Titre : Le Constitutionnel : journal du commerce, politique et littéraire
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1860-03-03
Contributeur : Véron, Louis (1798-1867). Rédacteur
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32747578p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 03 mars 1860 03 mars 1860
Description : 1860/03/03 (Numéro 63). 1860/03/03 (Numéro 63).
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Description : Collection numérique : La Grande Collecte Collection numérique : La Grande Collecte
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k672038h
Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2011
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S AMEDI 5 MARS 1860,
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, ./Quajnf. 6a £?àraiup l'orgap^aiiorç de;la
est faite aux mafriatrata ipai laiiiM^eité diji
traitement gu'U$Xè,ÇoiV£?çi ' ^'éstbb' râjpp'Drjt.
ni avec la considération gui s'atta chaà leurj= •
lohctiops, ,iUj âvè'é;!r^ i teiiflù^ ! J^s, éerfajH
cette situation, et il a déjà- porté remède;, *
en élèvant, dabs, uné/èértàiule "mesure lefe"
traitemens inférieures*' • -j ■ .
i Ces améliorations devaient SP compléter
par une mesure plus-général^ 'qui est apr ;
pelée à modifier, dans son ençflmblé, notrja.
organisation judicïairé'.Déjà depuis plusieurs
années un projeté loi [élaWé pày'lègou-
-vèrnement devait être sortais tux îdélibéra-
tlonsçlu Corpi : W©5laiifc; Jiftv'a^Bow (oti-
jet 4'augtnenter a^z leyrgement les traite- *
mens.daJa magisiraturâ, Ijivèr^ésiconsidé-
ratiornstn oit, fl'an^ée'ienaujaée, détermi
né l'aj ournemenfe ;. peùtiéirië 'a-'t-oa troÙT{é
quelque, difficulté jà. gr/ervçfi 1, le; budget dje"
.là justice d'una .nonvellia dépense,, sans
la ooinp'enser par Une.éconoïpd^',^i^eû fjfès
égalé; On inVoquàit contré lé projet )g& né
cessités du budget, et/poiir cpjô la mésur,e
âe\îat pratiaabie y. il iallaitrtrouïfii 1
moyens d'atteindre lëjbut.prop,osé sans |ie-
mandenau trésor de ti*op îourdssacriflçesJ»
Un projÈt de loi,quj, si nous sommes bîeu
informés^ doit être présenté au Corps Lé-
gislatif:dès jle déb.ut.dQ,cette, session, a pour
objet ettât d'aplanir toutes ,les .difficultés îjue, le
projet' d'augmentation du traitement "des
'magistrats pris .igdïéme'nt ayaitrencontrées.
Ce projet de-loi-ebe cilié, en effet; tous les
intérêts; il respecte; tous les droits âcgyis,
et, sans imposer au trésor des chargés-
n^yyèlles, il,iaS|ùré, ^ la.miagistrature uqe
rémunération plus convenable. IL atteint <|e
- double'bujtVn ûpéwtiung ^Muûtion datjs
• le-iiombre des magistrats. Maisj hâtous-noi|s
de le dite, " dette " r édiietio n ne devra ^'èflep-
tuer que par suite deg vacàhcës^ • et le'gou-
: ye| , njémç^/pj?.uï rentré la^âns}tien.'m6ins
Àtrusque, se réservera'même la faculté,cie
faire ; ùnp pQmîp^oaj ,Kûc, ,'dèux .'.yaeanct à
jus^'àwqueleTQOmbrej'dés magistrats sJitJ
, rédu1jt, : àû ^îitiXre,;(îié- ô *• mi i ^ • j
Dansl'orglaiiiSation qnii'd^îtTésultep de c^s
.lûesures nouilles ^'-ie tr^îtemenl dès coa-
seillers-des cours impériales' sera fixé, au'
^minimum;,.% h ]£, Sûôime^e"é',000'ir.,et |e
>' tràitémept-des.'jTiges- ^çnt' le tfifrijin^m t
". 1 ^}ijourd'buî 1 (feiï,ëb(ikir.ïiVWa part^.. iiu m]i-
m'm'um de.- 2,400 lip.- U» a|Utï^*^vaQj.îig^ , eist'
' ,'^UQob; -assuré' ^aux»magistrats:«U première
^éjca i 4iniinùipôvir.là i plui>àïi t Rentré ellgsj
dans des'^roiportiODS diverses, depuis deux
, usqu'à neùf.* Plùsieûr» co^rs restent sali?
modification. '
..j tek tribunaux de première instance, qiiiv
sopt en bipn plus grand nombrô,- doivenjL ;
aussi .subir des môdifications.pLùs.. Jcpnsiàéj- ;
,racles..Àingi,.dans .trente-sept,d'entre ;eux j
il/y-.aurâ suppression d'unejchâmbrp. JÛans -
lesîaùtresyU -y ayra .seulement une dimi}- :
nation .dans le nombre des juges^qui paraît î
àctupllement' excéder, .quélqàefpismêmède
beancoiip> lestësoihs'du service;'
Mais le 1 Mïélb niotif qui" fait g
des juges là où leur nombre est trop élev
èige iqu^ goft : àqgiiiéntè d^n? le^tribti^ii:
ou un surcroît >dans les affaires tend & s\
maqifé^.^st en feffe.t-ce qùi.dôyra avoir
lieu. Toutefois ces .augmentations^ on le
cçinpreîid ftLpile^epty'^sonti.pBu, norûbrei^-^
ses et peuvent paraître insignifiantes, ep
,Jré$e'ni!e ,de l'a grande ïndsure de là réduc
tion propbséè. • ■ • j
NoUs n'avons pas l'intention ^XÀtuin^r
ici, soit au «point de 'vue économique, soit-
M pôint^ d^ yuéi judiciaire, Jâ portée des 8
modifications -dont nous parlons. Ellesw
fioç.t pasians pré^éHensj étidéjâ, àiunè épà-"
iqtfe antérieure^ il â éfé^é'ctessàiré^eiiia-;
«Jifier .4'^ certains, iièges le .no'mbice dâs"
,'iïors; U^égijtë'nt: fd| J.Ï'êlT^» j
j^iirefontv^BÀUiTraaêniv et s'il, fïnî^t|iit
ïtr d'.unVtraUement supérieur auij permis 1 de'^fah^ réfeottit.;^ niô&f d&çojn-
deta^ §tè ,pJjjJêjr. J. ° 1 ûance'.de piu&^.j'ïrais.le prendre dans' lè c;a-
;ii; J€ilerô d ej ces 11 r i ijuuaui' i pçis era /d à -la ■ sixifc -
'ine â-ifqu|èm,e:(;ïà?!5è,! e|t sét^appelé
!; i aiûsi'àiOUU' •*— : --" i x -— --
Ji nùnibiiiïnfid ^
. .-.:--Cetté aBgme^tàUan. d'à tifaiteménttfavja*
rise, .pCijûdiB ènjle^fti^^o^.^ grades';
^Ti'Bfellie^jîïS.- deia magi»t"raîure( Nous-venons-f
djB 1 ^Irè JtjU'éHè "au^apput ,com'pegsàli^n
. ia% râd.ùciion du nbaibre des'ifôactionnai'
, .re^. ^js- ^ll'e^y, ^stjù^t.^fjb^ridbiibê "
Les;j magistrats / Actuels-en' jouiront pr^s'
,. î1. . •. t ,?r t». «• >vi . 4 D'iv#-'v^iL. J
delà
es
^llèé'Jpit^t^^VidéTO .^croître
môitiéVda l'augmentation- totale: -
Xjuà'nt • S1 « 'ri tjUÇttîin (iaÀ S'.îe, jb pmbre, c
magistrats^elle aura lieu sans que- le itoib
;bre des,ç(iur^V'dès -fribunaur ^oit mb< i-
ifiék 'Le grand' tadre -•de-notre tygauisati »i
judîbiairé rèétéï.a d^Q.iflïasi.. litais, cinq de
noS"Cou?s impériales subiront la réduction 1
/«Vko'iVi^wû.» lâ nnmVifû /)AC fAcimctr>Qi0
,rpnt |Oumises,.est çellfs ,qui t ,ér4ë^|tf 4 %e
moment ïe monde commercial et que «ôu-
lfvë le {traité, de commerce conclu aype j
vî i » nu ■ j ji yAngtetewe, Elle^-rAvivé tomteales discu»* *
Êîoûs,thépriqué$ en^re .l^ •le' système protecteur. ■N%st-eeà pka»«l'f>cca 5 -
sioja :d'en examiner' les, pttùdèès |yfecîatt^i-*
tion? • ( | . r
; _ iHe'Ubrerè'chapge p'eut, ! jline
considéré comme .le but auquel les sociétés
1 doivent feUdre ;.gkjt)g la pTQiecJioli'dP^têtre
le moyen d'y ;l»ar?enir. Supposez-l» Hbre-
échapgl ^établi i dans un çaySihç^fSlp^-
- • .1 /a
> ï . -»J i l " ht Uttru Mi Htvoii €ér§mt ion imAHcmi sont'yi/tait}
,,, (es jprtîcles déèosé» ne sontpâK rendus. :
IMMim
UNIVERSEL.
. - <•. .1 ' . ■ • ? .. * , ' -■
.iU^r
9
TROIS
ï£t,
ontut.I'
13riu
1
IIM NUMÉRO 20 CENTW]
'• datent du
!P-v • : - 1 d» 'ishi^moiMi
Ces imoscu sont reçues"che* .M., I^iies; rêveur"'des 6 grands jo
rue Notre-OÊK - -ues-Victoirps, n..40> (place de la Bourse.)
<»<"■ >■> - ■■ 1 , r r 1 ,i4 ' * ,r y. 't .K» 1
On ne saurait méconnaître, qu'à 1 mesu
qu'une plus longue habitude de nos Godes
tend à rendre la jurisprudence plus upifor-
me et à dégager les procédures de ces nom--
breux itocidensqui.les étêrnisa|eift autrefois,
les procès deviennent sinon beaucoup moiris
nombreux, du moins .plus faciles à tertùii - ,
ner. Il fallait donc qu'un jour-cette réfor-' 1
me .opérée dans nos mpe)irs,pÀr la clarté' nos lois, réagit sur -l'organisation de nçs
.tribunaux; il'étôijt d^ns.la nature dès cho
ses que le personnel-jde la magistrature
fût diminué j.pûais il fallut én jnômp temps
qu'elle n'en éprouvât «ucun dommage et
^qu'aùrÇQntfaire sa positi^ni .eû fût accrup."
'C'est cetdouble but que le législateur ve^it
'àjttpiÙdréVsans b|és'sçr.^ucuft, drnit.àcqiiis,
sans froisser aucun intérêt légitime.- ,J ; *
-, i, ÉSUl4 CHÉDIEjU. i ' l
" nfecO^?,. DE.Vfc tp, .cftMiF ■ 'stè j mwy *
i'-. PRÉSIDENT'BB É6RP9 •-CÉOISÏA.ÎI#.' ''
i '/fJ' "1 -.Vjuïïi'f li'J ,si-"3 .i-Si&l- i -iî.'i.'
