Titre : Journal officiel de Madagascar et dépendances
Auteur : Madagascar. Auteur du texte
Éditeur : Imprimerie nationale (Tananarive)
Date d'édition : 1945-07-28
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34425284n
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Langue : malgache
Format : Nombre total de vues : 94347 Nombre total de vues : 94347
Description : 28 juillet 1945 28 juillet 1945
Description : 1945/07/28 (A61,N3123). 1945/07/28 (A61,N3123).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Description : Collection numérique : Zone géographique :... Collection numérique : Zone géographique : Afrique centrale et océan indien
Description : Collection numérique : Thème : L'histoire partagée Collection numérique : Thème : L'histoire partagée
Description : Collection numérique : BIPFPIG976 Collection numérique : BIPFPIG976
Description : Collection numérique : Histoire et géographie Collection numérique : Histoire et géographie
Description : Collection numérique : Océan indien Collection numérique : Océan indien
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k65220633
Source : Bibliothèque Interuniversitaire Cujas, 2012-252722
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 27/05/2013
- Aller à la page de la table des matières462
- SOMMAIRE.
- Partie officielle.
- .......... Page(s) .......... 467
- .......... Page(s) .......... 467
- Avis officiels.
- .......... Page(s) .......... 468
- .......... Page(s) .......... 468
- .......... Page(s) .......... 468
- .......... Page(s) .......... 469
- .......... Page(s) .......... 469
- .......... Page(s) .......... 469
- .......... Page(s) .......... 470
- .......... Page(s) .......... 470
- .......... Page(s) .......... 470
- .......... Page(s) .......... 470
- Partie non officielle.
- 57
61* Année. — N. S. - No 3123. 9. Sa m edi 28 Juillet 1945.
JOURNAL OFFICIEL
DE f
MADAGASCAR n DÉPENDANCEE3
~~vutn~
ABONNEMENTS
Edition Edition
partielle complète
la«agascar,{ Un an. - - 100 fr. 175 fr.
UpÉr-i ( Su mois.. 55 90
franceet CO-f Un an. 120 200
Mil.. ( Six mois.. 65 110
Un an. 150 250
Etrangér - - Six mois.. 80 130
Changement d'adresse : 2 francs
HEBDOMADAIRE PARAISSANT LE SAMEDI
PRIX DU NUMÉRO
Edition complète : 3 fr. 50. — Edition partielle : 2 francs
L'édition complète comprend : 1* L'édition partielle : Lois, décrets,
arrêtés, etc. ; 2* Deuxième partie : Réquisitions domaniales ; états des
exploitations minières. — Seule l'édition partielle est vendue séparément.
Adresser le montant des abonnements et commandes
au Directeur de l'Imprimerie Officielle, à Tananarive.
Compte chèque postal : Tananarive N° 1075.
POUR TOUTE PUBLIE
DANS LB
JOURNAL OFFICIEL
S'ADRESSER AU
DIRECTEUR
DB
L'IMPRIMERIE OFFICIELLE
TANANARIVE
DISCOURS
PRONONCÉ LE 23 JUILLET 1945,
= A BREST, *
PA Il
LE GÉNÉRAL DE GAULLE,
PRÉSIDENT DU GOUVERNEMENT PROVISOIRE
DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAtSE.
Voici cette grande ville maritime, détl aile
presque de fond en comble, abritant dans ses
décombres une population résolue à rebâtir la'
cité mais freinée dans son ardeur par le
manque de moyen. Sans doute, nous trouvons-
nous ici dans un lieu qui subit dIt paroxysme
l épreuve. Mais si les blessures reçues parla
Patrie ne l'atteignirent pas dans son ensemble
aussi profondément qu'à Brest, il est bien vrai
cependant que la France entière est blessée. La
grande tâche, la tâche sacrée, la litche natio-
nale s'appelle la reconstruction. J'ai dit les
devoirs de l'avenir. L'Océan qui bat tout près
d'ici à l'extrémité des terres les plus avanrées
de Bretagne nous rappelle quel -rôle l'avenir,
dans l'évolution du monde, confère à notre
pays. Nous ne sommes plus seuletnent comme
Jadis les gardiens du Rhin, face aux ambitions
Germaniques, ou base de départ du monde
occidental vers l'Orient et l'Afrique. Nous
s'ommes aussi le cap de l'Europe tourné vers
l'avenir.
