Titre : Les Ailes : journal hebdomadaire de la locomotion aérienne / directeur, rédacteur en chef, Georges Houard
Éditeur : [s.n. ?] (Paris)
Date d'édition : 1928-11-15
Contributeur : Houard, Georges (1893-1964). Directeur de publication
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb326846379
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 12981 Nombre total de vues : 12981
Description : 15 novembre 1928 15 novembre 1928
Description : 1928/11/15 (A8,N387). 1928/11/15 (A8,N387).
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6554617c
Source : Musée Air France, 2013-273367
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 14/10/2013
8e Année > 387 - 15 Novembre 1928
IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIOIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIUIIIIIOIIIIIII
LE NUMERO : 75 ceRthm
IIHlUIIIIHtlIttlHIHHIimiHHillHimnîilINimil
JOURNAL HEBDOMADAIRE DE LA LOCOMOTION AÉRIENNE
^acteur en Chef : Georges HOUARD
Rédaction, Administration : 40, Quai des Célestins, PARIS-IV*.
TELEPHONE: ABCIIIVES 66-46 - CHEQUES POSTAUX: PARIS 443-49
Abonnements d'an an : Franco, 25 Fr. - Union postale, 46 Fr. Antres pays, Il Fr.
LIRE EN PAGE 4
le communiqué officiel du C. P. P. A4.
n nouvel avion commercial français, qui ne dérive d'aucun appareil militaire, qui
n vise à aucun emploi guerrier, vient de faire une apparition sur les aérodromes.
(||||l C'est ta Farman-190, moteur Gnome et Rhône « Titan » de 230 CV. D'une ligne
bien moderne et comme il convient, dans la note « Farman », ce bon appareil de
moyen transport est appelé à rendre de grands services sur les lignes aériennes et
a servir utilement dans l'aviation particulière et dans l'aviation de tourisme.
{\
l, La récente tentative de
record du Lieutenant d'Ar-
cy Greig montre la volon-
té des britanniques de
poursuivre jusqu'au bout
leurs recherches dans la
nOIJCe- voie de la vitesse. N'an-
j!nce-t- ° Pas d'ailleurs, l'organisation
une Sorte de mission expérimentale char-
gée P préarer la participation britannique
\k dpe TJJ$ne Coupe Schneider. Or, celle-
Ci ne -disputera qu'en septembre 1929;
404S Il sommes en novembre 1928. Dix
S tintS en séparent encore. C'est ce
lItétho;pPelle se préparer sérieusement,
et Iquement.
91lé lenos,. qu'allons-nous faire? On sait
Mer àn}Stre de la Marine avait décidé de
Portant a troIs de nos firmes les plus Im-
htQntes le soin de réaliser chacune un
Frarzceln. assez rapide pour permettre à la
/Qtlce d e Se mettre sur les rangs. M. Lau-
rent Inac, bien sûr, ne remera pas le
)r¡t oue M. Leygues. Les trois hydravions
ant ou seront bientôt en construction.
.'tleux
Tant m. Mais ne nous Musi°nnons
Qs, pieux, mais ne nous illusionnons
années, nous avons
dQrzt Ce t hYdravion de vitesse pure. Pen-
41 ce temps Anglais, Italiens, Américains
ont travaillé 6 la Question et lui ont fait ac-
ï* la question et lui ont fait ac-
QtoQiXnP"R es progrès énormes. Ils en sont
Préciser b Il vaut mieux ne pas
éciser Où mS en sontmes. ne Pas
(jne Ou nous en sommes.
l'V ne m
f énorme nous sépare d'eux.
1er, techn IClens sont capables de la com-
intens Pas en dix mois. Il faut, dès
foti,l-ntenant S ,atta^uer au problème; il faut,
dès inte nant, construire des hydravions
thon no dont l'étude, l'essai et l'amélio-
il OUPe nous Permettront de disputer la
Coupe Schn même temps,
il faut oser nlder. Mais, en même temps,
,: trois an dire que ce n'est pas avant deux
s d'us - et à condition de travailler
ferme d'une manière constante que
/i0y 8 p°Urr0n * Prétendre à surclasser ceux
qui pour l'instant, nous ont nettement dé-
passés »
Qte ons a la possibilité, pour un
Q réeconstruire un bon petit avion
eais nous croyons, par contre,
l able complexité du problème
NaVlon qu and il s'agit de réaliser un
rQI)IOn q"' tisse les 600 kms à l'heure.
no,, ili,donnons pas. Ce sera dur.;
D'UNE AILE A L'AUTRE
L'AVIATION MARITIME DANS LE MINISTERE DE L'AIR
Si l'aviation civile et l'aviation militaire ont accueilli avec enthousiasme le Ministère de l'Air, l'avia-
tion maritime ne paraît pas enchantée d'avoir été séparée de la Marine. L'aviation maritime, qui
groupe un personnel d'élite dont l'éloge n'est plus à faire, doit comprendre que son intérêt même exi-
geait son rattachement au Ministère de l'Air.