(Séance du 2 mars J) ' '■ -
' - r 'U „ j. ".b+> . s i
■ * / Messieurs; 3 , t ,
, -, t'es parÀIès çte l'EmpérêuR ont dû .'rassji- 1
rer vos esprits-sur le sujet qui vpu& intiô-?
resse le plu» >âhs>4iwjte iJclPm arl-^
Le plqs- grand éiéttieiat de, prospérité aiu=
jourdîHui/.eelui'd&nt ne. pcùtv.sfi;passer un
^pàys a.pnt'lfrtrdvâil fit q'e- cp^ty'èfafPse. djéî
velappent' par ; J,e^ créâit y ' c'est'la 'oonfiantieu
■Espéronsj -gû t e , ( ;ré's; inteatiotis sitfcèrçs' jlé;
l'Émperiury âppricièeii au^-dedans et^au de«
^ ractè^e.^ÇKi é cbfe.^él'^ç^eïè pr; ^së^isdi^,
..ea rappelait ,un,ipassage, ae.son discoijrs
;;d'bifer/que .^o^is^v^z Ti^^â.erit, ç^rpjiaiiilt
que, né 'Cesâant jàmais d'aWr/dévant les
^yëvii.lçs vraî^ in^Js dq ^i%nce,.j,l pe
tsubitauciin jentraîneinent,iieïque,Jês^t|aU;
a«
(Marqua d>pprftM 8 n.). ,
iVatre session si ouvra^ /aétte- fois, sous
.^7 fa'P
Tannée-dernière, à. jfaira appel À l'ëxal
.tiqU dé vçtr^^iotis^i^ .çt^ .pop^yqi^
"mander de soutenir Ta politique impériale,-
je .^'adressé ^otrejùgéhïent,- à votre froi
de, raison. / .. . . |
Ltl *^tiiéstî6n première : (jùi ajrgaraît, ët <^ûf
d'tni'e cha'mbre ; le nombre des magistrats J_ donnera lieu à (5es mesures qui vous se
vré. Que produira ce .pays?, Je ne nie pas
qu'il ne pû^.s'y développer-quelques «i,trièâ "favorisées par une ^itûation naturelle
privilégiée,,mais la concurrence étrangère
étoufferait -dans leiirs. èérmes toutes cel
les iqui exigent, pour - prospérer,jdês ca
pitaux ; "des-.ouvriqrs', ^abilé3 i des, con
tre-maîtres ■ expérimentés » dés transports
faciles et à bon .màrChé ^'enan tolités tes.
conditions que leftemps ïèul Veut,faire àc-
'cfuérin U4e transiftoile^t donc, ipâispén^a-
ble; ' êrprècliler le libre-échange qà/un qùi J àô jouit ^às éneort db Ibto^gs ivagta-
ges^c'est à peu près aussi équitable, qné de
Itofeosej; à.uii () fle lutter Contre 'un
Êommé fait.-(Approbation.). ; j ui> ,
on qu'un go\ivernêmént ^oiyô'prptêget ton
inamtjié.dansi'inlàrêt excluait ÉésMndus-
triels et conseryer d t fes jmqnojjolep aux dé-j
pens de là,consommation.îdu paysî Loin de!
Î&. : le gouverneînçjit a, lûêmie uû .^éVoirj
tout>contraire à remplir ; car le seul inoyenj
de dévelo^péj[ ,1a fprtune .-publique ,pt d'a-1
méliorer le bien-être de tous> c'est. d'arri4
ver h réduire fautant que., possible'Je priij
des Objets de consommation générale. Le
salaire.des ôuviiçrs, élèyé en àpparencei
ïi'est pour eux qu'un avantage relatif; il ne
leur profite réellement iqûe ; s*il«f ne sonj
pas forcés de se procurer à j des^rix 1 e: (
quelque sorte correspondàiis,. leS'^bjets'ac^
cessoires.à leur existence. (Nouvelles mar-j
ques,d'idbésiô.n.> . J
po, ^îr, a.ttç&dre/çe té^tt,at; ^l;est'sal\!itair(
- queil'indûstrie soit, à l'intérieur, sufflsam'
'j^^pt^tirptiljéjë.p^rjt^/^onp^çêf^p^.ëtr^rig^re
et que les- droits protecteurs soient- rfgléi >
ài i.
fraii
'principesv Néanmoins^ cette -théorie sçs!limit^ 'd^fîes é^t0PreSpôs]tifë f ^è^ri; :
de revient? de 7 'tout* objetifabriqué se -com ■
pose''tbifj6ùVs J 'des nî'èineè 1 élé àjéfes Ipïi^ci ■
paux : le prix- des matières premières, lep
fr%is;de fab'riçàtîàn ^t c'euj; ,
No^ ouvriers -sont aussi habiles que le}
^nftrSu'éli'apiWgVi ^9Bi ,poiisj?ï^ iiotr )
infériorité, 'c'est ,1e prix élevé des matière i
premières, 'çt 'dé^ ip.Qj'eïis âQ .trâ^ptt E i
restant 'dftQS uné'juste'": mesur&des princ
pq : s protefiPeurg,,; ; r;V : . lK ^
Je.tr^ygiji^j; da,qs;fa; JgJtTft,^ l'Èqapi-
ureurA son^ ministra/d'EtàL un^^siage »qu i
'fe r'è'ihets Soûs 1 vofe''yeu!5 , dv%"fc|tftinhèijir; 13
voici : , . j. Z :r,-;' , h Jj
, k ' ^Ii;fa\it^méjfçifer û^tt-e ijgri^ft^ 1 1
^ranchiB JQâiTeiâpjiuÊtriQj' de' .toutes' 1( s
,l,e?Ara^ t '4Wèûrés ^i r ;là l>lac^ttiai
• » «es conditions.d'infériorité. * ,i.
» «ont gênées -par uneioule ide.règlemcis
^Effectivement^. Mesiieùrs^l j éspiit:de n(js
paiement proposé pour but de prévenir les
>bù?; ( , %rçcf jde, ^piïrêutvjfel'âb^is,
èslarrisé à.gMer d'usagée (CÊSt"vrai:ï nc'e t
! ,yra^^ C ést;l à'|a ; féfpipïé; la .plùs imppitani e
' à obtenir. Il n'y a de. vraie^pTOsp^ritéiqu'i .-
vec uU^epitièré 'libért'é _ 'pivil'e^èt ^notr e
pays n'a jamais "su se sérvir avec' môdéra-
tion de la,liberté yolitiijue, c'est qu'il n'aj-
vaitpas coinmeficépar jouir desbieiifaitsde
la preD&ière. , ; jaJ , u - , f • ; ; .
.irisons dés yœu^ ii^si pour que Jçs» ,ir^- {
TP9|iùJations;^ f
Lafecberche consciencieuse d'une eoli^-.
tion 'puremeut'.^poiyîqûe, devait-elle exciter
des plainfe8 aussi amères? Les membres du';
clergé, qu'un/zèle ekcess)ia r entrAîhés,'oublié les services rendue à la r^lî^ion p£^r-
l'Eaipereur ç't peut-être ausèilés, lésons dù
passé.; '( -^ombreuses marques , d'assenti,
ment.) iiorisqûéié.p.eupl^ja'a.deva^tû qiie
r<
-douge civilisation yucœurprêchànt l'amôUr
idu prochain 1%'pard'ôn des injurési'létd^ta- ',
; chemént âes biensteh*eâtres,;'albrs .là foi ^e
fortifie; mais'lorsqueile pfêtre sbrilis soin
cârà,ctèrej, ëpaprunte ^es arides, inçnd^ines
et empiète iiir le^niér'iêfe^ciyiis -.et jpo'iiti-
qUes^oUdajnla |usceptibiîité galliëapeï'é-
véiilè.et l'esprit reHgièûx.perd/touiclà <^e
consulter de nouveau - ollemént là vo
lonté nationale. Le -gouv^iuement vfeut, du" 5
rester ^a Hierté et la âiicérité des votés, ' . i 1
, . . j. •Bcrliû,'l« I ,maïfi,. . j
j Le, bilan âe la Banque autrichienne pour le
mois de février comprend s ~ , . r.
Encaissej^Ç millions 1/3; effets publics, 23.
millions .2/3; -portefeuille, .33, millions; ayants,
(Lombard.), '52 millions 2/3. , , " / ' , " t 1 t
... , • . n Munichi \«ijnjurs, , ^ J a
ha. Gazette, de Mumah jdit eavojr ^e t>oqiie.
. source t[Uâ l'Empereur Napoléon, ne consent
pas à ranneiXijon. 1 de: la Romaine à., ,1a Sardal-i
«96;= qu'il veut reconnaître l'intégrité., de l'E-
lat pontiftcalet, .modifier considérablement la
politique qu'il a suivie jusqu'ici.
' ' -SaihtrPétersbonrgHeudi*i or 'iaaïs. 1 •
'iLe Jotirnai de Saint Tètmbaurg dément'«f^-
èlellenient'lattouvelle'àonnéepar,le îlotninq-
Chronicle d'unp alliance entre' la Rii^sle "et l'Au
triche. i: .- 1 •* ' - 1
- , ^Florçïiriej 1 er ma'rs.- 1 ,
1 On, viëût-de pifblierUh décret convoquant t
ie peuple toscan -eU'qomicea pour les '14 'et i2.
mars» afin de -vdter par là" voie du suffrage
(universel et J àCt scrutin -'décret Sur lès deux
•propositions suivantes : ,union avec iajmonaf-
chie. constitutionnelle du roi - Victor-Emma
nuel, ou constitution âe la Toscane en royau-;,.
me séparé.. Tous'.leS toscaqai-âgérde 21 ans èt,,
jouissanf de l^xërclcè de leurs aroits civils^i
sont admis à voter, v tui, ' J
,?,mar|^| "
Unissons nosjiejmrls*! Messiaurs/uafin
donner au travail: la ic^nfiance dont il a bie-
sqin^r^ |léyeio^per. ; ,; v | *"
Aidons l'Empereur dans ses. voies hué;
ràlès, seèôndbns ses projets; votons avise
empressement les lois qui se rattachent, &
.toutës à$8. quég^ons édonoïniqùes, et enr, ;
trons résolument avec lui dans une fye
, nDuvpUe de ; pàïx, ,d^,progrès et'd'e liberté^
.('Àcdèmations .prolongées.')
. tÈLËGRAPHIE PRIVEE
/ , 11 .i j. > , . ,4 1), D
j» . • Londres,''le 2 mars.
Le-Knies dit gue ile : discours dfe i'Emperelur
projette de grandes ombres sur les événeméns,
;qul VOijit yénir. : « A V'• I
Empereur, ajoute,le sifie. mfr
fraude,wison^tfi^iavalt.Je/drbit^Jtxsr les
* limites dQ Ba.igarantie' contre: l'interventipç,
étrangète-en ltaliei'Mais il:reste aussi obscure < qu'elle Vêtait auparavant cell#
de savoir ce que fera l'Italie centrale viS-à-Vis
_.dii trôtie^alsatt pnToscanfe.' , ; 1 ?- i -, S' : 1
jAiFf^jacejsémbJjB' avo)r ^ tiir^ejA^savoie,
mais-ces.Utres* dépeMânt des guerres,et,de' la
ïévfllntion. JLtyia une «ertaine «onve&ance na^v
■ 'ttrriBUedaB9»nafrontiàrf, çiitanueparcette voie;,',
mais dçs conve çi a ncea sa mblablesse* pr éseûtaivt
arriverait aiîtfi ^^UEer' d^s'.p'qst^s' Avancés
inqulétaDSijGetsereitjun' travail cuueux,Àt fd-
cilevà la fqis àlfaire^^qae de calcHler^e inorn^
bre de mots qùflt faudrait>-fGlîaîîgerî'da-&3 » I51
discours pou¥,ai>pii^aet;auï ■ bord8 :1 du 1 - Rhin>
la àëçîafra'Ûôrf^fkt^'é à^lS. Sl'vàië.'" ' ïl ',' T
,ffe ,J ûluïmQ-
■ d,w4nx ge,pluajpaîiue HM^.le ïon, du..dispojirs
.impérlaLi ttiapprauvei «la u par ; t&cpmjwercsiale,
' 'mais'41 blânaaiieSipaseagaa relatifs !àtda«Sav6i«,
Le paquebot parti directement dé.Civita-
chîi'le ^«-ferive-^n retard'.^Les-attires qu|il.<
apporte confirment ce qu'on a dit^au sujeta
,d,'uUe Iëttre'dé rYlctor-Èomïaritiel'/ 'présentée»
par son ' aumônier 1 au 'Pape, ànnobçaût à Sa '
Saintèté'' h qû'il Wàlf tient- étrff dtfn'^ M'héfeœ- i
sité d'oècuper les Matcnd %t FOnilrfle, - dont'
les popntatiàxxs^è c^Ê^nt' de^d^oaàitidBr
leur annexions li^ape durait répondu 1 immé
diatement en exprimait s'a "surprise et Sa dou
leur et en menaçant de fràpper le roi d'ex
communication. ! '
Huit étudians de l'Université de Homb ont
été exptùsès; et la- destitutioù 'dû préla"t-rfic=
teur a amené un nouveau tumulte palpai li s
élèves. Le ffouverneiù'ent ■ s'occupe de'l'em--,
prunt.' r ■ ' i
Le Monitiw de Bbloytîe invite 1 instamment les
électeurs à.'perfeister dans leur Vote favorable
£ l'annexion au Piémont. ■ .
