Titre : Le Constitutionnel : journal du commerce, politique et littéraire
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1860-02-24
Contributeur : Véron, Louis (1798-1867). Rédacteur
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb32747578p
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 24 février 1860 24 février 1860
Description : 1860/02/24 (Numéro 55). 1860/02/24 (Numéro 55).
Description : Collection numérique : Grande collecte... Collection numérique : Grande collecte d'archives. Femmes au travail
Description : Collection numérique : La Grande Collecte Collection numérique : La Grande Collecte
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Source : Bibliothèque nationale de France
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/02/2011
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VENDREDI 24 FEVRIER 1860.
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JU modo D'àBOieaaiBiT la plus simple jesU'.en*fii d'us, ban de; post« oud'un effel ! f . ''''«•,£«&» l** tfttr» •****<$» far^ni ko» kmAXcsu soHtjtfwis] •$
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Lés iboanemewi datenl dè» l« et il
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tes jlhmohcis «ont «eru 4 IL F j&i, régijpseur, des Ç grands lourùàwQ,
' rue Notre-S.' -*:■ _ ^-Tictoires, n. 40> (plao® da .la .Bourse,) i u ut
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PARIS, FEVRIER.
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M." le ministre, de^ paires étrangères,
dans ses deiix dernières dépêches, a exposji
LL. ÉExcf. les xninisïjësl'd'é^^t'ériçur
des cultes ont voulue à leur tour) soumsttre
à l'appréciation de chacun les difficultés
qu'en France^ on essaie de faire naître àpro- ;
pos de la çêœ&'liuqsfjq^ 1 ' , ^ '
Comment se fait-il donc qu'un incident'
sscondàire dé notf6 ■ poliRqrié' ' ^ïtérl.eure
vienne, ainsi révélflr,- des ■ coïilcidencfes^doi|-
. loureuses entre ciçjrtains teg^eti ; au dehors
- et certaines espérances 4u dedans? Com
ment se fait-il i^eié&^mb^xTaSj^s^agers,
dè la papauté temporelle aienti tout à coùp,
également p^io'nné; îes^Ultr^montains ^t'
les philosophes éclectiques:, les-légitimis--
tes e't les àémaj*ogues?;''ëôn}paent, seiaiit-iL
qu'une question qui>^èn Réalité; ; h'aipââ'eu 5
les proportions qu'^n; lui priêité, èt n'auraj
pas les conséquences qu'on' lui suppose,^
ait çn ? à ce point, égarer-decoqscien.ee»
jnême honnêtes, et devenir^ si l'ôh n'y avs^it
pris garde, unç. sorte dp 'drapeau commun
pour toutes les oppositions t - •/- ■
C'e^t là un phénomène complexe qu^il
faut étudier avee pati'ence et curiosité quàn1 il vient à se. produire»* Une telle étude
contemporaine est aussi instructive .qud :
l'histoire ; e]le est plus saisissante.
Mais, aujourd'hui,- nous" ne voulons qqe
présenter, à. la hâte, deux simples observa
tions pour ainsi dire 'corollaires l'u^ dei
l'autre. 1 >
Les voici : la religion, nç s'abais'âe-t-ellç
pas-quand elle -accepte' de pareilles solida
rités ajvec les- çartis poJiUqiiésï GeV pgrtia
Sont-ils bien habiles quand ils se couvrent^
pour"-la circonstance, cl'un masque reli
gieux?. ; ,/ .-- j
A-fc on supposé, par hasard;'^ue llràmen-
se majorité, serait dupa de ces renversions
; t n • !_■ ; ■■•"'"■i " : Nous ^ui sommes tenus à'moins de rése
. ivév'qutt nous soit-ppnais d'insister sutil
» contraste J ^u'o^tbfi^rt/'àu "pointde- vite-rej- '
li^ieuxj ies âfiyerp, ,r^ij3^j qui se sont suer
cédé en France/depuis quarante ans. Ce
.'contraiteisera toute làleçon. ^
, _ -Çn ^ait que 1â'hest^ati{)n,'surtout,verp
les derniers, temps, mal inspirée daps -s&
lutte contre les nouvelles institutidns poj-
Uti^ie^jBf civiles du pàys,/ ia'hésita pas à
appeler à son aide nous ne savons' quellp
, propagande ultramoniaine. Qn. se souyie4t
dès Missions- qui s'organisèrent sur tous les "
poipts du. te^wtqireiT des, ' exjgenç§s, ^e la-
Congrégation et ! des éxcès de zèle de certai
nes conversions,'quO, alors comme iùjoiir
inattendues-, de J ceS tendresses b'ieuses- -^rméps-'Soii-.iie-feAesi
-'d'tiomme^ .(l'istat en disponibilité pour uiie
cause qu'ils malmenaient quatnxi i^s^ é|^|entii
au, ppavoirî ^nvéïjLté, ils tiennent.trop peu 1
pf ;
sdu-
:ens
iija-i
■u' D'autre'p^itj-qui- oserait dire qgiq^'i^a.jpaS jgp^fleç,t,.iV lîétracge poffiiûi-
que, leurs .doctes rétïèétôceë;'qytel^urs 1
■ples^e^ de ,lâqgag§ l"ro)iv,eAt enpor.e .des goi
crédules.- C'est trop ... "U 1 • ' "
qtfe qui; dëp'u'iS M deuï mois/p6^tè lë troju-'
.bl'e ti'le "4^courageme&il(faiis les ameà i '
d'hui< j étaient d'autant- plus bruyantes'
' qu'ellçs étaient, plus, tardive*. La noncia
ture de la cour de "Rome à-Paris était dey<
nue,.4'envahisspmentjen envahissement,
centreïdeçette yfôleifte réaction^ léjSiége'o
, q'uUjB, du véritable! pouvoir en France.lon
ellâ'-âi lojn dans cette voië, qu'il ^st peijinjisj
. de dire qu'on ayait sacrifié^ du même coup,,
avec les iùtérété'de l%'k)ciélé laïque, le^pré-;
rogatives de l'ancienne royauté. Il y avsfit
loin, à cette'éûôqùé. de Charleg X : à;Siint-
Louis où à Louis Xl^. ^ "'TV I
Quels, farént ïe^ r^âijLltats de c.es dange
reuses tentatives1.ll faut les rappeler puip-
r qu!on l paraît lès ' oûbiiér, Aujourd'hui. ( ]j.a '
causa: dè la religion, elle-même, pourquoi le
cacher?,'faillit ôti;e c^mprômisef' ^'e. Clergé
perdit en infl^yepcç, morale ce qu'il s'effo'r*
çait de gagner en influence politique. Bien-.
tôt son : impopularité ■ devint telle -"quelle ,
rejaillit de Tautel sur lè trône, ébranla l'u
ne etJbrisàl'autre.
La monarchia-ide Juillet, effrayée ppr
unè semblable ^expérieace, n'osa pas relever:
ces doubles ruines.. Elle abandonna l'Eglise
^ son'mauvais, softj'et^ pendàtrf dix-huit
aûs, lui laissa porter tout le poids: de ses
'anciennes erreurs. ' 1
Vint TEmpir?f 3 Çlè'nê~>oadaite allaitj-ii
,temr si vk-à-yfô'dâ'Clergé? Suivrait-il les er-_.
Nous ne - sommes' pas -de ceux' quipérisept
,^et, qui ç^pètefttqupj^d.açi les! QirQonstftnc'.es
■afftu'ejlesj Te Ole^è ir^nçais, à /'ex^igipïë çlé.'
" là cour 'd'e Wme, n'a pas eui précjsémeqt|la
nette' intelligente dé ïà situàîi^r'Nbiis. ;
î , 1 M u* in ^£4*» J - » v ') Ui.it } J f
yons.enfaçftde quelle^ difficultés persop-.
nelles et-de? quels scrupules' sfô'^âïïers 1 ^"n
' i réussi k'le placer'tqjit, d^boïdi li lui ét^it -
i malaisé, ' noûs%i.^oSvem)ïAf iJ b'aiitèar0nt, '
^ ' 9.» lî.►» j t
d'échapper ^.çertainesipressionsj tant? extp-i,
rieurçs qu'int^rieui'est ; de ; fé'siStçrà'là f|is
et aux; entra^eguns dés'ultramo'ntains et', ;
aux suggestions d'e 1 l'esprit de parjj, :
... ,Et,pourtant, Utfavait,qu'à se souvenir et
à comparer ! ""'i-'' 3 • " 3 i>
Nous^savons 'çrè^ ; a : s,ui;émenf, ^ Kl tl le mif
,nistre dei ciittes d'avoir glissé rapidemenj à. 1
- cet endroit: l,l J aurait ^u, 'sans : aj(ipiin doute^
.établir im.instructif. piraUèle étitre ltf |oju-
v'erneàeiit îcHpcriai pt^eçuj vquï'l'ont pf^.
cédé. Il ne l'a pas fait..
moqardiiq-^'juiUgtJi 11 crut qu'il ,y. avai^,
mieux à (ait'e. "Soucieux de tous les intérêts;
âes hitêrêiè'mara tàc comme d es i ntérétsm 'as
térielSjIÏ tint à honneur de n'en négliger au= - J
c«n. ® ei i^ rs esprits ? e -
notre tçmpâj que Ie^iemièrdevpird'up gou- u
'.y^nement jrrà) m'eut digne, ttéie no'flo, étp.i"t
de faire^condôurir êgaleirietit idtifeë leffor-"
i h -- t>* -T 1 '1 lia m ./•> i 1 , '•
ces sociales « au tranquille développement »
dfelà civlhàtfSft'î^ ' ' a * ' , 1
< :'■ i S, m%
La religion, assurément, était laipremie-
vre! et la plus pure^de ces lorcesjÈociale^, '
Poùrqij.q) rppbV^'r, ^stéMatiquepiént 1 ? sjon ;
concours! L'»Empereur désira,-au contraija^
qu'elle repVlt^sà placâ'daàs 'noiré é^uifibrÊi '
^atipnâl^fl^ujï^alfeifefaui^^.ppmnu
à une autre époque ; mais il estima^Çiié les
: yui^siéçbnW-dtt|)assê| ne' d^vaieùVpâ^ avbir
"été perdues pour lè Clergé françai^ fctiqug (J
sfes uoiiVè^ui imémbj'e's' sâ^rafént^^rwiist
;sa rendre kitiles à tous, sans •devenir inquié; "
;71
. ,uDe là, cts me3ureg;que: le-gouverqemen.t
français, de^'iiii' *âiV àn^ 'â'est'plifV ïaVqr^
sf'r, 6n, 'a^yu les c'arclinaux çutrer de ,plein
droit au Sénat, et des archevêques les'^sui-r
vre', c?tr leur .ljtre seul notait plus pour ieyx,
.0
qué 'Ift- ^ituel""romain' remplaçât ritici-
^•'l, , J > i 1 ! 1T, 1 ,b ■ --.V Te'U'
fcftnçais.-D autre p>ït ); op cessa de mettre ejm-
. W J, pêehement au,^éyelnp£ement^eut-£t|^im
jîffij., i.. .v«iH y ■ v».r i > ji't- Ï^J-i ■■ «s' 1 * |
peu trop rapide, des associations religieuses, \
: ç'Vmêmè.'des- kssociatioxis.'laïquçs. $eloqj~laf
belle -expression de M. lq ministrç, deg cpl-j
tes, « il^ convenait, au milieu' • <,■ J... 'J. -i .,.-.yrlî.Cl ' •» -2
d^la paix publique, d'acçord^jyiélémentj
religieux autant de confiance et de libertéj
que' pouvait ïe; faire un gouvernement puis-|
! sâjii et natiônal'- P. Si les ià&eâ ejt lés œuvres
du clergi demeuraient « vraiment chrétien
nes elles devaient «'affaiblir bien des pré-
.1 - ; -'-i in -x! «
venlions! j» - =
Voilà ce qu^a-voûlù' faire, voilà ce qu'a
tenté- loyalement - le- gouvernçfnônï r de
l^Enipereijr j' eti l'on doit' lui rénàçe cette
justice qu'il n'a rien négligé pôur réaliser
cette noble pensée de conciUaUon- enire
l'Église et l'Etat. Il es^ allé justj^'à braver
les. graves.mécontèntèmens" àû plus grand
nombre' qui, ne comprenant pas la haute
prudenç^' d'une, pareille,Wifc pag à,' la taxer de faiblesse. On peut dire
'hardiment qûtl a fallu tout'ljÈcpr&tige di^
,'grkijd p'opi dé Napolép^touje 1g, conp^nr -
qujinspirent la -sagesse e.t la ^fermeté d(
rEtaperedr, po^ur ^'on ne vit pas' ïeViVri
les défiantes animosités qui, EousiaRestay
ration, poursuivaient le Clergé." ~ ' i
'. Car'enfin, il faut biçq, le.repomi^irè, si
une réaction favorable au Clergé s'est ac4
« i s 't ; f- j f- ;»J/ «"'i '» • }*, t 1 . !' t 0 Ji«' f
i.coinplie,, i) ne; le doit pas,seulement à sea
vertus, mais aussi à cette protection bienveil-l
■ 'i-'Qi: d 17 , 'i$ 'm S ,|
laute.^coit l'Empereur a su r entourer. Mai|
: cette/réacliomsalutaire - serait) bientôt com
; prtimipe, et' la France revieçdrait vite au: ;
défiances et aux,provocation*'des *1829
si le'ÇIerg ( é sçrtait * de' sa ,missjo^i pour de
veniT-l'instrument d'un parti,politique.
