Titre : La Renaissance littéraire et artistique
Éditeur : [s.n.] (Paris)
Éditeur : on s'abonne chez Lachaud, éditeur (Paris)
Éditeur : à l'Agence généraleà l'Agence générale (Paris)
Éditeur : [Librairie de l'eau-forte][Librairie de l'eau-forte] (Paris)
Éditeur : [s.n.][s.n.] (Paris)
Date d'édition : 1873-02-08
Contributeur : Aicard, Jean (1848-1921). Directeur de publication
Contributeur : Blémont, Émile (1839-1927). Directeur de publication
Contributeur : Lesclide, Richard (1825-1892). Directeur de publication
Contributeur : Rouquette, Jules (1828-1888). Directeur de publication
Contributeur : Hardy-Polday (1850-1921). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34430961x
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 698 Nombre total de vues : 698
Description : 08 février 1873 08 février 1873
Description : 1873/02/08 (A2,N1)-1873/12/28 (A2,N47). 1873/02/08 (A2,N1)-1873/12/28 (A2,N47).
Description : Collection numérique : France-Japon Collection numérique : France-Japon
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k65803546
Source : Bibliothèque nationale de France, département Littérature et art, Z-2277-2278
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 07/03/2014
LA RENAISSANCE. 143
Louis XIV dépendait leur avenir. S'ils plaisaient, la place à
Paris était conquise; s'ils déplaisaient, il fallait repartir pour la
province, reprendre la route du hasard, l'existence de grands
chemins, les repos en plein air, les sommeils dans les granges,
les rencontres des hôtelleries, tout le Roman tragique des Ra-
gotins!
Ce fut le 24 octobre 1658 que Molière et sa troupe jouèrent
pour la première fois devant Leurs Majestés. On avait dressé
pour eux un théâtre dans la salle des gardes du vieux Louvre.
Les comédiens de l'hôtel de Bourgogne, les futurs rivaux,
les acteurs à la mode, étaient présents. Toute la cour attendait.
Le roi, impassible, allait juger. D'abord on joua Nicomède, le
Nicomède de Corneille. L'assistance demeura froide, et, à me-
sure que la pièce avançait, devenait plus froide encore. On ne
trouvait pas très-surprenants ces comédiens de province, dont
on avait dit tant de bien. Alors, Molière eut recours à un coup
d'audace; il se souvint de ces harangues qui plaisaient si fort à
son public de Rouen, de Lyon ou de Pézénas, et s'avançant
tout à coup, au moment où Nicomède était achevé, il s'excusa
des défauts de ses interprètes, remercia l'assistance, et, regar-
dant les comédiens rivaux :
— L'envie que nous avions eue de divertir le plus grand
roi du monde, ajouta-t-il, nous avait fait un peu oublier que
Sa Majesté avait à son service d'excellents originaux dont nous
ne sommes que de très-faibles copies. Mais puisque Sa Majesté
a bien voulu souffrir nos manières de campagne (Molière dirait
rurales aujourd'hui), je la supplie très-humblement d'avoir pour
agréable que je lui donne un de ces petits divertissements qui
m'ont acquis de la réputation, et dont, j'ose le dire, je régale
les provinces.
— Va pour le régal des provinces! répondit le roi.
Et alors, Molière et ses acteurs entamèrent et jouèrent de
verve une pièce en un acte, du vrai Molière, le Docteur amoureux.
Il jouait le docteur. Il y mit toute sa gaîté et toute sa puissance. Il
fut trouvé superbe et ses actrices parurent charmantes. Cette
gaîté franche, hardie, bonne fille, bien française, bien gauloise,
étonna et séduisit. Le roi se mit à rire; il était désarmé. Et comme
le roi riait, les courtisans rirent aussi, et les comédiens rivaux
avec les courtisans; mais ces derniers, sans doute, riaient jaune.
Bref, le succès fut complet. L'enfant de Paris, Jean-Baptiste
Poquelin, rentrait à Paris en vainqueur, aux éclats de gaîté de
Sa Majesté Louis XIV. Le roi donna des ordres pour qu'il se
fixât dans sa bonne ville. La salle du Petit-Bourbon lui fut ac-
cordée pour qu'il y jouât alternativement avec les Italiens, et la
future Comédie Française prit tout d'abord le titre de Troupe
de Monsieur.