~ • >i', - ~ .»■ ,1 n i,
i, , „ .Madrid, l.\ r mars, 8-hi,10,m. soir. -!
. .jaisr,- aupuae 5 npuv^Up, d'Afrique.,: .l'armée*
doit> se mettre en marche, emmenant avec.elle
envison mulets..L'êscaàj:è. n'attend a,lue
,}a beau temp? pour, continuer ila^ bgh^barâe-
ment, des ©onls^açDçains. .Le , général, Bt(stii-
ilosja été çfelnouveau en conférence,ayee lç gé
néral O'Donnell.
•' V- V" ^ J - v ,ui i" - - .Vieiine,2jnjarg.. ,
La brait se. iFepanft quaX'jepipereur aurait,
- sanctionné Ja foemation .d'un conseil de,l'em^
pire composé d'un plus grand nombre jtftmem,-:
'.que celui-qui ,est en activité ep ce pcvpêrit.
n repsésetn^Uons ,çtes'dix ; hait.pjoviuçcs'
de -la mon^rchift!,(élirp&t- énviten quarante
îmemb^et^'erops^xif; désignera les,;
•etL.ie&iîgraAàs ifegi^res devant.jaiçi
.dececftpsejl.i -. hs'TslîL :( --itr, \}\ n ^ ■ ,,
( -CeoÇWe.eiJ-. sera'invoqué ^erjLÔd^uaœent 1
pour fixer le budget de l'Etat, pour, examiner
nâcè ïohtre ja ! ^rlix% ' Lé'"Piémont t pâïeijait
çherj eh .'ftonnant j'mojûtâgriés ,quUui ser
vent dè forteresses enéchange'^é^ifiMincs fer-
tilétt(La SUnciq»' .!■ ï- j , rt ,Ji * j
ut .be 'àlftrnitig«rew, ;ti}ut ! eïi e^prirniart sa satisfaction (de fees
bènnes' çfffàtiéïïs aveé l'^'p'feâS'.'ii ra'Mnlei; ,Unè/*pt>lmliulé ^|çrë^sfve |€?ti '
., p'éirj^it. de, l'extçr^on . des ' ïron'fîeïcs' d'e I ïïj.
' „l " t r:; uUllU . L 1
. v j- .. ..t j M. 'iTuto; 2•rtiaJ , éi♦■ , f 1 ' " ul
' ' ^DfS"dSb^ih^à',dë'fi0^dè l . ( 'd ? àç3o'Uni^i'ûî an-
, P ftA^ntmvOlW«tW'a'ê^M^ ef-
jBeffltîHi q^.appelle je%.E9PUlMiiPBS dqSffïa ilië
aàtwrter# lesvll, etil^anaxsii parilftWilMgeiukiij,
- versefhetodiretit et a;»scrutin «eisre^ sundi suk >
- JpT OrJiOBitio iis -perrai'etStaUtamipopUlaîtionside vû>-
' jfé^^iféste\ui'pVé'd^.èle défeirJt'éù^'êStpfii[uë 11
lesffiptlf^r s^sjji'ççpiïM âqjxqêmt&c %
iVOcanQn.AU P4dôfAfeat < p3ju;,i:appfiep^c i-qu 'ou,
doit, à^'EoxpeiAiirdes français, -jtwwi-tsenlftm îû^
--pouilta guofTfti'qu'il «aasoutçnue, mais pour la
non-interventiou qu'jl a assurée: 1 - 'j : < il n.
,lie jhtfQiTeste-' Stt*' ég'âlièijî'ent^ue^ï^ur jpêt
éftïttbpn^iâcpiçjle l'jniiicg^Bfmé' ift#ctnér
IVs'rggtftÛMWOinS) '.et 'lfe?'prF^ctjupàtlotfs bùî.
ça&atant, Bwdani, le^.
blces ayant disparu, le momént est venu
aâ.ipJÎQÇliS
îiçe .partie'
A4
: •' - -,*» ( Vienney-iandiJSoir :
- "lu qacfavelle 'd'un 1 traité -entre ïla- -Russie i et
PMitrîthe ' e£t «ans fondement; mais>;on jat"-
Htme^que l'Antrtche^bien quesn'étant pas liée
par un tel traité, ne s'opposera plus- à-ia poli-,'
tique russe 'en'Turqule. • 1 - < ■ {Times) J
JiiiîjLii/tjjr.d >1C1 '
Un ou ueuï"^15ïflfiSaùx ue Londres sdiw
lemént 4ÔiitlëUnfM.fiës^Réflexions intérès^
santés.
Le Tj»w, Ai-prppos y dn,.débat qui a jeu,
lieu dans la Chambre des Lords, au sujet
■.df^migVJHiCTjf}eS( ( £poljej,;(Jë l'Indu d^us
ies^olnnijesifrançaises i coiïstaié, îles avilir,
f l! fageîs'de' ! e^ prfljet^ourneçi 'émigraiisf-eux-
ityvijou'rslrl^
.■Animent plu? heûrftux'Àla ; Màijtu}iàv^, du i
dan8«ôo i^ays.-;lWésulte des, e ffets. .sLbous jdii
d^efansi
.. .s de
l'htfÉàanmir Coùvieritassuitémentdeweri-
être des qqqJji^j J3CW»Ifl.pflsajionqu'p^,ièqr^
'ôffrëseaiperspeutive.daas les, colonies îràqrj
Çfflses'esC 'de, bé"àhcoûb-''p1us' avantage usa'
a'uij lep'iPps^on.'^ctuene ^éfHe^^riyerl
se.raàt aEir ■awfiô t ÊEuanté¥lèur égard. & '
i,
deS Qommunea^ èt qu'elle én'ést un -fex^
céllènt "commentaire àu" point dé vue de la
France". , ■ f; , V ' ,
'•« Si tfèist être Français, , dit le iôuriat
anglmsiiy , qqp <.,de, Êefuser. ,.de u«e - joindra
aux-^ifiilles voix discordantes qui,jenidernière moitié , du JOX» siècle fatiguent nos!
oréilleMes' susoëns de la défiance'et i de' laiaV
lousiey oui noUi gè l àimes F¥ahi?a^ car nous:
désiroïÈ vôîf Rétablit entré l'Aogle^erre, et
la Fjhlncé deXfentimçtis q'ài^utië. cpjaS^ajgitev
et 'de'§ .tappor.ts pacîûqii/js dè, rivalité fécbn-j
de. ïu'iiCela hgys sojgaj^^ Français comma
(lajChambrajies Communes. »
,dafls.l intérêt d^s dejix pays, une bonne,en-'
lente, des éxplicâ^ops amicales, au lieu de*>
polémiques irritantes, c'est-à-dire çe quet
veut laÇhainVe dies, Çcimniùne's .elle-même*
d'après son vote de.samédiidernier; en ce|
i>ibndes'deuxinâtmnsles^luséclàirées'di^lo4
"be'en vtie'du régletuentde toutë^ies ques-*
IM^P 1 W?egf
torme aux grands principe$.'.>màderriesi
N'estnce pasîparce-que ^lal -France :efet avel'AtigléteVf^'du cOtè d^'la' justice e.tdu'droit 1
/qiWiift Wàtçbre: dés, : C!ofafu|tun§s ^^onn^ % là
,France,-aa nomdelajiatîon anglaise ^ une^
aMoale^poignée de maiEj?,Dfre' à la Frkoc
^^^pïmaitrft'. l'^n~
gielerre, qui ne, 4ecaa»ae.. quà, être iou
amie et son alliée en OBanheifie et en poli-i
tifru^; lui t?cémmânder de ne pas con-'
sidéré^ 'Cômùie les interprètes fidèles des
sentiiuens de la nation anglaise les^our-:
naUx^, t}ui . cherchent ; fi raviver - de vièux
préjugé^ et des animosités déi'.âisonDaHes-
jdiyjSxd'unajitça. 'côté;, à l'Angleterre de n$
pas_,é.œuter cèux qui veùlent qu'elle s'i-î
sole' et tourne-^^qs, jiux nations qui lu£
offrent amitié' ét'avantages réciproques -oa
tre de.côtê Jeç.âéfiances etjles daines, et à ,yoir
dans ,1a grande natîon^abçaise Json, allié»
naturelle en politique -libérale .et sa sœur
en .destinées jndusMelles^jt commerciales^
- est-ce là^ demande, le Morning-ChronîcleJ
se iûbtitrerplùs Frâfiç&is qu'ADglais?Or, te!
ést'le- sé'ns' du dernier vote de la Chambra
de| l côïhin^B. u i ■
Dans la séance d'hier soir-à la Chambra'
des 'Communes, lord Jôhn Hufcseli a- pré-,
is'ô-fitô%on bill «dff•rôldrme dont; npufe ne pos-
SP.Hnns finnnrfi^ ftfi'iirta JJ iktfrrîi}rL'A' ,ï.«iu."
pAivtîaii^-
-S^f(
tës ^i'ié gsûvwnemeS'-t^e
ÈHAirfBRE DES COMMODES". ~Së'^ci du 1
\f S>iïtinn**f "VInrr»-in,în..
étraB
eman(ie au ^ïptre des a^lai
Jtés çl lé gsujernementi fecu qràltiues m.
t'>rmatïon»-relatives ïu prétendu trait, U Ç
%arsi
aires
entî'o-'l'Au-
•jJL<
lïîohei et la Russie.
