Titre : Le Petit Parisien : journal quotidien du soir
Éditeur : Le Petit Parisien (Paris)
Date d'édition : 1935-11-24
Contributeur : Roujon, Jacques (1884-1971). Directeur de publication
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Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
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Description : 24 novembre 1935 24 novembre 1935
Description : 1935/11/24 (Numéro 21453). 1935/11/24 (Numéro 21453).
Description : Note : Dernière éd.. Note : Dernière éd..
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Source : Bibliothèque nationale de France, Gr Fol-Lc2-3850
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 06/12/2010
TEMPS PROBABLE
REGION JM.BI8IEFMS. Ttnip* MMt-
brumeux: teitl fatbln de aord, qualqnei
bruines huit 0sr Jpwr &
KN FBA«rt. MelU* Nom), comme i
P.rlv Holti» Sud, tant nmdnif d'en, fcl»[r-
Srwiid engouement.
î»v»r. ,1 k.,14 «ucher, U fc* 1.
Lu Parisien
¡Un: D'ENOHIEN. PARIS (iO>)
DIMANCHE
24
NOVEMBRE
I CE QUE EuT
EN 1923
LA PROCEDURE'
D'ADMISSION
DE L'ETHIOPIE
A LA S. D. N.
En 1923, quand l'Ethiopie adressa
Sa demande d'admissions au secrétaire
fédérait la. S. D. N, comptait qua-
rante-sept pays des deux hémisphères.
La demande de l'Ethiopie se pré.
«enta comme une aubaine à cet, orga-
nisme encore tout brûlant d'une ardeur
de néophyte,
En fait, qu'était-ce donc que l'Ethio-
pie ? On en avait bleu déi^ un peu
parlé Tannée précédente à propos de
l'esclavage, mais qui co&aaïssalt ce
pays ? Iî n'avait pas figuré parmi les
Etats membres orïg-tnatrea, alors
cependaat qu'onytrouvait le Hedjaz
et le Libéria Il n'était pas mentionné
non plus dans lu liste de, eeux qui
artUcfit été invités à accéder au pacte.
n n'avait pas fait partie, pourtant, du
bloc- des nations ex-ennemies. Il
n'était ni une colonie, ni un protecto-
rat, ni un pays sous mandat.
La acéaario fut monté selon les
règles les commissions compétentes
furent saisies, Iesquêlles, comma il
«onvient, çhiargèrent des gûTis-conamls-
filon,% d'étudier à fond les questions sui-
vantes la demande d'admission est.
elle régulière ? l'empire d'Ethiopie est-
il reooMîu de jure et de facto, et par
quels Etats ? le pays possède-t-il un
gouvernement stable et des frontières
définies ? go £ouveme~t-il librement ?
quels ont été les actes et les déclare-
tions de l'empire d'Ethiopie en ce qui
eofleerne 'ses engagemÈnts internatio-
naux- et en ce qui concerne les preacrlp-
tions de la Société relatives aux arme-
ments ?
La comjulaaioa petmaûente consul-
tative pour las questions militaires,
navâlea et aériennes fut la première en
contact avec les délégués éthiopien..
Elle- leur demanda quels étaient les
forces ea artillerie et les effectifs en
tempe de paix et en temps de guerre.
Les délégués de 1'emptre britannique
et de l'Australie Insistèrent sur la
quantité de fusil? et autres armes pos-
sédée pair le gouvernement éthiopien.
A quoi le principal représentant de
que, cette question
tenicîiajit àla souveraineté de l'empire,
Il De croyait pas possible d'y répondre.
Là-dessus, la commïasûm, satisfaite,, se
féunit pour d6libérer et conclut que
« les statuts des force militaires, ra-
voies et aériennes de l'empire d'Ethio-
pie na constituaient pas un empêche-
ment à son admission au sein de la
8, O. N. >.
R. L1NANT DE BELLEFOND9.
(.La mite à la cinquième page.)
Un remaniement du cabinet
est envisagé en Pologne
Varsovie, ZS nov. Id-ép. Petit Parisien.)
Le problème des outre le
dan des colonels et Je gouvernement
Koscl-vikbwskl domine toujours la situa-
tion politique en Pologne, Le bruit
court à Varsovie suivant lequel le re-
maniement du cabinet aérait sérieuse-
ment envisagé à la présidence de la Ré-
publique. Sans douta na fl 'agit-il, si l'on
en croit l©e milieux Informés, que d'un
poste minoterie! calui de la Justice
dont le tltulaite, M. Mlcbaloroskî, serait
prêt à Se démettre, mats, la personnalité
de l'homme qui serait éventuellement
désigné fc aa ^lace est des plus signifi-
catives on parle en effet de M. Sta-
nislas Car, maréchal de la Diète, au-
teur des grandes réformes constitution-
nelles qui furent votées au début de
l'année et de plus 1 une des fortea per-
sonnalité* du groupe dea colonels. L'en-
trio de M. 3taïtiB]as Car dans le cabi-
net renforcerait donc la position des
colûûeïs dans l'Équipe ministérielle.
Les colonels avaient à plusieurs reprl-
spa adopté ce. dernières semaines à
l'égard du nouveau cabinet une atti-
tude de quasi-ho*tilltê la nomination
de-M- Car-révélerait qu'un accord a
pu ftnalem*nt s'établir entre l'aile or-
thodcàte du camp Pllsudskl et les hom-
mes nouveaux qui turent appelés au
pouvoir le 13 octobre par la président
de la République, R. M.
La vie prodigieuse
et dramatique
de Léonoraet Concino Concini
pur Lesta UÔH'MAttTlH
La Grèce
enthousiaste
se prépare
a recevoir
son roi
Athènes se pare de fleurs
et de drapeaux, d'arcs de
triomphe et de banderoles
UNE FOLLE IMMENSE SE PORTERA
AU-DEVANT DU SOUVERAIN
Athènes 23 novembre.
AthèD*s, pour recevoir le roi, a fait
grande toilette. Les rues par lesquelles
déniera le cortège ont été raéticuleu-
H. ïUvromlchaJLH
sèment brossées et astiquées. Les deux
arcs de triomphe Sûus tegqtMsla pas«*r4
Georges II se dressent, l'un à la porte
de la vHle, l'autre au cœur de la cité.
De petites ouvrières diligentes, qui
avaient installé leurs mac nJ nés à cou-
dre sur la place, ont cousu les der-
nières toiles, ajusté les dernières b*n-
derotea. Au flanc du Lycaùette, une
immense conronoe royate a été plantée
qui, dès demain soir, sera tfluminée.
Les jolis drapeaux fleuris Il croix
hîatlthe palpitent aux fenêtres. A tous
les balcons, dea écuseong aux mêmes
couleurs Sont accrochés.
Atttènea, déjà, refuse du mande.