Ne serait-ce pas là la raison profonde des
deux grandes batailles de France dont la
Première" faillit mettre un terme au destin de
l'Occident et dont la seconde vit la victoire de
la liberté ? Nest-ce pas là l'explication des
ruines de cette noble ville sur laquelle devaient
nécessairement s'acharner oppresseurs et libé-
rateurs ? N'est-ce pas là, enfin, le motif qui nous
rnpose, pour l'avenir, une vigilance rigoureuse,
afin que, dans l'indépendance, nous soyons un
ait-d'union entre deux mondes et non point,
*
dans l'abandon, un enjeu, un champ de
bataille ? Ah ! certes oui, c'est ici qu'apparaissent
en pleine clarté les grandes leçons qui doivent
Pour l'instant commander notre effort.
Il suffit d'évoquer tout cela pour mesurer
l'importance vitale que vont revêtir, pour la
France, les institutions nouvelles qu'elle est
appelée à se donner, Sans doute, les meilleures
institutions n'ont-elles de valeur qu'en fonction
des hommes qui les appliquent. Mais quoi que
ces hommes puissent valoir, leur activité ne
porte de bons fruits que dans un cadre qui s'y
prête.' Sans vouloir encore aujourd'hui déve-
lopper quelles dispositions je souhaite, pour
ma part, de voir inclure dans la constitution
future de la 1 V. République, je dirais que
celle-ci devra se prêter aux réformes larges et
profondes (luis'imposent au temps nouveau dans
les domaines administratif, économique, social,
moral et impérial, mais qu'elle devra en même
temps favoriser cette continuité de destfh de
l'Etat, cette force dans leur exécution, cette
assurance pour les faire valoir, dont le pays
ne saurait se passer.
'Je veux le redire aujourd'hui au milieu des
ruines et des espérances de Brest martyrisé
au service de la Patrie. Avant 1940, nous
avions une constitution. Il nous est impossible
de revenir au départ, c'est-à-dire d'élire une
Chambre et un Sénat qui pourraient, en se
réunissant, élaborer uns constitution nouvelle.
Je sais que des hommes éminents par le talent
et l'expérience recommandent cette solution.
Mais je dois dire qu'à mon avis elle n'est pas
satisfaisante, compte tenu. de certains événe-
ments' qu'on ne peut pas, hélas! oublier et
parce qu'un tel retour ne semblerait pas, par
nature, une bonne voie vers le renouveau.
C'est en tout cas au pays seul qu'il appar-
tient de décider. Faute de reprendre, pour
commencer, les institutions d'antan, la Nation
doit conférer le pouvoir "constituant à l'Assem-
blée qu'elle va élire au mois d'octobre prochain.
La Nation peut évidemment fixer sa volonté de
lui attribuer en même temps la totalité de tous
les hauts pouvoirs ; pour moi, autant je soit-
haite que cette Assemblée reçoive la mission
d'élaborer la nouvelle constitution, autant
j'estimerais déplorable qu'elle se trouvât omnipo-
tence, sans aucun l'rein, sans aucune limite ! Ce
principe, presque toujours quand il fut appliqué,
conduisit aux crises les plus graves. Comment
admettre qu'une Assemblée se voie investie de la
faculté et même de l'obligation de faire à son
seul gré, de son seul mouvement, sans pqssibi-
lité de révision, ni d'amendements, toutes les
lois, tous les traités ! Comment admettre
qu'elle dispose en propre, totalement et sans
recours pour un temps indéterminé, de tous
les pouvoirs ! Cela serait exactement cette
dictature collective et, au urplus, on ne peut
plus anonyme qui est la pire de toutes. Les
hommes qui ont le souci de l'avenir de la dé-
mocratie ne peuvent, après réflexion, vouloir
une pareille aventure. Quant à moi, je crois
indispensable que tout en chargeant l'Assem-
blée d'élaborer une constitution nouvelle et
dans un court délai, le pays approuve en
même temps une organisation qui comporte
l'équilibre des pouvoirs. Ainsi la constituante
pourra-t-elle se consacrer surtout aux tâches
essentielles, tout en gardant la décision dans
les matières législatives les plus importantes^ Le
Gouvernement, dont l'Assemblée aura d'ailleurs
elle-même choisi le Chef, aura la, stabilité néces-
saire.