Lard John Russell répond, négativement. Le sou-
vernement n^ÀuHuneii'aisôBi de penser qu 'il ait
ïé,té9v -•
•-- Russell' déclare'que' le rûlfllstre an-
r_ i.~ n Ti J , - 4 « ■ *
.d'un,
j)ontg$
ra,enc.o;
.l'impôt.'.lî
les
isjii
aïmiici^L,
^Mflesâojisçun^iubciMonne ftu'paiement da
" ^oc^eps, jitaUijtigiie^ .qu'il
ilf'de yqia„poùf
- 1 v;;&ais
quoiiét 'Comment il wérit^ l'e.'répr.àplfé d'^-
itre un< orçane'fôaoçais^en»Ângleterre^Gqtt8
.expli^atioua d'-auùnt plUs'd'à-'prûpès qU'éll-i
est baséfe êiir lé vbte de Ta Cbambre
I avenir comme base "du dfijft-au'vite pote lés
bCHUgB. 'lUijSJi .-•( ' F
u - Les>IU^ou bbûrgsj d'ûnç population dei
«
FEOlLlifûîi "DÏl CONSTlfÙTIO^à. '3 JIARà
.VV^.-Aî
'î'ïttl ;
1) ^ l
XL
^dts^fiàùipr qu'il n ; avai tjiîùs is'sez; dé '.liberté,,
" d'espriipb' _ --- —-i--
' hôtes qui"! ,,, (
nè^ il" avait besqiu.de .«olitude.,H .fésolut de^
, quittçï, du moins pour .un tempr^IâJâmïlle
Tf%oer,' et d'entrfcpréndre, immediatçmentj
l^e voyage,aux grauefs" lacs'et ~àïix JmtHeur
sès"for'èîs"d>j'. NorcL qu'itavart voulu ret'arf,
der"ju^qù'à'Taùlbtiiile. Il, dèvait bien, d'aiU
leurs, une ; yÎ3iI e ,à l>ir.i )\ç son pè'r'éj.doutai
he s'était pas encure ôccùpé .'depuis £on ar-
,._livée en Suèd^; \ ' - ^ !
sa ,
i-é levait de tablé ""npfés Je -d'éjeùneKi-Sans
_ ' ~éut Une distractionjp'^s/f'orte,,encore, que
'4' li îbitu dé. " car elle i|as?a )tom\)çr a teire,
' «iuiïèu de'lêdè'pVser >urlaijLDle,'lè verre
qu'elle venait de porter S sesIévrèsV"' ! j y
— Comment t vous partez déjà ? dit T%-
gner, en posant sa main sur le bras du jeune ;
•homtnê.*'*^^
.-r»,Oui,•^épo.Q.dit eglyi ci; mais je revien-?
drâi, ajobtâ-t'-il en regardant'Canne.
Cariné avait repris le masque qui] n.e
laissait rien transparaître de ses'émotion^
— Et quand partez-vous? demauda-Té
^ er -
r?Rî: ... .
—Demain. .. ; , ;
ijr-'Mid.éto est.bre.lt lt a ^— . a j
—r Je .ne, puis pas attendre ! 0 • lU
r-JEt Vous..aîjlfiz? , ,
— Dans, la NPFdv..
— Par^uQlie rojjtç ?, ,^ Vi tl(; ,
jT-îPaïllq.canaJ ^efiejthie.. >.>•'. i» | ?>,>
,.rrJmpQssible■!. toutes, t .les.,-places ,tbnt
^pri^CSil^ ^ ;^'.qW.t,-s,»U''.g, , O— ■ .1')
,^-=r-La.mienne.est TCtsnyé,,,
— Vous êtes homme de précaution.
. — Il le faut ibien(en;voyage I. j
-jtô CApiJaioe est,4g jtgpç pnii§j'aurai
.du moins, le plaisir-dfl^,»vousjfecommau'jer«..
. si; to\it?lQig XPUS voulez bieji.œft ^ ptruiet-^
:tr.e,j J$&Yce, brnsqup départ rue ^opiie à,
.P^B? eî *',«»... ÏU 'u i-.it . ''i ,-%>/. :— . ."
aj.T Né V.feBsgz. rieni-répondit.^iarmâen lui.
"prenant lés deux mains j ixf^'Siî'ecbmmau-
dtsz^pioi le,plp>ppssible. ( , 0
i^^^te duioue. se.patSaida^ia^le^ préoc-
i/3up.afi0iisjiervttusés I^J0'! C1S dé-
fagcéabies .qui acçpfr.pagn'ent lÛ^urs un
d^pjirL.Tc.gi^erj sa le ru ine ; e' : de.tu n; n t, x
du reste^-ji'upe boptè■ parlaiui.piur»leur,
hô;te. ..Ils s'bçcuLîèieuf.d^ i"! c ijuqri^cj'iin..
'enfant eA : c'obft^e ; jct',uïL -0$ l^uwrabr^
•dg,provisions, cpmme s'il, ait-défaire une
expédition ,/iftsix ijnois, jd.au§.le»places di
jïôjg,. Marius v était çuuti^p e't tôiiqhé-dé"' tou
tes ces atten'i'aiij Vj'^neaies! ; }1 'i^'ajait ja-',
mais vu taut dç^op'é in'njtè à iine cpnihlité"
plus" simple et if!yg^aiieùè..,L ; -o — i -,,,j
Catioe resta enfermé^niiez ell^.et, neipa-
rut point de la journée..^urius pai.pt sans- ;
> revoir. • V"; ' - .a
X».
.Lés
dû Nord
th'.e
le.ttbé, ie.la,cUi-re ,ipais.Q" de.sesihôtes,
çgmpagfjé jd.ei;Kaîj-Jû9a J^rasJi,, qhi
était venu passer ,ayo.q lui. lajdor.^iére, soi
rée.. ii ••;;;, hI-uoi !
Debout.s^r;rle.seuil,jgrwp ^om^e-nae
•sibylle quiiprojgjplgueilesiarrêU, xjipj^f-tih,
^Brigitte gçe&uer daigna lui^uUflittyi^ftii( à-
reux voyage,^! g Ml^jÇP.frtUi. iç^d^nt |a
..main^ui^jtiiie ga ; v.âtx l^pjitts-dq.ucp, - ma|is
-«U regardantJBrafJ^ «Ne nou?oubUçg pai,
. MAÇfeÙiUF^et .reAffinqz M§n vite ! e.,.. „/
,;MiWiWS:,;S?LUS.4q\ja.e-po,yr^.piiiue/,.^ j.u
l'ami toujours p^et^.sleçioi'gueW ir
. dii-la ta%inçli'e-préléj:encfi ) jbaisa.gètj.e; joie
î^ijio,ja\ec twté.)a gfâçp d.'tip. j gepii|JiO! >-
me,élevé, il ^ijpbur.^.J-ei.V^XV, ë/i 1 s'J- ■
,lançbud'un pa¥.r^pyfe-l:!5l #W_le,de T^gn r, .
qui marchait.] vivement dans la directitia-
du port. j-'t-.'i|i< -'■>/ .t -5 • ^
Md^,arrivé-àl^gl^,de.l^rue, et au m>- .
"ment oj^âLallaUîperdre.d^iWiaile chalet, il ,
s'dernière fois'lés liéUx , éà I la'"Vie avait pjfjs J
tout-à-coup pour lui_i^çe;iûfez^ité^i pip- .
fonde*" 'JL1 0 rçgardi ^ông-t^iiip's .le JU>it ^ui
.^butàit'.pajjne n ,,.Pù }s ? cfimmes'U fej^youfu
jarpçs et AVrflessoij^ qai .envoient" maintenantu,Tuv
,me^rps^ùp^emenVn«B enverront plus qu'ua
à-râvemr.Ùette rèducfibn permettra aé ëislîosef
en touttie vingt-cinq sièèes 'qui 'Seroat rénartis '
^fal ?i? 0 4 é ^i é r; K énsltfgtonét Ohelsêa serJbt
'^gés «u.dlgtrietfcéleetorauit, «et»-auront .ie! 'iftoit
i^éûie/daux^memhresv Haleybridge, Bimatey ^
Bnkanhêa4 «Bv^rrqnt, .ohacua, un. membre,- Lf-
tverfipot^rmingiajp, Manc^ster et Lceds.»cha- ■
Xprès ,| tine i 'courte-' di«cùsSiQn. •j*»»»—*•-
ipréseiite» lô li bill est'accbr-"" *
f^Des'ttJills analogu^âJSoii
de et l'Eoosse.
-î'autoBisât^n da
^âsButésLp&urd'Jrlan»
èt sur ses'yeu^ ? § t où tXri 1 "u n ,s o~u p i f j ( q p jÇ g oii -
fhit^a fiourinà,, et,.prlpanl ^é ^sjgymnas-
m Wfj i)gult,^4 CQÇMM^MS i, .y. , : f1
Tous trois atteignirent Cieatot,le;Xi(iai qu . a
.frta^içiiijfut l«s petits paijuebpt^çh^gés de
.'Jaïiâyi^a.Violi^du.dan^l d'-'potUie'. Le'capitdi- ■■
ijff, dt 4 ,buuV^ur,son,I>an&.,de q"i&r,t f] ^'|Vdli- j
( lait ^iepr^bajgjitm^t ,'desi jçaar^an^es et "!
' BBgfit-ie negofijnl, .il ditceadif. et.yinlrecie- _v,
ybirjë jpune'Fj%^£ua.Me pPtgpeÇy|ui r|u-Jj
qtt.mmaûdi'chdud^mfint, L'à. capitaine ac- „
• cû^yTitjj l^rtjste avec ,une .'gr|,cf ^pyrtdi- \ t
At J ^àa'ï. .im^exct ! - . r ,
lectfjçaBme, assez prps de sa chaâibrc. ^
m r A i L îf ^ ^
son nôte, Karl-.Toan se J souvint quiPétait
;PiSf.a. _
idit, Pierre y et,api'è3(fe
•,çk peîitft
vie _ _
,voyage, ipondçpnésijcbmmfî, 1^1"^ ime' ihti-
^U^^j.jjJpipciies 'Êtepiies^
p.1Kil;aiia Ui^. paq^t^e ( éor r ,
dag^s ë. l'ata.ji^t|ijJjji3idis qp'^rd^ps gg
makQiftts, eujjçh^l^utf.misaient
Jaui^. 4gffiS, ih?e:0yt.$ Î^passer sqb'
esprit» ie§iéyépeuien§,sijraï^;.qû^^8puis, ;iQufèli^.pench^^^,vieû^Min , 'ânemanït
.ur^môi-v»étpi^tpM?.;.ainsi.,dire, jpreâs^sj f eirvAmQU,. . " '
et accumulés dans sa vie.-, -, " ' - ?'
UC« U
f
accun?ui^s daus sa vie^
iP. .i , ■ - ?l..i, j,- •' 3
Jt)
•,v
.sa'îio'-.'iw.r.-
iWISï
^?§(ÂaSÎ4ii^Q^/ô^§» < ll^W^e .^re, âe
ce^sy.cauaj Calédoujeu^U^n^ A'P/bab ^ In-,
M mir
du^pi; pt3t»Sj^ U r ,Ui, .jj'sscuiÉ&ojns ."NEPTUNE,
"s
:Pk>.yé r (è,!à .piçijpe,^a®Ft-{,esj&è|ategJe Vio-
..cAi^aiiWViri'f l)S lor^ts.^.^iP^S;aû^plen-
lûN^ISK» Ù '1 a -'j t.iijy ibb [ !
Cett là.,upe gi'dtjde.œuvçe^.sa^s d,oUt^
mais^ôç rp^'afiimre.m^rq^andon^a'rqui
■MISPU£« iMiuaUftQ^e^ej^hen-
^urg.pt^^ot^Im^ljjiigçaen^^ tyayai\
dès lacs ; U,' âu contaure," crèusantYe'nouÈ
leur 'Si^iérBè '.bbéïisljue' d^ërdu^e^Hans
u-ll'^w - ^P^î 8 mv a! tour
Pssmsmaisx4S^s
„4V4it ntotyfiepetfij Verè U son-,' l'aida eûtrâit à«Ki
âant, .vers trois ^euïe^ , unà binde| dK'Èeur'd^nà'ies'eifux dti Wfin^r'^.r.
, salm.qui.blanchit £ l houzOD'annonça que
le jour alf# bientôt \ëbir,. ' '
t A 1 XlZ à5.^K,i>ci ili . -fM
,, lA!,ïïbclie^sbjipà,gôn .dérnlef âprièl: on 1 ' _
^.-X«^s,"sSef»iîssaâ:.
g e , a 'ësptè .qui se resbivait bientôt eriléeer<
^é% leS t#s, ' Sommes
luettes
^e^aitçia .poBl^on-
. «iw( de Kittffekulb'e,,, qdè^'l'on^ »wht.i
W à/l'heOTe deà tem®
S ê - f5''^% ^erdit'ÏQuleVée^dës pi'ofoQdeurs
du lac iWépcfjj ci qtjô d'il?» on'
^ 0U P ^PPée Ùunê
taT|àTfép^du fl lëSpliJ^riSef'Wsoit- hs"
taulle cfekrtarè-lajpelouse -dfes'-cettàftêi. ç|
& S-*- ~* v '~
.U~.r-a.oni tatit «jscs'a E
. .1,. ,. , - l-, i. su,, L . .