Demain, ce sera la foule innombrable,
i" inondation humaine. Car on pense
bien que, malgré la tempête qui a
retardé le départ du roi de Brindisi,
toutes les cérémonies pourront avoir
lieu aux heures prévues.
Des mesures d'ordre d'une sévérité
exceptionnel ont été adoptées par !a
poUce, qui a évidemment raison de se
montrer soupçonneuse et précaution-
neuse. C'est eon rôle. Les journalistes
ne seront pas autorisés a
suivre le cortège. Us devront se poster
en un point déterminé et n'en pas
bouger. Le gouvernement m'a cepen-
dant aimablement offert d'embarquer
bord d'un torpilleur qui, la nuit pro-
chaine, ira au-devant du roi. Mais a dans
la nuit et sur la mer, que verraia-Je ?
J'ai décliné cette oordiale invitation.
Maurice PRAX
« Je déclare solennellement devant
ma conscience et devant le Sei-
gneur: Je suis innocent !»
Malgré cette protestation pathétique,
l'évêque de Meiseen, accusé .de trafic
de deyUes, n'en a pas moins été
condamné
Berlin, 23 novembre (dép. Bavas)
Au tribunal de Baril n, aprèfl Je réqui-
de Meissen, Mgr Peler- Legge; a pris
la parole.
de prêtrise en a*t-il déclaré, j'ai
été amené à avoir dea contacts avec
toutes tes couelifia de la population. Ja-
dire quelque ohoae qui ne soit pas con-
forme la vérité. Tout le monde dîra
conscience et devant le Seigneur: Je
suis innocent.
L'évèque a, cependant, été condamne
à une amende de 100.000 marks, 4&nç
emprisonnement lç vîu&lre générai
Sa à cinq ans de réclusion.
M. Leg^e, frère de rév&que, a. été
condamné à cinq ans de reolusian et
100.000 marSa d'amende.
Le Pays de Galles bat la France
par 41 points à 7
SIR GEQRGE CLERK
ET M. CERRUTI
CONFÈRENT
AVEC MAVAL
Le problème des nouvelles sano.
lions. englobant notamment le
pétrole et le charbon, préoccupe
les chancelleries à la veille de la
réunion que tiendra prochaine-
ment il Qenève le comité de
coordination
M. Pierre Laval s'est entretenu h
nouveau dans la matinée d'hier avec
M.1 Cerruti. ambassadeur d'Italie, et,
dans la. soirée, Avec sir George derk,
ambassadeur d'Angleterre.
Ces deux conversations ont vraisem-
blablement porté d'une part aur
l'étude préparatoire que viennent de
reprendre au Quai d'Orsay, en vue d'une
1 possible solution de conciliation, M. de
Saint- Quentin, soua-di recteur d'Afrique,
et son coÛè#ùe anglais, M. Peterson,
chef du service abyssin au Foreign
Office, et, d'autre part, mur le problème
des sanctions qui va faire l'objet de
prochaines défllbérattona a Genève.
A vrai dire, c'est surtout cette
seconde questioa qui préoccupe actuel-
lement les chasceîleries. C'est, en
effet, le novembre!, c'est-à-dire ven-
dredi prochain, que le comité des Dix-
Huit doit me réunir de nouveau au
sacrétariat de' la Société des nations
principalement pour examiner les
suites à donner a,U projet de résolu-
tion canadien visant à étendre l'em-
bargo sur les produits-clés au pétrole,
au charbon, au fer et à l'acier. Autre-
ment dit le comité de coordination des
sanctions aura à décider si 3'Itaiîe, par
application de l'article 16, devra être, &
plus uu moins bref déiai, privée de ces
matières premières qui lui sont parti-
culièrement nécessaires pour continuer
aa campagne en Ethiopie.
Le 6 novembre, le comité de coordi-
nation avait adopté en principe la réso-
lution canadienne sans réserve qu'elle
ne aerait mise en oeuvre qu'après éclair-
cissement de l'attitude que manifeste-
raient les Etats non-memhres, princi-
paux producteurs dé ces produits-clés,
ç'eat-à-tfire les Etats-Unis et le Relch.
Lucien BOURGUÉS.
(La la ttoitièm* pars.)
Les pierres
précieuses
ont maintenant
leur carte
d'identité
Le service des fraudes, chargé
de veiller sur elles, possède tout
un appareillage pour dépister
les supercheries
(Voir à la quatrième page-)
L'Identité d'un
uwia iihpku w# ma*«u.
DE
la pair»
itWU da n toffl* par I» ohttcerspMu O'
MAMJM1 OJUIANTt
̃ANS AVCUMt MAIltU ÉTRAN*lRI
eN BIHCHtt
ci
HOH CÙLO1II1
par k. b»W- Synditol à* Canfrtfft, mire «̃non
Le nouveau maire
du X-' arrondissement
M. Louts Meunier, le nouveau maire
du XI arrondi as ement, dont nous avons
été les premiers à annoncer la nomina-
tion, est né à Nanterrfr le 10 juillet 1ST4.
Dana flûii bureau de la mairie du fau-
bourg Saint-Martin qu'il occupait pour
la première nous l'avons rencontré
hier après-midi.
Je suis, nous a-i-il déclaré, un
viçu* serviteur du gouvernement de' la
République. Pendant trente et un ana.
J'ai rempli les fonctions de secrétaire
général à la mairie de Nanterre, et je
viens ici pour faire de l'administration.
Tous lea habitants du XD arrondisse-
ment trouveront en moi un conselîler,
et je réserverai iL tous le plus Partait
accueil.
Le général Moinier renversé
par un camion
Le général de division ins-
pecteur général du VT arrondissement
de gendarmerie, descendait d'un auto-
bufi hier, à l'ang-la du fcûulev&rd
Henri-IV et du boulevard Morland,
quand survint une camionnette» con-
duite par son propriétaire, M. Bntautc,
marchand de charbon, 8, passage Cour-
toi a.
Bien que le générai, qui ee trouvait
presque devant eon domicile. 1, boule*
vard Henri-lV, lût descendu du coté
droEt, M, Braeaac, dont la vu. trou-
vait gênéa par un camion suivant l'au-
tobus, le heurta et Ie renversa aur la
chaugaée.
Relevé par l'auteur de l'acejdent lui.
mëme, l'officier général fut conduit à
riaArmerle de la garde, ioute proche.
Après avoir été panaé, Il regaïJift ^on
d oui te Ile. Le général qui est
atteint de multiple., mais
légère*, devra garder la chambre quel-
que. jours,
UNE SEPTUAGENAIRE TU£E
SUR UN PASSAGE CLOUTE
En faisant marche arrière avec mon
autocar, M. Marcel Vérité, ÏS, rue Eu-
g-ène-Sue, renversé- sur un passage
clouté, à l'angie de la rue Babillât et
do la place de la
Mme Ott de Bttk, sotxante-dlx ans. 0,
place Paul-Verlaine.
