595 ADRALDE — ADRAMYTTIUM 596
acceptèrent la transaction qui était plutôt favorable
aux Vendômois; mais un certain nombre de religieux
de Saint-Aubin la refusèrent et écrivirent au cardinal P.
neveu du pape, une lettre de protestation, où ils ap-
pellent l'évêque de Chartres, un maître de la chi-
cane, versutiarum magistro. Dans une autre occa-
sion, il fut moins agréable aux Vendômois; car il
reçut d'Alexandre II, une lettre qui lui enjoignait
de s'abstenir, sous peine de suspense, de toute vexa-
tion envers eux, et de ne pas s'opposer à ce qu'ils
reprissent les sept églises de son diocèse qui leur appar-
tenaient. Cependant, ces moines l'inscrivirent sur leur
nécrologe et lui consacrèrent un anniversaire.
Ses rapports avec l'abbaye de Saint-Père furent
très tendus. Après la mort de l'abbé Landry, le 14 mars
1069, son prédécesseur Robert de Tours avait voulu
leur imposer un certain Thierry de Marmoutiers ; mais
ils le refusèrent sous prétexte qu'il était disciple de
Bérenger, et élurent l'un d'entre eux, nommé Hubert.
Privés de la messe pendant trois mois, exilés, interdits
de l'office, ils en appelèrent au pape qui leur donna
raison et fit bénir Hubert par le légat.
L'évêque Robert, étant allé à Rome, sans doute
pour cette affaire, mourut pendant son retour, le
23 décembre 1069, à Souvigny. Mais Adralde reprit sa
politique et, comme lui, chassa Hubert qu'il remplaça
par Thierry de Vendôme, le même sans doute que plus
haut. Cette attitude lui valut les rudes critiques du
moine Paul (1087). « Telle était sa fourberie, dit-il,
que s'il ne l'avait dissimulée par son langage sé-
duisant, il n'aurait pas eu seulement le masque de
la fourberie, mais il eût passé pour la fourberie en
personne. Elle était si forte que, par ses discours
sacrilèges, il privait promptement de la lumière de
la vérité les yeux des meilleurs. Il chassa l'abbé et
la meilleure partie des moines, créa subitement abbé
un ex-moine et prit pour lui 80 livres. Si une terrible
mort n'avait mis fin à ses méchancetés, il aurait rasé,
selon son nom, tous les biens extérieurs et intérieurs
du monastère, car il disait que l'or, l'argent et les
choses précieuses de l'église étaient pour les moines
des causes et des excitants de relâchement. Il préten-
dait que c'était un grand crime pour les moines de
manger du poisson et de la graisse; il ne leur concédait
que des légumes secs et des aliments sans assaisonne-
ment, tandis qu'il réclamait pour lui de gros poissons
et des mets exotiques. »
D'accord avec le sous-doyen Adelard, il fonda le
prieuré de Saint-Étienne en y établissant quatre cha-
noines, auxquels il assigna pour subsistance non les re-
venus des prébendes de la cathédrale, vacantes par le
décès des chanoines mais une prébende du chapitre
de Saint-Jean en Vallée composé de clercs séculiers.
Aussi trouve-t-on l'obit d'Adralde dans le nécrologe
de ce monastère.
Il fut aussi bienveillant pour les moines de Cluny
auxquels il accorda, du consentement du chapitre et
sur la demande du chanoine Foucher de Nivelon, la
prébende dont celui-ci était titulaire, en gage de fra-
ternité et à perpétuité.
Le 24 avril 1071, au concile de Sens, il souscrivit
à la confirmation du don de l'église Saint-André fait
par Hugues, évêque de Troyes, aux moines de Celle.