'Qu'oç, en' juge par ce qui* se p'^sse (lepuis
depuis deux mois. S'imagii/e-t-on- qùe ces
distributions (Clânçiestiqes <|e petites brochu
res; ultramontaines ; que; ces- colères des-
' pendant ,de. la • ch^re.] de, véiité que ' ce 1
lettres ^déplorables'où l'on n^ respect»
même pas la mémoirê "des "moi^s; pense-
^t-^'qae t^| ce bruit-, touMfe^andalff aies t
1 gagné' beaucoup d'ajdjilrecsjà ^cay^qu 3
', L'pii prétend. dé'fèndre'dë;c^ttè iaço'â^ " ( -
- - Ce - secait là {mâ-gcBve. errows ia.\'éfit4>
^ & *** " '
vaieaVtoutau pJus^de jaaisérables çaueunas
au.véritabJe;sgntiment religienx. Jatijrôge 1
tQut 'ciitbpli.qùçj aLÎm^feeWèrpéil dc^jÇpr t
religieux; et il vous dira-combien i il !a-l!am 3 .
nàtrée dp i jb;bt\ç4,tlfi J sé' i passî, nôb]Jas J 4aii s
^ea Romagaesy rnais euFracde.' Interroge z
^eûsui'tè ce que vous appelez la' ! RëVfelûtioi,
et la R^volulioiï K Al ' ^ous cachera pas con -
i-n- A l£ J. 'iutlr— .'H'! ! ''i >'j
^.îpn eUOi Réjouit d^j fâutes, que ; y,(jus e ei -
■tassez lès-'uïies surikîsautr'éé.^ Vt-p^J'iuez \ ,
, l'agitation PftliliflftPj, .eii'jdaçè .j.oîre'Àinpri -
idfecte; yousite^vous- aperefevM mêni® pas
qgie cqttçrarrêtàit £^^ïiS/-'ne' ; ]botrrrîiît jainafe je
^roàuire'quj cç^j^^o^. , .
;; P'es^trgpd'ay^iiglem^t! ^i^yfut-Ja
j allerienfin' et de quoi-sa plaint-bn'at(t|àsti ?
: ^Q^s',ad'f^e^top^ sap^o^^qua^ie^lerj é
j âît îpU &'M&UVoiMes : etrffi"ari^&'qùe ^i l SJiin
, J^^jga'E^ftQutr^|aà?u voiPlèffi^oM ^iôQS adïjfietton? ^'il aitpa '-
lagè'^9. dqy'ieuii 'fet. luiiaiV > apport é". Igjcoi -
cours de Ses prièrès; i! Mais-là doit ^'arr^te »,
d'une partV|i.'aciioQ du sacerdooe.-j deJ'au-
'trftv'la tolérancfè 'de'l'autorité." J ■ ;■ "
,V1 tfîï -J" ■ -.'.-i 0"~ » . M ri '{>
_ , L'intérét 4e la religion l'exige ^epeore plus
•que fihtér^lMu siècle|"£usér ne* pouvons-
nous que nous u fèï|citer cteri'intcrvention jsi
^opportihie de M;1 e' c)5nistre dé l'intérieur.
Sjn.langage fehne, élevé? kl iqu\ concilie
llLbien iQresjeet l^ .pr^g^SHieêw pqiu^
.çroyons. -. , , , -, ...ij
Nous Voulons- croire, plus- encore. Nous
vouloto «r^ire" ^uje tios vénérables prélat?,,
qûijtoiis, à part quelques exceptions regret
tables, ont &it preuve, • dans 'tout " ce maji-^
"heureuj conflit^ jl'un véritable'esprit ; de
paix et de concorde, entendront le chaleu-
réuit appel dé •#. ie 1 ministre dtts cultes, ét
; veijl^roflt" eux-mêmes, à ç^qup lesdrpi^iiji--.
-contestables delà, société entière soient, e^-
flnrespectés."'* ■' -i ! ' . ' ■ "'•* -, :
Leiju's piêu^, eff^rtsi, nous^n^en doutons
pas, .tendront à rappeler aui clergé de France
qu'il est sécuUèr et; non pojn\ ( régulier ; eff
qu'.^ çe 'Utre, s'y doit,bçmin.agÇj, çjjmme; ca
tholique, à Celui -qui trône au Vatican, il
doit;!obéissancëi pomme/Friançais,' à j Celpi
qui r^'^iT^He^
- A;G rasdqviliôt .'. i
•"isr
. . agment
. Souverain Pontife, -parce qu^s- ïie
at' ( 'de J l ! éngàêer ' à'persister dans uye..
• Ce n'est
gique^qûe
journaâx, qui
se. du. f
ceïssteht'
voie -fatale.
Hierx'était Klbiim, qui,nous accusait d&
tr^WstirVol6nfOTe&eiiffi4^"É^ir'de la sou
veraineté, se gardant bien d'ajouter que
notre définition? di%-droit n'était autre qàa
celle du Pape JEtienne II,lui-m^mp,.A^jou|r-
d'iU^voici^e^ncfe qui,pour-soutenirisôn
.opinionsur.la-question des Romag'nes , ùe
trouve rien de mieux qu'un équivoque da,
langage. -* < f .
■' Le Papç, dit le Monde, est souverain des
Romagnesjmais'irn'ën èftpas propriétaire,-.
Il ne saurait céder un'territoire qui nq : lui
appartient pas , eC dotit'il s'e§t engagé pais
unj serment solennel a maintenir i'inté-
gritéi. ' :> 1 1 , . : à <■ ' --
r. Nous connaissions, depuis longtemps ce^te.
doîtrine. FaUt^it donc*la réfuter'une fois de:
plus? : ,i , * ■ . j .<
Le Souverain Pontife est-il ou, n'est-il pas
un souveraia ; 4emporelfl'!Là est toutB iltu
question. La réponse n'est pas 'douteuse; el
comment soutiendrait 6n, que le*droit jde
" posséder, peut exister, indépendamment du
,. droit.d'aliéner; comment le Pape.ppurrà-i-il<
' i ; « r,égaeç ,ët gouverner, ifldépç# çiapx e t^jibrè^
.s'il nîap&s m(Sm&tIa"libsa'té de•«a.uvej',. ssopi
•indôpendaù'fleet'sii'souverainetéw compiio-;
-mis-iyau prix- d'uu «acrificeiparittti? - <■: I c.r
Totites Ies sûbiilité's ilô l'a,aialeètiqué ! , que
,le'MohdejL ïeçuei trfblêHïàge. tae Isaûrai^ntt
'prévaloir cô,t)}ra çé i si&ple .Silénimey dont;
' ,i^ous ï^issons ^sapefspicacftélle 'soin deitH
t, r,er ja conclusiQiflo'.; u-, t *,i V, - j
Un® observation flppçndajût,.a eeule [An.
de prouvée a«> "Monde que. nota ne sbmnçies
■U-paSi /oommfeil élégammen t,- d'une
ib
pourntiu?.'
. jfie n'est pa|)a.jpréniièr^Jqis qij'uh Çape,
, -«n vertù dejSQn, u|re '4q»spuyçrau tempo-
•rdl^se irouve^laws, lialtet^alive)d abaàd^n^-
ner -une partie de son '4érritoicei-aLe Siibt-
■ ïSiège, autrefois, a' régné siir le duché de
' Modêne; '|ii inême ' titre qtl'il règnb'«ur îles
DÀmnirnAa ' Ami'Wndn/lgiiV.i
yyiwytfwi^w vw ,«IP w ^
aù comiii'8ncéi±içnt dii 1 'X : ViIl' 0 ,'éiêclé7en té
l,, dant "h* i;AÙtriche'>alors' ViBtprieuse'^
droits siif,Mofe s f,' '' ; i i( .
- Cette transaction apar^ s^peul^essqr les ;
droits d$ l'Eglise^que lè,panft.%lX,"co^
j. jinç, souV.erain.et fiomme pobwfé^^lfive, au-
* 'î AtiwJ'tmr lit .«rniv. An /n^iniiw t
.odene.^' i-vi !
. 'L'analogieempile,assezpalpabK, çt^quand
' le Mondç.
' Mïi i5 '
f- i s-.i
,< , Le.$fKn»»â,?o^,annoqpg, aapr«s une $1
1 chei que la France et l 5 ABglèt«iye. : ç%e,t-gv, .
point,de.sigBeB.une xoaveatianiTeladive àux
' pr;se8~q\ie'l'erd l'-eipéditioU àeïGMiie; ;><-> > '
'* ' "Le ferait qû» l f «ipéditK)ti : était'aiourûée. est
> dpn&.fâiliÉÎ. ? ! ' " Â ,.\ ,:,î ; • " * I
Aojourd'fiui, dans la Cbambie d l -;s Coti
Commua
que l^i tranpe n'élèvera pas îea éroita
,artiai valorem. L'é gouvei^mQnt/îr^P'çaif^ . ajoute
M.. Gladstone, PJib%^ saù^.p ; ep'.dçs, «^aÛSjà
e%8ujet,-
Madrid, 82 février, 6 h. 30 iri.-goip. ;
Suivant- une lettré de Tétouan;'publiée par
la Gorrespondénaa;- le maréchal O'Donnelt au
rait remis i le- 46, lès-propositions pouvant
tfèrvir de bases : & la conclusion de- la paiX.
Le maréchal exigerait: l'abandon àl'Espaçne
de tout le territoire conquis; la conservation-^
perpétuelle de Té^ougm et dé sesalentoûrs; une
indemnité' de guerre'de 2Q0mitlion8.de réanxr
1^ respect àu' cu^te' catholique et la stipulation
d'avantages commerciaux ' âu profit de l'Es
pagne;'; '• , ' •' , - " - i .