La malheureuse a été tuée sur le
coup son oorpa a été transporté à l'hô-
pital de BÏOTtrc.
[ UNE NICHÉE
DE CARAMBOUILLEURS
EST DÉBUSQUÉE
PAR LA POLICE
Les deux. frères, la maîtresse de l'un
d'eux et un autre complice sont arrêté.
leurs exploits
La ftcèné ae pa*ae 38, rue de MûUtmo-
reacy, chez un fabricant de tricote,
trente ana, de nationa-
lité roumaine dont lea métiers occupent
quelques pièces au étage de
l'immeuble.
Deux visiteurs, des clients présumés,
viennent d'entrer dada Une plèce où,
avec le commerçant, ,le Ileitnent une
demi douzaine d'tadividua et une
(smm*.
Aimablement, la maître de cians
s'avance, fait dea offres de servie 9
Nous sommes inspecteurs de po-
UcÉ, déclare l'un' des vJiïtteurs.
Policiers Le mot a un effet magîq.ne.
Se bousculant, tous les aa&lst&nta me
ruent vers les issues, La femme, elle,
s'enferma dans les lavabos. Quant à
Rozenbergv H oüvre une fenêtre don-
nant sur la cour et, auîvl de Bon frère
saute du premier étage, au risque de 3e
rompre le .ou.
Lta policiers, l'ins£>ecteur Le Parlour,
de la police judiciaire et son collègue
Michel, du commissariat 3&£nt-AvoIe
n'auralent-iîg rien su que cette fuite
Précipité@ les aurait singulièrement
éclairé. Leatee auaal, ils sa prétîpitetit
à la sortie de l'immeuble où viennent se
jeter dans leurs bras t&a deux frères
Kûsenbarg, Slla_3 et son ami Moaca,
trente-trolg ans, ainsi qu'un certain
Mandel Coppelmann, vingt-cinq ana, m
disant étudiant, mais Qui tire le priuci-
pal de aea ressources de l'escroquerie et
de l'abus de confiance.
(La tutt* la d*uxiim* pag*.}
Le gouverneur général Brivii
rejoint soit poste en F.
]Le coavtraenr ï*n*r»l fcrfii* (a
j»r U qui de t#* *t«c H* C*rd«
SUR LA PENTE
DE L'ETATISME
En 1914, le fonctionnement des ser-
vices de l'Etat nécessitait environ un
demi-million de fonctionnaires; en 1935,
on en compte, parait -il, plus de
sept cent cinquante mille. Tel est le
fait que tout Français doit avoir en
mémoire quand il se penche sur les
problèmes de- l'heure.
Ainsi ae concrétise l'emprise pro-
gressive de l'Etat sur l'économie du
pays, emprise paralysante qui arrive
peu à peu à enserrer toutes les acti-
vités individuelles dans un réseau de
réglementations et de contrées tatU-
lons qui ne sont; pas une des moindres
causes de l'asphyxie économique dont
nous souffrons.
Je n'insisterai pas sur les conséquen-
ces financières de cette Inflation d'un
nouveau genre- Tout le monde les
connaît, tout le monde les vit. L'inqutê-
tude du -lendemaJn est dans tous les
cceurg elle dépasse les cas individuels
pour s'étendre à tous les domaines.
Elle inspire les plana les plus bizarres,
les solutions les plus contraires à notre
tempérament et IL notre traditioh.
René FOURNIER
président de la Fédération du
Centrai, tectétatrt sténê-
rai adjoint de ia Confédération
nativriale &ea i/rov-pem-enta com-
merciaux et industriels.
(La fuit* m in deuxième page.)
A LA RECHERCHE
¡DE KINGSFORD SMITH
Des traces de pas aux îles Seyer
On n'a pas abandonné l'espoir de
ntrouver air Charles Kingsfof-d Smith
et son compagnon.
Le capitaine Husâey, pilote de l'avion
de la compagnie Qr A. N. T. A- S., qui
a fait des recherches hier dans la
région les îles Seyer, a déclaré avoir vu
dea traces de pas humain eur le sabîs
de l'une de ces îles.
La compassé de navigation du
détroit* a donué à son navire Metanp
l'ordre de ie détourner de aa route
pour envoyer des eoiibfl.rcatiûn5 jus-
qu'aux îïes SeyerT où le navire POaha
a. affirmé avoir aperçu des eignaux.
QUATRE GOUHEERS SONT TUES
PAR DES BANDITS
DANS LE SUD-MAROCAIN
Casablanca, 23 novembre (dëp. Radio)
Deux attentats viennent d'être Com-
mis dans la. de Kaar-eï-SOUJt,
contre des goumiËts. De dangereux rô-
deura « Ait Morhad iT connus du aer-
vice des affaires indigène: armés de
mo-u*qUÊtoru5 Lebel, avalent dieposé des
pierre» sur la piste peu avant le par
saga de la vottura de M. Mas de Mi-
deït, qui était accompagné d'un ins-
pecteur des carburants.
C«s derniers, apercevant deux Indi.
gènes armés dissimulés en bordure de
la piste, firent Immédiatement demi
tour et essuyèrent des coups de feu qui
mmquèrent leur Lut.
Malgré des recherches Immédiates,
le' bandits ne purent être rejoints.
Trois Jours après, sur la piste d'Aghba-
lou N'KsrdoiMt, quatre goumiera furent
tués Et dépouillés de leurs armes et de
leurs munitions et troia autres fe-lesaês.
Envoûté
un comptable
pillait sa caisse
pour enrichir
un magicien
C'est ainsi que 200.000 francs
furent détournés par un
trop naïf « spirite au béné-
fice de l'inquiétant person-
nage qui avait substitué sa
volonté à la sienne
L'ENVOUTEUR ET SON COMPLICE
SONT AUJOURD'HUI EN PRISON
Chaise M *rt la
il y a des esprits forts, des gens
très malins qui, quand on leur parle
de sorciers, d'envoûtement, de magie
noire ou blanche, se contentent de
hausser les épaules.
Des blaguée, tout: ça Vous y
croyez? Que Vous êtes jeune!
Eh bien! des sorciers, on en tratlve.
On en trouve même à Paris. Et dan-
gereux. Qu'on en juge
La préfecture, voici quelques semai-
SUtsIb Henri qne«
nés, enregistre la plainte d'une grande
de l'Etat. La vérifica-
tion de la comptabilité amène la décou-
verte d'un c trou de francs
dans la cais&e.
Yvea DAUTIÎN
(La lutte ta cinquième pajc>}
LE TAMPONNEMENT DU PASSAGE A NIVEAU DE MANDUEL
On a arrêté le garde-barrière et un journaller qui avaient
livré passage au véhicule
Nimes, 23 novembre.
