Titre : Portefeuille des conducteurs des ponts et chaussées et des garde-mines
Auteur : Syndicat des ingénieurs des travaux publics de l'Etat et des collectivités territoriales (France). Auteur du texte
Éditeur : Eugène Lacroix (Paris)
Date d'édition : 1883
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb328414099
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Format : Nombre total de vues : 2162 Nombre total de vues : 2162
Description : 1883 1883
Description : 1883 (N8,SER18)-1884 (N9,SER18). 1883 (N8,SER18)-1884 (N9,SER18).
Description : Collection numérique : Collections de l’École... Collection numérique : Collections de l’École nationale des ponts et chaussées
Description : Collection numérique : Thématique : ingénierie,... Collection numérique : Thématique : ingénierie, génie civil
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k6485260w
Source : Ecole nationale des ponts et chaussées, 2012-357211
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 01/08/2013
PORTEFEUILLE DES CONDUCTEURS DES PONTS ET CHAUSSÉES ET DES GARDES-MINES. 29
DIX-HUITIÈME SÉRIE. - NUMÉROS 8 ET 9.
NOTES ET DOCUMENTS
CRÉMATION DES GAZ D'ÉGOUT
ET ARRÊT DES ORDURES SOLIDES SOUS LES BOUCHES
(Planche 15.)
Nous avons promis dans un article inséré au Bulletin, n° 31, 3e série,
de juillet 1883, de nous occuper de brûler les émanations des égouts et
d'arrêter dans une chambre de bouche toutes les ordures solides des
rues qui tombent actuellement en égout ; nous tenons notre promesse, et
nous allons tâcher d'exposer, le plus laconiquement possible, ce que nous
avons imaginé.
Les gaz d'égout qu'il s'agit de brûler sont ceux qui, plus légers que
l'air, viennent dans les rues polluer notre atmosphère. Leur propriété
toxique et les microbes auxquels ils servent de véhicule agissent sur notre
économie, soit par simple empoisonnement, soit par implantation des
germes morbides qui s'incrustent dans nos voies respiratoires ; cela est
plus ou moins apparent, plus ou moins violent, mais l'homme des grandes
villes est martyrisé sans cesse par ces causes de maladie, et certainement
sa vie en est abrégée. L'acide carbonique, étant plus lourd que l'air pur,
coule sur les pentes des radiers, et il n'y a pas à s'occuper de ce gaz ;
dans ses effets asphyxiants il opère pour ainsi dire sans douleur, et sur-
tout avec une lenteur bienveillante qui permet souvent la quasi-résurrec-
tion de gens à toute extrémité ; on sait d'ailleurs que les hommes tués en
égout ne l'ont jamais été par asphyxie carbonique, mais bien par empoi-
sonnement presque toujours instantané.
Pour annihiler les funestes effets des gaz toxiques et légers des égouts,
il suffira d'obturer hydrauliquement les bouches avec grand soin, en les
munissant d'une chambre de dépôt, comme il va être indiqué plus loin,
puis de ventiler les galeries énergiquement par un tuyau d'appel chauffé,
qui lancera son souffle au travers d'un écran de flamme ; les prises d'air
se feront par les trous ménagés pour entrer la pince dans les tampons de
regards, ou par des orifices spéciaux, s'il est nécessaire. C'est la dispo-
sition du tuyau d'appel qu'il importe de préciser ici : ce tuyau sera métal-
lique, de 5 millimètres de diamètre intérieur, et placé verticalement pour
s'élever à 3 mètres du sol de la voie publique ; il partira du point heurt
de la voûte de l'égout à ventiler, ou bien se rattachera à cette voûte par
un tube souterrain ; un candélabre aura pour axe ce tuyau, d'ailleurs
disposé de la sorte : à 2 mètres au-dessus du sol, un manchon MN en
argile réfractaire, de 15 centimètres de diamètre et de 50 de longueur,
enveloppera le tube d'appel ; deux simples becs de gaz d'éclairage poin-
tant leur flamme entre ce manchon et ce tube, et opérant la dilatation du
fluide intérieur du tube, donneront l'appel d'air cherché ; en haut du
tuyau d'appel, à 3 mètres au-dessus du sol, il y aura quatre becs lançant
horizontalement leur flamme aplatie en forme d'écran, comme cela est
indiqué à notre dessin. Si l'on suppose 1 kilomètre d'égout par appareil,
et que la vitesse du fluide dans le tube d'appel puisse en fournir 8 litres
par seconde, soit près de 700 mètres cubes par 24 heures, il résulte qu'il
y aura 70 centièmes cubes d'air renouvelé par jour et par mètre courant
d'égout ; ceci représente, pendant ce court laps de temps, plusieurs fois
le remplacement du segment de fluide situé au-dessus d'un homme de-
bout dans les galeries de 2m,30 sous clef, dimension nécessaire, dont
l'ampleur utile est due à l'heureuse conception de l'inspecteur général
Belgrand. La respiration humaine ne doit pas être comptée comme four-
nissant des gaz à enlever ; insistons sur ce point : l'acide carbonique
expiré glisse sur le radier, et la pression atmosphérique, par les prises
d'air, pourvoit au remplacement de l'oxygène consommé. On peut éva-
luer à 300 francs la dépense d'installation et à 3 francs le coût du gaz
brûlé journellement. Si nous nous sommes bien expliqué, on a compris
que tout l'air des égouts traverse l'écran de feu situé à 3 mètres au-dessus
du sol, alors on se représente facilement ce que deviennent les gaz toxi-
ques combustibles, et l'on voit aussi comment les microbes sont inci-
nérés sans répit, car l'appareil fonctionne d'une façon permanente.