'Le terme fixé pour la réponse du Maroefsë-t
ralt le23"courant,' ■ ' * ! • i;i: • - -
^n'ine croit pas que ces'propositions soient
^cceptées. % ! ' : ■ ;*• 1 faoniai Bûllitr.),
, Le Monl(iur belge publiait hier, e# tête
de sa partie,oiûciôlle,.lfii curieux document
que voici : - : u i ,
Comm
■periiy'fet'a,
envoyÉ.t
BQrKwie-Tslng, commissaire, peur les affaires
Af*A«n\ltAM A4 ITAntrAonAHV nAviAiial J
aue.4
tomnîtà'alrë péuiles
atteûtlVemeif-par-,
courues."i :»<-f-t.,'-.; f , r > u
, Je trouve,! après- examen, çue,. il ; y s a,peu de'
temps; j'ai reçu una Bépèçhe de Laon, gouver
neur' général des, deux Kiangs et de "HaMg, surin ;
S teadatit des' douanes 'à-Oantoti/ aveo des ooples
de dépêches relatives aux affaires de Belg:quQi les-'
quelles m'infor ' ...
de.Taou^Kwai
cotnmissafreÉ
dans-tin rapport^ proposé A S. M.r de ^ permèt-
tre aux jnégopiaos belges. de taire, commerce'
avec le? cinq porfo; q\ie ^ M. accorda cette .per 1
missiony que,' sur • cela; les commissaires fourni-'
rent i&u consul bôlge- d^s j coptes des-traités^t ta
rifs britanniques,, français et amérioains, po)jr ! la;
direction du .commerce Jbelge dans les cinq ports,
et que l'ori n'est copVènu d'aucun règlement pdur
le Commercé, pendant' ta quatrième année de Heerr-
Eong (l'empereur actuel). < .1
■Les négociais .belges, en oonséquecce,.ontà se
confo'ririer, quant à présent,, à l'ai-rangement cen i!
veiu pendant la 2î>« année de Taou*Kwa»gî-ï:t II
est' constaté'quô' j'Ai- éo-it àscet elfBt à 1",intendant
Toung, à Shanghaï, le chargçaut d'en, "informer le*
consul à 1 'Shanghaï,, pour la direction des i.égo-
1 oians'belges." 11 J ' î '• j' ■■ , :
ports} ibieij-que le
traité améri-
nsj ni-
Belativement aux nouveaux
ministfe améjicain ait éc.
cain, cependant ni ce tialtéj,nl lès règlemens
le taiif'neisonrencorei'entrés'en vigueur.' ' ,1 a
"Les ministres^anglaîs et. irançais n'ayant donc
pas réglé leurs traités, il sera nécessaire que le'
.gouvernement belge attende jusqu'à ce eue lied
traité^ de'touS'les troié' -goutertiexiieris v ittent lété
régléfc d'une^manière satiBi'àfJaïfta et'qufl leB'nou-
vcauntpootS'Sdiebt duverts; c'est aloie qtipij^ -
"DansJl'eutràlûfnps, j'ai À reguérlrique ,vos/nége bl
'v 1A AitmmATM -fiiiT /'.mn , nn *ia aan.
vileges, vos
mer, % ni',)
Quanta*
saTre'de/co
- - PKLO
nôgoûiaïis alors aucoutià siy t»ontorr
w'é^entj touteftîs, il pas néces-.
invénif de 'quelques ' nouveaux : 'aWiples,
leurs»
ils,
ccasio£-4a .yojR ofSriî.meg cqmplimens,,
[pmiînicatiou nécessaire à "M. d'Egrèmônt.
strvde'S'.'M'. le'roi'desBel§e'^. l, -' ;l ° i
19 octobr^-WBSob' iï 'iL a >i. i .0 . , •
•1 ïy>ur-tradu.ctiipn.copfçrmei j
. v (En. langue angrâîse),,, i « -•
Signé : Jotfx-A.X MiiûowSj Jlitei-j^r^te'.'
(î U
a 1
• b-i .r
La'tliscfeitin 'de Tamen'deàiecjt de SK pu-:
cane, commencée 'toàrdi, vâ,/êtrg reprise:
àufouFd'Mi pat, 'Jaf Cbanibre , des J éotnmu-
tiè's. A Esc tin de li'èéknrfè U'àvElnt-hièr, l^rd
'Patoerstoïi^àféïprliiié l'è'spbir qûé le ivotfl.
a^ùràit' ffiëû 5 cb'ibfr' 'j e'ùdf.- i PeUt-être l 'lfe télé--
graphe ne poujra-t-il nous apprendra que
" .Vin si 1 cet éâpo'irP apl-sf^éfl \è$\i
ilë'maramav
sé; car
.p'çrtafi
ni'a.'prfè'la
i'àpré;eht'kufciiilf orÀteiir' im-
i-iffe
r. uuiuiu) et JFnest pas
probable ^uele.'lébafèe terÉdihëïvantune,
! *në^é'tefis«Vàbcéfe'dè'là'î!dîrëé. ' V'>' J T
Ce n'est pointi' ) c,oWme'cfti i ëait'ie J fraitj( ; ,
' de ébrùmercè que Itf nroliori. 1 * dô jfl.^Ducanei
met en cause, du moins ^free'tpihént.^llâ^
: estâinsi ïormuléë:' î: ' ! * ■' - l u
u '« Cëtte Chïtabh^recbnûàissaùt la'ïièces'--
sitéjid®.pourvoit aux 1 accroissemens'flk idé 1 -'
l> Qivn^u fînbr/Ai'àm
, ment contra les mesùrbs. financières derMJ
Gladstone- quiioôti pour ebistj d'un côté,
l'abolitioh et s la ''suppresfeicin, ae' âroits' ^ur
certains jartâ'ûles^ t^l|'flu'é;.l^â; $pg et ïé pa
pier, ët, d'un autre côté, l'équilibre, ^du
c budgôt'faiiinoyea; d'ua& augnwntàtion de
f incomb-tlta?: ,J Mai^ ;I on" l voft'"q(i^ : 'l r £lménde-
ment s'attaque aussi indirèctejn'çnt au trai-
; té, puisque la diminution* des> droits sur 'les
vins est là conséquence de ce traité, de mê-
me'qu,e.la. ! . surrélévaiion de l'income-tdx' t en
est un corollaire.Entous eaSj si la motion do
tout' se tient . et s'enchaîne; s^écroulerait
néces'sdirëment'. ' ij ,
, ' 1 pti' rëstg, : l'autèiy 'd,e l'amendement, n'a
pas dissimulé iluirmême que son but était
' de faire, au noip de : ce 'qu'il croit être la
yjérltâblepnljti^hq Conservatrice, une oppo-
sitiopi franche, et déclarée'aux jdàns. finan
ciers du gouvernement^ injustes suivant lui
' ët re^^anf'sur de faux principes; Le bud-
. get ministériel llû .s.èmblfi dï' b$ture',à! ajug-
menler les difficultés, financières du pays
plutôt-qu'àyJôbviér; Il lui paraithors-de sai-
. sçn çTppériBr .des, réductiobà d*i)npôjB. alors
. quSori propose d'élever ifôhtauf .à4 l'impôt
1 sur le revenu. Enfin^M. Ducane a déclaré
( ïbm|)^ttrél,ë , b^dgetj parcë qu'à son avis il
, fcst;ba^eunj.^té •d>.'(ip'nWiét^ , .'isàns
utilité etprofilable surtout & la Franije»!
par nn excédànt.-de 4î0,0Ô0bvj st., l'exerci-
çe'de l'année suivanteprésenteraiti d'un'au-
tr,e' fcôt$v,,ifrç 'déficit'vres,-sterling. " Et- .que, ferait alors le Par
lement ? Ne se. .trouverait- il pas 1 dans
la B'écë&itê dè ! maintenir à un taux da
,pl,us en plus" élçvé çpt impôt "du revenu
si, désagréable i et; qui n'était / pas d^tiné
à' deVfcnlr-permanent î Ou bien n'incli-
tierètjit-jilpas Ve^s un' système déplorable da
fausses, et imprudentes, économies?
Voilà les craintes et leSi principaux grief?
copt^'Jé budgét' exprimés par Tauteur de
ramjmtlenjçnt,, Nôus np'lés ayons mis e^i re-
lietque pou» mieux-faire.saisu*, le sens et la
portee da fataotion- sur laquelle la Cham-
brb'^.ut ^tre Sip^blée à émettre soû vote ca
dans la séance de^mardis réfuté les àrgu-
m^ns de-M/Çucane. Il est à présumer qup,
' dan^'c^Uç d'aujourd'hui, la (Jéféii^e, pré
sentée par les principauxorganes ,qu. mi-
nis1ère, ne sera-pas moins vive que l'alta-
(|ue." t J "' ; 1 •-> l' 1 '- i ';
Noos dejwj^^uftjr^çyis l-i 'jr'.'l:'s-^mi-'
''î'^éfiçUe ne «^uyml£e.,igs Jm-i îuquiè'a
du .résultat:dô^et» atn^u^iyl&j. La ,ipà^onté'
■ dcj63'Aroiï 'qtH b'efet'proiTOneée' lundi contre
la. irlbtirfn de ^.''Dlsraéli Ifti un gage
certain âe'tiitjmpM,' ' ;'^7*;,'
i -, i Le >MùrlepéUp'lé anglais •'dé' pretidi'q-crfmaifis la
qaus$V4Ù' ,^itÔ':'^e/ Gmpl^qrije.'^ Ea'l'iuta
nVn sflr§i qû'àJmj. dltfce jQprnal,' s'ils»
laisse enlever d'énormes avantages, par la
jaiqusië d^artis^valix ! 'dans Ma Chambrq
.d"§,,Commune^., fiû'aï pro(ifë;de''ia mggnii
ûque occasion ;tqm: lui estioffefte. d^ipaugu-
r,e^j ! tl'irmtfè'nses 'relations avec ■ le- -peuple
,tr hmK'!L':rv.'\'
hQuJmes. .lait. avec raison,, du votç du
budg et et de l'adoption du tra ité une ques
tion de ,çoufiancejnïèrnatîonale. Les cia-
' Côh'étàffces^ èélôrf'lfli j ' fôflt',Exceptionnel
les;'c'est pbtirqii'oâ lé budget lui-même est
e^éepfionriel, cëst pout'çjmiHl -est oppdrtun
'précisément''d'avoir ^èebufs'-à ce-' gr^ad
. rûûV.êq'' de'Gaànce: l'augCû'entàtioki' de l'»«-
1 cofne-tcù)èl '- : « 'Nous efrtàflds, - dit-iV, datas fa
*codviéii6fi'.qti'èn s nqus përoiettaet' d'abaisser
notre tarif, il notis- metWausgi'# m AiVto de
gagner la confiance de- nos .voisin g, les amè-
venu qrainaire, J et ..n'est ims dispoiéo à-,
l tK>fep'er lë? jt^tèf'à^ëiiteè'- d'il p i^sênïé--
tab'issant l'incarne-tax à uq Mix-feiVr^levé
i; èàn'*ùêcKsi(é; S»'
neav.Mc^8d&i(m.^xé p.{mtot^v;P.^ l^r4it t^^Ainsj ^^Uia, motign ,^di|igéo ouye^to-
mens mutuels en Europe; « Nous sommes,
Wèvaiûiiiu^alout^t-iP, que^ést^ainsi qu'ils
?ëront ; aocèpté5.éf , 'bo l nsidérés par 14maia->
;/it ( é du peuplë.iJét'ÉfVays: » -> -
IlJ-aiÀKlÈ: MiftflN,
1 1 '~k câTfe .ot iiJB
«1 \
'ni. t..
ï JJ£
4 .1 -.PAWJEMBflit'.
J CHAJbBRB des' LÔips.' 4 : -i Sutlc ki fin de lasianœ
., ^.21 à?*er< .. - tl
-LorJ Selkirk demande,qo'il .soit fait, ooinmuni-
, catiftftiià.-la chambra j}e oopies,"ou d'extraits de
.ceçUmes letli^Sj^loi^Èisifj^lo^ci ^ial^ç^bary.
i ■ . ri. • ; ;.- j i"^——'-T-r-r
FEUILLETON DU CONSTtTDTIONHEL, 24 FÉVRIER.
1
»i
1 »,
't'*
1i'
l
îJi>
i vh > I f jy it,
. La maison de Teguer avait> pris «n^air de --
fête; on,avait renouvelé- la feuillée-dans le
.vestibule et répandu sur les 1 rameaux!verts
jjes fleursodqrantes.de la sauge,, de' la'la-
van de; et du'.thym.i'Un réjoiassantiparfum
de la-cuisine: se répandait - de • l;i càve= au
grenier; les casseroles, fumaient sur tous
les fourneaux,! le 4om,esUqne factotum -por
tait danSidespapiëri- des beutétlles de tou-i
tés îles dimensions î et lat majestaeusa Ulri j
que étalait so a. importance devant la vaste
cheminée,où- cuisaient trois-étage^dé'rôtis;!