-- 'BOîWawS'M WMSHWW
Httr$ÈÂW'% «al
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TROIS MOIS.HÎ^rïS
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*.'i .-j. / ' fi •« ' Ori*O^Y*»fî S * ^.'*-*>1 'lU^iî» 'Sv.C .
wc« ou» nn fcniKsns,'T0li:l6 tableu <
pobiifr Ie*teiti20dB-4h«4roj&ajfl« • m
B
S AMEDI 5 MARS 1860,
, %'• «odelépp.i#)^feitnnvpîd'ui^ôhàeposùoujr& tOtt; 11'' ' • • ;•
. . furParis.àrordre da iijoMMrsmTiu* du journal,-rua^a^alois, n* iOi 4 .{ ...i ;
c^Lb M, •. .I«). - | ttir'.. li > 11 II »*»? >t(U I 'iiiw"'ll» -I..SI m • 1. '-.-I i.i ; ti.jlljil'.l f i'. • • -Vil- »
jbttei pOMTIQIJEs; OTTERAIRE
Ï>.4BÏS , 31 MhS
- * ;■*■•• / •< ■ * -•• j ■ • * *- • - * > t" *•:.
ifprVW**-'«"-•il «a I>;i tl '_I t,'
, ./Quajnf. 6a £?àraiup l'orgap^aiiorç de;la
est faite aux mafriatrata ipai laiiiM^eité diji
traitement gu'U$Xè,ÇoiV£?çi ' ^'éstbb' râjpp'Drjt.
ni avec la considération gui s'atta chaà leurj= •
lohctiops, ,iUj âvè'é;!r^ i teiiflù^ ! J^s, éerfajH
cette situation, et il a déjà- porté remède;, *
en élèvant, dabs, uné/èértàiule "mesure lefe"
traitemens inférieures*' • -j ■ .
i Ces améliorations devaient SP compléter
par une mesure plus-général^ 'qui est apr ;
pelée à modifier, dans son ençflmblé, notrja.
organisation judicïairé'.Déjà depuis plusieurs
années un projeté loi [élaWé pày'lègou-
-vèrnement devait être sortais tux îdélibéra-
tlonsçlu Corpi : W©5laiifc; Jiftv'a^Bow (oti-
jet 4'augtnenter a^z leyrgement les traite- *
mens.daJa magisiraturâ, Ijivèr^ésiconsidé-
ratiornstn oit, fl'an^ée'ienaujaée, détermi
né l'aj ournemenfe ;. peùtiéirië 'a-'t-oa troÙT{é
quelque, difficulté jà. gr/ervçfi 1, le; budget dje"
.là justice d'una .nonvellia dépense,, sans
la ooinp'enser par Une.éconoïpd^',^i^eû fjfès
égalé; On inVoquàit contré lé projet )g& né
cessités du budget, et/poiir cpjô la mésur,e
âe\îat pratiaabie y. il iallaitrtrouïfii 1
moyens d'atteindre lëjbut.prop,osé sans |ie-
mandenau trésor de ti*op îourdssacriflçesJ»
Un projÈt de loi,quj, si nous sommes bîeu
informés^ doit être présenté au Corps Lé-
gislatif:dès jle déb.ut.dQ,cette, session, a pour
objet et
projet' d'augmentation du traitement "des
'magistrats pris .igdïéme'nt ayaitrencontrées.
Ce projet de-loi-ebe cilié, en effet; tous les
intérêts; il respecte; tous les droits âcgyis,
et, sans imposer au trésor des chargés-
n^yyèlles, il,iaS|ùré, ^ la.miagistrature uqe
rémunération plus convenable. IL atteint <|e
- double'bujtVn ûpéwtiung ^Muûtion datjs
• le-iiombre des magistrats. Maisj hâtous-noi|s
de le dite, " dette " r édiietio n ne devra ^'èflep-
tuer que par suite deg vacàhcës^ • et le'gou-
: ye| , njémç^/pj?.uï rentré la^âns}tien.'m6ins
Àtrusque, se réservera'même la faculté,cie
faire ; ùnp pQmîp^oaj ,Kûc, ,'dèux .'.yaeanct à
jus^'àwqueleTQOmbrej'dés magistrats sJitJ
, rédu1jt, : àû ^îitiXre,;(îié- ô *• mi i ^ • j
Dansl'orglaiiiSation qnii'd^îtTésultep de c^s
.lûesures nouilles ^'-ie tr^îtemenl dès coa-
seillers-des cours impériales' sera fixé, au'
^minimum;,.% h ]£, Sûôime^e"é',000'ir.,et |e
>' tràitémept-des.'jTiges- ^çnt' le tfifrijin^m t
". 1 ^}ijourd'buî 1 (feiï,ëb(ikir.ïiVWa part^.. iiu m]i-
m'm'um de.- 2,400 lip.- U» a|Utï^*^vaQj.îig^ , eist'
' ,'^UQob; -assuré' ^aux»magistrats:«U première
^éjca i 4iniinùipôvir.là i plui>àïi t Rentré ellgsj
dans des'^roiportiODS diverses, depuis deux
, usqu'à neùf.* Plùsieûr» co^rs restent sali?
modification. '
..j tek tribunaux de première instance, qiiiv
sopt en bipn plus grand nombrô,- doivenjL ;
aussi .subir des môdifications.pLùs.. Jcpnsiàéj- ;
,racles..Àingi,.dans .trente-sept,d'entre ;eux j
il/y-.aurâ suppression d'unejchâmbrp. JÛans -
lesîaùtresyU -y ayra .seulement une dimi}- :
nation .dans le nombre des juges^qui paraît î
àctupllement' excéder, .quélqàefpismêmède
beancoiip> lestësoihs'du service;'
Mais le 1 Mïélb niotif qui" fait g
des juges là où leur nombre est trop élev
èige iqu^ goft : àqgiiiéntè d^n? le^tribti^ii:
ou un surcroît >dans les affaires tend & s\
maqifé^.^st en feffe.t-ce qùi.dôyra avoir
lieu. Toutefois ces .augmentations^ on le
cçinpreîid ftLpile^epty'^sonti.pBu, norûbrei^-^
ses et peuvent paraître insignifiantes, ep
,Jré$e'ni!e ,de l'a grande ïndsure de là réduc
tion propbséè. • ■ • j
NoUs n'avons pas l'intention ^XÀtuin^r
ici, soit au «point de 'vue économique, soit-
M pôint^ d^ yuéi judiciaire, Jâ portée des 8
modifications -dont nous parlons. Ellesw
fioç.t pasians pré^éHensj étidéjâ, àiunè épà-"
iqtfe antérieure^ il â éfé^é'ctessàiré^eiiia-;
«Jifier .4'^ certains, iièges le .no'mbice dâs"
,'iïors; U^égijtë'nt: fd| J.Ï'êlT^» j
j^iirefontv^BÀUiTraaêniv et s'il, fïnî^t|iit
ïtr d'.unVtraUement supérieur auij permis 1 de'^fah^ réfeottit.;^ niô&f d&çojn-
deta^ §tè ,pJjjJêjr. J. ° 1 ûance'.de piu&^.j'ïrais.le prendre dans' lè c;a-
;ii; J€
'ine â-ifqu|èm,e:(;ïà?!5è,! e|t sét^appelé
!; i aiûsi'àiOUU' •*— : --" i x -— --
Ji nùnibiiiïnfid ^
. .-.:--Cetté aBgme^tàUan. d'à tifaiteménttfavja*
rise, .pCijûdiB ènjle^fti^^o^.^ grades';
^Ti'Bfellie^jîïS.- deia magi»t"raîure( Nous-venons-f
djB 1 ^Irè JtjU'éHè "au^apput ,com'pegsàli^n
. ia% râd.ùciion du nbaibre des'ifôactionnai'
, .re^. ^js- ^ll'e^y, ^stjù^t.^fjb^ridbiibê "
Les;j magistrats / Actuels-en' jouiront pr^s'
,. î1. . •. t ,?r t». «• >vi . 4 D'iv#-'v^iL. J
delà
es
^llèé'Jpit^t^^VidéTO .^croître
môitiéVda l'augmentation- totale: -
Xjuà'nt • S1 « 'ri tjUÇttîin (iaÀ S'.îe, jb pmbre, c
magistrats^elle aura lieu sans que- le itoib
;bre des,ç(iur^V'dès -fribunaur ^oit mb< i-
ifiék 'Le grand' tadre -•de-notre tygauisati »i
judîbiairé rèétéï.a d^Q.iflïasi.. litais, cinq de
noS"Cou?s impériales subiront la réduction 1
/«Vko'iVi^wû.» lâ nnmVifû /)AC fAcimctr>Qi0
,rpnt |Oumises,.est çellfs ,qui t ,ér4ë^|tf 4 %e
moment ïe monde commercial et que «ôu-
lfvë le {traité, de commerce conclu aype j
vî i » nu ■ j ji yAngtetewe, Elle^-rAvivé tomteales discu»* *
Êîoûs,thépriqué$ en^re .l^
sioja :d'en examiner' les, pttùdèès |yfecîatt^i-*
tion? • ( | . r
; _ iHe'Ubrerè'chapge p'eut, ! jline
considéré comme .le but auquel les sociétés
1 doivent feUdre ;.gkjt)g la pTQiecJioli'dP^têtre
le moyen d'y ;l»ar?enir. Supposez-l» Hbre-
échapgl ^établi i dans un çaySihç^fSlp^-
- • .1 /a
> ï . -»J i l "
,,, (es jprtîcles déèosé» ne sontpâK rendus. :
IMMim
UNIVERSEL.
. - <•. .1 ' . ■ • ? .. * , ' -■
.iU^r
9
TROIS
ï£t,
ontut.I'
13riu
1
IIM NUMÉRO 20 CENTW]
'• datent du
!P-v • : - 1 d» 'ishi^moiMi
Ces imoscu sont reçues"che* .M., I^iies; rêveur"'des 6 grands jo
rue Notre-OÊK - -ues-Victoirps, n..40> (place de la Bourse.)
<»<"■ >■> - ■■ 1 , r r 1 ,i4 ' * ,r y. 't .K» 1
On ne saurait méconnaître, qu'à 1 mesu
qu'une plus longue habitude de nos Godes
tend à rendre la jurisprudence plus upifor-
me et à dégager les procédures de ces nom--
breux itocidensqui.les étêrnisa|eift autrefois,
les procès deviennent sinon beaucoup moiris
nombreux, du moins .plus faciles à tertùii - ,
ner. Il fallait donc qu'un jour-cette réfor-' 1
me .opérée dans nos mpe)irs,pÀr la clarté'
.tribunaux; il'étôijt d^ns.la nature dès cho
ses que le personnel-jde la magistrature
fût diminué j.pûais il fallut én jnômp temps
qu'elle n'en éprouvât «ucun dommage et
^qu'aùrÇQntfaire sa positi^ni .eû fût accrup."
'C'est cetdouble but que le législateur ve^it
'àjttpiÙdréVsans b|és'sçr.^ucuft, drnit.àcqiiis,
sans froisser aucun intérêt légitime.- ,J ; *
-, i, ÉSUl4 CHÉDIEjU. i ' l
" nfecO^?,. DE.Vfc tp, .cftMiF ■ 'stè j mwy *
i'-. PRÉSIDENT'BB É6RP9 •-CÉOISÏA.ÎI#.' ''
i '/fJ' "1 -.Vjuïïi'f li'J ,si-"3 .i-Si&l- i -iî.'i.'