Il y a un conflit aux Ailes, un conflit
, entre les marins qui défendent la Marine
et André Morvan qui défend l'Aviation.
Je ne veux pas jouer à l'arbitre - ma
position et mes idées ne me le permet-
traient pas mais, puisque les marins
me le demandent, je voudrais ici les ras-
surer.
Un premier point doit être précisé.
Nous faisons une différence entre les
marins et la Marine. Quand, il y a en-
core quelques mois, Les Ailes criti-
quaient sévèrement l'Aéronautique offi-
cielle, il n'est venu à l'idée d'aucun
pilote militaire ou civil de s'en forma-
liser; le personnel, même très haut placé,
était hors de cause et il le savait; il sa-
vait même que, combattant comme nous
le faisions, nous combattions pour lai.
Et aucun, je le répète, ne s'est trouvé
atteint dans sa dignité d'aviateur parce
que nous disions que l'Aviation était
mal organisée, qu'on n'y faisait pas ce
que l'on aurait dû y faire et que des ré-
formes importantes s'imposaient.
Quand nous disons que la Marine ne
connaît pas l'Aviation, qu'elle a une con-
ception inexacte ou insuffisante de ses
possibilités, quand nous disons que l'Aé-
ronautique maritime pourra être beau-
coup mieux exploitée dans le cadre d'un
Ministère de l'Air, les aviateurs de la
Marine n'ont aucune raison de se trou-
bler. Nous connaissons ici leurs qualités,
la tâche immense qu'ils ont accomplie et
qu'ils accomplissent encore et nulle part,
plus qu'aux Ailes, on éprouve, à leur
égard, autant de sympathie. La Marine
est une chose; le personnel de l'Aviation
maritime en est une autre et c'est bien
parce que nous le connaissons et l'appré-
cions que nous voudrions le voir doté
d'un matériel et d'une organisation di-
gnes de son incomparable valeur.
Toutes les campagnes des Ailes sont
inspirées par la foi. Nous croyons sin-
cèrement, profondément, aux idées que
nous défendons et ceci suffit pour que
les aviateurs de la Marine accueillent ces
idées avec la certitude qu'elles ne sont
exprimées que pour le bien du pays et de
l'Aviation maritime.
Je ne suis pas marin; je ne suis pas
militaire non plus. Il n'est pas besoin
d'être l'un ou l'autre pour avoir des exi-
gences de la Défense Nationale, une opi-
nion sensée. Or, je crois réellement à la
prédominance de l'Aviation dans les di-
vers éléments de la Défense Nationale
et il est bien évident que cette croyance
n'était partagée ni par l'Armée, ni par
la Marine.
L'Armée et la Marine, on l'a dit bien
souvent ici, voient dans l'Aviation une
arme précieuse, certes, mais une arme
auxiliaire qui ne saurait prétendre à la
décision. Devant les faits les plus élo-
quents, cette croyance ne s'est pas
émoussée. Au contraire, la subordination
de l'Aviation aux unités de terre et de
mer s'est plutôt affirmée en ces derniè-
res années.
Et — je ne voudrais pas faire de
peine aux marins — il me faut bien
constater que la désolation qui s'est em-
parée d'eux à la création du Ministère
de l'Air,est la preuve qu'ils sous-estiment
vraiment l'avion et l'hydravion avec le-
quel, cependant, ils ont réalisé de si ma-
gnifiques exploits. L'aviation militaire a
accueilli avec enthousiasme son passage
au Ministère de l'Air parce qu'elle avait
une juste idée de ses possibilités et aussi
de sa personnalité. Elle avait une notion
— que je crois exacte — de ce qu'elle
pourra faire une fois organisée en armée
autonome.
Les doléances des marins-aviateurs
m'obligent bien à dire que l'esprit de
leur grand Etat-Major Général a déteint
sur eux et qu'ils n'assignent pas à l'A-
viation sur mer la belle destinée qui est
pourtant la sienne. Ils ne conçoivent l'A-
viation que liée à la Marine et c'est, à
mon sens, leur formidable erreur. Ils
voient dans l'avion un complément du
bateau et ne l'en séparent pas. S'il en était
autrement, si, eux aussi, avaient eu la
conception de l'aviation prédominante,
ils auraient applaudi à la création du
Ministère de l'Air qui, seul, peut et
doit permettre à l'Aéronautique de con-
quérir, avec son indépendance, l'orga-
nisation et le matériel indispensables à
sa mise en valeur.
