Titre : Journal officiel de Madagascar et dépendances
Auteur : Madagascar. Auteur du texte
Éditeur : Imprimerie nationale (Tananarive)
Date d'édition : 1901-04-06
Notice du catalogue : http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb34425284n
Type : texte texte
Type : publication en série imprimée publication en série imprimée
Langue : français
Langue : malgache
Format : Nombre total de vues : 94347 Nombre total de vues : 94347
Description : 06 avril 1901 06 avril 1901
Description : 1901/04/06 (A18,N592). 1901/04/06 (A18,N592).
Description : Collection numérique : Bibliographie de la presse... Collection numérique : Bibliographie de la presse française politique et d'information générale
Description : Collection numérique : Bibliothèque Francophone... Collection numérique : Bibliothèque Francophone Numérique
Description : Collection numérique : Zone géographique :... Collection numérique : Zone géographique : Afrique centrale et océan indien
Description : Collection numérique : Thème : L'histoire partagée Collection numérique : Thème : L'histoire partagée
Description : Collection numérique : BIPFPIG976 Collection numérique : BIPFPIG976
Description : Collection numérique : Histoire et géographie Collection numérique : Histoire et géographie
Description : Collection numérique : Océan indien Collection numérique : Océan indien
Droits : Consultable en ligne
Identifiant : ark:/12148/bpt6k64683507
Source : Bibliothèque Interuniversitaire Cujas, 2012-252722
Conservation numérique : Bibliothèque nationale de France
Date de mise en ligne : 26/03/2013
née. - N. S. — N* 592. Samedi 6 Avril 1901.
JOURNAL OFFICIEL
IDE
MADAGASCAR h DÉPENDANCES
ABONNEMENTS:
yin AU lIada&allear.
UI1 an 20 fr.
t Inoil. fi.
YiIt lpleiy*"e Ibt ]Etranger
n an 25 fr.
IJI{ Ino: 15 fr.
15 fr.
LE "OIJRAL OFFICIEL DE MADAGASCAR
Paraît les Mercredi et Samedi.
On s'abonne à Tananarive, à l'Imprimerie Officielle.
PRIX DU NUMÉRO : 0 Fr. 15 CENT.
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PETITES ANNONCES
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S'adresser à l'Agence Cannet
à Tananarive.
11 raison des fêtes de Pâques,
le JOUrnal Officiel ne paraîtra pas
di JO avril.
SOMMAIRE
Partie Officielle
au sujet de l'arrêté du 25 mars 1901,
A l'enseignement des indigènes.
Akkt,, sur l'enseignement.
revlsant le tarif des indemnités de dépla-
drnent et des allocations diverses accor-
« clp aux géomètres principaux et aux
Alll\iTÉ K:ornètres du service topographique.
t. marche du courrier bi-nebdoma-
Ax^tTs 'ex'stant entre Moramanga et Anosibe.
tiOIlI.\ T IONS, MUTATIONS, ETC.
k, CaOtOG Partie nom oraelelle
^ocnc - NOUVELLES ET INFORMATIONS. -
VISITE DU GOUVERNEUR GÉNÉRAL A L'ÉCOLE
Non ALE DE LA MISSION PROTESTANTE FRAN-
ÇAISE A MAHAZOAJRIVO. — REVUE DES TROUPES
DE LA GARNISON. — LES PUPILLES MALGACHES
RITA DE MADAGASCAR A PARIS. — TER-
I\ITOIR.ES CIVILS. - VARIÉTÉS. — MOUVEMENT
ÛE«8 ! BOURJANES. - EXTRAIT D'UN JUGEMENT
ÏRIBUNAL CORRECTIONNEL DE TAMATAVE.
TELEGRAMMES REUTER. — AVIS D'ADJUDI-
CA.TIONS PUBLIQUES. — Avis DE L'OFFICE DU
I\AVAIL..
JJPE OFFICIELLE
QIJ"I\!(
nixtIA J, t.