(Séance du 2 mars J) ' '■ -
' - r 'U „ j. ".b+> . s i
■ * / Messieurs; 3 , t ,
, -, t'es parÀIès çte l'EmpérêuR ont dû .'rassji- 1
rer vos esprits-sur le sujet qui vpu& intiô-?
resse le plu» >âhs>4iwjte iJclPm arl-^
Le plqs- grand éiéttieiat de, prospérité aiu=
jourdîHui/.eelui'd&nt ne. pcùtv.sfi;passer un
^pàys a.pnt'lfrtrdvâil fit q'e- cp^ty'èfafPse. djéî
velappent' par ; J,e^ créâit y ' c'est'la 'oonfiantieu
■Espéronsj -gû t e , ( ;ré's; inteatiotis sitfcèrçs' jlé;
l'Émperiury âppricièeii au^-dedans et^au de«
^ ractè^e.^ÇKi é cbfe.^él'^ç^eïè pr; ^së^isdi^,
..ea rappelait ,un,ipassage, ae.son discoijrs
;;d'bifer/que .^o^is^v^z Ti^^â.erit, ç^rpjiaiiilt
que, né 'Cesâant jàmais d'aWr/dévant les
^yëvii.lçs vraî^ in^Js dq ^i%nce,.j,l pe
tsubitauciin jentraîneinent,iieïque,Jês^t|aU;
a«
(Marqua d>pprftM 8 n.). ,
iVatre session si ouvra^ /aétte- fois, sous
.^7 fa'P
Tannée-dernière, à. jfaira appel À l'ëxal
.tiqU dé vçtr^^iotis^i^ .çt^ .pop^yqi^
"mander de soutenir Ta politique impériale,-
je .^'adressé ^otrejùgéhïent,- à votre froi
de, raison. / .. . . |
Ltl *^tiiéstî6n première : (jùi ajrgaraît, ët <^ûf
d'tni'e cha'mbre ; le nombre des magistrats J_ donnera lieu à (5es mesures qui vous se
vré. Que produira ce .pays?, Je ne nie pas
qu'il ne pû^.s'y développer-quelques «i,
privilégiée,,mais la concurrence étrangère
étoufferait -dans leiirs. èérmes toutes cel
les iqui exigent, pour - prospérer,jdês ca
pitaux ; "des-.ouvriqrs', ^abilé3 i des, con
tre-maîtres ■ expérimentés » dés transports
faciles et à bon .màrChé ^'enan tolités tes.
conditions que leftemps ïèul Veut,faire àc-
'cfuérin U4e transiftoile^t donc, ipâispén^a-
ble; ' êrprècliler le libre-échange qà/un
ges^c'est à peu près aussi équitable, qné de
Itofeosej; à.uii () fle lutter Contre 'un
Êommé fait.-(Approbation.). ; j ui> ,
on qu'un go\ivernêmént ^oiyô'prptêget ton
inamtjié.dansi'inlàrêt excluait ÉésMndus-
triels et conseryer d t fes jmqnojjolep aux dé-j
pens de là,consommation.îdu paysî Loin de!
Î&. : le gouverneînçjit a, lûêmie uû .^éVoirj
tout>contraire à remplir ; car le seul inoyenj
de dévelo^péj[ ,1a fprtune .-publique ,pt d'a-1
méliorer le bien-être de tous> c'est. d'arri4
ver h réduire fautant que., possible'Je priij
des Objets de consommation générale. Le
salaire.des ôuviiçrs, élèyé en àpparencei
ïi'est pour eux qu'un avantage relatif; il ne
leur profite réellement iqûe ; s*il«f ne sonj
pas forcés de se procurer à j des^rix 1 e: (
quelque sorte correspondàiis,. leS'^bjets'ac^
cessoires.à leur existence. (Nouvelles mar-j
ques,d'idbésiô.n.> . J
po, ^îr, a.ttç&dre/çe té^tt,at; ^l;est'sal\!itair(
- queil'indûstrie soit, à l'intérieur, sufflsam'
'j^^pt^tirptiljéjë.p^rjt^/^onp^çêf^p^.ëtr^rig^re
et que les- droits protecteurs soient- rfgléi >
ài i.
fraii
'principesv Néanmoins^ cette -théorie
de revient? de 7 'tout* objetifabriqué se -com ■
pose''tbifj6ùVs J 'des nî'èineè 1 élé àjéfes Ipïi^ci ■
paux : le prix- des matières premières, lep
fr%is;de fab'riçàtîàn ^t c'euj; ,
No^ ouvriers -sont aussi habiles que le}
^nftrSu'éli'apiWgVi ^9Bi ,poiisj?ï^ iiotr )
infériorité, 'c'est ,1e prix élevé des matière i
premières, 'çt 'dé^ ip.Qj'eïis âQ .trâ^ptt E i
restant 'dftQS uné'juste'": mesur&des princ
pq : s protefiPeurg,,; ; r;V : . lK ^
Je.tr^ygiji^j; da,qs;fa; JgJtTft,^ l'Èqapi-
ureurA son^ ministra/d'EtàL un^^siage »qu i
'fe r'è'ihets Soûs 1 vofe''yeu!5 , dv%"fc|tftinhèijir; 13
voici : , . j. Z :r,-;' , h Jj
, k ' ^Ii;fa\it^méjfçifer û^tt-e ijgri^ft^ 1 1
^ranchiB JQâiTeiâpjiuÊtriQj' de' .toutes' 1( s
,l,e?Ara^ t '4Wèûrés ^i r ;là l>lac^ttiai
• » «es conditions.d'infériorité. * ,i.
» «ont gênées -par uneioule ide.règlemcis
^Effectivement^. Mesiieùrs^l j éspiit:de n(js
paiement proposé pour but de prévenir les
>bù?; ( , %rçcf jde, ^piïrêutvjfel'âb^is,
èslarrisé à.gMer d'usagée (CÊSt"vrai:ï nc'e t
! ,yra^^ C ést;l à'|a ; féfpipïé; la .plùs imppitani e
' à obtenir. Il n'y a de. vraie^pTOsp^ritéiqu'i .-
vec uU^epitièré 'libért'é _ 'pivil'e^èt ^notr e
pays n'a jamais "su se sérvir avec' môdéra-
tion de la,liberté yolitiijue, c'est qu'il n'aj-
vaitpas coinmeficépar jouir desbieiifaitsde
la preD&ière. , ; jaJ , u - , f • ; ; .
.irisons dés yœu^ ii^si pour que Jçs» ,ir^- {
TP9|iùJations;^ f
Lafecberche consciencieuse d'une eoli^-.
tion 'puremeut'.^poiyîqûe, devait-elle exciter
des plainfe8 aussi amères? Les membres du';
clergé, qu'un/zèle ekcess)ia r entrAîhés,'
l'Eaipereur ç't peut-être ausèilés, lésons dù
passé.; '( -^ombreuses marques , d'assenti,
ment.) iiorisqûéié.p.eupl^ja'a.deva^tû qiie
r<
-douge civilisation yucœurprêchànt l'amôUr
idu prochain 1%'pard'ôn des injurési'létd^ta- ',
; chemént âes biensteh*eâtres,;'albrs .là foi ^e
fortifie; mais'lorsqueile pfêtre sbrilis soin
cârà,ctèrej, ëpaprunte ^es arides, inçnd^ines
et empiète iiir le^niér'iêfe^ciyiis -.et jpo'iiti-
qUes^oUdajnla |usceptibiîité galliëapeï'é-
véiilè.et l'esprit reHgièûx.perd/touiclà <^e
consulter de nouveau - ollemént là vo
lonté nationale. Le -gouv^iuement vfeut, du" 5
rester ^a Hierté et la âiicérité des votés, ' . i 1
, . . j. •Bcrliû,'l« I ,maïfi,. . j
j Le, bilan âe la Banque autrichienne pour le
mois de février comprend s ~ , . r.
Encaissej^Ç millions 1/3; effets publics, 23.
millions .2/3; -portefeuille, .33, millions; ayants,
(Lombard.), '52 millions 2/3. , , " / ' , " t 1 t
... , • . n Munichi \«ijnjurs, , ^ J a
ha. Gazette, de Mumah jdit eavojr ^e t>oqiie.
. source t[Uâ l'Empereur Napoléon, ne consent
pas à ranneiXijon. 1 de: la Romaine à., ,1a Sardal-i
«96;= qu'il veut reconnaître l'intégrité., de l'E-
lat pontiftcalet, .modifier considérablement la
politique qu'il a suivie jusqu'ici.
' ' -SaihtrPétersbonrgHeudi*i or 'iaaïs. 1 •
'iLe Jotirnai de Saint Tètmbaurg dément'«f^-
èlellenient'lattouvelle'àonnéepar,le îlotninq-
Chronicle d'unp alliance entre' la Rii^sle "et l'Au
triche. i: .- 1 •* ' - 1
- , ^Florçïiriej 1 er ma'rs.- 1 ,
1 On, viëût-de pifblierUh décret convoquant t
ie peuple toscan -eU'qomicea pour les '14 'et i2.
mars» afin de -vdter par là" voie du suffrage
(universel et J àCt scrutin -'décret Sur lès deux
•propositions suivantes : ,union avec iajmonaf-
chie. constitutionnelle du roi - Victor-Emma
nuel, ou constitution âe la Toscane en royau-;,.
me séparé.. Tous'.leS toscaqai-âgérde 21 ans èt,,
jouissanf de l^xërclcè de leurs aroits civils^i
sont admis à voter, v tui, ' J
,?,mar|^| "
Unissons nosjiejmrls*! Messiaurs/uafin
donner au travail: la ic^nfiance dont il a bie-
sqin^r^ |léyeio^per. ; ,; v | *"
Aidons l'Empereur dans ses. voies hué;
ràlès, seèôndbns ses projets; votons avise
empressement les lois qui se rattachent, &
.toutës à$8. quég^ons édonoïniqùes, et enr, ;
trons résolument avec lui dans une fye
, nDuvpUe de ; pàïx, ,d^,progrès et'd'e liberté^
.('Àcdèmations .prolongées.')
. tÈLËGRAPHIE PRIVEE
/ , 11 .i j. > , . ,4 1), D
j» . • Londres,''le 2 mars.