L'Aéronautique est composée d'élé-
ments civils, militaires et maritimes. Les
éléments civils et militaires ont toujouis
été en liaison à peu près constante; il y
a eu interpénétration et les aspirations
des uns sont vite devenues celles des
autres. C'est pourquoi l'institution du
Ministère de l'Air a comblé leurs vœux.
L'élément maritime, lui, est resté où il
était, loin des autres; il s'est développé
IIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIOIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIUIIIIIOIIIIIII
LE NUMERO : 75 ceRthm
IIHlUIIIIHtlIttlHIHHIimiHHillHimnîilINimil
JOURNAL HEBDOMADAIRE DE LA LOCOMOTION AÉRIENNE
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Rédaction, Administration : 40, Quai des Célestins, PARIS-IV*.
TELEPHONE: ABCIIIVES 66-46 - CHEQUES POSTAUX: PARIS 443-49
Abonnements d'an an : Franco, 25 Fr. - Union postale, 46 Fr. Antres pays, Il Fr.
LIRE EN PAGE 4
le communiqué officiel du C. P. P. A4.
n nouvel avion commercial français, qui ne dérive d'aucun appareil militaire, qui
n vise à aucun emploi guerrier, vient de faire une apparition sur les aérodromes.
(||||l C'est ta Farman-190, moteur Gnome et Rhône « Titan » de 230 CV. D'une ligne
bien moderne et comme il convient, dans la note « Farman », ce bon appareil de
moyen transport est appelé à rendre de grands services sur les lignes aériennes et
a servir utilement dans l'aviation particulière et dans l'aviation de tourisme.
{\
l, La récente tentative de
record du Lieutenant d'Ar-
cy Greig montre la volon-
té des britanniques de
poursuivre jusqu'au bout
leurs recherches dans la
nOIJCe- voie de la vitesse. N'an-
j!nce-t- ° Pas d'ailleurs, l'organisation
une Sorte de mission expérimentale char-
gée P préarer la participation britannique
\k dpe TJJ$ne Coupe Schneider. Or, celle-
Ci ne -disputera qu'en septembre 1929;
404S Il sommes en novembre 1928. Dix
S tintS en séparent encore. C'est ce
lItétho;pPelle se préparer sérieusement,
et Iquement.
91lé lenos,. qu'allons-nous faire? On sait
Mer àn}Stre de la Marine avait décidé de
Portant a troIs de nos firmes les plus Im-
htQntes le soin de réaliser chacune un
Frarzceln. assez rapide pour permettre à la
/Qtlce d e Se mettre sur les rangs. M. Lau-
rent Inac, bien sûr, ne remera pas le
)r¡t oue M. Leygues. Les trois hydravions
ant ou seront bientôt en construction.
.'tleux
Tant m. Mais ne nous Musi°nnons
Qs, pieux, mais ne nous illusionnons
années, nous avons
dQrzt Ce t hYdravion de vitesse pure. Pen-
41 ce temps Anglais, Italiens, Américains
ont travaillé 6 la Question et lui ont fait ac-
ï* la question et lui ont fait ac-
QtoQiXnP"R es progrès énormes. Ils en sont
Préciser b Il vaut mieux ne pas
éciser Où mS en sontmes. ne Pas
(jne Ou nous en sommes.
l'V ne m
f énorme nous sépare d'eux.
1er, techn IClens sont capables de la com-
intens Pas en dix mois. Il faut, dès
foti,l-ntenant S ,atta^uer au problème; il faut,
dès inte nant, construire des hydravions
thon no dont l'étude, l'essai et l'amélio-
il OUPe nous Permettront de disputer la
Coupe Schn même temps,
il faut oser nlder. Mais, en même temps,
,: trois an dire que ce n'est pas avant deux
s d'us - et à condition de travailler
ferme d'une manière constante que
/i0y 8 p°Urr0n * Prétendre à surclasser ceux
qui pour l'instant, nous ont nettement dé-
passés »
Qte ons a la possibilité, pour un
Q réeconstruire un bon petit avion
eais nous croyons, par contre,
l able complexité du problème
NaVlon qu and il s'agit de réaliser un
rQI)IOn q"' tisse les 600 kms à l'heure.
no,, ili,donnons pas. Ce sera dur.;
D'UNE AILE A L'AUTRE
L'AVIATION MARITIME DANS LE MINISTERE DE L'AIR
Si l'aviation civile et l'aviation militaire ont accueilli avec enthousiasme le Ministère de l'Air, l'avia-
tion maritime ne paraît pas enchantée d'avoir été séparée de la Marine. L'aviation maritime, qui
groupe un personnel d'élite dont l'éloge n'est plus à faire, doit comprendre que son intérêt même exi-
geait son rattachement au Ministère de l'Air.