Le 3 novembre de cette année 1658, moins d'un mois après,
Molière donnait l'Etourdi au public parisien ; en décembre, le
Dépit amoureux, et le 18 novembre 1659 il faisait représenter
les Précieuses ridicules, cette préface spirituelle à ces grands, à
ces éternels chefs-d'œuvre qui s'appellent Don Juan, Tartuffe et
le Misanthrope.
Ici finissent les voyages de Molière. A partir du jour où cet
enfant de Paris a posé le pied sur le sol parisien, on peut dire
qu'il n'a plus à chercher sa voie, à hésiter, à courir, à voyager :
il est arrivé.
Il est arrivé, — et la France compte un génie de plus, un de
ces êtres qu'on aime autant qu'on les admire, un de ces privi-
légiés qui ne redoutent ni le temps, ni la mode, et qui sont, à
l'heure où leur pays subit une éclipse passagère, les étoiles de
gloire qui reparaissent toujours au ciel un moment obscurci, et
qui brillent — plus superbes peut-être après l'orage, — étoiles
ou lueurs de phares et qui disent : Venez à moi, je suis la clarté,
je suis la vérité, je suis le beau et le bien, je suis la raison,
je suis la patrie, je suis Molière, je suis la France!
JULES CLARETIE.
MUSIQUE
La jolie musique de M. Delibes a cette singulière bonne for-
tune d'avoir désarmé la critique.
Les chevaliers de la mélodie ont fini par comprendre qu'à
force de chanter sur tous les tons qu'il n'y avait plus de com-
positeurs en France, ils commençaient à jouer un rôle où
l'odieux et le ridicule se mêlaient agréablement. Ils ont donc
baissé pavillon. Rien de pins curieux que cette évolution; rien
de plus précieux que Ips aveux qui échappent à ces pédants
grotesques. On ne tient aucun compte à M. Delibes de son ta-
lent proprement dit, de son habileté : « Tout le monde en a. »
Mais non! mais non! Cet art de grouper les voix, de combiner
les instruments, de développer les idées et de passer sans effort
de l'une à l'autre, que M. Delibes possède si bien, tout le monde
ne l'a pas; le travail le développe, mais ne saurait le donner; c'est
un don de nature au même titre que la sainte mélodie. La'mélodie,
du reste, on savait que M. Delibes en avait; il avait fait des opé-
rettes! — Voyez-vous un monsieur disant : «Je savais que ce peintre
« avait du talent : il a peint des paravents dans sa jeunesse. »
Il est vrai que les paravents de M. Delibes étaient de la famille
de ceux de Goya, et que les critiques dont je parle les malme-
naient volontiers. Ils ne s'en souviennent plus.
De quoi donc ces messieurs louent-ils M. Delibes? Je vous le
donne en mille : de sa sobriété. Ecoutez plutôt :
« Cette sobriété est pour nous l'indice d'un véritable musi-
« cien scénique. Si la partition du Domino noir est un chef-
« d'œuvre, c'est par cette discrétion du musicien qui ne prend
« la parole que juste au moment voulu. Le plus grand défaut
« d'un ouvrage est de contenir trop de musique (!!!). Le roi le
« sait en est sobre pour sa part ; et c'est là une qualité à laquelle
« nous applaudissons. »
On avait cru jusqu'à présent que pour faire un chef-d'œuvre
il fallait d'autres qualités que celle, fort précieuse sans doute,
de savoir se taire à propos. On s'était trompé ; sobriété et discré-
tion, tout est là.
Cela rappelle un mot de l'ex-impératrice, à qui l'on soumet-
tait le programme d'un concert des Tuileries : elle le prend, le
parcourt et le rend en disant négligemment : « Pas trop de
musique, n'est-ce pas ? »
M. Delibes n'a pas mérité les sots compliments qu'on lui
fait. Il y a heureusement beaucoup de musique dans son ou-
vrage, dont le succès est assuré.
Il paraît qu'on s'est bien amusé à la première de Raphaël, à
l'Athénée. L'auteur, neveu de l'auteur de la Somnambule et des
Puritains, avait annoncé à tout le monde un déluge de mélodie.
« Cela coule toujours, » disaient ses admirateurs. Et de fait,
cela a coulé tant et si bien, qu'on en était inondé ; on a bu de
la mélodie, on s'en est grisé, on s'en est saoûlé : un rire inex-
tinguible, comme celui des dieux, s'est emparé de l'auditoire.
Ceux qui ont assisté à cette petite fête en rient encore. L'ou-
vrage tient toujours l'affiche : et pourquoi ne la tiendrait-il pas?
