Titre : La Vérité : organe bolchevick-léniniste
Auteur : Internationale (04). Auteur du texte
Auteur : Parti ouvrier internationaliste (France). Auteur du texte
Auteur : Parti communiste internationaliste (France). Auteur du texte
Auteur : Parti communiste internationaliste-Courant Lambert (France). Auteur du texte
Auteur : Organisation communiste internationaliste (France). Auteur du texte
Auteur : Parti des travailleurs (France). Auteur du texte
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1942-06-30
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34371440g
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 204 Nombre total de vues : 204
Description : 30 juin 1942 30 juin 1942
Description : 1942/06/30 (N33). 1942/06/30 (N33).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k879062m
Source : Bibliothèque nationale de France, département Réserve des livres rares, RES-G-1470 (402)
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 19/09/2012
L'UNION OKS TRM'AILLEURS EERA LA "PAIX OU MONDE "
ISUUL,
NO U V 13
.1 U I X
a» 12 u t
Nouvelle *érie
X) JUIN 1942
/
N’ Il
LA VERITE
(huant Ctallal J" Comllél Ftancah J. la H" inttmahanaU
IJ IV
1IJ
3 41
A Bl A TT H 12 II I T I, 13 11
C’est dan» le silence et I* recueillement que la classe ou
vrière i rennaise célèbre, cette année, le b' anniversaire de
cca tournée» de Juin 36, dont le souvenir, lourd de gloire et
tragédie, constitue la première raison d’eapércr de chaque
ouvrier, en France et dan» toute l'ciuro^e, le 6* anniversaire
d une révolution trahie.
Le monde craquait de toute» part». Partout, ouvrier* et
paysan» ;c refusa ent à Uire plus longtemps le» frai» de I»
cri»? dans laquelle le capùalisme a précipité l'économie mon
diale.
Le* dirigeant» du Parti fo ialiste, du Parti Commu-
n*.»t< et de ia C.G.T. sont le» premier» à s’effraver du ca
ractère de pl*j| en plu» nettement révolutionnaire que prend
le mouvement de» masse». C’est que l’i*n>ér.alisme français
d'une part, la bureaucratie stalinienne d’autre part, »e sen
tent de plus en plus inquiets en face des préparatifs de
guerre de l’impérialisme allemand Pour défendre le statu
au . impérialiste d< Versailles, dirigeants réformistes et sta
liniens s’engagent à fond dans la voie de l'union sacrée. La
déclaration Staline-!, aval scelle l'adhésion de» dirgeants com
munistes au programme d’armement à outrance de l'impéria
lisme franvais. Au Front Unique de combat des masses, qui
s’était formé après les journées de Février 1934. dirigeants
réformistes et staliniens substituant le Front Populaire : sous
prétexte d’alliance avec lei claaaes moyennes, ils s'efforcent
d’imposer aui masses un programme de c onservation sociale.
On sait aujourd'hui que c’eat le P.C. qui s’est opposé à ce
que le mot d’ordre des nationalisations soit inscrit au Pro
gramme du Front Populaire. On sait encore — c’est Blum
qui l’a révélé à w iom — que c’est l’ambassadeur d’U:R.
S S. à Paris qui s’est apposé, en 1936, à ls nationalisation
des usines Schneider.
Les élection» de Mai 1936 avaient affirmé la puissance du
mouvement qui anima.t les masses et son unité profonde.
Tout était possible. Pour les dirigeants soi-disant ouvriers.
Mai 1936 devait clore l’ère des troubles intérieurs et restau
rer l'ordre démocratique bo-ir.-eoi. Pour les masses ou
vrière» et paysannes. Mai 1936, au contraire, était l'annonce
d'une lutte pour la victoire totale, pour l’instauration d'un
régime qui donnerait vraiment à tous le pain, la pais, ia li
berté. La diminution de» heure» de travail, le relèvement
de» salaires, U garantie de» droit» ouvriers dans l’usine par
le contrat collecté, telles étaient le» revendications qui sur
gissaient des masses populaires. Les revendication», que le
bront ^opulsirc n'av it pas inscrit sur son programme, le»
masses sentaient qu'elles pouvaient maintenant en imposer
I application immédiate. Spontanément, sans que p.rt'a ?t
syndicats aient donné la moindre d'reetiva dans ce sens, le»
ouvriers de la métallurgie paris enne débrayent et oc.upent
les usines Le mouvemiut. en 28 heure», gagne toutes les
usines de la région par.sienne, puis s'étend 4 toute la France.