Le-Knies dit gue ile : discours dfe i'Emperelur
projette de grandes ombres sur les événeméns,
;qul VOijit yénir. : « A V'• I
Empereur, ajoute,le sifie. mfr
fraude,wison^tfi^iavalt.Je/drbit^Jtxsr les
* limites dQ Ba.igarantie' contre: l'interventipç,
étrangète-en ltaliei'Mais il:reste
de savoir ce que fera l'Italie centrale viS-à-Vis
_.dii trôtie^alsatt pnToscanfe.' , ; 1 ?- i -, S' : 1
jAiFf^jacejsémbJjB' avo)r ^ tiir^ejA^savoie,
mais-ces.Utres* dépeMânt des guerres,et,de' la
ïévfllntion. JLtyia une «ertaine «onve&ance na^v
■ 'ttrriBUedaB9»nafrontiàrf, çiitanueparcette voie;,',
mais dçs conve çi a ncea sa mblablesse* pr éseûtaivt
arriverait aiîtfi ^^UEer' d^s'.p'qst^s' Avancés
inqulétaDSijGetsereitjun' travail cuueux,Àt fd-
cilevà la fqis àlfaire^^qae de calcHler^e inorn^
bre de mots qùflt faudrait>-fGlîaîîgerî'da-&3 » I51
discours pou¥,ai>pii^aet;auï ■ bord8 :1 du 1 - Rhin>
la àëçîafra'Ûôrf^fkt^'é à^lS. Sl'vàië.'" ' ïl ',' T
,ffe ,J ûluïmQ-
■ d,w4nx ge,pluajpaîiue HM^.le ïon, du..dispojirs
.impérlaLi ttiapprauvei «la u par ; t&cpmjwercsiale,
' 'mais'41 blânaaiieSipaseagaa relatifs !àtda«Sav6i«,
Le paquebot parti directement dé.Civita-
chîi'le ^«-ferive-^n retard'.^Les-attires qu|il.<
apporte confirment ce qu'on a dit^au sujeta
,d,'uUe Iëttre'dé rYlctor-Èomïaritiel'/ 'présentée»
par son ' aumônier 1 au 'Pape, ànnobçaût à Sa '
Saintèté'' h qû'il Wàlf tient- étrff dtfn'^ M'héfeœ- i
sité d'oècuper les Matcnd %t FOnilrfle, - dont'
les popntatiàxxs^è c^Ê^nt' de^d^oaàitidBr
leur annexions li^ape durait répondu 1 immé
diatement en exprimait s'a "surprise et Sa dou
leur et en menaçant de fràpper le roi d'ex
communication. ! '
Huit étudians de l'Université de Homb ont
été exptùsès; et la- destitutioù 'dû préla"t-rfic=
teur a amené un nouveau tumulte palpai li s
élèves. Le ffouverneiù'ent ■ s'occupe de'l'em--,
prunt.' r ■ ' i
Le Monitiw de Bbloytîe invite 1 instamment les
électeurs à.'perfeister dans leur Vote favorable
£ l'annexion au Piémont. ■ .
~ • >i', - ~ .»■ ,1 n i,
i, , „ .Madrid, l.\ r mars, 8-hi,10,m. soir. -!
. .jaisr,- aupuae 5 npuv^Up, d'Afrique.,: .l'armée*
doit> se mettre en marche, emmenant avec.elle
envison mulets..L'êscaàj:è. n'attend a,lue
,}a beau temp? pour, continuer ila^ bgh^barâe-
ment, des ©onls^açDçains. .Le , général, Bt(stii-
ilosja été çfelnouveau en conférence,ayee lç gé
néral O'Donnell.
•' V- V" ^ J - v ,ui i" - - .Vieiine,2jnjarg.. ,
La brait se. iFepanft quaX'jepipereur aurait,
- sanctionné Ja foemation .d'un conseil de,l'em^
pire composé d'un plus grand nombre jtftmem,-:
'.que celui-qui ,est en activité ep ce pcvpêrit.
n repsésetn^Uons ,çtes'dix ; hait.pjoviuçcs'
de -la mon^rchift!,(élirp&t- énviten quarante
îmemb^et^'erops^xif; désignera les,;
•etL.ie&iîgraAàs ifegi^res devant.jaiçi
.dececftpsejl.i -. hs'TslîL :( --itr, \}\ n ^ ■ ,,
( -CeoÇWe.eiJ-. sera'invoqué ^erjLÔd^uaœent 1
pour fixer le budget de l'Etat, pour, examiner
nâcè ïohtre ja ! ^rlix% ' Lé'"Piémont t pâïeijait
çherj eh .'ftonnant j'mojûtâgriés ,quUui ser
vent dè forteresses enéchange'^é^ifiMincs fer-
tilétt(La SUnciq»' .!■ ï- j , rt ,Ji * j
ut .be 'àlftrnitig
bènnes' çfffàtiéïïs aveé l'^'p'
., p'éirj^it. de, l'extçr^on . des ' ïron'fîeïcs' d'e I ïïj.
' „l " t r:; uUllU . L 1
. v j- .. ..t j M. 'iTuto; 2•rtiaJ , éi♦■ , f 1 ' " ul
' ' ^DfS"dSb^ih^à',dë'fi0^dè l . ( 'd ? àç3o'Uni^i'ûî an-
, P ftA^ntmvOlW«tW'a'ê^M^ ef-
jBeffltîHi q^.appelle je%.E9PUlMiiPBS dqSffïa ilië
aàtwrter# lesvll, etil^anaxsii parilftWilMgeiukiij,
- versefhetodiretit et a;»scrutin «eisre^ sundi suk >
- JpT OrJiOBitio iis -perrai'etStaUtamipopUlaîtionside vû>-
' jfé^^iféste\ui'pVé'd^.èle défeirJt'éù^'êStpfii[uë 11
lesffiptlf^r s^sjji'ççpiïM âqjxqêmt&c %
iVOcanQn.AU P4dôfAfeat < p3ju;,i:appfiep^c i-qu 'ou,
doit, à^'EoxpeiAiirdes français, -jtwwi-tsenlftm îû^
--pouilta guofTfti'qu'il «aasoutçnue, mais pour la
non-interventiou qu'jl a assurée: 1 - 'j : < il n.
,lie jhtfQiTeste-' Stt*' ég'âlièijî'ent^ue^ï^ur jpêt
éftïttbpn^iâcpiçjle l'jniiicg^Bfmé' ift#ctnér
IVs'rggtftÛMWOinS) '.et 'lfe?'prF^ctjupàtlotfs bùî.
ça&atant, Bwdani, le^.
blces ayant disparu, le momént est venu
aâ.ipJÎQÇliS
îiçe .partie'
A4
: •' - -,*» ( Vienney-iandiJSoir :
- "lu qacfavelle 'd'un 1 traité -entre ïla- -Russie i et
PMitrîthe ' e£t «ans fondement; mais>;on jat"-
Htme^que l'Antrtche^bien quesn'étant pas liée
par un tel traité, ne s'opposera plus- à-ia poli-,'
tique russe 'en'Turqule. • 1 - < ■ {Times) J
JiiiîjLii/tjjr.d >1C1 '
Un ou ueuï"^15ïflfiSaùx ue Londres sdiw
lemént 4ÔiitlëUnfM.fiës^Réflexions intérès^
santés.
Le Tj»w, Ai-prppos y dn,.débat qui a jeu,
lieu dans la Chambre des Lords, au sujet
■.df^migVJHiCTjf}eS( ( £poljej,;(Jë l'Indu d^us
ies^olnnijesifrançaises i coiïstaié, îles avilir,
f l! fageîs'de' ! e^ prfljet^ourneçi 'émigraiisf-eux-
ityvijou'rslrl^
.■Animent plu? heûrftux'Àla ; Màijtu}iàv^, du i
dan8«ôo i^ays.-;lWésulte des, e ffets. .sLbous jdii
d^efansi
.. .s de
l'htfÉàanmir Coùvieritassuitémentdeweri-
être des qqqJji^j J3CW»Ifl.pflsajionqu'p^,ièqr^
'ôffrëseaiperspeutive.daas les, colonies îràqrj
Çfflses'esC 'de, bé"àhcoûb-''p1us' avantage usa'
a'uij lep'iPps^on.'^ctuene ^éfHe^^riyerl
se.raàt aEir ■awfiô t ÊEuanté¥lèur égard. & '
i,
deS Qommunea^ èt qu'elle én'ést un -fex^
céllènt "commentaire àu" point dé vue de la
France". , ■ f; , V ' ,
'•« Si tfèist être Français, , dit le iôuriat
anglmsiiy , qqp <.,de, Êefuser. ,.de u«e - joindra
aux-^ifiilles voix discordantes qui,jeni
oréilleMes' susoëns de la défiance'et i de' laiaV
lousiey oui noUi gè l àimes F¥ahi?a^ car nous:
désiroïÈ vôîf Rétablit entré l'Aogle^erre, et
la Fjhlncé deXfentimçtis q'ài^utië. cpjaS^ajgitev
et 'de'§ .tappor.ts pacîûqii/js dè, rivalité fécbn-j
de. ïu'iiCela hgys sojgaj^^ Français comma
(lajChambrajies Communes. »
,dafls.l intérêt d^s dejix pays, une bonne,en-'
lente, des éxplicâ^ops amicales, au lieu de*>
polémiques irritantes, c'est-à-dire çe quet
veut laÇhainVe dies, Çcimniùne's .elle-même*
d'après son vote de.samédiidernier; en ce|
i>ibndes'deuxinâtmnsles^luséclàirées'di^lo4
"be'en vtie'du régletuentde toutë^ies ques-*
IM^P 1 W?egf
torme aux grands principe$.'.>màderriesi
N'estnce pasîparce-que ^lal -France :efet ave
/qiWiift Wàtçbre: dés, : C!ofafu|tun§s ^^onn^ % là
,France,-aa nomdelajiatîon anglaise ^ une^
aMoale^poignée de maiEj?,Dfre' à la Frkoc
^^^pïmaitrft'. l'^n~
gielerre, qui ne, 4ecaa»ae.. quà, être iou
amie et son alliée en OBanheifie et en poli-i
tifru^; lui t?cémmânder de ne pas con-'
sidéré^ 'Cômùie les interprètes fidèles des
sentiiuens de la nation anglaise les^our-:
naUx^, t}ui . cherchent ; fi raviver - de vièux
préjugé^ et des animosités déi'.âisonDaHes-
jdiyjSxd'unajitça. 'côté;, à l'Angleterre de n$
pas_,é.œuter cèux qui veùlent qu'elle s'i-î
sole' et tourne-^^qs, jiux nations qui lu£
offrent amitié' ét'avantages réciproques -oa
tre de.côtê Jeç.âéfiances etjles daines, et à ,yoir
dans ,1a grande natîon^abçaise Json, allié»
naturelle en politique -libérale .et sa sœur
en .destinées jndusMelles^jt commerciales^
- est-ce là^ demande, le Morning-ChronîcleJ
se iûbtitrerplùs Frâfiç&is qu'ADglais?Or, te!
ést'le- sé'ns' du dernier vote de la Chambra
de| l côïhin^B. u i ■
Dans la séance d'hier soir-à la Chambra'
des 'Communes, lord Jôhn Hufcseli a- pré-,
is'ô-fitô%on bill «dff•rôldrme dont; npufe ne pos-
SP.Hnns finnnrfi^ ftfi'iirta JJ iktfrrîi}rL'A' ,ï.«iu."
pAivtîaii^-
-S^f(
tës ^i'ié gsûvwnemeS'-t^e
ÈHAirfBRE DES COMMODES". ~Së'^ci du 1
\f S>iïtinn**f "VInrr»-in,în..
étraB
eman(ie au ^ïptre des a^lai
Jtés çl lé gsujernementi fecu qràltiues m.
t'>rmatïon»-relatives ïu prétendu trait, U Ç
%arsi
aires
entî'o-'l'Au-
•jJL<
lïîohei et la Russie.
