Titre : Journal officiel de Madagascar et dépendances
Auteur : Madagascar. Auteur du texte
Éditeur : Imprimerie nationale (Tananarive)
Date d'édition : 1945-03-24
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34425284n
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Langue : malgache
Format : Nombre total de vues : 94347 Nombre total de vues : 94347
Description : 24 mars 1945 24 mars 1945
Description : 1945/03/24 (A61,N3105). 1945/03/24 (A61,N3105).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Description : Collection numérique : Zone géographique :... Collection numérique : Zone géographique : Afrique centrale et océan indien
Description : Collection numérique : Thème : L'histoire partagée Collection numérique : Thème : L'histoire partagée
Description : Collection numérique : BIPFPIG976 Collection numérique : BIPFPIG976
Description : Collection numérique : Histoire et géographie Collection numérique : Histoire et géographie
Description : Collection numérique : Océan indien Collection numérique : Océan indien
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k65220455
Source : Bibliothèque Interuniversitaire Cujas, 2012-252722
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 03/06/2013
61e Année - N. S. - No 3105.
98î)7
Samedi 24 Mars 1945.
JOURNAL OFFICIEL
DE
MADAGASCAR ET DEPENDANCES;
ABONNEMENTS
Edition Edition
partielle complète
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hei it Un an. 120 200
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PRIX DU NUMÉRO
Edition complète : 3 fr. 50. - Edition partielle : 2 francs
L'édition complète comprend : 1* L'édition partielle : Lois, décrets,
arrêtés, etc. ; 2* Deuxième partie : Réquisitions domaniales ; états des
exploitations miniètes. - Seule l'édition partielle est vendue léparément.
Adresser le montant des abonnements et commandes
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DANS LE
JOURNAL OFFICIEL
., S'ADRESSER AO
DIRECTEUR ,
Dz
L'IMPHIMERIE OPJPICIBLL8
TANANARIVE
- DISCOURS
PRONONCÉ LE 14 MARS 1945,
A LA RADIO DE PARIS,
- PAR
LE GÉNÉRAL DE GAULLE
RÉSIDENT DU GOUVERNEMENT PROVISOIRE'
DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE.
d be durs combats sont engagés en Indochine
epuis six jours entre les forces françaises et les
rcps japonaises. A Hilnoï. à Hué, à Langson,
reSOntllY, nos troupes opposèrent une vigou-
luti6 distance et poursuivent maintenant la
tou e aux environs de ces villes. A Monkay,
bti 8/es assauts ennemis ont été jusqu'à présent
et¿ 88. En Cochinchine et sur le Mékong, les
plie ®ernents de détail se prolongent et se multi-
gUQr là s'ouvre une. phase nouvelle de la
Que 6 en Extrême-Orient. L'ennemi, après les
iinraense, succès remportés sur tous ses
ad\%&aires, voit à prêtent la flotte, les esca-
drines les troupes américaines s'avancer d'île
son île à travers le Pacifique vers le cœur même de
son ter * comtat,e Qu'après bien'ôt huit
ans de Il constate qu'après bien'ôt huit
ans de Utte et de résistance, la Chine est plus
résolue qUe jamais. M mesure les difficultés que
lui eau Sent au% Indes Néerlandaises les escar-
trionrh
"'US aes détachements qui y sont toujours
deme Il sent peser sur lui, en Birmanie et
dans e gOlfe du Bmgale, les puissants moyens
Qu'y ra
donc t'cissemblent les Britanniques. Il vouriraitl
donc détruire le barrage que notre armée,
Réduite 'disperséç, mal pourvue mais aidée
Par , ies Populations, lui oppose courageu-
Sernent
La u
La France tandis qu'elle subissait les
, jPrp-itves fj ^nwasî' ow. n'avait jamais oublié
braves Français et les Indochinois demeurés
e ■ de la supériorité écrasante de
"COUrs u" Japonais. On sait comment les
secours qu'ils avaient demandés aux grandes
l' Ces ,]A^rS ^es Vrem^ers diktats de
puissances alliées lors des premiers diktats de
p enifierni en juin, juillet, septembre 4940, ainsi
qu'en janvier et février 4941, n'avaient pu leur être
fournis. Tout le monde connaît le sacrifice san-
glant delà garnisonde Langsonenseptembre 1 940,
l'énergique défense du Mékong en janvier 1941,
contre les Sianwis, alliés du Japon, et la
brillante action navale du 47 janvier 1941 au
cours de laquelle le vieux croiseur La Motte-
Picquet et quelques navires auxiliaires français
envoyèrent par le fond l'escadre siamoise.
La France n'a rien ignoré des angoisses et des
flécouragements que la politique d'abandon
pratiquée par Vichy causa là-bas, au cours de ces
terribles jours, mais elle a senti monter peul
à peu dans l'armée, dans l'administration,
chez les notabilités et dans les populations la
flamme de la libération.