Mais cette organisation momentanément au
pouvoir, pour que le pays l'approuve, il faut
qu'elle lui soit proposée. Qui peut le faire
sinon le Gouvernement que j'ai l'honneur de
présider et qui est, par suite des circonstances,
le seul responsable vis-à-vis de la Nation et
auquel il appartient de prendre l'initiative
que commande l'intérêt national. Je propose
donc de déterminer dès aujourd'hui, par une
entente à réaliser av( c les chefs actuels des
divers groupem(nis et partis politiques, un
régime raisonnable pour la futwe Assemblée.
Comment et au nom de quoi ? Le Gouvernement
ne se croit pas qualifié pour engager le pays
par une décision arbitraire, soit dans la voie
initiale des anciennes institutions, soit dans
le chemin d'une constituante, soit dans l'aven-
tuie d'une assemblée omnipotente. Pour en
sortir et rebâtir t'unité nécessaire, nous prati-
querons une innovation. Laquelle ? Celle qui
consiste à consulter directement le peuple. Il
est vrai que quelques-uns paraissent redouter
que les données d'une telle consultation ne
soient pas bien comprises par le Corps électo-
ral, et que ks Français et les Françaises ne
répondent dans la confusion aux questions qui
leur seront posées. Car voici les deux questions
que le Gouvernement compte poser au paW;
immédiatement avant les élections générales:
Première question : «L'Assémblée qui sera
élue sera-t-elle constituante ?» La réponse
sera donnée par «Oui» ou par «Non». Si.
comme -je le souhaite personnellement, la ma-
jorité des Français répond «Oui», cela voudrait
61* Année. — N. S. - No 3123. 9. Sa m edi 28 Juillet 1945.
JOURNAL OFFICIEL
DE f
MADAGASCAR n DÉPENDANCEE3
~~vutn~
ABONNEMENTS
Edition Edition
partielle complète
la«agascar,{ Un an. - - 100 fr. 175 fr.
UpÉr-i ( Su mois.. 55 90
franceet CO-f Un an. 120 200
Mil.. ( Six mois.. 65 110
Un an. 150 250
Etrangér - - Six mois.. 80 130
Changement d'adresse : 2 francs
HEBDOMADAIRE PARAISSANT LE SAMEDI
PRIX DU NUMÉRO
Edition complète : 3 fr. 50. — Edition partielle : 2 francs
L'édition complète comprend : 1* L'édition partielle : Lois, décrets,
arrêtés, etc. ; 2* Deuxième partie : Réquisitions domaniales ; états des
exploitations minières. — Seule l'édition partielle est vendue séparément.
Adresser le montant des abonnements et commandes
au Directeur de l'Imprimerie Officielle, à Tananarive.
Compte chèque postal : Tananarive N° 1075.
POUR TOUTE PUBLIE
DANS LB
JOURNAL OFFICIEL
S'ADRESSER AU
DIRECTEUR
DB
L'IMPRIMERIE OFFICIELLE
TANANARIVE
DISCOURS
PRONONCÉ LE 23 JUILLET 1945,
= A BREST, *
PA Il
LE GÉNÉRAL DE GAULLE,
PRÉSIDENT DU GOUVERNEMENT PROVISOIRE
DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAtSE.
Voici cette grande ville maritime, détl aile
presque de fond en comble, abritant dans ses
décombres une population résolue à rebâtir la'
cité mais freinée dans son ardeur par le
manque de moyen. Sans doute, nous trouvons-
nous ici dans un lieu qui subit dIt paroxysme
l épreuve. Mais si les blessures reçues parla
Patrie ne l'atteignirent pas dans son ensemble
aussi profondément qu'à Brest, il est bien vrai
cependant que la France entière est blessée. La
grande tâche, la tâche sacrée, la litche natio-
nale s'appelle la reconstruction. J'ai dit les
devoirs de l'avenir. L'Océan qui bat tout près
d'ici à l'extrémité des terres les plus avanrées
de Bretagne nous rappelle quel -rôle l'avenir,
dans l'évolution du monde, confère à notre
pays. Nous ne sommes plus seuletnent comme
Jadis les gardiens du Rhin, face aux ambitions
Germaniques, ou base de départ du monde
occidental vers l'Orient et l'Afrique. Nous
s'ommes aussi le cap de l'Europe tourné vers
l'avenir.