Sf8 - -
CIRCULAIRE
à MM. les administrateurs
"el'Cl "4. province et commandants de
1* cle n sujet de l'arrêté du 25 mars
h 1 SUr l'enseignement des indigè-
i - MESSIEURS, -
ldigèSeque yous , le savez, l'enseignement des
1 v s a été réglementé jusqu'à ce jour, en
1:99, ta et. en Betsileo, par l'arrêté du 16 avril
Il t'tiison clrcllaire du même jour a développé
1' ^isonc - °nt déterminé le Gouvernement
,
^olon^u^ l dicter ce premier texte, dont
ppli'c'ttI"on le devait donner à l'enseignement
^dieÀn l Une orientation favorable à la
languft française et à l'in-
i\CherrOfessionnelle de nos jeunes sujets
novel arrêté du 25 mars 1901, que j'ai
u '1re, este vous notifier par la présente cir-
4 nQUYea appelé, dans ma pensée, a réaliser
u Progrès dans la voie tracée par le
précédent règlement. Je crois utile, à cette
occasion, de vous exposer les résultats obtenus,
depuis deux ans, dans l'organisation et le fonc-
tionnement de l'enseignement officiel et privé
en Imerina et en Betsileo, et de vous faire res-
sortir les principales modifications introduites
dans la réglementation en vigueur.
1° Organisation de renseignement
des indigèmies résultant dc l'arrèté
du 16 avril 1899.
1° Enseignement officiel. — L'arrêté de 1899
a nettement indiqué le but que doivent pour-
suivre, à Madagascar, tous les établissements
scolaires. Aux termes de son article 5, nous
devons nous efforcer de faire des Malgaches :
1° des sujets fidèles à la France; 2° des ou-
vriers et des cultivateurs éclairés susceptibles
de nous seconder dans notre œuvre de coloni-
sation.
Pour atteindre pleinement ce but, il semble
que nous ne devons point passer à l'utilisation
immédiate des connaissances que nous don-
nons aux Malgaches, et que nous devons culti-
ver en eux non seulement les aptitudes qui en
feront pour nous des auxiliaires précieux, mais
encore développer les qualités de leur caractère.
L'arrêté du 16 avril a été l'objet de diverses
critiques. On a repris, notamment, en le dé-
veloppant un peu, un argument qui avait été
déjà exposé au sujet de l'école professionnelle
de Tananarive, dès 1897. «Cette école, disait-on,
« peut rendre des services à ceux de nos colons
« qui établiront des industries à Madagascar;
« mais peut-être serait-il sage de ne pas déve-
« lopper l'éducation industrielle des Malgaches,
« qui pourraient devenir rapidement des con-
« currents sérieux pour nos commerçants et
« nos colons ».
Sans doute, il faut agir avec beaucoup de
circonspection dans l'éducation d'un peuple
nouveau. Mais les produits manufacturée de
l'industrie française se vendront-ils moins à
Madagascar quand les Malgaches seront de
bons cultivateurs, de bons menuisiers ou de
bons forgerons? Les richesses naturelles du
pays en seront-elles diminuées et moins ex-
ploitables ? Une colonie n'est-elle pas prospère
quand les indigènes qui la peuplent sont ri-
ches et ont des besoins qu'ils ne peuvent sa-
tisfaire qu'en 'adressant à l'industrie de la
métropole ? Une œuvre d'éducation bien com-
prise, en augmentant le bien-être, en élevant
le niveau intellectuel, moral, social des indi-
gènes, en leur créant des besoins, en dirigeant
leurs efforts, en faisant d'eux des clients de la
métropole, peut contribuer, pour une grande
part à la prospérité d'une colonie.
L'arrêté de 1899 prévoyait trois types
d'écoles officielles : les écoles primaires élé-
mentaires, les écoles régionales d'apprentis-
sage industriel et agricole, les écoles norma-
4s -
les, ces deux dernières catégories devant être
placées sur le même plan. Je laisse de côté
l'école professionnelle et l'école d'agriculture de
Tananarive, qui constituent, avec l'école de mé-
decine, le degré supérieur de l'enseignement.
Les écoles régionales ont été, en ce qui con-
cerne l'enseignement officiel, l'innovation la
plus intéressante créée par l'arrêté du i6 avril
1899. Elles réalisent, en effet, l'union de l'in-
struction générale et de l'instruction pratique,
industrielle ou agricole ; elles assurent à leurs
élèves un complément d'enseignement général
en même temps qu'elles en font des ouvriers qui
peuvent, à leur sortie de l'école, trouver aussitôt
un emploi dans l'agriculture ou l'industrie.
C'est dans la création d'écoles de ce genre
qu'est l'avenir de l'enseignement dans la Co-
lonie. L'instruction purement intellectuelle
n'a en effet souvent, parmi les indigènes, que
de médiocres résultats. D'autre part, l'instruc-
tion purement professionnelle est presque
toujours insuffisante, car, privé du secours de
connaissances générales, celui qui la reçoit
s'arrête rapidement dans ses progrès et ne
peut guère être qu'un médiocre artisan,
enclin a la routine. Comme les écoles manuel-
les d'apprentissage de France, les écoles ré-
gionales sont de moins en moins école et de plus
en plus atelier, pour ne plus être, pendant la
dernière année de scolarité, qu'un atelier ou
une exploitation agricole. Le jeune homme qui
les fréquente sait qu'il en sortira en possession
d'un métier, et c'est dans ce but qu'il y est entré.