L'honorable Karl-Xohan, croisant derrière
,tre,i-goûiait les sauces^ faisait aligner sur
les dressoirs,les bouteilles SappArUées-de ia-
cave dans i'ordre qu'il-1 allait' suivreipoip
;ye.rser leur préciè u x. contena / ét q» Jaçait-lui-
même sto' ^^aquB-seia'ietié^ïe nom deà
convives distingués quf devaient, csfcie'Bjoujr;
s'asseoir à sa table. —Al^bonneAeure ! cria-t-ilàMaiius, en
venant"au-devant de lui jusque sur la pre
mière matfellfe ^Q'pèàt perron, voilà ce que
j'appelle un homme exact. Mais soyez tran-*
quille, avant quatorze minutes d'ici, nops
mangerons le potage servi parles mains 4 e
Mme Karl-Johan Tegner.
V^ êteS'supe b -Kflt-DaiJgla^fe efl'rH-
gardantifci cra^àté:«a mille' raie&i' le -'gilet'
< chamois Marges reVer^ efcU'habit ta'arroiï
à fcoutons.^d'or du-négociant.- Cett don# uu
dîner habillé î Mariez^Oùs^votre fille P 1 *
s- u^—^Pas-enCdre', flf'TO^Uer 'en- tllgiant 1
dei'œ'il. i '»î - "' •' ■' ' ■* ;
■ ';—•• Aiûfcà-'vonsmvez le' Vicë^roi,, l'amiral; '
le général, toutes les/aûtorités Ci filés et-
militaire^ du pays ? : * ■' ■' 1
,. jj- vbws verrez cela-, répondit' l'honnête
s-àégoci&nt'Qif #af-tferigo#gaant cemme 1 ) un
paon qui fait la roue. ' ;; ■ ; -,
■: . .*^- S il!en!est ainsi', -je monté chei moi-
potar tâcher «de ïnesrendre ^iignef'dé cette
illustre compagnie»''- ^ r -•
■—iEh ! hé ! faites-vous-très beau, 'tout Je' 1
monde ne peut qu'y ça'g-âeÉ! ( \ •• v-- f
- Quand 'Oanglaiie ' redescendît, dans un' 1
costume'dont Uélégante -siûifJlicité-cbht'rajs-i
'tait peut-être avec l'japparavet 1 le luxe^é-
ployés par tegner, il'troavaicinqàsslt hotp- '
mes -aû sfirton,- -Le n^gociant l'-és- lui noihmi
successivement : c'était lé''gouverneur de fc
la'Binque; te'commandant d'un esfeadr^n
d'artillerie Chargé deda 'défeiise 'des 'feôtes, 1
' et des ïiégocians^ayant du crédit sarcla plia''
ce. Le jeune Français fut accueilli avecjla''
déférence 14 cèuttoisîé quVla Sàèdeg^r-'
de encore pour nous.- - i" 4 '" 0 > 'j'
/ Tous-les convives- étant maiÉftÇnant réju- -
.mis :0n.ouvrît^deuxîbaSttanf! -la^ôrte-dù ^a- !
lon,iet Mnf>p!Tfg'ner parutj-sùiVle iPElfridei s
Elle n'avait plus , -comme leïn'a'tin'j'son li^
vre de pniferesisous le bras; ç^ais il était {a--;
cil» de é'apercevoir'àiqùfel pàint'il ltii'ma'n--
'iquait^ dar, de temps en tétnps;^lle rappro
chait,son eoûde de ton flanc'comme poair 1
XempécherJ^fe" -'tombe'r p in'qftlètfeï 'de»
ne pas le" sentir à la place accoutumée-,
«tle était tdtij'oin^ teritée'd'yportfer ta- rriain
•tiroitti'comrrie pour s'àsâurer qù'iTn'y^étuit
p'oi'ht, L'e fonrreâù ; de i ldrtié , *'<îarâiëiiYe'avait
été remfiia'cé'pà^ uflft ,r i r oBe dé "Violet'
•'te, dqnila'%rmë n'était pâ^ 4(lus"/gracieun
së' : "C'était' toujByrâ' un: 1 étur'qtri'
cpnceraanî les aimreS'ïlô
i . tord E!gin saisit cette occsmou.,pour se discul
t^afisr
^ 'ctes' "formés' 'isèet
.1
- , cô.up^it i bp,'aiccu§'éesV i S'inrf- doùtè ïa ermo
lirie- n'avait pa^ 1 epcorcïraiiebi Te o Suùd J
lucane - proéminence n'ibaiquait' la
plaoe-'^uè les âut^e» lemàe's lui' réservenu
a^inâ'leur tïSl( ! Ufe. : Pdr 1 î)onh'fif
gaèr'tfvaïÊ t-a filFp/qui suffi:
f 'Seit qji'èlle Vût un intérêt
MûméleursYfiibe
nouvelle
charme 1
-tàêtfid
m
'fride
1 '^! j ^!ouapges étaient'vraies", lln'était'guè
-fepés'siyië d'avoir plus de fraîèfeéiir etn'é
clat : -ïffs yëâx grillaient ëômme^dauX T dia
itiacs DfoirsJ*tet , fon' > ffbnt' à 1 fcHt J ie poli d'm
béaà' toarbre,' *' tat) dis - cfiïe ^sës .tfexp?'' 3 d'
grain'pl]us fin semblaient trïûsparétttës çom
■ me l'albâtre*: ' "' ,f / ' 1 " :i ' '
Petttètffe à l'avis, où la feiodej càprkiieusï
saife râison, e'xercet on jours un emjiir^kus
1 ti ridictilë' "qu^ ®st àbsrira ;'à PSris 1 ofj 'tm*
L . iiér/titréf," pour i êtf'ë f , i 'elt 1 'de "fc'aVu '
Pffmi{eticô!re été- i àîPari?-î, diS;jfy éir éûl pu
'taire pl"u3';'dfÉin repr6ch^'' ! a c'ëtté "ifaise ,
'qui coiïimëttàit :i un fhi^ratit■ knacîjtoni^mt,
1 sFià(lf-'Tà ae4^^%lé'^kiatefe
portent aujourd'hui. C'était tout simple-
171/i^u.i^u u-juiu nui» -
' ment un cor?age à la.fôisiéube et opulëb',
, ; L " et venabt r^durir" ijaP ïrbis pçtitës : bàsiiuéô
; tailladées sur une jupe bïeincne faisant nal-
; lon. fput çeji.pquyalt' dateif'de '182<> dji dé
v 4840; — poiir' Màri^s citait'toùt' jiri ! Mais/
û/i JÛKfi aaIi) na on vk/V*f »ii4-«iItVci'W4
istume
tait.
lû
t .à jfa^ijf' êf fcelle^tjTaî, lé ipejr'-
Qiiand'on/eiit- ^uffiiammëbt u adrfairé lâî
/' beauté 1 - dé'salllle; ét'ti|j^'é 1 a éà 1 boine ! gr.â^
vanité^patlerbelle'r ......
t, ^ Tout cela estbién^ft'M.' Të'^nef-j'âWës
' v 'r»trA»w ^11 m «♦ r»'»» Vfc^ï m A -fit» A «
•et le
iï ,1
plus'que Jes 1 .paroles./-' •
^Clétàïtfin assez^eaù gar^on/kux énaife fa-
"VottéTbtix/ft rfeiPb'eu'-Vâle;- portant 'd'orjli-
nà.4 > e î 'i^sëz^bîméntSëSt£'ente-qWâtt , e ans,, et
répondant au nom de Frédéric Brask.^pe-*
■ pùis»lpb^\empg'déjà iI-%oupirait-pour J ïà belfe
Elfridéj mais.ils ti'étaient pas^ftéorë fiances.
. A un ëfeitain mbmèbt/, quand déjà- -la we-
' mi fef# fàitn ^ut apalsé„è', J ét que les~vinsjde
Ffàtrèë' !er d'Àll^m'agne• èurfe'nt''p'o^té ! Pen-
dlnérrefroidit 1 !.' , , , , .
■ Effrïde.posa le.dfiigt 1 âtif un'timbre,'ètj le;
inrriûQtimia' *vn /»rtWrtlÀ1a {I Aûffa
lu J■ ,blané|p'fdife'''ayçc,l^ p^faatè^dé'têrr^ d^s-
t^l|ée. , ,.^ j '
/ CbaQun m^ûgeat^iiji 'saq'dyich^bu depx,
•* f n ' n l\ «s ' A i4diA d] A t l'n #»W 1% AtiMn « *
blesi
" '^^^eaitrjîfè mria sbii'v snt
' . èn'lraDçâis. àl'àim&'lè'frtlé.augrand'déb af^
- s ^f--d i iki f ^iiné^é^aOTant''p'fSé wfarcë -^reux
de l'autre côté de la table, et qui plus d'une
Ttrr
' *~3 y.e
,-J i!M
eu ju pjaisirHK vo.us'preseuuer. ' w =
t-i-Poufvâ'q'u'e cë he «oit pas \n paternité ■
qu'ils ■Jfbiyent ensemble! m'urmui'aFréïï'éric.
' : Elfride ïiâ)ussrflA!rfirement lfii ^n»ï'il t «aL u
'dérick -Bratt, aui'»siiiyàit^ous'le» détails de
««te pefitë ( '%çène aveS^ude'attention in-
qUiète/-MaKus t Jcrut^é'bon : goûi-'de ne pas
prendre garde à cetté abstdflliob, ^rôp si-
gniflcative,idontElfridô' v sp.'îÉblai r tS'inqoïéter.
des va^teâ'libatioh.c:, tant' dd'foisTepétées,
eussent''depiiis longtemps^oouché-'^ous la
'tabte des -DUVeurrmoins' éprouvés, et,-sans
une vaillat^se naturelle, ^ncère 'hguerrie
par lô 1 lbpg tiîa'gfrî pliis-'-d'un s convive eût
sa&â-do'ute frouvé';«n réhtrant chez-lui. que
lèfe rués'-étaifeïil bieh-.étroités ^ét-les murail
les bien rapprochée. ~ - r
•' Q'ùànd ils- se furent tolis i-étirés, Tegner;
dont M laî,langue éfâît-pelit-être 'plus épaisse
'l[de ; d'ordiMire,'' dit v de' cette--voix grave et
Un péùCaverneuse» qae'4'on a souvbnt après
boirë*}' i; V : -:i -,i, , ,h. , , f .
"--^Gù done'^st'Caifine 1 } >■
«îiL.-EHet'^freité'e^ans ta-chambre, dit
ftlqie Tegocr, qui, pendant'tout le dîner,-
fi'avait ! bu que dei'eau.' ,.,i» .>;> '
1 lilîride MgaÉdi sli mèrt 1 ; quiai'aiouta pas
ubjHparoIe. QUaat''fe-Tegner; il fc eilevay non
.^ads-'S'ap^Wyér assez lôtirdc««!Pt sur 1e bras
d^ son fauteuil lûtéorlit.-'f \,-o i
UL l.'i • ^ . o
! i, i;'.
U) i
v:
A
"'■ (Jb'est-ce^qùe cfetîé Carïne?. së deman-
dïitMjrnus,'renb-é/ébez'lui lJ aprè•• qaè' ses
b^ës'fui'bu/eiW < 'sôuhffité un bba aommeil
f't'lrlÀa 'tSÀUc V ôkfo.»- ;i!rlrtV.v.
Mille; patri^ïcàlél Sëïrèùvâit-il "à l'entrée
d'un mystère 'd'Ùddlp'he ? 'Ce-père à lamine
•ïUr^M. •• 'i >i UO-ffClV- IX lttUilMtf
t boUrg<-mâéMét' dôbéanfïir^ élart-iiïuu» o^re
*aîJ!ajg'ô J, de fftjefio,- é* -à qui i'oa
servait de's'petits'ënfanâ-pour ^on-isbuper?