Le» patrons ne sont plus maîtres de leurs usine» ; d»n» la
rue, le pouvoir échappe au gouvernement de Léon Blum. 4
peine constitué. I s bourgeoisie française tremble comme elle
n avait : Jus tremblé depuis la Commune. fclle se fnp'elle
qu'en 1921 l'occupation des usines a mi» l'Italie au bord de
la révolution.
La victoire ouvrière eat si form dahle que les objectif» de
départ sont de loin «h-(.aisés : la» usine» sont au» main» dm
ouvrier» ; c’eat eux désormais qui y font la loi L heure
semble venüc de l'expropriation des gros cap’tali*tes exploi
teur », cette heura que les révolution» .ires ont préparé depuis
». longtemps. Mais les dirigeants ouvriers, qui ont souvent
I aidé sur !a révolu!on socialiste, ne veulent ps» voir que
cette fos la rtvolulton eat U
Un «eut journal. Lt LutOuvrière, orgine du FmJF-
L‘U»ncr Internationaliste, qui vient de »e crier, sait souli^OT-
f * »>imiftc»bon profonde de Juin 36 Le 12 Juin, *oa>
rn.ir numéro ;ort« en mt nehette t • Pane l'usine eLD\n#Ta
rue, le pouvoir aux ouvrier» I • Et plu» loin : * l es Comité»
de grève doivent être trsnsformés en Corn.tés d usine» per
manent*. Il faut réunir un congrès des comité* ; il faut si-
dér le» paysans et les soldat» 4 créer de» comité» de caserne»
et dix con*-ils de paysan». Il faut protéger l'action ar rière
par la milice ouvrière. *
Ls police de Blum ouvre des pouriuitc* contre La Lutta
Ouü/icie. De L'Action Française 4 L'Humanité, la presse
réc 1 »e de» mesures de répression énergique» contre le» trot*»
kystes. Mais La Lutte Ouvrier* poursuit sa campagne. La
Numéro 2 publie un article de Léon Trotsky, daté du
9 Juin : • Ce qui s’est passé, ce ne sont pas des grèves cor
porative». C» ne sont même pas de» grèves. C'est LA
GREVE-1 'est le r ssemblement déclaré des opprimés con
tre les oppresseurs. C’est le début classique de la révolution.
La révolution française a commencé... * Dan» le m‘m« nu
méro, le Comité Central du P.O.l. écrit dans un manifeste
aux ouvr er» français : • Vous avex occupé le» usines. Par
la maîtrise avec laquelle vous avez org isisé la grève, vous
avez montré votre capac'té 4 diriger la société. Gardez les
usines. Faites-les marcher vous-mêmes • Ce second numéro
de La Lutte Ouvrière fut également poursuivi.