Il y a un conflit aux Ailes, un conflit
, entre les marins qui défendent la Marine
et André Morvan qui défend l'Aviation.
Je ne veux pas jouer à l'arbitre - ma
position et mes idées ne me le permet-
traient pas mais, puisque les marins
me le demandent, je voudrais ici les ras-
surer.
Un premier point doit être précisé.
Nous faisons une différence entre les
marins et la Marine. Quand, il y a en-
core quelques mois, Les Ailes criti-
quaient sévèrement l'Aéronautique offi-
cielle, il n'est venu à l'idée d'aucun
pilote militaire ou civil de s'en forma-
liser; le personnel, même très haut placé,
était hors de cause et il le savait; il sa-
vait même que, combattant comme nous
le faisions, nous combattions pour lai.
Et aucun, je le répète, ne s'est trouvé
atteint dans sa dignité d'aviateur parce
que nous disions que l'Aviation était
mal organisée, qu'on n'y faisait pas ce
que l'on aurait dû y faire et que des ré-
formes importantes s'imposaient.
Quand nous disons que la Marine ne
connaît pas l'Aviation, qu'elle a une con-
ception inexacte ou insuffisante de ses
possibilités, quand nous disons que l'Aé-
ronautique maritime pourra être beau-
coup mieux exploitée dans le cadre d'un
Ministère de l'Air, les aviateurs de la
Marine n'ont aucune raison de se trou-
bler. Nous connaissons ici leurs qualités,
la tâche immense qu'ils ont accomplie et
qu'ils accomplissent encore et nulle part,
plus qu'aux Ailes, on éprouve, à leur
égard, autant de sympathie. La Marine
est une chose; le personnel de l'Aviation
maritime en est une autre et c'est bien
parce que nous le connaissons et l'appré-
cions que nous voudrions le voir doté
d'un matériel et d'une organisation di-
gnes de son incomparable valeur.
Toutes les campagnes des Ailes sont
inspirées par la foi. Nous croyons sin-
cèrement, profondément, aux idées que
nous défendons et ceci suffit pour que
les aviateurs de la Marine accueillent ces
idées avec la certitude qu'elles ne sont
exprimées que pour le bien du pays et de
l'Aviation maritime.
Je ne suis pas marin; je ne suis pas
militaire non plus. Il n'est pas besoin
d'être l'un ou l'autre pour avoir des exi-
gences de la Défense Nationale, une opi-
nion sensée. Or, je crois réellement à la
prédominance de l'Aviation dans les di-
vers éléments de la Défense Nationale
et il est bien évident que cette croyance
n'était partagée ni par l'Armée, ni par
la Marine.
L'Armée et la Marine, on l'a dit bien
souvent ici, voient dans l'Aviation une
arme précieuse, certes, mais une arme
auxiliaire qui ne saurait prétendre à la
décision. Devant les faits les plus élo-
quents, cette croyance ne s'est pas
émoussée. Au contraire, la subordination
de l'Aviation aux unités de terre et de
mer s'est plutôt affirmée en ces derniè-
res années.
Et — je ne voudrais pas faire de
peine aux marins — il me faut bien
constater que la désolation qui s'est em-
parée d'eux à la création du Ministère
de l'Air,est la preuve qu'ils sous-estiment
vraiment l'avion et l'hydravion avec le-
quel, cependant, ils ont réalisé de si ma-
gnifiques exploits. L'aviation militaire a
accueilli avec enthousiasme son passage
au Ministère de l'Air parce qu'elle avait
une juste idée de ses possibilités et aussi
de sa personnalité. Elle avait une notion
— que je crois exacte — de ce qu'elle
pourra faire une fois organisée en armée
autonome.
Les doléances des marins-aviateurs
m'obligent bien à dire que l'esprit de
leur grand Etat-Major Général a déteint
sur eux et qu'ils n'assignent pas à l'A-
viation sur mer la belle destinée qui est
pourtant la sienne. Ils ne conçoivent l'A-
viation que liée à la Marine et c'est, à
mon sens, leur formidable erreur. Ils
voient dans l'avion un complément du
bateau et ne l'en séparent pas. S'il en était
autrement, si, eux aussi, avaient eu la
conception de l'aviation prédominante,
ils auraient applaudi à la création du
Ministère de l'Air qui, seul, peut et
doit permettre à l'Aéronautique de con-
quérir, avec son indépendance, l'orga-
nisation et le matériel indispensables à
sa mise en valeur.
L'Aéronautique est composée d'élé-
ments civils, militaires et maritimes. Les
éléments civils et militaires ont toujouis
été en liaison à peu près constante; il y
a eu interpénétration et les aspirations
des uns sont vite devenues celles des
autres. C'est pourquoi l'institution du
Ministère de l'Air a comblé leurs vœux.
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