Avant de continuer, qu'on nous laisse poser ce principe : les égouts
sont établis pour recevoir les eaux pluviales, industrielles neutralisées,
ménagères et de vidanges, peut-être aussi pour admettre les parties non
liquides des fosses, mais non pour s'encombrer d'ordures solides. Beau-
coup d'eau doit faire, en grande partie, le curage des radiers, et l'homme
ne doit que passer rapidement pour compléter l'œuvre hydraulique. Nous
ne parlons pas ici des égouts en conduites forcées, mais ce sont eux sur-
tout qui doivent être préservés des ordures solides. De là le besoin
d'arrêter dans une chambre, sous les bouches d'égout, tous les sables,
les boues, les immondices diverses qui viennent de la rue.
La chambre de bouche, indiquée au dessin ci-annexé, a une capacité
de 440 litres; elle reçoit et retient tout ce qui est solide et qui vient de
la rue. Ce récipient est disposé pour qu'on puisse laver et extraire com-
modément les sables des chaussées empierrées à l'aide d'un simple rabot ;
il permet l'enlèvement des ordures ménagères que le même rabot peut
trier et amener dans un seau, enfin les boues peuvent être enlevées
d'une façon semblable, ou même rejetées à l'égout en les faisant choir
d'abord sur le plancher e f. L'emplacement est forcément exigu; on doit,
d'une part, prendre le moins possible sur la largeur du trottoir, et, d'autre
part, s'arrêter à une grandeur de trappe en tôle de 80 centimètres carrés,
qui, en pratique, est un maximum; car au-delà de cette étendue la sta-
bilité laisse à désirer, et la manœuvre est laborieuse à cause du poids de
trappe qui devient trop considérable. On est amené à faire tenir tout le
système dans une surface de l^ôO de longueur, dans le sens de la bor-
dure, sur 80 centimètres de largeur prise au trottoir. La chambre de
dépôt ressemble à un quart de cylindre dont les génératrices horizontales
sont au-dessous et en face de la bavette (voir la coupe sur A B) ; le haut
d'un seau de forme parallélipipède rectangle, reposant sur le plancher e f,
se trouve au-dessous de la génératrice supérieure de cette figure ; la
manœuvre d'un rabot peut remplir ce seau jaugeant 15 litres ; le quart
de cylindre se termine d'un bout par un mur plein et de l'autre par une
cloison en briques à claire-voie placée verticalement entre la chambre et
la cheminée de bouche ; le dessus a b de cette cloison, établi 10 centi-
mètres en contre-bas de la bavette (voir coupe sur A B), est le déversoir
des eaux qui se rendent à l'égout. Cette disposition facilite le triage au
rabot des diverses ordures destinées au seau ou réservées à l'égout ; la
cloison à claire-voie permet facilement, toujours au rabot, le lavage des
sables de chaussées pendant l'ouverture des bouches d'eau; le rejet
facultatif à l'égout se fait par le plancher e f, qui a 1 mètre sur 20 centi-
mètres (voir le plan) et qui n'est séparé de la cheminée en f par aucune
cloison ; l'anse relevée du seau, posé sur e /, arrive un peu au-dessus
du sol. Le plan K L 0 P de l'intérieur de la cheminée est un rectangle de
80 centimètres sur 60 centimètres ; cette cheminée sert de niche à une
boîte à ordures munie de quatre roulettes et disposée au repos sens
dessus dessous sur deux consoles, de façon à se présenter presque à
fleur du sol ; la boîte mesure 60 centimètres sur hO centimètres sur
50 centimètres, c'est-à-dire 120 litres; les consoles sont mobiles et se
couchent à côté l'une de l'autre sur l'un des murs de la cheminée ; le
débit ménagé entre le déversoir et la boite est supérieur à celui fourni
par l'orifice du couronnement; il va sans dire que ce récipient à roulettes
se met sur le trottoir pendant le nettoyage et reçoit du seau tout ce que
l'on ne veut pas laisser entrer dans l'égout. Un homme seul suffit pour
assurer le fonctionnement convenable d'une bouche de ce genre.