L'austère Brigitte, cette puritaine farouche,
' . , r *•» * 't**'* f 1 *>T) ,y< *
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VENDREDI 24 FEVRIER 1860.
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TROIS Moisl.'irihtirii " i&'ïïUi
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•i- .< • . - i . i '< * '•• t :.. .. -.. , ti , <-?. 1 '-jr. ; t.-i. r*J , .W/X.
.Mm uu nYiïmiwntfc Yoli ietableM^ • v ^ . » . . ■ f »
pub!# les t et $û,4e ohaquç/Pgtf. •
I*pr. X. BONIFACSï rt46S Bon&-BnfaûBi M.'
! jtS'/O 1 •■■*
■
V"-s-
JU modo D'àBOieaaiBiT la plus simple jesU'.en*fii d'us, ban de; post« oud'un effel ! f . ''''«•,£«&» l** tfttr» •****<$» far^ni ko» kmAXcsu soHtjtfwis] •$
; eu Paris, à l'ordifede t'itoiuamATiua du ,journal, ruftdô Yaloi^nîlO^i j i'fî [ - v^l - • ' -C ■ < - v - Le*.article» déposés M s<
. , f i--
sont pas rendus:
, UNIVERSEL.
7 . ; . , h 1
I.
TROIS HOl&n^^Sl 13 »}
six mois . 2ifi f
lS,ÀN.^;ï?iïKîda.' jfô ï.
UN KUMtoo 20 ^i^lMESJ
Lés iboanemewi datenl dè» l« et il
■1* , ' dt attaqua-
lh' l'fi .i ■(,
tes jlhmohcis «ont «eru 4 IL F j&i, régijpseur, des Ç grands lourùàwQ,
' rue Notre-S.' -*:■ _ ^-Tictoires, n. 40> (plao® da .la .Bourse,) i u ut
. J J . V , »J ,f -, > - y , ■' i y 5 , • r „ , , , ,
PARIS, FEVRIER.
t %
y 1 :1 r "-«■•. f > j
M." le ministre, de^ paires étrangères,
dans ses deiix dernières dépêches, a exposji
LL. ÉExcf. les xninisïjësl'd'é^^t'ériçur
des cultes ont voulue à leur tour) soumsttre
à l'appréciation de chacun les difficultés
qu'en France^ on essaie de faire naître àpro- ;
pos de la çêœ&'liuqsfjq^ 1 ' , ^ '
Comment se fait-il donc qu'un incident'
sscondàire dé notf6 ■ poliRqrié' ' ^ïtérl.eure
vienne, ainsi révélflr,- des ■ coïilcidencfes^doi|-
. loureuses entre ciçjrtains teg^eti ; au dehors
- et certaines espérances 4u dedans? Com
ment se fait-il i^eié&^mb^xTaSj^s^agers,
dè la papauté temporelle aienti tout à coùp,
également p^io'nné; îes^Ultr^montains ^t'
les philosophes éclectiques:, les-légitimis--
tes e't les àémaj*ogues?;''ëôn}paent, seiaiit-iL
qu'une question qui>^èn Réalité; ; h'aipââ'eu 5
les proportions qu'^n; lui priêité, èt n'auraj
pas les conséquences qu'on' lui suppose,^
ait çn ? à ce point, égarer-decoqscien.ee»
jnême honnêtes, et devenir^ si l'ôh n'y avs^it
pris garde, unç. sorte dp 'drapeau commun
pour toutes les oppositions t - •/- ■
C'e^t là un phénomène complexe qu^il
faut étudier avee pati'ence et curiosité quàn
contemporaine est aussi instructive .qud :
l'histoire ; e]le est plus saisissante.
Mais, aujourd'hui,- nous" ne voulons qqe
présenter, à. la hâte, deux simples observa
tions pour ainsi dire 'corollaires l'u^ dei
l'autre. 1 >
Les voici : la religion, nç s'abais'âe-t-ellç
pas-quand elle -accepte' de pareilles solida
rités ajvec les- çartis poJiUqiiésï GeV pgrtia
Sont-ils bien habiles quand ils se couvrent^
pour"-la circonstance, cl'un masque reli
gieux?. ; ,/ .-- j
A-fc on supposé, par hasard;'^ue llràmen-
se majorité, serait dupa de ces renversions
; t n • !_■ ; ■■•"'"■i "
. ivév'qutt nous soit-ppnais d'insister sutil
» contraste J ^u'o^tbfi^rt/'àu "pointde- vite-rej- '
li^ieuxj ies âfiyerp, ,r^ij3^j qui se sont suer
cédé en France/depuis quarante ans. Ce
.'contraiteisera toute làleçon. ^
, _ -Çn ^ait que 1â'hest^ati{)n,'surtout,verp
les derniers, temps, mal inspirée daps -s&
lutte contre les nouvelles institutidns poj-
Uti^ie^jBf civiles du pàys,/ ia'hésita pas à
appeler à son aide nous ne savons' quellp
, propagande ultramoniaine. Qn. se souyie4t
dès Missions- qui s'organisèrent sur tous les "
poipts du. te^wtqireiT des, ' exjgenç§s, ^e la-
Congrégation et ! des éxcès de zèle de certai
nes conversions,'quO, alors comme iùjoiir
inattendues-, de J ceS tendresses b'ieuses- -^rméps-'Soii-.iie-feAesi
-'d'tiomme^ .(l'istat en disponibilité pour uiie
cause qu'ils malmenaient quatnxi i^s^ é|^|entii
au, ppavoirî ^nvéïjLté, ils tiennent.trop peu 1
pf ;
sdu-
:ens
iija-i
■u' D'autre'p^itj-qui- oserait dire q
que, leurs .doctes rétïèétôceë;'qytel^urs 1
■ples^e^ de ,lâqgag§ l"ro)iv,eAt enpor.e .des goi
crédules.- C'est trop
qtfe qui; dëp'u'iS M deuï mois/p6^tè lë troju-'
.bl'e ti'le "4^courageme&il(faiis les ameà i '
d'hui< j étaient d'autant- plus bruyantes'
' qu'ellçs étaient, plus, tardive*. La noncia
ture de la cour de "Rome à-Paris était dey<
nue,.4'envahisspmentjen envahissement,
centreïdeçette yfôleifte réaction^ léjSiége'o
, q'uUjB, du véritable! pouvoir en France.lon
ellâ'-âi lojn dans cette voië, qu'il ^st peijinjisj
. de dire qu'on ayait sacrifié^ du même coup,,
avec les iùtérété'de l%'k)ciélé laïque, le^pré-;
rogatives de l'ancienne royauté. Il y avsfit
loin, à cette'éûôqùé. de Charleg X : à;Siint-
Louis où à Louis Xl^. ^ "'TV I
Quels, farént ïe^ r^âijLltats de c.es dange
reuses tentatives1.ll faut les rappeler puip-
r qu!on l paraît lès ' oûbiiér, Aujourd'hui. ( ]j.a '
causa: dè la religion, elle-même, pourquoi le
cacher?,'faillit ôti;e c^mprômisef' ^'e. Clergé
perdit en infl^yepcç, morale ce qu'il s'effo'r*
çait de gagner en influence politique. Bien-.
tôt son : impopularité ■ devint telle -"quelle ,
rejaillit de Tautel sur lè trône, ébranla l'u
ne etJbrisàl'autre.
La monarchia-ide Juillet, effrayée ppr
unè semblable ^expérieace, n'osa pas relever:
ces doubles ruines.. Elle abandonna l'Eglise
^ son'mauvais, softj'et^ pendàtrf dix-huit
aûs, lui laissa porter tout le poids: de ses
'anciennes erreurs. ' 1
Vint TEmpir?f 3 Çlè'nê~>oadaite allaitj-ii
,temr si vk-à-yfô'dâ'Clergé? Suivrait-il les er-_.
Nous ne - sommes' pas -de ceux' quipérisept
,^et, qui ç^pètefttqupj^d.açi les! QirQonstftnc'.es
■afftu'ejlesj Te Ole^è ir^nçais, à /'ex^igipïë çlé.'
" là cour 'd'e Wme, n'a pas eui précjsémeqt|la
nette' intelligente dé ïà situàîi^r'Nbiis. ;
î , 1 M u* in ^£4*» J - » v ') Ui.it } J f
yons.enfaçftde quelle^ difficultés persop-.
nelles et-de? quels scrupules' sfô'^âïïers 1 ^"n
' i réussi k'le placer'tqjit, d^boïdi li lui ét^it -
i malaisé, ' noûs%i.^oSvem)ïAf iJ b'aiitèar0nt, '
^ ' 9.» lî.►» j t
d'échapper ^.çertainesipressionsj tant? extp-i,
rieurçs qu'int^rieui'est ; de ; fé'siStçrà'là f|is
et aux; entra^eguns dés'ultramo'ntains et', ;
aux suggestions d'e 1 l'esprit de parjj, :
... ,Et,pourtant, Utfavait,qu'à se souvenir et
à comparer ! ""'i-'' 3 • " 3 i>
Nous^savons 'çrè^ ; a : s,ui;émenf, ^ Kl tl le mif
,nistre dei ciittes d'avoir glissé rapidemenj à. 1
- cet endroit: l,l J aurait ^u, 'sans : aj(ipiin doute^
.établir im.instructif. piraUèle étitre ltf |oju-
v'erneàeiit îcHpcriai pt^eçuj vquï'l'ont pf^.
cédé. Il ne l'a pas fait..
moqardiiq-^'juiUgtJi 11 crut qu'il ,y. avai^,
mieux à (ait'e. "Soucieux de tous les intérêts;
âes hitêrêiè'mara tàc comme d es i ntérétsm 'as
térielSjIÏ tint à honneur de n'en négliger au= - J
c«n. ® ei i^ rs esprits ? e -
notre tçmpâj que Ie^iemièrdevpird'up gou- u
'.y^nement jrrà) m'eut digne, ttéie no'flo, étp.i"t
de faire^condôurir êgaleirietit idtifeë leffor-"
i h -- t>* -T 1 '1 lia m ./•> i 1 , '•
ces sociales « au tranquille développement »
dfelà civlhàtfSft'î^ ' ' a * ' , 1
< :'■ i S, m%
La religion, assurément, était laipremie-
vre! et la plus pure^de ces lorcesjÈociale^, '
Poùrqij.q) rppbV^'r, ^stéMatiquepiént 1 ? sjon ;
concours! L'»Empereur désira,-au contraija^
qu'elle repVlt^sà placâ'daàs 'noiré é^uifibrÊi '
^atipnâl^fl^ujï^alfeifefaui^^.ppmnu
à une autre époque ; mais il estima^Çiié les
: yui^siéçbnW-dtt|)assê| ne' d^vaieùVpâ^ avbir
"été perdues pour lè Clergé françai^ fctiqug (J
sfes uoiiVè^ui imémbj'e's' sâ^rafént^^rwiist
;sa rendre kitiles à tous, sans •devenir inquié; "
;71
. ,uDe là, cts me3ureg;que: le-gouverqemen.t
français, de^'iiii' *âiV àn^ 'â'est'plifV ïaVqr^
sf'r, 6n, 'a^yu les c'arclinaux çutrer de ,plein
droit au Sénat, et des archevêques les'^sui-r
vre', c?tr leur .ljtre seul notait plus pour ieyx,
.0
qué 'Ift- ^ituel""romain' remplaçât ritici-
^•'l, , J > i 1 ! 1T, 1 ,b ■ --.V Te'U'
fcftnçais.-D autre p>ït ); op cessa de mettre ejm-
. W J, pêehement au,^éyelnp£ement^eut-£t|^im
jîffij., i.. .v«iH y ■ v».r i > ji't- Ï^J-i ■■ «s' 1 * |
peu trop rapide, des associations religieuses, \
: ç'Vmêmè.'des- kssociatioxis.'laïquçs. $eloqj~laf
belle -expression de M. lq ministrç, deg cpl-j
tes, « il^ convenait, au milieu
d^la paix publique, d'acçord^jyiélémentj
religieux autant de confiance et de libertéj
que' pouvait ïe; faire un gouvernement puis-|
! sâjii et natiônal'- P. Si les ià&eâ ejt lés œuvres
du clergi demeuraient « vraiment chrétien
nes elles devaient «'affaiblir bien des pré-
.1 - ; -'-i in -x! «
venlions! j» - =
Voilà ce qu^a-voûlù' faire, voilà ce qu'a
tenté- loyalement - le- gouvernçfnônï r de
l^Enipereijr j' eti l'on doit' lui rénàçe cette
justice qu'il n'a rien négligé pôur réaliser
cette noble pensée de conciUaUon- enire
l'Église et l'Etat. Il es^ allé justj^'à braver
les. graves.mécontèntèmens" àû plus grand
nombre' qui, ne comprenant pas la haute
prudenç^' d'une, pareille,
'hardiment qûtl a fallu tout'ljÈcpr&tige di^
,'grkijd p'opi dé Napolép^touje 1g, conp^nr -
qujinspirent la -sagesse e.t la ^fermeté d(
rEtaperedr, po^ur ^'on ne vit pas' ïeViVri
les défiantes animosités qui, EousiaRestay
ration, poursuivaient le Clergé." ~ ' i
'. Car'enfin, il faut biçq, le.repomi^irè, si
une réaction favorable au Clergé s'est ac4
« i s 't ; f- j f- ;»J/ «"'i '» • }*, t 1 . !' t 0 Ji«' f
i.coinplie,, i) ne; le doit pas,seulement à sea
vertus, mais aussi à cette protection bienveil-l
■ 'i-'Qi: d 17 , 'i$ 'm S ,|
laute.^coit l'Empereur a su r entourer. Mai|
: cette/réacliomsalutaire - serait) bientôt com
; prtimipe, et' la France revieçdrait vite au: ;
défiances et aux,provocation*'des *1829
si le'ÇIerg ( é sçrtait * de' sa ,missjo^i pour de
veniT-l'instrument d'un parti,politique.