DM KOTïl CQRMSSTOWWWT PARfiçuiIEB
L'enquête ouverte au eu jet de la
Cfttaatrophç qui s'eat produite au pas-
sage niveau de Manduei-Redessan, sur
la ligne Tarascon-Nïme^, a révélé Jes
détails suivants
Il était 17 h. 30 exactement lorsque
l'autobus.. conduit par son propriétalreH
M, Vidal, ancien chauffeur particulier
du roi des Belges Léopoîd II, se pré-
sente. au passage à niveau de la rare
de M&nduel-Redeasan. Celui-ci était fer-
mé. Une autre automobile, conduite par
IL Chabanel, demeurant à Nîmes, était
arrêtée de l'autre côté de la barrière,
attendant qu'on lui livre paxage. Lea
deux conducteurs, croyant avoir le
tetnpa de traverser la voie avant î 'ar-
rivée du train, klaxonnèrent pour de-
mander le passage au garde-barrière.
Celui-ci, M. Gaubrac, sachant que Il-
preaa n° Ë6Û AvigEon-Nîmefi, annoncé
députe un moment. allait arriver, resta
tout d'abord sourd aux appela des auto-
mobi listes et n'ouvrit pa*- L* malheur
voulut que, passant par la, un poseur
de la vote., M. Girard, dana l'intention
de rendre service aux deux eoînî-u*t4urE,
insiatât auprès du garde-barrière qui,
finalement céda et lui permit d'ouvrir
les barrières. L'autobus, qui était resté
en première vitesse, embraya le premier
et «,'engA.giA sut la Vole. A cet instant
pr&cis arrivait l'express.
La choc fut épouvantable. La locor
moti'Ve tamponna le car en pfteln pat
le milieu. Le mécanicien de l'âxpreaa
Hyint vu la dsng-?r, avait renversé 1*
vapeur, qui 3'éch.appa avec un bruit
tel que les habitants du viîïagfl, rayant
entendu, cotjrurcnt Vers la gare: L'au-
tobua avait SH brl«é en trois parties
l'avant et l'arrière furent projetés aur
lea côtés le milieu du chisaîa, accro-
ché aux tampons de la machine, était
emporté par celle-ci au tnlïj-Êu d'un
fracas épouvantable et de cria atroces.
La locomotive s'arrêta enfin à cinq
Cents mètres de là,
(La mit* à la cinquième page,)
UN CONCIERGE
D'HAZEBROUCK
DEVENU FOU
ASSOMME
SA FEMME
ET SA FILLE
Son double crime
accompli
il s'est pendu
Une ouvrière, en venant
prendre son travail, heurta
le cadavre du pendu qui se
balançait dans l'escalier et
c'est elle qui donna l'alarme
Lille, 23 nov. idépr Petit Parisien).
Un effroyable drame a eu pour
tb&Atre, ce matin, la paisible ville
d'Hazebrouok, où le concierge de l'une
des usine» de M. Bonté, ancien maire
de la ville, assommé à coups de
marteau sa femme et sa ailette, puia
s'est pendu.
Le bâtiment où s'est déroulé l'hor-
rible massacre est situé à environ un
derai-kiiomètre de l'agglomération, aur
la route de Vteux-Berquin, au lieudit
le Vert-Wallon, Le concierge de l'éta-
blissement, Marcel Follet, est né à
NeuC-Berquifi, te- 30 octobre 1&02, II
avait épousé, il y a neuf Antoi-
nette Caucheteux, son aînés de deux
ans. Les deux époux avaient une
fillette de nuit ans, prénommée Yvette.
Marcel FoHet, qui était occupé
depuis seize ans aux établissements
Bonté, jouissait d'une répu-
tatfon. D était sobre, sérieux, rangé et
passait pour un mari et un père
modèles.
Ce matin, un peu avant 7 hfturea,
une ouvrière de l'usine, Mite Suzanne
Dehouck. en ptenant son travail. péné-
trait dans la maison du concierge et.
comme elle en avait r habitude,
s'apprêtait à accrocher ses vetenaesm
Un porte-manteau placé dans la
cagre de l'eacalier. Soudain, elle recula
d'horreur après avolr heurté un corps
qu'elle n'avait pas vu dans la demi-
obscurité et qui ae balançait au bout
d'une Corde.
(Lu *uîc« à la cintfttiim* jm?*-)
l'application stricte déjà loi
sur la vente au déballage à
Dijon amène la fermeture de
nombreux magasins.
Dijon, 23 nov. (dép. Petit Parisien}
Un conflit commercial, né de l'Inob-
servation d'une loi tombée en désuë-
tude, vi«nt d'éclater à Dijon, menaçant
Cette loi eat cells du 30 décembre I«i5
sut la vente au EIIj» oblige
tous les cpiu mer gants mettant en veate
des marchandée» en liquidation au en
torisation au maire. Tout contreve»
riant 6'ëx.pose à la confiscation de* mar-
chandises mises en vente, sans
dlce des amendes pouvant être pronon-
cées par lm tribunaux. Mais de très
bonne loi bul as sa souciait plue de ce
texte demeuré lettre morte. Or samedi
dernier, prenant ombrage des procédée
d'un marchand de tissus, deux de ses
concurrents de Dijon déposèrent contre
lui une plainte avec constitution de
parties civiles pour Inobservation d.
ladite loi. Conformément aux
tions de cette dernière, le juge d'jns-
truction ordonna la saisis des raarchan*
di^ea incriminées. Le tnagaain fut fermé
et, huit jours durant, un expert nom ml*
par !e parquet s'appliqua à inventorier
en les mesurant 3.000 pièces d'Étoffe.
Mais i\ y eut aussi une rêpoiue du
berger k la bergère
Le marchand da tissus, aujourd'hui,
Civile, contre une quinzaine de notables
négociant? de Dijon ae trouvant darw
la même situation que Lui. Le juge
d'instruction n'a pu faire moins qae
d'envoyer iL chacun un expert flanqué
d'un commissaire de police. A telJ*
emaejgne que, ce soir, l'un des plus
grands magasins de la ville, situé en
plein centre, rue de la Liberté a fermé
ses portee. Lea client?, -Invités à ne tftti-
rer, formèrent au dehors une foui*
énorme bientôt proaeie par tes curieux.
Il convient de préciser que le« pro-
priétaires de ce magasin avalent
annoncé des soldes il. tOU3 les rayons
C'^et donc la totalité du stock valant
î>Îu3Iêui-* millions de francs Qui risque
d'étre dispersé a l'cnt^n à condlUiin,
bien entendu, que la partiè civile dépose
une provision ili/îî santé pour effeffupr
V inventaire des marchandises. Cette
opération pourrait durer un mois #t
occuperait les I&0 employés de Téta-
blissement.