Ne serait-ce pas là la raison profonde des
deux grandes batailles de France dont la
Première" faillit mettre un terme au destin de
l'Occident et dont la seconde vit la victoire de
la liberté ? Nest-ce pas là l'explication des
ruines de cette noble ville sur laquelle devaient
nécessairement s'acharner oppresseurs et libé-
rateurs ? N'est-ce pas là, enfin, le motif qui nous
rnpose, pour l'avenir, une vigilance rigoureuse,
afin que, dans l'indépendance, nous soyons un
ait-d'union entre deux mondes et non point,
*
dans l'abandon, un enjeu, un champ de
bataille ? Ah ! certes oui, c'est ici qu'apparaissent
en pleine clarté les grandes leçons qui doivent
Pour l'instant commander notre effort.
Il suffit d'évoquer tout cela pour mesurer
l'importance vitale que vont revêtir, pour la
France, les institutions nouvelles qu'elle est
appelée à se donner, Sans doute, les meilleures
institutions n'ont-elles de valeur qu'en fonction
des hommes qui les appliquent. Mais quoi que
ces hommes puissent valoir, leur activité ne
porte de bons fruits que dans un cadre qui s'y
prête.' Sans vouloir encore aujourd'hui déve-
lopper quelles dispositions je souhaite, pour
ma part, de voir inclure dans la constitution
future de la 1 V. République, je dirais que
celle-ci devra se prêter aux réformes larges et
profondes (luis'imposent au temps nouveau dans
les domaines administratif, économique, social,
moral et impérial, mais qu'elle devra en même
temps favoriser cette continuité de destfh de
l'Etat, cette force dans leur exécution, cette
assurance pour les faire valoir, dont le pays
ne saurait se passer.
'Je veux le redire aujourd'hui au milieu des
ruines et des espérances de Brest martyrisé
au service de la Patrie. Avant 1940, nous
avions une constitution. Il nous est impossible
de revenir au départ, c'est-à-dire d'élire une
Chambre et un Sénat qui pourraient, en se
réunissant, élaborer uns constitution nouvelle.
Je sais que des hommes éminents par le talent
et l'expérience recommandent cette solution.
Mais je dois dire qu'à mon avis elle n'est pas
satisfaisante, compte tenu. de certains événe-
ments' qu'on ne peut pas, hélas! oublier et
parce qu'un tel retour ne semblerait pas, par
nature, une bonne voie vers le renouveau.
C'est en tout cas au pays seul qu'il appar-
tient de décider. Faute de reprendre, pour
commencer, les institutions d'antan, la Nation
doit conférer le pouvoir "constituant à l'Assem-
blée qu'elle va élire au mois d'octobre prochain.
La Nation peut évidemment fixer sa volonté de
lui attribuer en même temps la totalité de tous
les hauts pouvoirs ; pour moi, autant je soit-
haite que cette Assemblée reçoive la mission
d'élaborer la nouvelle constitution, autant
j'estimerais déplorable qu'elle se trouvât omnipo-
tence, sans aucun l'rein, sans aucune limite ! Ce
principe, presque toujours quand il fut appliqué,
conduisit aux crises les plus graves. Comment
admettre qu'une Assemblée se voie investie de la
faculté et même de l'obligation de faire à son
seul gré, de son seul mouvement, sans pqssibi-
lité de révision, ni d'amendements, toutes les
lois, tous les traités ! Comment admettre
qu'elle dispose en propre, totalement et sans
recours pour un temps indéterminé, de tous
les pouvoirs ! Cela serait exactement cette
dictature collective et, au urplus, on ne peut
plus anonyme qui est la pire de toutes. Les
hommes qui ont le souci de l'avenir de la dé-
mocratie ne peuvent, après réflexion, vouloir
une pareille aventure. Quant à moi, je crois
indispensable que tout en chargeant l'Assem-
blée d'élaborer une constitution nouvelle et
dans un court délai, le pays approuve en
même temps une organisation qui comporte
l'équilibre des pouvoirs. Ainsi la constituante
pourra-t-elle se consacrer surtout aux tâches
essentielles, tout en gardant la décision dans
les matières législatives les plus importantes^ Le
Gouvernement, dont l'Assemblée aura d'ailleurs
elle-même choisi le Chef, aura la, stabilité néces-
saire.