'Qu'oç, en' juge par ce qui* se p'^sse (lepuis
depuis deux mois. S'imagii/e-t-on- qùe ces
distributions (Clânçiestiqes <|e petites brochu
res; ultramontaines ; que; ces- colères des-
' pendant ,de. la • ch^re.] de, véiité que ' ce 1
lettres ^déplorables'où l'on n^ respect»
même pas la mémoirê "des "moi^s; pense-
^t-^'qae t^| ce bruit-, touMfe^andalff aies t
1 gagné' beaucoup d'ajdjilrecsjà ^cay^qu 3
', L'pii prétend. dé'fèndre'dë;c^ttè iaço'â^ " ( -
- - Ce - secait là {mâ-gcBve. errows ia.\'éfit4>
^ & *** " '
vaieaVtoutau pJus^de jaaisérables çaueunas
tQut 'ciitbpli.qùçj aLÎm^feeWèrpéil dc^jÇpr t
religieux; et il vous dira-combien i il !a-l!am 3 .
nàtrée dp i jb;bt\ç4,tlfi J sé' i passî, nôb]Jas J 4aii s
^ea Romagaesy rnais euFracde.' Interroge z
^eûsui'tè ce que vous appelez la' ! RëVfelûtioi,
et la R^volulioiï K Al ' ^ous cachera pas con -
i-n- A l£ J. 'iutlr— .'H'! ! ''i >'j
^.îpn eUOi Réjouit d^j fâutes, que ; y,(jus e ei -
■tassez lès-'uïies surikîsautr'éé.^ Vt-p^J'iuez \ ,
, l'agitation PftliliflftPj, .eii'jdaçè .j.oîre'Àinpri -
idfecte; yousite^vous- aperefevM mêni® pas
qgie cqttç
^roàuire'quj cç^j^^o^. , .
;; P'es^trgpd'ay^iiglem^t! ^i^yfut-Ja
j allerienfin' et de quoi-sa plaint-bn'at(t|àsti ?
: ^Q^s',ad'f^e^top^ sap^o^^qua^ie^lerj é
j âît îpU &'M&UVoiMes : etrffi"ari^&'qùe ^i l SJiin
, J^^jga'E^ftQutr^|aà?u
lagè'^9. dqy'ieuii 'fet. luiiaiV > apport é". Igjcoi -
cours de Ses prièrès; i! Mais-là doit ^'arr^te »,
d'une partV|i.'aciioQ du sacerdooe.-j deJ'au-
'trftv'la tolérancfè 'de'l'autorité." J ■ ;■ "
,V1 tfîï -J" ■ -.'.-i 0"~ » . M ri '{>
_ , L'intérét 4e la religion l'exige ^epeore plus
•que fihtér^lMu siècle|"£usér ne* pouvons-
nous que nous u fèï|citer cteri'intcrvention jsi
^opportihie de M;1 e' c)5nistre dé l'intérieur.
Sjn.langage fehne, élevé? kl iqu\ concilie
llLbien iQresjeet l^ .pr^g^SHieêw pqiu^
.çroyons. -. , , , -, ...ij
Nous Voulons- croire, plus- encore. Nous
vouloto «r^ire" ^uje tios vénérables prélat?,,
qûijtoiis, à part quelques exceptions regret
tables, ont &it preuve, • dans 'tout " ce maji-^
"heureuj conflit^ jl'un véritable'esprit ; de
paix et de concorde, entendront le chaleu-
réuit appel dé •#. ie 1 ministre dtts cultes, ét
; veijl^roflt" eux-mêmes, à ç^qup lesdrpi^iiji--.
-contestables delà, société entière soient, e^-
flnrespectés."'* ■' -i ! ' . ' ■ "'•* -, :
Leiju's piêu^, eff^rtsi, nous^n^en doutons
pas, .tendront à rappeler aui clergé de France
qu'il est sécuUèr et; non pojn\ ( régulier ; eff
qu'.^ çe 'Utre, s'y doit,bçmin.agÇj, çjjmme; ca
tholique, à Celui -qui trône au Vatican, il
doit;!obéissancëi pomme/Friançais,' à j Celpi
qui r^'^iT^He^
- A;G rasdqviliôt .'. i
•"isr
. . agment
. Souverain Pontife, -parce qu^s- ïie
at' ( 'de J l ! éngàêer ' à'persister dans uye..
• Ce n'est
gique^qûe
journaâx, qui
se. du. f
ceïssteht'
voie -fatale.
Hierx'était Klbiim, qui,nous accusait d&
tr^WstirVol6nfOTe&eiiffi4^"É^ir'de la sou
veraineté, se gardant bien d'ajouter que
notre définition? di%-droit n'était autre qàa
celle du Pape JEtienne II,lui-m^mp,.A^jou|r-
d'iU^voici^e^ncfe qui,pour-soutenirisôn
.opinionsur.la-question des Romag'nes , ùe
trouve rien de mieux qu'un équivoque da,
langage. -* < f .
■' Le Papç, dit le Monde, est souverain des
Romagnesjmais'irn'ën èftpas propriétaire,-.
Il ne saurait céder un'territoire qui nq : lui
appartient pas , eC dotit'il s'e§t engagé pais
unj serment solennel a maintenir i'inté-
gritéi. ' :> 1 1 , . : à <■ ' --
r. Nous connaissions, depuis longtemps ce^te.
doîtrine. FaUt^it donc*la réfuter'une fois de:
plus? : ,i , * ■ . j .<
Le Souverain Pontife est-il ou, n'est-il pas
un souveraia ; 4emporelfl'!Là est toutB iltu
question. La réponse n'est pas 'douteuse; el
comment soutiendrait 6n, que le*droit jde
" posséder, peut exister, indépendamment du
,. droit.d'aliéner; comment le Pape.ppurrà-i-il<
' i ; « r,égaeç ,ët gouverner, ifldépç# çiapx e t^jibrè^
.s'il nîap&s m(Sm&tIa"libsa'té de•«a.uvej',. ssopi
•indôpendaù'fleet'sii'souverainetéw compiio-;
-mis-iyau prix- d'uu «acrificeiparittti? - <■: I c.r
Totites Ies sûbiilité's ilô l'a,aialeètiqué ! , que
,le'MohdejL ïeçuei trfblêHïàge. tae Isaûrai^ntt
'prévaloir cô,t)}ra çé i si&ple .Silénimey dont;
' ,i^ous ï^issons ^sapefspicacftélle 'soin deitH
t, r,er ja conclusiQiflo'.; u-, t *,i V, - j
Un® observation flppçndajût,.a eeule [An.
de prouvée a«> "Monde que. nota ne sbmnçies
■U-paSi /oommfeil élégammen t,- d'une
ib
pourntiu?.'
. jfie n'est pa|)a.jpréniièr^Jqis qij'uh Çape,
, -«n vertù dejSQn, u|re '4q»spuyçrau tempo-
•rdl^se irouve^laws, lialtet^alive)d abaàd^n^-
ner -une partie de son '4érritoicei-aLe Siibt-
■ ïSiège, autrefois, a' régné siir le duché de
' Modêne; '|ii inême ' titre qtl'il règnb'«ur îles
DÀmnirnAa ' Ami'Wndn/lgiiV.i
yyiwytfwi^w vw ,«IP w ^
aù comiii'8ncéi±içnt dii 1 'X : ViIl' 0 ,'éiêclé7en té
l,, dant "h* i;AÙtriche'>alors' ViBtprieuse'^
droits siif,Mofe s f,' '' ; i i( .
- Cette transaction apar^ s^peul^essqr les ;
droits d$ l'Eglise^que lè,panft.%lX,"co^
j. jinç, souV.erain.et fiomme pobwfé^^lfive, au-
* 'î AtiwJ'tmr lit .«rniv. An /n^iniiw t
.odene.^' i-vi !
. 'L'analogieempile,assezpalpabK, çt^quand
' le Mondç.
' Mïi i5 '
f- i s-.i
,< , Le.$fKn»»â,?o^,annoqpg, aapr«s une $1
1 chei que la France et l 5 ABglèt«iye. : ç%e,t-gv, .
point,de.sigBeB.une xoaveatianiTeladive àux
' pr;se8~q\ie'l'erd l'-eipéditioU àeïGMiie; ;><-> > '
'* ' "Le ferait qû» l f «ipéditK)ti : était'aiourûée. est
> dpn&.fâiliÉÎ. ? ! ' " Â ,.\ ,:,î ; • " * I
Aojourd'fiui, dans la Cbambie d l -;s Coti
Commua
que l^i tranpe n'élèvera pas îea éroita
,artiai valorem. L'é gouvei^mQnt/îr^P'çaif^ . ajoute
M.. Gladstone, PJib%^ saù^.p ; ep'.dçs, «^aÛSjà
e%8ujet,-
Madrid, 82 février, 6 h. 30 iri.-goip. ;
Suivant- une lettré de Tétouan;'publiée par
la Gorrespondénaa;- le maréchal O'Donnelt au
rait remis i le- 46, lès-propositions pouvant
tfèrvir de bases : & la conclusion de- la paiX.
Le maréchal exigerait: l'abandon àl'Espaçne
de tout le territoire conquis; la conservation-^
perpétuelle de Té^ougm et dé sesalentoûrs; une
indemnité' de guerre'de 2Q0mitlion8.de réanxr
1^ respect àu' cu^te' catholique et la stipulation
d'avantages commerciaux ' âu profit de l'Es
pagne;'; '• , ' •' , - " - i .