Pas une seule heure, la France n'a perdu
l'espoir et la volonté de retroùver une Indochine
libre. Aux pires moments de l'avance japonaise,
le Comité National Français, qui parlait et
agissait au nom de la France dans les terri-
toires déjà libérés de l'Empire, a mis à la
disposition de la stratégie des Alliés les bases
alors essentielles de la Nouvelle-Calédone, des
Nouvelles-Hébrides et des JE tablissements français
d'Océanie qui ont permis de maintenir laliaison
entre l'Amérique, d'une part, l'Australie et la
Nouvelle-Zélande, d'autre part. Le Comité
National, aujourd'hui Gouvernement Français,
n'a pas cessé de susciter, par des voies seciètes
et difficiles, la résistance que l'Indochine a. peu
à peu, organisée à l'exemple de la Métropole.
Que ce fût à Brazzaville, à Alger, à Hanoï,
ou bien à Nantes, Lyon ou Paris, rien
n'a pu faire que l'unité française cessât d'être
indivisible.
Aujourd'hui, la lutte engagée entre l'enva-
hisseur et nos forces d'Indochine se déroule
suivant le plan arrêté par le Gouvernement et
sous les ordres des chefs qu'il a désignés. C'est
par là que les efforts, les sacrifices, les faits
d'armes de nos braves combattan's furent, sont
et seront au service et pour le bénéfice de la
France, comme furent, sont et seront tant lie1
faits d'armes, de sacrifices et d'efforts déployés
sur tous les champs de bataille du monde par
tous ceux qui ont l'honneur d'être assemblés
autour de notre drapeau.
Ah ! Nous savons tout ce qui manque aux
vaillants d'Indochine en fait de moyens maté-
riels, car c'est, jusqu'à présent, notre lot
dans cette nouvelle guerre de ne pouvoir, nulle,
part, après notre 7nalheur initial, retourner à
la bataille qu'avec un tronçon d'épée ou un
glaive emprunté. Dans la situation où se
trouve momentanément la France, il ne tient
pas qu'à elle que les forces qu'elle a depuis
longtemps préparées, pour secourir l'Indochine,
ne soient pas encore en ligne à côté de celles des
Alliés. Mais quelles que soient les condi ions
de la Résistance indochinoise, il est essentiel
qu'elle se dresse pour combattre. Il y va, dans
une appréciable mesure, de la victoire rapide
et totale des Nations Unies en Extrême-Orient.
Il y va de l'honneur de lrrFrance. Il y va de
l'avenir de l' Indochine française. Oui ! de
l'avenir de l'Indochine française, car dans
l 'épreuve de tous et dans le sang des soldats est
scellé en ce moment un pnete solennel entre la
France et les Peuples de l'Unio,t Indochinoise.
Nous savons bien qu'il est facile à l'adversaire
japonais de bâtir par d, s feintes et des arti fices
- comme on fabrique un dragon de papier -
l'apparence d'un consentement apporté à sa
tyrannie par les populations occupées. Mais
nous connaissons assez les réalités pour ne pas
nous laisser prendre à ces faux semblants. En
vérité, jamais l'Union Indochinoise ne fut plus
opposée à l'ennemi venu du Nord, ni plus
résolue à trouver en elle-même, avec l'aide de
la France, les conditions de son propre
développement dans tous les domaines : poli-
tique, économique, social, culturel, moral
où l'attend son grani avenir. Désormais
les voiles sont déchirés et le Gouvernement
Français va faire connaître incessamment dans
quelles voies et par quels moyens cela sera
réalisé. 1
L'Indochine est un creuset bouillonnant.
Certes, on aurait pu craindre que notre
abaissement y fût scellé, mais on peut main-
tenant espérer qu'il s'y forge notre renouveau.
Ce sont nos actes qui décident. Combattants et
Résistants d'Indochine, tous les hommes et
toutes les femmes qui, en France et Outre-mer,
sont liés entre eux autour du même drapeau,
portent sur vous leurs regards et vers vous
leurs pensées ! Tous et toutes savent que vous
êtes et serez à la hauteur de vos devoirs. Mais
sachez-aussi que c'est. votre combat qui ouvre
la, pointe du destinJ ,
98î)7
Samedi 24 Mars 1945.
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d be durs combats sont engagés en Indochine
epuis six jours entre les forces françaises et les
rcps japonaises. A Hilnoï. à Hué, à Langson,
reSOntllY, nos troupes opposèrent une vigou-
luti6 distance et poursuivent maintenant la
tou e aux environs de ces villes. A Monkay,
bti 8/es assauts ennemis ont été jusqu'à présent
et¿ 88. En Cochinchine et sur le Mékong, les
plie ®ernents de détail se prolongent et se multi-
gUQr là s'ouvre une. phase nouvelle de la
Que 6 en Extrême-Orient. L'ennemi, après les
iinraense, succès remportés sur tous ses
ad\%&aires, voit à prêtent la flotte, les esca-
drines les troupes américaines s'avancer d'île
son île à travers le Pacifique vers le cœur même de
son ter * comtat,e Qu'après bien'ôt huit
ans de Il constate qu'après bien'ôt huit
ans de Utte et de résistance, la Chine est plus
résolue qUe jamais. M mesure les difficultés que
lui eau Sent au% Indes Néerlandaises les escar-
trionrh
"'US aes détachements qui y sont toujours
deme Il sent peser sur lui, en Birmanie et
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Qu'y ra
donc t'cissemblent les Britanniques. Il vouriraitl
donc détruire le barrage que notre armée,
Réduite 'disperséç, mal pourvue mais aidée
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Sernent
La u
La France tandis qu'elle subissait les
, jPrp-itves fj ^nwasî' ow. n'avait jamais oublié
braves Français et les Indochinois demeurés
e ■ de la supériorité écrasante de
"COUrs u" Japonais. On sait comment les
secours qu'ils avaient demandés aux grandes
l' Ces ,]A^rS ^es Vrem^ers diktats de
puissances alliées lors des premiers diktats de
p enifierni en juin, juillet, septembre 4940, ainsi
qu'en janvier et février 4941, n'avaient pu leur être
fournis. Tout le monde connaît le sacrifice san-
glant delà garnisonde Langsonenseptembre 1 940,
l'énergique défense du Mékong en janvier 1941,
contre les Sianwis, alliés du Japon, et la
brillante action navale du 47 janvier 1941 au
cours de laquelle le vieux croiseur La Motte-
Picquet et quelques navires auxiliaires français
envoyèrent par le fond l'escadre siamoise.
La France n'a rien ignoré des angoisses et des
flécouragements que la politique d'abandon
pratiquée par Vichy causa là-bas, au cours de ces
terribles jours, mais elle a senti monter peul
à peu dans l'armée, dans l'administration,
chez les notabilités et dans les populations la
flamme de la libération.
Pas une seule heure, la France n'a perdu
l'espoir et la volonté de retroùver une Indochine
libre. Aux pires moments de l'avance japonaise,
le Comité National Français, qui parlait et
agissait au nom de la France dans les terri-
toires déjà libérés de l'Empire, a mis à la
disposition de la stratégie des Alliés les bases
alors essentielles de la Nouvelle-Calédone, des
Nouvelles-Hébrides et des JE tablissements français
d'Océanie qui ont permis de maintenir laliaison
entre l'Amérique, d'une part, l'Australie et la
Nouvelle-Zélande, d'autre part. Le Comité
National, aujourd'hui Gouvernement Français,
n'a pas cessé de susciter, par des voies seciètes
et difficiles, la résistance que l'Indochine a. peu
à peu, organisée à l'exemple de la Métropole.
Que ce fût à Brazzaville, à Alger, à Hanoï,
ou bien à Nantes, Lyon ou Paris, rien
n'a pu faire que l'unité française cessât d'être
indivisible.
Aujourd'hui, la lutte engagée entre l'enva-
hisseur et nos forces d'Indochine se déroule
suivant le plan arrêté par le Gouvernement et
sous les ordres des chefs qu'il a désignés. C'est
par là que les efforts, les sacrifices, les faits
d'armes de nos braves combattan's furent, sont
et seront au service et pour le bénéfice de la
France, comme furent, sont et seront tant lie1
faits d'armes, de sacrifices et d'efforts déployés
sur tous les champs de bataille du monde par
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Ah ! Nous savons tout ce qui manque aux
vaillants d'Indochine en fait de moyens maté-
riels, car c'est, jusqu'à présent, notre lot
dans cette nouvelle guerre de ne pouvoir, nulle,
part, après notre 7nalheur initial, retourner à
la bataille qu'avec un tronçon d'épée ou un
glaive emprunté. Dans la situation où se
trouve momentanément la France, il ne tient
pas qu'à elle que les forces qu'elle a depuis
longtemps préparées, pour secourir l'Indochine,
ne soient pas encore en ligne à côté de celles des
Alliés. Mais quelles que soient les condi ions
de la Résistance indochinoise, il est essentiel
qu'elle se dresse pour combattre. Il y va, dans
une appréciable mesure, de la victoire rapide
et totale des Nations Unies en Extrême-Orient.
Il y va de l'honneur de lrrFrance. Il y va de
l'avenir de l' Indochine française. Oui ! de
l'avenir de l'Indochine française, car dans
l 'épreuve de tous et dans le sang des soldats est
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France et les Peuples de l'Unio,t Indochinoise.
Nous savons bien qu'il est facile à l'adversaire
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- comme on fabrique un dragon de papier -
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tyrannie par les populations occupées. Mais
nous connaissons assez les réalités pour ne pas
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vérité, jamais l'Union Indochinoise ne fut plus
opposée à l'ennemi venu du Nord, ni plus
résolue à trouver en elle-même, avec l'aide de
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tique, économique, social, culturel, moral
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Certes, on aurait pu craindre que notre
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Ce sont nos actes qui décident. Combattants et
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