Ce coafHt cet suivi à Dijon avec le
plue vif Intérêt
LA CHASSE AUX LIONS A BAGNOLS SUR CÈZE
l'aid« de H. Brocbe 11. tr unir kl Dimitri, bleue par un d«i feura.
REGION JM.BI8IEFMS. Ttnip* MMt-
brumeux: teitl fatbln de aord, qualqnei
bruines huit 0sr Jpwr &
KN FBA«rt. MelU* Nom), comme i
P.rlv Holti» Sud, tant nmdnif d'en, fcl»[r-
Srwiid engouement.
î»v»r. ,1 k.,14 «ucher, U fc* 1.
Lu Parisien
¡Un: D'ENOHIEN. PARIS (iO>)
DIMANCHE
24
NOVEMBRE
I CE QUE EuT
EN 1923
LA PROCEDURE'
D'ADMISSION
DE L'ETHIOPIE
A LA S. D. N.
En 1923, quand l'Ethiopie adressa
Sa demande d'admissions au secrétaire
fédérait la. S. D. N, comptait qua-
rante-sept pays des deux hémisphères.
La demande de l'Ethiopie se pré.
«enta comme une aubaine à cet, orga-
nisme encore tout brûlant d'une ardeur
de néophyte,
En fait, qu'était-ce donc que l'Ethio-
pie ? On en avait bleu déi^ un peu
parlé Tannée précédente à propos de
l'esclavage, mais qui co&aaïssalt ce
pays ? Iî n'avait pas figuré parmi les
Etats membres orïg-tnatrea, alors
cependaat qu'onytrouvait le Hedjaz
et le Libéria Il n'était pas mentionné
non plus dans lu liste de, eeux qui
artUcfit été invités à accéder au pacte.
n n'avait pas fait partie, pourtant, du
bloc- des nations ex-ennemies. Il
n'était ni une colonie, ni un protecto-
rat, ni un pays sous mandat.
La acéaario fut monté selon les
règles les commissions compétentes
furent saisies, Iesquêlles, comma il
«onvient, çhiargèrent des gûTis-conamls-
filon,% d'étudier à fond les questions sui-
vantes la demande d'admission est.
elle régulière ? l'empire d'Ethiopie est-
il reooMîu de jure et de facto, et par
quels Etats ? le pays possède-t-il un
gouvernement stable et des frontières
définies ? go £ouveme~t-il librement ?
quels ont été les actes et les déclare-
tions de l'empire d'Ethiopie en ce qui
eofleerne 'ses engagemÈnts internatio-
naux- et en ce qui concerne les preacrlp-
tions de la Société relatives aux arme-
ments ?
La comjulaaioa petmaûente consul-
tative pour las questions militaires,
navâlea et aériennes fut la première en
contact avec les délégués éthiopien..
Elle- leur demanda quels étaient les
forces ea artillerie et les effectifs en
tempe de paix et en temps de guerre.
Les délégués de 1'emptre britannique
et de l'Australie Insistèrent sur la
quantité de fusil? et autres armes pos-
sédée pair le gouvernement éthiopien.
A quoi le principal représentant de
que, cette question
tenicîiajit àla souveraineté de l'empire,
Il De croyait pas possible d'y répondre.
Là-dessus, la commïasûm, satisfaite,, se
féunit pour d6libérer et conclut que
« les statuts des force militaires, ra-
voies et aériennes de l'empire d'Ethio-
pie na constituaient pas un empêche-
ment à son admission au sein de la
8, O. N. >.
R. L1NANT DE BELLEFOND9.
(.La mite à la cinquième page.)
Un remaniement du cabinet
est envisagé en Pologne
Varsovie, ZS nov. Id-ép. Petit Parisien.)
Le problème des outre le
dan des colonels et Je gouvernement
Koscl-vikbwskl domine toujours la situa-
tion politique en Pologne, Le bruit
court à Varsovie suivant lequel le re-
maniement du cabinet aérait sérieuse-
ment envisagé à la présidence de la Ré-
publique. Sans douta na fl 'agit-il, si l'on
en croit l©e milieux Informés, que d'un
poste minoterie! calui de la Justice
dont le tltulaite, M. Mlcbaloroskî, serait
prêt à Se démettre, mats, la personnalité
de l'homme qui serait éventuellement
désigné fc aa ^lace est des plus signifi-
catives on parle en effet de M. Sta-
nislas Car, maréchal de la Diète, au-
teur des grandes réformes constitution-
nelles qui furent votées au début de
l'année et de plus 1 une des fortea per-
sonnalité* du groupe dea colonels. L'en-
trio de M. 3taïtiB]as Car dans le cabi-
net renforcerait donc la position des
colûûeïs dans l'Équipe ministérielle.
Les colonels avaient à plusieurs reprl-
spa adopté ce. dernières semaines à
l'égard du nouveau cabinet une atti-
tude de quasi-ho*tilltê la nomination
de-M- Car-révélerait qu'un accord a
pu ftnalem*nt s'établir entre l'aile or-
thodcàte du camp Pllsudskl et les hom-
mes nouveaux qui turent appelés au
pouvoir le 13 octobre par la président
de la République, R. M.
La vie prodigieuse
et dramatique
de Léonoraet Concino Concini
pur Lesta UÔH'MAttTlH
La Grèce
enthousiaste
se prépare
a recevoir
son roi
Athènes se pare de fleurs
et de drapeaux, d'arcs de
triomphe et de banderoles
UNE FOLLE IMMENSE SE PORTERA
AU-DEVANT DU SOUVERAIN
Athènes 23 novembre.
AthèD*s, pour recevoir le roi, a fait
grande toilette. Les rues par lesquelles
déniera le cortège ont été raéticuleu-
H. ïUvromlchaJLH
sèment brossées et astiquées. Les deux
arcs de triomphe Sûus tegqtMsla pas«*r4
Georges II se dressent, l'un à la porte
de la vHle, l'autre au cœur de la cité.
De petites ouvrières diligentes, qui
avaient installé leurs mac nJ nés à cou-
dre sur la place, ont cousu les der-
nières toiles, ajusté les dernières b*n-
derotea. Au flanc du Lycaùette, une
immense conronoe royate a été plantée
qui, dès demain soir, sera tfluminée.
Les jolis drapeaux fleuris Il croix
hîatlthe palpitent aux fenêtres. A tous
les balcons, dea écuseong aux mêmes
couleurs Sont accrochés.
Atttènea, déjà, refuse du mande.
Demain, ce sera la foule innombrable,
i" inondation humaine. Car on pense
bien que, malgré la tempête qui a
retardé le départ du roi de Brindisi,
toutes les cérémonies pourront avoir
lieu aux heures prévues.