'Le terme fixé pour la réponse du Maroefsë-t
ralt le23"courant,' ■ ' * ! • i;i: • - -
^n'ine croit pas que ces'propositions soient
^cceptées. % ! ' : ■ ;*• 1 faoniai Bûllitr.),
, Le Monl(iur belge publiait hier, e# tête
de sa partie,oiûciôlle,.lfii curieux document
que voici : - : u i ,
Comm
■periiy'fet'a,
envoyÉ.t
BQrKwie-Tslng, commissaire, peur les affaires
Af*A«n\ltAM A4 ITAntrAonAHV nAviAiial J
aue.4
tomnîtà'alrë péuiles
atteûtlVemeif-par-,
courues."i :»<-f-t.,'-.; f , r > u
, Je trouve,! après- examen, çue,. il ; y s a,peu de'
temps; j'ai reçu una Bépèçhe de Laon, gouver
neur' général des, deux Kiangs et de "HaMg, surin ;
S teadatit des' douanes 'à-Oantoti/ aveo des ooples
de dépêches relatives aux affaires de Belg:quQi les-'
quelles m'infor ' ...
de.Taou^Kwai
cotnmissafreÉ
dans-tin rapport^ proposé A S. M.r de ^ permèt-
tre aux jnégopiaos belges. de taire, commerce'
avec le? cinq porfo; q\ie ^ M. accorda cette .per 1
missiony que,' sur • cela; les commissaires fourni-'
rent i&u consul bôlge- d^s j coptes des-traités^t ta
rifs britanniques,, français et amérioains, po)jr ! la;
direction du .commerce Jbelge dans les cinq ports,
et que l'ori n'est copVènu d'aucun règlement pdur
le Commercé, pendant' ta quatrième année de Heerr-
Eong (l'empereur actuel). < .1
■Les négociais .belges, en oonséquecce,.ontà se
confo'ririer, quant à présent,, à l'ai-rangement cen i!
veiu pendant la 2î>« année de Taou*Kwa»gî-ï:t II
est' constaté'quô' j'Ai- éo-it àscet elfBt à 1",intendant
consul à 1 'Shanghaï,, pour la direction des i.égo-
1 oians'belges." 11 J ' î '• j' ■■ , :
ports} ibieij-que le
traité améri-
nsj ni-
Belativement aux nouveaux
ministfe améjicain ait éc.
cain, cependant ni ce tialtéj,nl lès règlemens
le taiif'neisonrencorei'entrés'en vigueur.' ' ,1 a
"Les ministres^anglaîs et. irançais n'ayant donc
pas réglé leurs traités, il sera nécessaire que le'
.gouvernement belge attende jusqu'à ce eue lied
traité^ de'touS'les troié' -goutertiexiieris v ittent lété
régléfc d'une^manière satiBi'àfJaïfta et'qufl leB'nou-
vcauntpootS'Sdiebt duverts; c'est aloie qtipij^ -
"DansJl'eutràlûfnps, j'ai À reguérlrique ,vos/nége bl
'v 1A AitmmATM -fiiiT /'.mn , nn *ia aan.
vileges, vos
mer, % ni',)
Quanta*
saTre'de/co
- - PKLO
nôgoûiaïis alors aucoutià siy t»ontorr
w'é^entj touteftîs, il pas néces-.
invénif de 'quelques ' nouveaux : 'aWiples,
leurs»
ils,
ccasio£-4a .yojR ofSriî.meg cqmplimens,,
[pmiînicatiou nécessaire à "M. d'Egrèmônt.
strvde'S'.'M'. le'roi'desBel§e'^. l, -' ;l ° i
19 octobr^-WBSob' iï 'iL a >i. i .0 . , •
•1 ïy>ur-tradu.ctiipn.copfçrmei j
. v (En. langue angrâîse),,, i « -•
Signé : Jotfx-A.X MiiûowSj Jlitei-j^r^te'.'
(î U
a 1
• b-i .r
La'tliscfeitin 'de Tamen'deàiecjt de SK pu-:
cane, commencée 'toàrdi, vâ,/êtrg reprise:
àufouFd'Mi pat, 'Jaf Cbanibre , des J éotnmu-
tiè's. A Esc tin de li'èéknrfè U'àvElnt-hièr, l^rd
'Patoerstoïi^àféïprliiié l'è'spbir qûé le ivotfl.
a^ùràit' ffiëû 5 cb'ibfr' 'j e'ùdf.- i PeUt-être l 'lfe télé--
graphe ne poujra-t-il nous apprendra que
" .Vin si 1 cet éâpo'irP apl-sf^éfl \è$\i
ilë'maramav
sé; car
.p'çrtafi
ni'a.'prfè'la
i'àpré;eht'kufciiilf orÀteiir' im-
i-iffe
r. uuiuiu) et JFnest pas
probable ^uele.'lébafèe terÉdihëïvantune,
! *në^é'tefis«Vàbcéfe'dè'là'î!dîrëé. ' V'>' J T
Ce n'est pointi' ) c,oWme'cfti i ëait'ie J fraitj( ; ,
' de ébrùmercè que Itf nroliori. 1 * dô jfl.^Ducanei
met en cause, du moins ^free'tpihént.^llâ^
: estâinsi ïormuléë:' î: ' ! * ■' - l u
u '« Cëtte Chïtabh^recbnûàissaùt la'ïièces'--
sitéjid®.pourvoit aux 1 accroissemens'flk idé 1 -'
l> Qivn^u fînbr/Ai'àm
, ment contra les mesùrbs. financières derMJ
Gladstone- quiioôti pour ebistj d'un côté,
l'abolitioh et s la ''suppresfeicin, ae' âroits' ^ur
certains jartâ'ûles^ t^l|'flu'é;.l^â; $pg et ïé pa
pier, ët, d'un autre côté, l'équilibre, ^du
c budgôt'faiiinoyea; d'ua& augnwntàtion de
f incomb-tlta?: ,J Mai^ ;I on" l voft'"q(i^ : 'l r £lménde-
ment s'attaque aussi indirèctejn'çnt au trai-
; té, puisque la diminution* des> droits sur 'les
vins est là conséquence de ce traité, de mê-
me'qu,e.la. ! . surrélévaiion de l'income-tdx' t en
est un corollaire.Entous eaSj si la motion do
tout' se tient . et s'enchaîne; s^écroulerait
néces'sdirëment'. ' ij ,
, ' 1 pti' rëstg, : l'autèiy 'd,e l'amendement, n'a
pas dissimulé iluirmême que son but était
' de faire, au noip de : ce 'qu'il croit être la
yjérltâblepnljti^hq Conservatrice, une oppo-
sitiopi franche, et déclarée'aux jdàns. finan
ciers du gouvernement^ injustes suivant lui
' ët re^^anf'sur de faux principes; Le bud-
. get ministériel llû .s.èmblfi dï' b$ture',à! ajug-
menler les difficultés, financières du pays
plutôt-qu'àyJôbviér; Il lui paraithors-de sai-
. sçn çTppériBr .des, réductiobà d*i)npôjB. alors
. quSori propose d'élever ifôhtauf .à4 l'impôt
1 sur le revenu. Enfin^M. Ducane a déclaré
( ïbm|)^ttrél,ë , b^dgetj parcë qu'à son avis il
, fcst;ba^eunj.^té •d>.'(ip'nWiét^ , .'isàns
utilité etprofilable surtout & la Franije»!
par nn excédànt.-de 4î0,0Ô0bvj st., l'exerci-
çe'de l'année suivanteprésenteraiti d'un'au-
tr,e' fcôt$v,,ifrç 'déficit'
lement ? Ne se. .trouverait- il pas 1 dans
la B'écë&itê dè ! maintenir à un taux da
,pl,us en plus" élçvé çpt impôt "du revenu
si, désagréable i et; qui n'était / pas d^tiné
à' deVfcnlr-permanent î Ou bien n'incli-
tierètjit-jilpas Ve^s un' système déplorable da
fausses, et imprudentes, économies?
Voilà les craintes et leSi principaux grief?
copt^'Jé budgét' exprimés par Tauteur de
ramjmtlenjçnt,, Nôus np'lés ayons mis e^i re-
lietque pou» mieux-faire.saisu*, le sens et la
portee da fataotion- sur laquelle la Cham-
brb'^.ut ^tre Sip^blée à émettre soû vote ca
m^ns de-M/Çucane. Il est à présumer qup,
' dan^'c^Uç d'aujourd'hui, la (Jéféii^e, pré
sentée par les principauxorganes ,qu. mi-
nis1ère, ne sera-pas moins vive que l'alta-
(|ue." t J "' ; 1 •-> l' 1 '- i ';
Noos dejwj^^uftjr^çyis l-i 'jr'.'l:'s-^mi-'
''î'^éfiçUe ne «^uyml£e.,igs Jm-i îuquiè'a
du .résultat:dô^et» atn^u^iyl&j. La ,ipà^onté'
■ dcj63'Aroiï 'qtH b'efet'proiTOneée' lundi contre
la. irlbtirfn de ^.''Dlsraéli Ifti un gage
certain âe'tiitjmpM,' ' ;'^7*;,'
i -, i Le >Mùr
qaus$V4Ù' ,^itÔ':'^e/ Gmpl^qrije.'^ Ea'l'iuta
nVn sflr§i qû'àJmj. dltfce jQprnal,' s'ils»
laisse enlever d'énormes avantages, par la
jaiqusië d^artis^valix ! 'dans Ma Chambrq
.d"§,,Commune^., fiû'aï pro(ifë;de''ia mggnii
ûque occasion ;tqm: lui estioffefte. d^ipaugu-
r,e^j ! tl'irmtfè'nses 'relations avec ■ le- -peuple
,tr hmK'!L':rv.'\'
hQuJmes. .lait. avec raison,, du votç du
budg et et de l'adoption du tra ité une ques
tion de ,çoufiancejnïèrnatîonale. Les cia-
' Côh'étàffces^ èélôrf'lfli j ' fôflt',Exceptionnel
les;'c'est pbtirqii'oâ lé budget lui-même est
e^éepfionriel, cëst pout'çjmiHl -est oppdrtun
'précisément''d'avoir ^èebufs'-à ce-' gr^ad
. rûûV.êq'' de'Gaànce: l'augCû'entàtioki' de l'»«-
1 cofne-tcù)èl '- : « 'Nous efrtàflds, - dit-iV, datas fa
*codviéii6fi'.qti'èn s nqus përoiettaet' d'abaisser
notre tarif, il notis- metWausgi'# m AiVto de
gagner la confiance de- nos .voisin g, les amè-
venu qrainaire, J et ..n'est ims dispoiéo à-,
l tK>fep'er lë? jt^tèf'à^ëiiteè'- d'il p i^sênïé--
tab'issant l'incarne-tax à uq Mix-feiVr^levé
i; èàn'*ùêcKsi(é; S»'
neav.Mc^8d&i(m.^xé p.{mtot^v;P.^ l^r4it t^^Ainsj ^^Uia, motign ,^di|igéo ouye^to-
mens mutuels en Europe; « Nous sommes,
Wèvaiûiiiu^alout^t-iP, que^ést^ainsi qu'ils
?ëront ; aocèpté5.éf , 'bo l nsidérés par 14maia->
;/it ( é du peuplë.iJét'ÉfVays: » -> -
IlJ-aiÀKlÈ: MiftflN,
1 1 '~k câTfe .ot iiJB
«1 \
'ni. t..
ï JJ£
4 .1 -.PAWJEMBflit'.
J CHAJbBRB des' LÔips.' 4 : -i Sutlc ki fin de lasianœ
., ^.21 à?*er< .. - tl
-LorJ Selkirk demande,qo'il .soit fait, ooinmuni-
, catiftftiià.-la chambra j}e oopies,"ou d'extraits de
.ceçUmes letli^Sj^loi^Èisifj^lo^ci ^ial^ç^bary.
i ■ . ri. • ; ;.- j i"^——'-T-r-r
FEUILLETON DU CONSTtTDTIONHEL, 24 FÉVRIER.
1
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i vh > I f jy it,
. La maison de Teguer avait> pris «n^air de --
fête; on,avait renouvelé- la feuillée-dans le
.vestibule et répandu sur les 1 rameaux!verts
jjes fleursodqrantes.de la sauge,, de' la'la-
van de; et du'.thym.i'Un réjoiassantiparfum
de la-cuisine: se répandait - de • l;i càve= au
grenier; les casseroles, fumaient sur tous
les fourneaux,! le 4om,esUqne factotum -por
tait danSidespapiëri- des beutétlles de tou-i
tés îles dimensions î et lat majestaeusa Ulri j
que étalait so a. importance devant la vaste
cheminée,où- cuisaient trois-étage^dé'rôtis;!
L'honorable Karl-Xohan, croisant derrière
,tre,i-goûiait les sauces^ faisait aligner sur
les dressoirs,les bouteilles SappArUées-de ia-
cave dans i'ordre qu'il-1 allait' suivreipoip
;ye.rser leur préciè u x. contena / ét q» Jaçait-lui-
même sto' ^^aquB-seia'ietié^ïe nom deà
convives distingués quf devaient, csfcie'Bjoujr;
s'asseoir à sa table. —Al^bonneAeure ! cria-t-ilàMaiius, en
venant"au-devant de lui jusque sur la pre
mière matfellfe ^Q'pèàt perron, voilà ce que
j'appelle un homme exact. Mais soyez tran-*
quille, avant quatorze minutes d'ici, nops
mangerons le potage servi parles mains 4 e
Mme Karl-Johan Tegner.
V^ êteS'supe b -Kflt-DaiJgla^fe efl'rH-
gardantifci cra^àté:«a mille' raie&i' le -'gilet'
< chamois Marges reVer^ efcU'habit ta'arroiï
à fcoutons.^d'or du-négociant.- Cett don# uu
dîner habillé î Mariez^Oùs^votre fille P 1 *
s- u^—^Pas-enCdre', flf'TO^Uer 'en- tllgiant 1
dei'œ'il. i '»î - "' •' ■' ' ■* ;
■ ';—•• Aiûfcà-'vonsmvez le' Vicë^roi,, l'amiral; '
le général, toutes les/aûtorités Ci filés et-
militaire^ du pays ? : * ■' ■' 1
,. jj- vbws verrez cela-, répondit' l'honnête
s-àégoci&nt'Qif #af-tferigo#gaant cemme 1 ) un
paon qui fait la roue. ' ;; ■ ; -,
■: . .*^- S il!en!est ainsi', -je monté chei moi-
potar tâcher «de ïnesrendre ^iignef'dé cette
illustre compagnie»''- ^ r -•
■—iEh ! hé ! faites-vous-très beau, 'tout Je' 1
monde ne peut qu'y ça'g-âeÉ! ( \ •• v-- f
- Quand 'Oanglaiie ' redescendît, dans un' 1
costume'dont Uélégante -siûifJlicité-cbht'rajs-i
'tait peut-être avec l'japparavet 1 le luxe^é-
ployés par tegner, il'troavaicinqàsslt hotp- '
mes -aû sfirton,- -Le n^gociant l'-és- lui noihmi
successivement : c'était lé''gouverneur de fc
la'Binque; te'commandant d'un esfeadr^n
d'artillerie Chargé deda 'défeiise 'des 'feôtes, 1
' et des ïiégocians^ayant du crédit sarcla plia''
ce. Le jeune Français fut accueilli avecjla''
déférence 14 cèuttoisîé quVla Sàèdeg^r-'
de encore pour nous.- - i" 4 '" 0 > 'j'
/ Tous-les convives- étant maiÉftÇnant réju- -
.mis :0n.ouvrît^deuxîbaSttanf! -la^ôrte-dù ^a- !
lon,iet Mnf>p!Tfg'ner parutj-sùiVle iPElfridei s
Elle n'avait plus , -comme leïn'a'tin'j'son li^
vre de pniferesisous le bras; ç^ais il était {a--;
cil» de é'apercevoir'àiqùfel pàint'il ltii'ma'n--
'iquait^ dar, de temps en tétnps;^lle rappro
chait,son eoûde de ton flanc'comme poair 1
XempécherJ^fe" -'tombe'r p in'qftlètfeï 'de»
ne pas le" sentir à la place accoutumée-,
«tle était tdtij'oin^ teritée'd'yportfer ta- rriain
•tiroitti'comrrie pour s'àsâurer qù'iTn'y^étuit
p'oi'ht, L'e fonrreâù ; de i ldrtié , *'<îarâiëiiYe'avait
été remfiia'cé'pà^ uflft ,r i r oBe dé "Violet'
•'te, dqnila'%rmë n'était pâ^ 4(lus"/gracieun
së' : "C'était' toujByrâ' un: 1 étur'qtri'
cpnceraanî les aimreS'ïlô
i . tord E!gin saisit cette occsmou.,pour se discul
t^afisr
^ 'ctes' "formés' 'isèet
.1
- , cô.up^it i bp,'aiccu§'éesV i S'inrf- doùtè ïa ermo
lirie- n'avait pa^ 1 epcorcïraiiebi Te o Suùd J
lucane - proéminence n'ibaiquait' la
plaoe-'^uè les âut^e» lemàe's lui' réservenu
a^inâ'leur tïSl( ! Ufe. : Pdr 1 î)onh'fif
gaèr'tfvaïÊ t-a filFp/qui suffi:
f 'Seit qji'èlle Vût un intérêt
MûméleursYfiibe
nouvelle
charme 1
-tàêtfid
m
'fride
1 '^! j ^!ouapges étaient'vraies", lln'était'guè
-fepés'siyië d'avoir plus de fraîèfeéiir etn'é
clat : -ïffs yëâx grillaient ëômme^dauX T dia
itiacs DfoirsJ*tet , fon' > ffbnt' à 1 fcHt J ie poli d'm
béaà' toarbre,' *' tat) dis - cfiïe ^sës .tfexp?'' 3 d'
grain'pl]us fin semblaient trïûsparétttës çom
■ me l'albâtre*: ' "' ,f / ' 1 " :i ' '
Petttètffe à l'avis, où la feiodej càprkiieusï
saife râison, e'xercet on jours un emjiir^kus
1 ti ridictilë' "qu^ ®st àbsrira ;'à PSris 1 ofj 'tm*
L . iiér/titréf," pour i êtf'ë f , i 'elt 1 'de "fc'aVu '
Pffmi{eticô!re été- i àîPari?-î, diS;jfy éir éûl pu
'taire pl"u3';'dfÉin repr6ch^'' ! a c'ëtté "ifaise ,
'qui coiïimëttàit :i un fhi^ratit■ knacîjtoni^mt,
1 sFià(lf-'Tà ae4^^%lé'^kiatefe
portent aujourd'hui. C'était tout simple-
171/i^u.i^u u-juiu nui» -
' ment un cor?age à la.fôisiéube et opulëb',
, ; L " et venabt r^durir" ijaP ïrbis pçtitës : bàsiiuéô
; tailladées sur une jupe bïeincne faisant nal-
; lon. fput çeji.pquyalt' dateif'de '182<> dji dé
v 4840; — poiir' Màri^s citait'toùt' jiri ! Mais/
û/i JÛKfi aaIi) na on vk/V*f »ii4-«iItVci'W4
istume
tait.
lû
t .à jfa^ijf' êf fcelle^tjTaî, lé ipejr'-
Qiiand'on/eiit- ^uffiiammëbt u adrfairé lâî
/' beauté 1 - dé'salllle; ét'ti|j^'é 1 a éà 1 boine ! gr.â^
vanité^patlerbelle'r ......
t, ^ Tout cela estbién^ft'M.' Të'^nef-j'âWës
' v 'r»trA»w ^11 m «♦ r»'»» Vfc^ï m A -fit» A «
•et le
iï ,1
plus'que Jes 1 .paroles./-' •
^Clétàïtfin assez^eaù gar^on/kux énaife fa-
"VottéTbtix/ft rfeiPb'eu'-Vâle;- portant 'd'orjli-
nà.4 > e î 'i^sëz^bîméntSëSt£'ente-qWâtt , e ans,, et
répondant au nom de Frédéric Brask.^pe-*
■ pùis»lpb^\empg'déjà iI-%oupirait-pour J ïà belfe
Elfridéj mais.ils ti'étaient pas^ftéorë fiances.
. A un ëfeitain mbmèbt/, quand déjà- -la we-
' mi fef# fàitn ^ut apalsé„è', J ét que les~vinsjde
Ffàtrèë' !er d'Àll^m'agne• èurfe'nt''p'o^té ! Pen-
dlnérrefroidit 1 !.' , , , , .
■ Effrïde.posa le.dfiigt 1 âtif un'timbre,'ètj le;
inrriûQtimia' *vn /»rtWrtlÀ1a {I Aûffa
lu J
t^l|ée. , ,.^ j '
/ CbaQun m^ûgeat^iiji 'saq'dyich^bu depx,
•* f n ' n l\ «s ' A i4diA d] A t l'n #»W 1% AtiMn « *
blesi
" '^^^eaitrjîfè mria sbii'v snt
' . èn'lraDçâis. àl'àim&'lè'frtlé.augrand'déb af^
- s ^f--d i iki f ^iiné^é^aOTant''p'fSé wfarcë -^reux
de l'autre côté de la table, et qui plus d'une
Ttrr
' *~3 y.e
,-J i!M
eu ju pjaisirHK vo.us'preseuuer. ' w =
t-i-Poufvâ'q'u'e cë he «oit pas \n paternité ■
qu'ils ■Jfbiyent ensemble! m'urmui'aFréïï'éric.
' : Elfride ïiâ)ussrflA!rfirement lfii ^n»ï'il t «aL u
'dérick -Bratt, aui'»siiiyàit^ous'le» détails de
««te pefitë ( '%çène aveS^ude'attention in-
qUiète/-MaKus t Jcrut^é'bon : goûi-'de ne pas
prendre garde à cetté abstdflliob, ^rôp si-
gniflcative,idontElfridô' v sp.'îÉblai r tS'inqoïéter.
des va^teâ'libatioh.c:, tant' dd'foisTepétées,
eussent''depiiis longtemps^oouché-'^ous la
'tabte des -DUVeurrmoins' éprouvés, et,-sans
une vaillat^se naturelle, ^ncère 'hguerrie
par lô 1 lbpg tiîa'gfrî pliis-'-d'un s convive eût
sa&â-do'ute frouvé';«n réhtrant chez-lui. que
lèfe rués'-étaifeïil bieh-.étroités ^ét-les murail
les bien rapprochée. ~ - r
•' Q'ùànd ils- se furent tolis i-étirés, Tegner;
dont M laî,langue éfâît-pelit-être 'plus épaisse
'l[de ; d'ordiMire,'' dit v de' cette--voix grave et
Un péùCaverneuse» qae'4'on a souvbnt après
boirë*}' i; V : -:i -,i, , ,h. , , f .
"--^Gù done'^st'Caifine 1 } >■
«îiL.-EHet'^freité'e^ans ta-chambre, dit
ftlqie Tegocr, qui, pendant'tout le dîner,-
fi'avait ! bu que dei'eau.' ,.,i» .>;> '
1 lilîride MgaÉdi sli mèrt 1 ; quiai'aiouta pas
ubjHparoIe. QUaat''fe-Tegner; il fc eilevay non
.^ads-'S'ap^Wyér assez lôtirdc««!Pt sur 1e bras
d^ son fauteuil lûtéorlit.-'f \,-o i
UL l.'i • ^ . o
! i, i;'.
U) i
v:
A
"'■ (Jb'est-ce^qùe cfetîé Carïne?. së deman-
dïitMjrnus,'renb-é/ébez'lui lJ aprè•• qaè' ses
b^ës'fui'bu/eiW < 'sôuhffité un bba aommeil
f't'lrlÀa 'tSÀUc V ôkfo.»- ;i!rlrtV.v.
Mille; patri^ïcàlél Sëïrèùvâit-il "à l'entrée
d'un mystère 'd'Ùddlp'he ? 'Ce-père à lamine
•ïUr^M. •• 'i >i UO-ffClV- IX lttUilMtf
t boUrg<-mâéMét' dôbéanfïir^ élart-iiïuu» o^re
*aîJ!ajg'ô J, de fftjefio,- é* -à qui i'oa
servait de's'petits'ënfanâ-pour ^on-isbuper?
L'austère Brigitte, cette puritaine farouche,
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