Titre : Les Ailes : journal hebdomadaire de la locomotion aérienne / directeur, rédacteur en chef, Georges Houard
Éditeur : [s.n. ?] (Paris)
Date d'édition : 1929-05-30
Contributeur : Houard, Georges (1893-1964). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb326846379
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 12981 Nombre total de vues : 12981
Description : 30 mai 1929 30 mai 1929
Description : 1929/05/30 (A9,N415). 1929/05/30 (A9,N415).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6554645p
Source : Musée Air France, 2013-273367
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 14/10/2013
3Q.5.9Q
LJES AILES
13
Pertes antages. Elle évite d'abord les
stOckagPard évaporation, entraînées par le
cla urvnsomniation 6"06' pertes qu'on peut
er a un min; de 10 pour cent de
i 6 entraînera une sé-
Pots d beaucoup P plus complète que des dé-
temps d y rocarbures. Mais, surtout, en
guerre ce sera la meilleure sau-
Ve Sa r( k des annr -
bustibles &liquide Sera meilleure sau-
le fS pprovisionnements. Les com-
te Wnn- ont pris, en effet, dans
que ilitaires, Une importance
qUe U 1 a e que si la fatalité voulait
? u4er'lain des ni
's Pcuples dans une suprême
lut OUr la vie Se Pressassent l'un con-
tre tre a VIe, se dressassent l'un con-
Prévoir que le prélude
s s srait annoncé par des ten-
tative^ystépiarîr.
eS'rUC,i0n des dé-
VUe, d'hydrocarbures. Or, à ce point de
vue e §as-oil r, a ce point de
rapport à l'essence ou
le P'e• tr(>le hrni- -
stvJrit^ beaucm, présente des garanties de
s "ilé eaucoup plus considérables.
C liCENCES --tOu GENIE LATIN?
CUites l Rroblème présente des diffi-
utés In,»,,'ani qu-es considérables, en parti-
Pornps en qui concerne la réalisation des
ces diffites
PoT^s et de« \n,ecteurs» la présence de
sa» 6
ces difficultés n'est pas une raison suffi-
Pour a priori. Si, d'ail-
"l'Fssaire de montrer que
dîe ^rêt est •■« enfî'?.- il suffirait-de pren-
d'-RiJ exemDi 5e 1 Allemagne.
Q W
Bien qu'avant résolu d'une manière
re unp -
peut-être imparfaite en temps de paix, mais
le problè ent viable en temps de guerre"
le Pro lè-niede l'essence synthétique, sa
-Istru mx
orienté Ion. mécanique s'est nettement
litre ra e. Vers le moteur à injection, à al-
M» ,
MaYbahde Dt à combustible lourd î Junkers,
tres M.A. N., Bosch et d'au-
QUe c actuellement des moteurs réalisés.
Que Ces moteurs oient parfaits, certaine-
ment n°n- Mai i - certaine-
mi,3 le moteur à explosion d'il
tOUt ea te ns était loin d'être parfait. En
t0!.. Pca». s? v l prOblème n'est pas étudié
soi,.
SOlu, et e.. Il, ne sera certainement pas ré-
ftiéo' ie ini.-
tivp'' ^e exï-/ où le moteur à injection
ne nni.era sous une forme défini-
tive lie plus que la res-
soi,r d'^quérir restera plus et de recom-
vue e Istolre du Diesel.
vue ebl11 Ut s: dmander si, à ce point de
IOdltStr' Il11e bien d-'autres points de vue
a le s l'o, enir de la France doit être
assuré uniquemnt par l'exploitation de li-
cences n)que,ment par l'exploitation. de Ii:
Semble trageres et si le génie latin, qui
Ct* »V0,>1lt. ses preuves dans le do-
de 1 ';n ntln' est incapable de réa-
lisaJt- e ective. En un mot devons-nous
teUr Content
n0c°ntenter a,près avojr été les initia-
de let souvent
''es Plus les premiers producteurs,
'■'es ltre Dlu«i Ue les tributaires des au-
IÙCal erso nellement, je me fais un autre
e l'ave- nl- r de mon pays.
I. Directevr 1 C „ Paul DUMANOIS.
1111 ¡recteur de l'Office des Combustibles.
| RADIATEUR I
VINCENT
ANDRE
LE PLUS USER. LE PLUS ROBUSTE
Les avions de tous les grands raids I I
Ctux qui détiennent la majorité des
records en sont équipés
- Le Radiateur de qualité -
RÉSERVOIRS en DUBALUMI.
homologués pur le S. T. I. Ae.
Les 26 réservoirs en duralumin
dont était muni le "Savoïa .64"
de FERRARIN et DEL PRETE
pour leur voyage record
ROME-NATAL, 7.200 kms
soitaient des Etablissements
VINCENT
ANDRE
OSIIE: 35, r-de Paris, Csarbevoie, Tél. Ceorbevtie 9-31
35. AVBRBS de Vaoram, Paris (17e), Tél. lagrao 29 00
SILENCIElix R. B.
En service sur les lignes aériennes
TOUTES PIÈCES EMBOUTIES 4 DÉCOUPÉES
ENBBiTS - VERNIS - PEINTURES
pour l'Aviation
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Hovavia
Une Marque qui est une garantie
Société Novavia, Malakoff (Seine]
.1. Il .,,. Il' Il.
LES AILES combattent pour r A dation. En
vous abonnant, pour 25 francs par an, vous assu-
rerez l'heureuse issue de ce bon combat.