Des mesures d'ordre d'une sévérité
exceptionnel ont été adoptées par !a
poUce, qui a évidemment raison de se
montrer soupçonneuse et précaution-
neuse. C'est eon rôle. Les journalistes
ne seront pas autorisés a
suivre le cortège. Us devront se poster
en un point déterminé et n'en pas
bouger. Le gouvernement m'a cepen-
dant aimablement offert d'embarquer
bord d'un torpilleur qui, la nuit pro-
chaine, ira au-devant du roi. Mais a dans
la nuit et sur la mer, que verraia-Je ?
J'ai décliné cette oordiale invitation.
Maurice PRAX
« Je déclare solennellement devant
ma conscience et devant le Sei-
gneur: Je suis innocent !»
Malgré cette protestation pathétique,
l'évêque de Meiseen, accusé .de trafic
de deyUes, n'en a pas moins été
condamné
Berlin, 23 novembre (dép. Bavas)
Au tribunal de Baril n, aprèfl Je réqui-
de Meissen, Mgr Peler- Legge; a pris
la parole.
de prêtrise en a*t-il déclaré, j'ai
été amené à avoir dea contacts avec
toutes tes couelifia de la population. Ja-
dire quelque ohoae qui ne soit pas con-
forme la vérité. Tout le monde dîra
conscience et devant le Seigneur: Je
suis innocent.
L'évèque a, cependant, été condamne
à une amende de 100.000 marks, 4&nç
emprisonnement lç vîu&lre générai
S
M. Leg^e, frère de rév&que, a. été
condamné à cinq ans de reolusian et
100.000 marSa d'amende.
Le Pays de Galles bat la France
par 41 points à 7
SIR GEQRGE CLERK
ET M. CERRUTI
CONFÈRENT
AVEC MAVAL
Le problème des nouvelles sano.
lions. englobant notamment le
pétrole et le charbon, préoccupe
les chancelleries à la veille de la
réunion que tiendra prochaine-
ment il Qenève le comité de
coordination
M. Pierre Laval s'est entretenu h
nouveau dans la matinée d'hier avec
M.1 Cerruti. ambassadeur d'Italie, et,
dans la. soirée, Avec sir George derk,
ambassadeur d'Angleterre.
Ces deux conversations ont vraisem-
blablement porté d'une part aur
l'étude préparatoire que viennent de
reprendre au Quai d'Orsay, en vue d'une
1 possible solution de conciliation, M. de
Saint- Quentin, soua-di recteur d'Afrique,
et son coÛè#ùe anglais, M. Peterson,
chef du service abyssin au Foreign
Office, et, d'autre part, mur le problème
des sanctions qui va faire l'objet de
prochaines défllbérattona a Genève.
A vrai dire, c'est surtout cette
seconde questioa qui préoccupe actuel-
lement les chasceîleries. C'est, en
effet, le novembre!, c'est-à-dire ven-
dredi prochain, que le comité des Dix-
Huit doit me réunir de nouveau au
sacrétariat de' la Société des nations
principalement pour examiner les
suites à donner a,U projet de résolu-
tion canadien visant à étendre l'em-
bargo sur les produits-clés au pétrole,
au charbon, au fer et à l'acier. Autre-
ment dit le comité de coordination des
sanctions aura à décider si 3'Itaiîe, par
application de l'article 16, devra être, &
plus uu moins bref déiai, privée de ces
matières premières qui lui sont parti-
culièrement nécessaires pour continuer
aa campagne en Ethiopie.
Le 6 novembre, le comité de coordi-
nation avait adopté en principe la réso-
lution canadienne sans réserve qu'elle
ne aerait mise en oeuvre qu'après éclair-
cissement de l'attitude que manifeste-
raient les Etats non-memhres, princi-
paux producteurs dé ces produits-clés,
ç'eat-à-tfire les Etats-Unis et le Relch.
Lucien BOURGUÉS.
(La la ttoitièm* pars.)
Les pierres
précieuses
ont maintenant
leur carte
d'identité
Le service des fraudes, chargé
de veiller sur elles, possède tout
un appareillage pour dépister
les supercheries
(Voir à la quatrième page-)
L'Identité d'un
uwia iihpku w# ma*«u.
DE
la pair»
itWU da n toffl* par I» ohttcerspMu O'
MAMJM1 OJUIANTt
̃ANS AVCUMt MAIltU ÉTRAN*lRI
eN BIHCHtt
ci
HOH CÙLO1II1
par k. b»W- Synditol à* Canfrtfft, mire «̃non
Le nouveau maire
du X-' arrondissement
M. Louts Meunier, le nouveau maire
du XI arrondi as ement, dont nous avons
été les premiers à annoncer la nomina-
tion, est né à Nanterrfr le 10 juillet 1ST4.
Dana flûii bureau de la mairie du fau-
bourg Saint-Martin qu'il occupait pour
la première nous l'avons rencontré
hier après-midi.
Je suis, nous a-i-il déclaré, un
viçu* serviteur du gouvernement de' la
République. Pendant trente et un ana.
J'ai rempli les fonctions de secrétaire
général à la mairie de Nanterre, et je
viens ici pour faire de l'administration.
Tous lea habitants du XD arrondisse-
ment trouveront en moi un conselîler,
et je réserverai iL tous le plus Partait
accueil.
Le général Moinier renversé
par un camion
Le général de division ins-
pecteur général du VT arrondissement
de gendarmerie, descendait d'un auto-
bufi hier, à l'ang-la du fcûulev&rd
Henri-IV et du boulevard Morland,
quand survint une camionnette» con-
duite par son propriétaire, M. Bntautc,
marchand de charbon, 8, passage Cour-
toi a.
Bien que le générai, qui ee trouvait
presque devant eon domicile. 1, boule*
vard Henri-lV, lût descendu du coté
droEt, M, Braeaac, dont la vu. trou-
vait gênéa par un camion suivant l'au-
tobus, le heurta et Ie renversa aur la
chaugaée.
Relevé par l'auteur de l'acejdent lui.
mëme, l'officier général fut conduit à
riaArmerle de la garde, ioute proche.
Après avoir été panaé, Il regaïJift ^on
d oui te Ile. Le général qui est
atteint de multiple., mais
légère*, devra garder la chambre quel-
que. jours,
UNE SEPTUAGENAIRE TU£E
SUR UN PASSAGE CLOUTE
En faisant marche arrière avec mon
autocar, M. Marcel Vérité, ÏS, rue Eu-
g-ène-Sue, renversé- sur un passage
clouté, à l'angie de la rue Babillât et
do la place de la
Mme Ott de Bttk, sotxante-dlx ans. 0,
place Paul-Verlaine.
La malheureuse a été tuée sur le
coup son oorpa a été transporté à l'hô-
pital de BÏOTtrc.