Mais les grsnds partis ouvriers et les syndicats, loin d'en
courager les masses 4 l'offensive, s'efforcent de créer une at
mosphère de confiance béat* et aveugle, d'optimisme satis
fait et insouciant : on dans* cbns les usines au beu d'ouvrir
la comptabilité, au lieu'de préparer ia remise en marche de
la production par lei ouvriers et pour les ouvriers. Les
Cacbin, les B'um. le» Jouhsux vont répétant partout :
* Non, et n’est pat la révolution, ce ne sont que des grèves
corporative». * voulant ainsi rassurer le» bourgeois, voulant
plus encore détourné* le prolétariat de ia voie révolu i -o-
naire dans laquelle il s'engage malgré eux. Le plan est sim
ple : ai on maintient la lutte dans le cadre des objectifs re
vendicatifs du début, conçut au motnml où la classe ouvrière
était eucore loin de t« rendre compte de sa puissance réel-'e,
on peut demander au pa r. nat de céder et d'éviter la r-so
lution. • J'ai sauvé le p.-f* de l’anarchie et de la révo'u-
tion *, n'a cessé de répéter Blum 4 ftiom. Kien n’sst plus
vrai : Bium a torpillé le mouvement révolutionnaire par les
accords Matignon. Le» d : rigrant» syndicaux et commuantes
s’efforcent, ds tout leur pouvoir, d'aider ’ éon Blum dan» son
œuvre de briseur de grèvo. Ils n’ont ni voulu, ni r f évu
la grèvo : • Nous s.'mm Os, dit Cachin, ’cs uns et le» a,lrr.i
devant la fa't de I* grève. * Et Tborex déclare, au Gymnase
Jean-Ja ;rèi : * Il faut savoir terminer une grève par uo
compromis, parce que tout n'est pa» po<»ibU. • Au moment
où l'offens ve n’a pat encore atteint toute s» puissance, où
aile peut et doit se fixer de nouvra'ii objectifs Thorer
donne aut ouvriers vainqueur» les conseils qui conviennent
4 dns gr< visle* battus.
L»- lutte ci pendant n'tst pas tarmiuée. Dans de n trahie uses
branches d« l'industrie, la patronat se rsfnse 4 souscrire s i
conventions collectives. Alors qoe le s.enès es* total dans la
métallurgie parisienne. par contre dent le textile et l'alimen
tation, spécialement dans le Nord, le patronat croit, dè» 2e
lendemain des accotds Matignon, pouvoir tsroer la réti»-
taoce ( a grève, en se pralongeant. prend dan» ces secteur»
un carnetère pins Ipie : dan» daux usines d’alimentation
du Nord, les ouvrier» remettent tes machines en marche
sous leur propre contrêle : le patronat finit pvr céder.
Di.igaanli communistes, socialiste» at syndicaux, sur tous
la» tons, eialtent la victoire : Jouhaur. jonglant avec l*s
chiffres, essaye de démontrer que les accords Matignon cons
tituent un* victoire sans pré édent • Lee salaires ont été
•'trlevés^jji écrit-il. • En réalité, les salaires hebdo-
tnadfue. Hf |«, « 's*rorpas raioit»!.^ ryveau de 1928 • La C.G T , affirmait en-
ISUUL,
NO U V 13
.1 U I X
a» 12 u t
Nouvelle *érie
X) JUIN 1942
/
N’ Il
LA VERITE
(huant Ctallal J" Comllél Ftancah J. la H" inttmahanaU
IJ IV
1IJ
3 41
A Bl A TT H 12 II I T I, 13 11
C’est dan» le silence et I* recueillement que la classe ou
vrière i rennaise célèbre, cette année, le b' anniversaire de
cca tournée» de Juin 36, dont le souvenir, lourd de gloire et
tragédie, constitue la première raison d’eapércr de chaque
ouvrier, en France et dan» toute l'ciuro^e, le 6* anniversaire
d une révolution trahie.
Le monde craquait de toute» part». Partout, ouvrier* et
paysan» ;c refusa ent à Uire plus longtemps le» frai» de I»
cri»? dans laquelle le capùalisme a précipité l'économie mon
diale.
Le* dirigeant» du Parti fo ialiste, du Parti Commu-
n*.»t< et de ia C.G.T. sont le» premier» à s’effraver du ca
ractère de pl*j| en plu» nettement révolutionnaire que prend
le mouvement de» masse». C’est que l’i*n>ér.alisme français
d'une part, la bureaucratie stalinienne d’autre part, »e sen
tent de plus en plus inquiets en face des préparatifs de
guerre de l’impérialisme allemand Pour défendre le statu
au . impérialiste d< Versailles, dirigeants réformistes et sta
liniens s’engagent à fond dans la voie de l'union sacrée. La
déclaration Staline-!, aval scelle l'adhésion de» dirgeants com
munistes au programme d’armement à outrance de l'impéria
lisme franvais. Au Front Unique de combat des masses, qui
s’était formé après les journées de Février 1934. dirigeants
réformistes et staliniens substituant le Front Populaire : sous
prétexte d’alliance avec lei claaaes moyennes, ils s'efforcent
d’imposer aui masses un programme de c onservation sociale.