.-,-0 ell --'Ultees ne donnent pas les béné-
sque s leur p-rincipe est ad-
Or ln iétit e se mani f este dans
ici, d'aéronauti qui se maziteste d';lns
les îlllieHxtifice, car le aeronazetzqzee est pleznement des-
cser
e1 0 èle à ceux qui seraient
conclus dans le cours de l'annee n'a pporte
lia e des Prime* r au conlraire au sys-
e JsP°nible n est plus tant le tj>n-
dit Il qui est frimé que la puis-
sance du moteur .C'est aller à l'encontre dit
Le pis est que la dépendance des com du
^Qis £ > £ £U/? dépendance des compa-
il est encore renforcée
d~ ;ts ce Iloitz, eait contrat. Enfin, et c'est un
comble, il serait prévu pour trente ans! La
Il P ,) *îne cst née voici vingt ans
elle .K°^resse sans cesse vingt ans
leh{(. c°nsrn,fnce/ ^es auteurs du projet
en cons Séq'teiice .1 - les auteurs dit projet
• * une stagnation de
tes e ? Ce Our eUe une stagnatIOn e
Ceux, e serait lamentable et nous som.-
- qui pensent la voir
se l) tOlltet .ner a tous égards, à la condi-
!0ti, f °"tetois
e ^iti s°ient -hj ^e sejnblables méthodes
arfa. Plus aPPliquées.
VNierl kie- n 1) e toute cette polémique, il
n d quelque chose, lorsque le
e devra donner son avis ou met-
veto.
) th On dit que la Cierva.
L'in gétliu r eSpagnoI, grand ténor de
1 «ci ^aiité teChnC,Ue' Prépare des nouveau-
lrIon set¡satio ChnlqUe, prépare des nouveau-
* C'est même M. Ed-
ù ge qUI le dit dans LE TEMPS :
dél de sLI; moidéP 0,,. iVeUpt recherches Le problème du
a Il pas encore reçu, selon lui, de so-
qu'ici Idéale r, eçu selo1l lut. e -
?nir qu'nVli°Sire "-'e pouvait, jus-
)¡Q'lt e) dest!, £f'k'après une longue course pré-
crïï ajtcer » la voilure, en don-
hJrU moteur. M. La Zierva
j•?rvenu à lancer aérodyna-
S l'Pel'er le déPart prochain sur
e tel, , eiit réalable. Or, seul
tQit telle p Pal'aissait théoriquement capable
e proues Se' ^arrêt en Plein ciel se-
44le 'urrigj. tCn d'être obtenu.
n'le révolUf emballé, M. Edmond Delage
Oa : er notre Marine natio-
■ * fat att offrir des avantages non
moins évidents à l'aviation maritime. Le
porte-avions, d'où les apareils prennent leur
envol, est contraint de se placer face au
vent. Il gêne nécessairement les évolutions
de la flotte avec laquelle il manœuvre. Cette
précaution est rendue inutile par Vemploi de
l'autogire. Les grands ponts d'envol sont su-
perflus: de petits porte-avions, moins vulné-
rables, moins coûteux, le transporteront et le
lanceront. Enfin, même au cours du vol de
nuit, et par temps brumeux, la Plupart des
risques de l'atterrissage en avion sont évités
Par la descente verticale.
Des avions, beaucoup d'avions..
M. Leygues est bien embêté. Il avait
trouvé une combinaison astucieuse qui lui
permettait d'embarquer tous les pilotes, ses
cent pilotes. Mais voilà que M. Claude F-
rère bouleverse ses projets avec les décla-
rations qu'il vient de faire à M. Jean Chris-
tian, de L'AUTORITÉ :
Une division de trois cuirassés, éclairée par
une trentaine de contre-torpilleurs, suffirait
à constituer pour la France une marine qui
en soit une. Et puis des avions! beaucoup
d'avions. L'avion, ici encore, c'est Vavenir, et
l'on ne mesure pas encore exactement l ;
puissance de cet élément nouveau des arme-
ments navals. Le jour oÙ une marine sera do-
tée d'une part d'escadrilles lourdes, assez-
fortes pour pouvoir porter la guerre sur un
large rayon, et d'autre part, de cuirassés
pourvus chacun d'une escadrille propre, lé-
gère, cette marine-là sera redoutable. Et être
redoutable, en marine, tout est là; on peut
gagner une guerre sans jamais sortir ses
unités, par le respect imposé et par la sim-
Ple menace.
Non. les navires porte-avions me semblent
une solutio.: provisoire, leur crmement insuf-
fisant, leur lenteur et leur largeur de cible
les exposant trop dangereusement. le crois
plutôt que l'avenir est dans le véritable cui-
rassé doté d'une aviation propre. En marine,
ce qui n'est bon qu'à porter n'est bon à rien;
on avait bien construit aussi, jadis, un navire
Porte-soits-iiiarin, La Foudre, dont le sort fut
une pauvre histoire.!
Alors, si vous retirez à M. Leygues ses
porte-avions, sur quoi voulez-vous qu'il em-
barque son aviation! En attendant les cui-
rassés qui n'existent pas, il va être forcé de
la rendre à M. Laurent -,Eynac..
"LR ROUE HOBUR"
Société Anonyme au Capiiml de 1.150.000 franc9.
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Téléphone : 16.27 R. C. Reims 13-073
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