[ UNE NICHÉE
DE CARAMBOUILLEURS
EST DÉBUSQUÉE
PAR LA POLICE
Les deux. frères, la maîtresse de l'un
d'eux et un autre complice sont arrêté.
leurs exploits
La ftcèné ae pa*ae 38, rue de MûUtmo-
reacy, chez un fabricant de tricote,
trente ana, de nationa-
lité roumaine dont lea métiers occupent
quelques pièces au étage de
l'immeuble.
Deux visiteurs, des clients présumés,
viennent d'entrer dada Une plèce où,
avec le commerçant, ,le Ileitnent une
demi douzaine d'tadividua et une
(smm*.
Aimablement, la maître de cians
s'avance, fait dea offres de servie 9
Nous sommes inspecteurs de po-
UcÉ, déclare l'un' des vJiïtteurs.
Policiers Le mot a un effet magîq.ne.
Se bousculant, tous les aa&lst&nta me
ruent vers les issues, La femme, elle,
s'enferma dans les lavabos. Quant à
Rozenbergv H oüvre une fenêtre don-
nant sur la cour et, auîvl de Bon frère
saute du premier étage, au risque de 3e
rompre le .ou.
Lta policiers, l'ins£>ecteur Le Parlour,
de la police judiciaire et son collègue
Michel, du commissariat 3&£nt-AvoIe
n'auralent-iîg rien su que cette fuite
Précipité@ les aurait singulièrement
éclairé. Leatee auaal, ils sa prétîpitetit
à la sortie de l'immeuble où viennent se
jeter dans leurs bras t&a deux frères
Kûsenbarg, Slla_3 et son ami Moaca,
trente-trolg ans, ainsi qu'un certain
Mandel Coppelmann, vingt-cinq ana, m
disant étudiant, mais Qui tire le priuci-
pal de aea ressources de l'escroquerie et
de l'abus de confiance.
(La tutt* la d*uxiim* pag*.}
Le gouverneur général Brivii
rejoint soit poste en F.
]Le coavtraenr ï*n*r»l fcrfii* (a
j»r U qui de t#* *t«c H* C*rd«
SUR LA PENTE
DE L'ETATISME
En 1914, le fonctionnement des ser-
vices de l'Etat nécessitait environ un
demi-million de fonctionnaires; en 1935,
on en compte, parait -il, plus de
sept cent cinquante mille. Tel est le
fait que tout Français doit avoir en
mémoire quand il se penche sur les
problèmes de- l'heure.
Ainsi ae concrétise l'emprise pro-
gressive de l'Etat sur l'économie du
pays, emprise paralysante qui arrive
peu à peu à enserrer toutes les acti-
vités individuelles dans un réseau de
réglementations et de contrées tatU-
lons qui ne sont; pas une des moindres
causes de l'asphyxie économique dont
nous souffrons.
Je n'insisterai pas sur les conséquen-
ces financières de cette Inflation d'un
nouveau genre- Tout le monde les
connaît, tout le monde les vit. L'inqutê-
tude du -lendemaJn est dans tous les
cceurg elle dépasse les cas individuels
pour s'étendre à tous les domaines.
Elle inspire les plana les plus bizarres,
les solutions les plus contraires à notre
tempérament et IL notre traditioh.
René FOURNIER
président de la Fédération du
Centrai, tectétatrt sténê-
rai adjoint de ia Confédération
nativriale &ea i/rov-pem-enta com-
merciaux et industriels.
(La fuit* m in deuxième page.)
A LA RECHERCHE
¡DE KINGSFORD SMITH
Des traces de pas aux îles Seyer
On n'a pas abandonné l'espoir de
ntrouver air Charles Kingsfof-d Smith
et son compagnon.
Le capitaine Husâey, pilote de l'avion
de la compagnie Qr A. N. T. A- S., qui
a fait des recherches hier dans la
région les îles Seyer, a déclaré avoir vu
dea traces de pas humain eur le sabîs
de l'une de ces îles.
La compassé de navigation du
détroit* a donué à son navire Metanp
l'ordre de ie détourner de aa route
pour envoyer des eoiibfl.rcatiûn5 jus-
qu'aux îïes SeyerT où le navire POaha
a. affirmé avoir aperçu des eignaux.
QUATRE GOUHEERS SONT TUES
PAR DES BANDITS
DANS LE SUD-MAROCAIN
Casablanca, 23 novembre (dëp. Radio)
Deux attentats viennent d'être Com-
mis dans la. de Kaar-eï-SOUJt,
contre des goumiËts. De dangereux rô-
deura « Ait Morhad iT connus du aer-
vice des affaires indigène: armés de
mo-u*qUÊtoru5 Lebel, avalent dieposé des
pierre» sur la piste peu avant le par
saga de la vottura de M. Mas de Mi-
deït, qui était accompagné d'un ins-
pecteur des carburants.
C«s derniers, apercevant deux Indi.
gènes armés dissimulés en bordure de
la piste, firent Immédiatement demi
tour et essuyèrent des coups de feu qui
mmquèrent leur Lut.
Malgré des recherches Immédiates,
le' bandits ne purent être rejoints.
Trois Jours après, sur la piste d'Aghba-
lou N'KsrdoiMt, quatre goumiera furent
tués Et dépouillés de leurs armes et de
leurs munitions et troia autres fe-lesaês.
Envoûté
un comptable
pillait sa caisse
pour enrichir
un magicien
C'est ainsi que 200.000 francs
furent détournés par un
trop naïf « spirite au béné-
fice de l'inquiétant person-
nage qui avait substitué sa
volonté à la sienne
L'ENVOUTEUR ET SON COMPLICE
SONT AUJOURD'HUI EN PRISON
Chaise M *rt la
il y a des esprits forts, des gens
très malins qui, quand on leur parle
de sorciers, d'envoûtement, de magie
noire ou blanche, se contentent de
hausser les épaules.
Des blaguée, tout: ça Vous y
croyez? Que Vous êtes jeune!
Eh bien! des sorciers, on en tratlve.
On en trouve même à Paris. Et dan-
gereux. Qu'on en juge
La préfecture, voici quelques semai-
SUtsIb Henri qne«
nés, enregistre la plainte d'une grande
de l'Etat. La vérifica-
tion de la comptabilité amène la décou-
verte d'un c trou de francs
dans la cais&e.
Yvea DAUTIÎN
(La lutte ta cinquième pajc>}
LE TAMPONNEMENT DU PASSAGE A NIVEAU DE MANDUEL
On a arrêté le garde-barrière et un journaller qui avaient
livré passage au véhicule
Nimes, 23 novembre.