Ainsi que le fait remarquer la circulaire du
16 avril 1899, bien que ces écoles doivent
toutes être organisées sur le même modèle,
chacune d'elles doit avoir une physionomie
distincte qui dépend de la région dans laquelle
elle se trouve.
En fait, peu d'établissements de cette caté-
gorie ont eté créés depuis deux ans en Imerina
et en Betsileo, mais il importe que de nou-
veaux progrès soient réalisés dans cette voie et
que, dans u u avenir rapproché, chaque province
possède au chef-lieu une école régionale d'ap-
prentissage.
Vous aurez donc, Messieurs, à étudier cette
question en ce qui vous concerne, et à m'adres-
ser en temps opportun les propositions que
vous croirez devoir formuler.
L'enseignement officiel a quatre centres
principaux : Tananarive, Fianarantsoa, Maha-
noro et Analalava.
Circonscription scolaire centrale
La circonscription scolaire centrale ou de
Tananarive. dont l'école mère a été créée en
janvier 1897, est de beaucoup la plus impor-
tante. Actuellement, quatre ans après, ce
groupe comprend, a Tananarive, l'école nor-
male Le Myre de Vilers, l'école normale d'in-
stitutrices, l'école professionnelle de femmes
JOURNAL OFFICIEL
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15 fr.
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le JOUrnal Officiel ne paraîtra pas
di JO avril.
SOMMAIRE
Partie Officielle
au sujet de l'arrêté du 25 mars 1901,
A l'enseignement des indigènes.
Akkt,, sur l'enseignement.
revlsant le tarif des indemnités de dépla-
drnent et des allocations diverses accor-
« clp aux géomètres principaux et aux
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t. marche du courrier bi-nebdoma-
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Non ALE DE LA MISSION PROTESTANTE FRAN-
ÇAISE A MAHAZOAJRIVO. — REVUE DES TROUPES
DE LA GARNISON. — LES PUPILLES MALGACHES
RITA DE MADAGASCAR A PARIS. — TER-
I\ITOIR.ES CIVILS. - VARIÉTÉS. — MOUVEMENT
ÛE«8 ! BOURJANES. - EXTRAIT D'UN JUGEMENT
ÏRIBUNAL CORRECTIONNEL DE TAMATAVE.
TELEGRAMMES REUTER. — AVIS D'ADJUDI-
CA.TIONS PUBLIQUES. — Avis DE L'OFFICE DU
I\AVAIL..
JJPE OFFICIELLE
QIJ"I\!(
nixtIA J, t.
Sf8 - -
CIRCULAIRE
à MM. les administrateurs
"el'Cl "4. province et commandants de
1* cle n sujet de l'arrêté du 25 mars
h 1 SUr l'enseignement des indigè-
i - MESSIEURS, -
ldigèSeque yous , le savez, l'enseignement des
1 v s a été réglementé jusqu'à ce jour, en
1:99, ta et. en Betsileo, par l'arrêté du 16 avril
Il t'tiison clrcllaire du même jour a développé
1' ^isonc - °nt déterminé le Gouvernement
,
^olon^u^ l dicter ce premier texte, dont
ppli'c'ttI"on le devait donner à l'enseignement
^dieÀn l Une orientation favorable à la
languft française et à l'in-
i\CherrOfessionnelle de nos jeunes sujets
novel arrêté du 25 mars 1901, que j'ai
u '1re, este vous notifier par la présente cir-
4 nQUYea appelé, dans ma pensée, a réaliser
u Progrès dans la voie tracée par le
précédent règlement. Je crois utile, à cette
occasion, de vous exposer les résultats obtenus,
depuis deux ans, dans l'organisation et le fonc-
tionnement de l'enseignement officiel et privé
en Imerina et en Betsileo, et de vous faire res-
sortir les principales modifications introduites
dans la réglementation en vigueur.
1° Organisation de renseignement
des indigèmies résultant dc l'arrèté
du 16 avril 1899.