L'auteur appartient à l'espèce des musiciens qui ne savent pas la
musique, laquelle envahit peu à peu tous les théâtres lyriques,
pour la plus grande gloire de la mélodie. Voyez MM. Diaz et
Mermet, à l'Opéra; M. Bellini, au Théâtre-Lyrique; M. Duprat,
à Marseille, cela marche. L'Opéra-Comique résiste encore ;
mais M. de Leuven comprendra un jour ou l'autre qu'il faut
suivre le mouvemement; il reprendra l'Eau merveilleuse avec
une partition nouvelle de Mme Sarah Félix, et la musique sans
musiciens sera définitivement fondée.
PHÉMIUS.
Louis XIV dépendait leur avenir. S'ils plaisaient, la place à
Paris était conquise; s'ils déplaisaient, il fallait repartir pour la
province, reprendre la route du hasard, l'existence de grands
chemins, les repos en plein air, les sommeils dans les granges,
les rencontres des hôtelleries, tout le Roman tragique des Ra-
gotins!
Ce fut le 24 octobre 1658 que Molière et sa troupe jouèrent
pour la première fois devant Leurs Majestés. On avait dressé
pour eux un théâtre dans la salle des gardes du vieux Louvre.
Les comédiens de l'hôtel de Bourgogne, les futurs rivaux,
les acteurs à la mode, étaient présents. Toute la cour attendait.
Le roi, impassible, allait juger. D'abord on joua Nicomède, le
Nicomède de Corneille. L'assistance demeura froide, et, à me-
sure que la pièce avançait, devenait plus froide encore. On ne
trouvait pas très-surprenants ces comédiens de province, dont
on avait dit tant de bien. Alors, Molière eut recours à un coup
d'audace; il se souvint de ces harangues qui plaisaient si fort à
son public de Rouen, de Lyon ou de Pézénas, et s'avançant
tout à coup, au moment où Nicomède était achevé, il s'excusa
des défauts de ses interprètes, remercia l'assistance, et, regar-
dant les comédiens rivaux :
— L'envie que nous avions eue de divertir le plus grand
roi du monde, ajouta-t-il, nous avait fait un peu oublier que
Sa Majesté avait à son service d'excellents originaux dont nous
ne sommes que de très-faibles copies. Mais puisque Sa Majesté
a bien voulu souffrir nos manières de campagne (Molière dirait
rurales aujourd'hui), je la supplie très-humblement d'avoir pour
agréable que je lui donne un de ces petits divertissements qui
m'ont acquis de la réputation, et dont, j'ose le dire, je régale
les provinces.
— Va pour le régal des provinces! répondit le roi.
Et alors, Molière et ses acteurs entamèrent et jouèrent de
verve une pièce en un acte, du vrai Molière, le Docteur amoureux.
Il jouait le docteur. Il y mit toute sa gaîté et toute sa puissance. Il
fut trouvé superbe et ses actrices parurent charmantes. Cette
gaîté franche, hardie, bonne fille, bien française, bien gauloise,
étonna et séduisit. Le roi se mit à rire; il était désarmé. Et comme
le roi riait, les courtisans rirent aussi, et les comédiens rivaux
avec les courtisans; mais ces derniers, sans doute, riaient jaune.
Bref, le succès fut complet. L'enfant de Paris, Jean-Baptiste
Poquelin, rentrait à Paris en vainqueur, aux éclats de gaîté de
Sa Majesté Louis XIV. Le roi donna des ordres pour qu'il se
fixât dans sa bonne ville. La salle du Petit-Bourbon lui fut ac-
cordée pour qu'il y jouât alternativement avec les Italiens, et la
future Comédie Française prit tout d'abord le titre de Troupe
de Monsieur.
Le 3 novembre de cette année 1658, moins d'un mois après,
Molière donnait l'Etourdi au public parisien ; en décembre, le
Dépit amoureux, et le 18 novembre 1659 il faisait représenter
les Précieuses ridicules, cette préface spirituelle à ces grands, à
ces éternels chefs-d'œuvre qui s'appellent Don Juan, Tartuffe et
le Misanthrope.
Ici finissent les voyages de Molière. A partir du jour où cet
enfant de Paris a posé le pied sur le sol parisien, on peut dire
qu'il n'a plus à chercher sa voie, à hésiter, à courir, à voyager :
il est arrivé.