A Saint-Laumer de Blois, un intrus nommé Gui,
s'était emparé du siège abbatial pendant que le légi-
time abbé, Isambert, faisait son pèlerinage à Jéru-
salem. Grégoire VII écrivit à Adralde une lettre datée
d'Argentea le 27 novembre 1073, en faveur d'Isam-
bert. Il lui écrivit encore, en même temps qu'aux ar-
chevêques de Reims, Sens et Bourges et à tous les
évêques de France, une lettre datée de Tribur, le
10 septembre 1074, pour l'engager, ainsi qu'eux, à
résister au roi de France et à le menacer de l'in-
terdit. De tous les évêques, Adralde est le seul dé-
signé nommément par le pape à cause d'un certain
Foucher de Chartres, pèlerin de Rome, qu'un sei-
gneur de Beauvais retenait captif. Les chanoines de
Notre-Dame de Chartres dans leur nécrologe firent
un bel éloge d'Adralde. « C'était un homme très élo-
quent, éclairé des rayons de l'une et l'autre science : il
aima son Église et l'enrichit de présents. Il lui donna
de son vivant de très belles chapes, de précieux
dorsalia, un calice d'or bien travaillé pour la messe
quotidienne et après sa mort toute sa chapelle épis-
copale avec une grande somme d'argent. »
Adralde mourut le 10 février 1075 : son anniversaire
se célébrait à la cathédrale.
Ch. Métais, Cartulaire de l'abbaye cardinale de la Trinité
de Vendôme, 1893-1904, chartes 222, 223, 234, 235, 238, 238,
255, 315, t. IV, p. 376, 467. - E. de Lépinois et L. Merlet,
Cartulaire de Notre-Dame de Chartres, 1862-1865,t.1, p. 16,93,
94, 95; t. n, p. 324; t. m, p. 39. — Guérard, Cartulaire de l'ab-
baye de Sainl-Père de Chartres, Paris, 1840, p. 13, 210. —
Gregorii VII, Episloloe, I, XXXII; II, V, P. L., t. CXLVIII,
col. 315, 363. — Gallia chrisliana, t. VIII, col. 1121. - Vila
sancti Odilonis, P. L, t. CXLIV, col. 92S. — Pétri Damiani,
Opera, P. L, t. CXLV, col. 578-579, 872. — A. Clerval, Les
écoles de Chartres au moyen âge, Paris, 1895, p. 43,45,115,125.
A. CLERVAL.
ADRAMYTTIUM, 'ASpx'j.-jTT £ iov et 'A't'P'fL!'EL()V
(avec de nombreuses variantes orthographiques),
évêché en Asie. Cette ville, située sur le golfe de
même nom, passait pour être une fondation lydienne
et pour devoir son nom à Adramytos ou Adramydos,
frère de Crésus. Elle reçut plus tard une colonie athé-
nienne venue de Délos. En 496 avant J.-C., à la suite
d'une révolte, presque tous ses habitants furent
massacrés par les Perses. Relevée de ce désastre, elle
demeura florissante sous la domination romaine et
celle des rois de Pergame à qui les Romains la cédèrent.
Menacée de destruction par ces derniers à cause de
son alliance avec Mithridate, elle dut son salut à l'élo-
quence du rhéteur Xénoclès qui alla plaider en sa
faveur devant le sénat. La ville ne joua aucun rôle
sous l'empire byzantin et dès longtemps sa déca-
dence est complète. Aujourd'hui, c'est un chef-lieu
de caza du vilayet de Brousse, à 5 kil. de la mer, avec
6200 habitants, dont 1200 Grecs ;production d'huile,
vin, coton; eaux thermales. Les Turcs l'appellent
Adramit ou Édrémit.
Saint Paul, après sa comparution devant Agrippa,
fut envoyé de Césarée en Italie, sur un navire d'Adra-
myttium, -KIOÎM ',-\i)pCqJ.JH'{IV(:, Act., XXVII, 2; ce
navire touchait aux différents ports d'Asie et on pen-
sait trouver dans l'un d'eux quelque autre navire
allant en Italie, ce qui arriva en effet. L'apôtre visita
probablement Adramyttium en allant de la Galatie
à Troas par la Mysie. Act., XVI, 6, 7.