DM KOTïl CQRMSSTOWWWT PARfiçuiIEB
L'enquête ouverte au eu jet de la
Cfttaatrophç qui s'eat produite au pas-
sage niveau de Manduei-Redessan, sur
la ligne Tarascon-Nïme^, a révélé Jes
détails suivants
Il était 17 h. 30 exactement lorsque
l'autobus.. conduit par son propriétalreH
M, Vidal, ancien chauffeur particulier
du roi des Belges Léopoîd II, se pré-
sente. au passage à niveau de la rare
de M&nduel-Redeasan. Celui-ci était fer-
mé. Une autre automobile, conduite par
IL Chabanel, demeurant à Nîmes, était
arrêtée de l'autre côté de la barrière,
attendant qu'on lui livre paxage. Lea
deux conducteurs, croyant avoir le
tetnpa de traverser la voie avant î 'ar-
rivée du train, klaxonnèrent pour de-
mander le passage au garde-barrière.
Celui-ci, M. Gaubrac, sachant que Il-
preaa n° Ë6Û AvigEon-Nîmefi, annoncé
députe un moment. allait arriver, resta
tout d'abord sourd aux appela des auto-
mobi listes et n'ouvrit pa*- L* malheur
voulut que, passant par la, un poseur
de la vote., M. Girard, dana l'intention
de rendre service aux deux eoînî-u*t4urE,
insiatât auprès du garde-barrière qui,
finalement céda et lui permit d'ouvrir
les barrières. L'autobus, qui était resté
en première vitesse, embraya le premier
et «,'engA.giA sut la Vole. A cet instant
pr&cis arrivait l'express.
La choc fut épouvantable. La locor
moti'Ve tamponna le car en pfteln pat
le milieu. Le mécanicien de l'âxpreaa
Hyint vu la dsng-?r, avait renversé 1*
vapeur, qui 3'éch.appa avec un bruit
tel que les habitants du viîïagfl, rayant
entendu, cotjrurcnt Vers la gare: L'au-
tobua avait SH brl«é en trois parties
l'avant et l'arrière furent projetés aur
lea côtés le milieu du chisaîa, accro-
ché aux tampons de la machine, était
emporté par celle-ci au tnlïj-Êu d'un
fracas épouvantable et de cria atroces.
La locomotive s'arrêta enfin à cinq
Cents mètres de là,
(La mit* à la cinquième page,)
UN CONCIERGE
D'HAZEBROUCK
DEVENU FOU
ASSOMME
SA FEMME
ET SA FILLE
Son double crime
accompli
il s'est pendu
Une ouvrière, en venant
prendre son travail, heurta
le cadavre du pendu qui se
balançait dans l'escalier et
c'est elle qui donna l'alarme
Lille, 23 nov. idépr Petit Parisien).
Un effroyable drame a eu pour
tb&Atre, ce matin, la paisible ville
d'Hazebrouok, où le concierge de l'une
des usine» de M. Bonté, ancien maire
de la ville, assommé à coups de
marteau sa femme et sa ailette, puia
s'est pendu.
Le bâtiment où s'est déroulé l'hor-
rible massacre est situé à environ un
derai-kiiomètre de l'agglomération, aur
la route de Vteux-Berquin, au lieudit
le Vert-Wallon, Le concierge de l'éta-
blissement, Marcel Follet, est né à
NeuC-Berquifi, te- 30 octobre 1&02, II
avait épousé, il y a neuf Antoi-
nette Caucheteux, son aînés de deux
ans. Les deux époux avaient une
fillette de nuit ans, prénommée Yvette.
Marcel FoHet, qui était occupé
depuis seize ans aux établissements
Bonté, jouissait d'une répu-
tatfon. D était sobre, sérieux, rangé et
passait pour un mari et un père
modèles.
Ce matin, un peu avant 7 hfturea,
une ouvrière de l'usine, Mite Suzanne
Dehouck. en ptenant son travail. péné-
trait dans la maison du concierge et.
comme elle en avait r habitude,
s'apprêtait à accrocher ses vetenaesm
Un porte-manteau placé dans la
cagre de l'eacalier. Soudain, elle recula
d'horreur après avolr heurté un corps
qu'elle n'avait pas vu dans la demi-
obscurité et qui ae balançait au bout
d'une Corde.
(Lu *uîc« à la cintfttiim* jm?*-)
l'application stricte déjà loi
sur la vente au déballage à
Dijon amène la fermeture de
nombreux magasins.
Dijon, 23 nov. (dép. Petit Parisien}
Un conflit commercial, né de l'Inob-
servation d'une loi tombée en désuë-
tude, vi«nt d'éclater à Dijon, menaçant
Cette loi eat cells du 30 décembre I«i5
sut la vente au EIIj» oblige
tous les cpiu mer gants mettant en veate
des marchandée» en liquidation au en
torisation au maire. Tout contreve»
riant 6'ëx.pose à la confiscation de* mar-
chandises mises en vente, sans
dlce des amendes pouvant être pronon-
cées par lm tribunaux. Mais de très
bonne loi bul as sa souciait plue de ce
texte demeuré lettre morte. Or samedi
dernier, prenant ombrage des procédée
d'un marchand de tissus, deux de ses
concurrents de Dijon déposèrent contre
lui une plainte avec constitution de
parties civiles pour Inobservation d.
ladite loi. Conformément aux
tions de cette dernière, le juge d'jns-
truction ordonna la saisis des raarchan*
di^ea incriminées. Le tnagaain fut fermé
et, huit jours durant, un expert nom ml*
par !e parquet s'appliqua à inventorier
en les mesurant 3.000 pièces d'Étoffe.
Mais i\ y eut aussi une rêpoiue du
berger k la bergère
Le marchand da tissus, aujourd'hui,
Civile, contre une quinzaine de notables
négociant? de Dijon ae trouvant darw
la même situation que Lui. Le juge
d'instruction n'a pu faire moins qae
d'envoyer iL chacun un expert flanqué
d'un commissaire de police. A telJ*
emaejgne que, ce soir, l'un des plus
grands magasins de la ville, situé en
plein centre, rue de la Liberté a fermé
ses portee. Lea client?, -Invités à ne tftti-
rer, formèrent au dehors une foui*
énorme bientôt proaeie par tes curieux.
Il convient de préciser que le« pro-
priétaires de ce magasin avalent
annoncé des soldes il. tOU3 les rayons
C'^et donc la totalité du stock valant
î>Îu3Iêui-* millions de francs Qui risque
d'étre dispersé a l'cnt^n à condlUiin,
bien entendu, que la partiè civile dépose
une provision ili/îî santé pour effeffupr
V inventaire des marchandises. Cette
opération pourrait durer un mois #t
occuperait les I&0 employés de Téta-
blissement.
Ce coafHt cet suivi à Dijon avec le
plue vif Intérêt
LA CHASSE AUX LIONS A BAGNOLS SUR CÈZE
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