Il est arrivé, — et la France compte un génie de plus, un de
ces êtres qu'on aime autant qu'on les admire, un de ces privi-
légiés qui ne redoutent ni le temps, ni la mode, et qui sont, à
l'heure où leur pays subit une éclipse passagère, les étoiles de
gloire qui reparaissent toujours au ciel un moment obscurci, et
qui brillent — plus superbes peut-être après l'orage, — étoiles
ou lueurs de phares et qui disent : Venez à moi, je suis la clarté,
je suis la vérité, je suis le beau et le bien, je suis la raison,
je suis la patrie, je suis Molière, je suis la France!
JULES CLARETIE.
MUSIQUE
La jolie musique de M. Delibes a cette singulière bonne for-
tune d'avoir désarmé la critique.
Les chevaliers de la mélodie ont fini par comprendre qu'à
force de chanter sur tous les tons qu'il n'y avait plus de com-
positeurs en France, ils commençaient à jouer un rôle où
l'odieux et le ridicule se mêlaient agréablement. Ils ont donc
baissé pavillon. Rien de pins curieux que cette évolution; rien
de plus précieux que Ips aveux qui échappent à ces pédants
grotesques. On ne tient aucun compte à M. Delibes de son ta-
lent proprement dit, de son habileté : « Tout le monde en a. »
Mais non! mais non! Cet art de grouper les voix, de combiner
les instruments, de développer les idées et de passer sans effort
de l'une à l'autre, que M. Delibes possède si bien, tout le monde
ne l'a pas; le travail le développe, mais ne saurait le donner; c'est
un don de nature au même titre que la sainte mélodie. La'mélodie,
du reste, on savait que M. Delibes en avait; il avait fait des opé-
rettes! — Voyez-vous un monsieur disant : «Je savais que ce peintre
« avait du talent : il a peint des paravents dans sa jeunesse. »
Il est vrai que les paravents de M. Delibes étaient de la famille
de ceux de Goya, et que les critiques dont je parle les malme-
naient volontiers. Ils ne s'en souviennent plus.
De quoi donc ces messieurs louent-ils M. Delibes? Je vous le
donne en mille : de sa sobriété. Ecoutez plutôt :
« Cette sobriété est pour nous l'indice d'un véritable musi-
« cien scénique. Si la partition du Domino noir est un chef-
« d'œuvre, c'est par cette discrétion du musicien qui ne prend
« la parole que juste au moment voulu. Le plus grand défaut
« d'un ouvrage est de contenir trop de musique (!!!). Le roi le
« sait en est sobre pour sa part ; et c'est là une qualité à laquelle
« nous applaudissons. »
On avait cru jusqu'à présent que pour faire un chef-d'œuvre
il fallait d'autres qualités que celle, fort précieuse sans doute,
de savoir se taire à propos. On s'était trompé ; sobriété et discré-
tion, tout est là.
Cela rappelle un mot de l'ex-impératrice, à qui l'on soumet-
tait le programme d'un concert des Tuileries : elle le prend, le
parcourt et le rend en disant négligemment : « Pas trop de
musique, n'est-ce pas ? »
M. Delibes n'a pas mérité les sots compliments qu'on lui
fait. Il y a heureusement beaucoup de musique dans son ou-
vrage, dont le succès est assuré.
Il paraît qu'on s'est bien amusé à la première de Raphaël, à
l'Athénée. L'auteur, neveu de l'auteur de la Somnambule et des
Puritains, avait annoncé à tout le monde un déluge de mélodie.
« Cela coule toujours, » disaient ses admirateurs. Et de fait,
cela a coulé tant et si bien, qu'on en était inondé ; on a bu de
la mélodie, on s'en est grisé, on s'en est saoûlé : un rire inex-
tinguible, comme celui des dieux, s'est emparé de l'auditoire.
Ceux qui ont assisté à cette petite fête en rient encore. L'ou-
vrage tient toujours l'affiche : et pourquoi ne la tiendrait-il pas?
L'auteur appartient à l'espèce des musiciens qui ne savent pas la
musique, laquelle envahit peu à peu tous les théâtres lyriques,
pour la plus grande gloire de la mélodie. Voyez MM. Diaz et
Mermet, à l'Opéra; M. Bellini, au Théâtre-Lyrique; M. Duprat,
à Marseille, cela marche. L'Opéra-Comique résiste encore ;
mais M. de Leuven comprendra un jour ou l'autre qu'il faut
suivre le mouvemement; il reprendra l'Eau merveilleuse avec
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