Évêché suffragant d'Éphèse, Adramyttium figure
dans les Notices d'Épiphane et de Léon le Sage (Gel-
zer, Ungedr. und ungenügend veröffenttichte Texte
der Notit. episc., p. 536, 552), la Notice de Basile
(Gelzer, Georgii Cyprii descr. orbis rom., p. 6), les
notices I, III, VII, VIII, IX, X, XIII, de Parthey.
Huit évêques sont connus : Helladius, présent au
concile d'Éphèse, 431; Aurelius, à Constantinople,
448; Flavien, au Brigandage d'Éphèse, 449, et à
Chalcédoine, 451; Julien, à qui Hypace d'Éphèse
adressait un ouvrage vers 550; Théodore, à Constan-
tinople, 680; Basile, à Nicée, 787; Michel, à Cons-
tantinople, 869; Georges, qui signa en 1230 à un *
synode d'Ephèse. Le Quien, Oriens. christ., t. I,
col. 701; Revue des études grecques, t. VII (1894), p. 80.
Adramyttium est encore aujourd'hui pour la curie ro-
maine un évêché titulaire.
Hérodote, VII, 42 ; Thucyd., v, 1 ; VIII, 108; Xénoph, Anab.,
VII, vin, 8; Strabon, XIII, 606, 613, 614; XIV, 660; Diodore,
acceptèrent la transaction qui était plutôt favorable
aux Vendômois; mais un certain nombre de religieux
de Saint-Aubin la refusèrent et écrivirent au cardinal P.
neveu du pape, une lettre de protestation, où ils ap-
pellent l'évêque de Chartres, un maître de la chi-
cane, versutiarum magistro. Dans une autre occa-
sion, il fut moins agréable aux Vendômois; car il
reçut d'Alexandre II, une lettre qui lui enjoignait
de s'abstenir, sous peine de suspense, de toute vexa-
tion envers eux, et de ne pas s'opposer à ce qu'ils
reprissent les sept églises de son diocèse qui leur appar-
tenaient. Cependant, ces moines l'inscrivirent sur leur
nécrologe et lui consacrèrent un anniversaire.
Ses rapports avec l'abbaye de Saint-Père furent
très tendus. Après la mort de l'abbé Landry, le 14 mars
1069, son prédécesseur Robert de Tours avait voulu
leur imposer un certain Thierry de Marmoutiers ; mais
ils le refusèrent sous prétexte qu'il était disciple de
Bérenger, et élurent l'un d'entre eux, nommé Hubert.
Privés de la messe pendant trois mois, exilés, interdits
de l'office, ils en appelèrent au pape qui leur donna
raison et fit bénir Hubert par le légat.
L'évêque Robert, étant allé à Rome, sans doute
pour cette affaire, mourut pendant son retour, le
23 décembre 1069, à Souvigny. Mais Adralde reprit sa
politique et, comme lui, chassa Hubert qu'il remplaça
par Thierry de Vendôme, le même sans doute que plus
haut. Cette attitude lui valut les rudes critiques du
moine Paul (1087). « Telle était sa fourberie, dit-il,
que s'il ne l'avait dissimulée par son langage sé-
duisant, il n'aurait pas eu seulement le masque de
la fourberie, mais il eût passé pour la fourberie en
personne. Elle était si forte que, par ses discours
sacrilèges, il privait promptement de la lumière de
la vérité les yeux des meilleurs. Il chassa l'abbé et
la meilleure partie des moines, créa subitement abbé
un ex-moine et prit pour lui 80 livres. Si une terrible
mort n'avait mis fin à ses méchancetés, il aurait rasé,
selon son nom, tous les biens extérieurs et intérieurs
du monastère, car il disait que l'or, l'argent et les
choses précieuses de l'église étaient pour les moines
des causes et des excitants de relâchement. Il préten-
dait que c'était un grand crime pour les moines de
manger du poisson et de la graisse; il ne leur concédait
que des légumes secs et des aliments sans assaisonne-
ment, tandis qu'il réclamait pour lui de gros poissons
et des mets exotiques. »
D'accord avec le sous-doyen Adelard, il fonda le
prieuré de Saint-Étienne en y établissant quatre cha-
noines, auxquels il assigna pour subsistance non les re-
venus des prébendes de la cathédrale, vacantes par le
décès des chanoines mais une prébende du chapitre
de Saint-Jean en Vallée composé de clercs séculiers.