Nous arrivons à l'obturateur des gaz d'égout. Celui qui est indiqué au
PORTEFEUILLE DES CONDUCTEURS DES PONTS ET CHAUSSÉES ET DES GARDES-MINES, !'Í
DIX-HUITIÈME SÉRIE. - NUMÉROS 8 ET 9.
NOTES ET DOCUMENTS
CRÉMATION DES GAZ D'ÉGOUT
ET ARRÊT DES ORDURES SOLIDES SOUS LES BOUCHES
(Planche 15.)
Nous avons promis dans un article inséré au Bulletin, n° 31, 3e série,
de juillet 1883, de nous occuper de brûler les émanations des égouts et
d'arrêter dans une chambre de bouche toutes les ordures solides des
rues qui tombent actuellement en égout ; nous tenons notre promesse, et
nous allons tâcher d'exposer, le plus laconiquement possible, ce que nous
avons imaginé.
Les gaz d'égout qu'il s'agit de brûler sont ceux qui, plus légers que
l'air, viennent dans les rues polluer notre atmosphère. Leur propriété
toxique et les microbes auxquels ils servent de véhicule agissent sur notre
économie, soit par simple empoisonnement, soit par implantation des
germes morbides qui s'incrustent dans nos voies respiratoires ; cela est
plus ou moins apparent, plus ou moins violent, mais l'homme des grandes
villes est martyrisé sans cesse par ces causes de maladie, et certainement
sa vie en est abrégée. L'acide carbonique, étant plus lourd que l'air pur,
coule sur les pentes des radiers, et il n'y a pas à s'occuper de ce gaz ;
dans ses effets asphyxiants il opère pour ainsi dire sans douleur, et sur-
tout avec une lenteur bienveillante qui permet souvent la quasi-résurrec-
tion de gens à toute extrémité ; on sait d'ailleurs que les hommes tués en
égout ne l'ont jamais été par asphyxie carbonique, mais bien par empoi-
sonnement presque toujours instantané.
Pour annihiler les funestes effets des gaz toxiques et légers des égouts,
il suffira d'obturer hydrauliquement les bouches avec grand soin, en les
munissant d'une chambre de dépôt, comme il va être indiqué plus loin,
puis de ventiler les galeries énergiquement par un tuyau d'appel chauffé,
qui lancera son souffle au travers d'un écran de flamme ; les prises d'air
se feront par les trous ménagés pour entrer la pince dans les tampons de
regards, ou par des orifices spéciaux, s'il est nécessaire. C'est la dispo-
sition du tuyau d'appel qu'il importe de préciser ici : ce tuyau sera métal-
lique, de 5 millimètres de diamètre intérieur, et placé verticalement pour
s'élever à 3 mètres du sol de la voie publique ; il partira du point heurt
de la voûte de l'égout à ventiler, ou bien se rattachera à cette voûte par
un tube souterrain ; un candélabre aura pour axe ce tuyau, d'ailleurs
disposé de la sorte : à 2 mètres au-dessus du sol, un manchon MN en
argile réfractaire, de 15 centimètres de diamètre et de 50 de longueur,
enveloppera le tube d'appel ; deux simples becs de gaz d'éclairage poin-
tant leur flamme entre ce manchon et ce tube, et opérant la dilatation du
fluide intérieur du tube, donneront l'appel d'air cherché ; en haut du
tuyau d'appel, à 3 mètres au-dessus du sol, il y aura quatre becs lançant
horizontalement leur flamme aplatie en forme d'écran, comme cela est
indiqué à notre dessin. Si l'on suppose 1 kilomètre d'égout par appareil,
et que la vitesse du fluide dans le tube d'appel puisse en fournir 8 litres
par seconde, soit près de 700 mètres cubes par 24 heures, il résulte qu'il
y aura 70 centièmes cubes d'air renouvelé par jour et par mètre courant
d'égout ; ceci représente, pendant ce court laps de temps, plusieurs fois
le remplacement du segment de fluide situé au-dessus d'un homme de-
bout dans les galeries de 2m,30 sous clef, dimension nécessaire, dont
l'ampleur utile est due à l'heureuse conception de l'inspecteur général
Belgrand. La respiration humaine ne doit pas être comptée comme four-
nissant des gaz à enlever ; insistons sur ce point : l'acide carbonique
expiré glisse sur le radier, et la pression atmosphérique, par les prises
d'air, pourvoit au remplacement de l'oxygène consommé. On peut éva-
luer à 300 francs la dépense d'installation et à 3 francs le coût du gaz
brûlé journellement. Si nous nous sommes bien expliqué, on a compris
que tout l'air des égouts traverse l'écran de feu situé à 3 mètres au-dessus
du sol, alors on se représente facilement ce que deviennent les gaz toxi-
ques combustibles, et l'on voit aussi comment les microbes sont inci-
nérés sans répit, car l'appareil fonctionne d'une façon permanente.