Mais cette organisation momentanément au
pouvoir, pour que le pays l'approuve, il faut
qu'elle lui soit proposée. Qui peut le faire
sinon le Gouvernement que j'ai l'honneur de
présider et qui est, par suite des circonstances,
le seul responsable vis-à-vis de la Nation et
auquel il appartient de prendre l'initiative
que commande l'intérêt national. Je propose
donc de déterminer dès aujourd'hui, par une
entente à réaliser av( c les chefs actuels des
divers groupem(nis et partis politiques, un
régime raisonnable pour la futwe Assemblée.
Comment et au nom de quoi ? Le Gouvernement
ne se croit pas qualifié pour engager le pays
par une décision arbitraire, soit dans la voie
initiale des anciennes institutions, soit dans
le chemin d'une constituante, soit dans l'aven-
tuie d'une assemblée omnipotente. Pour en
sortir et rebâtir t'unité nécessaire, nous prati-
querons une innovation. Laquelle ? Celle qui
consiste à consulter directement le peuple. Il
est vrai que quelques-uns paraissent redouter
que les données d'une telle consultation ne
soient pas bien comprises par le Corps électo-
ral, et que ks Français et les Françaises ne
répondent dans la confusion aux questions qui
leur seront posées. Car voici les deux questions
que le Gouvernement compte poser au paW;
immédiatement avant les élections générales:
Première question : «L'Assémblée qui sera
élue sera-t-elle constituante ?» La réponse
sera donnée par «Oui» ou par «Non». Si.
comme -je le souhaite personnellement, la ma-
jorité des Français répond «Oui», cela voudrait
Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.17%.
En savoir plus sur l'OCR
En savoir plus sur l'OCR
Le texte affiché peut comporter un certain nombre d'erreurs. En effet, le mode texte de ce document a été généré de façon automatique par un programme de reconnaissance optique de caractères (OCR). Le taux de reconnaissance estimé pour ce document est de 99.17%.
- Collections numériques similaires Bibliothèque Diplomatique Numérique Bibliothèque Diplomatique Numérique /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MAEDIGen0"
- Auteurs similaires Bibliothèque Diplomatique Numérique Bibliothèque Diplomatique Numérique /services/engine/search/sru?operation=searchRetrieve&version=1.2&maximumRecords=50&collapsing=true&exactSearch=true&query=colnum adj "MAEDIGen0"
-
-
Page
chiffre de pagination vue 1/12
- Recherche dans le document Recherche dans le document https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/search/ark:/12148/bpt6k65220633/f1.image ×
Recherche dans le document
- Partage et envoi par courriel Partage et envoi par courriel https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/share/ark:/12148/bpt6k65220633/f1.image
- Téléchargement / impression Téléchargement / impression https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/download/ark:/12148/bpt6k65220633/f1.image
- Mise en scène Mise en scène ×
Mise en scène
Créer facilement :
- Marque-page Marque-page https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/bookmark/ark:/12148/bpt6k65220633/f1.image ×
Gérer son espace personnel
Ajouter ce document
Ajouter/Voir ses marque-pages
Mes sélections ()Titre - Acheter une reproduction Acheter une reproduction https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/pa-ecommerce/ark:/12148/bpt6k65220633
- Acheter le livre complet Acheter le livre complet https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/indisponible/achat/ark:/12148/bpt6k65220633
- Signalement d'anomalie Signalement d'anomalie https://sindbadbnf.libanswers.com/widget_standalone.php?la_widget_id=7142
- Aide Aide https://gallica.bnf.fr/services/ajax/action/aide/ark:/12148/bpt6k65220633/f1.image × Aide
Facebook
Twitter
Pinterest