Titre : Journal officiel de Madagascar et dépendances
Auteur : Madagascar. Auteur du texte
Éditeur : Imprimerie nationale (Tananarive)
Date d'édition : 1945-02-17
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34425284n
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Langue : malgache
Format : Nombre total de vues : 94347 Nombre total de vues : 94347
Description : 17 février 1945 17 février 1945
Description : 1945/02/17 (A61,N3100). 1945/02/17 (A61,N3100).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Description : Collection numérique : Zone géographique :... Collection numérique : Zone géographique : Afrique centrale et océan indien
Description : Collection numérique : Thème : L'histoire partagée Collection numérique : Thème : L'histoire partagée
Description : Collection numérique : BIPFPIG976 Collection numérique : BIPFPIG976
Description : Collection numérique : Histoire et géographie Collection numérique : Histoire et géographie
Description : Collection numérique : Océan indien Collection numérique : Océan indien
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k65220403
Source : Bibliothèque Interuniversitaire Cujas, 2012-252722
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 03/06/2013
- Aller à la page de la table des matières106
- SOMMAIRE.
383 l
,J>1' Année. - N. S. - No 3100. Samedi 17 Février 1945.
JOURNAL OFFICIEL
DE
MADAGASCAR ET DÉPENDANCES
ABONNEMENTS
Edition Edition
partielle complète
fchmar f PB in. 100fr. 175 fr.
( Sii moi».. 56 90
;.tCl-{UDID. 170 200
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toi». fUnu. 150 250
t Six mail.. 80 130
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HEBDOMADAIRE PARAISSANT LE SAMEDI
i»mx DU NUMÉRO
Edition complète : 3 fr. 50. — Edition partielle : 2 franoe
L'édition complète comprend : 1* L'édition partielle : Lois, décrets,
arrêtés, etc. ; S* Deuxième partie : Réquisitions domaniales ; états des
exploitations minières. — Seule l'édition partielle est vendue séparément.
Adresser le montant des abonnements et commandes
au Directeur de l'Imprimerie Officielle, à Tananarive.
Compte chèque postal : Tananarive N° 107 £ ).
POUR TOUTE PUBLICITÉ
Dül LB
JOURNAL OFFICIEL
S'AD&BSSEH AD
DIRECTEUR
D8
L'IMPBIMBRIB OFFICIELS.!
TANANARIVE
DISCOURS
PRONONCÉ LE 5 FÉVRIER 1945, A 20 HEURES,
A LA RADIO DE PARIS
ip I& R
LE GÉNÉRAL DE GAULLE
RÉSIDENT DU GOUVERNEMENT PROVISOIRE
DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE.
Sur l'Oder et sur le Rhin, les armées alliées
SOnt maintenant au contact du corps propre-
ment germanique. En dépit des revers terribles
^Ue l'ennemi continue à essuyer, il faut prévoir
CePendant qu'il va s'acharner à la résistance.
Les dirigeants actuels de l'Allemagne ne doutent
certainement pas que la guerre doit se perdre
Pour eux. Mais ils persistent à espérer qu'ils
Pourront faire durer la lutte jusqu'à ce que
tel événement vienne susciter parmi leurs
adversaires la division ou la lassitude, où
Allemagne trouverait une issue. Pour le cas
Qu leur manquerait cette chance de salut, ils
Réparent tout au moins la politique du pire,
mPtant que le chaos allemand au milieu d'un
10nde épuisé et en désaccord pourrait entraîner
e5 les autres des secousses et des oppositions
qui les mettraient à la même enseigne.
d Enfin, Hitler et ses gens, mesurant l'étendue
des nialheurs de leur pays, tiennent à conserver
d squ au bout la figure de chefs indomptables
jt¡,t le nostalgique souvenir viendrait quelque
joue peut-être hanter à nouveau les rêves d'un
h- désespéré.