Aussi trouve-t-on l'obit d'Adralde dans le nécrologe
de ce monastère.
Il fut aussi bienveillant pour les moines de Cluny
auxquels il accorda, du consentement du chapitre et
sur la demande du chanoine Foucher de Nivelon, la
prébende dont celui-ci était titulaire, en gage de fra-
ternité et à perpétuité.
Le 24 avril 1071, au concile de Sens, il souscrivit
à la confirmation du don de l'église Saint-André fait
par Hugues, évêque de Troyes, aux moines de Celle.
A Saint-Laumer de Blois, un intrus nommé Gui,
s'était emparé du siège abbatial pendant que le légi-
time abbé, Isambert, faisait son pèlerinage à Jéru-
salem. Grégoire VII écrivit à Adralde une lettre datée
d'Argentea le 27 novembre 1073, en faveur d'Isam-
bert. Il lui écrivit encore, en même temps qu'aux ar-
chevêques de Reims, Sens et Bourges et à tous les
évêques de France, une lettre datée de Tribur, le
10 septembre 1074, pour l'engager, ainsi qu'eux, à
résister au roi de France et à le menacer de l'in-
terdit. De tous les évêques, Adralde est le seul dé-
signé nommément par le pape à cause d'un certain
Foucher de Chartres, pèlerin de Rome, qu'un sei-
gneur de Beauvais retenait captif. Les chanoines de
Notre-Dame de Chartres dans leur nécrologe firent
un bel éloge d'Adralde. « C'était un homme très élo-
quent, éclairé des rayons de l'une et l'autre science : il
aima son Église et l'enrichit de présents. Il lui donna
de son vivant de très belles chapes, de précieux
dorsalia, un calice d'or bien travaillé pour la messe
quotidienne et après sa mort toute sa chapelle épis-
copale avec une grande somme d'argent. »
Adralde mourut le 10 février 1075 : son anniversaire
se célébrait à la cathédrale.
Ch. Métais, Cartulaire de l'abbaye cardinale de la Trinité
de Vendôme, 1893-1904, chartes 222, 223, 234, 235, 238, 238,
255, 315, t. IV, p. 376, 467. - E. de Lépinois et L. Merlet,
Cartulaire de Notre-Dame de Chartres, 1862-1865,t.1, p. 16,93,
94, 95; t. n, p. 324; t. m, p. 39. — Guérard, Cartulaire de l'ab-
baye de Sainl-Père de Chartres, Paris, 1840, p. 13, 210. —
Gregorii VII, Episloloe, I, XXXII; II, V, P. L., t. CXLVIII,
col. 315, 363. — Gallia chrisliana, t. VIII, col. 1121. - Vila
sancti Odilonis, P. L, t. CXLIV, col. 92S. — Pétri Damiani,
Opera, P. L, t. CXLV, col. 578-579, 872. — A. Clerval, Les
écoles de Chartres au moyen âge, Paris, 1895, p. 43,45,115,125.
A. CLERVAL.
ADRAMYTTIUM, 'ASpx'j.-jTT £ iov et 'A't'P'fL!'EL()V
(avec de nombreuses variantes orthographiques),
évêché en Asie. Cette ville, située sur le golfe de
même nom, passait pour être une fondation lydienne
et pour devoir son nom à Adramytos ou Adramydos,
frère de Crésus. Elle reçut plus tard une colonie athé-
nienne venue de Délos. En 496 avant J.-C., à la suite
d'une révolte, presque tous ses habitants furent
massacrés par les Perses. Relevée de ce désastre, elle
demeura florissante sous la domination romaine et
celle des rois de Pergame à qui les Romains la cédèrent.