Avant de continuer, qu'on nous laisse poser ce principe : les égouts
sont établis pour recevoir les eaux pluviales, industrielles neutralisées,
ménagères et de vidanges, peut-être aussi pour admettre les parties non
liquides des fosses, mais non pour s'encombrer d'ordures solides. Beau-
coup d'eau doit faire, en grande partie, le curage des radiers, et l'homme
ne doit que passer rapidement pour compléter l'œuvre hydraulique. Nous
ne parlons pas ici des égouts en conduites forcées, mais ce sont eux sur-
tout qui doivent être préservés des ordures solides. De là le besoin
d'arrêter dans une chambre, sous les bouches d'égout, tous les sables,
les boues, les immondices diverses qui viennent de la rue.
La chambre de bouche, indiquée au dessin ci-annexé, a une capacité
de 440 litres; elle reçoit et retient tout ce qui est solide et qui vient de
la rue. Ce récipient est disposé pour qu'on puisse laver et extraire com-
modément les sables des chaussées empierrées à l'aide d'un simple rabot ;
il permet l'enlèvement des ordures ménagères que le même rabot peut
trier et amener dans un seau, enfin les boues peuvent être enlevées
d'une façon semblable, ou même rejetées à l'égout en les faisant choir
d'abord sur le plancher e f. L'emplacement est forcément exigu; on doit,
d'une part, prendre le moins possible sur la largeur du trottoir, et, d'autre
part, s'arrêter à une grandeur de trappe en tôle de 80 centimètres carrés,
qui, en pratique, est un maximum; car au-delà de cette étendue la sta-
bilité laisse à désirer, et la manœuvre est laborieuse à cause du poids de
trappe qui devient trop considérable. On est amené à faire tenir tout le
système dans une surface de l^ôO de longueur, dans le sens de la bor-
dure, sur 80 centimètres de largeur prise au trottoir. La chambre de
dépôt ressemble à un quart de cylindre dont les génératrices horizontales
sont au-dessous et en face de la bavette (voir la coupe sur A B) ; le haut
d'un seau de forme parallélipipède rectangle, reposant sur le plancher e f,
se trouve au-dessous de la génératrice supérieure de cette figure ; la
manœuvre d'un rabot peut remplir ce seau jaugeant 15 litres ; le quart
de cylindre se termine d'un bout par un mur plein et de l'autre par une
cloison en briques à claire-voie placée verticalement entre la chambre et
la cheminée de bouche ; le dessus a b de cette cloison, établi 10 centi-
mètres en contre-bas de la bavette (voir coupe sur A B), est le déversoir
des eaux qui se rendent à l'égout. Cette disposition facilite le triage au
rabot des diverses ordures destinées au seau ou réservées à l'égout ; la
cloison à claire-voie permet facilement, toujours au rabot, le lavage des
sables de chaussées pendant l'ouverture des bouches d'eau; le rejet
facultatif à l'égout se fait par le plancher e f, qui a 1 mètre sur 20 centi-
mètres (voir le plan) et qui n'est séparé de la cheminée en f par aucune
cloison ; l'anse relevée du seau, posé sur e /, arrive un peu au-dessus
du sol. Le plan K L 0 P de l'intérieur de la cheminée est un rectangle de
80 centimètres sur 60 centimètres ; cette cheminée sert de niche à une
boîte à ordures munie de quatre roulettes et disposée au repos sens
dessus dessous sur deux consoles, de façon à se présenter presque à
fleur du sol ; la boîte mesure 60 centimètres sur hO centimètres sur
50 centimètres, c'est-à-dire 120 litres; les consoles sont mobiles et se
couchent à côté l'une de l'autre sur l'un des murs de la cheminée ; le
débit ménagé entre le déversoir et la boite est supérieur à celui fourni
par l'orifice du couronnement; il va sans dire que ce récipient à roulettes
se met sur le trottoir pendant le nettoyage et reçoit du seau tout ce que
l'on ne veut pas laisser entrer dans l'égout. Un homme seul suffit pour
assurer le fonctionnement convenable d'une bouche de ce genre.
Nous arrivons à l'obturateur des gaz d'égout. Celui qui est indiqué au
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