dQns Cette phase suprême de la lutte comme
dans la paix qui suivra, les droits et les
toUs rs de la France sont au premier rang de
t°Us ^s droits et de tous les devoirs. Pour que
la t Sst.ance de l'ennemi dans la profondeur
du terltoire allemand puisse être réduite à
Partir du front de l'Ouest, l'effort de la France,
d'atte. tout ce que sa puissance put subir
d'alteinte momentanée, est évidemment néces-
en était ainsi déjà en septembre 1939,
car c'est 6n Prenant alors tous les risques, côte
a CÔte a Vec Grande-Bretagne, que nous avons
gagné aec la Grande-Bretagne, que nous avons
gagné, lO,u: tout le monde, l'année qui a
permis ïs 4 d autres de voir clair et de se préparer.
Il en était encore ainsi en Tunisie, en
novembre 1942, quand notre armée d'Afrique,
s'arrachant à la torpeur du soi-disant armis-
tice, couvrit de ses armées ralliées et de sa
valeur intacte l'arrivée des forces américaines,
britanniques et françaises libres, et sur un
terrain où l'ennemi se ruait fort en avance.
Il en a été de même en Italie, durant la cam
pagne des premiers mois de 1944 qui a porté
les armées alliées depuis Naples jusqu'à Florence
et où le corps expéditionnaire français a joué
un rôle capital.
Il en a été ainsi durant la bataille de France
iusque et y compris la victoire qui s'achève en
Alsace, combats au cours desquels, sur 825.000
Allemands faits prisonniers par les Alliés depuis
le 6 juin 1944, 210.000 l'ont été par les Français,
à savoir : 120.000 par la première armée,
plus de 50.000 par la seule deuxième division
blindée opérant avec telle ou telle armée
américaine, et 40.000 par nos forces de l'Inté-
rieur.
L'effort de - la France sera demain d'une
importance relativement plus grande encore,
puisque, dans trois mois d'ici, nous aurons en
ligne deux fois plus d'unités que nous n'en
avions en décembre. Ajoutons que ce sont nos
ports, nos chemins de fer, nos terrains
d'aviation qui sont l'ossature de la bataille
commune.
Et quant à l'occupation de l'ensemble des
territoires allemands qui suivra forcément les
hostilités elles-mêmes, il est clair que l'armée
française en deviendra peu à peu, à l'Occident,
l'élément prépondérant.
Quelles que puissent être encore la durée et
les péripéties de cette guerre, il est banal
d'affirmer que les règlements qui en sortiront
auront pour la France une importance vitale.
Depuis plus d'un siècle et demi, notre pays n'a
cessé d'aller en s'affaiblissant par rapport
à d'autres, à mesure des guerres gigantesques
qu'il lui a fallu soutenir et qui lui ont coûté
beaucoup plus qu'à aucun autre peuple du
monde.
Bien entendu, sa stabilité politique, son
développement économique et démographique,
son progrès vital et, par-dessus tout, la concorde
entre les citoyens, qui est la condition de cette
stabilité, de ce développement et de ce progrès,
en ont été gravement compromis. Bref, notre vie
nationale à l'intérieur et au dehors n'a fait,
depuis des générations, qu'aller de secousse en
secousse dont chacune était plus ruineuse que
celle qui la précédait. Cette fois, la France
a littéralement failli périr en tant que nation
libre et les sources de son activité se trouvent
cruellement atteintes. Le reste de l'Univers et,
tout d'abord, les peuples de l'Europe n'ont fait
d'ailleurs que pâtir de cet affaiblissement, car
c'est une sorte de loi que personne n'est en
sécurité quand la France est malheureuse.
"Or, l'agent de toutes nos épreuves a été
toujours et toujours l'Allemagne, favorisée par
les erreurs, les illusions ou les concours dont
elle a profité au dehors. C'est dire que de ce qui
sera fait, à l'égard des Allemands vaincus, dé-
pendent, non seulement l'avenir, mais la vie
même de la France. Nous savons que beaucoup
d'hommes dans le monde considèrent comme
assez étrange que dans la période présente de
la lutte, les chefs des gouvernements des trois
autres grandes puissances semblent chercher à
fixer en dehors de la France la façon dont cette
guerre doit être menée à son terme et les con-
ditions des règlements qui en seront la con-
clusion. Sur ce point, je puis assurer au pays
qu'il peut attendre sans alarme le dévelop-
pement des événements.
