Presse et revues
6 pages
Titre : La Vérité : organe bolchevick-léniniste
Auteur : Internationale (04). Auteur du texte
Auteur : Parti ouvrier internationaliste (France). Auteur du texte
Auteur : Parti communiste internationaliste (France). Auteur du texte
Auteur : Parti communiste internationaliste-Courant Lambert (France). Auteur du texte
Auteur : Organisation communiste internationaliste (France). Auteur du texte
Auteur : Parti des travailleurs (France). Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1943-05-20
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34371440g
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 204 Nombre total de vues : 204
Description : 20 mai 1943 20 mai 1943
Description : 1943/05/20 (N44ET45). 1943/05/20 (N44ET45).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k879074q
Source : Bibliothèque nationale de France, département Réserve des livres rares, RES-G-1470 (402)
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/09/2012
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A JT- O'JVHIER COMMUNISTE
S*
m-u-m-m-m-m-
Camarede,
la pr.cleiigatign de la guerre met le-.3 capitalistes ou monde entier devant
le spectre dé la révolution iu ad loi e • ha propsgand e et la
danger qu’ils ocurent ; elles ne cassent de leur expliquer que la défaite de
Il impérial is me allemand ouvre la crise révolutionnaire prolétarienne en Euro
pe. En Espagne, Franco explique que l'a guerre est arrivée à son point mort
et qu’elle engendre un danger rév^luti•;n-nire. Aux Etats-Unis Welleoe annonce
l’éventualité d’une troisième guerre mondiale : si les capitalistes, dit-il,
ne savent pas refondre 1 : appareil économique international, le communisme
nnitra à nouveau de la nouvelle crise. Peux remédier à ce danger les capita
listes anglais et américains demandent aies chefs, et en particulier à Sta
line, de les aider à juguler la révolution.
Nous savons que toi, militant communiste, tu veux faire le révolution.îï*us
savons que, lorsque Grenier signe un accord avec de Gaulle, tu te méfies et
' tu demandes ,qu’est-ce que ton parti va faire pour éviter que le capitalisme
américain'et anglais profite de cet a mord et installe en France apres la
défaite allemande un gouvernement réactionnaire. Tu n’as pas confiance dans
les déclarations d’affection des magnats de Londres et de Washington, et tu
ne orois pas en leur amour de la démocratie. Tu Veux entreprendre une lutte
qui Berve vraiment les inférées de la classe ouvrière, et tu cher oh es comment
la m.ener. Tu es. d'accord avec les directives de ton Parti lorsqu'elles t'in
diquent d'organiser dans ton usine un comité populaire'pour la défense des
revend ioôtions immédiates- Liais lorsque le journal des comités populaires de
le région parisienne t'appelle .à la fois à faire sauter ton usine, à détruira
■tes machines, à exiger une augmentation de salaire, tu ne vois pas cemment
tu peux expliquer des mots d’ordre contradictoires à tes camarades ouvriers
et oo mm en t ils se relient à eu lutte pour les revendications , Malgré ta hei»$
paur les dirigeants traitées Peu syndicats, tu es prêt à reprendre ton tra-'
vail dans le mouvement syndioal ; mois tu te demandes pourquéi y faire et
pour défendre quel programme .
.338ns ton parti, ta 'te + h.Qb:: >o.:| à de graves difficultés de travail parce qu$
les militants ne sont nàB°jiôfi$ : Hur, que la répression a frappé très our, et
qu’elle continue de décimer tes rangs, parce qu’ aussi besuooup d’ouvriers
restent encore à l’écart, n’ayant pas encore assez confiance ni assez d ’csjfi:
pour reprendre la lutte. Aussi, lorsque ta direction exige encore que plu3i@u;
membres de va cellule ou do ta région quittent le parti pour aller dans Iqs
groupes militaires des francs-tireurs, tu n’os pas d’accord. Tu n’es pas d 1 ac
cord d’abord perce qpe tu sois bien que si ces copains s’en vont , cela va
paralyser dans ton quartier, dan-:ta A ballté, lu travail du Parti, et que tu
as le sentiment eue c’est 2c travail du parti qui est le plus urgent dans le
moment présent. Tu a’es pas à’on-corci ensuite parce que tu ne vois pes où
A JT- O'JVHIER COMMUNISTE
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Camarede,
la pr.cleiigatign de la guerre met le-.3 capitalistes ou monde entier devant
le spectre dé la révolution iu ad loi e • ha propsgand e et la
danger qu’ils ocurent ; elles ne cassent de leur expliquer que la défaite de
Il impérial is me allemand ouvre la crise révolutionnaire prolétarienne en Euro
pe. En Espagne, Franco explique que l'a guerre est arrivée à son point mort
et qu’elle engendre un danger rév^luti•;n-nire. Aux Etats-Unis Welleoe annonce
l’éventualité d’une troisième guerre mondiale : si les capitalistes, dit-il,
ne savent pas refondre 1 : appareil économique international, le communisme
nnitra à nouveau de la nouvelle crise. Peux remédier à ce danger les capita
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Nous savons que toi, militant communiste, tu veux faire le révolution.îï*us
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ne orois pas en leur amour de la démocratie. Tu Veux entreprendre une lutte
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