faites par M. Giordan, président,
ils ont obtenu des Pharmaciens de cette ville,
la fermeture des officines le dimanche après-'>
midi, pendant toute la saison d’été.
Bravo confrère 1 '
Dégustez le délicieux Champagne de Lizeuil,
Epernay.
MÈRES DE FAMILLE ET NOURRICES,
Veille* soi* vos Bébés, Veille*
et n'oubliez pas que le
SIROP LOUIS TEYSSÈDRE
de Bordeaux
est le seul véritable sauveur des nouveaux-nés, Dentition, Tranchées, Coliques, Insomnies, Convulsions
POUR AVOIR LE VRAI, EXIGER LE PRÉNOM , . . . ...
Le flacon, 2 Fr. — Se trouve dans toutes les Pharmacies — Le flacon, 2, Fr.
ICHTHYOL
Employé avec succès en Gynécologie, dans le
traitement des maladies Gutanées et des
organes génito-urinaires, dans l’érysi
pèle, les affections rhumatismales et à l’inté
rieur, dans la tuberculose pulmonaire. Le produit véritable, authentique, le seul qui ai
servi de base à toutes les expériences et formules publiées parles membres les plus autorisés du
Corps médical doit être vendu sous le nom d’ICHTHYOL ; toute autre appellation
cache une sophistication ou un produit soi-disant similaire. Il est du devoir et de
l’intérêt de MM. les Pharmaciens, soucieux d’éviter tout échec et d’exécuter loyalement les
prescriptions de mm. les Médecins, de se tenir en garde contre cette supercherie et
au besoin, d’exiger les étiquettes et cachets de la SOCIÉTÉ FRANÇAISE DES PRODUITS
SANITAIRES ET ANTISEPTIQUES.
ff *I0HTH70Lî 99 Marquedéposée
conformément à la loi
MONOGRAPHIES ET FORMULAIRE : PARIS. - 35, RUE DES FRANCS-BOURGEOIS. - PARIS
PRODUITS # 0/-PM/-P.TI1T #######%#
« L’Union et la Coneorde font la Force b
Dimanche,* l er; Juillet 1906
ABONNEMENT
UN AN S francs
!
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♦
REDACTION ET ADMINISTRATION
ALGER. — 1, Ru© Blanchard, 1. — ALGER
♦
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Les annonces sont reçues aux bureaux du journal
QUE FAIRE A CELA ?
Dans son dernier numéro, Le Monde |
Thermal contenait une note pessimiste
sur la situation de plus en plus diffi
cile de nombre de pharmacies, tant à
Paris qu’en province, en présence de |
la concurrence toujours croissante des
établissements de cc genre.
11 est certain que, dans les grands
centres surtout, le nombre des pharma
cies s’est accru dans des proportions
considérables depuis quelques années.
Il s’ensuit une lutte de plus en plus
âpre pour la vie, et des désappointe
ments, des déboires de plus en plus
amers pour beaucoup de jeunes gens,
qui, leur diplôme en poche, s’imag inent
que la fin de leurs travaux est arrivée.
Ce n’est au cantraire que le commen
cement.
Il en est du pharmacien comme du
médecin. Le diplôme ouvre la porte,
mais voilà tout. U confère le droit de
tenir une pharmacie ; encore faut-il
que cette pharmacie nourrisse son
homme. Il est donc très important,
avant de fonder une maison nouvelle,
de se rendre un compte exact des con
ditions dans lesquelles cette installa
tion pourra fonctionner. Si elle se
trouve en concurrence avec des établis
sements fondés de vieille date, hono
rablement connus, ayant une clientèle
solide, il y a des chances que la con
currence fasse fiasco. Mais il peut se
faire aussi que l’abaissement des tarifs,
pratiqué dans maintes localités, ait
pour effet de détacher peu à peu une
partie de la clientèle des maisons les
mieux établies, et c’est pour cela que
la corporation pousse un cri d’alarme.
Que faire à cet état de choses ?
En France, le commerce est libre, le
commerce dont il s’agit ne fait pas
exception à la règle universellement
établie.
Tout pharmacien, possédant son di
plôme, a le droit d’ouvrir une maison,
et d’établir sur les produits qu’il livre
au public les prix qui lui conviennent.
S’il veut les donner à prix coûtant,
c’est son affaire. Si même il veut les
vendre à perte, cela le regarde encore.
Les confrères peuvent se plaindre, mais
rien de plus. Et il arrive, en effet,
assez souvent que certains pharmaciens
pour.se faire de la réclame, pour s’atti
rer une clientèle hésitante, font sur la
vente de certains produits des sacrifices
réels, qui trouvent ailleurs leur com
pensation.
Il s’est fondé dans plusieurs villes
ouvrières, des pharmacies commer
ciales d’abord, puis des pharmacies
coopératives, qui établissent une con
currence aussi dangereuse que directe
aux autres établissements similaires.
Ce mouvement tend déplus en plus à
se généraliser. Jadis limité aux centres
populeux, il s’est étendu à des agglo
mérations moins importantes.
Evidemment, les produits fournis
au rabais ne valent pas ceux pour
lesquels on maintient les prix : le public
en a toujours pour son argent. C’est
le raisonnement que se font les clients
qui tiennent en matière de remèdes
surtout, à n’avoir que des produits de
première qualité. Cette considération
n'empêche cependant pas une partie
du public de rechercher le bon mar
ché, et c’est assez naturel de la part
de pauvres gens, en lutte continuelle
avec les nécessités de l’existence, sur
tout quand la maladie, survenant,
aggrave la situation et diminue les
ressources.
D’autre part, n’est-il pas déplorable
qu’un homme intelligent, instruit, ayant
dépensé quinze à vingt mille francs
pour acquérir le diplôme qui lui con
fère le droit d’ouvrir une pharmacie,
soit menacé par une installation rivale,
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pas faire ses frais, ou de vivre plus
difficilement que les pauvres diables à
qui la coopérative fournit des produits
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médecins, se portent vers les grands
centres, où le chiffre d’affaires est évi
demment plus considérable, mais où
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de la médaille. On compte les confrè
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grandes villes. Dans les bourgs et dans
les campagnes, il n’y en a pas assez.
Il n’y en a pas assez dans nos colonies
où l’on manque souvent, en cas de ma
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saires et les plus urgentes. Voilà l’équi
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le temps que s’accentuer davantage.
F. Beaumont.
ALCOOLISME
La LAZARINE est un produit sérieux, scien
tifique reeommatidé par les médecins et les
ligues antialcooliques pour guérir radicalement
et sûrement l’alcoolisme et l’ivrognerie
sous toutes ses formes. L’efficacité de la
LAZARINE est garantie, après guérisons
concluantes. Non seulement la LAZARINE
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Envoi gratuit de la brochure sur demande à
M. Desseigne, pharmacien à Cosne (Nièvre) qui
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10 francs, une boite pour une cure.
La LAZARINE se trouve dans toutes les
bonnes pharmacies d’Algérie et aux dépôts sui
vants :
Alger, pharmacie du Sahel, place de la Lyre ;
Oran, pharmacie Loumagne, bd Séguin ;
Constantine, pharmacie Boutillier ;
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Bône, pharmacie Sacomant ;
Tlemcen, pharmacie Bouty ;
Bel-Abbès, pharmacie Collet ;
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Mostaganem, pharmacie Vallord ;
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Le KOLAYO est le restaurateur par excellence
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« Vous dirai-je que j’ai voulu me rendre
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j’ai éprouvé comme un renouvellement de forces,
et je me sentis capable de faire de bonnes cour
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« Une personne à qui j’ai remis un litre de ce
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« F. BEAULIEU, missionnaire.
Maré (Nlle Calédonie), ii juillet 1898, »
ÉCHOS
NOMINATION
C’est avec plaisir que nous avons appris
que M° Bayart, notaire à Ménervillc, venait
d’être nommé à Perrégaux.
Tous ceux qui ont approché cet excellent
fonctionnaire se réjouiront avec nous de cet
avancement mérité.
A NICE
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constitués récemment en syndicat et ne per*
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ils ont obtenu des Pharmaciens de cette ville,
la fermeture des officines le dimanche après-'>
midi, pendant toute la saison d’été.
Bravo confrère 1 '
Dégustez le délicieux Champagne de Lizeuil,
Epernay.
MÈRES DE FAMILLE ET NOURRICES,
Veille* soi* vos Bébés, Veille*
et n'oubliez pas que le
SIROP LOUIS TEYSSÈDRE
de Bordeaux
est le seul véritable sauveur des nouveaux-nés, Dentition, Tranchées, Coliques, Insomnies, Convulsions
POUR AVOIR LE VRAI, EXIGER LE PRÉNOM , . . . ...
Le flacon, 2 Fr. — Se trouve dans toutes les Pharmacies — Le flacon, 2, Fr.
ICHTHYOL
Employé avec succès en Gynécologie, dans le
traitement des maladies Gutanées et des
organes génito-urinaires, dans l’érysi
pèle, les affections rhumatismales et à l’inté
rieur, dans la tuberculose pulmonaire. Le produit véritable, authentique, le seul qui ai
servi de base à toutes les expériences et formules publiées parles membres les plus autorisés du
Corps médical doit être vendu sous le nom d’ICHTHYOL ; toute autre appellation
cache une sophistication ou un produit soi-disant similaire. Il est du devoir et de
l’intérêt de MM. les Pharmaciens, soucieux d’éviter tout échec et d’exécuter loyalement les
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au besoin, d’exiger les étiquettes et cachets de la SOCIÉTÉ FRANÇAISE DES PRODUITS
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