On sait aujourd'hui que c’eat le P.C. qui s’est opposé à ce
que le mot d’ordre des nationalisations soit inscrit au Pro
gramme du Front Populaire. On sait encore — c’est Blum
qui l’a révélé à w iom — que c’est l’ambassadeur d’U:R.
S S. à Paris qui s’est apposé, en 1936, à ls nationalisation
des usines Schneider.
Les élection» de Mai 1936 avaient affirmé la puissance du
mouvement qui anima.t les masses et son unité profonde.
Tout était possible. Pour les dirigeants soi-disant ouvriers.
Mai 1936 devait clore l’ère des troubles intérieurs et restau
rer l'ordre démocratique bo-ir.-eoi. Pour les masses ou
vrière» et paysannes. Mai 1936, au contraire, était l'annonce
d'une lutte pour la victoire totale, pour l’instauration d'un
régime qui donnerait vraiment à tous le pain, la pais, ia li
berté. La diminution de» heure» de travail, le relèvement
de» salaires, U garantie de» droit» ouvriers dans l’usine par
le contrat collecté, telles étaient le» revendications qui sur
gissaient des masses populaires. Les revendication», que le
bront ^opulsirc n'av it pas inscrit sur son programme, le»
masses sentaient qu'elles pouvaient maintenant en imposer
I application immédiate. Spontanément, sans que p.rt'a ?t
syndicats aient donné la moindre d'reetiva dans ce sens, le»
ouvriers de la métallurgie paris enne débrayent et oc.upent
les usines Le mouvemiut. en 28 heure», gagne toutes les
usines de la région par.sienne, puis s'étend 4 toute la France.
Le» patrons ne sont plus maîtres de leurs usine» ; d»n» la
rue, le pouvoir échappe au gouvernement de Léon Blum. 4
peine constitué. I s bourgeoisie française tremble comme elle
n avait : Jus tremblé depuis la Commune. fclle se fnp'elle
qu'en 1921 l'occupation des usines a mi» l'Italie au bord de
la révolution.
La victoire ouvrière eat si form dahle que les objectif» de
départ sont de loin «h-(.aisés : la» usine» sont au» main» dm
ouvrier» ; c’eat eux désormais qui y font la loi L heure
semble venüc de l'expropriation des gros cap’tali*tes exploi
teur », cette heura que les révolution» .ires ont préparé depuis
». longtemps. Mais les dirigeants ouvriers, qui ont souvent
I aidé sur !a révolu!on socialiste, ne veulent ps» voir que
cette fos la rtvolulton eat U
Un «eut journal. Lt LutOuvrière, orgine du FmJF-
L‘U»ncr Internationaliste, qui vient de »e crier, sait souli^OT-
f * »>imiftc»bon profonde de Juin 36 Le 12 Juin, *oa>
rn.ir numéro ;ort« en mt nehette t • Pane l'usine eLD\n#Ta
rue, le pouvoir aux ouvrier» I • Et plu» loin : * l es Comité»
de grève doivent être trsnsformés en Corn.tés d usine» per
manent*. Il faut réunir un congrès des comité* ; il faut si-
dér le» paysans et les soldat» 4 créer de» comité» de caserne»
et dix con*-ils de paysan». Il faut protéger l'action ar rière
par la milice ouvrière. *
Ls police de Blum ouvre des pouriuitc* contre La Lutta
Ouü/icie. De L'Action Française 4 L'Humanité, la presse
réc 1 »e de» mesures de répression énergique» contre le» trot*»
kystes. Mais La Lutte Ouvrier* poursuit sa campagne. La
Numéro 2 publie un article de Léon Trotsky, daté du
9 Juin : • Ce qui s’est passé, ce ne sont pas des grèves cor
porative». C» ne sont même pas de» grèves. C'est LA
GREVE-1 'est le r ssemblement déclaré des opprimés con
tre les oppresseurs. C’est le début classique de la révolution.