Lard John Russell répond, négativement. Le sou-
vernement n^ÀuHuneii'aisôBi de penser qu 'il ait
ïé,té9
•-- Russell' déclare'que' le rûlfllstre an-
r_ i.~ n Ti J , - 4 « ■ *
.d'un,
j)ontg$
ra,enc.o;
.l'impôt.'.lî
les
isjii
aïmiici^L,
^Mflesâojis
" ^oc^eps, jitaUijtigiie^ .qu'il
ilf'de yqia„poùf
- 1 v;;&ais
quoiiét 'Comment il wérit^ l'e.'répr.àplfé d'^-
itre un< orçane'fôaoçais^en»Ângleterre^Gqtt8
.expli^atioua d'-auùnt plUs'd'à-'prûpès qU'éll-i
est baséfe êiir lé vbte de Ta Cbambre
I avenir comme base "du dfijft-au'vite pote lés
bCHUgB. 'lUijSJi .-•( ' F
u - Les>IU^ou bbûrgsj d'ûnç population dei
«
FEOlLlifûîi "DÏl CONSTlfÙTIO^à. '3 JIARà
.VV^.-Aî
'î'ïttl ;
1) ^ l
XL
^dts^fiàùipr qu'il n ; avai tjiîùs is'sez; dé '.liberté,,
" d'espriipb' _ --- —-i--
' hôtes qui"! ,,, (
nè^ il" avait besqiu.de .«olitude.,H .fésolut de^
, quittçï, du moins pour .un tempr^IâJâmïlle
Tf%oer,' et d'entrfcpréndre, immediatçmentj
l^e voyage,aux grauefs" lacs'et ~àïix JmtHeur
sès"for'èîs"d>j'. NorcL qu'itavart voulu ret'arf,
der"ju^qù'à'Taùlbtiiile. Il, dèvait bien, d'aiU
leurs, une ; yÎ3iI e ,à l>ir.i )\ç son pè'r'éj.doutai
he s'était pas encure ôccùpé .'depuis £on ar-
,._livée en Suèd^; \ ' - ^ !
sa ,
i-é levait de tablé ""npfés Je -d'éjeùneKi-Sans
_
'4' li îbitu dé. " car elle i|as?a )tom\)çr a teire,
' «iuiïèu de'lêdè'pVser >urlaijLDle,'lè verre
qu'elle venait de porter S sesIévrèsV"' ! j y
— Comment t vous partez déjà ? dit T%-
gner, en posant sa main sur le bras du jeune ;
•homtnê.*'*^^
.-r»,Oui,•^épo.Q.dit eglyi ci; mais je revien-?
drâi, ajobtâ-t'-il en regardant'Canne.
Cariné avait repris le masque qui] n.e
laissait rien transparaître de ses'émotion^
— Et quand partez-vous? demauda-Té
^ er -
r?Rî: ... .
—Demain. .. ; , ;
ijr-'Mid.éto est.bre.lt lt a ^— . a j
—r Je .ne, puis pas attendre ! 0 • lU
r-JEt Vous..aîjlfiz? , ,
— Dans, la NPFdv..
— Par^uQlie rojjtç ?, ,^ Vi tl(; ,
jT-îPaïllq.canaJ ^efiejthie.. >.>•'. i» | ?>,>
,.rrJmpQssible■!. toutes, t .les.,-places ,tbnt
^pri^CSil^ ^ ;^'.qW.t,-s,»U''.g, , O— ■ .1')
,^-=r-La.mienne.est TCtsnyé,,,
— Vous êtes homme de précaution.
. — Il le faut ibien(en;voyage I. j
-jtô CApiJaioe est,4g jtgpç pnii§j'aurai
.du moins, le plaisir-dfl^,»vousjfecommau'jer«..
. si; to\it?lQig XPUS voulez bieji.œft ^ ptruiet-^
:tr.e,j J$&Yce, brnsqup départ rue ^opiie à,
.P^B? eî *',«»... ÏU 'u i-.it . ''i ,-%>/. :— . ."
aj.T Né V.feBsgz. rieni-répondit.^iarmâen lui.
"prenant lés deux mains j ixf^'Siî'ecbmmau-
dtsz^pioi le,plp>ppssible. ( , 0
i^^^te duioue. se.patSaida^ia^le^ préoc-
i/3up.afi0iisjiervttusés I^J0'! C1S dé-
fagcéabies .qui acçpfr.pagn'ent lÛ^urs un
d^pjirL.Tc.gi^erj sa le ru ine ; e' : de.tu n; n t, x
du reste^-ji'upe boptè■ parlaiui.piur»leur,
hô;te. ..Ils s'bçcuLîèieuf.d^ i"! c ijuqri^cj'iin..
'enfant eA : c'obft^e ; jct',uïL -0$ l^uwrabr^
•dg,provisions, cpmme s'il, ait-défaire une
expédition ,/iftsix ijnois, jd.au§.le»places di
jïôjg,. Marius v était çuuti^p e't tôiiqhé-dé"' tou
tes ces atten'i'aiij Vj'^neaies! ; }1 'i^'ajait ja-',
mais vu taut dç^op'é in'njtè à iine cpnihlité"
plus" simple et if!yg^aiieùè..,L ; -o — i -,,,j
Catioe resta enfermé^niiez ell^.et, neipa-
rut point de la journée..^urius pai.pt sans- ;
> revoir. • V"; ' - .a
X».
.Lés
dû Nord
th'.e
le.ttbé, ie.la,cUi-re ,ipais.Q" de.sesihôtes,
çgmpagfjé jd.ei;Kaîj-Jû9a J^rasJi,, qhi
était venu passer ,ayo.q lui. lajdor.^iére, soi
rée.. ii ••;;;, hI-uoi !
Debout.s^r;rle.seuil,jgrwp ^om^e-nae
•sibylle quiiprojgjplgueilesiarrêU, xjipj^f-tih,
^Brigitte gçe&uer daigna lui^uUflittyi^ftii( à-
reux voyage,^! g Ml^jÇP.frtUi. iç^d^nt |a
..main^ui^jtiiie ga ; v.âtx l^pjitts-dq.ucp, - ma|is
-«U regardantJBrafJ^ «Ne nou?oubUçg pai,
. MAÇfeÙiUF^et .reAffinqz M§n vite ! e.,.. „/
,;MiWiWS:,;S?LUS.4q\ja.e-po,yr^.piiiue/,.^ j.u
l'ami toujours p^et^.sleçioi'gueW ir
. dii-la ta%inçli'e-préléj:encfi ) jbaisa.gètj.e; joie
î^ijio,ja\ec twté.)a gfâçp d.'tip. j gepii|JiO! >-
me,élevé, il ^ijpbur.^.J-ei.V^XV, ë/i 1 s'J- ■
,lançbud'un pa¥.r^pyfe-l:!5l #W_le,de T^gn r, .
qui marchait.] vivement dans la directitia-
du port. j-'t-.'i|i< -'■>/ .t -5 • ^
Md^,arrivé-àl^gl^,de.l^rue, et au m>- .
"ment oj^âLallaUîperdre.d^iWiaile chalet, il ,
s'
tout-à-coup pour lui_i^çe;iûfez^ité^i pip- .
fonde*" 'JL1 0 rçgardi ^ông-t^iiip's .le JU>it ^ui
.^butàit'.pajjne n ,,.Pù }s ? cfimmes'U fej^youfu
jarpçs et AVrflessoij^ qai .envoient" maintenantu,Tuv
,me^rps^ùp^emenVn«B enverront plus qu'ua
à-râvemr.Ùette rèducfibn permettra aé ëislîosef
en touttie vingt-cinq sièèes 'qui 'Seroat rénartis '
^fal ?i? 0 4 é ^i é r; K énsltfgtonét Ohelsêa serJbt
'^gés «u.dlgtrietfcéleetorauit, «et»-auront .ie! 'iftoit
i^éûie/daux^memhresv Haleybridge, Bimatey ^
Bnkanhêa4 «Bv^rrqnt, .ohacua, un. membre,- Lf-
tverfipot^rmingiajp, Manc^ster et Lceds.»cha- ■
Xprès ,| tine i 'courte-' di«cùsSiQn. •j*»»»—*•-
ipréseiite» lô li bill est'accbr-"" *
f^Des'ttJills analogu^âJSoii
de et l'Eoosse.
-î'autoBisât^n da
^âsButésLp&urd'Jrlan»
èt sur ses'yeu^ ? § t où tXri 1 "u n ,s o~u p i f j ( q p jÇ g oii -
fhit^a fiourinà,, et,.prlpanl ^é ^sjgymnas-
m Wfj i)gult,^4 CQÇMM^MS i, .y. , : f1
Tous trois atteignirent Cieatot,le;Xi(iai qu . a
.frta^içiiijfut l«s petits paijuebpt^çh^gés de
.'Jaïiâyi^a.Violi^du.dan^l d'-'potUie'. Le'capitdi- ■■
ijff, dt 4 ,buuV^ur,son,I>an&.,de q"i&r,t f] ^'|Vdli- j
( lait ^iepr^bajgjitm^t ,'desi jçaar^an^es et "!
' BBg
ybirjë jpune'Fj%^£ua.Me pPtgpeÇy|ui r|u-Jj
qtt.mmaûdi'chdud^mfint, L'à. capitaine ac- „
• cû^yTitjj l^rtjste avec ,une .'gr|,cf ^pyrtdi- \ t
At J ^àa'ï. .im^exct ! - . r ,
lectfjçaBme, assez prps de sa chaâibrc. ^
m r A i L îf ^ ^
son nôte, Karl-.Toan se J souvint quiPétait
;PiSf.a. _
idit, Pierre y et,api'è3(fe
•,çk
vie _ _
,voyage, ipondçpnésijcbmmfî, 1^1"^ ime' ihti-
^U^^j.jjJpipciies 'Êtepiies^
p.1Kil;aiia Ui^. paq^t^e ( éor r ,
dag^s ë. l'ata.ji^t|ijJjji3idis qp'^rd^ps gg
makQiftts, eujjçh^l^utf.misaient
Jaui^. 4gffiS, ih?e:0yt.$ Î^passer sqb'
esprit» ie§iéyépeuien§,sijraï^;.qû^^8puis, ;iQufèli^.pench^^^,vieû^Min , 'ânemanït
.ur^môi-v»étpi^tpM?.;.ainsi.,dire, jpreâs^sj f eirvAmQU,. . " '
et accumulés dans sa vie.-, -, " ' - ?'
UC« U
f
accun?ui^s daus sa vie^
iP. .i , ■ - ?l..i, j,- •' 3
Jt)
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.sa'îio'-.'iw.r.-
iWISï
^?§(ÂaSÎ4ii^Q^/ô^§» < ll^W^e .^re, âe
ce^sy.cauaj Calédoujeu^U^n^ A'P/bab ^ In-,
M mir
du^pi;
"s
:Pk>.yé r (è,!à .piçijpe,^a®Ft-{,esj&è|ategJe Vio-
..cAi^aiiWViri'f l)S lor^ts.^.^iP^S;aû^plen-
lûN^ISK» Ù '1 a -'j t.iijy ibb [ !
Cett là.,upe gi'dtjde.œuvçe^.sa^s d,oUt^
mais^ôç rp^'afiimre.m^rq^andon^a'rqui
■MISPU£« iMiuaUftQ^e^ej^hen-
^urg.pt^^ot^Im^ljjiigçaen^^ tyayai\
dès lacs ; U,' âu contaure," crèusantYe'nouÈ
leur 'Si^iérBè '.bbéïisljue' d^ërdu^e^Hans
u-ll'^w - ^P^î 8 mv a! tour
Pssmsmaisx4S^s
„4V4it ntotyfiepetfij Verè U son-,' l'aida eûtrâit à«Ki
âant, .vers trois ^euïe^ , unà binde| dK'Èeur'd^nà'ies'eifux dti Wfin^r'^.r.
, salm.qui.blanchit £ l houzOD'annonça que
le jour alf# bientôt \ëbir,. ' '
t A 1 XlZ à5.^K,i>ci ili . -fM
,, lA!,ïïbclie^sbjipà,gôn .dérnlef âprièl: on 1 ' _
^.-X«^s,"sSef»iîssaâ:.
g e , a 'ësptè .qui se resbivait bientôt eriléeer<
^é% leS t#s, ' Sommes
luettes
^e^aitçia .poBl^on-
. «iw( de Kittffekulb'e,,, qdè^'l'on^ »wht.i
W à/l'heOTe deà tem®
S ê - f5''^% ^erdit'ÏQuleVée^dës pi'ofoQdeurs
du lac iWépcfjj ci qtjô d'il?» on'
^ 0U P ^PPée Ùunê
taT|àTfép^du fl lëSpliJ^riSef'Wsoit- hs"
taulle cfekrtarè-lajpelouse -dfes'-cettàftêi. ç|
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