1° Enseignement officiel. — L'arrêté de 1899
a nettement indiqué le but que doivent pour-
suivre, à Madagascar, tous les établissements
scolaires. Aux termes de son article 5, nous
devons nous efforcer de faire des Malgaches :
1° des sujets fidèles à la France; 2° des ou-
vriers et des cultivateurs éclairés susceptibles
de nous seconder dans notre œuvre de coloni-
sation.
Pour atteindre pleinement ce but, il semble
que nous ne devons point passer à l'utilisation
immédiate des connaissances que nous don-
nons aux Malgaches, et que nous devons culti-
ver en eux non seulement les aptitudes qui en
feront pour nous des auxiliaires précieux, mais
encore développer les qualités de leur caractère.
L'arrêté du 16 avril a été l'objet de diverses
critiques. On a repris, notamment, en le dé-
veloppant un peu, un argument qui avait été
déjà exposé au sujet de l'école professionnelle
de Tananarive, dès 1897. «Cette école, disait-on,
« peut rendre des services à ceux de nos colons
« qui établiront des industries à Madagascar;
« mais peut-être serait-il sage de ne pas déve-
« lopper l'éducation industrielle des Malgaches,
« qui pourraient devenir rapidement des con-
« currents sérieux pour nos commerçants et
« nos colons ».
Sans doute, il faut agir avec beaucoup de
circonspection dans l'éducation d'un peuple
nouveau. Mais les produits manufacturée de
l'industrie française se vendront-ils moins à
Madagascar quand les Malgaches seront de
bons cultivateurs, de bons menuisiers ou de
bons forgerons? Les richesses naturelles du
pays en seront-elles diminuées et moins ex-
ploitables ? Une colonie n'est-elle pas prospère
quand les indigènes qui la peuplent sont ri-
ches et ont des besoins qu'ils ne peuvent sa-
tisfaire qu'en 'adressant à l'industrie de la
métropole ? Une œuvre d'éducation bien com-
prise, en augmentant le bien-être, en élevant
le niveau intellectuel, moral, social des indi-
gènes, en leur créant des besoins, en dirigeant
leurs efforts, en faisant d'eux des clients de la
métropole, peut contribuer, pour une grande
part à la prospérité d'une colonie.
L'arrêté de 1899 prévoyait trois types
d'écoles officielles : les écoles primaires élé-
mentaires, les écoles régionales d'apprentis-
sage industriel et agricole, les écoles norma-
4s -
les, ces deux dernières catégories devant être
placées sur le même plan. Je laisse de côté
l'école professionnelle et l'école d'agriculture de
Tananarive, qui constituent, avec l'école de mé-
decine, le degré supérieur de l'enseignement.
Les écoles régionales ont été, en ce qui con-
cerne l'enseignement officiel, l'innovation la
plus intéressante créée par l'arrêté du i6 avril
1899. Elles réalisent, en effet, l'union de l'in-
struction générale et de l'instruction pratique,
industrielle ou agricole ; elles assurent à leurs
élèves un complément d'enseignement général
en même temps qu'elles en font des ouvriers qui
peuvent, à leur sortie de l'école, trouver aussitôt
un emploi dans l'agriculture ou l'industrie.
C'est dans la création d'écoles de ce genre
qu'est l'avenir de l'enseignement dans la Co-
lonie. L'instruction purement intellectuelle
n'a en effet souvent, parmi les indigènes, que
de médiocres résultats. D'autre part, l'instruc-
tion purement professionnelle est presque
toujours insuffisante, car, privé du secours de
connaissances générales, celui qui la reçoit
s'arrête rapidement dans ses progrès et ne
peut guère être qu'un médiocre artisan,
enclin a la routine. Comme les écoles manuel-
les d'apprentissage de France, les écoles ré-
gionales sont de moins en moins école et de plus
en plus atelier, pour ne plus être, pendant la
dernière année de scolarité, qu'un atelier ou
une exploitation agricole. Le jeune homme qui
les fréquente sait qu'il en sortira en possession
d'un métier, et c'est dans ce but qu'il y est entré.
Ainsi que le fait remarquer la circulaire du
16 avril 1899, bien que ces écoles doivent
toutes être organisées sur le même modèle,
chacune d'elles doit avoir une physionomie
distincte qui dépend de la région dans laquelle
elle se trouve.
En fait, peu d'établissements de cette caté-
gorie ont eté créés depuis deux ans en Imerina
et en Betsileo, mais il importe que de nou-
veaux progrès soient réalisés dans cette voie et
que, dans u u avenir rapproché, chaque province
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Vous aurez donc, Messieurs, à étudier cette
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