Pour ce qui est de la conduite de la guerre et
bien que nous ayons accepté, pour la période
actuelle, de placer nos forces militaires sous un
commandement interallié, comme nos alliés
l'ont fait à la fin de la dernière guerre en
faveur du Maréchal Foch, le Gouvernement a
les moyens d'introduire dans la stratégie géné-
rale, ainsi qu'il l'a fait déjà et notamment à
une date récente, ce qu'il faut et ce qu'il
faudra pour que nos-intérêts nationaux soient
sauvegardés à l'avantage de tous et, qu'en
outre, soit tiré de nos forces le meilleur parti
vossible.
Je m'empresse d'ajouter qu'il trouve à ce
point de vue, dans le Haut Commandement in-
terallié, une compréhension dont l'histoire ne
manquera pas de faire l'éloge.
Quant au règlement de la paix future ou à
toute autre disposition qui s'y rapporterait,
nous avons fait connaître à nos alliés et nous
avons dit publiquement que la France ne serait,
bien entendu, engagée par absolument rien
qu'elle n'aurait été à même de discuter et d'ap-
,J>1' Année. - N. S. - No 3100. Samedi 17 Février 1945.
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DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE.
Sur l'Oder et sur le Rhin, les armées alliées
SOnt maintenant au contact du corps propre-
ment germanique. En dépit des revers terribles
^Ue l'ennemi continue à essuyer, il faut prévoir
CePendant qu'il va s'acharner à la résistance.
Les dirigeants actuels de l'Allemagne ne doutent
certainement pas que la guerre doit se perdre
Pour eux. Mais ils persistent à espérer qu'ils
Pourront faire durer la lutte jusqu'à ce que
tel événement vienne susciter parmi leurs
adversaires la division ou la lassitude, où
Allemagne trouverait une issue. Pour le cas
Qu leur manquerait cette chance de salut, ils
Réparent tout au moins la politique du pire,
mPtant que le chaos allemand au milieu d'un
10nde épuisé et en désaccord pourrait entraîner
e5 les autres des secousses et des oppositions
qui les mettraient à la même enseigne.
d Enfin, Hitler et ses gens, mesurant l'étendue
des nialheurs de leur pays, tiennent à conserver
d squ au bout la figure de chefs indomptables
jt¡,t le nostalgique souvenir viendrait quelque
joue peut-être hanter à nouveau les rêves d'un
h- désespéré.
dQns Cette phase suprême de la lutte comme
dans la paix qui suivra, les droits et les
toUs rs de la France sont au premier rang de
t°Us ^s droits et de tous les devoirs. Pour que
la t Sst.ance de l'ennemi dans la profondeur
du terltoire allemand puisse être réduite à
Partir du front de l'Ouest, l'effort de la France,
d'atte. tout ce que sa puissance put subir
d'alteinte momentanée, est évidemment néces-
en était ainsi déjà en septembre 1939,
car c'est 6n Prenant alors tous les risques, côte
a CÔte a Vec Grande-Bretagne, que nous avons
gagné aec la Grande-Bretagne, que nous avons
gagné, lO,u: tout le monde, l'année qui a
permis ïs 4 d autres de voir clair et de se préparer.
Il en était encore ainsi en Tunisie, en
novembre 1942, quand notre armée d'Afrique,
s'arrachant à la torpeur du soi-disant armis-
tice, couvrit de ses armées ralliées et de sa
valeur intacte l'arrivée des forces américaines,
britanniques et françaises libres, et sur un
terrain où l'ennemi se ruait fort en avance.
Il en a été de même en Italie, durant la cam
pagne des premiers mois de 1944 qui a porté
les armées alliées depuis Naples jusqu'à Florence
et où le corps expéditionnaire français a joué
un rôle capital.
Il en a été ainsi durant la bataille de France
iusque et y compris la victoire qui s'achève en
Alsace, combats au cours desquels, sur 825.000
Allemands faits prisonniers par les Alliés depuis
le 6 juin 1944, 210.000 l'ont été par les Français,
à savoir : 120.000 par la première armée,
plus de 50.000 par la seule deuxième division
blindée opérant avec telle ou telle armée
américaine, et 40.000 par nos forces de l'Inté-
rieur.
L'effort de - la France sera demain d'une
importance relativement plus grande encore,
puisque, dans trois mois d'ici, nous aurons en
ligne deux fois plus d'unités que nous n'en
avions en décembre. Ajoutons que ce sont nos
ports, nos chemins de fer, nos terrains
d'aviation qui sont l'ossature de la bataille
commune.
Et quant à l'occupation de l'ensemble des
territoires allemands qui suivra forcément les
hostilités elles-mêmes, il est clair que l'armée
française en deviendra peu à peu, à l'Occident,
l'élément prépondérant.
Quelles que puissent être encore la durée et
les péripéties de cette guerre, il est banal
d'affirmer que les règlements qui en sortiront
auront pour la France une importance vitale.
Depuis plus d'un siècle et demi, notre pays n'a
cessé d'aller en s'affaiblissant par rapport
à d'autres, à mesure des guerres gigantesques
qu'il lui a fallu soutenir et qui lui ont coûté
beaucoup plus qu'à aucun autre peuple du
monde.
Bien entendu, sa stabilité politique, son
développement économique et démographique,
son progrès vital et, par-dessus tout, la concorde
entre les citoyens, qui est la condition de cette
stabilité, de ce développement et de ce progrès,
en ont été gravement compromis. Bref, notre vie
nationale à l'intérieur et au dehors n'a fait,
depuis des générations, qu'aller de secousse en
secousse dont chacune était plus ruineuse que
celle qui la précédait. Cette fois, la France
a littéralement failli périr en tant que nation
libre et les sources de son activité se trouvent
cruellement atteintes. Le reste de l'Univers et,
tout d'abord, les peuples de l'Europe n'ont fait
d'ailleurs que pâtir de cet affaiblissement, car
c'est une sorte de loi que personne n'est en
sécurité quand la France est malheureuse.
"Or, l'agent de toutes nos épreuves a été
toujours et toujours l'Allemagne, favorisée par
les erreurs, les illusions ou les concours dont
elle a profité au dehors. C'est dire que de ce qui
sera fait, à l'égard des Allemands vaincus, dé-
pendent, non seulement l'avenir, mais la vie
même de la France. Nous savons que beaucoup
d'hommes dans le monde considèrent comme
assez étrange que dans la période présente de
la lutte, les chefs des gouvernements des trois
autres grandes puissances semblent chercher à
fixer en dehors de la France la façon dont cette
guerre doit être menée à son terme et les con-
ditions des règlements qui en seront la con-
clusion. Sur ce point, je puis assurer au pays
qu'il peut attendre sans alarme le dévelop-
pement des événements.
Pour ce qui est de la conduite de la guerre et
bien que nous ayons accepté, pour la période
actuelle, de placer nos forces militaires sous un
commandement interallié, comme nos alliés
l'ont fait à la fin de la dernière guerre en
faveur du Maréchal Foch, le Gouvernement a
les moyens d'introduire dans la stratégie géné-
rale, ainsi qu'il l'a fait déjà et notamment à
une date récente, ce qu'il faut et ce qu'il
faudra pour que nos-intérêts nationaux soient
sauvegardés à l'avantage de tous et, qu'en
outre, soit tiré de nos forces le meilleur parti
vossible.
Je m'empresse d'ajouter qu'il trouve à ce
point de vue, dans le Haut Commandement in-
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