Menacée de destruction par ces derniers à cause de
son alliance avec Mithridate, elle dut son salut à l'élo-
quence du rhéteur Xénoclès qui alla plaider en sa
faveur devant le sénat. La ville ne joua aucun rôle
sous l'empire byzantin et dès longtemps sa déca-
dence est complète. Aujourd'hui, c'est un chef-lieu
de caza du vilayet de Brousse, à 5 kil. de la mer, avec
6200 habitants, dont 1200 Grecs ;production d'huile,
vin, coton; eaux thermales. Les Turcs l'appellent
Adramit ou Édrémit.
Saint Paul, après sa comparution devant Agrippa,
fut envoyé de Césarée en Italie, sur un navire d'Adra-
myttium, -KIOÎM ',-\i)pCqJ.JH'{IV(:, Act., XXVII, 2; ce
navire touchait aux différents ports d'Asie et on pen-
sait trouver dans l'un d'eux quelque autre navire
allant en Italie, ce qui arriva en effet. L'apôtre visita
probablement Adramyttium en allant de la Galatie
à Troas par la Mysie. Act., XVI, 6, 7.
Évêché suffragant d'Éphèse, Adramyttium figure
dans les Notices d'Épiphane et de Léon le Sage (Gel-
zer, Ungedr. und ungenügend veröffenttichte Texte
der Notit. episc., p. 536, 552), la Notice de Basile
(Gelzer, Georgii Cyprii descr. orbis rom., p. 6), les
notices I, III, VII, VIII, IX, X, XIII, de Parthey.
Huit évêques sont connus : Helladius, présent au
concile d'Éphèse, 431; Aurelius, à Constantinople,
448; Flavien, au Brigandage d'Éphèse, 449, et à
Chalcédoine, 451; Julien, à qui Hypace d'Éphèse
adressait un ouvrage vers 550; Théodore, à Constan-
tinople, 680; Basile, à Nicée, 787; Michel, à Cons-
tantinople, 869; Georges, qui signa en 1230 à un *
synode d'Ephèse. Le Quien, Oriens. christ., t. I,
col. 701; Revue des études grecques, t. VII (1894), p. 80.
Adramyttium est encore aujourd'hui pour la curie ro-
maine un évêché titulaire.
Hérodote, VII, 42 ; Thucyd., v, 1 ; VIII, 108; Xénoph, Anab.,
VII, vin, 8; Strabon, XIII, 606, 613, 614; XIV, 660; Diodore,
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.93%.
- Sujets similaires Fonds régional : Alsace Fonds régional : Alsace /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "Alsace1"Jérémie-Jacques Oberlin, principal du collège de la fondation dite de la Haute-école à Strasbourg, à ses concitoyens républicains /ark:/12148/bd6t5776859c.highres Arrest du conseil d'Estat du Roy concernant le cours des especes dans la province d'Alsace . Du 28. juin 1718. Extrait des registres du Conseil d'estat. /ark:/12148/bd6t54198296k.highres
- Auteurs similaires Fonds régional : Alsace Fonds régional : Alsace /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "Alsace1"Jérémie-Jacques Oberlin, principal du collège de la fondation dite de la Haute-école à Strasbourg, à ses concitoyens républicains /ark:/12148/bd6t5776859c.highres Arrest du conseil d'Estat du Roy concernant le cours des especes dans la province d'Alsace . Du 28. juin 1718. Extrait des registres du Conseil d'estat. /ark:/12148/bd6t54198296k.highres
-
-
Page
chiffre de pagination vue 318/916
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k6562709t/f318.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k6562709t/f318.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k6562709t/f318.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k6562709t/f318.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k6562709t
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k6562709t
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k6562709t/f318.image × Aide