La révolution française a commencé... * Dan» le m‘m« nu
méro, le Comité Central du P.O.l. écrit dans un manifeste
aux ouvr er» français : • Vous avex occupé le» usines. Par
la maîtrise avec laquelle vous avez org isisé la grève, vous
avez montré votre capac'té 4 diriger la société. Gardez les
usines. Faites-les marcher vous-mêmes • Ce second numéro
de La Lutte Ouvrière fut également poursuivi.
Mais les grsnds partis ouvriers et les syndicats, loin d'en
courager les masses 4 l'offensive, s'efforcent de créer une at
mosphère de confiance béat* et aveugle, d'optimisme satis
fait et insouciant : on dans* cbns les usines au beu d'ouvrir
la comptabilité, au lieu'de préparer ia remise en marche de
la production par lei ouvriers et pour les ouvriers. Les
Cacbin, les B'um. le» Jouhsux vont répétant partout :
* Non, et n’est pat la révolution, ce ne sont que des grèves
corporative». * voulant ainsi rassurer le» bourgeois, voulant
plus encore détourné* le prolétariat de ia voie révolu i -o-
naire dans laquelle il s'engage malgré eux. Le plan est sim
ple : ai on maintient la lutte dans le cadre des objectifs re
vendicatifs du début, conçut au motnml où la classe ouvrière
était eucore loin de t« rendre compte de sa puissance réel-'e,
on peut demander au pa r. nat de céder et d'éviter la r-so
lution. • J'ai sauvé le p.-f* de l’anarchie et de la révo'u-
tion *, n'a cessé de répéter Blum 4 ftiom. Kien n’sst plus
vrai : Bium a torpillé le mouvement révolutionnaire par les
accords Matignon. Le» d : rigrant» syndicaux et commuantes
s’efforcent, ds tout leur pouvoir, d'aider ’ éon Blum dan» son
œuvre de briseur de grèvo. Ils n’ont ni voulu, ni r f évu
la grèvo : • Nous s.'mm Os, dit Cachin, ’cs uns et le» a,lrr.i
devant la fa't de I* grève. * Et Tborex déclare, au Gymnase
Jean-Ja ;rèi : * Il faut savoir terminer une grève par uo
compromis, parce que tout n'est pa» po<»ibU. • Au moment
où l'offens ve n’a pat encore atteint toute s» puissance, où
aile peut et doit se fixer de nouvra'ii objectifs Thorer
donne aut ouvriers vainqueur» les conseils qui conviennent
4 dns gr< visle* battus.
L»- lutte ci pendant n'tst pas tarmiuée. Dans de n trahie uses
branches d« l'industrie, la patronat se rsfnse 4 souscrire s i
conventions collectives. Alors qoe le s.enès es* total dans la
métallurgie parisienne. par contre dent le textile et l'alimen
tation, spécialement dans le Nord, le patronat croit, dè» 2e
lendemain des accotds Matignon, pouvoir tsroer la réti»-
taoce ( a grève, en se pralongeant. prend dan» ces secteur»
un carnetère pins Ipie : dan» daux usines d’alimentation
du Nord, les ouvrier» remettent tes machines en marche
sous leur propre contrêle : le patronat finit pvr céder.
Di.igaanli communistes, socialiste» at syndicaux, sur tous
la» tons, eialtent la victoire : Jouhaur. jonglant avec l*s
chiffres, essaye de démontrer que les accords Matignon cons
tituent un* victoire sans pré édent • Lee salaires ont été
•'trlevés^jji écrit-il. • En réalité, les salaires hebdo-
tnadfue. Hf |«, «
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 80.62%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 80.62%.
- Auteurs similaires Internationale Internationale /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Internationale" or dc.contributor adj "Internationale")Parti ouvrier internationaliste Parti ouvrier internationaliste /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Parti ouvrier internationaliste" or dc.contributor adj "Parti ouvrier internationaliste") Parti communiste internationaliste Parti communiste internationaliste /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=(dc.creator adj "Parti communiste internationaliste" or dc.contributor adj "Parti communiste internationaliste")
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/2
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k879062m/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k879062m/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k879062m/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k879062m/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k879062m
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k879062m
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k879062m/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest